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1.
Abstract. This paper extends the growing literature on factors affecting cross-sectional and intertemporal variation in earnings response coefficients. It tests the empirical implications of recent theoretical work by Choi and Salamon (1989) and Holthausen and Verrecchia (1988), who model the degree of price adjustment associated with earnings announcements as a function of the amount of noise or garbling in the accounting earnings signal relative to valuation-relevant cash flows or dividends. The particular earnings measurements considered relate to U.S. multinational companies and to the differences in income determination under Statement of Financial Accounting Standards (SFAS) No. 8 and SFAS No. 52. The study finds a modestly smaller relative price adjustment for a given amount of unexpected earnings for multinational firms than for nonmultinationals during the SFAS No. 8 period. This finding is consistent with multinationals producing “noisier” earnings signals during this time period. However, several indirect measures suggest that there was greater prior probability uncertainty associated with the future cash flows or dividends of the nonmultinational sample. Accordingly, this cannot be ruled out as a competing explanation for the observed differences in the market's response to earnings signals during the SFAS No. 8 period. Following the implementation of SFAS No. 52, the earnings response coefficient increased substantively for firms whose accounting for translation gains or losses was most affected by this standard. These results suggest that the earnings measurements produced under SFAS No. 52 were perceived by market participants to be of higher quality (less noisy) than those produced under SFAS No. 8. The framework and analysis in this paper hold promise for investigating the relative informativeness of earnings signals produced under alternative income determination rules. Résumé. Les auteurs apportent leur contribution personnelle aux publications de plus en plus nombreuses portant sur les facteurs qui touchent la variation transversale et temporelle des coefficients de réaction aux bénéfices. Ils vérifient les conséquences empiriques des travaux théoriques récents de Choi et Salamon (1989) et de Holthausen et Verrecchia (1988), qui modélisent le degré d'ajustement du cours des valeurs associé aux annonces de bénéfices comme étant fonction de la quantité de parasites ou de l'importance du brouillage dans le signal que constituent des bénéfices comptables par rapport aux flux monétaires ou aux dividendes pertinents à l'évaluation. Les mesures particulières des bénéfices auxquelles s'intéressent les auteurs sont celles de multinationales des États-Unis et font état de la variation des bénéfices, selon qu'ils sont évalués conformément au SFAS no 8 ou au SFAS no 52. Pour un montant donné de bénéfices inattendus, les auteurs constatent un ajustement relatif du cours des valeurs légèrement plus faible dans le cas des multinationales que dans celui des entreprises d'envergure plus modeste, au cours de la période d'application du SFAS no 8. Cette constatation est conforme à l'hypothèse voulant que les multinationales aient produit des indicateurs de bénéfices plus « brouillés » au cours de cette période. Toutefois, plusieurs mesures indirectes donnent à penser qu'il existait une incertitude plus grande quant à la probabilité a priori des flux monétaires ou des dividendes futurs dans l'échantillon des entreprises d'envergure plus modeste. Les auteurs ne peuvent donc écarter cette hypothèse à titre d'explication concurrente des différences observées dans la réaction du marché aux indicateurs de bénéfices, au cours de la période d'application du SFAS no 8. À la suite de l'instauration du SFAS no 52, le coefficient de réaction aux bénéfices a sensiblement augmenté dans le cas des entreprises dont la méthode comptable relative à la conversion des gains et des pertes était davantage touchée par cette norme. Ces résultats laissent croire que les mesures des bénéfices conformes au SFAS no 52 ont été perçues par les intéressés comme étant de plus grande qualité (c'est-à-dire moins brouillées) que les mesures conformes au SFAS no 8. Le cadre de référence et l'analyse contenus dans cet article sont prometteurs pour l'analyse de la qualité relative de l'information livrée par les indicateurs de bénéfices conformes à d'autres règles d'évaluation des bénéfices.  相似文献   

2.
Abstract. This article examines the impact of one form of sales seasonality on the response of equity returns to earnings announcements in different quarters. We regress unexpected announcement period returns on unexpected earnings and compare the results for seasonal firms—those with sales consistently concentrated in the same quarter each year—to those of other firms. For seasonal firms, we find robust evidence of a greater regression intercept and some evidence of a greater earnings response coefficient in peak sales quarters than in nonpeak quarters. These results are consistent with a greater resolution of the uncertainty about seasonal firms' prospects in their peak sales quarters than in other quarters. Our evidence also shows that fourth-quarter earnings announcements have smaller stock price response coefficients than do interim announcements. Some prior has found smaller fourth-quarter earnings response coefficients for small but not large firms. We find some evidence that fourth-quarter earnings response coefficients are smaller than interim-quarter response coefficients for large firms as well as for small firms. This suggests that explanations for smaller fourth-quarter earnings response coefficients need to be applicable to both large and small firms. Résumé. Les auteurs examinent, pour différents trimestres, l'incidence d'une forme de caractère saisonnier des ventes sur la réaction du rendement des actions aux déclarations de bénéfices. Ils effectuent une analyse de régression des rendements imprévus des trimestres par rapport aux bénéfices imprévus et comparent les résultats obtenus dans le cas des entreprises dont les activités sont saisonnières—c'est-à-dire dont les ventes sont systématiquement concentrées dans le même trimestre chaque année—aux résultats obtenus dans le cas des autres entreprises. Dans le cas des entreprises dont les activités sont saisonnières, les résultats de l'analyse démontrent vigoureusement que l'intersection de la régression est supérieure et confirment avec moins de fermeté que le coefficient de réaction aux bénéfices déclarés est supérieur pour les trimestres où le volume des ventes culmine, par rapport aux autres trimestres. Ces résultats permettent de conclure à une plus grande résorption de l'incertitude relative aux perspectives des entreprises dont les activités ont un caractère saisonnier dans les trimestres où les ventes de ces entreprises culminent que dans les autres trimestres. Les résultats de l'analyse démontrent également que les déclarations de bénéfices au quatrième trimestre donnent lieu à des coefficients plus faibles de réaction du cours des actions que les déclarations des trimestres intermédiaires. Certains travaux antérieurs ont établi que les coefficients de réaction aux déclarations de bénéfices du quatrième trimestre étaient plus faibles pour les petites entreprises que pour les grandes. L'analyse des auteurs tend ici à démontrer que les coefficients de réaction aux déclarations de bénéfices du quatrième trimestre sont plus faibles que les coefficients de réaction des trimestres intermédiaires pour les grandes entreprises aussi bien que pour les petites entreprises. Ces constatations donnent à penser que les facteurs qui expliquent les coefficients de réaction plus faibles aux déclarations de bénéfices du quatrième trimestre devraient pouvoir s'appliquer tant aux grandes qu'aux petites entreprises.  相似文献   

