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The Midterm Review and the New Challenges for EU Agriculture The Brussels Summit agreement of October 2002 on the financing of the CAP opens the way for a final agreement on enlargement and defines the level of the agricultural budget for the next financial perspective. Answering the how much question allows the debate to focus on the how question of support for EU agriculture. To these questions the Commission had responded with its Midterm Review of July 2002. Although proposals will have to be adapted in view of the new financial perspective, the fundamental issues addressed in the Midterm Review remain unchanged as these reflect the gradual shift from supply driven to demand driven orientations for the CAR The citizens of the EU seem to agree that EU agriculture should, at the same time, be competitive and promote the highest environmental, product quality and animal welfare standards. This apparent paradox implies, on the one hand, the need for lower prices and, on the other hand, higher production costs. To resolve this dilemma the underlying philosophy of the Midterm Review is to shift the policy debate onto the efficiency of the available policy instruments in meeting their stated objectives. Thus the need for safety‐net market support, decoupled income support and strengthened rural development. La revue à mi parcours et les nouveaux défis de l'agriculture européenne Grâce à l'accord obtenu sur le financement de la PAC au sommet de Bruxelles d'octobre 2002, la voie est maintenant ouverte à un accord final sur l‘élargissement et sur la définition du budget agricole pour les prochaines échéances. Répondre à la question “à quel niveau” permet au débat de se centrer sur le “comment” soutenir l'agriculture européenne. La commission a donné sa réponse à ces questions dans sa “revue à mi‐parcours”. Même si les propositions en question devront faire l'objet d'ajustements aux nouvelles perspectives budgétaires, les problèmes fondamentaux posés par la revue à mi‐parcours demeurent, dans la mesure où elles reflètent le passage graduel d'un pilotage de PAC par l'offre à un pilotage par la demande. Les citoyens de l'UE semblent d'accord pour dire que l'agriculture doit être à la fois compétitive, et obtenir les plus hauts standards possibles en matière de qualité et de bien‐être animal. Ce paradoxe apparent implique d'un côté, des prix plus bas, et de l'autre, des coûts de production plus élevés. Pour résoudre ce conflit, la philosophie sous‐jacente à la “revue à mi‐parcours” consiste à faire glisser le débat politique sur la question de l'efficacité des instruments disponibles et de leur aptitude à atteindre les objectifs ainsi fixés. D'où le besoin d'un filet de sécurité sur les marchés, d'un soutien découplé pour les revenus et d'un renforcement du développement rural. Die Zwischenbewertung und die neuen Herausforderungen an die Landwirtschaft der EU Das Abkommen vom Brüsseler Gipfel im Oktober 2002 zur Finanzierung der GAP eröffnet die Möglichkeit einer endgültigen Einigung im Hinblick auf die Erweiterung und legt die Höhe des Agrarhaushalts für die kommende Finanzplanungsperiode fest. Durch die Festlegung kann sich die Debatte nun der Frage widmen, auf welche Art und Weise die Landwirtschaft der EU unterstützt werden soil. Diesen beiden Aspekten hatte die Kommission in der Zwischenbewertung vom Juli 2002 Rechnung getragen. Obwohl die Vorschläge angesichts der neuen Finanzplanungsperiode angepasst werden müssen, bleiben die grundlegenden, in der Zwischenbewertung angesprochenen Probleme bestehen, da diese den schrittweisen Übergang der GAP von der Angebotsorientierung hin zur Nachfrageorientierung widerspiegeln. Die EU‐Bürger stimmen scheinbar darin überein, dass die Landwirtschaft der EU gleichermaßen wettbewerbsfähig sein und die höchsten Standards im Hinblick auf die Umwelt, die Produktqualität und den Tierschutz erreichen sollte. Dieser offenkundige Widerspruch erfordert einerseits niedrigere Preise und zieht andererseits höhere Produktionskosten nach sich. Zur Auflösung dieses Dilemmas sieht es der der Zwischenbewertung zugrunde liegende Ansatz vor, den Fokus der politischen Debatte darauf zu richten, wie effizient die verfügbaren Politikmaßnahmen zum Erreichen der Zielsetzung beitragen. Daraus ergibt sich die Notwendigkeit für eine Marktstützung als Sicherheitsnetz, für eine entkoppelte Einkommensstützung und für eine intensivere Entwicklung des ländlichen Raums.  相似文献   

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Grocery Retailing in Europe and Emerging Routes to the Consumer   总被引:1,自引:0,他引:1  
Grocery Retailing in Europe and Emerging Routes to the Consumer The structure of grocery retailing in Europe has changed substantially over the past twenty years as companies seek growth opportunities outside their mature and largely static markets. A cadre of global retailers is emerging, with European‐owned companies well represented in the front ranks. The evolving wants of European consumers will determine how, when, and in what form food products are purchased in the EU. The traditional supermarket format will not necessarily meet the future (even, present) requirements of many of these consumers. Time‐constrained shoppers will seek alternatives to retail parks inconveniently located on the outskirts of towns, where, in the drive for continually lower food prices, shopper services are reduced. As the relative importance of price of food products declines, and other non‐price quality attributes increase in importance, there will be welcome market opportunities for relatively high cost, although strongly value‐driven, EU primary producers and food processors. The highest value and most loyal markets will be within the EU. There is a double challenge. Firstly for farmers and their marketing organisations to shift their commercial ethos from a production‐driven to a market‐driven orientation. Secondly for EU policy makers to introduce programmes which promote a transformation of the agricultural and food industry to one that can compete internationally in expanding high value markets. Le commerce alimentaire de détail en Europe et les nouveaux modes d'approche du consommateur La structure du commerce de détail alimentaire en Europe a enormément changé ces vingt dernières années, car les entreprises recherchent des opportunités de croissance en dehors de leurs propres marchés, arrivés à maturité et souvent statiques. La distribution de niveau mondial se structure, et les entreprises européennes sont bien représentées aux premiers rangs de ce mouvement. L'évolution des besoins des consommateurs européens déterminera comment, quand et sous quelle forme les produits alimentaires seront achetés dans l'Union Européenne. Le concept traditionnel de supermarché ne répondra pas nécessairement aux exigences futures (et même présentes) de nombre de ces consommateurs. Les acheteurs contraints par le temps chercheront des alternatives aux implantations du commerce de détail situées de façon peu pratique à la périphéric des villes et où, à la recherche de prix alimentaires toujours plus bas, les services offerts à l'acheteur sont réduits. Au fur et à mesure que diminue l'importance relative du prix des produits alimentaires et que d'autres attributs de qualité hors coût prennent de l'importance, il y aura de la place pour des marchés approvisionnés par des producteurs et des industriels de l'alimentation très intéressës par une production de haute valeur ajoutée, même si elle est obtenue à des coûts relativement élevés. Les marchés les plus loyaux et assurant la valeur ajoutée la plus forte se trouveront dans l'Union Européenne. Un double défi est à relever. D'abord les agriculteurs et leurs organisations de vente devront réviser leur approche du commerce pour passer d'une conception où la production joue le rôle moteur à une orientation stimulée par le marché. Deuxièmement, les responsables des politiques européennes devront substituer aux programmes d'aide à la transformation du complexe agroalimentaire une politique qui lui permette d'être concurrentiel sur les marchés mondiaux à haute valeur ajoutée qui sont en expansion. Lebensmitteleinzelhandel in Europa und neue Wege zum Verbraucher Die Struktur des Lebensmitteleinzelhandels hat sich in den vergangenen 20 Jahren in Europa beträchtlich verändert, da sich die Unternehmen nach Wachstumsmöglichkeiten außerhalb ihrer ausgereiften und zum größten Teil statischen Märkte umsehen. Ein Kader internationaler Einzelhändler hat sich herausgebildet, in dem europäische Unternehmen in erster Reihe vertreten sind. Die immer höheren Ansprüche europäischer Verbraucher entscheiden darüber, auf welche Art und Weise, zu welchem Zeitpunkt und in welcher Form Nahrungsmittel in der EU abgesetzt werden. Der Supermarkt in seiner traditionellen Form wird nicht notwendigerweise die zukünftigen (oder gar gegenwärtigen) Bedürfnisse vieler Verbraucher erfüllen. Die Verbraucher werden Alternativen zu den zeitraubenden Einkaufszentren suchen, welche ungünstig am Rande der Stadt liegen und wo mit den permanent sinkenden Lebensmittelpreisen ebenfalls die Serviceleistungen zurückgehen. Da die relative Bedeutung der Lebensmittelpreise abnimmt und weitere, nicht am Preis orientierte Qualitätsmerkmale an Bedeutung gewinnen, bestehen gute Chancen auf dem Markt für die Primärerzeuger und Nahrungsmittelverarbeiter in der EU, welche zu relativ hohen Kosten ‐ jedoch wertorientiert ‐ produzieren. Die hochwertigsten und zuverlässigsten Märkte beflnden sich innerhalb der EU. Dies stellt eine zweifache Herausforderung dar: Erstens sollten Landwirte und ihre Vermarktungsorganisationen von einer produktionsorientierten zu einer marktorientierten Einstellung gelangen. Zweitens sollten die Polltikakteure in der EU Programme einführen, welche die Umwandlung der Agrar‐ und Ernährungsindustrie in einen international wettbewerbsfähigen Wirtschaftszweig in Bezug auf die Ausweitung hochwertiger Märkte fördern.  相似文献   

