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1.
The emergence of a new housing crisis in the United States for low‐income renter households at the outset of the twenty‐first century can be traced to an increasing lack of affordability, where the average cost of housing as a portion of income has risen steadily over the last half‐century. In turn, this rise in housing costs can be attributed to a growing and dramatic shortage of low‐cost rental housing. Ultimately, the evocation of homeownership as the embodiment of the ‘American Dream’ has made renting the ‘stepchild’ of housing options, and this has had hidden, but nonetheless deleterious effects upon US cities, which remain major concentrations of rental housing and financially‐strapped tenants. Aux Etats‐Unis, on peut imputer la nouvelle crise du logement du début du vingt‐et‐unième siècle touchant les ménages locataires à faibles revenus à une impossibilité croissante d'accessibilité financière, la part du coût moyen d'un logement dans le revenu ayant progressé constamment au cours du demi‐siècle précédent. Par ailleurs, cette élévation des coûts du logement peut être attribuée à une pénurie accrue et dramatique de l'habitat à loyer modéré. Enfin, évoquer l'accession à la propriété comme incarnation du ‘Rêve américain’ a fait de la location le ‘parent pauvre’ des possibilités de logement, ce qui a eu des effets latents, quoique néfastes, sur les grandes villes américaines, lesquelles restent des concentrations dominantes de logements locatifs et d'occupants désargentés.  相似文献   

2.
Jeff Crump's discussion of housing policy in the United States is highly polemic but not very analytic or informative. Crump argues that federal housing policy is attempting to move people out of public housing and into the private housing market and the lowwage labor force. However, he fails to support his argument with credible evidence. My comments point out the most egregious of Crump's claims. I start with Crump's most extreme contentions that housing policy is coercing public housing residents into the low‐wage labor force. I then question his dismissive attitude toward the problems confronted by residents of distressed public housing and policies designed to help low‐income families move out of impoverished neighborhoods. I subsequently show how Crump exaggerates the extent to which federal housing policy is clearing central cities of subsidized low‐income housing. I conclude with a few words on the serious issues that a more informed critique of US housing policy could have raised. L'exposé de Jeff Crump sur la politique du logement aux Etats‐Unis relève principalement de la polémique, plus que de l'analyse ou de l'information. Selon lui, la politique fédérale tente de déplacer la population des logements sociaux vers les marchés de l'habitat privé et de la main‐d'?uvre à bas salaires. Toutefois, il n'apporte aucune preuve crédible à son propos. Ma réaction porte sur ses arguments les plus insignes, en commençant par ses allégations extrémistes selon lesquelles la politique du logement contraint les habitants des logements publics à des emplois peu rémunérés. Je remets ensuite en cause son dédain à l'égard des difficultés que rencontrent les résidents des logements sociaux insalubres, sans oublier les politiques prévues pour aider les familles à faibles revenus à quitter les quartiers pauvres. En conséquence, à mon avis, Crump exagère la mesure dans laquelle la politique fédérale élimine des centres‐villes les habitats à loyer modéré subventionnés. En quelques mots, ma conclusion porte sur les questions graves qu'aurait pu soulever un commentateur mieux documenté sur la politique du logement aux Etats‐Unis.  相似文献   

3.
In this article I argue that the US public housing policy, as codified by the Quality Housing and Work Responsibility Act of 1998 (QHWRA), is helping to reconfigure the racial and class structure of many inner cities. By promoting the demolition of public housing projects and replacement with mixed‐income housing developments, public housing policy is producing a gentrified inner‐city landscape designed to attract middle and upper‐class people back to the inner city. The goals of public housing policy are also broadly consonant with those of welfare reform wherein the ‘workfare’ system helps to bolster and produce the emergence of contingent low‐wage urban labor markets. In a similar manner, I argue that public housing demonstration programs, such as the ‘Welfare‐to‐Work’ initiative, encourage public housing residents to join the lowwage labor market. Although the rhetoric surrounding the demolition of public housing emphasizes the economic opportunities made available by residential mobility, I argue that former public housing residents are simply being relocated into private housing within urban ghettos. Such a spatial fix to the problems of unemployment and poverty will not solve the problems of inner‐city poverty. Will it take another round of urban riots before we seriously address the legacy of racism and discrimination that has shaped the US city? Cet article démontre que la politique du logement public américaine, telle que la réglemente la Loi de 1998, Quality Housing and Work Responsibility Act, contribue à remodeler la structure par races et classes de nombreux quartiers déshérités des centres‐villes. En favorisant la démolition d'ensembles de logements sociaux et leur remplacement par des complexes urbanisés à loyers variés, la politique publique génère un embourgeoisement des centres‐villes destinéà y ramener les classes moyennes et supérieures. Les objectifs de la politique du logement rejoignent largement ceux de la réforme sociale où le système de ‘l'allocation conditionnelle’ facilite et nourrit la création de marchés contingents du travail à bas salaires. De même, les programmes expérimentaux de logements publics, telle l'initiative Welfare‐to‐Work (De l'aide sociale au travail) poussent les habitants des logements sociaux à rejoindre le marchéde la main d'?uvre à bas salaires. Bien que les discours autour de la démolition des logements sociaux mettent en avant les ouvertures économiques créées par la mobilité résidentielle, leurs anciens habitants sont simplement en train d'être déplacés vers des logements privés situés dans des ghettos urbains. Ce genre de solution spatiale aux problèmes du chômage et de la pauvreté ne viendra pas à bout du dénuement des quartiers déshérités du centre. Faudra‐t‐il une autre série d'émeutes urbaines pour que l'on aborde sérieusement l'héritage de racisme et de discrimination qui a façonné les villes américaines?  相似文献   

