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1.
Globalization is the new master concept beloved of media commentators. But already there is great discontent among social scientists with the content and use of this concept. In the space of less than a decade globalization discourse and research has moved well past the stage of invocation of a ‘buzzword’, of obeisance to the power of the internet and global finance, or of predictions of the demise of the state. These are all features that can readily be discerned still in the press and among politicians and hyperglobalizing advertisers and finance‐sector ‘gurus’. These groups seem still to be locked into the first wave of globalization euphoria consequent upon the supposed ‘triumph’ of capitalist neoliberalism after the collapse of communism and the slightly later advent of the internet. Second and third waves of enquiry have since arisen in which scepticism about globalization (in the second) is giving way to more detailed empirical enquiry into the actual processes and transformations that might or might not be occurring. We need a new critical perspective that is able to place globalization as the latest form of an older discourse on modernity and capitalism and which is able to move well beyond the over simplification of the present. Through a critical realist perspective we can begin to develop a more empirically powerful criticism of geopolitics and political economy and begin to see the possibilities of local empowerment in the face of the rhetoric and politics of the hyperglobalizing project. La mondialisation est le nouveau concept de prédilection des médias. Mais déjà, sa teneur et son usage suscitent un mécontentement considérable dans le milieu des sciences sociales. En moins d'une décennie, discours et recherches sur la mondialisation ont largement dépassé l'invocation d'un mot à la mode, l'hommage rendu à la puissance d'Internet et de la finance mondiale, ou les prédictions du recul de l'État. On perçoit encore facilement tous ces traits dans la presse et chez les hommes politiques, les publicitaires hyper‐mondialisateurs et les ‘gourous’ de la finance; en effet, ces groupes restent bloqués, semble‐t‐il, au stade de la première vague d'euphorie liée au phénomène né du soi‐disant ‘triomphe’ du néolibéralisme capitaliste après l'effondrement du communisme et l'arrivée presque simultanée d'Internet. Sont apparues depuis une deuxième puis une troisième vague d'investigations; le scepticisme à l'égard de la mondialisation (dans la deuxième) y fait place à une étude empirique plus détaillée sur les processus et transformations réels qui pourraient ou non voir le jour. Nous avons besoin d'une nouvelle perspective critique qui permette de positionner la mondialisation comme la forme la plus récente d'un discours antérieur sur la modernité et le capitalisme, et d'aller outre la simplification excessive qui nous connaissons actuellement. Grâce à une approche réaliste, nous pouvons commencer àélaborer une critique de géopolitique et d'économie politique plus solide sur le plan empirique, et à distinguer les possibilités d'attributions de pouvoirs à un niveau local, en dépit des discours et de la politique caractéristiques du projet d'hyper‐mondialisation.  相似文献   

2.
This is a brief report on a study of world cities in the under‐researched poor countries. Whereas previous work has focused rather haphazardly on one or a few cities beyond the West, this is the first study to systematically cover such ‘second‐tier’ world cities. Fourteen leading authorities from diverse backgrounds bring their expertise to bear on twelve world cities across four continents. Alongside the economic, they consider the political and cultural role these cities play within their regions and at the global level. The study leads to three principal conclusions: (1) these cities are extraordinarily diverse; (2) the city centers have become elite enclaves; and (3) along with the forces of globalization, the state and popular movements are important actors. These findings indicate the need for research that moves beyond the focus on globalization to take into account the multiple forces shaping world cities. And they demonstrate the benefits of overcoming an ethnocentrism in urban studies that privileges Western cities as locales of study and sources of generalization. Ce compte rendu résume une étude sur les grandes villes mondiales situées dans les pays pauvres délaissés par les recherches. Tandis que les travaux précédents s'étaient consacrés, plutôt au hasard, à quelques grandes villes hors d'Occident, cette étude est la première à couvrir systématiquement les villes mondiales ‘de second ordre’. Quatorze auteurs éminents d'appartenances diverses apportent leur expertise à l'égard de douze grandes villes mondiales réparties sur quatre continents. Ces chercheurs s'intéressent non seulement à la fonction économique, mais aussi aux rôles politique et culturel de ces villes au niveau régional et international. Trois conclusions majeures se dégagent: ces villes sont extraordinairement diverses, les centres‐villes sont devenus des enclaves pour élites et, parallèlement aux poussées de la mondialisation, l'État et les mouvements populaires sont des acteurs importants. Ces résultats montrent la nécessité de réaliser des recherches qui dépassent le seul plan de la mondialisation pour tenir compte des forces multiples qui façonnent les villes mondiales. De plus, ils prouvent qu'il vaut mieux s'émanciper de l'ethnocentrisme des études urbaines, lequel privilégie les villes occidentales comme sites d'étude et sources de généralisation.  相似文献   

