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1.
Abstract. Previous work by Atiase (1985) indicates that the information content of quarterly earnings releases is inversely related to firm size. This study explores the firm-size related differential information content of earnings releases by focusing on annual earnings, assuming that the role of firm size as a proxy for the availability of predisclosure information may differ between annual versus quarterly earnings. In addition, it also investigates how abnormal return reactions to annual earnings releases as a function of firm size change around the date of annual earnings releases. The results show that the firm-size related differential information content of earnings releases exists with annual earnings. Specifically, the extent of common stock return reactions on (around) the annual earnings release date is inversely related to firm size, while market reaction to some early predisclosure dates is positively associated with firm size. The inverse relationship begins to show up a week prior to the earnings release date, and the positive relationship exists for days prior to that week. This latter finding is different from that reported by Atiase in that he did not detect similar evidence with quarterly earnings. No appreciable pattern of association between return reactions and firm size is detected during the week following the release date. Résumé. Les travaux précédents d'Atiase (1985) révèlent que le contenu informatif des renseignements trimestriels publiés relatifs aux bénéfices est inversement proportionnel à la taille de l'entreprise. L'auteur analyse le contenu marginal en information des renseignements relatifs aux bénéfices par rapport à la taille de l'entreprise, et plus particulièrement les bénéfices annuels, en supposant que le rôle de la taille de l'entreprise à titre d'agent d'information trimestrielle peut varier selon qu'il s'agit de bénéfices annuels ou trimestriels. L'auteur analyse en outre comment les réactions anormales du rendement à la publication des bénéfices annuels en fonction de la taille de l'entreprise changent à proximité de la date de publication des bénéfices annuels. Les résultats révèlent que le contenu marginal en information des bénéfices publiés est lié à la taille de l'entreprise dans le cas des bénéfices annuels. En particulier, l'étendue de la réaction du rendement des actions ordinaires à la date (ou près de la date) de publication des bénéfices annuels est en relation inverse avec la taille de l'entreprise, alors que la réaction du rendement à une publication trimestrielle est en relation positive avec la taille de l'entreprise. La relation inverse commence à se manifester une semaine avant la date de publication des bénéfices, alors qu'elle est positive pendant les jours qui précèdent cette semaine. Ce résultat diffère de celui rapporté par Atiase, qui n'a rien décelé qui permette d'en venir à la même conclusion dans le cas des bénéfices trimestriels. Aucune relation mesurable entre la réaction à la publication et la taille de l'entreprise ne se manifeste au cours de la semaine qui suit la date de la publication.  相似文献   

2.
Abstract. Several studies have documented a significant association between firm size and cumulative abnormal returns surrounding quarterly earnings announcements, after controlling for unexpected earnings. The sign of the association depends on the sign of unexpected earnings. Specifically, in a regression of cumulative abnormal returns on unexpected earnings and firm size, the coefficient on firm size is negative for observations with positive unexpected earnings and is positive for observations with negative unexpected earnings. These results hold after adjusting returns for the firm size return effect. In the absence of an economic rationale for firm size per se to be priced in this manner, we draw on extant capital market literature to identify two potential explanations for the signed-size effect. Each suggests that firm size may be proxying for some misspecification of the relation between cumulative abnormal returns and unexpected earnings: measurement error in the researcher's proxy for unexpected earnings and constrained estimation of earnings response coefficients. The signed-size effect remains after incorporating numerous procedures to mitigate the influence of each of these misspecifications. We develop implications of ignoring the anomalous signed-size effect for studies investigating the association between cumulative abnormal returns and unexpected earnings. Studies affected are those that omit firm size (the estimated earnings response coefficient is biased upward), include firm size as a linear additive variable (the estimated coefficient on firm size is generally not interpretable), and include other variables correlated with firm size (their estimated coefficients are generally biased). Résumé. Plusieurs chercheurs ont démontré l'existence d'une relation significative entre la taille de l'entreprise et les rendements anormaux cumulatifs entourant les annonces de bénéfices trimestriels, compte tenu du contrôle des bénéfices inattendus. Le signe de cette relation (positif ou négatif) dépend de celui des bénéfices inattendus. En termes précis, dans une régression des rendements anormaux cumulatifs par rapport aux bénéfices inattendus à de la taille de l'entreprise, le coefficient relatif à la taille de l'entreprise est négatif pour les observations de bénéfices inattendus positifs, alors qu'il est positif pour les observations de bénéfices inattendus négatifs. Ces résultats persistent une fois les rendements ajustés pour tenir compte de l'incidence de la taille de l'entreprise. Faute de fondements économiques sur lesquels appuyer ce genre d'évaluation en fonction de la taille de l'entreprise en tant que telle, les auteurs ont puisé dans les écrits existants relatifs au marché des capitaux deux explications possibles de l'incidence positive ou négative de la taille: l'erreur de mesure de la variable substitutive des bénéfices inattendus utilisée par le chercheur et l'estimation restreinte des coefficients de réaction aux bénéfices. Dans un cas comme dans l'autre, il semble que la taille de l'entreprise puisse servir de substitut lorsque certaines définitions de la relation entre les rendements anormaux cumulatifs et les bénéfices inattendus sont erronées. L'incidence positive ou négative de la taille demeure après l'application de nombreux procédés visant à atténuer l'influence de chacune de ces erreurs de définition. Les auteurs cernent les conséquences que peut entraîner la négligence de l'incidence positive ou négative anormale de la taille, dans le cas d'études portant sur la relation entre les rendements anormaux cumulatifs et les bénéfices inattendus. Les études en cause sont celles dans lesquelles est omise la taille de l'entreprise (le coefficient de la réaction estimée aux bénéfices étant alors biaisé à la hausse), celles qui font intervenir la taille de l'entreprise à titre de variable additive linéaire (le coefficient estimé relatif à la taille de l'entreprise ne pouvant être interprété, de façon générale) et celles qui font intervenir d'autres variables en corrélation avec la taille de l'entreprise (leurs coefficients estimés étant, dans ce cas, habituellement faussés).  相似文献   