4.
In this article I argue that the US public housing policy, as codified by the Quality Housing and Work Responsibility Act of 1998 (QHWRA), is helping to reconfigure the racial and class structure of many inner cities. By promoting the demolition of public housing projects and replacement with mixed‐income housing developments, public housing policy is producing a gentrified inner‐city landscape designed to attract middle and upper‐class people back to the inner city. The goals of public housing policy are also broadly consonant with those of welfare reform wherein the ‘workfare’ system helps to bolster and produce the emergence of contingent low‐wage urban labor markets. In a similar manner, I argue that public housing demonstration programs, such as the ‘Welfare‐to‐Work’ initiative, encourage public housing residents to join the lowwage labor market. Although the rhetoric surrounding the demolition of public housing emphasizes the economic opportunities made available by residential mobility, I argue that former public housing residents are simply being relocated into private housing within urban ghettos. Such a spatial fix to the problems of unemployment and poverty will not solve the problems of inner‐city poverty. Will it take another round of urban riots before we seriously address the legacy of racism and discrimination that has shaped the US city? Cet article démontre que la politique du logement public américaine, telle que la réglemente la Loi de 1998, Quality Housing and Work Responsibility Act, contribue à remodeler la structure par races et classes de nombreux quartiers déshérités des centres‐villes. En favorisant la démolition d'ensembles de logements sociaux et leur remplacement par des complexes urbanisés à loyers variés, la politique publique génère un embourgeoisement des centres‐villes destinéà y ramener les classes moyennes et supérieures. Les objectifs de la politique du logement rejoignent largement ceux de la réforme sociale oú le système de ‘l'allocation conditionnelle' facilite et nourrit la création de marchés contingents du travail à bas salaires. De même, les programmes expérimentaux de logements publics, telle l'initiative Welfare‐to‐Work (De l'aide sociale au travail) poussent les habitants des logements sociaux à rejoindre le marchéde la main d'?uvre à bas salaires. Bien que les discours autour de la démolition des logements sociaux mettent en avant les ouvertures économiques créées par la mobilité résidentielle, leurs anciens habitants sont simplement en train d'être déplacés vers des logements privés situés dans des ghettos urbains. Ce genre de solution spatiale aux problèmes du chômage et de la pauvreté ne viendra pas à bout du dénuement des quartiers déshérités du centre. Faudra‐t‐il une autre série d'émeutes urbaines pour que l'on aborde sérieusement l'héritage de racisme et de discrimination qui a façonné les villes américaines?  相似文献   

5.
After a decade of wide‐ranging social welfare reforms in New Zealand, that have resulted in a considerable restructuring of the role of the state in housing provision, the introduction of new housing legislation in 2000 marked a significant attempt to reassert the notion of social provision. This article examines the manner in which housing policy has recast the role of social rented housing in New Zealand and sets out the political context and implications of the new legislation in which housing policy is being pursued. It is argued that while the notion of social provision has been revived, social rented housing is still constructed in terms of a residual model of provision in the political discourses of reform. En Nouvelle‐Zélande, après une décennie de réformes sociales de toutes sortes, lesquelles ont largement restructuré le rô le de l'É tat dans la fourniture de logements, la récente présentation d'une législation sur l'habitat en 2000 s'est distinguée par une nette tendance à réaffirmer la notion de service social. En examinant comment la politique du logement néo‐zélandaise a remanié le rô le de l'habitat social en location, l'article expose le contexte et les implications politiques des nouvelles lois dans lesquelles s'inscrit la politique publique du logement. Si la notion de service social a été ravivée, le logement social en location reste un pis‐aller parmi les schémas d'aide évoqués dans les discours politiques réformistes.  相似文献   