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‘Integrate’ Rural Development Policy in the EU: a Term Too Far? Since its introduction in the early 1980s for Mediterranean and some other regions, an ‘integrated’ approach to EU rural development policy has come to-be increasingly advocated. However, the precise meaning of the term is seldom made clear in official and other documents, which appear to have applied it in a variety of contexts and in a number of different ways, This article discusses and analyses some alternative interpretations of ‘integrated’ rural development policy, including considerations of finance (funding from more than one source), administration (policy design, approval, monitoring and evaluation being undertaken by a single agency), institutions (responsibility and coordination being shared between different departments and agencies) and the economics of efficiency (better balancing of costs and benefits, and the encouragement of desired complementarities). These different meanings may explain some of the confusion in the long-running debate over rural policy in the EU, and suggest the need for more careful language. However, the arguments do endorse the apparent direction of thinking at the November 2003 Salzburg conference on rural development, i.e. that improved policy will result from better defined objectives, a single EU fund for rural development, and territorial programming at a local or regional level. Les politiques européennes de développement rural ‘intégré’:un mot de trop? Depuis l'introduction de ce vocable, au début des années 80, à propos, entre autres, des régions méditerranéennes, il est de plus en plus courant d'entendre vanter les mérites d'une approche ‘intégrée’ des politiques de développement rural. Pourtant, la signification précise de ce terme n'est que rarement explicitée, que ce soit dans les documents officiels ou dans d'autres. Le mot semble avoir été appliquéà de nombreuses situations différentes et de toutes sortes de façons. On essaie id d'analyser les différentes interprétations qu'il est possible de donner à la notion d'intégration des politiques de développement rural, que ce soit en termes de financement (utilisation de plus d'une seule source de financement), d'administration (l'élaboration des politiques, la décision, le suivi, et l'évaluation se trouvant sous la responsabilité d'une agence unique), destitutions (partage des responsabilités et des tâches de coordination entre différents départements ministériels ou agences d'exécution), ou d'efficacitééconomique (meilleur équilibre entre les bénéfices et les coûts, souci de créer des complérnentarités). La polysémie du mot semble expliquer la confusion qui entoure depuis longtemps le débat sur la politique rurale dans l'Union européenne et cela implique la nécessité d'employer un langage plus précis. Aussi bien, ce point correspond à la ligne générale de pensée qui s'est manifestéà la conférence de Salzbourg en novembre 2003 sur le développement rural: pour améliorer la politique, il faut que ses objectifs soient mieux définis, qu'il existe un seul fonds européen pour le développement rural, et que la planification territoriale se fasse au niveau local ou régional. ‘Integrierte’ Politik zur Entwicklung des ländlichen Raums in der EU: Ein zu weit gefasster Begriff? Seitdem der integerierte Ansatz für die Politik zur Entwicklung des ländlichen Raums der EU in den frühen 1980er Jahren für den Mittelmeerraum und andere Regionen eingeführt wurde, wird er zunehmend befürwortet. Die Definition dieses Begriffs geht jedoch selten eindeutig aus amtlichen und anderen Dokumenten hervor, welche diesen Begriff scheinbar auf die verschiedensten Arten und in vielfaltigen Kontexten verwenden. In diesem Beitrag werden einige Alternativen hinsichtlich der Auslegung des Begriffs der “integrierten” Politik zur Entwicklung des ländlichen Raums diskutiert und analysiert. Hierbei werden Finanzierung (Finanzierung aus mehreren Quellen), Verwaltung (Politikentwurf, Zustimmung, Überwachung und Evaluierung durch eine einzige Agentur), Institutionen (gemeinschaftliche Verantwortung und Koordination von verschiedenen Abteilungen und Geschäftsstellen) und Effizienz (verbessertes Abwägen von Kosten und Nutzen sowie Förderung erwünschter Komplementaritäten) behandelt. Diese unterschiedlichen Begriffsinhalte sind möglicherweise ein Grund für die Verwirrung in der seit langem geführten Debatte zur ländlichen Politik in der EU und lassen eine umsichtigere Sprachwahl sinnvoll erscheinen. Die Argumente untermauern jedoch die vorherrschende Meinung auf der Salzburger Konferenz zur Entwicklung des ländlichen Raums im November 2003, d.h. dass klarer definierte Ziele, ein einziger EU-Fonds für die Entwicklung des ländlichen Raums sowie territoriale Programmentwicklung auf lokaler oder regionaler Ebene zu einer verbesserten Politik führen.  相似文献   

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FADN: Buttress for Farm Policy or a Resource for Economic Analysis? We argue that the Farm Accountancy Data Network (FADN) is capable of much more than it currently achieves and that it has been greatly under‐utilised for policy analysis by economic researchers. We illustrate graphically some of the wider possibilities offered by FADN beyond its traditional role as a buttress for farm policy Farm incomes differ enormously between farms and differences within a member state are often more important than differences between member states. The dataset allows us to make differences explicit. It is possible to analyse the composition of farm incomes, for example the significance of subsidies amongst different farm types and farming systems. Some national FADN datasets also permit classification of farm households according to the relative importance of farm and non‐farm incomes and allow us to examine the impact of income composition on, for example, investment behaviour, FADN data can be used for ex‐ante as well as ex‐post policy evaluations and we illustrate with an example of the impact of different models for implementing the Single Farm Payment in Germany. We believe that certain enhancements to the dataset are possible to improve further its potential for research support, for example by including more non‐agricultural income sources in the European FADN. Le RICA:instrument d'appui à la politique agricole, ou ressource pour l'analyse économique? Le réseau d'informations comptables agricoles (RICA) dispose d'un potentiel très supérieur à son usage actuel et il est fortement sous‐utilisé par les chercheurs qui s'intéressent à l'analyse économique des politiques agricoles. On illustre ici, à l' aide de quelques graphiques, quelques‐unes des possibilityés d'élargissement de l'usage du RICAau‐delà de son rôle habituel d'appui à la politique agricole. Les revenus agricoles different fortement d'une exploitation à l'autre et les disparités intra‐Etats membres sont souvent plus importantes que les disparités inter‐Etat Le RICA permet de visualiser ces différences. Il est possible d'analyser la formation du revenu agricole, par exemple le rôle des subventions d'un système de production ou d'un type d'exploitation à l'autre. Pour certains pays, il est possible de trier les ménages agricoles en fonction de l'importance de leurs revenus non agricoles, ce qui permet par exemple l'étude des relations entre revenus extérieurs et investissements. Les données du RICA peuvent être utilisées ex ante pour prévoir les conséquences d'une mesure politique ou ex post pour en évaluer les effets. Ce point est illustré par un exemple qui consiste àétudier l'impact des effets du ‘paiement unique’ sur différentes exploitations types en Allemagne. Il devrait être possible d'ajouter des améliorations supplémentaires au stock de données existantes pour le rendre encore plus utile à la recherche, en particulier en incluant systématiquement les relevés de revenus non agricoles dans le RICA européen. INLB: Stützpfeiler der Landwirtschaftspolitik oder Ressource für wirtschaftliche Analysen? Wir vertreten den Standpunkt, dass das Informationsnetz landwirtschaftlicher Buchführungen (INLB) weit mehr als zur Zeit zu leisten vermag und dass Wirtschaftsforseher es für Politikanalysen nur unzureichend genutzt haben. Wir erläutern mit Hilfe von Grafiken einige der weiteren Möglichkeiten von INLB, die über die traditionelle Rolle als Stützpfeiler der Landwirtschaftspolitik hinaus gehen. Die landwirtschaftlichen Einkomrnen variieren sehr von Betrieb zu Betrieb, und Unterschiede innerhalb eines Mitgliedstaates sind oftmals von größerer Bedeutung als Unterschiede zwischen den Mitgliedstaaten. Der Datensatz ermöglicht es uns, diese Unterschiede zu verdeutlichen. Es ist möglich, die Zusammensetzung der landwirtschaftlichen Einkomrnen zu analysieren, beispielsweise die Bedeutsamkeit von Subventionen zwischen verschiedenen Betriebstypen und ‐systemen. Einige nationale INLB‐Datensätze ermöglichen es uns zudem, landwirtschaftliche Haushalte gemäß der relativen Bedeutung von landwirtschaftlichen und außerlandwirtschaftlichen Einkomrnen zu klassifizieren, und die Auswirkungen der Zusammensetzung der Einkomrnen beispielsweise auf das Investitionsverhalten zu untersuchen. Die INLB‐Datensätze können sowohl ex‐ante als auch ex‐post für Politikbewertungen herangezogen werden, und dies erläutern wir anhand des Beispiels, welches die Auswirkungen verschiedener Alternativen bei der Umsetzung der einheitlichen Betriebsprämie in Deutschland darstellt. Wir sind der Auffassung, dass bestimmte Verbesserungen am Datensatz möglich sind, um das Potenzial des INLB zur Unterstützung von Forschungsarbeiten weiterzu verbessern, beispielsweise durch die Aufnahme weiterer außerlandwirtschaftlicher Einkommensquellen in das europäische INLB.  相似文献   

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Agriculture and the WTO: time to reconsider the basics? Late 19th century industrial developments generated oversupply in agricultural markets. Free market adjustment proved difficult and many European countries introduced protection. When agricultural prices fell again in the 1930s, all other western countries followed, making international regulation of agricultural trade an urgent matter. Under the New Deal, the USDA moved to a commodity agreements approach via the GATT. Both the US and the EU, however, failed to introduce the required production controls and engaged in increased dumping. When expanded output in the EU led to competitive dumping in grain markets, the US changed its strategy and got an agreement in the Uruguay Round that prescribed reductions in price supports but exempted certain direct payments. Thereupon both blocks substituted direct payments for price supports in ways that allowed them to maintain large exports at prices below their own production costs. In the Doha Round, they are negotiating a further shift in this direction. Developing countries call this disguised dumping. Besides, many least developed countries claim the right to protect their own farmers against cheap imports. They need an agricultural revolution to accommodate population growth and get non‐farm development moving, but low world market prices hamper investment in farming. Redressing this problem and securing long‐term global food security require a balanced system of managed trade rather than the pseudo‐liberalisation that the US and the EU pursue. Agriculture et OMC: et si on revenait aux sources ? A la fin du 19ème siècle, le développement industriel a engendré des surproductions sur les marchés agricoles. Les régulations par le marché se sont révélées difficiles et de nombreux pays européens en sont venus au protectionnisme. Dans les années 30, les prix agricoles se sont à nouveau effondrés, ce qui a conduit à considérer la régulation internationale du commerce comme une affaire importante. Le ‘New Deal’ conduisit I'USDA à s'engager dans un système ?accorcl par produits dans le cadre du GATT. Cependant, ni les Etats‐Unis ni ?Europe ne parvinrent à introduire les contrôles de la production qui auraient été nécessaires. Tous deux s'engagèrent dans des actions de dumping sans cesse plus importantes. Lorsque ?accroissement de la production en Europe conduisit à une concurrence sur les dumpings cérealiers, les Etats‐Unis changérent de stratégic et obtinrent, dans le cadre de ?Uruguay Round, un accord obligeant à réduire les soutiens de prix, tout en autorisant certains paiements directs. De ce fait, les deux blocs remplacèrent les soutiens de prix par des paiements directs, de manière à conserver la possibilityé?exporter de grandes quantités à des prix inférieurs aux coûts de production internes. Dans les négotiations du Doha Round, ils se sont engagés encore plus loin dans cette direction. Les pays en voie de développement appellent cela du dumping déguisé. Beaucoup des moins développés ?entre eux réclament le droit de protéger leurs propres agriculteurs contre les importations à prix de braderie. Ils ont besoin ?une révolution agricole pour faire face à la croissance démographique et déclencher le développement en dehors de ?agriculture, mais les faibles prix internationaux des produits agricoles les empêchent ?investir dans ?agriculture. Pour résoudre ce probléme et garantir à long terme la sécurité alimentaire mondiale, il faudrait trouver un système équilibré de commerce contrôlé, au lieu de la pseudo libéralisation recherchée par les Etats‐Unis et ?Europe. Landwirtschaft und WTO: Ist es an der Zeit, die Grundprinzipien zu überdenken? Die Industrialisierung im späten 19. Jahrhundert hat zu einer Überschussproduktion in der Landwirtschaft geführt. Die Anpassung an die Marktkräfte erwies sich als schwierig, und viele europäische Länder führten eine Agrarprotektion ein. Als die Agrarpreise in den dreiβiger Jahren des vorigen Jahrhunderts wieder fielen, gingen alle westlichen Länder zur Agrarprotektion über und machten damit eine internationale Regelungen des Agrarhandels zu einer dringenden Angelegenheit. Das US Landwirtschaftsministerium führte unter der neuen Regelung des GATT Warenabkommen ein. Sowohl die USA als auch die EU versäumten es jedoch, Angebotsbeschränkungen einzuführen; stattdessen subventionierten sie die Ausfuhren. Als die gestiegenen Exporte der EU zu einem Subventionswettbewerb im Getreidehandel führten, anderten die USA ihre Strategic‐ Sie erreichten in der Uruguay‐Runde, dass Preisstützungsmaβnahmen reduziert werden mussten, dass aber einige Formen von Direktzahlungen weiterhin erlaubt wurden. Als Folge der Vereinbarung haben beide Parteien Preisstützung durch Direktzahlungen ersetzt und es dadurch ermöglicht, dass groβe Mengen zu Preisen exportiert werden konnten, die unter den Produktionskosten liegen. In der Doha‐Runde verhandeln die Parteien in der gleichen Richtung. Entwicklungsländer nennen dieses verstecktes Dumping. Auβerdem verlangen viele am wenigsten entwickelte Länder, ihre Landwirtschaft gegen Billigimporte auch stützen zu dürfen. Diese Länder benötigen eine landwirtschaftliche Revolution, um das Bevölkerungswachstum zu verkraften und die nicht landwirtschaftliche Entwicklung zu fördern. Niedrige Weltmarktpreise dämpfen landwirtschaftliche Investitionen. Eine Berücksichtigung dieses Problems und die Sicherung der globalen Nahrungsmittelversorgung erfordern ein ausgewogenes System von administriertem Handel und nicht den Pseudo‐Liberalismus den die USA und die EU verfolgen.  相似文献   