3.
This study of cross‐border population mobility in the Hong Kong–Guangdong region adopts a humanistic and disaggregate approach to analyzing how ordinary and sometimes underrepresented people, such as housewives, workers, low‐income households and elderly retirees, have engaged in border‐crossing as a personal strategy to actively negotiate with the reproduction of regional asymmetry in the era of uneven globalization. Flexible sojourning across the border has long been pursued by the local population in this region as a means of survival during natural catastrophes, economic downturns, wars and political turmoil. Cross‐border population mobility has acquired a new momentum in recent years subsequent to the uneven economic and social changes on the two sides of the border. The border‐crossers are, seemingly, a uniform group of people whose travel behavior does not deviate from the expectation of conventional wisdom. However, a closer analysis reveals significant differences among the border‐crossers. Four main types of border‐crossers are identified: shoppers, workers, homebuyers and elderly retirees. Each type demonstrates distinct patterns of border‐crossing and makes the trip out of different considerations. Border‐crossing has different meanings to people of different social identities. Cross‐border mobility can be and has been used by different kinds of people in different ways as a personal strategy to take on the challenges of structural changes at home and across the border. The article calls for an extension of border studies beyond the existing emphasis on border functioning, nation‐states and regional development toward examining more seriously and carefully the ordinary people who are involved in border‐crossing as a practice of their everyday life. D’approche humaniste et décomposée, cette étude sur la mobilité transfrontalière des populations dans la région de Hong‐Kong et de Guangdong analyse comment des populations ordinaires, et parfois sous‐représentées (femmes au foyer, ouvriers, ménages à faible revenu et retraités âgés, par exemple), ont entrepris de passer la frontière comme stratégie personnelle d’adaptation active à la reproduction de l’asymétrie régionale parallèlement à une mondialisation inégale. La population locale pratique des séjours transfrontaliers souples depuis longtemps, pour sa survie en cas de catastrophes naturelles, revers économiques, guerres et agitation politique. La mobilité transfrontalière s’est accélérée récemment après les évolutions économiques et sociales inégales des deux côtés de la frontière. Les transfrontaliers forment, parait‐il, un groupe uniforme de personnes dont le comportement de voyageur respecte les attentes de la prudence classique. Pourtant, une analyse plus poussée révèle d’importantes différences entre eux. Quatre grands types de transfrontaliers sont identifiés: consommateurs, travailleurs, acquéreurs de logement et retraités âgés. Chaque type suit un modèle transfrontalier distinct et fait le déplacement pour des motifs différents. La signification de ce déplacement diverge selon les identités sociales. Ainsi, la mobilité transfrontalière peut servir et a servi à différents types de personne de manières différentes comme stratégie personnelle pour affronter les difficultés nées des changements structurels des deux côtés de la frontière. Les études sur les frontières sont à prolonger au‐delà de l’intérêt actuel pour le fonctionnement aux frontières et pour l’évolution de régions ou d’États‐nations, afin d’examiner de façon plus sérieuse et minutieuse les populations ordinaires qui traversent les frontières dans leur pratique quotidienne.  相似文献   

4.
The events of September 11th bring urgency to problems of urban security, both in terms of finding ways to protect cities from attacks by terrorists and also protecting urban life from repressive measures that form in reaction to those attacks. We outline a rationale for urbanists to participate in analysis and policy‐formulation on security issues and examine the utility of past urban research strategies, including criminology, in terms of their relevance to the current challenge. We suggest principles to guide future urban policy in light of past experiences. Les événements du 11 septembre rendent urgents les problèmes de sécurité urbaine, à la fois pour trouver des façons de protéger les villes contre des attaques terroristes et pour préserver la vie urbaine de mesures répressives en réponse à ces attaques. L'article argumente en faveur de la participation d'urbanistes à l'analyse et à la formulation d'une politique publique sur les questions de sécurité. Il examine le parti à tirer des stratégies de recherches urbaines antérieures (y compris en criminologie) en fonction de leur pertinence par rapport au défi actuel. De plus, il suggère des principes permettant d'orienter la politique urbaine future à la lumière des expériences passées.  相似文献   

5.
Both notions elaborated in this article, exclusion and the border, are cultural constructs which can take on different meanings in different milieux. In order to understand socio‐cultural exclusion in the context of EU integration and new centralities created by globalization, the project presented here addressed social, cultural and spatial exclusion in peripheral EU border cities and islands. This article focuses on how borderland residents experience socio‐cultural exclusion of ‘others’ and of themselves, and forge their spatialities and mappings. It makes distinctions on several levels: geographically, between external and internal EU borders, between ‘transborder’ and ‘bounded’ field sites and between variations of spatialities and mappings; culturally, between boundary gateways and walls, and between socio‐cultural and spatial exclusion, isolation and insularity; anthropologically, between social and cultural markers dividing the subject and the ‘other’. Local experiences and spatialities along the border were found to be complex and often in conflict with dominant definitions and preconceptions. This, along with the multiple levels of exclusion and difference found on the EU border, has implications for research priorities and policy restructuring. Les deux notions détaillées dans cet article, exclusion et frontière, sont des concepts culturels qui peuvent prendre un sens différent en fonction du milieu. Afin d’appréhender l’exclusion socioculturelle dans le cadre de l’intégration européenne et des nouvelles centralités créées par la mondialisation, le projet traite l’exclusion sociale, culturelle et spatiale dans les villes et îles situées à la périphérie de l’UE. Il s’attache à la façon dont les résidents frontaliers vivent une exclusion socioculturelle des ‘autres’ et d’eux‐mêmes, tout en établissant leurs spatialités et leurs cartographies. Plusieurs plans sont identifiés: un plan géographique, entre frontières internes et externes de l’UE, entre sites ‘transfrontaliers’ et territoires ‘délimités’, et entre divergences de spatialités et de cartographies; un plan culturel, entre accès et remparts frontaliers, et entre insularité, isolement et exclusion socioculturels et spatiaux; un plan anthropologique, entre les repères sociaux et culturels qui séparent le sujet de ‘l’autre’. Le long de la frontière, spatialités et expériences locales se sont révélées complexes et souvent en opposition avec les définitions et a priori dominants. Cet aspect, allié aux multiples niveaux d’exclusion et de différence découverts sur la frontière européenne, influence les priorités de recherches et la restructuration des politiques.  相似文献   

