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1.
L'Espagne se trouve à l'encontre de sévères problèmes urbains que le régime authoritaire ne peut résoudre. Au fǔr et à mesure que ce régime se désintère, de nouvelles revendications surgissent; mais en Espagne, contrairement au Portugale, ce sont des mouvements organisés qui réclament une nouvelle politique. Ces mouvements populaires sont fondés sur les quartiers (Barrios); cette communication s'addresse à leurs développement à Barcelone. Les mouvements urbains de cette ville ont évolués à partir d'une contestation d'issus d'envergure locale, à une qui s'addresse aux processus et planification de toute la ville. Un réseau de groupes a créé les moyens pour une renaissance d'une vie collective et démocratique. Le droit à un logement convenable, aux aménagements adéquats, au contrǒle sur l'industrie et la pollution, et à une suspension des rénovations urbaines, s'est fait valoir. Les moyens par lequels ces objectifs sont accomplis sont esquissés. Une critique de la planification implique celle de l'administration municipale. Divers genres de protestations ont eu lieu à différentes périodes dans l'évolution de cette critique. C'est maintenant que les mouvements communautaires, les analystes de l'urbain, et les nouveaux groupes politiques ont besoin de travailler ensemble afin développer un nouveau contexte pour le gouvernement municipal, à l'intérieur d'un programme socio-économique plus large. Dans n'importe quel système futur, les groupes des Barrios continueront de jouer un rǒle essentiel. Un mouvement vers une réforme municipale accompagnera vraisemblablement un changement social plus grand, surtout celui de la lutte pour l'autonomie Catalane.  相似文献   

2.
The objective of this article is to speculate on the urban restructuring process in China’s transition to a market economy. Previous studies suggest that a broad theoretical framework is much needed to develop hypotheses for further empirical studies. This paper draws its insights from relevant studies on contemporary capitalist cities, in particular, political economy analysis of the urban process and capital switching, the structure of building provision and the creation of a rent gap, and institutional analysis of property rights. Summarily, it suggests that the basic logic of production in the context of a socialist city requires a specific way of coordinating — through economic planning and a specific configuration — the state work-unit system. Manifested in the production of the built environment was project-specific development. The structural tendency to disinvest in developed land has engendered a rent gap, which has laid the foundation for the phase of redevelopment in reforming socialist economies. Urban restructuring in the recent emerging market economy, which mainly involves decentralization, reorganizing the production of the built environment, and an increasing local-global link through overseas capital, is understood through this perspective. The post-reform built environment is characterized by land-use restructuring and polycentric development. It is argued that the physical reshaping of Chinese cities can be understood with respect to the redefinition of property rights, hence, capturing the rent gap by the main actors — state work-units, municipalities, the central state, real-estate investors, original residents and farmers. By its nature, the process favours big builders who have either de facto rights over existing urban land property or huge capital that enables them to ‘wipe out’ small owners. Western experience of gentrification reminds us that social problems may be created during the process, which calls for continuing insights to shed light on urban restructuring in post-reform China. L’objectif de cet article est de spéculer sur le processus de restructuration urbaine durant la période de transition de la Chine à une économie de marché. Les études précédentes suggèrent qu’un modèle théorique large est absolument nécessaire pour développer des hypothèses pour des études empiriques additionnelles. Cet article tire ses idées des études des villes capitalistes contemporaines, en particulier des analyses d’économie politique du processus urbain et du tranfert de capitaux, de la structure de la provision de bâtiments et de l’écart entre les loyers, et de l’analyse institutionnelle des droits de propriété. Succintement, cet article suggère que la logique fondamentale de la production dans le contexte d’une ville socialiste demande une méthode particulière de coordination — par la planification économique et une configuration spécifique — le système d’unité de travail de l’état. Le développement spécific de certains projets était manifeste dans la production de l’environnement urbain. La tendance structurelle au désinvestissement des terres développées a produit un écart dans les loyers, qui a créé une base pour une phase de redéveloppement des économies socialistes en réforme. La restructuration urbaine dans l’économie de marché naissante, qui implique principalement la décentralisation, la réorganisation de la production de l’environnement urbain, et, de plus en plus, un lien entre le local et le global grâce au capital d’outremer, peut être comprise dans cette perspective. L’environnement urbain d’après les réformes est caractérisé par la restructuration de l’aménagement du territoire et le développement polycentrique. Cet article soutient que le remaniement physique des villes chinoises peut être compris par rapport à la redéfinition des droits de propriété, et l’écart des loyers est donc accaparé par les agents principaux — les unités de travail de l’état, les municipalités, l’état central, les investisseurs immobiliers, les résidents d’origine et les fermiers. Vu sa nature, ce processus favorise les gros entrepreneurs qui ont soit les droits de facto aux terres urbaines existantes soit des capitaux considérables qui leur permettent de ‘liquider’ les petits propriétaires. L’expérience occidentale d’embourgeoisement nous rappelle que les problèmes sociaux peuvent être créés durant ce processus, qui demande une attention continue afin d’expliquer la restructuration urbaine dans la Chine d’après les réformes.  相似文献   