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Governance of the Common Agricultural Policy in the New Member States The Enlargement of the EU will have significant implications for the governance of the Common Agricultural Policy (CAP). The evolution of the CAP has led to permanent increases in the intensity of regulation, although rates of external protection have declined. Past experience - mainly revealed by the European Court of Auditors - has evidenced many irregularities and even fraud as by-products of the CAR Governance problems are due to badly designed policies, which demand control at the individual farm level. In consequence, incentives might arise for member countries, for administrative regions – which are supposed to implement the policies at the local level – and for individual farms to breach the rules. These problems are likely to increase in the enlarged EU. Recent attempts to measure standards of governance reveal that the average score for the enlarged Union will be lower than it was in the old EU-15. Perceptions of the control of corruption and of the effectiveness of government differ most between old and New Member States. The latter have weaker administrative capacities and are therefore more susceptible to fraud than the old EU. Adequate policy reaction should lead to fundamental changes in the CAP towards less challenging policy measures in terms of governance. Politique agricole commune et gouvernances dans les nouveaux Etats members L'élargissement de l'UE ne sera pas sans conséquences pour la gouvernance de la politique agricole commune (PAC). Méme avec un taux de protection externe en déclin, l'évolution de la PAC s'est traduite par un accroissement constant de la réglernentation. L'éxperience montre que l'un des sous-produits de la PAC se trouve être l'existence de nombreuses irrégularités et de fraudes - la plupart du temps révélées par la Cour des comptes européenne -. Ces problemes sont la conséquence de politiques mal conçues, qui requiérent des contrôles individuels au niveau de chaque exploitation. La conséquence en est que les pays membres, les régions (qui sont supposeées appliquer la PAC au niveau local) et les agriculteurs individuels ont intérêt a enfreindre les régies. Ces difficultés ont toutes les chances de s'aggraver dans l'Europe élargie. Les essais récemment effectués pour mesurer la capacityé de gouvernance ont montré que le score moyen en la matiére pour l'Europe élargie sera inférieur à ce qu'il était dans l'Europe à 15- Dans les anciens Etats membres, la culture en matiére d'efficacité administrative et de lutte contre la corruption est bien différente de ce qu'elle est dans les nouveaux pays. Ces derniers ont moins de capacityé administrative et sont done plus vulnérables à la fraude que l'ancienne UE. La réaction politique la plus adéquate devrait être une modification radicale de la PAC, pour réduire ses exigences en termes de bonne gouvernance. Durchfuhrung der Gemeinsamen Agrarpolitjk in den neuen Mitgliedstaaten Die EU-Erweiterung wird sich bedeutend auf die Durchführung der Gemeinsamen Agrarpolitik (GAP) auswirken. Die Entwicklung der GAP führte zu einem stetigen Anstieg der Verordnungsintensität, obwohl die externen Protektionsraten zurückgegangen sind. Die Erfahrungen aus der Vergangenheit haben zahlreiche Unregelmäßigkeiten und sogar Betrug als Nebenprodukte der GAP nachgewiesen, was hauptsächlich vom Europäischen Rechnungshof aufgedeckt wurde. Probleme bei der Governance sind auf schlecht konzipierte Politikmaßnahmen zurückzuführen, welche eine Kontrolle auf der Ebene des einzelnen Landwirtschaftsbetriebs erfordern. Für Mitgliedstaaten, für Verwaltungsregionen, deren Aufgabe es ist, die Politikmaßnahmen auf lokaler Ebene zu implementieren, und für einzelne Landwirtschaftsbetriebe könnte sich daher der Anreiz ergeben, gegen die Regeln zu verstoßen. Diese Probleme werden in der erweiterten EU wahrscheinlich zunehmen. Neuere Ansätze, die Standards im Bereich der Durchführung zu messen, ergaben, dass das durchschnittliche Ergebnis für die erweiterte EU unter dem Ergebnis fur die alte EU 15 liegt. Im Hinblick auf die Korruptionskontrolle und die Regierungseffektivität ergaben sich fur die alten und die neuen Mitgliedstaaten sehr unterschiedliche Beobachtungen. Die neuen Mitgliedstaaten weisen schwächere Kapazitäten in der Verwaltung auf und sind daher anfälliger für Betrug als die alte EU. Die Politik sollte angemessen darauf reagieren und grundlegende Änderungen in der GAP vornehmen hin zu Politikmaßnahmen, die in Sachen Durchführung geringere Herausforderungen darstellen.  相似文献   

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Financial Distress with Family Farm Transfer in Six European Countries Many potential young farmers face the difficult choice between farming or a city career. An important criterion in this decision is the financial distress that goes with farming. We compared the financial distress after take-over of family farms by the next generation, in six European countries: Denmark, France, Germany, Spain, the Netherlands and the United Kingdom. The principles of inheritance and succession and the fiscally appraised value of the farm have a large impact on the transfer price, and therefore on the installation costs. A transfer price below the fiscally appraised value results in gift taxes. The financial distress ratio is a ratio of the yearly interest and rent burden of the installation costs to agricultural income. Besides the installation costs, rent prices and the average interest rate determine the differences in the ratio among countries. The combination of high transfer prices with a high interest rate, together with the lowest agricultural income of the six countries, resulted in the hardest situation for Danish successors. A policy to reduce the fiscally appraised value of the farm would most aid successors. Such a policy would reduce transfer prices and reduce or avoid gift taxes and thereby cut installation costs for successors. La pression financeère sur les exploitations familiales dans six pays de la communauté européenne La plgpart des jeunes agriculteurs potentiels se trouvent confrpntés entre l'agriculture et une carrière urbaine. Au moment de prendre cette décision, un critère de choix important est la pression financeère qui est associée à l'agriculture. Nous avons compareé la pression financeère consécutive à un changement de génération dans des exploitations familiales de six pays européens:Danemark, France, Allemagne, Espagne, Pays-Bas et Grande Bretagne. Les régimes successoraux auxquels sont soumis les héritages et l'accroissement de la valeur fiscale de la terre ont un impact important sur les droits de mutation, ainsi que, par conséquent, sur les coûts d'installation. Un transfert pour une valeur infèrieure à la valeur fiscale conduit à payer un impôt sur les donations. Le coefficient de pression financeère mesure le rapport entre le revenu agricole et les charges financeères liées à l'installation, intérêt et annuityés de remboursement confondus. Les variations de ce coefficient d'un pays à l'autre dépendent du prix du fermage et du taux d'intérêt, en plus évidemment des frais d'installation. La conjonction entre d'un côté des frais de mutation et d'intérêt élevés, de l'autre les revenus agricoles les plus bas des six pays place les jeunes successeurs danois dans la situation la moins favorable. Une politique qui consisterait à réduire la valeur fiscale des exploitations serait de nature a favoriser les successions. Elle réduirait les coûts de transfert, et éviterait ou allegèrait les impôts sur les donations, diminuant par là les charges liées aux mutations. Finanzielle Notlage bei der Hofübergabe von Familienbetrieben in sechs europäischen Ländern iele designierte Hofnachfolger sehen ich in der schwierigen Lage, sich der Landwirtschaft und einer außerlandwirtschaftlichen Tätigkeit entscheiden zu müssen. Ein bedeutendes Kriterium bei der Entscheidungsfindung ist die finanzielle Notlage, welche die Landwirtschaft mit sich bringt. Wir verglichen die finanzielle Notlage nach Übernahme des Familienbetriebs von der nachfolgenden Generation in den folgenden sechs europäischen Ländern: Dänemark, Frankreich, Deutschland, Spanien, die Niederlande und Großbritannien. Die Grundsätze der Erbfolge und die steuerliche Bewertung des landwirtschaftlichen Betriebes haben großen Einfluss auf den Übernahmepreis und somit auf die Betriebseinrichtungskosten, Bei einem Übernahmepreis unterhalb der steuerlichen Bewertung fallen Schenkungssteuern an. Die Verhältniszahl der finanziellen Notlage sei definiert als das Verhältnis der jährlichen Zinsen der Betriebseinrichtungskosten und der Pachten zum landwirtschaftlichen Einkommen. Außer den Betriebseinrich tungskosten bestimmen Pachtpreise und durchschnittlicher Zinssatz die Unterschiede in dieser Verhältniszahl zwischen den einzelnen Ländern. Die Kombination aus hohen Übernahmepreisen und einem hohen Zinssatz in Verbindung mit dem geringsten landwirtschaftlichen Einkommen aller sechs Länder führte dazu, dass sich für dänische Hoferben die schwierigste Situation ergab. Eine Politik, welche die steuerliche Bewertung der landwirtschaftlichen Betriebe verringert, käme den meisten Hoferben zu Gute. Eine solche Politik würde die Übernahmepreise senken und die Schenkungssteuern verringern odergar vermeiden und somit die Betriebseinrichtun gskosten für Hoferben verringern.  相似文献   