3.
Abstract. Following a five year moratorium on adoption of interest capitalization by the SEC, the Financial Accounting Standards Board issued SFAS No. 34 mandating that firms previously writing off interest charges related to the construction of assets change to capitalizing those charges. The purpose of this study is to analyze the impact of this change in terms of the security market's reactions both to policy announcements leading up to the promulgation of SFAS No. 34, and to earnings announcements following implementation by affected companies. Significant average market reactions are indicated for two of ten policy announcements before the effects of firm size are considered; however, significance disappears when those effects are removed from excess returns. Although a bias is detected in the forecasts of analysts consistent with less than full revision to include the earnings impact, there is little evidence of market reactions to announcements of those earnings. Résumé. Après un moratoire de cinq ans sur l'adoption de la capitalisation de l'intérêt par la S.E.C., le Financial Accounting Standards Board a émis le bulletin numéro 34 qui demande aux entreprises qui passaient aux dépenses les charges d'intérêts reliées à la construction d'actifs, de les capitaliser. L'objectif de cette étude, est d'analyser l'impact de ce changement (en termes des réactions du marché des valeurs) aux annonces de politiques qui ont conduit à la promulgation du bulletin 34 et aux annonces de bénéfices qui ont suivi l'implantation pour les compagnies touchées. Les réactions du marché en moyenne sont significatives pour deux des dix annonces de politiques, avant de prendre en considération les effets de l'ampleur de la firme; cependant, ce n'est plus significatif lorsque ces effets sont retranchés des rendements excédentaires. Quoiqu'un biais soit détecté dans les prévisions des analystes, en accord avec une révision moins que complète pour inclure l'impact des bénéfices, il y a peu d'évidence des réactions du marché aux annonces de ces bénéfices.  相似文献   

4.
Abstract. This paper examines how analysts combine earnings and dividend information when they predict future earnings. Because both earnings and dividends are noisy indications of future earnings, we posit that analysts use the two corroboratively, to confirm the information reflected in each, and that analysts will substitute away from earnings when it is noisy and toward dividends. Using regressions of analysts' earnings forecast revisions on unexpected earnings, unexpected dividends, and five variables that reflect whether the signs of unexpected earnings and dividends confirm or contradict each other, we find evidence of both corroboration and substitution. Analysts' earnings forecast revisions are significantly related to the five corroborative variables, and this relation has statistically significant explanatory power beyond that in the magnitudes of unexpected earnings and unexpected dividends. Consistent with expectations, we find that the evidence of corroboration varies across the noisiness of earnings information; there is more evidence of corroboration when earnings are more variable. We also find evidence consistent with analysts substituting away from earnings, toward dividend information for firms with noisy earnings information (high variance). Overall, the results imply that analysts use earnings and dividend information interdependently, with some interdependency determined by the noisiness of earnings announcements. Résumé. Les auteurs examinent comment les analystes combinent l'information relative aux bénéfices et aux dividendes pour prévoir les bénéfices futurs. Les bénéfices et les dividendes étant tous deux des indicateurs imparfaits des bénéfices futurs, les auteurs posent l'hypothèse que les analystes utilisent les deux, à titre corroboratif, pour confirmer l'information que livre chacun de ces indicateurs et qu'ils préféreront les dividendes aux bénéfices, si ces derniers se révèlent un indicateur imparfait. En procédant à la régression des révisions des prévisions de bénéfices des analystes sur les bénéfices imprévus, sur les dividendes imprévus et sur cinq variables indiquant si les pronostics de bénéfices et de dividendes imprévus se confirment ou s'infirment les uns les autres, les auteurs enregistrent des données qui vont à la fois dans le sens de la corroboration et de la substitution. Les révisions des prévisions de bénéfices des analystes présentent une relation significative avec les cinq variables de corroboration, relation qui affiche un pouvoir d'explication statistiquement significatif, au-delà de celui de l'ampleur des bénéfices imprévus et des dividendes imprévus. Conformément aux prévisions, les auteurs constatent que la preuve de corroboration varie selon le degré d'imperfection de l'information relative aux bénéfices; les preuves de corroboration sont plus fortes lorsque les bénéfices varient davantage. Les auteurs font également état de constatations conformes à l'hypothèse selon laquelle les ana lystes écartent l'information relative aux bénéfices pour y substituer l'information relative aux dividendes dans le cas d'entreprises dont l'information relative aux bénéfices est imparfaite (variance élevée). Dans l'ensemble, les résultats invitent à la conclusion que les analystes utilisent l'information relative aux bénéfices et aux dividendes de manière interdépendante, une partie de cette interdépendance étant déterminée par l'imperfection de l'information communiquée en ce qui a trait aux bénéfices.  相似文献   