3.
Abstract. Following a five year moratorium on adoption of interest capitalization by the SEC, the Financial Accounting Standards Board issued SFAS No. 34 mandating that firms previously writing off interest charges related to the construction of assets change to capitalizing those charges. The purpose of this study is to analyze the impact of this change in terms of the security market's reactions both to policy announcements leading up to the promulgation of SFAS No. 34, and to earnings announcements following implementation by affected companies. Significant average market reactions are indicated for two of ten policy announcements before the effects of firm size are considered; however, significance disappears when those effects are removed from excess returns. Although a bias is detected in the forecasts of analysts consistent with less than full revision to include the earnings impact, there is little evidence of market reactions to announcements of those earnings. Résumé. Après un moratoire de cinq ans sur l'adoption de la capitalisation de l'intérêt par la S.E.C., le Financial Accounting Standards Board a émis le bulletin numéro 34 qui demande aux entreprises qui passaient aux dépenses les charges d'intérêts reliées à la construction d'actifs, de les capitaliser. L'objectif de cette étude, est d'analyser l'impact de ce changement (en termes des réactions du marché des valeurs) aux annonces de politiques qui ont conduit à la promulgation du bulletin 34 et aux annonces de bénéfices qui ont suivi l'implantation pour les compagnies touchées. Les réactions du marché en moyenne sont significatives pour deux des dix annonces de politiques, avant de prendre en considération les effets de l'ampleur de la firme; cependant, ce n'est plus significatif lorsque ces effets sont retranchés des rendements excédentaires. Quoiqu'un biais soit détecté dans les prévisions des analystes, en accord avec une révision moins que complète pour inclure l'impact des bénéfices, il y a peu d'évidence des réactions du marché aux annonces de ces bénéfices.  相似文献   

4.
Abstract. This study extends the growing literature on the deteminants of the variation in the relationship between unexpected earnings and abnormal security returns (the earnings response coefficient). We hypothesize that the firm's default risk as measured by financial leverage would affect the earnings response coefficient. We test this hypothesis by partitioning firms according to (1) the existence of debt in the capital structure (all-equity versus levered firms) and (2) the level of leverage (low-leverage versus high-leverage firms). The results are generally consistent with our hypothesis. Specifically, we find that the earnings response coefficients are larger for all-equity and low-leverage firms vis-à-vis matched-levered and high-leverage firms, even after controlling for the effects of equity beta, persistence, risk premium, and measurement error in unexpected earnings. Our findings are also robust with respect to the choice of earnings measure, either before or after interest charges. Résumé. L'étude s'inscrit dans le prolongement des travaux de plus en plus nombreux portant sur les déterminants de la fluctuation de la relation entre les bénéfices imprévus et les rendements anormaux des titres (le coefficient de réponse des bénéfices). Les auteurs posent l'hypothèse que le risque de non-paiement de l'entreprise, mesuré en termes de levier financier, influe sur le coefficient de réponse des bénéfices. Les auteurs testent cette hypothèse en classant les entreprises selon 1) l'existence ou non de capitaux empruntés dans la structure du capital (entreprises dont les capitaux sont exclusivement des capitaux propres par rapport aux entreprises dont les capitaux sont en partie empruntés) et 2) l'importance du levier financier (entreprises dont le levier financier est faible par rapport aux entreprises dont l'importance du levier financier est élevée). Dans l'ensemble. les résultats confirment l'hypothèse. De façon plus précise, les coefficients de réponse des bénéfices sont plus élevés pour les entreprises dont les capitaux sont exclusivement des capitaux propres et les entreprises dont le levier financier est faible, par rapport aux entreprises, classées selon la taille et le secteur d'activité, dont les capitaux sont davantage constitués de capitaux empruntés et dont le levier financier est élevé, même lorsque sont contrôlées les répercussions du bêta des capitaux propres, de la persistance, de la prime de risque et de l'erreur de mesure des bénéfices imprévus. Les résultats de leur étude résistent également à l'analyse lorsqu'ils font intervenir le choix de la mesure des bénéfices, avant ou après avoir tenu compte des intérêts débiteurs.  相似文献   