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A future policy in the general interest According to the Aristotelian Classification of policies, based on whether they promote the common good or that of particular interests, the present agricultural market policy is “degenerate”. Reform of the CAP in the general interest should strengthen structural and rural development policy while limiting market policy to price stabilisation. Existing commodity support (price + aids) should be “degressive and temporary” with a precise deadline. This would avoid abrupt shocks in farm incomes while favouring structural adjustment and reducing production costs. Problems related to price and investment distortions, production quotas, land set‐aside, modulation by farm size, extension of the CAP to new EU Members, would largely disappear. A l'avenir, une politique de l'intérêt général Dans la classification des politiques établie par Aristote, scion qu'elles recherchent le bien commun ou la satisfaction d'intérêts particuliers, la politique agricole actuelle figurerait dans la rubrique des politiques “dégénérées”. Si elle avait l'intérêt général en vue, la réforme de la PAC essaierait de renforcer les structures et le développement rural, tout en limitant ses interventions sur les marchés à la stabilisation des prix. Les soutiens existants aux produits (aides directes et soutiens aux prix) devraient être dégressifs et temporaires (avec des dates d'expiration bien déterminées). Cela éviterait des chocs brutaux sur les revenus agricoles, tout en favorisant les restructurations et en abaissant les coûts. Alors disparaîtraient la plus grande partie des problèmes de prix, d'investissement, de distorsions, de quotas de production, de gel des terres, de modulation par tailles, et d'extension de la PAC aux nouveaux membres de l'Union Européenne. Eine zukünftige Politik im Sinne des Gemeinwohls In Anlehnung an die aristotelische Einteilung von Ponukmaßnahmen, die nach der Orientierung am Gemeinwohl oder an Einzelinteressen erfolgt, handelt es sich bei der derzeitigen landwirtschaftlichen Marktpolitik um eine “entartete” Politik. Die Reform der GAP im Sinne des Gemeinwohls sollte die Strukturpolitik und die Politik zur Entwicklung des ländlichen Raums stärken und die Rolle der Marktpolitik auf die Preisstabilisierung beschränken. Die gegenwärtige Produktstützung (Preis und Beihilfen) sollte mit einer exakten Fristsetzung “degressiv und zeitlich begrenzt” sein. Dadurch würden starke Einkommenseinbußen bei den landwirtschaftlichen Betrieben vermieden und zusätzliche Anreize für strukturelle Anpassung und Senkung der Produktionskosten ausgeübt werden. Somit würden die Probleme größtenteils gelöst, die sich aufgrund von Verzerrungen der Preise und Investitionen, Produktionsquoten, Flächenstilllegung, Modulation nach Betriebsgröße und Erweiterung der GAP auf neue EU‐Mitgliedsstaaten ergeben.  相似文献   

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The 2002 US Farm Bill: A More Positive Assessment Recent experience in the US strongly suggests that, given political realism, price instability is now the over‐riding problem of agricultural policy. From this perspective, the re‐adoption of deficiency payment support in the 2002 Farm Bill seems sensible. To critics who claim otherwise, on the ground that deficiency payments are not decoupled, it is argued here that decoupling is an empty concept for which empirical evidence is lacking, at least in agriculture. Being fixed, decoupled payments are not stabilising. The 2002 Farm Bill would have been even better if its fixed PFC payment element, inherited from the 1996 FAIR Act, had been omitted. Recent US experience with farm policy holds valuable lessons for CAP reform, including the need to ensure that producers are backed by an adequate price stabilising instrument. La loi agricole américaine 2002: une interprétation plus positive Sauf à manquer de réalisme politique, ? experience recente des Etats Unis conduit à considèrer ? instabilityé des prix comme le problème majeur de la politique agricole. De ce point de vue, ?‘adoption ?’ un système de ‘paiements compensatoires’ (deficiency payment) dans la loi agricole 2002 n'est pas dépourvu de sens. A ceux qui, au motif que les paiements compensatoires ne sont pas découples, disent le contraire, on répondra que le découplage est un concept vide de sens, dont ? existence n'est attestée par aucune étude empirique, en tout cas en agriculture. De par leur flxité même, les primes decouplers ne peuvent contribuer a la stabilisation. La loi agricole 2002 aurait été encore meilleure si elle avait supprime les primes fixes ‘PFC,’ héritées du FAIR act de 1996. Pour la PAC, il y a beaucoup de le?ons à tirer de cette expérience que les Etats Unis viennent de faire avec leur politique agricole, notamment la nécessité? adosser les producteurs à un système adéquat de stabilisation. Das US Landwirtschaftsgesetz von 2002 Eine etwas positivere Die jüngsten Erfahrungen aus den USA legen es nahe, dass bei realistis‐cher politischer Einschätzung die Preisinstabilität heute das größte Problem für die Agrarpolitik darstellt. Aus dieser Sicht erscheint die Wiederaufnahme der Stützung durch ‘deficiency payments’ (Produktsubventionen) in das Landwirt‐schaftsgesetz sinnvoll. Den Kritlkern, die das Gegenteil behaupten, da es sich bei deficiency payments nicht um entkoppelte Zahlungen handele, wird hier entgegen gehalten, dass es sich bei der Entkopplung um einen leeren Begriff handelt, für welchen zumindest im Bereich der Landwirtschaft keine empirischen Beweise vorliegen. Da entkoppelte Zahlungen vorab festgelegt werden, wirken sie sich nicht stabilisierend aus. Das Landwirtschaftsgesetz von 2002 würde noch besser greifen, wenn die aus dem FAIR‐Gesetz von 1996 ubernommenen festgelegten PFC (production flexibility contracts)‐Zahlungen nicht mit aufgenommen worden wären. Aus den jüngsten Erfahrungen mit der Agrarpolitik in den USA ergeben sich wertvolle Lehren in Hinblick auf die Reform der GAP; unter anderem die Notwendigkeit, dass die Produzenten durch ein geeignetes Instrument zur Preisstabilisierung geschützt werden.  相似文献   

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GMO Food Labelling in the EU: Tracinq ‘the Seeds of Dispute’ Genetically modified (GM) food labelling has become a critical issue in the international trade arena. Policymakers and consumers in the European Union (EU) seem to agree on the need to control the use of biotechnology in the food industry. As a consequence, recently the EU Commission approved a measure that establishes strict rules on genetically modified organisms (GMOs), but which lifts the moratorium on GMO production and marketing. This new Directive deals with mandatory labelling of GM foods and their traceability along the food chain. In spite of the substantial effort made to reconcile the different opinions in the escalating debate about biotechnology, the new GMO regulation seems to be unsatisfactory for too many interest groups. A system of total traceability from ‘farm to fork’ and mandatory labelling for genetically modified products may be considered too complex and too expensive to implement, particularly by those countries or industries that have produced GMO foods for many years. Yet, giving European consumers the freedom to choose GMOs may be the only option that there is until Europeans restore their confidence in the food system and food regulators. A market or consumer‐driven solution may eventually terminate the GMO dispute between the two transatlantic trading blocks. ? Assurance – Revenud a ns ? Agriculture Européenne ?étiquetage des aliments contenant des organismes génétiquement modifyés (OGM) est devenu une question cruciale sur la scène du commerce international. Tant les décideurs politiques que les citoyens de ? Union européenne semblent s'accorder sur la nécessité de soumettre à contrôle ? utilisation des biotechnologies dans ? industrie alimentaire. En conséquence, la Commission européenne a récemment approuvé une mesure qui établit des règies strictes sur les OGM, mais qui lève le moratoire sur leur production et leur commercialisation. Cette nouvelle directive concerne ?étiquetage obligatoire des aliments contenant des OGM et la façon ? en assurer le suivi dans les filières alimentaires. Ce nouveau règlement OGM, en dépit des efforts réels effectués pour réconcilier les différents points de vue dans la montée du débat sur les biotechnologies, semble inconciliable avec trop de groupes ? intérêts pour être satisfaisant. Un système assurant une traçabilité totale, ‘du champ à la fourchette’ et un étiquetage obligatoire pour tout produit contenant des OGM, paraît bien trop complexe et coûteux à mettre en ?uvre, en particulier pour les pays ou les industries qui produisent des aliments génétiquement modifyés depuis des années. Et pourtant, il se pourrait bien que la seule façpn de restaurer la confiance perdue des Européens dans le système alimentaire et ses institutions soit justement de leur donner le droit de choisir. La fin de la querelle des OGM entre les blocs commerciaux des deux rives de ? Atlantique peut venir de solutions apportées par le marché et issues des consommateurs. Einkommenversicherung in der Europäischen Landwirtschaft Die Kennzeichnung von genetisch veränderten Lebensmitteln ist zu einer der bedeutendsten Streitfragen auf dem Gebiet des internationalen Handels geworden. Politische Entscheidungsträger und Verbraucher in der Europäischen Union scheinen dahingehend überein zu stimmen, dass der Einsatz von Biotechnologie in der Nahrungsmittel‐industrie kontrolliert werden sollte. Als Reaktion darauf hat die EU‐Kommission kürzlich einer Maßnahme zugestimmt, welche ein strenges Regelwerk für genetisch veränderte Organismen (GVO) festschreibt, mit der aber gleichzeitig das Moratorium für die Produktion und Vermarktung von GVO aufgehoben wird. Die neue Richtlinie beschäftigt sich mit der Pflichtkennzeichnung von genetisch veränderten Nahrungsmitteln und mit ihrer Rückverfolgbarkeit entlang der Nahrungsmittelkette. Trotz der erheblichen Anstrengungen, die verschiedenen Standpunkte in der eskalierenden Debatte um Biotechnologie zu berücksichtigen, scheint die neue GVO Richtlinie in den Augen (zu) vieler Interessengruppen unbefriedigend zu sein. Ein System der vollständigen Rückverfolgbarkeit vom Stall bis zum Teller und die Pflichtkennzeichnung von genetisch veränderten Nahrungsmitteln mag in der Umsetzung als zu komplex und zu teuer betrachtet werden, insbesondere von den Ländern oder Industriezweigen, welche seit vielen Jahren GVO‐Nahrungsmittel hergestellt haben. Dennoch könnte der Ansatz, den europäischen Verbrauchern die freie Wahl für oder gegen GVO zu gewähren, der einzig gangbare Weg sein, bis die Europäer ihr Vertrauen in das Produktions‐ und Kontrollsystem für Nahrungsmittel zurückgewonnen haben. Eine markt‐ oder verbraucherorientierte Lösung könnte letztlich den Streit um GVO zwischen den beiden transatlantischen Handelsblöcken beenden.  相似文献   

