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1.
Résumé. Les vérificateurs, les responsables de la réglementation et les universitaires s'intéressent à la pratique du ? leurre-prix ? et à sa relation avec l'objectivité du vérificateur. Cette question a même fait l'objet de plusieurs modèles analytiques. Ces théories n'ont cependant jamais été testées, principalement à cause de l'absence de données concrètes relatives à d'importantes variables contextuelles. Les auteurs de la présente étude élaborent un modèle à périodes multiples s'appliquant à la pratique du leurre-prix et à l'objectivité du vérificateur et l'expérimentent dans des marchés de laboratoire en recourant à la méthodologie de l'économique expérimentale. Leur étude vient enrichir la documentation existante sous deux rapports. D'abord, il s'agit de l'une des premières études à produire une argumentation empirique et à expérimenter la théorie de la relation entre la pratique du leurre-prix et l'objectivité. Ensuite, le modèle repose sur un raisonnement nouveau relatif à la pratique du leurre-prix et à sa relation avec l'objectivité du vérificateur. La pratique du leurre-prix et l'atteinte à l'objectivité, qui se manifestent indépendamment des coûts exogènes des opérations, sont le résultat de la prémisse d'une variation transversale dans les coûts et la qualité de la vérification et d'un avantage relatif à l'information qui échoit à un couple vérificateur attitré-client en ce qui a trait à l'évolution de ces dimensions de la vérification. Les auteurs ont appliqué le modèle pendant un certain nombre de périodes à des marchés de laboratoire réunissant plusieurs acheteurs et plusieurs vendeurs. Ils ont observé seize de ces marchés dans le but de vérifier la valeur prédictive du modèle en ce qui a trait aux prix et à l'information communiquée. L'expérience est concluante quant à la pratique du leurre-prix, mais elle n'est pas convaincante en ce qui a trait à la prévision exacte des prix. L'expérience confirme également la validité des prévisions relatives à l'information communiquée, les vendeurs ne s'éloignant de la vérité (et faisant une entorse à l'objectivité) que lorsque les profits supplémentaires qu'ils sont susceptibles d'en retirer sont supérieurs aux coûts supplémentaires que risque d'entraîner la communication d'information inexacte. L'on peut obtenir les données relatives aux marchés de laboratoire utilisées dans le présent document en en faisant la demande aux auteurs.  相似文献   

2.
Résumé. Les méthodes d'inférence de probabilités subjectives que sont l'amplitude directe et la bissection ont été comparées par l'auteur en ce qui a trait à l'exactitude, telle que déterminée par l'environnement (fréquence relative), des probabilités résultant de l'application de ces méthodes et à l'acceptabilité des méthodes d'inférence. Chaque participant à l'expérience a utilisé les deux méthodes et attribué à chacune d'elles une cote d'acceptabilité. L'auteur a mis à la disposition des sujets un logiciel d'inférence interactive, comprenant l'affichage graphique sous forme d'histogramme des probabilités selon les deux méthodes d'inférence, afin de les aider et d'assurer une comparaison plus raffinée des méthodes. Des étudiants de deuxième cycle diplômés en gestion, bien renseignés tant sur le contexte de la tâche que sur les probabilités subjectives, se sont prêtés à l'expérience. L'inférence directe a donné des probabilités subjectives beaucoup plus exactes que la bissection et s'est révélée beaucoup plus acceptable aux yeux des participants.  相似文献   

