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1.
There is evidence that the politics of economic development in the post‐industrial city is increasingly bound up with the ability of urban elites to manage ecological impacts and environmental demands emanating from within and outside the urban area. More than simply a question of promoting quality of life in cities in response to interurban competition and pressures from local residents, the greening of the urban growth machine reflects changes in state rules and incentives structuring urban governance as part of an evolving geopolitics of nature and the environment. The adoption of principles and practices of ecological modernization potentially represents a dramatic shift in the social regulation of urban governance away from unconstrained neoliberalized modes. In this article we explore how different demands on and for urban environmental policy have played out vis‐à‐vis changing modes and practices of governance in two English post‐industrial cities. We explore differences in the ways that entrepreneurial urban regimes have sought to incorporate the green agenda (Leeds), or insulate themselves from ecological dissent (Manchester). We further attempt to conceptualize evolving urban economy‐environment relations in the UK in terms of an ensemble of governance practices, strategies, alliances and discourses that enables the local state to manage, though not necessarily resolve, seemingly conflicting economic, social and environmental demands at different scales of territoriality. Here we propose the notion of an ‘urban sustainability fix’ to describe the selective incorporation of ecological objectives in local territorial structures during an era of ecological modernization. Dans les villes post‐industrielles, la politique de développement économique semble liée de plus en plus étroitement à l'aptitude des élites urbaines à gérer les impacts écologiques et les exigences environnementales venus de l'intérieur et de l'extérieur. Au‐delà de la simple défense d'une qualité de vie en ville, répondant à la concurrence interurbaine et aux pressions des habitants, l'intégration de la cause Verte dans la machine de croissance urbaine reflète les nouvelles règles et mesures d'encouragement étatiques qui structurent la gouvernance des villes dans le cadre d'une géopolitique évolutive de la nature et de l'environnement. L'adoption de principes et pratiques de modernisation écologique pourrait traduire un revirement dans la régulation sociale de la gouvernance urbaine, en remplaçant la totale latitude des réponses néolibérales. L'article explore comment les demandes variées de et en politique urbaine d'environnement se sont exercées dans le contexte changeant des modalités et pratiques de gouvernance de deux villes post‐industrielles anglaises. Il s'intéresse aux différences de démarches qu'ont adoptées des régimes urbains ayant l'esprit d'entreprise pour incorporer le programme vert (Leeds) ou s'affranchir de la dissidence écologique (Manchester). De plus, il s'efforce de conceptualiser les relations évolutives économie‐environnement dans le cadre urbain britannique en tant qu'ensemble de pratiques de gouvernance, stratégies, alliances et discours permettant à l'État local de gérer (sans toujours les satisfaire) des exigences économiques, sociales et environnementales apparemment contradictoires, et ce aux différents échelons de territorialité. La notion de ‘solution de durabilité urbaine’ est proposée pour décrire l'intégration sélective d'objectifs écologiques dans les structures territoriales locales pendant une phase de modernisation écologique.  相似文献   

2.
La crise économique actuelle, et de là, le ralentissement ou la réduction de l'accumulation capitaliste a, bien sûr, conduit à de nouvelles tentatives pour augmenter l'exploitation de la classe ouvrière. La réussite ou l'échec de ces tentatives dépendra du degré de résistance qu' on leur opposera. Cet article examine un certain nombre de stratégies capitalistes possibles, ainsi que leurs faiblesses. Il s'attache tout particulièrement à l'existence d'une couche grandissante d'ouvriers sans emploi ou sous-employés, qui peuvent être largement exploités. Mais cette solution tend à accroître l'inadaptation sociale, en même temps qu'elle augmente fortement le fardeau de la Sécurité sociale, et à plus longue échéance, a des conséquences économiques douteuses. En conclusion, l'article rattache le récent accroissement de la lutte urbaine et régionale en Italie, à cette perspective plus vaste.  相似文献   