5.
Abstract. Although there was strong opposition to the FASB's pension standard, SFAS No. 87, there is evidence that adoption of the standard had a favorable transitory effect on the earnings of a number of companies. This study examines firms' decisions to adopt SFAS No. 87 earlier than the FASB required. The results indicate that there were significant differences among firms that chose to adopt SFAS No. 87 early and those that did not. Unlike earlier studies of income-increasing accounting choices, early adopters were large firms with large, more fully funded pension obligations. They were subject to more accounting-based debt constraints, especially on working capital, and were more constrained on interest coverage than were those that did not adopt. Of early adopters, officers and directors owned less stock than did outside owners. Résumé. Bien que la norme SFAS no 87 du FASB relative aux régimes de retraite soulève une forte opposition, les faits démontrent que l'adoption de cette norme a eu des conséquences transitoires favorables sur les bénéfices de nombreuses entreprises. Les auteurs se penchent sur la décision de certaines sociétés d'adopter la norme SFAS no 87 avant l'échéance fixée par le FASB. Leur analyse révèle d'importantes différences entre les entreprises qui ont choisi d'adopter la norme avant l'échéance et celles qui ont préféré attendre. Contrairement à ce qu'ont indiqué les études précédentes relatives aux choix comptables entraînant une hausse des bénéfices, les entreprises qui ont adopté la norme avant l'échéance sont de grandes entreprises dont les obligations au titre du régime de retraite sont importantes et dont le régime est davantage provisionné. Elles sont assujetties à des contraintes fondées sur leurs obligations comptables, en particulier en ce qui a trait au montant de fonds de roulement à maintenir, et doivent assurer une bonne couverture des intérêts. Les cadres et les administrateurs des entreprises qui ont pris les devants possèdent moins d'actions que ceux des entreprises qui ont préféré attendre.  相似文献   

6.
Abstract. This study investigates firms subject to accounting enforcement actions by the Securities and Exchange Commission for alleged violations of Generally Accepted Accounting Principles. We investigate: (i) the extent to which the alleged earnings manipulations can be explained by extant earnings management hypotheses; (ii) the relation between earnings manipulations and weaknesses in firms' internal governance structures; and (iii) the capital market consequences experienced by firms when the alleged earnings manipulations are made public. We find that an important motivation for earnings manipulation is the desire to attract external financing at low cost. We show that this motivation remains significant after controlling for contracting motives proposed in the academic literature. We also find that firms manipulating earnings are: (i) more likely to have boards of directors dominated by management; (ii) more likely to have a Chief Executive Officer who simultaneously serves as Chairman of the Board; (iii) more likely to have a Chief Executive Officer who is also the firm's founder, (iv) less likely to have an audit committee; and (v) less likely to have an outside blockholder. Finally, we document that firms manipulating earnings experience significant increases in their costs of capital when the manipulations are made public. Résumé. Les auteurs analysent les entreprises assujetties aux mesures d'exécution prises par la Securities and Exchange Commission dans les cas de présomption de transgression des principes comptables généralement reconnus. Ils s'intéressent aux aspects suivants de la question: i) la mesure dans laquelle les présomptions de manipulations des bénéfices peuvent être expliquées par les hypothèses existantes de gestion des bénéfices; ii) la relation entre les manipulations de bénéfices et les faiblesses des structures de régie interne des entreprises; et iii) la réaction du marché financier à l'endroit des entreprises au sujet desquelles les présomptions de manipulation des bénéfices sont rendues publiques. Les auteurs constatent qu'un incitatif majeur à la manipulation des bénéfices est le désir d'obtenir du financement externe à moindre coût. Ils démontrent que cet incitatif demeure important même après le contrôle des motifs contractuels que mettent de l'avant les travaux théoriques. Ils constatent également que les entreprises qui manipulent les bénéfices sont: i) davantage susceptibles d'avoir des conseils d'administration dominés par la direction; ii) davantage susceptibles d'avoir un chef de la direction qui joue simultanément le rôle de président du conseil; iii) davantage susceptibles d'avoir un chef de la direction qui est également le fondateur de l'entreprise; iv) moins susceptibles d'avoir un comité de vérification; et v) moins susceptibles d'avoir un bloc de titres détenus par un actionnaire extérieur. Enfin, les auteurs établissent le fait que le coût du capital, pour les entreprises qui manipulent les bénéfices, enregistre des hausses appréciables lorsque ces manipulations sont rendues publiques.  相似文献   

7.
Abstract. This study extends the growing literature on the deteminants of the variation in the relationship between unexpected earnings and abnormal security returns (the earnings response coefficient). We hypothesize that the firm's default risk as measured by financial leverage would affect the earnings response coefficient. We test this hypothesis by partitioning firms according to (1) the existence of debt in the capital structure (all-equity versus levered firms) and (2) the level of leverage (low-leverage versus high-leverage firms). The results are generally consistent with our hypothesis. Specifically, we find that the earnings response coefficients are larger for all-equity and low-leverage firms vis-à-vis matched-levered and high-leverage firms, even after controlling for the effects of equity beta, persistence, risk premium, and measurement error in unexpected earnings. Our findings are also robust with respect to the choice of earnings measure, either before or after interest charges. Résumé. L'étude s'inscrit dans le prolongement des travaux de plus en plus nombreux portant sur les déterminants de la fluctuation de la relation entre les bénéfices imprévus et les rendements anormaux des titres (le coefficient de réponse des bénéfices). Les auteurs posent l'hypothèse que le risque de non-paiement de l'entreprise, mesuré en termes de levier financier, influe sur le coefficient de réponse des bénéfices. Les auteurs testent cette hypothèse en classant les entreprises selon 1) l'existence ou non de capitaux empruntés dans la structure du capital (entreprises dont les capitaux sont exclusivement des capitaux propres par rapport aux entreprises dont les capitaux sont en partie empruntés) et 2) l'importance du levier financier (entreprises dont le levier financier est faible par rapport aux entreprises dont l'importance du levier financier est élevée). Dans l'ensemble. les résultats confirment l'hypothèse. De façon plus précise, les coefficients de réponse des bénéfices sont plus élevés pour les entreprises dont les capitaux sont exclusivement des capitaux propres et les entreprises dont le levier financier est faible, par rapport aux entreprises, classées selon la taille et le secteur d'activité, dont les capitaux sont davantage constitués de capitaux empruntés et dont le levier financier est élevé, même lorsque sont contrôlées les répercussions du bêta des capitaux propres, de la persistance, de la prime de risque et de l'erreur de mesure des bénéfices imprévus. Les résultats de leur étude résistent également à l'analyse lorsqu'ils font intervenir le choix de la mesure des bénéfices, avant ou après avoir tenu compte des intérêts débiteurs.  相似文献   