3.
Abstract. “What economic problems do existing accounting institutions solve?” Experimental economics helps to answer this question. It can be applied to issues in disclosure and auditing, regulation and taxation, and the internal organization of the firm. One can experimentally examine questions such as “Why do firms disclose?” “Why is there a regular issuance of financial statements by firms?”, “Why do managers make forecasts?” “What is the role of regulation in accounting?” “What effects do various tax policies have on the demand for depreciable risky assets?” “What is the role of information in the organization of the firm?” “What costs and benefits are associated with decentralization?” Experimental economics builds the interplay between theory and data, which is necessary for a discipline to become legitimate science. Theory is the guidepost in attempting to construct imaginative examinations of phenomena, and the results of the tests become a basis for revising theory. Experimental economics is a powerful tool for extending understanding of accounting phenomena. Using this tool is not without its limitations. Most experiments make precise choice predictions even though the tastes and beliefs of experimental subjects are at most partially known. Because the phenomena of interest are often quite complex, there are usually several maintained hypotheses. As the complexity of these settings increases, there is also increasing need for statistical contributions. This paper is intended to aid in the development of experimental economics as a research tool in accounting by assisting both those interested in conducting experiments and those interested in assimilating experiments to evaluate experimental work critically. Résumé. «Quels problèmes économiques les institutions comptables existantes résolvent-elles?: l'economique expérimentale apporte une réponse à cette question. Elle peut se pencher sur des sujets touchant la présentation d'information et la vérification, la réglementation et l'imposition, de même que l'organisation interne de l'entreprise. L'économique expérimentale s'intéresse à des questions comme les suivantes: «Pourquoi les entreprises présentent-elles de l'information?», «Pourquoi les entreprises publientelles régulièrement des états financiers?», «Pourquoi les gestionnaires font-ils des prévisions?», «Quel est le rôle de la réglementation en comptabilité?», «Quelles conséquences les diverses politiques fiscales ont-elles sur la demande d'éléments d'actif amortissables présentant des risques?», «Quel est le rôle de l'information dans l'organisation de l'entreprise?» et «Quels coûts et quels avantages sont associés à la décentralisation?» L'économique expérimentale établit entre la théorie et les faits l'interaction nécessaire à la conversion d'une discipline en une science à part entière. La théorie sert de balise dans les efforts des chercheurs pour créer des façons imaginatives d'analyser les phénomènes, et les résultats de ces examens servent ensuite de fondement à la révision de la théorie. L'économique expérimentale est un instrument puissant permettant d'étendre nos connaissances en ce qui a trait aux phénomènes comptables. L'utilisation de cet instrument comporte, certes, des limites. Les prévisions résultant de la plurpart des expériences reposent sur des choix précis, même si les goûts et les convictions des sujets d'expérience sont, au mieux, partiellement connus. Les phénomènes qui présentent un intérêt étant souvent assez complexes, plusieurs hypothèses sont habituellement posées. Et plus les cas se complexifient, plus le rôle de la statistique revêt de l'importance. Les auteurs ont pour but de favoriser le développement de l'économique expérimentale à titre d'instrument de recherche en comptabilité en aidant à la fois ceux qui s'intéressent à la poursuite d'expériences et ceux qui s'intéressent à l'assimilation de ces expériences dans le but de procéder à l'évaluation critique des travaux expérimentaux.  相似文献   

4.
Résumé. Dans le présent article, les auteurs font état des résultats d'une recherche dans le cadre de laquelle des vérificateurs expérimentés ont interprété les critères du Statement of Financial Accounting Standards No. 5 (Norme n° 5): Accounting for Contingencies (Comptabilisation des éventualités). Cette recherche est axée sur deux questions: 1) la nature et le degré du consensus qui se dégage des interprétations des vérificateurs et 2) la mesure dans laquelle ces interprétations dépendent de la nature de la perte éventuelle. Quarante-cinq vérificateurs expérimentés (chefs de groupe, directeurs et associés) issus de cabinets d'experts-comptables figurant parmi les «huit grands» se sont prêtés à un exercice visant à recueillir leur interprétation des critères de probabilité de la Norme n° 5. Nous avons centré notre analyse sur le seuil auquel s'établit la distinction entre une perte «improbable» et une perte «plausible», et entre une perte «plausible» et une perte «probable». Les résultats de nos recherches ont indiqué: 1) un seuil moyen respectif de 0, 16 et 0,68; 2) un consensus plus manifeste chez les vérificateurs dans le cas du premier seuil que dans le cas du second; 3) un premier seuil beaucoup plus bas que ne l'avaient laissé supposer les précédents travaux de recherche; et 4) dans l'ensemble, l'absence de lien entre les seuils et la nature de la perte éventuelle.  相似文献   

5.
Résumé. Les auteurs font appel aux théories proposées par Darrough et Stoughton (1990) afin de mieux comprendre pourquoi certaines entreprises incorporent volontairement des prévisions directionnelles à leurs rapports annuels alors que d'autres s'en abstiennent. Les données qu'ils recueillent sont conformes à leurs prédictions selon lesquelles la politique d'information d'une entreprise reflète ses préoccupations à l'égard de la cote d'évaluation que lui attribue le marché des capitaux et à l'égard de la concurrence à laquelle elle doit faire face sur le marché des produits. Les auteurs constatent que pour les entreprises dont l'information est favorable, la probabilité de produire de l'information prévisionnelle croît lorsque l'entreprise a besoin de capitaux, mais décroît lorsqu'un nouveau concurrent menace d'entrer sur le marché. L'inverse est vrai pour les entreprises dont l'information est défavorable. Ces résultats viennent étayer plus solidement, sur le plan empirique, l'observation selon laquelle l'hypothèse familière de l'information favorable vérifiée dans les travaux portant sur la prévision des résultats par la direction n'offre qu'une explication partielle à la décision de produire de l'information prévisionnelle. Chose intéressante, toutefois, même une fois contrôlés les facteurs relatifs au marché des capitaux et au marché des produits, les données révèlent toujours une distorsion globale dans la présentation volontaire d'information. Elles viennent également légitimer les préoccupations de la CVMO à l'égard de cette distorsion dans la présentation volontaire d'information. Seulement 17,5 pour cent des prévisions de l'échantillon sélectionné par les auteurs indiquent une baisse par rapport aux résultats de l'exercice précédent. Toutefois, par contraste avec les préoccupations de la CVMO en ce qui a trait à l'absence générale d'information prospective dans les rapports annuels, 35,9 pour cent des entreprises de l'échantillon constitué par les auteurs incorporent des prévisions directionnelles à leur rapport de gestion ou à d'autres sections de leur rapport annuel.  相似文献   