3.
Recent mobilization efforts to provide urban security in the American ‘War on Terrorism’ recall the expanding military–industrial complex during the nation’s preparations for the Cold War. This article suggests the current generation of American city leaders can learn much from history. Juxtaposing recent mobilization efforts alongside analogous episodes from the nation’s past reminds us that many powerful economic and political interests are well–served by the unbridled expansion of urban fear. This comparison raises important questions to be asked of current and future domestic urban security measures in the ‘War on Terrorism’. Les récents efforts de mobilisation visant à assurer une sécurité urbaine dans le cadre de la ‘guerre’ américaine contre le terrorisme évoquent le complexe militaro–industriel qui s’était développé pendant les préparatifs nationaux à la Guerre froide. La génération actuelle des dirigeants de villes américaines peut apprendre beaucoup de l’histoire. Juxtaposer ces récentes tentatives de mobilisation aux épisodes analogues du passé national rappelle que, pour beaucoup, les puissants intérêts économiques et politiques se nourrissent de l’essor incontrôlé des ‘peurs urbaines’. Cette comparaison suscite d’importantes interrogations quant aux mesures actuelles et futures en matière de sécurité intérieure urbaine dans le contexte de la ‘guerre contre le terrorisme’.  相似文献   

4.
This article retraces the emergence and shows the implications of current regulative frameworks in the field of urban drug policy. Framed by an analytical perspective that is based on the concept of urban governance, the article focuses on the processes by which cooperation and coordination between various conflicting governmental and non‐governmental agencies are achieved to address drug‐related problems in the major agglomerations of Switzerland, as well as in the metropolitan areas of Amsterdam, Glasgow and Frankfurt am Main. In the first part, it is shown that these problems are structured and debated along a conflict between advocates of the public‐health approach and those of the public‐order approach in the field of drug policy, as well as, to a lesser extent, a conflict between core cities and fringe municipalities about spillover effects related to the provision of services for users of illegal drugs. It is argued that this stems from a general tension between the goals of an attractiveness policy aimed at enhancing local economic development, and the necessities of social policy needed to address urban social problems. The second part examines the emergence of mechanisms of governance aimed at addressing drug‐related urban problems. It is argued that a ‘social public order’ regime emerged to regulate drug‐related urban problems, controlling urban practices of drug users by a combination of police and social work. In addition, it is held that in Switzerland, where social policy is traditionally confined to municipalities, these mechanisms of governance contributed to the emergence of metropolitan regions as new territorial actors in the field of drug policy. Cet article retrace l'apparition et les implications des cadres régulateurs actuels dans le domaine de la politique urbaine contre la drogue. Dans une perspective analytique fondée sur le concept de gouvernance urbaine, il s'attache aux processus qui permettent coopération et coordination entre divers organismes antagonistes, gouvernementaux ou non, pour traiter des problèmes liés à la drogue dans les principales agglomérations suisses, ainsi que dans les zones métropolitaines d'Amsterdam, Glasgow et Francfort‐sur‐le‐Main. La première partie démontre que ces questions sont organisées et discutées au sein d'une opposition entre partisans de l'approche de santé publique et ceux de l'ordre public en matière de politique de lutte contre la drogue, ainsi que, dans une moindre mesure, au sein d'un conflit entre les villes centrales et les municipalités satellites sur les retombées des services mis en place pour les consommateurs de drogues; cette situation résulte d'une tension globale entre les objectifs d'une politique d'attraction visant à favoriser le developpement économique local, et les nécessités d'une politique sociale obligée de traiter les problèmes urbains. La deuxième partie étudie l'émergence de mécanismes de gouvernance en réponse aux problèmes urbains liés à la drogue; ainsi, un régime ‘d'ordre public social’ a vu le jour, les pratiques urbaines des consommateurs de drogue étant sous le contrôle combiné de la police et des travailleurs sociaux. De plus, en Suisse où la politique sociale est par tradition du ressort des municipalités, certaines zones métropolitaines sont devenues, grâce à ces mécanismes de gouvernance, de nouveaux acteurs territoriaux de la politique publique de lutte contre la drogue.  相似文献   