8.
Abstract. Prior studies on the firm size effect either do not adequately control for earnings or ignore the potential implication of earnings news for the firm size effect. Thus, they implicitly assume that the firm size effect is identical across all firms irrespective of earnings news. This study provides additional empirical evidence on the firm size effect by taking earnings news into account. The results indicate that the firm size effect persists even when earnings news, measured by the sign and magnitude of unexpected earnings, is controlled. The firm size effect, however, is pronounced only for firms with “good” earnings news, but not for firms with “bad” earnings news. Possible implications of these findings are explored. Résumé. Les études qui ont été réalisées jusqu'à maintenant sur l'incidence de la taille de l'entreprise ne contrôlent pas adéquatement la variable bénéfices ou ignorent les conséquences potentielles de l'information relative aux bénéfices sur l'incidence de la taille de l'entreprise. Elles supposent donc implicitement que l'incidence de la taille de l'entreprise est la même pour toutes les entreprises, peu importe l'information relative aux bénéfices. La présente étude ajoute aux preuves empiriques concernant l'incidence de la taille de l'entreprise, en tenant compte de l'inforrmation relative aux bénéfices. Les résultats de cette étude révèlent que l'incidence de la taille de l'entreprise persiste, même lorsque l'information relative aux bénéfices, mesurée en fonction de l'indication de bénéfices imprévus et de leur ampleur, est contrôlée. L'incidence de la taille de l'entreprise est toutefois marquée seulement dans le cas des entreprises pour lesquelles l'information relative aux bénéfices est « positive », et non dans le cas des entreprises pour lesquelles l'information relative aux bénéfices est « négative ». L'auteur explore les conséquences possibles des résultats de l'étude.  相似文献   

9.
Abstract. This study analyzes the choices made by 279 firms in response to the opportunity to adopt the new pension accounting standard. Statement of Financial Accounting Standard No. 87, in 1986 rather than 1987. It tests the influence of political and agency variables and three income-related variables on this accounting choice. The political variables, management compensation contracts, the magnitude of the income effect of adoption, whether the firm was a “bath” firm, and the earnings position of the firm relative to the prior year are all associated with the adoption choice. These results are analyzed further by considering specific debt covenants and by exploring alternate interpretations of the meaning of the change in earnings variable by assessing interactions between it and the political and agency variables. Résumé. L'auteur analyse les choix faits par 279 entreprises par suite de l'option qui leur était offerte d'adopter la nouvelle norme de comptabilisation des régimes de retraite. Statement of Financial Accounting Standard No. 87, en 1986 plutôt qu'en 1987. Il vérifie l'influence des variables politiques et des variables mandant-mandataire, ainsi que de trois variables se rattachant aux bénéfices, sur ce choix comptable. Chacun des facteurs suivants est associé à l'option d'adoption: variables politiques, contrats de rénumération des cadres, ampleur des conséquences de l'adoption sur les bénéfices, occasion de flambée des bénéfices et bénéfices de l'entreprise par rapport aux bénéfices de l'exercice précédent. Ces résultats font l'objet d'une analyse plus poussée dans laquelle l'auteur tient compte de clauses restrictives particulières et explore d'autres interprétations de la signification de la fluctuation de la variable des bénéfices en évaluant les interactions entre cette fluctuation et les variables politiques ainsi que les variables mandant-mandataire.  相似文献   

10.
Abstract. Disclosure timeliness is of concern because a report's usefulness may be inversely related to the reporting delay. Although longer delays increase the likelihood that some of the information contained in annual earnings disclosures will be preempted by information from more timely sources, previous research investigating the relation between earnings-disclosure timeliness and the intensity of the associated market reaction has reported mixed results. These inconclusive findings may be at least partially due to the effects of a potentially confounding variable — firm size — which may have offset the reporting delay effect. Large firms usually disclose earnings relatively early, but the associated market reaction tends to be small due to the size effect. Small firms disclose later, but their associated market reaction tends to be high due to the size effect. Consequently, this study employs a multivariate approach, which controls for firm size, in investigating the relationship between the timeliness of annual earnings disclosure and the associated security price reaction. The study's results support the hypothesis that after controlling for firm size, the length of the reporting delay is inversely related to the magnitude of report period price revaluations. That is, longer delays are associated with smaller market reactions, when firm size is held constant. There is some evidence that this relation may be stronger for earnings announcements which convey “bad news.” Résumé. La publication rapide de l'information est un sujet de préoccupation, puisque l'utilité d'un rapport risque d'être inversement proportionnelle au délai de publication. Bien que des délais plus longs augmentent la probabilité que certaines des informations contenues dans la publication annuelle des bénéfices aient déjà été obtenues de sources plus rapides, de précédents travaux de recherche analysant la relation entre la rapidité de la publication des bénéfices et l'intensité de la réaction du marché à l'information publiée ont abouti à des résultats mixtes. Ces résultats non concluants peuvent être au moins en partie attribuables à l'incidence d'une variable pouvant porter à confusion — celle de la taille de l'entreprise — susceptible d'avoir compensé l'incidence du délai de publication. Les entreprises de taille importante publient habituellement leurs bénéfices assez tôt, mais la réaction du marché à cette information tend à être mitigée, à cause de l'incidence de la taille. Les petites entreprises publient plus tard l'infonnation relative aux bénéfices, mais la réaction du marché à cette information a tendance à être marquée, à cause de l'incidence de la taille. En conséquence, les auteurs ont opté dans la présente étude pour une méthode à plusieurs variables permettant de contrôler la taille de l'entreprise dans l'analyse de la relation entre la rapidité de la publication des bénéfices annuels et la réaction du prix de Taction à cette information. Les résultats de l'étude viennent confirmer l'hypothèse selon laquelle, lorsque la taille de l'entreprise n'influe pas, la longueur du délai de publication est en relation inverse avec l'ampleur des réévaluations de prix correspondant à la période de publication. En d'autres termes, des délais plus longs sont associés aux réactions plus mitigées du marché, la taille de l'entreprise étant constante. Certaines informations démontrent que cette relation peut être plus marquée pour la publication de bénéfices qui véhiculent de « mauvaises nouvelles ».  相似文献   