6.
Abstract. Résumé. Les auteurs proposent une explication des motifs pour lesquels les gestionnaires peuvent opter pour la modification des méthodes comptables. En situation difficile et devant la probabilité sérieuse d'un manquement technique aux clauses restrictives que comportent les contrats d'emprunt de l'entreprise, le gestionnaire est enclin à procéder à des modifications entraînant la hausse des bénéfices dans le but d'esquiver l'éventuel manquement. En posant l'hypothèse de prévisions rationnelles, si les investisseurs ne détiennent aucune information préalable au sujet des difficultés qu'éprouve l'entreprise, la réaction prévisible du marché à l'annonce d'une modification comptable sera négative. Nous postulons que la réaction du marché à cette décision à la date de l'annonce de la modification est en corrélation négative avec le volume d'information que peuvent détenir les investisseurs. Ils auteurs ont sélectionné un échantillon de 77 entreprises dans le but de vérifier leur raisonnement économique. Ds se servent des rendements anormaux constatés à la date de l'annonce pour tester la réaction des investisseurs à la modification comptable. Des tests transversaux associent la réaction des investisseurs à l'information qu'ils détenaient au préalable au sujet de la situation financière des entreprises de l'échantillon. À la date de l'annonce des modifications, les entreprises échantillonnées n'ont pas enregistré de réaction négative du marché qui soit statistiquement significative. Une analyse transversale permet cependant de conclure que le paramètre de la réaction du marché est en corrélation négative significative avec la variable substitutive de l'information préalable.  相似文献   

7.
Résumé. La profession comptable et de vérification fait grand usage de mots pour communiquer les niveaux d'incertitude dans des situations formelles et informelles s'étendant des déclarations du Manuel, en passant par les documents de travail jusqu'aux communications de tous les jours. La littérature comptable ne présente pas de recherches sur le niveau d'ambiguïté dans les interprétations de telles communications ou sur les facteurs qui pourraient potentiellement influencer cette ambiguïté. Cet article fournit un examen détaillé et approfondi de l'ambiguïté des interprétations dans la communication de l'incertitude en faisant usage d'un vocabulaire familier aux comptables et aux vérificateurs. Des niveaux de probabilité moyens furent calculés à partir des réponses à différents mots communément utilisés. Des analyses supplémentaires des interprétations furent entreprises pour comparer différentes méthodes de répondre aux communications. Pour ce faire, nous avons utilisé différentes façons pour évaluer l'impact sur les interprétations et pour comparer les réponses des sujets de différents groupes. Nous avons fait usage de différents designs expérimentaux afin d'assurer la validité interne nécessaire à l'interprétation des résultats de la recherche. La validité externe fut assurée par l'utilisation: de mots communs, de sujets raisonnablement sophistiqués, d'observations à différents moments et en faisant des comparaisons avec les résultats d'expériences dans d'autres cadres. Cet article démontre que l'ambiguïté existe et que cette ambiguïté est raisonnablement stable pour le vocabulaire du comptable. De même, l'ambiguïté peut être augmentée par l'utilisation de modes de réponse difficiles de la part de l'interprète, mais elle ne peut être réduite facilement.  相似文献   