5.
Drawing on evidence from the city of Brussels, it will be argued that much of today's urban governance discourses and practices contributes to anti‐urban ‘clichés of urban doom’ and betrays middle‐class, ethnocentric, sexist and racist prejudices about urban societies. Mainstream conceptions of urban problems and policies are modernist, white, patriarchal, heterosexual, nuclear family‐minded, middle‐class and suburban. Mainstream urban planning metaphors contribute to, instead of help to eliminate, sexist and racist urban politics. The uncritical use of concepts such as ‘polarization’, ‘exclusion’ or ‘poverty’ accords with the quest for urban purification by dominant groups in society, who seek to minimalize the urban experience of heterogeneity, otherness, diversity and urban unpredictability. The main contribution of this paper will be in trying to make clear how some key metaphors in contemporary urban planning disempower the already disempowered and in fact contribute to conservative urban politics, even when they are not intended to. Á partir du cas de Bruxelles, l'article démontre que les discours et pratiques actuels en matière de gouvernance urbaine participent, pour la plupart, aux clichés anti‐urbains sur ‘la ville en perdition’, tout en révélant des préjugés racistes, sexistes, ethnocentriques et bourgeois à l'égard des sociétés urbaines. Les principaux courants conceptuels des politiques et problèmes urbains sont de source moderniste, blanche, patriarcale, hétérosexuelle, favorable à la famille nucléaire, bourgeoise et suburbaine. Loin de s'en débarrasser, les grandes métaphores de l'urbanisme contribuent à une politique de la ville sexiste et raciste. L'utilisation sommaire de concepts tels que polarisation, exclusion ou pauvreté s'inscrit dans l'entreprise de purification urbaine des groupes sociétaux dominants qui cherchent à restreindre l'expérience d'hétérogénéité, de différence, de diversité et d'incertitude du cercle urbain. Cet article s'efforce surtout d'expliquer comment certaines images‐clés de l'urbanisme moderne privent de toute influence ceux qui n'en ont déjà aucune, et favorisent en fait une politique urbaine conservatrice, même involontairement.  相似文献   

6.
A quoi peut-on attribuer la crise fiscale qui engouffre une grande partie du c?ur urbain américain? Est-ce que cette crise et l'intensification de la lutte politique présagent des changements fondamentaux dans la structure de l'économie politique des Etats-Unis? Cet essai est une réponse tentative à ces questions. L'exposition de la crise fiscale urbaine aux Etats-Unis demande une analyse générale de la relation entre accumulation du capital, urbanisation, et expansion de l'état. Cette analyse doit ětre le fondement d'une exploration des origines particulières du financement urbain qui confronte beaucoup de villes centrales, ainsi que de la relation entre crise fiscale et lutte politique. Il est suggéré en dernière partie que la menace posée par la crise fiscale urbaine et la lutte politique envers la stabilité et la légitimité des institutions capitalistes américaines est la cause d'une réponse parmi les sections les plus éclairées de la classe capitaliste, qui tend vers un accroissement de leurs efforts à developper la Cité Capitaliste d'état en tant que noyau d'un complex socio-industriel grandissant.  相似文献   

7.
Cette analyse de l'urbanisation d'aprés-guerre en Afrique Occidentale est proposée comme un jalon pour l'économie politique de l'urbanisation dans le Tiers Monde. L'Afrique Occidentale est une des régions les moins urbanisées du monde qui cependant a récemment connu une urbanisation plus rapide que toute autre. Cette explosion urbaine est associée avec des inégalités sévères à trois niveaux:
  • 1 un déséquilibre profond dans les conditions de travail et de vie entre le secteur urbain et le secteur rural
  • 2 une forte concentration des ressources dans les capitales
  • 3 une énorme disparité économique à l'intérieur des villes entre les masses et une petit élite
Si l'urbanisation en Afrique Occidentale est caractérisée par ces inégalités, il apparait qu'elle entraîne aussi des pertes économiques. Deux approches suggèrent que l'allocation des ressources est loin d'ětre optimale pour la croissance économique. D'une part des ressources sont gaspillées dans le chǒmage et le sous-emploi urbain, dans la croissance des grands centres métropolitains, et dans la construction des ‘quartiers spontanés’. D'autre part la présupposition que la forme prise par l'urbanisation est le résultat d'une allocation optimale des ressources est mise en doute quand les facteurs qui affectent les paramètres économiques ou qui interferent directement avec les décisions d'investissement sont soumis à l'examen, et quand l'attention est dirigée sur le processus politique qui s'avère constamment dominé par les intérěts et les préoccupations d'un petit groupe de dirigeants.  相似文献   