6.
Cette analyse de l'urbanisation d'aprés-guerre en Afrique Occidentale est proposée comme un jalon pour l'économie politique de l'urbanisation dans le Tiers Monde. L'Afrique Occidentale est une des régions les moins urbanisées du monde qui cependant a récemment connu une urbanisation plus rapide que toute autre. Cette explosion urbaine est associée avec des inégalités sévères à trois niveaux:
  • 1 un déséquilibre profond dans les conditions de travail et de vie entre le secteur urbain et le secteur rural
  • 2 une forte concentration des ressources dans les capitales
  • 3 une énorme disparité économique à l'intérieur des villes entre les masses et une petit élite
Si l'urbanisation en Afrique Occidentale est caractérisée par ces inégalités, il apparait qu'elle entraîne aussi des pertes économiques. Deux approches suggèrent que l'allocation des ressources est loin d'ětre optimale pour la croissance économique. D'une part des ressources sont gaspillées dans le chǒmage et le sous-emploi urbain, dans la croissance des grands centres métropolitains, et dans la construction des ‘quartiers spontanés’. D'autre part la présupposition que la forme prise par l'urbanisation est le résultat d'une allocation optimale des ressources est mise en doute quand les facteurs qui affectent les paramètres économiques ou qui interferent directement avec les décisions d'investissement sont soumis à l'examen, et quand l'attention est dirigée sur le processus politique qui s'avère constamment dominé par les intérěts et les préoccupations d'un petit groupe de dirigeants.  相似文献   

7.
L'Espagne se trouve à l'encontre de sévères problèmes urbains que le régime authoritaire ne peut résoudre. Au fǔr et à mesure que ce régime se désintère, de nouvelles revendications surgissent; mais en Espagne, contrairement au Portugale, ce sont des mouvements organisés qui réclament une nouvelle politique. Ces mouvements populaires sont fondés sur les quartiers (Barrios); cette communication s'addresse à leurs développement à Barcelone. Les mouvements urbains de cette ville ont évolués à partir d'une contestation d'issus d'envergure locale, à une qui s'addresse aux processus et planification de toute la ville. Un réseau de groupes a créé les moyens pour une renaissance d'une vie collective et démocratique. Le droit à un logement convenable, aux aménagements adéquats, au contrǒle sur l'industrie et la pollution, et à une suspension des rénovations urbaines, s'est fait valoir. Les moyens par lequels ces objectifs sont accomplis sont esquissés. Une critique de la planification implique celle de l'administration municipale. Divers genres de protestations ont eu lieu à différentes périodes dans l'évolution de cette critique. C'est maintenant que les mouvements communautaires, les analystes de l'urbain, et les nouveaux groupes politiques ont besoin de travailler ensemble afin développer un nouveau contexte pour le gouvernement municipal, à l'intérieur d'un programme socio-économique plus large. Dans n'importe quel système futur, les groupes des Barrios continueront de jouer un rǒle essentiel. Un mouvement vers une réforme municipale accompagnera vraisemblablement un changement social plus grand, surtout celui de la lutte pour l'autonomie Catalane.  相似文献   

8.
Domestic property and social class   总被引:1,自引:0,他引:1  
Cet exposé traite de l'importance des conséquences des différents modes d'occupation de logement, en ce qui concerne les rapports de classes. L'accent est mis précisément sur la Grande Bretagne où, environ 40% des ouvriers manuels possèdent maintenant leur propre maison, et où l'extension de l'occupation de l'habitation par le propriétaire a nettement contribué à accroitre les dividions sociales et politiques, au sein de la classe ouvrière. La question qui se pose, est de savoir si de telles divisions ont une base matérielle réelle, ou si elles sont principalement idéologiques. On voit que la réponse à cette question aura d'importantes conséquences pour l'organisation de luttes politiques autour de la question du logement. L'exposé débute par une discussion des perspectives wéberiennes et marxistes en matière d'occupation de logement et de rapports de classes. La perspective wébérienne, liée aux travaux de Rex et de Moore sur 'le logement par classes', est rejetée, quoique la possibilité de reformuler le concept du logement par classes, au sein d'une orientation wébérienne, soit mise en évidence. Le point de vue marxiste, qui rejette la possession du logement comme étant étrangère à l'identification des intérêts de classe, est également rejeté, sous prétexte que l'occupation de l'habitation par le propriétaire est un facteur crucial d'une augmentation réelles des richesses individuelles qui peuvent largement dépasser les économics que l'on peut faire sur les salaires de toute une vie. L 'exposé montre ensuite, comment la possession de sa maison va dans le sens d'une accumulation des richesses, et comment ceci crée une réelle division d'intérèt économique entre les propriétaires en jouissance et les locataires, fait qui se manifeste souvent dans les luttes politiques locales. La conclusion qui se dégage de ceci est que, les efforts des activistes locaux pour unifier les deux groupes en une alliance politique contre le capital monopole, peut sàvérer à la fois peu judicieux et nuisible à la productivité.  相似文献   