11.
Abstract. The weak correlation between accounting earnings and security returns documented by numerous empirical studies is an issue of concern in current accounting research. Given that price is determined not solely by accounting earnings but also by other sources of information about future earnings, this paper focuses on the relation between earnings and other information to understand the returns-earnings association. The analysis indicates that current earnings exhibit high explanatory power for returns if they correlate with expected future earnings (or with other information that reflects expected future earnings). A high price-to-earnings (P/E) ratio coupled with a high return on equity (ROE) can ex ante indicate earnings growth, and the earnings of firms with these attributes are positively correlated with future earnings. The high-growth subset obtains an impressive returns-earnings R2 of 31 percent and an earnings coefficient of 6.17, demonstrating that it is possible to identify firms whose earnings are strongly correlated with returns using a parsimonious set of firm characteristics. Résumé. La faible corrélation entre les bénéfices comptables et le rendement des titres de placement sur laquelle se sont penchés de nombreux auteurs d'études empiriques retient aujourd'hui l'attention des chercheurs en comptabilité. Le cours des titres étant déterminé non seulement par les bénéfices comptables mais aussi par d'autres sources d'information relative aux bénéfices futurs, l'auteur s'intéresse ici à la relation entre les bénéfices et d'autres renseignements, dans le but d'expliquer le lien entre rendement et bénéfices. L'analyse révèle que les bénéfices courants ont un pouvoir explicatif élevé à l'égard du rendement si ce dernier est en corrélation avec les bénéfices futurs prévus (ou avec d'autres renseignements indicateurs des bénéfices futurs prévus). Un ratio cours/bénéfice élevé associé à un rendement des capitaux propres élevé peut indiquer, ex ante, une croissance des bénéfices, et les bénéfices des entreprises qui possèdent ces caractéristiques sont en corrélation positive avec les bénéfices futurs. Le sous-groupe des entreprises à forte croissance obtient un R2 étonnant de 31 pour cent, résultat d'une analyse de régression du rendement par rapport aux bénéfices, et un coefficient de bénéfices de 6,17, ce qui démontre qu'il est possible de déterminer quelles sont les entreprises dont les bénéfices présentent une forte corrélation avec le rendement, lorsqu'on utilise un ensemble parcimonieux de caractéristiques des entreprises.  相似文献   

12.
Abstract. This study develops and tests the proposition that corporate merger transactions give rise to changes in the association between firm accounting earnings and security returns. A model of the effect of merger transactions on stock price responses to information releases suggests that the earnings response coefficient of a postmerger entity is a weighted average of the earnings response coefficients of the combining firms, with the weights depending on relative earnings variability of the combining firms. Empirical results, based on a sample of 90 mergers completed over a 12-year period, are consistent with the model. Résumé. L'auteur élabore et vérifie une proposition selon laquelle les opérations de fusion donnent lieu à des changements dans la relation entre les bénéfices comptables de l'entreprise et le rendement de ses titres. Selon le modèle de l'incidence des opérations de fusion sur la réaction du cours des valeurs mobilières à la communication d'information, le coefficient de réaction des bénéfices d'une entité résultant d'une fusion est la moyenne pondérée des coefficients de réaction des bénéfices des entreprises qui fusionnent, les pondérations dépendant de la variabilité relative des bénéfices des entreprises constituantes. Les résultats empiriques, fondés sur un échantillon de 90 fusions s'échelonnant sur une période de plus de 12 ans, confirment la validité du modèle.  相似文献   

13.
Abstract. Previous work by Atiase (1985) indicates that the information content of quarterly earnings releases is inversely related to firm size. This study explores the firm-size related differential information content of earnings releases by focusing on annual earnings, assuming that the role of firm size as a proxy for the availability of predisclosure information may differ between annual versus quarterly earnings. In addition, it also investigates how abnormal return reactions to annual earnings releases as a function of firm size change around the date of annual earnings releases. The results show that the firm-size related differential information content of earnings releases exists with annual earnings. Specifically, the extent of common stock return reactions on (around) the annual earnings release date is inversely related to firm size, while market reaction to some early predisclosure dates is positively associated with firm size. The inverse relationship begins to show up a week prior to the earnings release date, and the positive relationship exists for days prior to that week. This latter finding is different from that reported by Atiase in that he did not detect similar evidence with quarterly earnings. No appreciable pattern of association between return reactions and firm size is detected during the week following the release date. Résumé. Les travaux précédents d'Atiase (1985) révèlent que le contenu informatif des renseignements trimestriels publiés relatifs aux bénéfices est inversement proportionnel à la taille de l'entreprise. L'auteur analyse le contenu marginal en information des renseignements relatifs aux bénéfices par rapport à la taille de l'entreprise, et plus particulièrement les bénéfices annuels, en supposant que le rôle de la taille de l'entreprise à titre d'agent d'information trimestrielle peut varier selon qu'il s'agit de bénéfices annuels ou trimestriels. L'auteur analyse en outre comment les réactions anormales du rendement à la publication des bénéfices annuels en fonction de la taille de l'entreprise changent à proximité de la date de publication des bénéfices annuels. Les résultats révèlent que le contenu marginal en information des bénéfices publiés est lié à la taille de l'entreprise dans le cas des bénéfices annuels. En particulier, l'étendue de la réaction du rendement des actions ordinaires à la date (ou près de la date) de publication des bénéfices annuels est en relation inverse avec la taille de l'entreprise, alors que la réaction du rendement à une publication trimestrielle est en relation positive avec la taille de l'entreprise. La relation inverse commence à se manifester une semaine avant la date de publication des bénéfices, alors qu'elle est positive pendant les jours qui précèdent cette semaine. Ce résultat diffère de celui rapporté par Atiase, qui n'a rien décelé qui permette d'en venir à la même conclusion dans le cas des bénéfices trimestriels. Aucune relation mesurable entre la réaction à la publication et la taille de l'entreprise ne se manifeste au cours de la semaine qui suit la date de la publication.  相似文献   

