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Farmland Preservation Verdicts—Rezoning Agricultural Land in British Columbia
Authors:Tracy E Stobbe  Alison J Eagle  Geerte Cotteleer  G Cornelis van Kooten
Institution:1. School of Business, Trinity Western University, 7600 Glover Road, Langley, BC V2Y 1Y1, Canada (phone: 604‐513‐2121, ext. 3476;2. fax: 604‐513‐2042;3. e‐mail: Tracy.Stobbe@twu.ca).;4. Nicholas Institute for Environmental Policy Solutions, Duke University, Box 90335, Durham, NC 27708‐0335 (corresponding author: phone: 919‐613‐8749;5. fax: 919‐668‐6444;6. e‐mail: alison.eagle@duke.edu).;7. Environmental Economics and Natural Resources Group, Wageningen University and Research Centre, Postbus 8130, 6700 EW Wageningen, The Netherlands (phone: 31‐317‐484255;8. fax: 31‐317‐484933;9. e‐mail: Geerte.Cotteleer@wur.nl).;10. Department of Economics, University of Victoria, P.O. Box 1700 STN CSC, Victoria, BC V8W 2Y2, Canada (phone: 250‐721‐8539;11. fax: 250‐721‐6214;12. e‐mail: kooten@uvic.ca).
Abstract:The Agricultural Land Reserve (ALR) in British Columbia (BC), Canada, is a provincial zoning scheme designed to protect agricultural land from development. Since 1973, landowners have not been permitted to use ALR land for nonagricultural purposes, prompting some to seek recovery of development option value by applying for exclusion from the ALR. Using Geographic Information System (GIS) technology and a binary choice (logit) model, this study examines factors that impact the acceptance of ALR exclusion applications. With data from two regions in southwestern BC, we find that applications are more likely to be approved when the land is closer to the major highway, has a smaller parcel size, consists of a smaller portion of the total parcel area, or has poorer quality soils. Therefore, as intended by public policy, agricultural capability is a key determinant in exclusion decisions, retaining properties of greater agricultural value in the ALR. Even though public opinion has suggested otherwise, the political party in power at the time of the decision was only a weak factor, mostly moderated by the number of applications in a given year. A spatial‐effects model found no evidence of spatial autocorrelation, supporting the conclusions drawn from the nonspatial model estimations. La réserve de terres agricoles de la Colombie‐Britannique (ALR), au Canada, est un plan de zonage provincial destinéà protéger les terres agricoles contre le développement urbain. Depuis 1973, les propriétaires fonciers ne peuvent utiliser les terres de la réserve à des fins non agricoles, ce qui incite certains à tenter de récupérer une certaine valeur d’option en faisant une demande d’exclusion. À l’aide de la technologie des systèmes d’information géographique (SIG) et d’un modèle de choix binaire (type logit), nous avons examiné les facteurs qui influencent l’acceptation des demandes d’exclusion. À l’aide de données sur deux régions du sud‐ouest de la Colombie‐Britannique, nous avons observé que les demandes d’exclusion sont plus susceptibles d’être acceptées lorsque les terres sont situées en bordure d’une route importante, sont de petite taille, ne représentent qu’une portion d’une superficie plus grande ou présentent des sols de mauvaise qualité. En conséquence, comme le prévoit la politique du gouvernement, la capacité agricole est un facteur clé dans les décisions d’exclusion qui permet de conserver les propriétés de grande valeur agricole dans la réserve. Bien que l’opinion publique indique le contraire, le parti politique au pouvoir au moment de la décision ne constituait qu’un faible facteur, principalement réduit par le nombre de demandes au cours d’une année donnée. Un modèle d’effets spatiaux n’a pas réussi à montrer l’existence d’une autocorrélation spatiale appuyant les conclusions tirées des estimations du modèle non spatial.
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