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Beyond money for nothing; beyond set‐aside? Set‐Aside has been effective in educing supply. ‘Slippage’ has not been a major factor in the operation of the policy. However, set‐aside has not been cheap: the budgetary costs of set‐aside have exceeded the budgetary costs of dealing with surplus production via export subsidies in many years. Experience with the environmental impact of set‐aside suggests that its major environmental contribution, beyond the types of environmental benefits provided by existing agri‐environmental policies, is to provide for birds and wildlife within relatively intensively cropped areas. While the future requirement for supply control appears likely to be reduced, there may be a continuing environmental rationale for some form of land diversion. We propose a competitive land diversion scheme targeted to provide space for habitat and wildlife in the more intensive areas of production. Such a scheme can be seen as a form of environmental compensation and would be consistent with the adoption of the principle of sustainable development within the EU. We do not claim that this approach would be suited to the conditions in all EU countries. This would depend on the agricultural and environmental conditions and the public preferences towards the environment. Par delà le gaspillage, en plus du gel des terres. ? La jachère aura permis de réduire ?offre. Les ‘dérapages’ n'auront pas été trop importants. Mais le gel des terres n'aura pas été une petite dépense:au fil des ans, le plus souvent, le coût budgétaire correspondant aura été supérieur à celui des subventions à?exportation pour se débarrasser des surplus. A ?expérience, les observations sur les conséquences environnementales du gel des terres suggèrent fortement que le bénéfice majeur à en attendre, en plus des avantages directs procurés par les mesures agri‐environnementales, est de fournir des abris pour les oiseaux et la faune sauvage au sein de zones intensivement cultivées par ailleurs. Au moment où les mesures de contrôle de ?offre semblent devoir être réduites, il apparaît ainsi des raisons pour continuer la politique de mise en jachère. Il est proposé ici une politique de mise en jachère compétitive, destinée à procurer des abris à la faune sauvage dans les zones intensément cultivées. Un tel système pourrait être considéré comme une mesure compensatoire au titre de ?environnement, par conséquent compatible avec les principes du développement durable en Europe. Cela ne veut pas dire qu'il devrait être mis en place partout dans tous les pays europeens. Cela dÉpendrait des situations agricoles et environnementales locales, ainsi que des préfÉrences des citoyens vis‐à‐vis de ?environnement. Alternativen zum bezahlten Nichtstun; Alternativen zur Flächenstilllegung? Die Flächenstilllegung hat das Angebot effektiv verringert. Schlupfverluste haben bei der Umsetzung der Politik keine große Rolle gespielt. Die Flächenstilllegung war jedoch nicht billig: In vielen Jahren überstiegen die Haushaltskosten für die Flächenstilllegung die Haushaltskosten für Exportsubventionen zum Abbau der Uuberschüsse. Die Erfahrungen mit den Umweltauswirkungen der Flächenstilllegung legen es nahe, dass ihr größter Beitrag zum Umweltschutz ‐ über den von vorhandenen Agrarum‐weltpolitikmaßnahmen erzielten Nutzen für die Umwelt hinaus ‐ darin besteht, für Vögel und andere Tiere in relativ intensiv genutzten Bereichen einen Lebensraum zu schaffen. Während sich zukünftig die Notwendigkeit einer Angebotsbegrenzung wahrscheinlich verringert, könnte die eine oder andere Form der Umwidmung von Land aus Umweltgesichtspunkten auch weiterhin begründet sein. Wir empfehlen ein wettbewerbsfähiges Programm zur Umwidmung von Land, welches das Schaffen von Lebensräumen für Tiere auf intensiv genutzten Produktionsflächen zum Ziel hat. Ein solches Programm kann als eine Form von Umweltkompensation betrachtet werden und ginge mit dem erklärten Ziel der nachhaltigen Entwicklung innerhalb der EU einher. Wir behaupten nicht, dass dieser Ansatz für die Bedingungen in alien EU‐Ländern geeignet wäre. Dies hinge von den Agrar‐ und Umweltbedingungen und den öffentlichen Präferenzen für Umwelt ab.  相似文献   

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CAP Reform in the Dairy Sector: Remove Export Subsidies and Retain Milk Quota The reforms of the Common Agricultural Policy of June 2003 introduced major policy changes, In the dairy sector the aim is to decrease price distortions between the EU and world dairy markets through successive reductions in milk intervention prices. However, the milk quota system is still in place and successive increases in milk quotas are planned. The question is whether these dairy reforms are going in the right direction given the three main characteristics of the EU dairy sector. First the price inelasticity of both milk supply (due to quota) and domestic demand means that price distortion mainly affects the distribution of economic surplus between consumers and producers but does not generate significant net losses in economic welfare. Second, the ‘large country’ position of the EU on the world market means that the EU should remove all export subsidies, which will reduce EU exports and increase world prices. Third, the projected increase in EU aggregate demand for milk favours a reduction in all subsidies. The CAP is going in the right direction in the dairy sector. But to reduce price distortions all subsidies should be removed as soon as possible and the milk production quota should be retained. La réforme de la PAC laitiére: supprimer les subventions aux exportations et conserver les quotas La réforme de la PAC en juin 2003 est un changement majeur. En ce qui concerne le secteur laitier, l'idée consiste à diminuer les distorsions entre les prix européens et ceux du marché mondial par une série de réductions progressives du prix d'intervention. En même temps, le système des quotas reste en place et des accroissements progressifs sont envisageés pour les droits à produire. La question. est alors de savoir si une telle politique est bien orientée, compte tenu des trois caractéristiques principales du secteur laitier européen. En premier lieu, la faible élasticité-prix aussi bien de l'offre (à cause des quotas) que de la demande, implique que les distorsions, si elies affectent la répartition des bénéfices entre producteurs et consommateurs, ne génèrent pas de très grandes pertes sociales au niveau du bien-être global. Ensuite, l'importance de l'Union européenne sur les marchés mondiaux implique que l'UE doive réduire ses subventions à l'exportation, ce qui diminuera le volume des exportations et en fera remonter le prix, Enfin, l'accroissement prévisible de la demande globale européenne en produits laitiers devrait conduire G une réduction des subventions de toute sorte. La PAC est done sur la bonne voie en matière laitière. Mais pour réduire les distorsions, il faut le plus vite possible supprimer les subventions et conserver les quotas laitiers. Reform der GAP im Milchsektor: Abschaffung der Exportsubventionen und Beibehaltung der Milchquoten Die Reform der Gemeinsamen Agrarpolitik vom Juni 2003 führt zu erheblichen Politikänderungen. Im Milchsektor ist das Ziel, die Preisverzerrungen zwischen der EU und den Weltmärkten für Milchprodukte durch eine sukzessive Reduzierung der Milchinterventionspreise zu verringern. Das Milchquotensystem bleibt jedoch weiter bestehen und sukzessive Erhöhungen der Milchquoten sind geplant. Es ergibt sich die Frage, ob die Reform bei den vorhandenen drei Charakteristika im EU Milchsektor in die richtige Richtung geht. Erstens bedeuten das gegebene preisunelastische Angebot von Milch (wegen der Quotierung) und die Nachfrage im Inland, dass die Preisverzerrung sich vomehmlich auf die Verteilung der ökonomischen Rente zwischen Konsumenten und Produzenten auswirkt, nicht aber zu bedeutenden Wohlfahrtsverlusten führt. Zweitens fuhrt die Abschaffung aller Exporterstattungen für Milch und Milchprodukte dazu, dass die EU Exporte sinken und damit wegen der EU als relative großes Land die Weltmarktpreise für Milch steigen werden. Drittens begünstigt die vorausgesagte Zunahme in der aggregierten Milchnachfrage in der EU eine Reduzierung aller Subventionen. Die GAP entwickelt sich im Milchsektor in die richtige Richtung. Es sollten aber alle Subventionen so schnell wie möglich abgebaut und die Milchquote sollte aufrechterhalten werden, um Preisverzerrungen zu reduzieren.  相似文献   

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Does organic farming have a future in Europe ? Organic farming in Europe has increased rapidly since the early 1990s but still only accounts for a small share of production. This article analyses the structure and financial performance of organic farming in Europe using data from 18 countries. In the countries analysed, organic farms achieved significant price premia for their outputs and were able to compete financially with conventional farms, with equal or higher profits in most cases, even though yields were up to 40 per cent lower. There was, however, a wide variation in performance within the samples and between countries and farm types. Consumer willingness to pay higher prices for organic products along with European Union and government support payments for organic farming and the design of the Common Agricultural Policy contributed to the success of the farms. Except for extensive livestock farms, labour requirements on organic farms were generally higher than in conventional agriculture but remuneration of family labour was generally equal to or higher than in conventional farms. Any moves towards more decoupled payments to farmers under the EU's Agenda 2000 should increase the relative competitiveness of organic farming systems. A key factor in the future development of organic farming will be growth in the number of consumers willing to pay a price premium for organic products. Quel est l'avenir de l'agriculture biologiqueen Europe ? L'agriculture biologique évolue rapidement depuis le debut des années 90, mais ne représente encore qu'une petite part de la production. Cet article analyse la structure et les performances financières de l'agriculture biologique en Europe à partir des données de 18 pays. Dans les pays étudiés, les exploitations biologiques ont vendu leurs produits avec une plus‐value significative et ont pu concurrencer financièrement les exploitations conventionnelles, grâce à des profits égaux ou plus élevés dans la plupart des cas, bien que les rendements aient été jusqu'à 40 pour cent plus faibles. Toutefois les résultats varient largement au sein même des pays étudiés et entre les pays et les types d'exploitations. Le fait que les consommateurs acceptent de payer plus cher pour les produits biologiques, ainsi que les aides nationales et européennes à l'agriculture biologique et la création de la Politique Agricole Commune, ont contribué au succès des exploitations. A l'exception des exploitations d'élevage extensives, les exigences en main‐d'oeuvre sur les exploitations biologiques sont genéralement plus importantes que dans l'agriculture conventionnelle, mais la rémunération de la main‐d'oeuvre familiale est généralement égale ou plus élevée que dans celles‐ci. Toutes les actions en faveur de paiements découplés pour les exploitants prévues par l'Agenda 2000 de l'Union Européenne devraient accroître la compétitivité relative des systèmes d'agriculture biologique. Un facteur clé du développement futur de l'agriculture biologique sera la croissance du nombre de consommateurs prêts à payer un prix plus élevé pour les produits biologiques. Hat Ökolandbau in Europa eine Zukunft ? Der Okolandbau in Europa hat seit Anfang der Neunziger Jahre einen schnellen Zuwachs erfahren, macht aber nach wie vor nur einen geringen Anteil der Produktion aus. In diesem Artikel werden Struktur und Gewinnsituation des Ökolandbaus in Europa anhand von Daten aus 18 Ländern analysiert. In den untersuchten Ländern erzielten Ökobetriebe hohe Preisaufschläge für ihre Produkte und konnten aus finanzieller Sicht mit konventionellen Betrieben mithalten, wobei in den meisten Fällen gleich hohe oder höhere Gewinne erzielt wurden, obwohl die Enräge um bis zu 40 Prozent geringer waren. Innerhalb der Stichproben und zwischen den einzelnen Ländern und Betriebstypen traten jedoch hohe Leistungsschwankungen auf. Die Bereitschaft der Kunden, für Ökoprodukte tiefer in die Tasche zu greifen, die Subventionen für den Ökolandbau seitens der Europäischen Union und der einzelnen Staaten und die Gestaltung der Gemeinsamen Agrarpolitik trugen zum Erfolg der Betriebe bei. Wenn vom Sektor der extensiven Viehhaltung einmal abgesehen wird, war der Bedarf an Arbeitskräften in Ökobetrieben grundsätzlich höher als in der konventionellen Landwirtschaft, wobei die Entlohnung der Familienarbeit in der Regel genauso hoch oder höher war als in konventionellen Betrieben. Eine Zunahme von entkoppelten Zahlungen der EU an Landwirte im Rahmen der Agenda 2000 sollte die relative Wettbewerbsfähigkeit von Ökobetrieben erhöhen. Entscheidend für die weitere Entwicklung des Ökolandbaus ist die Zunahme in der Anzahl der Kunden, die bereit sind, einen Preisaufschlag für Ökoprodukte zu bezahlen.  相似文献   