14.
Abstract. The differential information content hypothesis implies that the magnitude of the abnormal return is a function of firm characteristics such as size or quality of reported earnings. Previous studies, however, provide little linkage to the relationship between firm characteristic changes and stock return behavior around the earnings announcement date. This study examines this relationship with 102 sample firms that experienced mergers from 1977 to 1984. For a sample of firms whose future uncertainty (measured by firm variance) was reduced by merger, a significant reduction in the marginal information content of the earnings announcement after merger was observed. This reduction did not occur, however, for variance-increasing merger firms or for pair-matched control firms. Similar results were obtained when the firm's future uncertainty was measured by merger type classified by how closely industries of merging firms were related. Résumé. L'hypothèse du contenu marginal en information veut que l'ampleur du rendement anormal soit fonction des caractéristiques de l'entreprise telles que la taille ou la qualité des bénéfices déclarés. Jusqu'à maintenant, les études n'établissent qu'une faible relation entre l'evolution des caractéristiques de l'entreprise et le comportement du rendement des actions, à proximité de la date de déclaration des bénéfices. Les auteurs examinent cette relation auprès d'un échantillon de 102 entreprises qui ont connu des fusions entre 1977 et 1984. Travaillant sur un échantillon d'entreprises dont l'incertitude relative à leur avenir (mesurée selon la fluctuation rapportée par l'entreprise) a été réduite à la faveur de la fusion, les auteurs observent une diminution significative du contenu marginal en information de la déclaration des bénéfices après la fusion. Cependant, cette diminution ne s'est pas produite pour les entreprises issues de fusions qui enregistrent une fluctuation croissante ou pour les entreprises dominantes appariées. Les résultats sont similaires lorsque l'incertitude relative à l'avenir de l'entreprise est mesurée en fonction de la nature de la fusion, classée selon la mesure dans laquelle les secteurs d'activité des entreprises fusionnées sont liés.  相似文献   

15.
Abstract. The results of prior studies on the information content of inflation-adjusted data in general, and of the SFAS 33 pronouncement in particular, have been mixed. The present study is motivated by the need to address further the relevance of SFAS 33 data to decisions made by security-market participants. The relevance of the SFAS 33 data is assessed in two contexts: (1) the association of security returns with inflation-adjusted and historical cost based earnings, and (2) the SFAS 33 data's ability, in a one-period-ahead prediction of security returns in comparison with the traditional historical cost model. The association test leads to mixed and inconclusive results. The predictive ability test indicates that several inflation-adjusted measures of firms' earnings outperformed the historical cost earnings measure for 1981 and 1982. The latter results were not sensitive to the form of user loss function, sample size, and type of sample. These results may suggest that the recent decision by the FASB to make reporting according to the SFAS 33 pronouncement optional was premature. Résumé. Les résultats d'études précédentes sur le contenu informationnel des données ajustées pour tenir compte des effets de l'inflation en général, et de l'émission par le FASB de la Norme no33 en particulier, ont été mixtes. L'étude qui suit se justifie par la nécessité de se pencher davantage sur la pertinence des données selon la Norme no 33 relativement aux décisions prises par les intervenants sur le marché des valeurs mobilières. Les auteurs évaluent la pertinence des données selon la Norme no 33 dans deux contextes: 1) l'association du rendement des titres aux bénéfices ajustés pour tenir compte des effets de l'inflation et aux bénéfices exprimés à la valeur d'origine et 2) la valeur des données selon la Norme no 33 dans la prévision, un exercice à l'avance, du rendement de titres par comparaison au modèle traditionnel du coût d'origine. Le test d'association mène à des résultats mixtes et non concluants. Le test de la valeur de prédiction indique que plusieurs mesures des bénéfices ajustées pour tenir compte des effets de l'inflation sont supérieures à la mesure des bénéfices au coût d'origine pour 1981 et 1982. Ces derniers résultats n'ont pas été sensibles à la forme de la fonction de perte de l'utilisateur, à la taille de l'échantillon et au type d'échantillon. Ces résultats donnent à penser que la décision récente du FASB de rendre facultative l'application de la Norme no33 en matière de publication d'information était prématurée.  相似文献   

16.
Abstract. The Securities and Exchange Commission requires disclosure of auditor-client disagreements that precede a change in auditor. Although prior research has documented that disclosure of disagreements is associated with a decline in equity value, no empirical work has examined factors that result in auditor-client disagreements. We hypothesize that managers are motivated by debt and compensation arrangements to propose methods that are objected to by their auditors (resulting in a disagreement). Because of their greater independence, we also hypothesize that reported disagreements will be more likely for Big Eight (now Big Six) auditors, A comparison of 40 firms that changed auditors and reported a disagreement with a control group of 40 firms that simply changed auditors revealed that disagreement firms are more likely to have debt covenant violations. Disagreement firms are also more likely to have higher leverage, a decline in earnings, and Big Eight auditors. For firms that disclosed the magnitude of the disagreement's effect on earnings, the use of the questionable procedure tended to enhance “flat” earnings growth. Résumé. La Securities and Exchange Commission exige que soit publiée l'information relative aux désaccords vérificateur-client qui précèdent un changement de vérificateurs. Bien que les recherches antérieures aient démontré que la publication de cette information est accompagnée d'un déclin de la valeur des titres, aucun travail empirique n'a examiné les facteurs qui sont à l'origine des désaccords vérificateur-client. Les auteurs posent l'hypothèse selon laquelle ce sont le passif et les régimes de rémunération qui motivent les gestionnaires à proposer des méthodes auxquelles s'opposent les vérificateurs (et qui donnent lieu à un désaccord). Les auteurs posent également l'hypothèse selon laquelle il est plus probable que les désaccords déclarés mettent en cause les huit grands cabinets d'experts-comptables (maintenant les six grands), étant donné leur indépendance plus grande. La comparaison de 40 entreprises ayant changé de vérificateurs et fait état d'un désaccord à un groupe de contrôle de 40 entreprises ayant simplement changé de vérificateurs a révélé que les entreprises en désaccord sont davantage susceptibles d'avoir dérogé à des clauses restrictives. Les entreprises qui déclarent être en désaccord avec leurs vérificateurs sont aussi davantage susceptibles d'être caractérisées par un levier financier élevé, un déclin dans les bénéfices et le recours aux services d'un cabinet d'experts-comptables appartenant aux huit grands. Dans le cas des entreprises qui ont fait état de l'ampleur des conséquences du désaccord sur les bénéfices, l'utilisation du procédé discutable a eu tendance à favoriser une croissance « horizontale » des bénéfices.  相似文献   