6.
With ongoing housing reform and profound changes in housing consumption in urban China, this article aims to understand tenure transition from rental to homeownership. Because of different housing systems in China over time, and thus different connotations attached to homeownership, tenure transition should be understood within its historic context. Using a sample survey of life history in 20 cities and the method of event history analysis, this article examines the tenure transition to the first homeownership during 1949–94, a period covering both the socialist era and the early stage of housing reform. In contrast to conventional wisdom, older and married people, and those working in the public sector and living in public housing were less likely to change to homeownership before housing reform, mainly because the socialist housing system was ironically in favor of those households with higher socio‐economic positions. In the reform era, while there are remnants of the socialist housing system, tenure transition has different dynamics with factors such as marital status, work units and previous housing tenure no longer important, at least by the mid‐1990s. In addition, crowded housing conditions and long duration in the rental sector generally encourage the transition to homeownership, and there are significant regional variations. Face à la réforme actuelle du logement et aux mutations de consommation de l'habitat dans la Chine urbaine, cet article cherche à comprendre le passage de la location à la propriété. Les systèmes de logement ayant varié avec le temps, donnant à la propriété différentes connotations, il faut appréhender la transition du mode d'occupation dans son contexte historique. S'appuyant sur une étude biographique effectuée par sondage dans 20 villes et sur la méthode de l'analyse historique des événements, l'article examine la transition vers la première accession à la propriété entre 1949 et 1994, période couvrant l'ère socialiste et le stade initial de la réforme du logement. Contrairement à l'avis traditionnel, les individus mariés et plus âgés, ainsi que les employés du secteur public qui vivent dans des logements sociaux, avaient moins tendance à opter pour la propriété avant la réforme, essentiellement parce que l'habitat socialiste favorisait bizarrement les ménages aux positions socio‐économiques élevées. Pendant la période de réforme, malgré une survivance du système socialiste, le changement de mode d'occupation présente une autre dynamique; ainsi, des facteurs tels que le statut marital, les unités de travail et le mode de jouissance antérieur n'ont plus d'importance, du moins jusqu'au milieu des années 1990. De plus, les conditions de surpopulation des logements et une durée prolongée dans le secteur locatif encouragent généralement le passage à la propriété, sans oublier des variations régionales significatives.  相似文献   

7.
Domestic property and social class   总被引:1,自引:0,他引:1  
Cet exposé traite de l'importance des conséquences des différents modes d'occupation de logement, en ce qui concerne les rapports de classes. L'accent est mis précisément sur la Grande Bretagne où, environ 40% des ouvriers manuels possèdent maintenant leur propre maison, et où l'extension de l'occupation de l'habitation par le propriétaire a nettement contribué à accroitre les dividions sociales et politiques, au sein de la classe ouvrière. La question qui se pose, est de savoir si de telles divisions ont une base matérielle réelle, ou si elles sont principalement idéologiques. On voit que la réponse à cette question aura d'importantes conséquences pour l'organisation de luttes politiques autour de la question du logement. L'exposé débute par une discussion des perspectives wéberiennes et marxistes en matière d'occupation de logement et de rapports de classes. La perspective wébérienne, liée aux travaux de Rex et de Moore sur 'le logement par classes', est rejetée, quoique la possibilité de reformuler le concept du logement par classes, au sein d'une orientation wébérienne, soit mise en évidence. Le point de vue marxiste, qui rejette la possession du logement comme étant étrangère à l'identification des intérêts de classe, est également rejeté, sous prétexte que l'occupation de l'habitation par le propriétaire est un facteur crucial d'une augmentation réelles des richesses individuelles qui peuvent largement dépasser les économics que l'on peut faire sur les salaires de toute une vie. L 'exposé montre ensuite, comment la possession de sa maison va dans le sens d'une accumulation des richesses, et comment ceci crée une réelle division d'intérèt économique entre les propriétaires en jouissance et les locataires, fait qui se manifeste souvent dans les luttes politiques locales. La conclusion qui se dégage de ceci est que, les efforts des activistes locaux pour unifier les deux groupes en une alliance politique contre le capital monopole, peut sàvérer à la fois peu judicieux et nuisible à la productivité.  相似文献   