5.
Abstract. This paper examines how analysts combine earnings and dividend information when they predict future earnings. Because both earnings and dividends are noisy indications of future earnings, we posit that analysts use the two corroboratively, to confirm the information reflected in each, and that analysts will substitute away from earnings when it is noisy and toward dividends. Using regressions of analysts' earnings forecast revisions on unexpected earnings, unexpected dividends, and five variables that reflect whether the signs of unexpected earnings and dividends confirm or contradict each other, we find evidence of both corroboration and substitution. Analysts' earnings forecast revisions are significantly related to the five corroborative variables, and this relation has statistically significant explanatory power beyond that in the magnitudes of unexpected earnings and unexpected dividends. Consistent with expectations, we find that the evidence of corroboration varies across the noisiness of earnings information; there is more evidence of corroboration when earnings are more variable. We also find evidence consistent with analysts substituting away from earnings, toward dividend information for firms with noisy earnings information (high variance). Overall, the results imply that analysts use earnings and dividend information interdependently, with some interdependency determined by the noisiness of earnings announcements. Résumé. Les auteurs examinent comment les analystes combinent l'information relative aux bénéfices et aux dividendes pour prévoir les bénéfices futurs. Les bénéfices et les dividendes étant tous deux des indicateurs imparfaits des bénéfices futurs, les auteurs posent l'hypothèse que les analystes utilisent les deux, à titre corroboratif, pour confirmer l'information que livre chacun de ces indicateurs et qu'ils préféreront les dividendes aux bénéfices, si ces derniers se révèlent un indicateur imparfait. En procédant à la régression des révisions des prévisions de bénéfices des analystes sur les bénéfices imprévus, sur les dividendes imprévus et sur cinq variables indiquant si les pronostics de bénéfices et de dividendes imprévus se confirment ou s'infirment les uns les autres, les auteurs enregistrent des données qui vont à la fois dans le sens de la corroboration et de la substitution. Les révisions des prévisions de bénéfices des analystes présentent une relation significative avec les cinq variables de corroboration, relation qui affiche un pouvoir d'explication statistiquement significatif, au-delà de celui de l'ampleur des bénéfices imprévus et des dividendes imprévus. Conformément aux prévisions, les auteurs constatent que la preuve de corroboration varie selon le degré d'imperfection de l'information relative aux bénéfices; les preuves de corroboration sont plus fortes lorsque les bénéfices varient davantage. Les auteurs font également état de constatations conformes à l'hypothèse selon laquelle les ana lystes écartent l'information relative aux bénéfices pour y substituer l'information relative aux dividendes dans le cas d'entreprises dont l'information relative aux bénéfices est imparfaite (variance élevée). Dans l'ensemble, les résultats invitent à la conclusion que les analystes utilisent l'information relative aux bénéfices et aux dividendes de manière interdépendante, une partie de cette interdépendance étant déterminée par l'imperfection de l'information communiquée en ce qui a trait aux bénéfices.  相似文献   

6.
Abstract. This study develops and tests the proposition that corporate merger transactions give rise to changes in the association between firm accounting earnings and security returns. A model of the effect of merger transactions on stock price responses to information releases suggests that the earnings response coefficient of a postmerger entity is a weighted average of the earnings response coefficients of the combining firms, with the weights depending on relative earnings variability of the combining firms. Empirical results, based on a sample of 90 mergers completed over a 12-year period, are consistent with the model. Résumé. L'auteur élabore et vérifie une proposition selon laquelle les opérations de fusion donnent lieu à des changements dans la relation entre les bénéfices comptables de l'entreprise et le rendement de ses titres. Selon le modèle de l'incidence des opérations de fusion sur la réaction du cours des valeurs mobilières à la communication d'information, le coefficient de réaction des bénéfices d'une entité résultant d'une fusion est la moyenne pondérée des coefficients de réaction des bénéfices des entreprises qui fusionnent, les pondérations dépendant de la variabilité relative des bénéfices des entreprises constituantes. Les résultats empiriques, fondés sur un échantillon de 90 fusions s'échelonnant sur une période de plus de 12 ans, confirment la validité du modèle.  相似文献   

7.
Résumé. L'auteur entend déterminer laquelle parmi trois possibilités de présentation de l'information relative aux gisements pétroliers et gaziers dans le rapport annuel—coûts d'origine capitalisés, quantités ou flux monétaires actualisés—a un contenu marginal en information, par rapport au bénéfice par action. Le contenu en information est défini comme étant la mesure dans laquelle l'option retenue pour présenter les gisements tient compte de l'évolution du prix des actions ordinaires. L'auteur a recours à l'analyse de régression multiple afin d'évaluer dans quelle mesure chacune des trois options de présentation de l'information relative aux gisements est indicative du rendement des actions ordinaires, compte tenu de l'information livrée par un indicateur du bénéfice par action. Il recueille dans les rapports annuels de 67 sociétés canadiennes d'exploration et de mise en valeur du pétrole et du gaz naturel l'information relative à chaque année de la période s'échelonnant de 1983 à 1987. Les résultats de l'étude prouvent que le bénéfice par action présente un certain contenu en information. Pour l'ensemble de la période de cinq ans, l'étude prouve également que les coûts capitalisés, les quantités des réserves et les flux monétaires actualisés présentent un contenu marginal en information; les résultats ne sont cependant pas constants lorsqu'on analyse une à une les années de la période, quelle que soit la forme de présentation utilisée.  相似文献   

8.
Abstract. The weak correlation between accounting earnings and security returns documented by numerous empirical studies is an issue of concern in current accounting research. Given that price is determined not solely by accounting earnings but also by other sources of information about future earnings, this paper focuses on the relation between earnings and other information to understand the returns-earnings association. The analysis indicates that current earnings exhibit high explanatory power for returns if they correlate with expected future earnings (or with other information that reflects expected future earnings). A high price-to-earnings (P/E) ratio coupled with a high return on equity (ROE) can ex ante indicate earnings growth, and the earnings of firms with these attributes are positively correlated with future earnings. The high-growth subset obtains an impressive returns-earnings R2 of 31 percent and an earnings coefficient of 6.17, demonstrating that it is possible to identify firms whose earnings are strongly correlated with returns using a parsimonious set of firm characteristics. Résumé. La faible corrélation entre les bénéfices comptables et le rendement des titres de placement sur laquelle se sont penchés de nombreux auteurs d'études empiriques retient aujourd'hui l'attention des chercheurs en comptabilité. Le cours des titres étant déterminé non seulement par les bénéfices comptables mais aussi par d'autres sources d'information relative aux bénéfices futurs, l'auteur s'intéresse ici à la relation entre les bénéfices et d'autres renseignements, dans le but d'expliquer le lien entre rendement et bénéfices. L'analyse révèle que les bénéfices courants ont un pouvoir explicatif élevé à l'égard du rendement si ce dernier est en corrélation avec les bénéfices futurs prévus (ou avec d'autres renseignements indicateurs des bénéfices futurs prévus). Un ratio cours/bénéfice élevé associé à un rendement des capitaux propres élevé peut indiquer, ex ante, une croissance des bénéfices, et les bénéfices des entreprises qui possèdent ces caractéristiques sont en corrélation positive avec les bénéfices futurs. Le sous-groupe des entreprises à forte croissance obtient un R2 étonnant de 31 pour cent, résultat d'une analyse de régression du rendement par rapport aux bénéfices, et un coefficient de bénéfices de 6,17, ce qui démontre qu'il est possible de déterminer quelles sont les entreprises dont les bénéfices présentent une forte corrélation avec le rendement, lorsqu'on utilise un ensemble parcimonieux de caractéristiques des entreprises.  相似文献   