9.
La rente différentielle, dans la théorie marxiste de la rente fonciére capitaliste, est souvent considérée comme l'appropriation, par les propriétaires, des surprofits résultant de la production sur les terres les plus fertiles, surprofits différentiels dont l'existence serait indépendante de la nécessité du paiement de rente. Dans cette perspective, la rente différentielle n'influe pas sur le procès d'accumulation du capital, ni sur la valeur d'échange des marchandises. La thèse développée ici est que l'analyse de la rente différentielle (type II) dans Le Capital montre que l'existence de cette rente conduit à des effets opposés, et que la conclusion selon laquelle la rente différentielle n'est qu'une redistribution de surprofit préexistant ne peut découler que d'une problématique ricardienne ou marginaliste. Après avoir explicité les différences entre les théories de la rente différentielle de Marx et de Ricardo, il est montré que la théorie marxiste de la valeur constitue un élément décisif de la constitution de ces différences. De plus, il résulte du rapport entre la théorie marxiste de la valeur et celle de la rente différentielle que les effets de cette catégorie de rente sont distincts selon qu'il s'agit de l'agriculture ou de l'industrie. Et ceci permet, entre autre, de théoriser l'impact des localisations sur le procès de production et sur la valeur des marchandises. Ce qui mène, au bout du compte, à s'interroger sur la pertinence des catégories marxistes de rente, rente différentielle comprise, pour l'analyse des mécanismes créateurs de rente dans les zones urbaines.  相似文献   

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Since September 11th 2001 ‘terrorism’ has understandably become the preoccupation of many, especially in urban areas, where the threat of ‘terrorism’ is greatest. High on the list of priorities is tightening up the technological means of ensuring security, by adopting in particular new surveillance measures. While these are mainly expansions of already existing systems — biometrics, ID cards, CCTV and communications interception — an interesting and perhaps disturbing new feature of these is the apparent willingness to create modes of integration between previously separate systems. Similar software and dependence on algorithmic techniques permit data‐sharing across several boundaries that were previously less porous. The dispersed data‐gathering of the surveillant assemblage, that includes relatively ‘innocent’ items such as consumer transaction trails —‘categorical seduction’— converges with the more centralized activities of policing and intelligence —‘categorical suspicion’— in the effort to make urban areas safe. The consequences of this are likely to be far‐reaching, reinforcing our reliance on technological solutions, and increasingly inserting them into the routines of everyday life in the city. Depuis le 11 septembre 2001, le ‘terrorisme’ est naturellement devenu la préoccupation de beaucoup, surtout dans les zones urbaines où la menace ‘terroriste’ est la plus forte. Aux premiers rangs des priorités, on trouve les moyens technologiques d'assurer la sécurité, notamment l'adoption de nouvelles mesures de surveillance. Si certaines consistent principalement àétendre les systèmes existants (biométrie, cartes d'identité, circuits de télévision et interception des communications), l'une des nouvelles méthodes, intéressante mais quelque peu troublante, est la volonté apparente de créer des modes d'intégration entre des systèmes jusqu'alors indépendants. Des logiciels similaires et une subordination à des techniques algorithmiques permettent le partage de données à travers plusieurs frontières auparavant moins perméables. La collecte de données éparses dans l'assemblage de surveillance, incluant des éléments relativement ‘innocents’ tels que le suivi des transactions de clients s'allie aux activités les plus centralisées de la police et du renseignement afin de sécuriser les zones urbaines. Les conséquences sont susceptibles d'aller plus loin, renforçant notre dépendance à l'égard de solutions technologiques et multipliant celles‐ci dans les routines de la vie quotidienne urbaine.  相似文献   