8.
Supported by federal funds, many eastern German cities have started to address their acute vacant housing problem, and the new strategies attempt to pursue revitalization in especially consistent and comprehensive forms. This article offers evidence that current policies are not meeting their main objectives. Very little is being done in the older, inner‐city neighbourhoods, although these have been given a top political priority in the planning process since they are perceived as one of the greatest economic and cultural assets of eastern Germany. Rather, the policies have been effective only in the large‐scale housing estates, where local administrations and city governments meet ‘big partners’ with resources for action. Further, it is argued that present policy strategies focus too tightly on housing market issues alone. Many housing problems cannot be solved using housing market policy tools alone as vacancy is caused by the general trends of depopulation and deindustrialization in the region. Avec l'aide de financements fédéraux, de nombreuses grandes villes est‐allemandes se sont attaquées à leur grave problème de logements inoccupés, et les nouvelles stratégies tentent une relance par des formules particulièrement vastes et cohérentes. Cet article démontre que les politiques actuelles n'atteignent pas leurs objectifs principaux. Très peu est fait dans les quartiers anciens déshérités, même si on leur a donné une priorité politique élevée dans le processus d'aménagement puisqu'ils sont en bonne place, dit‐on, dans le patrimoine économique et culturel de l'Allemagne de l'Est. En revanche, les politiques publiques n'ont été efficaces que dans les projets de logements à grande échelle lorsque les administrations locales et autorités de la ville rencontrent des ‘partenaires de poids’ ayant des ressources pour agir. De plus, les stratégies politiques présentes s'attachent trop aux seuls aspects liés au marché du logement. Bien des problèmes d'habitat ne peuvent être résolus à l'aide d'outils de politique de marché puisque la vacance tient aux tendances générales à la dépopulation et à la désindustrialisation de la région.  相似文献   

9.
The Hong Kong Government is a well-known believer in laissez faire values and capitalism. However, it provides massive public housing programmes. In order to reduce the adverse effects of the public housing programmes on capitalism, it has tried to promote the recommodification of public housing by encouraging and assisting public housing tenants to become home owners. The aim of this paper is to study the Hong Kong Government’s measures for promoting home ownership. It is argued that these measures are not very effective in reducing the decommodifying effects of the public housing services. Despite the fact that these measures aim to reduce people’s dependence on the government and to help them to re-establish their relation with the private market, they are paradoxically also a kind of decommodification — people can enjoy some benefits independently of how they perform in the private market. Hence, it can be said that the government’s measures for promoting home ownership serve more to change the form than to reduce the degree of the decommodification of the public housing services. Le gouvernement de Hong Kong est un partisan bien connu du laissez-faire et du capitalisme. Il fournit néanmoins des programmes massifs de logement public. Afin de réuire les effets adverses que les programmes de logement public ont sur le capitalisme, il a essayé de promouvoir la recommercialisation du logement public en encourageant et en aidant les locataires du logement public à devenir propriétaires. Le but de cet article est d’étudier les mesures que le gouvernement de Hong Kong a prises afin de promouvoir l’accès à la propriété. Cet essai soutient que ces mesures ne sont pas très efficaces pour réduire les effets de décommercialisation qu’ont les services de logement public. Bien qu’elles aient pour but de réduire la dépendance des habitants du gouvernement et de les aider à rétablir leur rapport avec le marché privé, elles sont aussi, paradoxicalement, une espèce de décommercialisation — dont les gens peuvent bénéficier indépendamment de leur performance sur le marché privé. On peut donc dire que les mesures prises par le gouvernement pour promouvoir l'accès à la propriété servent plus à changer la forme de la décommercialisation des services de logement public qu’à en réduire leur niveau.  相似文献   

10.
This article focuses on the role of real estate agents as interpreters of the relationship between housing aesthetics (taste) and price. The research includes an analysis of housing advertisements, observation of housing auctions, and interviews with real estate agents in the gentrified inner western suburbs of Sydney, Australia. Adapting the work of Pierre Bourdieu on social class, the article argues that the relationship between housing taste and price captures the interaction of cultural and economic capital and that the intermediary role of the estate agent can be used to explore this. It concludes that the gentrification aesthetic is dynamic and increasingly demands economic capital at the expense of cultural capital (a gentrification premium) to maintain class distinction. Cet article traite du rôle des agents immobiliers en tant qu'interprètes du lien entre l'esthétique (goût) et le prix d'un logement. L'étude couvre une analyse des annonces, une observation des ventes aux enchères, ainsi que des entretiens avec des agents immobiliers dans des banlieues embourgeoisées situées directement à la périphérie ouest de Sydney (Australie). En adaptant les travaux de Pierre Bourdieu sur les classes sociales, l'article établit que la relation goût‐prix du logement accapare l'interaction du capital culturel et économique, le rôle intermédiaire de l'agent immobilier permettant d'explorer celle‐ci. La conclusion démontre que l'esthétique de l'embourgeoisement est dynamique et exige un capital financier croissant au détriment du capital culturel (bonus de la réhabilitation) afin de préserver une distinction de classe.  相似文献   