8.
Cet article essaie d' examiner le rapport socio-culturel/politique entre l'etat et l'idéologie dominante et les nouvelles initiatives en Grande-Bretagne en matière de coopération ourvrière, notamment en ce qui concerne les femmes en situation urbaine. Il envisage les méthodes de récupération et d'interdiction d'une participation ouvrière active, et réciproquement, les conditions où la participation ouvrière change à son tour la politique de l'état et apporte des changements aux structures sociales imposées par une idéologie dominate. Il pose aussi des questions théoriques sur le fait de posséder des aptitudes, la connaissance, et l'efficacité de groupes coopératifs urbains travaillant à contre-courant de la culture dominante. De plus, au sein du cadre théorique qui entoure ces problèmes, il interroge le rapport qui existe actuellement entre la théorie universitaire et la pratique, son rapport avec les besoins de la grande masse de la population urbaine, et propose diverses formes de discussion dialectique entre ceux qui font l'expérience et ceux qui l'étudient-formes qui englobent et encouragent une pratique socialement transformatrice. Il essaie, particulièrement en ce qui concerne les femmes, de définir la façon dont la pratique coopérative, en ce qu'elle forme de nouvelles catégories et de nouveaux rapports sociaux, met en question le fondement des rôles intrasociaux que la plupart des femmes tiennent et les changements qui doivent suivre si les femmes sont appelées à jouir de la pleine participation au même titre que les hommes. The relationship between theory and practice are far more partial and fragmentary. … The relationship which holds in the application of theory is never one of resemblance. … No theory can develop without eventually encountering a wall and practice is necessary for the piercing of that wall. … A theorizing intellectual, for us, is no longer a subject, a representing or representative consciousness. … Those who act or struggle are no longer represented. Who speaks and who acts? It is always a multiplicity even within the person who speaks and acts … (Deleuze, G. in Foucault, 1977).  相似文献   

9.
L'Espagne se trouve à l'encontre de sévères problèmes urbains que le régime authoritaire ne peut résoudre. Au fǔr et à mesure que ce régime se désintère, de nouvelles revendications surgissent; mais en Espagne, contrairement au Portugale, ce sont des mouvements organisés qui réclament une nouvelle politique. Ces mouvements populaires sont fondés sur les quartiers (Barrios); cette communication s'addresse à leurs développement à Barcelone. Les mouvements urbains de cette ville ont évolués à partir d'une contestation d'issus d'envergure locale, à une qui s'addresse aux processus et planification de toute la ville. Un réseau de groupes a créé les moyens pour une renaissance d'une vie collective et démocratique. Le droit à un logement convenable, aux aménagements adéquats, au contrǒle sur l'industrie et la pollution, et à une suspension des rénovations urbaines, s'est fait valoir. Les moyens par lequels ces objectifs sont accomplis sont esquissés. Une critique de la planification implique celle de l'administration municipale. Divers genres de protestations ont eu lieu à différentes périodes dans l'évolution de cette critique. C'est maintenant que les mouvements communautaires, les analystes de l'urbain, et les nouveaux groupes politiques ont besoin de travailler ensemble afin développer un nouveau contexte pour le gouvernement municipal, à l'intérieur d'un programme socio-économique plus large. Dans n'importe quel système futur, les groupes des Barrios continueront de jouer un rǒle essentiel. Un mouvement vers une réforme municipale accompagnera vraisemblablement un changement social plus grand, surtout celui de la lutte pour l'autonomie Catalane.  相似文献   