11.
Current changes in territorial organization are interpreted by focusing on two main aspects that are different yet closely interrelated. The first aspect concerns relationships between unfolding processes of territorial redefinition and changes imposed by globalization processes and by European integration, and by the loss of centrality and of part of the power of nation‐state government. The second aspect concerns the change in forms and procedures of collective action in urban and territorial policies, recognizing, in particular, the consolidation — including in practices — of forms of partnership, inter‐institutional cooperation, strategic planning and governance. Within this general context, this article aims to present and discuss changes, both ongoing and recent, by (1) presenting the changes that are emerging in the framework of Italian urban and territorial policies; and (2) discussing critically, with reference to the Italian case, the relationship between change in the idea of local territories and change in urban and territorial policies. Our aim is to verify whether, within what limits and from what point of view, the innovations introduced in the Italian context may be interpreted as changes that are moving towards more place‐focused forms of urban and territorial governance. On interprète les évolutions actuelles de l'organisation territoriale à travers deux aspects dominants, différents quoique étroitement liés. Le premier concerne les relations entre les processus d'explication de la redéfinition territoriale et les changements imposés par les processus de mondialisation et l'intégration européenne, et par la disparition de la centralité et d'une partie de la puissance gouvernementale de l'Énation. Le second porte sur la transformation des formes et procédures d'action collective dans les politiques publiques urbaines et territoriales, celles‐ci reconnaissant notamment la fusion — y compris dans les pratiques — de formes de partenariat, coopération inter‐institutions, planification stratégique et gouvernance. Dans ce contexte général, l'article cherche à exposer et étudier les évolutions actuelles et récentes, d'une part en présentant les changements qui apparaissent dans le cadre des politiques urbaines et territoriales italiennes, d'autre part en abordant de façon critique, par rapport au cas italien, le lien entre un changement d'idée sur les territoires locaux et une transformation des politiques urbaines et territoriales. Il s'agit de vérifier si les innovations introduites dans le contexte italien peuvent s'interpréter comme des changements tendant à des formes de gouvernance urbaine et territoriale plus soucieuses des lieux, et ce dans quelle mesure et de quel point de vue.  相似文献   

12.
There has long been a tension between the roles of the university in servicing the needs of sub‐national economies and civil societies, those of the national state and those of learning and the pursuit of knowledge in an abstract sense. The position in liberal democracies through much of the twentieth century can be accurately characterized by a significant degree of separation and segregation between the university, the state and the market. Recently, however, it has been posited that the balance is shifting away from relative autonomy towards a new ‘mode of knowledge production’ in which the growing engagement of universities with their regions and localities is an important aspect. The first part of this article explores the knowledge economy rhetorics which have come to dominate public policy rationales in many liberal democracies and interrelationships with questions of territory and scale. Second, the implications for universities are considered as they are confronted by a number of challenges and choices in navigating the waters of increasing societal expectations. Finally, the article highlights key questions that emerge from our preliminary overview of these issues within a wider research agenda around universities, the knowledge economy and regional development. Depuis longtemps, une tension existant entre les rôles qu'a l'université dans la satisfaction des besoins des économies sub‐nationales et des sociétés civiles, de ceux de l'État ou de ceux de l'enseignement, et la quête du savoir au sens abstrait du terme. Pendant une bonne partie du vingtième siècle, dans les démocraties libérales, la situation a pu se définir par un degré très net de séparation entre université, État et marché. Toutefois, récemment, certains ont suggéré que l'équilibre se décalait, d'une autonomie relative vers un nouveau ‘mode de production du savoir’ dans lequel l'intervention croissante des universités vis‐à‐vis de leur région et sites locaux constitue un aspect important. La première partie de l'article explore le discours de l'économie du savoir, lequel a envahi la logique de la politique publique dans nombre de démocraties libérales, ainsi que les inter‐relations avec les questions de territoire et d'échelle. La deuxième partie s'intéresse aux implications pour les universités, celles‐ci étant confrontées à de multiples défis et choix en parcourant l'océan des attentes sociétales croissantes. Pour finir, sont présentées les questions‐clés qui émergent de l'étude préalable de ces problèmes effectuée dans le cadre d'un programme de recherches plus vaste autour des universités, de l'économie du savoir et du développement régional.  相似文献   

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This article is a reaction to the rapid changes many urban areas are undertaking in attempts to counter the contemporary terrorist threat since the devastating events of September 11th. The response of central London authorities both pre‐ and post‐ September 11th is used as the lens through which to view attempts to reduce the real and perceived threat of terrorist attack through the adoption of territorial approaches to security, both physical and technological, which are increasingly being utilized at ever‐expanding spatial scales. It argues that this situation all too often produces a scenario of ‘splintered urbanism’ as security rings are thrown up around carefully selected sections of cities deemed most at risk. It further argues for a balance to be struck between competing concerns for freedom of access, mobility and other democratic freedoms, and the need for cities to adopt increasingly militarized security perspectives in their counter‐terrorism efforts. Cet article présente une réaction aux rapides changements que de nombreuses zones urbaines entreprennent afin de contrer la menace terroriste actuelle depuis les ravages du 11 septembre. La réponse des autorités du centre de Londres, à la fois avant et après cette date, sert ainsi de loupe permettant d'observer les efforts de minimisation de cette menace d'agression, tant subjective que réelle. Il s'agit de démarches territoriales à l'égard de la sécurité (matérielle et technologique) appliquées de plus en plus souvent à des échelles spatiales sans cesse élargies. De cette situation, naît trop souvent un scénario ‘d'urbanisme fragmenté’, les anneaux de sécuritéétant jetés autour de portions soigneusement sélectionnées de villes jugées le plus en danger. L'article défend la nécessité de trouver un équilibre entre les préoccupations opposées que sont les liberté d'accès, mobilité ou autres libertés démocratiques et le besoin des villes d'adopter des perspectives sécuritaires de plus en plus militarisées dans leurs tentatives contre le terrorisme.  相似文献   