11.
Social and Spatial Implications of Housing Reform in China   总被引:1,自引:0,他引:1  
Research into eastern European housing reform indicates that privatization has been accompanied by processes of social and physical exclusion and segregation. Has the Chinese housing reform been accompanied by similar problems? This paper addresses this question by examining the early evidence on the social and spatial consequences of housing reform. It begins with a discussion of the particular social and spatial patterns of Chinese cities developed during the early years of Communist control and then examines the social and spatial impacts of housing reform. It is argued that although housing reform has brought significant changes to the housing provision system and improved many urban residents' living conditions, it has not entirely broken the traditional system. Reform was to a large extent carried out within work‐unit establishments and has had very different impacts for different social and economic groups. In addition, spatial impacts in urban areas have varied between old and new areas and between rich and poor areas. La recherche sur les réformes du logement en Europe de l'est montre que la privatisation a été accompagnée de processus d'exclusion et de ségrégation physique et sociale. La réforme chinoise du logement a‐t‐elle été accompagnée de problèmes identiques? Cet article examine les premières données sur les conséquences sociales et spatiales de la réforme du logement. Il commence par une discussion des modèles sociaux et spatiaux particuliers aux villes chinoises développés durant les premières années du contrôle communiste et examine ensuite l'impact social et spatial de la réforme du logement. Bien que la réforme du logement ait apporté des changements significatifs au système de provision du logement et amélioré les conditions de vie de nombreux résidents urbains, elle n'a pas entièrement rompu avec le système traditionnel. La réforme a été en grande partie conduite à l'intérieur des établissements d'unités de travail et a eu un impact très différent sur les divers groupes sociaux et économiques. De plus, les impacts spatiaux dans les régions urbaines ont varié selon que les régions sont anciennes ou nouvelles et riches ou pauvres.  相似文献   

12.
Informal institutional arrangements, permeating both formal and informal housing settlements, allow markets to function in developing countries. Yet their economic, social and policy impacts are largely unexamined. Insights from the new institutional economics literature are used to show the significance of informal institutional arrangements in credit, land markets and infrastructure delivery. The analysis is grounded in the experience of Trinidad and Tobago, with empirical information drawn from fieldwork research done in 1993 and 1997. Research findings show that informal institutions of cooperation (e.g. sou‐sou, CBOs) support transactions by reducing transaction costs, by lowering risk and by providing mechanisms to cope with uncertainty. They are therefore used instead of formal institutions. Policy‐makers should expect intense utilization of such locally designed institutions that use social capital in the process of land and housing market reform in developing countries. Ce sont les arrangements institutionnels informels, organisent l'habitat officiel et officieux, qui donnent aux marchés la possibilité de fonctionner dans les pays en voie de développement. Néanmoins leur impact économique, social et politique n'ont généralement pas été examinés. J'utilise des outils provenant des travaux sur l'économie neo‐institutionaliste pour démontrer la signification des arrangements institutionnels officieux pour le crédit, les marchés agraires et la distribution des infrastructures. L'analyse est basée sur l'expérience de Trinidad et Tobago, et l'information empirique provient d'une recherche de terrain faite entre 1993 et 1997. Les résultats montrent que les institutions officieuses de coopération (par exemple sou‐sou, CBOs) supportent les transactions en réduisant leurs coûts, en abaissant les risques, et en fournissant des mécanismes pour faire face à l'incertitude. Elles sont donc utilisées à la place des institutions officielles. Les politiciens peuvent s'attendre à une utilisation intense de telles institutions désignées localement et qui utilisent le capital social dans le processus de réformes du marché agraire et du logement dans les pays en voie de développement.  相似文献   

13.
Cities throughout the world – particularly global cities – are becoming increasingly heterogeneous as a result of international migration movements. During the past three decades, the influx of immigrants into metropolitan areas like New York, Los Angeles and San Francisco has increased demand for housing, exacerbating the already tight housing markets in these cities. This article focuses on the spatial distribution and housing conditions of immigrants in San Francisco using primarily the 2000 US census data on population and housing down to the census tract level. Building on past research on ethnic enclaves and communities, this article applies spatial analysis methods to identify clusters where Chinese, Filipino and Mexican households – the largest foreign‐born groups in San Francisco – live. The article argues that different immigrant groups show distinct spatial clustering patterns and that there are significant variations in housing outcomes for immigrants within and outside of ethnic clusters. These differences are largely in the direction predicted by the spatial assimilation theory. However, findings such as the high incidence of homeownership within Chinese and Filipino clusters suggest that contemporary immigrants do not necessarily view ethnic clusters as transitory. These findings help to confirm other recent studies showing that immigrants are now spatially clustered in ways that may no longer fit theoretical models derived from the settlement patterns of late nineteenth‐century immigrants. The article contributes to literature concerned with ethnic clusters in US inner cities and the housing conditions of immigrants in global cities. A travers le monde, les villes, surtout les villes planétaires, sont de plus en plus hétérogènes à cause des mouvements migratoires internationaux. Au cours des trois dernières décennies, l'afflux de migrants vers les zones métropolitaines comme New York, Los Angeles et San Francisco a accru la demande de logements, resserrant les marchés déjàétroits dans ces grandes villes. L'article s'attache à la répartition spatiale et aux conditions de logement des immigrants à San Francisco à partir, essentiellement, de données provenant du recensement américain 2000 sur la population et l'habitat par régions sociales. S'inspirant de recherches antérieures sur les communautés et enclaves ethniques, l'étude applique les méthodes d'analyse spatiale pour identifier les regroupements de foyers chinois, philippins et mexicains (groupes d'étrangers les plus nombreux à San Francisco). Les différents groupes d'immigrants présentent des modèles d'agrégation spatiale distincts et leur logement varie considérablement selon que les populations se trouvent dans ou hors des regroupements ethniques. Ces divergences traduisent largement l'orientation prévue par la théorie de l'assimilation spatiale. Toutefois, des résultats tels que le poids de l'accession à la propriété dans les groupes chinois et philippins suggèrent que les immigrants actuels ne jugent pas forcément ces regroupements ethniques comme transitoires. Ainsi sont corroborées d'autres études récentes montrant que les immigrants sont désormais regroupés dans l'espace selon des modèles qui ne correspondent plus aux types théoriques dérivés des schémas d'implantation de la fin du dix‐neuvièmesiècle. L'article contribue au débat sur les regroupements ethniques dans les quartiers déshérités américains et sur les conditions de logement des immigrants dans les villes planétaires.  相似文献   