10.
Le but de cette étude ect d'éclairer sous un autre jour la position des femmes en sociologie urbaine. Cette discussion va illustrer les directions dont on a tiré les analyses précédentes et l'effet qui s'ensuit sur la sociologie urbaine vis-à-vis des femmes. Tout d'abord, la présentation s'attache principalement à l'articulation de la politique des femmes au sein de l'expérience urbaine. Un exemple de ce développemcnt est l'émergence du mouvement de libération de la femme. On soutient que ce domaine constitue un sujet d'enquête valable en sociologie urbaine. De ce fait, des phénomènes liés à sa progression en tant que force sociale seront discutés. Finalement, l'étude d'un cas, (le ghetto lesbien) dans un contexte urbain précis, sera inclus.  相似文献   

11.
Cet article critique le point de vue avancé par certains groupes italiens, selon lequel la lutte urbaine se produirait dans un cadre distinct de celui des conflits au travail et possèderait un potentiel politique plus grand que ces derniers. La lutte urbaine a été au centre de la croissance du mouvement ouvrier dans l'Italie de l'après-guerre. L'article remonte ensuite aux racines historiques de ce phénomène et trouve une signification toute particulière dans la pérriode de la résistance anti-fasciste et dans la toute récente période historique. Cet exposé est illustré par une documentation d'actualité et par la discussion d'un grand éventail de cas de lutte urbaine. On y avance que le mouvement ouvrier (c'est à dire les partis officiels et les syndicats), ont donné à la lutte urbaine une perspective historique et une ampleur nationale, la transformant en un véritable mouvement et faisant d'elle le moteur de réformes.  相似文献   

12.
Domestic property and social class   总被引:1,自引:0,他引:1  
Cet exposé traite de l'importance des conséquences des différents modes d'occupation de logement, en ce qui concerne les rapports de classes. L'accent est mis précisément sur la Grande Bretagne où, environ 40% des ouvriers manuels possèdent maintenant leur propre maison, et où l'extension de l'occupation de l'habitation par le propriétaire a nettement contribué à accroitre les dividions sociales et politiques, au sein de la classe ouvrière. La question qui se pose, est de savoir si de telles divisions ont une base matérielle réelle, ou si elles sont principalement idéologiques. On voit que la réponse à cette question aura d'importantes conséquences pour l'organisation de luttes politiques autour de la question du logement. L'exposé débute par une discussion des perspectives wéberiennes et marxistes en matière d'occupation de logement et de rapports de classes. La perspective wébérienne, liée aux travaux de Rex et de Moore sur 'le logement par classes', est rejetée, quoique la possibilité de reformuler le concept du logement par classes, au sein d'une orientation wébérienne, soit mise en évidence. Le point de vue marxiste, qui rejette la possession du logement comme étant étrangère à l'identification des intérêts de classe, est également rejeté, sous prétexte que l'occupation de l'habitation par le propriétaire est un facteur crucial d'une augmentation réelles des richesses individuelles qui peuvent largement dépasser les économics que l'on peut faire sur les salaires de toute une vie. L 'exposé montre ensuite, comment la possession de sa maison va dans le sens d'une accumulation des richesses, et comment ceci crée une réelle division d'intérèt économique entre les propriétaires en jouissance et les locataires, fait qui se manifeste souvent dans les luttes politiques locales. La conclusion qui se dégage de ceci est que, les efforts des activistes locaux pour unifier les deux groupes en une alliance politique contre le capital monopole, peut sàvérer à la fois peu judicieux et nuisible à la productivité.  相似文献   