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Time to Get Rid of EU Dairy Quotas? Although the latest CAP reform extends dairy quotas to 2014‐15, they are likely to remain subject to question. Some member states (the Capri group), supported by Europe's trading partners, will continue to press for elimination of dairy quotas. The members of the Capri group have commissioned research to examine the consequences of quota elimination, and by implication the elimination of dairy market support measures. Economic analysis of the consequences of quota and market support elimination strongly suggests that the European dairy industry would be able to compete effectively, with at least present levels of output, without the support and protection of the current policy European society as a whole would be better off without this policy. Eliminating the present policy, however, would result in substantial losses to the owners of quota. Elimination of the present policy without some compensation for these losses is unrealistic. But there are ways of providing compensation, to leave everyone better off ultimately, by an estimated £12 billion per year when compensation ceases. This is a very substantial gain to the EU. Nevertheless, stability of world dairy markets would remain a considerable deterrent to such a policy reform unless other countries also eliminate their own protectionist policies. Is either the EU or the rest of the world ready to accept this challenge? Est‐ce le moment de se débarrasser des quotas laitiers européens? La dernir?e réforme de la PAC prolonge les quotas laitiers jusqu'en 2014–2015, mais il y a beaucoup de chances pour que ceux‐ci soient remis en question ?ici là. Certains des Etats membres ‐ le groupe de Capri ‐ avec le soutien des partenaires commerciaux de 1'Europe, vont continuer à en réclamer ?élimination. Des recherches ont été entreprises par les membres du groupe de Capri pour étudier les conséquences de ?élimination des quotas, et des mesures de soutien au marché du lait qui leur sont associées. II ressort avec vigueur de cette analyse économique des conséquences de la suppression des quotas et des mesures de soutien au marché que, au moins au niveau de production actuel, Findustrie laitière européenne serait parfaitement compétitive en ?absence des aides et des protections des politiques en vigueur. En Europe, la Société bénéficierait globalement de la suppression des politiques laitières. La nouvelle situation entraînerait certes pour les détenteurs de quotas des penes sensibles, qu'il ne serait pas réaliste de ne pas indemniser. Mais il est tout à fait possible de le faire, ce qui améliorerait la situation de chacun, avec un bénéfice global après compensation de ?ordre de 12 milliards ?Euros par an. Il s'agirait là?un bénéfice considérable pour 1'Europe. Cependant, tant que les autres pays n'élimineront pas les barrières protectionnistes de leur coté aussi, les inquiétudes sur la stabilityé du marché mondial du lait resteront un obstacle très sérieux à cette reforme. Est‐on prêt, aussi bien en Europe que dans le reste du monde, à relever ce défi ? 1st es an der Zeit, die Milchquoten der EU abzuschaffen? Obgleich die jüngste Reform der GAP den Fortbestand der Milchquoten bis 2014/2015 vorsieht, bleiben diese wahrscheinlich weiterhin in der Diskussion. Einige Mitgliedsstaaten (die Capri‐Gruppe) werden weiterhin versuchen, die Abschaffung der Milchquoten durchzusetzen; sie werden dabei von Europas Handelspartnern unterstützt. Die Mitglieder der Capri‐Gruppe haben eine Studie in Auftrag gegeben, urn die Konsequenzen der Abschaffung der Milchquoten und der Maßnahmen zur Marktstützung zu untersuchen. Die ökonomische Analyse der Konsequenzen der Abschaffung von Milchquoten und Maßnahmen zur Marktstützung deutet stark darauf hin, dass die europäische Milchwirtschaft ohne die Marktstützung und den Schutz der gegenwärtigen Politik wettbewerbsfähig bliebe, wobei mindestens die aktuelle Produktionsmenge erzeugt werden würde. Die europäische Gesellschaft als Ganzes wäre ohne diese Politik besser gestellt. Die Abschaffung der gegenwärtigen Politik würde jedoch beträchtliche Verluste auf der Seite der Eigenrümer von Milchquoten nach sich Ziehen. Die Abschaffung der gegenwärtigen Politik scheint unrealistisch, solange den Eigentümern nicht wenigstens teilweise Kompensation für ihre Verluste gewährt wird. Es gäbe jedoch Möglichkeiten der Kompensation, bei denen letzten Endes alle gewinnen. Der mögliche Gewinn beläuft sich auf schätzungsweise £12 Milliarden projahr bei Auslaufen der Kompensationszahlungen. Dies bedeutet einen erheblichen Gewinn für die EU. Dennoch würde die Stabilität der Weltmilchmärkte einer solchen Reform im Wege stehen, solange nicht andere Länder ebenfalk ihre protektionistischen Politikmaßnahmen abschaffen. 1st entweder die EU oder der Rest der Welt bereit, sich dieser Herausforderung zu stellen?  相似文献   

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The 2002 U.S. Farm Bill: What's In It For CAP and WTO Reform? The 2002 U.S. Farm Bill (the Farm Security and Rural Investment Act or FSRIA) provides considerably more government subsidies for U.S. agriculture than Congress envisaged when it passed the preceding 1996–2002 FAIR Act. We review the FAIR record, showing how government subsidies increased greatly beyond those originally scheduled. For FSRIA, we outline key commodity, trade, and conservation and environmental provisions. We expect that the commodity programmes will: (a) encourage production when the market calls for less; (b) significantly increase subsidies over FAIR baseline subsidies; (c) press against current WTO and possible Doha Round support limits; and (d) aggravate trading partners. Finally, we suggest two lessons from the U.S. policy experience that might benefit those working on CAP and WTO reform. First, past research shows that farm programmes have little to do with the economic health of rural communities. Second, programme transparency, and especially public disclosure of the level of payments going to individual farmers, by name, influences the farm policy debate. Personalized data show what economists have long maintained—that the bulk of programme benefits go to a relatively few, large, producers—but do so in a way that captures the public and policy‐makers' attention. La loi d'orientation agricole américaine de 2002: que peut on en tirer pour réformer la PAC et l'OMC? La loi d'orientation agricole américaine de 2002 (loi sur la securité et l'investissement rural, ou FSRIA) autorise beaucoup plus de subventions a l'agriculture des Etats Unis qu'il n'avait été envisagé par le congrès quand fut votée la loi d'orientation précédente, le “Fair Act” en vigueur de 1996 à 2002. L'examen du Fair Act réalisé ici montre que les subventions durant cette période avaient déjà augmenté beaucoup plus qu'il n‘était initialement prévu. Dans le cas du FSRIA, des provisions importantes sont prévues pour les produits clé, le commerce, la conservation des sols, et l'environnement. Il faut s'attendre à ce que les programmes par produit: (a): encouragent la production alors même que le marché en demanderait la réduction, (b) accroissent significativement les subventions par rapport au niveau de base du Fair Act (c) exercent une pression à la hausse sur les limites imposées aux soutiens, tant dans la réglementation actuelle de l'OMC que dans celle qui pourrait être adopté dans les négociation de Doha (d) lèsent gravement les partenaires commerciaux des Etats Unis. Pour finir, deux enseignements de la politique américaine pourraient être utiles à ceux qui, en Europe, songent à réformer l'OMC et la PAC: d'abord, l'histoire montre que les subventions n'ont pas grand chose à voir avec la santééconomique des communautés rurales. Ensuite, la transparence des programmes en question, et tout spécialement, l'affichage nominatif des bénéficiaires de subventions, est de nature à influer sur le débar de politique agricole. Les données personnalisées montrent ce que les économistes out toujours dit: les subventions bénéficient pour l'essentiel à un petit nombre de producteurs relativement riches, mais d'une façon telle qu'ils arrivent à mobiliser l'opinion et les décideurs politiques en leur faveur. Das US‐Landwirtschaftsgesetz von 2002: Wie wirkt es sich auf GAP und WTO‐Reform aus? Das US‐Landwirtschaftsgesetz von 2002 (FSRIA, Gesetz zur Absicherung von landwirtschaftlichen Betrieben und zur Förderung von Investitionen in ländlichen Räumen) sieht wesentlich höhere staatliche Subventionen für die Landwirtschaft der USA vor als es der Kongress bei tier Verabschiedung des FAIR‐Gesetzes (1996–2002) beabsichtigte. Die Subventionen haben während der Laufzeit des Gesetzes die vorgesehene Höhe weit überschritten. Für das FSRIA werden die Bestimmungen für die Hauptagrarprodukte, den Handel und den Umweltschutz kurz dargestellt. Es ist zu erwarten, dass die Programme (a) die landwirtschaftliche Produktion in Perioden anregen, in denen die Weltmarktpreise niedrig sind; (b) die Subventionen weit über den im FAIR‐Gesetz vorgesehenen Betrag hinaus erhöhen; (c) gegen das in der WTO festgeschriebene und zukünftig in der Doha‐Runde wahrscheinliche gekürzte Stützungsniveau verstoßon können und (d) die Missbilligung der Handelspartner hervorrufen werden. Aus der Erfahrung mit der US‐Politik greifen wir zum Schluss zwei Erkenntnisse heraus, die für diejenigen hilfreich sein können, die sich mit der GAP und der WTO‐Reform beschäftigen. Erstens zeigt die bisherige Forschung, dass die Programme zur Förderung von landwirtschaftlichen Betrieben nur wenig zum wirtschaftlichen Wohlergehen ländlicher Räume beitragen. Zweitens beeinflusst die Transparenz der Programme die politische Debatte in Bezug auf landwirtschaftliche Betriebe – insbesondere durch die öffentliche Nennung der Höhe der Zahlungssummen und der Namen der Empfänger. Diese personalisierten Daten zeigen, was Wirtschaftswissenschaftler bereits seit langem behaupten – dass relativ wenige Großerzeuger am meisten von den Programmen profitieren und dabei die Aufmerksamkeit der Öffentlichkeit und die der politischen Entscheidungsträger auf sich ziehen.  相似文献   