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L'Espagne se trouve à l'encontre de sévères problèmes urbains que le régime authoritaire ne peut résoudre. Au fǔr et à mesure que ce régime se désintère, de nouvelles revendications surgissent; mais en Espagne, contrairement au Portugale, ce sont des mouvements organisés qui réclament une nouvelle politique. Ces mouvements populaires sont fondés sur les quartiers (Barrios); cette communication s'addresse à leurs développement à Barcelone. Les mouvements urbains de cette ville ont évolués à partir d'une contestation d'issus d'envergure locale, à une qui s'addresse aux processus et planification de toute la ville. Un réseau de groupes a créé les moyens pour une renaissance d'une vie collective et démocratique. Le droit à un logement convenable, aux aménagements adéquats, au contrǒle sur l'industrie et la pollution, et à une suspension des rénovations urbaines, s'est fait valoir. Les moyens par lequels ces objectifs sont accomplis sont esquissés. Une critique de la planification implique celle de l'administration municipale. Divers genres de protestations ont eu lieu à différentes périodes dans l'évolution de cette critique. C'est maintenant que les mouvements communautaires, les analystes de l'urbain, et les nouveaux groupes politiques ont besoin de travailler ensemble afin développer un nouveau contexte pour le gouvernement municipal, à l'intérieur d'un programme socio-économique plus large. Dans n'importe quel système futur, les groupes des Barrios continueront de jouer un rǒle essentiel. Un mouvement vers une réforme municipale accompagnera vraisemblablement un changement social plus grand, surtout celui de la lutte pour l'autonomie Catalane.  相似文献   

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Les tendences divergeantes de la structure agraire dans diverses parties du Brésil sont le thème de cet article. Le développement capitaliste dans les régions rurales de São Paolo, et la préservation/destruction des formes archaïques de production dans le nord-est sont analysés en terme des catégories et stages de développement capitaliste qui évoluent au pays. En considérant ce dernier dans son ensemble, une attention particulière est donnée à l'état. Depuis le début de l'industrialisation, l'industrie et l'agriculture ont toujours eu une relation ambiguë et contradictoire, et ceçi à la fois dans l'exportation et dans les marchés internes. Ceçi explique le caractère composite de l'état et la préservation d'une agriculture primitive. La préservation de la grande entreprise agro-merchantile et des formes archaïques de l'agriculture avait des fonctions distinctes pour l'accumulation du capital dans les secteurs non-agraires. Cet article examine aussi les tendances les plus récentes dans l'organisation agraire en relation avec les caractéristiques spécifiques de la nouvelle étape acquise par le capitalisme au Brésil. Une fois de plus, Côte à côte avec l'accroissement de la c?apitalisme agraire, dans la région de São Paolo (suivit par l'émergence d'un proletariat rural plus pur, la méchanisation massive et l'augmentation rapide de la composition organique du capital agraire), se produit l'extension et la récréation continuelle de la paysannerie latifundia dans les régions éloignées du pays. Un tel développement inégal dans les régions rurales coexiste avec le développement capitaliste dans son ensemble.  相似文献   