8.
Résumé. L'auteur étudie l'incidence de la compétence sur la qualité de la prise de décisions de vérification dans le contexte de la planification de la vérification. Contrairement aux chercheurs qui se sont, jusqu'à maintenant, penchés sur cette question, il mesure la compétence par rapport à des champs de connaissances précis. Il évalue la qualité de la prise de décisions de vérification en fonction de trois critères: la conformité aux normes de la profession, la conformité aux normes du cabinet et le degré de consensus parmi les vérificateurs. Dans l'ensemble, les résultats de l'analyse permettent de conclure que la qualité de la prise de décisions, au sens que lui donne l'auteur, est supérieure chez les vérificateurs expérimentés par rapport aux vérificateurs inexpérimentés. Plus particulièrement, il semble, en premier lieu, que les vérificateurs expérimentés comme les vérificateurs inexpérimentés possèdent un bagage de connaissances minimum et se conforment aux normes de la profession. En second lieu, les vérificateurs expérimentés se conforment davantage aux normes du cabinet, tant en ce qui a trait aux décisions relatives à la confiance à accorder au contrôle interne qu'aux décisions de corroboration, ce qui indique que les connaissances des vérificateurs expérimentés seraient plus approfondies que celles des vérificateurs inexpérimentés. Enfin, le degré de consensus chez les vérificateurs expérimentés est supérieur à celui qu'on retrouve chez les vérificateurs inexpérimentés en situation de vérification normale, bien que dans les situations plus inhabituelles, le degré de consensus soit plus faible chez les vérificateurs expérimentés.  相似文献   

9.
Résumé. L'auteur examine comment le risque d'épuisement des obligations fiscales des sociétés avant la déduction des intérêts débiteurs influe sur leur niveau d'endettement. L'étude diffère des travaux précédents sous trois aspects: 1) elle fait usage de données compilées par l'Internal Revenue Service (IRS) à partir des déclarations de revenus des sociétés plutôt que de données comptables; 2) elle mesure le risque d'épuisement de l'impôt avec plus de précision; et 3) elle fait appel à une méthode reposant sur les séries chronologiques et le calcul des différences d'ordre 1, de sorte que les sociétés servent d'élément d'autocontrôle entre années successives. Ces innovations méthodologiques réduisent les distorsions attribuables à l'erreur de mesure et aux variables omises que l'on retrouvait dans les travaux précédents. Les résultats donnent à penser que, toutes choses étant égales par ailleurs, le risque élevé d'épuisement de l'impôt amène les sociétés à réduire leur utilisation du levier financier. L'étude fournit également des données confirmant pour la première fois que les impôts des particuliers influent de manière sensible sur le niveau d'endettement des sociétés. Les effets des décisions relatives au niveau d'endettement sur d'autres variables font également l'objet de tests dont les résultats confirment les prévisions énoncées dans les travaux théoriques précédents.  相似文献   

10.
Résumé. Cette étude se penche sur l'effort en terme de temps de révision des chefs de groupe en vérification (tel que reflété par leurs estimations du temps requis pour la révision du dossier de vérification) et la mesure dans laquelle cet effort est orienté par une autre activité importante du chef de groupe: la planification initiale de la mission de vérification. La planification initiale de la vérification est conditionnée par l'identification de certaines zones critiques dans la note de planification. Les pressions temporelles et les caractéristiques individuelles du vérificateur sont également étudiées, car les recherches antérieures en vérification semblent indiquer qu'elles sont susceptibles d'influencer la révision du chef de groupe. Cette analyse est fondée sur les réponses, provenant de soixante-treize chefs de groupe de dix grands cabinets d'experts-comptables, à un cas de vérification. Les résultats indiquent que: 1) les chefs de groupe font preuve d'un consensus raisonnable en budgétisant plus de la moitié du temps de vérification pour la révision, 2) le plan initial de vérification oriente leur révision ultérieure, 3) les pressions au niveau du temps n'influencent pas de façon significative leurs estimations relatives au temps de révision, et 4) l'appartenance à un cabinet, le niveau d'expérience de vérificateur, et l'effort de planification initiale sont reliés aux différences des pratiques et des perceptions de la révision par le chef de groupe. La fin de cet article comporte une discussion des conséquences de ces résultats en regard de la pratique et des recherches ultérieures.  相似文献   

11.
Résumé. Cette première étude canadienne des prévisions de bénéfices comptables effectuées par les analystes financiers et publiées par l'Institutional Brokers Estimate System (IBES) s'intéresse aux révisions dans les prévisions moyennes de bénéfice par action, pour 159 à 188 entreprises, de 1985 à 1987. L'étude utilise une approche résiduelle pour analyser l'évolution des rendements lors de l'annonce des révisions les plus importantes. Les principaux résultats sont les suivants. Premièrement, l'investisseur qui disposerait des révisions au début du mois où elles sont transmises aux abonnés pourrait réaliser des rendements anormaux. Deuxièmement, l'abonné qui transige sur la base de l'information qu'il reçoit pourrait également développer des stratégies de placement qui généreraient des rendements excédentaires importants. Il devrait pour cela tenir compte simultanément de l'importance relative des révisions, du secteur d'activité des entreprises et de l'horizon des prévisions. Troisièmement, lorsque les prévisions sont publiées, l'information contenue dans les changements importants dans les prévisions a déjà été partieliement anticipée par le marché. Ce résultat confirme ceux obtenus aux États-Unis et en Grande-Bretagne. Enfin, les révisions importantes coïncident avec une période de rendements anormaux. On ne peut cependant pas mettre en évidence de lien de causalité entre la divulgation de ces révisions et les rendements anormaux, car la date où l'information parvient aux utilisateurs ne peut ètre déterminée avec précision. Ces résultats ne varient pas selon le modèle de prévision des rendements utilisé. Ils ne constituent vraisemblablement pas une marque d'inefficience du marché canadien, car l'acquisition, le traitement et l'analyse des données, ainsi que les frais de transaction représentent des coûts importants qui limitent les rendements nets de stratégies de placement basées sur ces données.  相似文献   