13.
La nouvelle sociologie urbaine, et sa contrepartie, l'%eAconomie politique du bien-être social ont attiré l'attention sur la consommation collective et/ou la reproduction. Néanmoins, en dépit des intéressantes analyses théoriques et empiriques que ces développements ont engendrées, ces deux éléments ont négligé le 'sens premier' de la reproduction. Ce récit d'un mouvement féministe contemporain que conteste la violence mâle en ce qu'elle est l'expression sauvage d'une forme de sexisme institutionnalisé, essaie de rétablir l'équilibre. Women's Aid (l'Aide aux Femmes), en tant que mouvement urbain qui a transcendé l'urbain, voire même la problématique des classes, est le plus puissant — et peut-être le dernier — dans le présent immédiat, de toute une série de mouvements sociaux qui, au cours de la dernière décennie, ont contesté l'état providence britannique. Les difficultés recontrées par le mouvement dans sa tentative pour se frayer un chemin entre la cooptation, la confrontation et le conflit réglementé par l'état, y sont discutées. Néanmoins, malgré les contradictions qui se sont à la fois développées autour de ce mouvement (Women's Aid) et ont bien failli l'engloutir, le mouvement s'exerce, de façon hésitante et inégale, à de nouveaux rapports sociaux non-sexistes. A présent, ce mouvement est rendu théoriquement invisible par les analyses du courant principal sur la reproduction, même lorsque les nouveaux analystes le soutiennent, à un niveau personnel et pratique. La conclusion de l'article suggère que le soutien pratique et la négligence théorique pourraient servir è exacerber les tendances réformistes du mouvement.  相似文献   

14.
Les thèmes d'authoritarisme bureaucratique servent à expliquer les changements dans l'organisation de la production au Brésil, et l'émergence en conséquence, de nouveaux groupes sociaux et relations de classes. Cet article trace l'impacte du développement économique au Brésil sur la croissance et l'organisation des populations urbaines. Les phases des contrôles sur l'importation qui étaient le véhicule pour l'industrialisation urbaine dépendaient d'un transfer du capital de l'agriculture à l'industrie, du consommateur au producteur, négocié à travers une politique de taux d'échanges et de protection commerciale et d'inflation. Ce développement était associé avec l'incorporation limité d'une classe ouvrière et urbaine croissante dans la structure émergeante de l'état. Cependant, l'éffondrement des contrôles sur l'importation et le développement de l'intervention de l'état et des investissements étrangers créerent le fondement de l'exclusion des revendications économiques et politiques des populations urbaines. Le raisonnement est que cette téchnocracie, produit de ces interventions et investissements, articula à la fois cette exclusion et son intérêt dans l'établissement et l'extension d'un contexte bureaucratique corporatif. Le résultat a été non seulement la suppression directe des revendications populaires, mais aussi l'exclusion de toute impulsion pour un nouveau model économique. Cet article termine en proposant qu'une analyse plus poussée devrait se concentrer plutôt sur les structures et processus organisationnels que sur les intérêts de rôles téchnocratiques particuliers.  相似文献   