16.
Control over the urbanization process in South Africa was redefined after the mid‐1980s, when the policy of ‘orderly urbanization’ replaced that of racially based ‘influx control’. In the early 1990s, under the inspiration of the private sector‐funded policy think tank, the Urban Foundation, a standardized capital subsidy was introduced as a means of financing the orderly settlement of poor households on peri‐urban land. Currently, the capital subsidy may be considered the cornerstone of the South African national housing policy. This article examines how the capital subsidy framework has perpetuated the practice of control by submitting urban expansion in the lowest income sector to rigid regulation. It discusses recent responses from various sectors of the South African society, while also examining how continuity in the intervention approach was maintained from previous decades. The article points to a need to depart from the capital subsidy framework as a basis for informal settlement intervention in South Africa. En Afrique du Sud, la maîtrise du processus d'urbanisation a été redéfinie vers la fin des années 1980, alors que la politique publique de ‘l'urbanisation ordonnée’ remplaçait celle du ‘contrô le des flux’ aux critères raciaux. Au début des années 1990, inspirée d'un groupe de réflexion stratégique financé par le secteur privé, la Urban Foundation, une subvention d'équipement classique, a été lancée comme moyen de financer l'implantation ordonnée des ménages pauvres dans les terres péri‐urbaines. Actuellement, la subvention d'équipement peut être considérée comme la pierre angulaire de la politique nationale du logement en Afrique du Sud. L'article examine comment le système des subventions d'équipement a perpétué l'exercice du contrôle en soumettant l'expansion urbaine à une réglementation rigide pour la population aux plus faibles revenus. Il étudie les réactions récentes de plusieurs secteurs de la société sud‐africaine, tout en approfondissant comment la continuité de cette démarche a été préservée à partir des dernières décennies. Ces travaux soulignent la nécessité de sortir du système des subventions d'équipement comme fondement d'intervention pour l'habitat sauvage en Afrique du Sud.  相似文献   

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La résistance des habitants des quartiers populaires de Bogotá contre la construction d'une autoroute à travers leur voisinae, est le sujet de cet article. Cette 'Avenida de los Cerros' faisait partie d'un 'programme intégré de développement urbain' comprenant aussi la construction de centres médicaux, écoles, et autres infrastructures urbaines; le côut de 89 millions de dollars américains, étant financé par l'Intramerican Development Bank. Ce mouvement urbain est analysé en tant que pratique spécifique, particulière aux résidents des quartiers populaires. En tant que groupe sociale, leurs traits communs sont qu'ils vivent à l'intérieur d'un quartier strictement ségrégé géographiquement et socialement—le 'barrio', et qu'ils vendent leur force de travail sur un marché du travail dévalué, sans pour autant constituer une classe sociale homogène. Toutefois, comme sous-proletariat urbain ils partagent un intérêt commun dans la consommation collective et individuelle (déficiences en matières de logement, service, etc., et expérience de la pauvreté). La menace de l'Avenida de los Cerros dans ces deux domaines fût reconnue et causa une grande agitation parmi les habitants du 'barrio'. Le plan de construction fût abandonné après deux ans de protestations. Bien que le mouvement populaire eu de l'influence, cet abandon fut en grande partie causé par une conjoncture changeante quand les intérêts du bloc au pouvoir de la classe dirigeante se déplacèrent vers d'autres quartiers.  相似文献   

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Informal, or illegal, occupation of land is growing in importance in the cities of the developing world, especially sub‐Saharan Africa. The widespread nature of ‘illegality’ in some situations has led to queries of whether this should be termed ‘illegal’, and this is particularly so where there are potentially different entities bestowing legality. It has been increasingly recognized that informal land development is a solution for access to land by the urban poor, where formal supply is inadequate and inflexible, but that there need to be more efficient relationships between the formal and informal sectors. It is thus argued that new forms of association and new forms of partnership across the formal boundary are required. This article looks at the situation of land access for housing in Maputo, the capital of Mozambique, with a focus on the poor majority, and suggests alternative mechanisms for urban land rights to the simplistic application of full freehold tenure in formal land markets. These alternative mechanisms are based on structures within civil society, as it is argued that where the state and market are weak, as in Mozambique, these are more appropriate and less alienating for the urban poor majority. L'occupation irrégulière, voire illégale, des terrains s'accroît dans les villes des pays en développement, notamment en Afrique sub‐saharienne. Le caractère répandu de ‘l'illégalité’ dans certaines situations a conduit à s'interroger sur la pertinence du terme ‘illégal’, en particulier quand différentes entités sont susceptibles d'accorder la légalité. De plus en plus souvent, il est reconnu que l'aménagement non‐officiel du sol est une solution permettant aux citadins pauvres d'accéder à la terre (lorsque l'offre officielle n'est ni suffisante ni souple), mais que les relations entre les secteurs officiels et non‐officiels doiventÀtre plus performantes. L'article affirme qu'il faut créer de nouvelles formes d'association et de partenariat dépassant le cadre officiel. Il observe la situation de l'accès foncier pour le logement à Maputo, capitale du Mozambique, en considérant la majorité pauvre, et suggère d'autres mécanismes pour les droits fonciers urbains jusqu'à la demande toute simple de la pleine propriété sur des marchés fonciers officiels. Ces mécanismes de substitution sont basés sur des structures appartenant à la société civile, car lorsque l'État et le marché sont faibles, comme au Mozambique, ces mécanismes sont plus appropriés et moins aliénants pour la majorité urbaine pauvre.  相似文献   