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Do Developing Countries Need a Development Box? Developing country proposals for a Development Box focus on changes to WTO rules on agricultural trade that would enable them to address more effectively their objectives related to food security, poverty alleviation and economic development. Yet, there are few instances where developing countries have been constrained in the policies they can adopt. This does not mean that demands for a Development Box are pointless, for if the next WTO agreement is to have a real impact on rates of protection, there will be a need for tighter commitments in both developed and developing countries. Hence proposals for a Development Box can be seen as an insurance policy, given the prospect of deeper multilateral reforms. There is a strong case for easier access to safeguards, under which developing countries could temporarily apply higher tariffs on food security crops when world prices are depressed below threshold levels. There may be an economic justification for expanding the types of domestic support measures that developing countries can employ, in those rare cases where policies would otherwise be constrained. However, these demands should not constrain progress on the most important issue; namely, how OECD countries can do more for developing countries through improvements in market access, the elimination of explicit and implicit export subsidies, and reductions in trade‐distorting domestic support. Faut‐il une boite spéciale pour le développement ? Les propositions des pays en développement en vue ?établir une ‘boîte pour le développement’à?OMC sont centrées sur ?idée qu'il convient de modifier les règies du commerce international agricole, afin de leur permettre ?aborder de façon plus efflcace leurs problèmes spécifiques de sécurité alimentaire, de réduction de la pauvreté et de développement économique. Pourtant, il existe peu ?exemples de situations dans lesquelles un pays en développement ait pu être gêné dans ?adoption ?une politique particulière. Cela ne veut pas dire qu'une boîte pour le développement soit inutile: si le prochain accord à?OMC doit avoir un effet réel sur les taux de protection, des engagements encore plus stricts seront nécessaires de la part, aussi bien des pays en développement que des pays développés. II en résulte que les propositions en vue ?une ‘boîte pour le développement’ peuvent être considérées comme une politique ?assurance, dans ?optique de réformes multilatérales plus approfondies. II y a des raisons sérieuses pour faciliter le recours aux clauses de sauvegarde, grâce auxquelles les pays en développement pourraient imposer temporairement des droits plus élevés sur les denrées importantes pour leur sécurité alimentaire lorsque les cours mondiaux descendent en deçà?un certain seuil. Il peut exister une justification économique à?extension des catégories de soutien que les pays en développement peuvent employer, dans les cas peu fréquents où les engagements pris seraient contraignants à cet égard. Mais surtout, il faut que les pays en développement prennent garde à ne pas entraver les progrès dans les domaines vraiment importants, à savoir ce que les pays de ?OCDE peuvent faire pour eux en améliorant ?accès aux marchés, en eliminant les subventions implicites et explicites aux exportations, et en réduisant les mesures de soutien intérieures qui affectent les échanges. Benötigen Entwicklungsländer eine Development Box? Die Vorschläge der Entwicklungsländer für eine Development Box zielen auf Änderungen in den Agrarhandelsvorschriften der WTO ab; es soil ihnen ermöglicht werden, ihre Zdele hinsichtlich der Nahrungsmt‐telsicherheit, Armutsbekämpfung und Wirtschaftsentwicklung wirkungsvoller zu verfolgen. Bis heute jedoch wurden die Entwicklungsländer nur in wenigen Fällen bei der Ausgestaltung bestimmter Politikmaßnahmen eingeschränkt. Damit ist nicht gesagt, dass Forderungen nach einer Development Box zwecklos sind, denn wenn sich das kommende WTO‐Abkommen tatsächlich auf die Protektionsraten auswirken soil, werden sowohl den entwickelten Ländern als auch den Entwicklungsländern mehr Verpflichtungen abverlangt werden. Daher können Vorschläge für eine Development Box als eine Versicherungspolirik vor dem Hintergrund der Aussicht auf tiefergreifende multilaterale Reformen angesehen werden. Es spricht vieles für einen einfacheren Zugang zu Schutzmaßnahmen, unter denen Entwicklungsländer vorübergehend höhere Zölle auf pflanzliche Erzeugnisse mit Bedeutung für die Nahrungsmittelsicherheit erheben könnten, wenn die Weltpreise unterhalb von Schwellenwerten liegen. Es mag aus ökonomischer Sicht eine Rechtfertigung für die Ausdehnung der inlandischen marktstützenden Maßnahmen geben, welche Entwicklungsländer anwenden dürfen; dies kann sinnvoll sein, wenn andernfalls, allerdings in seltenen Fällen, Politikmaßnahmen eingeschränkt werden müssten. Diese Forderungen sollten den Fortschritt bei den allerwichtigsten Themen jedoch nicht behindern; OECD‐Länder können mehr für Entwicklungsländer tun, und zwar durch Verbesserung des Marktzugangs, durch die Abschaffung von expliziten und impliziten Exportsubventionen und durch Kürzungen bei den handelsverzerrenden Inlandssubventionen.  相似文献   

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Is agricultural policy aiming at the wrong target? Modern political decision makers stress the benefits to be derived from a more market oriented agriculture. For this purpose, they are ready to grant guaranteed decoupled farmer income almost without precedent. They may have lost sight of the true historical reason for which the links between the market and agriculture had been severed during the 1930s, namely the market's inability, in the specific case of agriculture, to transmit relevant information between producer and consumer. In this context, ‘traditional’ agricultural policies may have provided more benefits for consumers than is usually acknowledged, and ‘new’ policies may result in more detrimental effects than expected. La politique agricole se trompe‐t‐elle de cible? A ? heure actuelle, les décideurs politique mettent ? accent sur les bénéfices à attendre de mesure visant a faire orienter ? agriculture par le marché, et sont prêts, pour cela, à accorder aux agriculteurs une garantie de revenu presque sans contre‐partie. Ce faisant, ils semblent avoir perdu de vue la raison pour laquelle ? agriculture avait été déconnectée du marché dans les années 30, à savoir ? inaptitude du marché, dans le cas précis de ? agriculture, à transmettre des informations pertinentes entre les producteurs et les consommateurs. Dans ce contexte, il se peut que les bénéfices des politiques ‘traditionnelles’ aient été beaucoup grands qu'on ne ? admet généralement, tandis que les politiques ‘nouvelles’ seraient susceptibles engendrer plus ?‘effets négatifs qu’on ne s'y attend. Verfolgt die Agrarpolitik ein falsches Ziel? Die politischen Entscheidung sträger von heute heben die Vorteile hervor, die sich aus einer mehr marktorientierten Landwirtschaft ableiten lassen. Daher sind sie bereit, garantierte entkoppelte Einkommenszahlungen an Landwirte zu gewähren, obwohl es dafür noch nahezu keine Erfahrungen gibt. Möglicherweise haben sie den wahren historischen Grund übersehen, der zu einer Abkehr marktwirtschaftlicher Reglungen für die Landwirtschaft in den 1930ern geführt hat. Es war ein Marktversagen bei der Informationsweitergabe im landwirtschaftlichen Bereich zwischen Produzenten und Verbraucher festzustellen. Wird dieser Effekt berücksichtigt, so haben die ‘traditionellen’ landwirtschaftlichen Politikmaßnahmen möglicherweise mehr Vorteile für den Verbraucher gebracht als im allgemeinen angenommen, und ‘neue’ Politikmaßnahmen haben möglicherweise mehr Nachteile als angenommen.  相似文献   

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Food Safety and the Precautionary Principle Food safety has become an issue of major importance to consumers and to governments throughout the world. The European Community's comprehensive negotiating proposal for the new WTO Agreement on Agriculture has recommended that greater use be made of the Precautionary Principle to help allay consumer concerns about food safety. Governments' responses to these concerns raise the prospect of new barriers to international trade, as evidenced by the recent WTO complaint against the European Community's de facto moratorium on the approval of biotechnology products. This article offers a legal perspective on the issues and problems faced by the WTO in reaching an agreement on the role of food safety in the international trade arena. It argues that the success of the European Community's espousal of the Precautionary Principle as a means of dealing with consumer concerns about food safety is far from certain, as it is not clear which international agreement should deal with the issue. The choice is between the Agreement on Sanitary and Phytosanitary Measures and the Biosafety Protocol and the article concludes by suggesting a way forward from the current impasse. Sécurité des aliments et principe de précaution De nos jours, la sécurité des aliments est devenue une question ?importance majeure, pour les consommateurs comme pour les gouvernements au niveau mondial. La nécessité de donner plus de place au principe de précaution pour atténuer les inquiétudes des consommateurs vis à vis de la sécurité alimentaire figure dans les propositions globales de la communauté européenne pour le nouveau cycle de négotiations agricoles à?OMC. Mais, comme le montre la plainte déposée a ?OMC contre le moratoire de fait imposé par les européens à?encontre des produits issus de la biotechnologie, la façon dont les autorités répondent à ces inquiétudes conduit à?instauration de nouvelles entraves à?échange international. Cet article aborde sous Tangle juridique les différents problèmes auxquels ?OMC devra faire face pour obtenir un accord sur le rôle de la sécurité alimentaire dans les débats relatifs au commerce international. ?idée centrale est que, dans ses tentatives pour faire reconnaitre le principe de précaution comme moyen de répondre aux craintes des consommateurs vis à vis de la sécurité alimentaire, le succès de la Communauté européenne est bien loin ?être acquis, faute de savoir quelle instance internationale saisir de la question. Le choix est entre, ?un côté, ?Accord sur les Mesures Sanitaire et Phytosanitaires, et, de ?autre, le Protocole sur la Biosécurité. ?article suggère une solution pour sortir de ?impasse. Nahrungsmittelsicherheit und das Sicherheitsprinzip Die Nahrungsmittelsicherheit ist für die Verbraucher und Regierungen in aller Welt zu einer höchst wichtigen Angelegenheit geworden. Im umfassendenVerhandlungsvorschlag der Europäischen Gemeinschaft für das neue WTO‐Agrarabkommen wird vorgeschlagen, das Sicherheitsprinzip häufiger anzuwenden, um dazu beizutragen, die Bedenken der Verbraucher hinsichtlich der Nahrungsmittelsicherheit zu zerstreuen. Die Reaktionen der Regierungen auf diese Bedenken stellen neue Schranken für den internationalen Handel in Aussicht, wie die jüngste Beschwerde bei der WTO gegen das de facto‐Moratorium der Europäischen Gemeinschaft zur Zulassung zu biotechnischen Erzeugnissen gezeigt hat. Dieser Artikel zeigt eine rechtliche Perspektive für die Fragen und Probleme auf, die sich für die WTO ergeben, um Übereinstimmung hinsichtlich der Rolle zu erzielen, welche die Nahrungsmittelsicherheit in der Arena des internationalen Handels spielen soil. Es wird argumentiert, dass es keineswegs sicher sei, dass das Eintreten der Europäischen Gemeinschaft für das Sicherheitsprinzip als Mittel, mit den Bedenken der Konsumenten umzugehen, Erfolg haben wird, da noch nicht fest steht, welches internationale Abkommen sich dieser Frage annehmen soil. Zur Wahl stehen das Abkommen über sanitäre und phytosanitäre Maßnahmen und das Biosicherheitsprotokoll, und zum Abschluss des Beitrags wird ein Weg aus der aktuellen Sackgasse aufgezeigt.  相似文献   