15.
Berlin's reinstatement as the capital of Germany has raised great expectations of its transformation into a major economic centre of the European urban system. However, the city has not been able to fulfil these expectations. Today, Berlin is being hit by a financial crisis with dramatic consequences for the city's future development prospects. This article outlines the main outcomes of Berlin's socio‐economic restructuring in the 1990s: a tremendous loss of jobs in traditional industries has contributed to rising unemployment and the spread of urban poverty. The city has been a prime playground for speculative real estate investment, which has left behind a huge amount of unoccupied office space. On the other hand, new islands of economic growth have been developing in Berlin, particularly in knowledge‐intensive economic activities and the media industry. This development is related to the city's functioning as a highly attractive living place for the ‘creative class’ in Germany. At the same time, the city is an outstanding example of ‘worst practice’ urban governance, which has led to a financial crisis with truly catastrophic effects. The current financial consolidation policy may damage the prospects of Berlin's few growth sectors in the field of knowledge‐intensive economic activities. Le rétablissement de Berlin en capitale de l'Allemagne a suscité d'énormes attentes quant à sa transformation en centre économique majeur du réseau urbain européen, espoirs qui se sont révélés vains. Aujourd'hui, Berlin est frappée par une crise financière aux conséquences dramatiques pour les perspectives de développement de la ville. Cet article présente les principaux aboutissements de la restructuration socio‐économique de la capitale dans les années 1990: une terrible déperdition d'emplois dans les industries traditionnelles a nourri une progression du chômage et de la pauvreté urbaine; devenue terrain de jeu privilégié des spéculateurs immobiliers, la ville compte désormais une multitude d'espaces de bureaux inoccupés. En revanche, ont éclos des îlots de croissance économique, notamment dans les médias et les domaines où le savoir est important. Cette évolution tient au fonctionnement de la capitale comme lieu de vie particulièrement attrayant pour les ‘créatifs’ en Allemagne. Parallèlement, la ville constitue un remarquable cas de ‘pire pratique’ de gouvernance urbaine ayant amené une crise financière aux effets réellement catastrophiques; pour finir, la politique de consolidation financière actuelle va peut‐être entraver l'avenir des rares secteurs berlinois en expansion dans les sphères d'activités économiques demandeuses de savoir.  相似文献   

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A growing literature has examined the changing nature of urban political leadership in an era of economic globalization and increased pressures for fiscal austerity on governments. Based mostly on the experiences of the United States and Europe, this literature has emphasized the imperative of urban leaders to become increasingly entrepreneurial — to foster collaboration with private sector actors, to mobilize new sources of financing for urban development, and to develop innovative strategies for economic growth. This article examines this question in the very different context of the Extended Bangkok Metropolitan Region (EBMR) in Thailand. It argues that, in the context of rapidly urbanizing regions in Southeast Asia, these changes have in many contexts led to the emergence of businessmen‐cum‐politicians who exert both economic and political dominance in localities. Such figures have emerged as intermediaries in the process of industrialization and urbanization between national governments and people in localities, and play an important role in mobilizing land, labor and capital at the local level, and in fostering a political base for national economic development policy. The article illustrates this phenomenon with a case study from Chonburi, a rapidly industrializing province on the fringe of the EBMR. L'évolution de l'autorité politique urbaine, dans un cadre de mondialisation économique et de gouvernements en butte à des pressions d'austérité fiscale accrues, fait de plus en plus souvent l'objet d'études. Essentiellement basées sur les expériences américaines et européennes, celles‐ci soulignent l'impératif, pour les leaders urbains, de devenir des chefs d'entreprise encourageant la collaboration avec les acteurs du secteur privé, mobilisant de nouvelles sources de financement de l'expansion urbaine et élaborant des stratégies novatrices de croissance économique. L'article examine cette question dans le contexte très différent de la Métropole étendue de Bangkok en Thaïlande. Dans un environnement sud‐asiatique en urbanisation rapide, ce changement a fréquemment fait émerger des hommes politiques‐hommes d'affaires qui exercent une domination tant économique que politique dans les régions. Apparus en tant qu’intermédiaires dans le processus d'industrialisation et d'urbanisation (entre les gouvernement nationaux et les populations régionales), ces personnages jouent un rôle important dans la mobilisation du terrain, de la main‐d'?uvre et du capital en plan local, tout en favorisant un appui politique pour les stratégies de développement économique nationales. L'article illustre ce phénomène avec le cas de Chonburi, province en cours d'industrialisation rapide située aux confins de la Métropole étendue de Bangkok.  相似文献   