12.
Abstract. This paper explores restrictions in private lending agreements to determine how contractors' status affects (1) the number of limitations on managerial actions and (2) tightness (or slack) of contract restrictions at contract inception. The major result of the multivariate tests is that highly leveraged borrowers are forced to negotiate agreements with both more numerous and tighter restrictions. Debt contracts represent a series of rational trade-offs. Firms with higher debt face more restrictions, which are tighter and more likely to restrict managerial actions. Similarly, borrowers are more likely to agree to tighter extensive restrictions in exchange for more substantial loans. The evidence also indicates that larger firms that possess greater resources to avoid default are able to negotíate looser agreements that contain fewer restrictions. Secured loans do not impose a large number of accounting-based restrictions on managements' actions because secured lenders have less need to restrict managements' options. However, long-term agreements, including insurance loans, include more restrictions on dividends and payout options but use covenant ratios to allow management the flexibility needed over the course of a long-term loan. Résumé. Les auteurs étudient les clauses restrictives des contrats de prêt privés afin de déterminer comment la situation des contractants influe sur 1) le nombre des limites imposées à la direction dans sa marge de manoeuvre et 2) la rigueur (ou la malléabilité) des restrictions contractuelles au début du contrat. Une constatation principale résulte des tests à plusieurs variables aléatoires: les emprunteurs dont le levier financier est important se voient contraints de négocier des contrats contenant à la fois des restrictions plus nombreuses et plus rigoureuses. Les contrats d'emprunt sont en quelque sorte une série de compromis rationnels. Les entreprises dont la dette est plus élevée font face à davantage de restrictions, qui sont plus limitatives et plus susceptibles de réduire la marge de manoeuvre de la direction. D'autre part, les emprunteurs sont plus enclins à accepter que leur soient imposées des restrictions plus rigoureuses et plus nombreuses, en échange de prêts plus substantiels. Les résultats de la recherche révèlent également que les entreprises plus grandes disposant de ressources plus importantes qui diminuent le risque de non-remboursement sont en mesure de négocier des ententes plus souples qui contiennent moins de restrictions. Les prêts garantis n'imposent pas beaucoup de restrictions comptables à la marge de manoeuvre de la direction, puisque les prêteurs garantis éprouvent moins la nécessité de restreindre les options de la direction. Toutefois, les contrats à long terme, parmi lesquels les prêts de compagnies d'assurance, comportent davantage de restrictions relatives aux dividendes et aux options de remboursement mais prévoient dans leurs clauses restrictives des ratios moins sévères, de faccon à assurer à la direction la souplesse qui lui est nécessaire pendant toute la durée des prêts.  相似文献   

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Résumé: L'existence de la communautééconomique de l'Afrique de l'Ouest (CEAO) a prmis aux Etats membres de développer les échanges commerciaux de produits insustriels. Cela a été possible grâe à l'adoption par la CEAO d'unmécanisme original“ la taxe de coopération régionale (TCR). Elle a permis la compensation des pertes de recettes ficales résultant des échanges intracommunautaires pour les pays importateurs. Les effects de cette TCR sur les pays sont différents. II existe d'une part une catégorie de pays la Côte-d'Ivoire, et dans une moindre mesure le Sénégal, quisupportent les coûts budgétaires de la TCR, mais dont les industries ont puprofiter di développement des échanges, et d'autre part des pays comme: le Burkina, le Mali, la mauritanie et le Niger dont les industries n'ont pu bénéficier du développement des échange, et d'autre part des pays comme: le Burkina, le Mali, la Mauritanie et le Niger dont les industries n'ont pu benéficier du développement des échanges, mais les coúts budgétaires pour ces pays sont faibles á causee de l'existence d'un systéme de compensation. Enfin par rapport a la théorie de base des Unions douaniéres, on ne peut conclure ni á la création, ni au détournement d'échanges commerciaus dans le cas de la CEAO. Abstract: The “Communautééconomique de l'Afrique de l'Ouest (CEAO)” has enabled its member states to develop trade in industrial products. This has been possible on account of the adoption by the CEAO of an original mechanism: The regional cooperation tax (taxe de cooperation régionale-T.C.R.)-It provides compensation for importing countries's losses in respect of intracommunoty trade.  相似文献   