14.
There is evidence that the politics of economic development in the post‐industrial city is increasingly bound up with the ability of urban elites to manage ecological impacts and environmental demands emanating from within and outside the urban area. More than simply a question of promoting quality of life in cities in response to interurban competition and pressures from local residents, the greening of the urban growth machine reflects changes in state rules and incentives structuring urban governance as part of an evolving geopolitics of nature and the environment. The adoption of principles and practices of ecological modernization potentially represents a dramatic shift in the social regulation of urban governance away from unconstrained neoliberalized modes. In this article we explore how different demands on and for urban environmental policy have played out vis‐à‐vis changing modes and practices of governance in two English post‐industrial cities. We explore differences in the ways that entrepreneurial urban regimes have sought to incorporate the green agenda (Leeds), or insulate themselves from ecological dissent (Manchester). We further attempt to conceptualize evolving urban economy‐environment relations in the UK in terms of an ensemble of governance practices, strategies, alliances and discourses that enables the local state to manage, though not necessarily resolve, seemingly conflicting economic, social and environmental demands at different scales of territoriality. Here we propose the notion of an ‘urban sustainability fix’ to describe the selective incorporation of ecological objectives in local territorial structures during an era of ecological modernization. Dans les villes post‐industrielles, la politique de développement économique semble liée de plus en plus étroitement à l'aptitude des élites urbaines à gérer les impacts écologiques et les exigences environnementales venus de l'intérieur et de l'extérieur. Au‐delà de la simple défense d'une qualité de vie en ville, répondant à la concurrence interurbaine et aux pressions des habitants, l'intégration de la cause Verte dans la machine de croissance urbaine reflète les nouvelles règles et mesures d'encouragement étatiques qui structurent la gouvernance des villes dans le cadre d'une géopolitique évolutive de la nature et de l'environnement. L'adoption de principes et pratiques de modernisation écologique pourrait traduire un revirement dans la régulation sociale de la gouvernance urbaine, en remplaçant la totale latitude des réponses néolibérales. L'article explore comment les demandes variées de et en politique urbaine d'environnement se sont exercées dans le contexte changeant des modalités et pratiques de gouvernance de deux villes post‐industrielles anglaises. Il s'intéresse aux différences de démarches qu'ont adoptées des régimes urbains ayant l'esprit d'entreprise pour incorporer le programme vert (Leeds) ou s'affranchir de la dissidence écologique (Manchester). De plus, il s'efforce de conceptualiser les relations évolutives économie‐environnement dans le cadre urbain britannique en tant qu'ensemble de pratiques de gouvernance, stratégies, alliances et discours permettant à l'État local de gérer (sans toujours les satisfaire) des exigences économiques, sociales et environnementales apparemment contradictoires, et ce aux différents échelons de territorialité. La notion de ‘solution de durabilité urbaine’ est proposée pour décrire l'intégration sélective d'objectifs écologiques dans les structures territoriales locales pendant une phase de modernisation écologique.  相似文献   

15.
Despite a series of local government reforms in the 1990s, Russia's localities still lack serious autonomy. Only big cities maintain hopes for the emergence of local autonomy and local democracy. City politics has produced multiple conflicts between regional and local authorities; however, regional‐local relations merely reflect fundamental center‐periphery controversies on a smaller territorial scale. While big cities and their metropolitan areas serve as centers of political, economic and social modernization, other regional areas are lost in the peripheries. During Russia's transition period, some large cities acquired more political and economic autonomy from regions than others did. This article concentrates on the crucial role of (1) political opportunities inherited from the late‐Soviet period; and (2) strategic choices of political actors in the post‐Soviet period. The constellation of initial conditions and outcomes of political conflicts have contributed greatly to the diversity of city politics and urban autonomy in Russia's cities. Finally, the article considers the possible impact of local autonomy in Russia's cities on national social, economic and political developments. Malgré la série de réformes des années 1990 sur les gouvernements locaux en Russie, les localités manquent toujours d'une véritable autonomie. Seules, les grandes villes espèrent encore l'avènement d'une autonomie et d'une démocratie locales. La politique urbaine a généré nombre de conflits entre autorités locales et régionales; ceux‐ci ne sont pourtant que le reflet de la polémique fondamentale entre centre et périphérie à une échelle territoriale réduite. Alors que les grandes villes et leur métropole concentrent modernisations sociales, économiques et politiques, le reste de la région se fond dans les périphéries. Pendant la Russie de transition, quelques grandes villes ont acquis davantage d'autonomie économique et politique que d'autres par rapport à leur région. L'article détaille le rôle crucial qu'ont joué, d'une part, les ouvertures politiques héritées de la fin du régime précédent et, d'autre part, les choix stratégiques des acteurs politiques de l'ère post‐soviétique. La pléiade de conditions initiales et de séquelles de conflits politiques a largement contribuéà diversifier les politiques urbaines et le degré d'autonomie des villes russes. Enfin, l'article aborde l'impact éventuel d'une autonomie locale des villes sur les évolutions sociales, économiques et politiques de la Russie.  相似文献   