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The development of low‐income housing continues to be a political imperative and an urban reconstruction priority for the post‐apartheid South African state. But, even though policies for housing construction and delivery by the state are in place, in practice many homeless families initiate, direct and drive the process through which they secure state‐provided housing. I analyse in this study two such cases where homeless residents in peripherally located, poor areas of the Cape Metropolitan Area successfully accessed state‐provided housing. In both instances, homeless families organized around the different sets of capacities that structured the nature of the linkages that each forged to resources outside of their respective areas, and thus the ways in which they pursued their need for housing. I argue in this study that uneven and place‐specific, community‐based capacity often directs the manner in which communities interpret, interface with and access state‐run urban reconstruction projects such as housing provision. An analysis of community‐based capacity thus proves useful to investigate the potential and the problems that underlie state initiatives for development and the manner in which communities participate and engage with urban reconstruction and development. L'expansion du logement social reste un impératif politique et une priorité de la reconstruction urbaine pour l'État sud‐africain de l'après‐apartheid. Des politiques de construction et de fourniture de logements par l'État ont été mises en place mais, en pratique, de nombreuses familles sans‐domicile induisent, orientent et mènent le processus par lequel elles s'assurent un logement public. Cette étude analyse deux de ces cas dans lesquels des sans‐domicile vivant dans des quartiers pauvres à la périphérie de la zone métropolitaine du Cap ont réussi à se loger. Dans les deux situations, les familles se sont organisées autour des capacités spécifiques qui structuraient la nature des liens établis pour trouver des ressources hors de leurs quartiers respectifs, définissant ainsi leurs modalités d'action pour obtenir un logement. L'étude démontre qu'une capacité inégale, particulière à un lieu et à un groupe, oriente souvent la manière dont les communautés interprètent, interagissent avec et accèdent aux projets de reconstruction urbaine menés par l'État tels que la fourniture de logement. Il apparaît donc utile d'analyser la capacité propre à une communauté, si l'on veut déterminer non seulement le potentiel et les problèmes fondamentaux des initiatives gouvernementales de développement, mais aussi la manière dont les communautés participent et contribuent à la reconstruction et à l'aménagement urbains.  相似文献   

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Get article commence en mettant l'accent sur le débat entre Lojkine et Poulantzas pour identifier les divergences (ainsi que certaines convergences) au sein de la théorie politique marxiste. Ceci permet de passer à un examen critique de deux études récentes majeures sur la politique urbaine en France partant d'une perspective marxiste—celles de Lojkine et de Biarez et al. II est montré que les points forts et les points faibles de ces études concrétes relévent des démarches théoriques qu'elles adoptent. La mise au jour de ces points est destiné à développer les études subséquentes dans ce domaine.  相似文献   

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This article is a reaction to the rapid changes many urban areas are undertaking in attempts to counter the contemporary terrorist threat since the devastating events of September 11th. The response of central London authorities both pre‐ and post‐ September 11th is used as the lens through which to view attempts to reduce the real and perceived threat of terrorist attack through the adoption of territorial approaches to security, both physical and technological, which are increasingly being utilized at ever‐expanding spatial scales. It argues that this situation all too often produces a scenario of ‘splintered urbanism’ as security rings are thrown up around carefully selected sections of cities deemed most at risk. It further argues for a balance to be struck between competing concerns for freedom of access, mobility and other democratic freedoms, and the need for cities to adopt increasingly militarized security perspectives in their counter‐terrorism efforts. Cet article présente une réaction aux rapides changements que de nombreuses zones urbaines entreprennent afin de contrer la menace terroriste actuelle depuis les ravages du 11 septembre. La réponse des autorités du centre de Londres, à la fois avant et après cette date, sert ainsi de loupe permettant d'observer les efforts de minimisation de cette menace d'agression, tant subjective que réelle. Il s'agit de démarches territoriales à l'égard de la sécurité (matérielle et technologique) appliquées de plus en plus souvent à des échelles spatiales sans cesse élargies. De cette situation, naît trop souvent un scénario ‘d'urbanisme fragmenté’, les anneaux de sécuritéétant jetés autour de portions soigneusement sélectionnées de villes jugées le plus en danger. L'article défend la nécessité de trouver un équilibre entre les préoccupations opposées que sont les liberté d'accès, mobilité ou autres libertés démocratiques et le besoin des villes d'adopter des perspectives sécuritaires de plus en plus militarisées dans leurs tentatives contre le terrorisme.  相似文献   

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