14.
15.
Abstract. This paper examines the degree to which managerial discretion over accruals relating to loan losses in the Canadian banking industry during 1977–87 may have been utilized to manage regulatory capital, taxable income, and reported earnings. These years reflect a unique period in which accounting and regulatory practices differed significantly from the post-1987 period. These prior practices created different types of incentives and highlighted different policy issues such as the role of tax benefits in loan loss accrual decisions. We model a three-equation, simultaneous system around three annual discretionary choices: the amount of loan loss experience accrued (based on specific provisions), the size of reserve transfers to the Appropriation for Contingencies (based on general provisions), and the extent of external regulatory capital raised. Results indicate strong support for the capital maintenance predictions and weaker, but significant, support for the tax management predictions. Results do not support the predictions of the earnings management hypothesis. Résumé. Les auteurs examinent la mesure dans laquelle la discrétion dont jouissait la direction dans la présentation des montants cumulatifs des pertes sur prêts, dans le secteur bancaire canadien entre 1977 et 1987, pourrait avoir été mise à profit dans la gestion du capital réglementaire, du revenu imposable et des bénéfices publiés. Cette décennie est unique puisqu'elle se caractérise par le fait que les méthodes comptables et réglementaires présentaient des différences significatives par rapport à celles de la période postérieure à 1987. Les méthodes initiales ont donné naissance à différents types d'incitatifs et mis en relief des questions différentes relatives aux politiques, telles que le rôle des avantages fiscaux dans les décisions touchant les pertes sur prêts cumulatives. Les auteurs créent un modèle à partir d'un système de trois équations concomitantes, autour de trois choix annuels discrétionnaires: le montant cumulatif des pertes sur prêts qui sont subies (basé sur des dispositions précises), l'importance des transferts de réserves aux provisions pour éventualités (basée sur des dispositions générales), et l'importance du capital réglementaire externe recueilli. Les résultats confirment éloquemment les prédictions relatives au maintien du capital et de façon plus tempérée, mais néanmoins significative, les prédictions relatives à la gestion fiscale. Ils ne confirment cependant pas les prédictions relatives à la gestion des bénéfices.  相似文献   

16.
Les auteurs étudient les répercussions de la Pension Protection Act de 2006 (PPA 2006) sur la valeur boursière des actions. La PPA 2006 contient deux dispositions principales : 1) les entreprises doivent assurer la capitalisation intégrale de leur régime de retraite en sept ans (alors qu’une période de trente ans leur était auparavant accordée pour capitaliser 90 pour cent de leur passif au titre du régime) et 2) elles peuvent se prévaloir d’une déduction fiscale à l’égard des cotisations à concurrence de 150 pour cent du passif au titre du régime (alors que le plafond de la déduction était antérieurement de 100 pour cent). Une fois contrôlés l’incidence de la norme SFAS 158, les possibilités de croissance, le coût du financement externe et les autres informations publiées au cours de la période d’échantillonnage, les auteurs examinent les rendements anormaux des entreprises ayant un régime de retraite, à proximité des dates marquantes du processus législatif ayant menéà l’adoption de la PPA 2006. Premièrement, ils observent un rendement anormal moyen négatif de – 4,20 pour la période au cours de laquelle la PPA 2006 a fait l’objet d’un premier vote au Congrès. La capitalisation boursière de l’entreprise moyenne (médiane) de l’échantillon a enregistré un déclin de 310 millions de dollars (60 millions de dollars). Deuxièmement, les auteurs constatent que les répercussions sur la valeur boursière sont plus négatives dans le cas des entreprises présentant des passifs non capitalisés plus importants au titre du régime et devant faire face à des dépenses en immobilisations plus substantielles, alors que les entreprises dont les taux d’imposition marginaux sont plus élevés enregistrent des répercussions positives. Troisièmement, les auteurs ne relèvent aucun élément permettant d’affirmer que les répercussions sur la valeur boursière varient selon les différentes catégories de risque définies par la PPA 2006. Enfin, ils recensent un nombre appréciable de cas de blocage du régime au cours de la période soumise à l’étude. Les résultats sont plus marqués encore lorsque ces entreprises sont retirées de l’échantillon.  相似文献   