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freedom to choose: perspectives on modern biotechnology and developing countries' food and agriculture Perspectives differ between rich and poor countries and people on the use of modern biotechnology in food and agriculture. Europeans generally support the use of this technology in medicine, but not to address hunger. Unlike Europeans, poor people in developing countries spend 50 to 80 percent of their income on food and depend on agriculture for their living, so agricultural productivity gains that lower food prices are critical. Policy makers, scientists, and farmers in developing countries generally support appropriate use of agricultural biotechnology. They are more concerned about food availability and better nutrition than food safety or environmental issues, although they do insist upon sound biosafety regulations. Bans on importation of genetically modified (GM) foods in Europe could harm agricultural growth and poverty alleviation in developing countries. If developed countries limit molecular biology research to health, developing countries will not receive needed support to apply the technology to food and agriculture. Policy action is required to assure adequate public investment in agricultural research to benefit poor farmers and consumers in developing countries. Intellectual property rights regimes must maintain farmers' rights to replant seed. Trade policies should not discriminate against developing countries that choose to commercialize GM crops. Developing countries and their citizens must be empowered to make their own choices based on informed debate and their own risk‐benefit calculations. la liberte de choisir: points de vue sur l'utilisation des biotechnologies modernes dans l'alimentation et l'agriculture des pays en voie de developpement L'utilisation des biotechnologies modernes dans l'alimentation et l'agriculture fait l'objet de points de vue différents selon que les pays et les personnes concernées sont riches ou pauvres. Les Européens sont généralement favorables à l'utilisation de cette technologie en médecine, mais pas pour aborder le problème de la faim. Contrairement aux Européens, les pauvres des pays en voie de développement dépensent 50 à 80 pour cent de leur revenu en nourriture et dépendent de l'agriculture pour leur survie, si bien que les gains de productivité agricole permettant d'abaisser les prix alimentaires sont d'une grande importance pour eux. Les hommes politiques, les scientifiques et les agriculteurs des pays en voie de développement sont génerálement partisans d'un usage approprié des biotechnologies agricoles. Ils se soucient plus de la disponibilité en nourriture et d'une meilleure nutrition que des problèmes d'environnement et de sécurité des produits alimentaires, bien qu'ils mettent l'accent sur la nécessité de réglementations justes en matiére d'hygiène alimentaire. Les interdictions d'aliments génétiquement modifiés en Europe pourraient nuire à la croissance agricole et a la diminution de la pauvreté dans les pays en voie de développement. Si les pays développés limitent à la santé la recherche en biologie moléculaire, les pays en voie de développement ne recevront pas le soutien dont ils ont besoin pour appliquer cette technologie à l'alimentation et à l'agriculture. Il convient de mettre en place des actions pour garantir des investissements publics suffisants en recherche agricole au bénéfice des agriculteurs et des consommateurs pauvres des pays en voie de développement. Les régimes relatifs aux droits de propriété intellectuelle doivent maintenir les droits des agriculteurs à replanter leurs semences. Les politiques commerciales ne devraient pas faire de discrimination contre les pays en voie de développement qui choisissent de commercialiser des récoltes génétiquement modifiées. Les pays en voie de développement et leurs citoyens devraient être habilités à faire leurs propres choix sur la base de débats informés et de leurs propres calculs risques avantages. Die Freiheit zu wählen: Sichtweisen in Bezug auf moderne Biotechnologie und auf Nahrungsmittel und Landwirtschaft in Entwicklungslandern Im Hinblick auf die Verwendung moderner Biotechnologie im Nahrungsmittelbereich und in der Landwirtschaft ergeben sich für reiche und arme Länder und Bevölkerungen unterschiedliche Sichtweisen. Die Europäer befürworten im Allgemeinen, diese Technologie im Bereich der Medizin einzusetzen; nicht aber, um den Hunger zu bekämpfen. Im Gegensatz zu den Europäern gibt die arme Bevölkerung in Entwicklungsländern 50 bis 80 Prozent ihres Einkommens für Nahrungsmittel aus und ist zur Sicherung ihres Lebensunterhalts auf die Landwirtschaft angewiesen, so dass Produktivitatszuwächse in der Landwirtschaft, die zu sinkenden Nahrungsmittelpreisen führen, entscheidend sind, Im Allgemeinen befürworten Entscheidungsträger, Wissenschaftler und Landwirte in Entwicklungsländern eine angemessene Verwendung von Biotechnologie in der Landwirtschaft. Sie sind mehr an der Verfügbarkeit von Nahrungsmitteln und an einer verbesserten Ernährungslage interessiert als an der Nahrungsmittelsicherheit oder am Umweltschutz, obgleich sie auf klaren Verordnungen zur Sicherheit von Biotechnologie bestehen. Europäische Einfuhrverbote von genetisch modifizierten Nahrungsmitteln könnten das landwirtschaftliche Wachstum und die Armutsbekämpfung in den Entwicklungsländern beeinträchtigen. Wenn die Industrieländer die Forschung auf dem Gebiet der Molekularbiologie jedoch auf den Bereich der Medizin beschränken, werden die Entwicklungsländer nicht die benötigte Unterstützung erhalten, diese Technologie im Nahrungsmittelbereich und in der Landwirtschaft umzusetzen. Politisches Handeln ist erforderlich, um ausreichende staatliche Investitionen in die landwirtschaftliche Forschung sicherzustellen, damit arme Landwirte und Verbraucher in Entwicklungsländern davon profitieren können. Die Regelungen zur Wahrung des geistigen Eigentums müssen die Rechte der Landwirte auf Nachbau erhalten. Handelspolitische Maßnahmen sollten nicht jene Entwicklungsländer diskriminieren, welche sich zur kommerzieflen Nutzung von genetisch modifizierten Feldfrüchten entschieden haben. Die Entwicklungsländer und deren Einwohner müssen das Recht erhalten, auf der Grundlage fundierter Debatten und individueller Risiko‐Nutzen‐Abwägungen ihre eigenen Entscheidungen zu treffen.  相似文献   

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Agri‐Food Exports to the CEECs: Winners and Losers from EU Enlargement The accession of the CEEC‐4 to the EU will enlarge its customs union and thus influence trade flows. The article examines likely changes in agri‐food trade flows and identifies the sensitive areas for future WTO negotiations on market access issues, including the potential for compensation claims by trading partners. We estimate that total CEEC‐4 agri‐food imports will increase by about 9.3 per cent. Processed food imports will rise by over 14 per cent but raw commodities by only about 3.5 per cent. There are contrasting effects among the CEEC‐4. Poland and Hungary can expect significant increases in imports while the Czech and Slovak Republics will experience slight decreases. Thus, depending on the success of their support programs for structural adjustment, Poland and Hungary may wish to negotiate transitional arrangements for the adoption of tariffs in order to protect the most sensitive sectors. The EU, the major trading partner of the CEEC‐4, will gain the most, especially Germany, while third countries will suffer comparatively small losses. We estimate that, except for limited impacts on banana and rice imports from Latin America and Asia, the forthcoming enlargement should not raise problems for third countries in the framework of the WTO negotiations on market access issues. It is likely that the EU will be able relatively easily to compensate developing country losers. Les exportations agroalimentaires vers les pays de la Communauté Européenne: les gagnants et les perdants de l'élargissement de L'Union Européenne L'accession de quatre pays d'Europe Centrale et Orientale (PECO) à l'Union Européenne élargira son union douanière et aura ainsi un impact sur les flux commerciaux. L'article examine les changements que cela peut entraîner dans les flux du commerce agroalimentaire et identifie les thèmes sensibles cies négociations futures de l'OMC sur les problèmes d'accès au marchè, y compris les possibilités de demandes d'indemnisations par les partenaires commerciaux. On estime que les importations agroalimentaires totales des quatre PECO augmenteront d'environ 9,3 pour cent. Les importations d'aliments transformés augmenteront de plus de 14 pour cent, mais les produits de base de seulement 3,5 pour cent environ. Les effets diffèrent entre ces quatre pays. La Pologne et la Hongrie peuvent espérer des augmentations significatives de leurs importations, tandis que les Républiques tchèque et slovaque connaîtront de légères diminutions. Ainsi, en function de la réussite de leurs programmes de soutien à l'ajustement structurel, la Pologne et la Hongrie peuvent espérer négocier des mesures transitoires pour l'adoption de droits de douane afin de protéger les secteurs les plus sensibles. L'Union Européenne, partenaire commercial le plus important des quatre PECO, et en son sein l'Allemagne, gagnera le plus, tandis que les pays tiers subiront, par comparaison, des pertes faibles. L'on estime que, mis à part un impact limité sur les importations de bananes et de riz en provenance d'Amérique Latine et d'Asie, l'élargissement futur ne devrait pas poser de problèmes pour les pays tiers dans le cadre des négociations de l'OMC sur les problèmes d'accès au marché. Il est probable que l'Union Européenne arrivera assez aisément à indemniser les pays en voie de développement qui seront perdants. Agrar‐und Lebensmittelexporte Ernährungswirtschaft in die MOEL: Gewinner und Verlierer der EU‐Erweiterung Mit dem Beitritt der mittel‐ und osteuropäischen Länder (MOEL) zur EU erweitert sich die Zollunion, und somit beeinflusst dies ebenfalls die Handelsströme. In diesem Artikel werden die zu erwartenden Veränderungen hinsichtlich der Handelsströme bei Produkten der Agrar‐und Ernährungswirtschaft untersucht und die für die zukünftigen WTO‐Verhandlungen heiklen Fragen zum Marktzugang herausgestellt, wie zum Beispiel potenzielle Ausgleichsforderungen der Handelspartner. Unseren Schätzungen zu Folge werden die Importe der Agrar‐ und Ernährungswirtschaft aus den MOEL um ca, 9,3 Prozent zunehmen. Die Importe von weiterverarbeiteten Nahrungsmitteln werden um über 14 Prozent zunehmen, die Importe von Roherzeugnissen jedoch nur um ca. 3,5 Prozent. Innerhalb der MOEL kommt es zu gegenläufigen Effekten. Polen und Ungarn können von signifikanten Importzuwächsen ausgehen, während für die Tschechische und die Slowakische Republik cine rückläufige Entwicklung zu erwarten ist. Daher könnten Polen und Ungarn ‐ je nachdem, welchen Erfolg ihre Subventionsprogramme zur strukturellen Anpassung aufweisen ‐ den Wunsch äußern, Übergangsregelungen für die Zollübernahme auszuhandeln, um die anfälligsten Sektoren zu schützen. Die EU als der bedeutendste Handelspartner der MOEL wird dabei am meisten profitieren, vor allem Deutschland, während Drittländer vergleichsweise geringe Verluste erleiden werden. Wenn von begrenzten Auswirkungen auf die Bananen‐ und Reisimporte aus Lateinamerika und Asien einmal abgesehen wird, sollte die bevorstehende Erweiterung für Drittländer keine Probleme im Rahmen der WTO‐Verhandlungen hinsichtlich des Marktzugangs aufwerfen. Wahrscheinlich wird es für die EU vergleichsweise einfach sein, die voraussichtlich Verluste erleidenden Länder zu entschädigen.  相似文献   

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