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During the Danish local and national elections in November 2001, the scale, intensity and tone of the debates on migration took both national and international commentators by surprise. Within the first year of the new right‐wing government, supported by the influential Danish People's Party, Denmark has become one of the most exclusive and restrictive immigration regimes in Europe. This article takes a closer look at the recent politicization of migration issues in Denmark. While there is certainly concern with the compatibility of migrant ‘otherness’, in particular Islam, with Danish society and norms, then an equally, or even more central issue regards the ‘cost of migration’ for Danish social policy standards. Because of high unemployment rates, migrants and their descendants receive a relatively large part of Danish social contributions. This has raised the more general question of how to combine immigration with a tax‐financed universal welfare system where all have rights to full social benefits immediately upon arrival. The answer of the government has been to cut both sides of the equation by implementing stricter entry rules for family reunification and asylum‐seekers, as well as making a historical break with the principle of equal social welfare benefits for all legal residents. Lors des élections danoises locales et nationales de novembre 2001, l'ampleur, l'intensité et le ton des débats sur la migration ont surpris les commentateurs tant nationaux qu'étrangers. Au cours de la première année au pouvoir du nouveau gouvernement de droite, soutenu par le puissant Parti populaire danois, le Danemark a mis en place l'un des régimes d'immigration les plus fermés et restrictifs d'Europe. L'article s'attache à la récente politisation des questions de migration dans ce pays. Sans négliger le souci réel de compatibilité de ‘l'altérité’ des migrants, notamment l'Islam, avec la société et les normes danoises, il expose un problème aussi, voire plus crucial: le ‘coût de la migration’ selon les bases de la politique sociale nationale. Compte tenu des forts taux de chômage, les migrants et leurs descendants reçoivent une part relativement importante des contributions sociales danoises. D'où une question plus générale sur la façon de combiner immigration et système social universel financé par la fiscalité, où tous ont droit à l'intégralité des prestations sociales dès leur arrivée. En réponse, le gouvernement a tronqué les deux câtés de l'équation, en appliquant des règles d'entrée plus strictes pour la réunification familiale et les demandeurs d'asile, tout en créant une rupture historique avec le principe de prestations sociales égales pour tous les résidents légaux.  相似文献   

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Singapore is renowned as a global business and financial centre, an international hub of air and sea transport, and Asia's leading convention city. In the new millennium, the government has envisioned a new role for the city‐state as a ‘Renaissance City’ and ‘Global City for the Arts’. This vision is premised on Singapore becoming an investment base for leading arts, cultural and entertainment enterprises in the region, the theatre hub of Southeast Asia, and an entertainment destination for tourists. This article examines the challenges and accomplishments in Singapore's quest to be a Renaissance City. Drawing on literature on ‘global cities’ and concepts relating to ‘globalization’ and ‘localization’, it argues that the key challenge facing Singapore is how best to ‘go global’ and ‘stay local’ at the same time. Developing a Renaissance City entails a balancing act between globalizing local sensibilities on the one hand, while localizing global best‐practices on the other. This global‐local nexus can be approached in three ways: (1) by striking a balance between the economic and humanistic objectives of the arts; (2) by importing world‐class arts talents and exporting home‐grown skills; and (3) by globalizing local peculiarities in line with best practices from around the world. The need to balance global standards with local interests is not easily achieved, however, making Singapore's ‘Global City for the Arts’ vision one of its most ambitious goals to date. Singapour est célèbre en tant que centre mondial de la finance et des affaires, pivot du transport aéro‐maritime international, site de premier plan pour les salons en Asie. Avec le millénaire naissant, le gouvernement a envisagé une nouvelle fonction pour la cité‐État, celle de ‘Ville de la Renaissance’ et ‘Ville mondiale des Arts‘. Préalablement, Singapour doit devenir non seulement une base d'investissement pour les grands projets artistiques, culturels et de divertissement dans cette partie du monde, mais aussi le nud théâtral de l'Asie du Sud‐Est et une destination touristique de loisirs. L'article étudie les défis et réalisations qui jalonnent cette entreprise. Exploitant les documents traitant des ‘villes mondiales’ et des concepts liés à la ‘mondialisation’ et à la ‘localisation‘, il démontre que le grand problème auquel Singapour se heurte est de concilier simultanément les deux démarches ‘agir mondial‘ et ‘rester local‘. Développer une Ville de la Renaissance implique un équilibrage entre la mondialisation de sensibilités locales d'un côté, et la localisation des meilleures méthodes internationales de l'autre. On peut aborder ce lien mondial‐local de trois manières différentes: trouver un juste milieu entre les objectifs économiques et humanistes des arts; importer des talents artistiques de dimension mondiale et exporter les compétences nationales; mondialiser les particularités locales cohérentes avec les meilleures méthodes internationales existantes. Atteindre l'équilibre nécessaire entre normes mondiales et intérêts locaux est loin d'être aisé, ce qui fait de la vision de Singapour en ‘Ville mondiale des Arts‘ l'un des buts nationaux les plus ambitieux à ce jour.  相似文献   