9.
Abstract. This paper extends the growing literature on factors affecting cross-sectional and intertemporal variation in earnings response coefficients. It tests the empirical implications of recent theoretical work by Choi and Salamon (1989) and Holthausen and Verrecchia (1988), who model the degree of price adjustment associated with earnings announcements as a function of the amount of noise or garbling in the accounting earnings signal relative to valuation-relevant cash flows or dividends. The particular earnings measurements considered relate to U.S. multinational companies and to the differences in income determination under Statement of Financial Accounting Standards (SFAS) No. 8 and SFAS No. 52. The study finds a modestly smaller relative price adjustment for a given amount of unexpected earnings for multinational firms than for nonmultinationals during the SFAS No. 8 period. This finding is consistent with multinationals producing “noisier” earnings signals during this time period. However, several indirect measures suggest that there was greater prior probability uncertainty associated with the future cash flows or dividends of the nonmultinational sample. Accordingly, this cannot be ruled out as a competing explanation for the observed differences in the market's response to earnings signals during the SFAS No. 8 period. Following the implementation of SFAS No. 52, the earnings response coefficient increased substantively for firms whose accounting for translation gains or losses was most affected by this standard. These results suggest that the earnings measurements produced under SFAS No. 52 were perceived by market participants to be of higher quality (less noisy) than those produced under SFAS No. 8. The framework and analysis in this paper hold promise for investigating the relative informativeness of earnings signals produced under alternative income determination rules. Résumé. Les auteurs apportent leur contribution personnelle aux publications de plus en plus nombreuses portant sur les facteurs qui touchent la variation transversale et temporelle des coefficients de réaction aux bénéfices. Ils vérifient les conséquences empiriques des travaux théoriques récents de Choi et Salamon (1989) et de Holthausen et Verrecchia (1988), qui modélisent le degré d'ajustement du cours des valeurs associé aux annonces de bénéfices comme étant fonction de la quantité de parasites ou de l'importance du brouillage dans le signal que constituent des bénéfices comptables par rapport aux flux monétaires ou aux dividendes pertinents à l'évaluation. Les mesures particulières des bénéfices auxquelles s'intéressent les auteurs sont celles de multinationales des États-Unis et font état de la variation des bénéfices, selon qu'ils sont évalués conformément au SFAS no 8 ou au SFAS no 52. Pour un montant donné de bénéfices inattendus, les auteurs constatent un ajustement relatif du cours des valeurs légèrement plus faible dans le cas des multinationales que dans celui des entreprises d'envergure plus modeste, au cours de la période d'application du SFAS no 8. Cette constatation est conforme à l'hypothèse voulant que les multinationales aient produit des indicateurs de bénéfices plus « brouillés » au cours de cette période. Toutefois, plusieurs mesures indirectes donnent à penser qu'il existait une incertitude plus grande quant à la probabilité a priori des flux monétaires ou des dividendes futurs dans l'échantillon des entreprises d'envergure plus modeste. Les auteurs ne peuvent donc écarter cette hypothèse à titre d'explication concurrente des différences observées dans la réaction du marché aux indicateurs de bénéfices, au cours de la période d'application du SFAS no 8. À la suite de l'instauration du SFAS no 52, le coefficient de réaction aux bénéfices a sensiblement augmenté dans le cas des entreprises dont la méthode comptable relative à la conversion des gains et des pertes était davantage touchée par cette norme. Ces résultats laissent croire que les mesures des bénéfices conformes au SFAS no 52 ont été perçues par les intéressés comme étant de plus grande qualité (c'est-à-dire moins brouillées) que les mesures conformes au SFAS no 8. Le cadre de référence et l'analyse contenus dans cet article sont prometteurs pour l'analyse de la qualité relative de l'information livrée par les indicateurs de bénéfices conformes à d'autres règles d'évaluation des bénéfices.  相似文献   

10.
Abstract. Prior studies on the firm size effect either do not adequately control for earnings or ignore the potential implication of earnings news for the firm size effect. Thus, they implicitly assume that the firm size effect is identical across all firms irrespective of earnings news. This study provides additional empirical evidence on the firm size effect by taking earnings news into account. The results indicate that the firm size effect persists even when earnings news, measured by the sign and magnitude of unexpected earnings, is controlled. The firm size effect, however, is pronounced only for firms with “good” earnings news, but not for firms with “bad” earnings news. Possible implications of these findings are explored. Résumé. Les études qui ont été réalisées jusqu'à maintenant sur l'incidence de la taille de l'entreprise ne contrôlent pas adéquatement la variable bénéfices ou ignorent les conséquences potentielles de l'information relative aux bénéfices sur l'incidence de la taille de l'entreprise. Elles supposent donc implicitement que l'incidence de la taille de l'entreprise est la même pour toutes les entreprises, peu importe l'information relative aux bénéfices. La présente étude ajoute aux preuves empiriques concernant l'incidence de la taille de l'entreprise, en tenant compte de l'inforrmation relative aux bénéfices. Les résultats de cette étude révèlent que l'incidence de la taille de l'entreprise persiste, même lorsque l'information relative aux bénéfices, mesurée en fonction de l'indication de bénéfices imprévus et de leur ampleur, est contrôlée. L'incidence de la taille de l'entreprise est toutefois marquée seulement dans le cas des entreprises pour lesquelles l'information relative aux bénéfices est « positive », et non dans le cas des entreprises pour lesquelles l'information relative aux bénéfices est « négative ». L'auteur explore les conséquences possibles des résultats de l'étude.  相似文献   