17.
Abstract. This paper models the relation between a firm's market value and accounting data concerning operating and financial activities. Book value equals market value for financial activities, but they can differ for operating activities. Market value is assumed to equal the net present value of expected future dividends, and is shown, under clean surplus accounting, to also equal book value plus the net present value of expected future abnormal earnings (which equals accounting earnings minus an interest charge on opening book value). A linear model specifies the dynamics of an information set that includes book value and abnormal earnings for operating activities. Model parameters represent persistence of abnormal earnings, growth, and accounting conservatism. The model is sufficiently simple to permit derivation of closed form expressions relating market value to accounting data and other information. Three kinds of analyses develop from the model. The first set deals with value as it relates to anticipated realizations of accounting data. The second set examines in precise terms how value depends on contemporaneous realizations of accounting data. The third set examines asymptotic relations comparing market value to earnings and book values, and how earnings relate to beginning of period book values. The paper demonstrates that in all three sets of analyses the conclusions hinge on the extent to which the accounting is conservative as opposed to unbiased. Further, the absence/presence of growth in operating activities is relevant if, and only if, the accounting is conservative. Résumé. Les auteurs présentent sous forme de modèle la relation entre la valeur marchande d'une entreprise et les données comptables relatives à ses activités d'exploitation et ses activités financières. La valeur comptable est égale à la valeur marchande lorsqu'il s'agit d'activités financières, mais elle peut être différente dans le cas des activités d'exploitation. Les auteurs supposent que la valeur marchande est égale à la valeur actualisée nette des dividendes futurs prévus et démontrent que, lorsqu'on applique la méthode du résultat global, la valeur marchande est aussi égale à la valeur comptable additionnée de la valeur actualisée nette des bénéfices extraordinaires futurs prévus (qui sont égaux aux bénéfices comptables diminués de frais d'intérêt implicites sur la valeur comptable nette). Un modèle linéaire précise la dynamique d'un ensemble de données, incluant la valeur comptable et les bénéfices extraordinaires, relatives aux activités d'exploitation. Les paramètres du modèle traduisent la persistance des bénéfices extraordinaires, la croissance et le principe de prudence. Le modèle est suffisamment simple pour permettre de dériver des expressions fermées qui mettent en relation la valeur marchande et les données comptables et autres. Du modèle se dégagent trois formes d'analyses. La première porte sur la valeur, dans sa relation avec la matérialisation anticipée des données comptables. La deuxième porte sur l'examen précis du lien entre la valeur et la matérialisation actuelle des données comptables. Enfin, la troisième porte sur l'examen des relations asymptotiques à travers lesquelles se comparent la valeur marchande, d'une part, et les bénéfices et la valeur comptable, d'autre part, ainsi que sur la façon dont les bénéfices se rattachent aux valeurs comptables du début de l'exercice. Les auteurs établissent que dans les trois formes d'analyses, les conclusions s'orientent vers la mesure dans laquelle, dans le domaine comptable, l'accent est mis sur la prudence par opposition à l'impartialité. En outre, l'absence ou la présence de croissance dans les activités d'exploitation n'est pertinente que si et seulement si le principe de prudence est appliqué à la comptabilité.  相似文献   