18.
Cet article examine les interprétations marxistes et dites ‘structuralistes’ des mouvements sociaux urbains. Il propose l'argument selon lequel certains aspects de méthodologie ne sont pas incompatibles avec la perspective des études pluralistes américaines employée pour le traitement des phénomènes de revendications. Ces deux perspectives partagent la měme supposition, c'est à dire que l'influence coule des mouvements de revendications à l'état; ce qui amène à chercher les raisons pour l'échec à l'intérieur du mouvement lui-měme, plutǒt que dans les ressources et les stratégies à la disposition de l'état et de ses agents pour détourner et dominer la revendication. Deuxièmement, ces perspectives ne semblent pas avoir de critères de sélection, et analysent seulement les cas manifestes de revendications. Il est suggéré qu'une interprétation adéquate ne peut ětre arrivée que sur la base d'une recherche qui essaye d'expliquer les relations fondamentales de pouvoir dans le système urbain, particulièrement quand il s'agit de situations d'inertie ou de non-revendication. La seconde partie de cet article est un compte rendu d'une recherche empirique sur la suppression d'un mouvement ouvrier de revendication à Londres contre des politiques de logement ‘pour les masses’. Cette recherche montre de quelle façon la portée et l'exactitude des interprétations marxistes et dites ‘structuralistes’ peuvent ětre avancée afin de prendre en compte ces critiques. En měme temps, elle explore l'utilisation des pouvoirs coercifs par les autorités locales anglaises et l'influence exercée par les corporations industrielles sur la politique du logement.  相似文献   

19.
La nouvelle sociologie urbaine, et sa contrepartie, l'%eAconomie politique du bien-être social ont attiré l'attention sur la consommation collective et/ou la reproduction. Néanmoins, en dépit des intéressantes analyses théoriques et empiriques que ces développements ont engendrées, ces deux éléments ont négligé le 'sens premier' de la reproduction. Ce récit d'un mouvement féministe contemporain que conteste la violence mâle en ce qu'elle est l'expression sauvage d'une forme de sexisme institutionnalisé, essaie de rétablir l'équilibre. Women's Aid (l'Aide aux Femmes), en tant que mouvement urbain qui a transcendé l'urbain, voire même la problématique des classes, est le plus puissant — et peut-être le dernier — dans le présent immédiat, de toute une série de mouvements sociaux qui, au cours de la dernière décennie, ont contesté l'état providence britannique. Les difficultés recontrées par le mouvement dans sa tentative pour se frayer un chemin entre la cooptation, la confrontation et le conflit réglementé par l'état, y sont discutées. Néanmoins, malgré les contradictions qui se sont à la fois développées autour de ce mouvement (Women's Aid) et ont bien failli l'engloutir, le mouvement s'exerce, de façon hésitante et inégale, à de nouveaux rapports sociaux non-sexistes. A présent, ce mouvement est rendu théoriquement invisible par les analyses du courant principal sur la reproduction, même lorsque les nouveaux analystes le soutiennent, à un niveau personnel et pratique. La conclusion de l'article suggère que le soutien pratique et la négligence théorique pourraient servir è exacerber les tendances réformistes du mouvement.  相似文献   

20.
A growing literature has examined the changing nature of urban political leadership in an era of economic globalization and increased pressures for fiscal austerity on governments. Based mostly on the experiences of the United States and Europe, this literature has emphasized the imperative of urban leaders to become increasingly entrepreneurial — to foster collaboration with private sector actors, to mobilize new sources of financing for urban development, and to develop innovative strategies for economic growth. This article examines this question in the very different context of the Extended Bangkok Metropolitan Region (EBMR) in Thailand. It argues that, in the context of rapidly urbanizing regions in Southeast Asia, these changes have in many contexts led to the emergence of businessmen‐cum‐politicians who exert both economic and political dominance in localities. Such figures have emerged as intermediaries in the process of industrialization and urbanization between national governments and people in localities, and play an important role in mobilizing land, labor and capital at the local level, and in fostering a political base for national economic development policy. The article illustrates this phenomenon with a case study from Chonburi, a rapidly industrializing province on the fringe of the EBMR. L'évolution de l'autorité politique urbaine, dans un cadre de mondialisation économique et de gouvernements en butte à des pressions d'austérité fiscale accrues, fait de plus en plus souvent l'objet d'études. Essentiellement basées sur les expériences américaines et européennes, celles‐ci soulignent l'impératif, pour les leaders urbains, de devenir des chefs d'entreprise encourageant la collaboration avec les acteurs du secteur privé, mobilisant de nouvelles sources de financement de l'expansion urbaine et élaborant des stratégies novatrices de croissance économique. L'article examine cette question dans le contexte très différent de la Métropole étendue de Bangkok en Thaïlande. Dans un environnement sud‐asiatique en urbanisation rapide, ce changement a fréquemment fait émerger des hommes politiques‐hommes d'affaires qui exercent une domination tant économique que politique dans les régions. Apparus en tant qu’intermédiaires dans le processus d'industrialisation et d'urbanisation (entre les gouvernement nationaux et les populations régionales), ces personnages jouent un rôle important dans la mobilisation du terrain, de la main‐d'?uvre et du capital en plan local, tout en favorisant un appui politique pour les stratégies de développement économique nationales. L'article illustre ce phénomène avec le cas de Chonburi, province en cours d'industrialisation rapide située aux confins de la Métropole étendue de Bangkok.  相似文献   

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