11.
Abstract. This paper uses a state variable characterization of firm earnings to develop an economic model of interim information and its effects on the information role of announced earnings. The model provides a simple yet rigorous approach for assessing, both theoretically and empirically, the potential effects of interim information about non firm-specific state variables on the information role of announced earnings. It is shown that, under appropriate conditions, uncertainty about firm earnings can be decomposed into uncertainty about firm-specific and non firm-specific state variables. This decomposition provides economic structure to the meaning of interim information. It is demonstrated, both in the theoretical and empirical analyses, that the interim revelation of industry-wide state variables diminishes the information role of announced earnings. Résumé. L'auteur utilise une variable caractérisant la situation de l'entreprise au chapitre des bénéfices (variables d'état), en vue d'élaborer un modèle économique de l'information périodique et de ses conséquences sur le rôle informatif des bénéfices déclarés. Le modèle, simple mais rigoureux, permet d'évaluer, en théorie aussi bien qu'en pratique, les conséquences que peut avoir l'information périodique relative aux variables d'état qui ne sont pas spécifiques à l'entreprise (mais spécifiques au secteur) sur le rôle informatif des bénéfices déclarés. Il est démontré que, dans des circonstances appropriées, l'incertitude relative aux bénéfices de l'entreprise peut être décomposée en incertitude relative aux variables d'état spécifiques à l'entreprise et non spécifiques à l'entreprise. Cette décomposition donne une structure économique au sens de l'information périodique. Les études tant théoriques qu'empiriques démontrent que la communication périodique des variables d'état de tout un secteur diminue le rôle informatif des bénéfices déclarés.  相似文献   

12.
Abstract. Accounting procedures have been suggested as a factor affecting the usefulness of reported earnings for the users of financial statements. However, little evidence exists to confirm the ways in which mandatory changes in income determination rules influence the way the market responds to accounting information. This study expands the existing literature by testing the notion that accounting method choice can affect earnings usefulness for firms engaged in research and development (R&D) activities. We test hypotheses concerning (1) changes in earnings usefulness for firms that switched their R&D accounting method as a result of Statement of Financial Accounting Standards No. 2 (SFAS No. 2); and (2) differences in earnings usefulness between similar firms using different R&D accounting methods prior to the rule change. We find that for our sample of R&D firms, there is a statistically significant decline in earnings usefulness for firms forced to switch from capitalizing to expensing R&D outlays, and that the decline appears to persist over time. In addition, the comparison of earnings usefulness between firms using different R&D accounting methods before SFAS No. 2 indicates that capitalizing firms had significantly higher earnings usefulness than expensing firms. Résumé. L'on a dit des méthodes comptables qu'elles avaient une incidence sur l'utilité des bénéfices déclarés pour les utilisateurs des états financiers. Peu de travaux établissent cependant de quelles façons les modifications obligatoires des règles régissant le calcul des bénéfices influent sur la réaction du marché à l'information comptable. Les auteurs enrichissent la documentation existante en testant la notion voulant que le choix de la méthode comptable puisse influer sur l'utilité des bénéfices dans le cas des entreprises qui poursuivent des activités de recherche et développement (R&D). Ils testent des hypothèses qui ont trat 1) à la variation de l'utilité de l'information relative aux bénéfices dans le cas d'entreprises ayant changé de méthode de comptabilisation des frais de R&D par suite de la publication du SFAS no 2 et 2) aux différences dans l'utilité de l'information relative aux bénéfices entre entreprises similaires recourant à des méthodes de comptabilisation des frais de R&D qui sont différentes, avant la modification des règles. Dans leur échantillon d'entreprises qui se consacrent à des activités de R&D, les auteurs observent un déclin statistiquement significatif dans l'utilité de l'information relative aux bénéfices chez les entreprises obligées de passer de la capitalisation à la passation en charges des frais de R&D et notent que ce déclin semble persister dans le temps. En outre, la comparaison des données observées chez des entreprises appliquant différentes méthodes de comptabilisation des frais de R&D avant la publication du SFAS no 2 révèle que l'utilité de l'information relative aux bénéfices des entreprises qui capitalisent leurs frais de R&D est beaucoup plus grande que celle de l'information relative aux bénéfices des entreprises qui imputent ces frais à l'exercice.  相似文献   