17.
Abstract. This study provides further evidence about whether accounting choice decisions reflect a consistent strategy to manage income by investigating the relation between methods used in financial reports and lobbying positions on accounting for income taxes. A numerical income-strategy score is calculated for each lobbyist based on whether the firm chose an income-increasing or income-decreasing alternative for the following: depreciation, inventory, investment tax credit, and pension amortization. We find that firms lobbying for no tax allocation, the most income-increasing alternative, have higher average income strategies (more income increasing) than firms lobbying for comprehensive allocation, the most income-decreasing alternative. Combining the firms favoring either no allocation or partial allocation (due to the conceptual similarity of these alternatives), we find that their average income strategy score is also higher than firms favoring comprehensive allocation. Further, firms favoring discounting deferred taxes, which would ordinarily increase net income by reducing the deferred portion of income tax expense, employ more income-increasing strategies than firms opposed to discounting. In contrast, the hypothesized relationship was not found between income strategy and when the benefits anticipated from the use of a net operating loss carryforward should be recognized. Nevertheless, the combined lobbying positions differ significantly between both the upper and lower third and upper and middle third of the firms classified by their income strategy scores. We also provide analyses to examine whether income strategies can be used to predict lobbying positions. We find that the associations are not sufficiently strong to do so. Résumé. Les décisions relatives aux choix comptables sont-elles le reflet d'une stratégie uniforme visant la gestion des bénéfices? Les auteurs jettent un éclairage nouveau sur cette question, en analysant la relation entre les méthodes utilisées dans les rapports financiers, et ils approfondissent également celle des positions de lobbying relatives à la comptabilisation des impôts sur le bénéfice. Les auteurs attribuent une note numérique à la stratégie de bénéfice de chaque lobbyiste, selon que l'entreprise a opté pour une méthode qui accroît ou décroît le bénéfice, à l'égard des éléments suivants: l'amortissement, les stocks, le crédit d'impôt à l'investissement et la ventilation des coûts découlant des régimes de retraite. Selon les auteurs, les entreprises qui militent en faveur du non-report des impôts, l'option qui contribue le plus à accroître le bénéfice, poursuivent des stratégies de bénéfice moyen supérieur (contribuant davantage à hausser le bénéfice) que les entreprises qui militent en faveur du report intégral, l'option qui contribue le plus à décroître le bénéfice. Si l'on combine les entreprises qui favorisent le non-report et celles qui favorisent un report partiel (compte tenu de la parenté conceptuelle de ces options), il appert que la note correspondant à leur stratégie de bénéfice moyen est, encore une fois, supérieure à celle des entreprises qui favorisent un report intégral. Plus encore, les entreprises qui favorisent l'actualisation des impôts reportés, ce qui devrait ordinairement accroître le bénéfice net en réduisant la portion différée de la charge fiscale, emploient des stratégies qui accroissent davantage le bénéfice que les entreprises qui s'opposent à l'actualisation. En revanche, la relation dont les auteurs posent l'hypothèse entre la stratégie de bénéfice et le moment de la constatation des avantages que l'on prévoit tirer d'un report prospectif de perte d'exploitation n'a pas été confirmée. Les positions de lobbying combinées s'écartent néanmoins sensiblement si l'on compare le tiers supérieur et le tiers inférieur de même que le tiers supérieur et le tiers médian des entreprises classées en fonction des notes attribuées à leur stratégie de bénéfice. Les auteurs procèdent également à des analyses visant à déterminer si les stratégies de bénéfice peuvent être utilisées pour prévoir les positions de lobbying. Ils en concluent que les associations ne sont pas suffisamment probantes pour permettre ces prévisions.  相似文献   

18.
Abstract. In this paper we examine the relation between a firm's stock return and the earnings of other firms in the same industry, controlling for the firm's own earnings. We present a model in which the sign of this relation depends on the relative uncertainty there is about the size of the total industry value versus the division of that value between firms. We document considerable cross-industry variation in the relation between a firm's return and other firms' earnings, and demonstrate empirically that the sign of the relation depends on information provided prior to the industry earnings announcement period. Résumé. Les auteurs examinent la relation entre le rendement de l'action d'une société et les bénéfices des entreprises appartenant au même secteur d'activité, en veillant à contrôler les bénéfices de la société en question. Dans le modèle qu'ils proposent, le sens (positif ou négatif) de cette relation dépend de l'incertitude relative qui caractérise l'importance de la valeur globale du secteur d'activité par rapport au partage de cette valeur entre les entreprises qui le constituent. Les auteurs ont recueilli quantité d'information confirmant l'existence d'une forte variation dans la relation entre le rendement des actions d'une entreprise et les bénéfices des autres entreprises d'un même secteur; ils démontrent aussi empiriquement que le sens de la relation dépend de l'information produite avant la période où les bénéfices du secteur sont communiqués.  相似文献   