18.
Abstract. Generally accepted auditing standards, auditing textbooks, and firm audit manuals indicate that, other things equal, the presence of significant monetary incentives based on financial results increases the inherent risk of material misstatement, and higher inherent risk should ordinarily cause the auditor to exercise a heightened degree of professional skepticism in conducting the audit. This article addresses the following basic research question: Are auditors sensitive to management's incentives to manage earnings? Research that examines whether auditors distinguish between explanations provided by managers with different incentives is important because audit standards indicate that inquiry of management can assist the auditor in evaluating significant unexpected differences. Two experiments were conducted. The first experiment explored whether management-buyout-induced incentives to make income-decreasing accruals affect auditors' judgments of the probability that a material misstatement exists. As predicted, auditors were sensitive to these incentives. The second experiment explored whether bonus-induced incentives affect auditors' judgments of the probability that a material misstatement exists. The auditors agreed that bonus plans such as the one in the experiment create incentives for management to make income-increasing or income-decreasing accruals depending on the terms of the plan. However, the auditors' judgments were unaffected by whether the unexpected difference and management's incentives were congruent. The auditors opted for potential audit effectiveness rather than potential audit efficiency by assuming that—on balance—management had incentives congruent with the unexpected overstatement. Résumé. Selon les normes de vérification généralement reconnues, les manuels de vérification et les guides de vérification des cabinets comptables, toutes choses égales par ailleurs, la présence d'encouragements monétaires substantiels basés sur les résultats financiers accroît le risque inhérent d'inexactitudes importantes, et un risque inhérent supérieur doit normalement amener le vérificateur à exercer davantage de vigilance dans la réalisation de sa mission de vérification. L'auteur s'intéresse à la question fondamentale suivante: les vérificateurs sont-ils sensibles aux motivations de la direction à user d'astuces comptables aux fins de l'établissement des bénéfices? Les recherches visant à déterminer si les vérificateurs établissent une distinction entre les explications fournies par les gestionnaires dont les motivations sont différentes revêtent beaucoup d'importance, compte tenu du fait que les normes de vérification indiquent que les demandes de renseignements de la direction peuvent aider le vérificateur à évaluer les écarts inattendus appréciables. Deux expériences ont été menées. La première avait pour but de déterminer si les motivations à agir sur les comptes de régularisation de manière à réduire les bénéfices, induites par un rachat de l'entreprise par les cadres, ont une incidence sur les jugements des vérificateurs relatifs à la probabilité d'inexactitudes importantes dans les déclarations. Conformément aux prévisions, les vérificateurs se montrent sensibles à ces motivations. La seconde expérience visait à déterminer si les motivations induites par les primes ont une incidence sur les jugements des vérificateurs en ce qui a trait à la probabilité de l'existence d'inexactitudes importantes. Les vérificateurs conviennent que les systèmes de primes, comme celui de la seconde expérience, motivent la direction à agir sur les comptes de régularisation de façon à augmenter ou réduire les bénéfices, selon les conditions du système. Toutefois, les jugements des vérificateurs ne sont pas influencés par le fait que l'écart inattendu dans les bénéfices et la motivation de la direction sont reliés. Les vérificateurs optent pour l'efficacité potentielle de la vérification plutôt que pour son efficience potentielle, en supposant que, dans l'ensemble, la direction présente des motivations qui vont dans le sens des surestimations inattendues en matière de bénéfices.  相似文献   

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Résumé. Soixante-deux vérificateurs/praticiens ont pris part à une expérience d'estimation du solde d'un compte. Ayant reçu au préalable un matériel d'apprentissage à la fois écrit et oral, ils ont utilisé quatre techniques de déduction (FDC, FDP, EPE, et EFH) afin de quantifier leurs croyances subjectives ayant trait au solde de comptes clients d'un cas de vérification. Leurs réponses furent par la suite comparées aux résultats d'une étude de simulation portant sur six cents (600) échantillons, au moyen de la règle de pointage quadratique, de même qu'à la distribution résultant d'un consensus parmi tous les sujets en utilisant la mesure de Kolmogorov-Smirnov. Les résultats montrent que la technique de déduction FDP produit la distribution de probabilités préalables la plus précise pour utilisation dans le contexte de l'analyse Bayesienne. Les trois autres techniques de déduction se sont révélées égales entre elles, dans la mesure où leur précision était inférieure à celle de la technique de déduction FDP.  相似文献   

20.
Abstract. This paper employs a generalized principal-agent model to analyze accounting situations in which the outcome is not jointly observable and the principal's and agent's preferences are multiattribute in nature. This requires the consideration of accounting signals for risk-sharing (or insurance) information in addition to performance evaluation (or incentive) information. It is shown that precisely two factors determine whether a signal will be valuable in the agency relationship: Observability of the agent's effort and the principal's multivariate risk neutrality. Sufficient conditions for various accounting signals to have value are also developed. Furthermore, when multiple accounting signals are available, it is shown that under certain conditions, the insurance components of the multiple signals can be aggregated into a single aggregate insurance measure and the incentive components of the signals can be aggregated (via a different aggregation procedure) into another aggregate incentive measure. Résumé. Les auteurs utilisent un modèle généralisé mandant-mandataire pour analyser les situations comptables dans lesquelles le résultat n'est pas observable conjointement et les préférences du mandant et du mandataire comportent, par nature, de multiples attributs. Cela exige la prise en considération d'indicateurs comptables relatifs à l'information sur le partage des risques (ou de l'assurance) en plus de l'information relative à l'évaluation du rendement (ou aux stimulants). Les auteurs démontrent que deux facteurs permettent de déterminer avec précision si un indicateur sera valable dans la relation de mandataire: le caractère observable de l'effort du mandataire et la neutralité multivariée du mandant à l'égard du risque. Des conditions suffisantes pour que les divers indicateurs comptables soient valables sont également établies. En outre, lorsque des indicateurs comptables multiples sont disponibles, les auteurs démontrent que dans certaines conditions, les éléments des indicateurs multiples liés à l'assurance peuvent faire l'objet d'une regroupement en une seule mesure globale d'assurance, et que les éléments des indicateurs liés aux stimulants peuvent faire l'objet d'une regroupement (au moyen d'une méthode différente) en une autre mesure globale des stimulants.  相似文献   

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