13.
Abstract. Generally accepted auditing standards, auditing textbooks, and firm audit manuals indicate that, other things equal, the presence of significant monetary incentives based on financial results increases the inherent risk of material misstatement, and higher inherent risk should ordinarily cause the auditor to exercise a heightened degree of professional skepticism in conducting the audit. This article addresses the following basic research question: Are auditors sensitive to management's incentives to manage earnings? Research that examines whether auditors distinguish between explanations provided by managers with different incentives is important because audit standards indicate that inquiry of management can assist the auditor in evaluating significant unexpected differences. Two experiments were conducted. The first experiment explored whether management-buyout-induced incentives to make income-decreasing accruals affect auditors' judgments of the probability that a material misstatement exists. As predicted, auditors were sensitive to these incentives. The second experiment explored whether bonus-induced incentives affect auditors' judgments of the probability that a material misstatement exists. The auditors agreed that bonus plans such as the one in the experiment create incentives for management to make income-increasing or income-decreasing accruals depending on the terms of the plan. However, the auditors' judgments were unaffected by whether the unexpected difference and management's incentives were congruent. The auditors opted for potential audit effectiveness rather than potential audit efficiency by assuming that—on balance—management had incentives congruent with the unexpected overstatement. Résumé. Selon les normes de vérification généralement reconnues, les manuels de vérification et les guides de vérification des cabinets comptables, toutes choses égales par ailleurs, la présence d'encouragements monétaires substantiels basés sur les résultats financiers accroît le risque inhérent d'inexactitudes importantes, et un risque inhérent supérieur doit normalement amener le vérificateur à exercer davantage de vigilance dans la réalisation de sa mission de vérification. L'auteur s'intéresse à la question fondamentale suivante: les vérificateurs sont-ils sensibles aux motivations de la direction à user d'astuces comptables aux fins de l'établissement des bénéfices? Les recherches visant à déterminer si les vérificateurs établissent une distinction entre les explications fournies par les gestionnaires dont les motivations sont différentes revêtent beaucoup d'importance, compte tenu du fait que les normes de vérification indiquent que les demandes de renseignements de la direction peuvent aider le vérificateur à évaluer les écarts inattendus appréciables. Deux expériences ont été menées. La première avait pour but de déterminer si les motivations à agir sur les comptes de régularisation de manière à réduire les bénéfices, induites par un rachat de l'entreprise par les cadres, ont une incidence sur les jugements des vérificateurs relatifs à la probabilité d'inexactitudes importantes dans les déclarations. Conformément aux prévisions, les vérificateurs se montrent sensibles à ces motivations. La seconde expérience visait à déterminer si les motivations induites par les primes ont une incidence sur les jugements des vérificateurs en ce qui a trait à la probabilité de l'existence d'inexactitudes importantes. Les vérificateurs conviennent que les systèmes de primes, comme celui de la seconde expérience, motivent la direction à agir sur les comptes de régularisation de façon à augmenter ou réduire les bénéfices, selon les conditions du système. Toutefois, les jugements des vérificateurs ne sont pas influencés par le fait que l'écart inattendu dans les bénéfices et la motivation de la direction sont reliés. Les vérificateurs optent pour l'efficacité potentielle de la vérification plutôt que pour son efficience potentielle, en supposant que, dans l'ensemble, la direction présente des motivations qui vont dans le sens des surestimations inattendues en matière de bénéfices.  相似文献   

14.
Abstract. One of the objectives of segment reporting, as expressed in the FASB's Statement of Financial Accounting Standards Number 14, is to enable investors to improve their assessments of companies' opportunities for future growth. Implicit in this idea are the assumptions that (1) industry membership provides information on companies' growth prospects, and (2) segment data provide incremental information over consolidated data for assessing industry-related growth prospects. This research examines these assumptions by using an informational perspective for earnings. The informational perspective on accounting information posits that a role of accounting data such as earnings is to alter investors' beliefs about a company's future dividend paying ability, as reflected in its prospective cash flows. Specifically, this study shows that the relationship between earnings amounts and current security prices depends on whether the earnings originate from high growth or low growth industries, as defined in the paper. Furthermore, segment data appear to improve the informativeness of such an earnings classification for explaining security prices. The results suggest that investors use information on industry growth prospects in analyzing individual companies, and that segment information plays a useful role in improving such analyses. Résumé. L'un des objectifs de l'information sectorielle, tel qu'il est exprimé dans le Statement of Financial Accounting Standards No. 14 du FASB, est de permettre aux investisseurs d'évaluer avec plus de précision le potentiel de croissance des entreprises. Certaines hypothèses sont implicites à cet objectif: 1) l'appartenance au secteur donne accès à de l'information sur les perspectives de croissance des entreprises et 2) les données sectorielles offrent un supplément d'information, par rapport aux données consolidées, dans l'évaluation des perspectives de croissance liées au secteur. L'auteur examine ces hypothèses dans l'optique du contenu informationnel des bénéfices. Cette optique sur l'information comptable établit le principe selon lequel l'un des rôles de données comptables telles que les bénéfices consiste à modifier les convictions des investisseurs au sujet du potentiel de l'entreprise en termes de dividendes, tel que le reflètent ses flux monétaires éventuels. L'étude démontre précisément que la relation entre le montant des bénéfices et le cours des titres dépend du fait que les bénéfices proviennent de secteurs à forte ou à faible croissance, selon la définition du texte. De plus, les données sectorielles semblent améliorer le pouvoir explicatif de cette classification des bénéfices quant au cours des titres. Les résultats obtenus laissent supposer que les investisseurs utilisent l'information sur les perspectives de croissance du secteur dans l'analyse des différentes sociétés, et que cette information sectorielle joue un rôle appréciable dans l'amélioration de ce genre d'analyse.  相似文献   

15.
Abstract. The results of prior studies on the information content of inflation-adjusted data in general, and of the SFAS 33 pronouncement in particular, have been mixed. The present study is motivated by the need to address further the relevance of SFAS 33 data to decisions made by security-market participants. The relevance of the SFAS 33 data is assessed in two contexts: (1) the association of security returns with inflation-adjusted and historical cost based earnings, and (2) the SFAS 33 data's ability, in a one-period-ahead prediction of security returns in comparison with the traditional historical cost model. The association test leads to mixed and inconclusive results. The predictive ability test indicates that several inflation-adjusted measures of firms' earnings outperformed the historical cost earnings measure for 1981 and 1982. The latter results were not sensitive to the form of user loss function, sample size, and type of sample. These results may suggest that the recent decision by the FASB to make reporting according to the SFAS 33 pronouncement optional was premature. Résumé. Les résultats d'études précédentes sur le contenu informationnel des données ajustées pour tenir compte des effets de l'inflation en général, et de l'émission par le FASB de la Norme no33 en particulier, ont été mixtes. L'étude qui suit se justifie par la nécessité de se pencher davantage sur la pertinence des données selon la Norme no 33 relativement aux décisions prises par les intervenants sur le marché des valeurs mobilières. Les auteurs évaluent la pertinence des données selon la Norme no 33 dans deux contextes: 1) l'association du rendement des titres aux bénéfices ajustés pour tenir compte des effets de l'inflation et aux bénéfices exprimés à la valeur d'origine et 2) la valeur des données selon la Norme no 33 dans la prévision, un exercice à l'avance, du rendement de titres par comparaison au modèle traditionnel du coût d'origine. Le test d'association mène à des résultats mixtes et non concluants. Le test de la valeur de prédiction indique que plusieurs mesures des bénéfices ajustées pour tenir compte des effets de l'inflation sont supérieures à la mesure des bénéfices au coût d'origine pour 1981 et 1982. Ces derniers résultats n'ont pas été sensibles à la forme de la fonction de perte de l'utilisateur, à la taille de l'échantillon et au type d'échantillon. Ces résultats donnent à penser que la décision récente du FASB de rendre facultative l'application de la Norme no33 en matière de publication d'information était prématurée.  相似文献   