19.
Abstract. Several studies have documented a significant association between firm size and cumulative abnormal returns surrounding quarterly earnings announcements, after controlling for unexpected earnings. The sign of the association depends on the sign of unexpected earnings. Specifically, in a regression of cumulative abnormal returns on unexpected earnings and firm size, the coefficient on firm size is negative for observations with positive unexpected earnings and is positive for observations with negative unexpected earnings. These results hold after adjusting returns for the firm size return effect. In the absence of an economic rationale for firm size per se to be priced in this manner, we draw on extant capital market literature to identify two potential explanations for the signed-size effect. Each suggests that firm size may be proxying for some misspecification of the relation between cumulative abnormal returns and unexpected earnings: measurement error in the researcher's proxy for unexpected earnings and constrained estimation of earnings response coefficients. The signed-size effect remains after incorporating numerous procedures to mitigate the influence of each of these misspecifications. We develop implications of ignoring the anomalous signed-size effect for studies investigating the association between cumulative abnormal returns and unexpected earnings. Studies affected are those that omit firm size (the estimated earnings response coefficient is biased upward), include firm size as a linear additive variable (the estimated coefficient on firm size is generally not interpretable), and include other variables correlated with firm size (their estimated coefficients are generally biased). Résumé. Plusieurs chercheurs ont démontré l'existence d'une relation significative entre la taille de l'entreprise et les rendements anormaux cumulatifs entourant les annonces de bénéfices trimestriels, compte tenu du contrôle des bénéfices inattendus. Le signe de cette relation (positif ou négatif) dépend de celui des bénéfices inattendus. En termes précis, dans une régression des rendements anormaux cumulatifs par rapport aux bénéfices inattendus à de la taille de l'entreprise, le coefficient relatif à la taille de l'entreprise est négatif pour les observations de bénéfices inattendus positifs, alors qu'il est positif pour les observations de bénéfices inattendus négatifs. Ces résultats persistent une fois les rendements ajustés pour tenir compte de l'incidence de la taille de l'entreprise. Faute de fondements économiques sur lesquels appuyer ce genre d'évaluation en fonction de la taille de l'entreprise en tant que telle, les auteurs ont puisé dans les écrits existants relatifs au marché des capitaux deux explications possibles de l'incidence positive ou négative de la taille: l'erreur de mesure de la variable substitutive des bénéfices inattendus utilisée par le chercheur et l'estimation restreinte des coefficients de réaction aux bénéfices. Dans un cas comme dans l'autre, il semble que la taille de l'entreprise puisse servir de substitut lorsque certaines définitions de la relation entre les rendements anormaux cumulatifs et les bénéfices inattendus sont erronées. L'incidence positive ou négative de la taille demeure après l'application de nombreux procédés visant à atténuer l'influence de chacune de ces erreurs de définition. Les auteurs cernent les conséquences que peut entraîner la négligence de l'incidence positive ou négative anormale de la taille, dans le cas d'études portant sur la relation entre les rendements anormaux cumulatifs et les bénéfices inattendus. Les études en cause sont celles dans lesquelles est omise la taille de l'entreprise (le coefficient de la réaction estimée aux bénéfices étant alors biaisé à la hausse), celles qui font intervenir la taille de l'entreprise à titre de variable additive linéaire (le coefficient estimé relatif à la taille de l'entreprise ne pouvant être interprété, de façon générale) et celles qui font intervenir d'autres variables en corrélation avec la taille de l'entreprise (leurs coefficients estimés étant, dans ce cas, habituellement faussés).  相似文献   

20.
Abstract. Valuation theory recognizes that the relation between earnings innovations and changes in security valuation is increasing in the persistence of the earnings innovations. Analyses in this article reveal that the present value of revisions in expected future benefits is a function of the length of revision horizon, suggesting that earnings persistence is determined, in part, by an entity's going-concern status. These analyses predict an inverse relation between earnings informativeness and an entity's probability of termination. Drawing on a sample of quarterly earnings and returns data from more than 1,500 distinct firms for the period 1981–1990, a statistically significant inverse relation is documented between an entity's probability of termination and the informativeness of earnings—the latter measured as the coefficient from a regression of returns on earnings. Further empirical analyses reveal that this result is a pervasive economic phenomenon not attributable to extreme conditions or other prevailing explanations of earnings informativeness. This inference is robust to variations in research design, including measurement of earnings informativeness and of termination probability and alternative specifications of the relation between returns and earnings. Consequently, the evidence in this article is consistent with a fundamental role for an entity's going-concern status in determining the usefulness of earnings. Résumé. La théorie de l'évaluation reconnaît le fait que la relation entre les nouvelles informations relatives au bénéfice net et les changements dans l'évaluation des titres s'intensifie lorsque persistent lesdites informations. Les analyses réalisées par les auteurs révèlent que la valeur actualisée des rajustements dans les gains futurs espérés dépend de l'horizon du rajustement, ce qui donne à penser que la persistance du bénéfice net est en partie fonction de la continuité de l'exploitation de l'entreprise. Selon ces analyses, le potentiel informatif du bénéfice net devrait être en relation inverse avec la probabilité de fermeture de l'entité. En s'appuyant sur un échantillon de données trimestrielles relatives au bénéfice net et au rendement recueillies auprès de plus de 1500 entreprises distinctes pour la période 1981–1990, les auteurs observent une relation inverse statistiquement significative entre la probabilité de fermeture d'une entité et le potentiel informatif du bénéfice—ce dernier étant mesuré sous forme de coefficient, au moyen d'une régression des rendements sur les bénéfices. D'autres analyses empiriques révèlent que cette conclusion est un phénomène économique répandu qui n'est pas attribuable à des conditions extrêmes ou à d'autres explications prédominantes du potentiel informatif du bénéfice net. Cette inference résiste aux variations dans le plan de recherche, y compris la mesure du potentiel informatif du bénéfice net et de la probabilité de fermeture, et les autres caractéristiques possibles de la relation entre le rendement et le bénéfice. Les résultats obtenus confirment donc que la continuité de l'exploitation joue un rôle fondamental dans la détermination de l'utilité du bénéfice net.  相似文献   

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