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Hiring‐halls, specializing in the placement of day‐laborers in temporary jobs, have in recent years been proliferating along major transport arteries in Chicago's low‐income neighborhoods. This article examines the phenomenon of low‐wage temporary work in Chicago from the perspective of the principal institutional actors in these highly ‘flexibilized’ or ‘contingent’ labor markets – the ‘temp’ agencies. Particular emphasis is placed on the labor‐market effects of temp‐agency strategies, both in respect to patterns of labor segmentation and in terms of the spatial (re)constitution of urban job markets. It is suggested that temp agencies are actively engaged in both the exploitation and facilitation of contingent labor‐market conditions. In this sense, they are assuming important new roles as privatized ‘labor‐market intermediaries’, with apparently deleterious effects for job security and social segregation in the lower reaches of urban labor markets. Their strategies can also be related to the social and geographic restructuring of these job markets, because the growth and polarization of temp employment has been associated with a ‘hardening’– and indeed ‘stretching’– of extant ethnic, gender and spatial inequalities. Des bureaux d'embauche, spécialisés dans le placement de journaliers sur des postes temporaires, ont récemment proliféré le long des grands axes de transport dans les quartiers défavorisés de Chicago. Cet article étudie le phénomène du travail temporaire à faible revenu dans cette ville, et ce, du point de vue des principaux acteurs institutionnels sur ces marchés du travail hautement ‘flexibilisés’ ou ‘aléatoires’: les agences de travail temporaire. Il insiste sur les conséquences des stratégies de ces agences pour le marché de l'emploi, à la fois au niveau des schémas de segmentation du travail et en termes de (re)constitution spatiale des marchés du travail urbains. Aussi peut‐on suggérer que ces agences sont activement impliquées dans l'exploitation et la facilitation des conditions aléatoires du marché du travail. En ce sens, elles jouent un rôle important et nouveau comme ‘intermédiaires du marché du travail’ privatisés, avec des effets apparemment néfastes pour la sécurité de l'emploi et la ségrégation sociale dans les circuits inférieurs des marchés urbains. Leurs stratégies peuvent aussi être liées à la restructuration sociale et géographique de ces marchés, la croissance et la polarisation de l'emploi temporaire ayant ètè associées à un ‘durcissement’, et assurément à une ‘extension’, des inégalités existantes au plan ethnique, spatial et des sexes.  相似文献   

20.
The development of low‐income housing continues to be a political imperative and an urban reconstruction priority for the post‐apartheid South African state. But, even though policies for housing construction and delivery by the state are in place, in practice many homeless families initiate, direct and drive the process through which they secure state‐provided housing. I analyse in this study two such cases where homeless residents in peripherally located, poor areas of the Cape Metropolitan Area successfully accessed state‐provided housing. In both instances, homeless families organized around the different sets of capacities that structured the nature of the linkages that each forged to resources outside of their respective areas, and thus the ways in which they pursued their need for housing. I argue in this study that uneven and place‐specific, community‐based capacity often directs the manner in which communities interpret, interface with and access state‐run urban reconstruction projects such as housing provision. An analysis of community‐based capacity thus proves useful to investigate the potential and the problems that underlie state initiatives for development and the manner in which communities participate and engage with urban reconstruction and development. L'expansion du logement social reste un impératif politique et une priorité de la reconstruction urbaine pour l'État sud‐africain de l'après‐apartheid. Des politiques de construction et de fourniture de logements par l'État ont été mises en place mais, en pratique, de nombreuses familles sans‐domicile induisent, orientent et mènent le processus par lequel elles s'assurent un logement public. Cette étude analyse deux de ces cas dans lesquels des sans‐domicile vivant dans des quartiers pauvres à la périphérie de la zone métropolitaine du Cap ont réussi à se loger. Dans les deux situations, les familles se sont organisées autour des capacités spécifiques qui structuraient la nature des liens établis pour trouver des ressources hors de leurs quartiers respectifs, définissant ainsi leurs modalités d'action pour obtenir un logement. L'étude démontre qu'une capacité inégale, particulière à un lieu et à un groupe, oriente souvent la manière dont les communautés interprètent, interagissent avec et accèdent aux projets de reconstruction urbaine menés par l'État tels que la fourniture de logement. Il apparaît donc utile d'analyser la capacité propre à une communauté, si l'on veut déterminer non seulement le potentiel et les problèmes fondamentaux des initiatives gouvernementales de développement, mais aussi la manière dont les communautés participent et contribuent à la reconstruction et à l'aménagement urbains.  相似文献   

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