16.
Abstract. This paper investigates whether entrepreneurs manipulate earnings in the periods prior to taking their firms public through the choice of accounting conventions. The preponderance of evidence, using powerful accrual tests that were able to detect earnings management in other contexts, indicates little, if any, manipulation. To the extent that there is earnings management, the results suggest that this phenomenon is more pronounced among small firms and among firms with large financial leverage and is to a lesser degree related to the quality of the underwriters and auditors employed when going public. Résumé. Les auteurs ont voulu savoir si les entrepreneurs manipulaient les bénéfices dans les exercices précédant un appel public à l'épargne par le truchement du choix des normes et conventions comptables. La prépondérance des preuves recueillies à l'aide des puissantes techniques existantes de sondage des produits et des charges visant à déceler les cas d'? accommodation » des bénéfices dans d'autres contextes, révèle une faible manipulation, sinon aucune. Dans la mesure où il y a accommodation des bénéfices, les résultats obtenus donnent à penser que le phénomène est davantage accentué chez les entreprises de petite taille ou dont le levier financier est élevé, et qu'il est relié de façon plus ténue à la qualité des preneurs fermes et des vérificateurs à qui l'entreprise a recours lorsqu'elle fait appel public à l'épargne.  相似文献   

17.
Abstract. This study investigates firms subject to accounting enforcement actions by the Securities and Exchange Commission for alleged violations of Generally Accepted Accounting Principles. We investigate: (i) the extent to which the alleged earnings manipulations can be explained by extant earnings management hypotheses; (ii) the relation between earnings manipulations and weaknesses in firms' internal governance structures; and (iii) the capital market consequences experienced by firms when the alleged earnings manipulations are made public. We find that an important motivation for earnings manipulation is the desire to attract external financing at low cost. We show that this motivation remains significant after controlling for contracting motives proposed in the academic literature. We also find that firms manipulating earnings are: (i) more likely to have boards of directors dominated by management; (ii) more likely to have a Chief Executive Officer who simultaneously serves as Chairman of the Board; (iii) more likely to have a Chief Executive Officer who is also the firm's founder, (iv) less likely to have an audit committee; and (v) less likely to have an outside blockholder. Finally, we document that firms manipulating earnings experience significant increases in their costs of capital when the manipulations are made public. Résumé. Les auteurs analysent les entreprises assujetties aux mesures d'exécution prises par la Securities and Exchange Commission dans les cas de présomption de transgression des principes comptables généralement reconnus. Ils s'intéressent aux aspects suivants de la question: i) la mesure dans laquelle les présomptions de manipulations des bénéfices peuvent être expliquées par les hypothèses existantes de gestion des bénéfices; ii) la relation entre les manipulations de bénéfices et les faiblesses des structures de régie interne des entreprises; et iii) la réaction du marché financier à l'endroit des entreprises au sujet desquelles les présomptions de manipulation des bénéfices sont rendues publiques. Les auteurs constatent qu'un incitatif majeur à la manipulation des bénéfices est le désir d'obtenir du financement externe à moindre coût. Ils démontrent que cet incitatif demeure important même après le contrôle des motifs contractuels que mettent de l'avant les travaux théoriques. Ils constatent également que les entreprises qui manipulent les bénéfices sont: i) davantage susceptibles d'avoir des conseils d'administration dominés par la direction; ii) davantage susceptibles d'avoir un chef de la direction qui joue simultanément le rôle de président du conseil; iii) davantage susceptibles d'avoir un chef de la direction qui est également le fondateur de l'entreprise; iv) moins susceptibles d'avoir un comité de vérification; et v) moins susceptibles d'avoir un bloc de titres détenus par un actionnaire extérieur. Enfin, les auteurs établissent le fait que le coût du capital, pour les entreprises qui manipulent les bénéfices, enregistre des hausses appréciables lorsque ces manipulations sont rendues publiques.  相似文献   

18.
Abstract. Using a sample of 856 management earnings forecasts, we provide evidence that managers release larger shock-earnings forecasts in nontrading periods. Our results do not depend on whether the magnitude of the shock is measured exogenously (unexpected accounting earnings) or endogenously (security market reaction). The timing effects are more pronounced for less-precise (i.e., open-interval and closed-interval) forecasts. Also, we provide evidence of an overnight reaction to closed-period management forecast releases. Our results are consistent with explanations for voluntary disclosure that rely on a precommitted policy of information asymmetry reduction (see Diamond 1985; King, Pownall, and Waymire 1990). These explanations lead to predictions of strategic timing of greater shocks in the nontrading period in order to provide the less-informed with a period for information evaluation. Résumé. À partir d'un échantillon de 856 prévisions de bénéfices publiées par la direction de diverses entreprises, les auteurs démontrent que les prévisions publiées par les gestionnaires en période où les titres ne sont pas négociés ont davantage d'impact. Les résultats qu'ils obtiennent ne dépendent pas du caractère exogène (bénéfices comptables inattendus) ou endogène (réaction du marché des valeurs mobilières) de la mesure de l'impact. L'effet du choix du moment est plus prononcé pour les prévisions moins précises (c'est-à-dire à intervalle ouvert et à intervalle fermé). Les auteurs démontrent aussi qu'il se produit une réaction à la publication de prévisions par la direction en période de fermeture, dans les vingt-quatre heures qui suivent la publication. Les résultats de l'étude sont conformes au principe de la présentation facultative d'information dont l'explication repose sur une politique, préalablement adoptée, de réduction de l'asymétrie de l'information (voir Diamond, 1985; King, Pownall et Waymire, 1990). Cette explication mène à des prédictions voulant que l'on choisisse, à des fins stratégiques, les périodes de non-négociation des titres pour publier les prévisions de bénéfices dont l'impact est plus grand, de manière à laisser aux investisseurs moins bien informés un certain laps de temps pour évaluer l'information.  相似文献   

19.
Abstract. In this paper we examine the relation between a firm's stock return and the earnings of other firms in the same industry, controlling for the firm's own earnings. We present a model in which the sign of this relation depends on the relative uncertainty there is about the size of the total industry value versus the division of that value between firms. We document considerable cross-industry variation in the relation between a firm's return and other firms' earnings, and demonstrate empirically that the sign of the relation depends on information provided prior to the industry earnings announcement period. Résumé. Les auteurs examinent la relation entre le rendement de l'action d'une société et les bénéfices des entreprises appartenant au même secteur d'activité, en veillant à contrôler les bénéfices de la société en question. Dans le modèle qu'ils proposent, le sens (positif ou négatif) de cette relation dépend de l'incertitude relative qui caractérise l'importance de la valeur globale du secteur d'activité par rapport au partage de cette valeur entre les entreprises qui le constituent. Les auteurs ont recueilli quantité d'information confirmant l'existence d'une forte variation dans la relation entre le rendement des actions d'une entreprise et les bénéfices des autres entreprises d'un même secteur; ils démontrent aussi empiriquement que le sens de la relation dépend de l'information produite avant la période où les bénéfices du secteur sont communiqués.  相似文献   

20.
Abstract. This paper examines three possible specification problems with the research on information content of earnings disclosure. The first deals with the extent to which contemporaneous prediction errors are good surrogates for revisions of future earnings expectations and, hence, distributions of cash flows. This problem is elucidated by evaluating analysts' revisions of future earnings expectations as “relevant omitted variables.” The results show that the quality of such surrogation is high in the first quarter but low in the second. The second problem concerns the degree to which analysts' earnings forecasts are good surrogates for the market's own earnings expectations. Unbiasedness and orthogonality are the two properties examined. Although analysts' forecasts satisfy the unbiasedness property, the necessary condition of orthogonality is not satisfied. Hence, analysts' earnings forecasts are not Muthian rational expectations (i.e., they are not good surrogates for market forecasts). Consequently, the explanatory power of known empirical results is likely to be understated. The third specification issue is the significance of the self-selection bias resulting from endogenous partitioning of samples into, say, good- and bad-news portfolios. The Heckman-Lee method of correcting for this type of selection (truncation) bias is applied. The results show significant self-selection bias in both quarters but more so in the first than in the second quarter. Although applying the correction for this sample did not alter the general inferences, it did alter the marginal contribution of each explanatory variable and the explanatory power of the models. The results indicate that the information news about quarterly earnings is not homogeneous across different quarters in a fiscal period. The possibility that a “quarter effect” exists needs further investigation. Résumé. L'auteur se penche sur trois problèmes de spécification possibles en ce qui a trait à la recherche sur le contenu informatif des bénéfices publiés. Le premier de ces problèmes porte sur la mesure dans laquelle les erreurs prévisionnelles actuelles sont des substituts efficaces aux ajustements des bénéfices éventuels prévus et, partant, aux distributions de flux monétaires. On élucide ce problème grâce à l'évaluation des ajustements des bénéfices éventuels prévus effectués par les analystes, à titre de « variables pertinentes omises ». Les résultats de l'étude montrent que la qualité de cette substitution est élevée pour le premier trimestre mais faible pour le second. Le deuxième problème a trait à la mesure dans laquelle les prévisions de bénéfices des analystes sont des substituts efficaces aux prévisions de bénéfices au marché. L'auteur se demande si les prévisions des analystes sont non biaisées et orthogonales. Bien qu'elles se révèlent en effet non biaisées, elles ne respectent pas le critère d'orthogonalité. Les prévisions de bénéfices des analystes ne sont donc pas des prévisions rationnelles de Muthian (c'est-à-dire qu'elles ne sont pas des substituts efficaces aux prévisions du marché). On peut donc penser que le pouvoir explicatif des résultats empiriques connus est sous-estimé. Le troisième problème de spécification est celui de la signification de la distorsion d'autosélection résultant du découpage endogène des échantillons, par exemple sous forme de portefeuilles dont les comptes rendus sont favorables ou défavorables. L'auteur applique la méthode de correction Heckman-Lee prévue pour ce genre de distorsion de sélection (tronquée). Les résultats révèlent une importante distorsion d'autosélection pour les deux trimestres, plus marquée toutefois dans le premier que dans le second. Bien que l'application de la méthode de correction à cet échantillon n'ait pas modifié les inférences générales, elle a modifié la valeur explicative marginale de chaque variable et le pouvoir explicatif des modèles. Les résultats obtenus indiquent que l'information relative aux bénéfices trimestriels n'est pas homogène dans les différents trimestres d'un exercise financier. L'existence possible d'un « effet trimestre » doit faire l'objet de recherches plus approfondies.  相似文献   

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