3.
China’s urban land reforms are being implemented within a framework of general economic reforms which are gradualist in nature. Thus, the urban land reforms are moving step by step towards the establishment of a land market. This gradualism is developing in association with a redefinition of central-local intergovernmental relations in the reform era, and with the advent of localism. In this context, gradual urban land reforms have become an implicit programme to nurture local enterprises and developers, a means of fostering local government-enterprise coalitions and an instrument to strengthen local government’s position in local development. During the systematic transition toward a socialist market economy, booming Chinese cities are formulating informal local ‘urban regimes’ to compete for local growth by capitalizing on financial gains derived from a dual market of urban land and property development. — Les réformes du sol urbaines en Chine sont mises en oeuvre dans une structure de réformes économiques générales de nature incrementaliste. Ainsi, les réformes agraires urbaines vont pas à pas vers l’établissement d’un marché de la terre. Cet incrémentalisme se développe en association avec une redéfinition des relations intergouvernementales centre-région pendant les réformes et avec l’arrivée du localisme. Dans ce contexte, les réformes du sol urbaines se sont implicitement transformées en un programme de support pour les entreprises et les promoteurs locaux, un moyen d’encourager les coalitions locales entre le gouvernement et les entreprises et un instrument de renforcement de la position du gouvernement local dans le développement local. Durant la transition systématique vers une économie de marché socialiste, les villes chinoises en plein essor élaborent des ‘régimes urbains’ locaux officieux pour améliorer la croissance locale par une capitalisation des gains financiers dérivés et du double marché du sol urbain et du développement immobilier.  相似文献   

4.
A growing literature has examined the changing nature of urban political leadership in an era of economic globalization and increased pressures for fiscal austerity on governments. Based mostly on the experiences of the United States and Europe, this literature has emphasized the imperative of urban leaders to become increasingly entrepreneurial — to foster collaboration with private sector actors, to mobilize new sources of financing for urban development, and to develop innovative strategies for economic growth. This article examines this question in the very different context of the Extended Bangkok Metropolitan Region (EBMR) in Thailand. It argues that, in the context of rapidly urbanizing regions in Southeast Asia, these changes have in many contexts led to the emergence of businessmen‐cum‐politicians who exert both economic and political dominance in localities. Such figures have emerged as intermediaries in the process of industrialization and urbanization between national governments and people in localities, and play an important role in mobilizing land, labor and capital at the local level, and in fostering a political base for national economic development policy. The article illustrates this phenomenon with a case study from Chonburi, a rapidly industrializing province on the fringe of the EBMR. L'évolution de l'autorité politique urbaine, dans un cadre de mondialisation économique et de gouvernements en butte à des pressions d'austérité fiscale accrues, fait de plus en plus souvent l'objet d'études. Essentiellement basées sur les expériences américaines et européennes, celles‐ci soulignent l'impératif, pour les leaders urbains, de devenir des chefs d'entreprise encourageant la collaboration avec les acteurs du secteur privé, mobilisant de nouvelles sources de financement de l'expansion urbaine et élaborant des stratégies novatrices de croissance économique. L'article examine cette question dans le contexte très différent de la Métropole étendue de Bangkok en Thaïlande. Dans un environnement sud‐asiatique en urbanisation rapide, ce changement a fréquemment fait émerger des hommes politiques‐hommes d'affaires qui exercent une domination tant économique que politique dans les régions. Apparus en tant qu’intermédiaires dans le processus d'industrialisation et d'urbanisation (entre les gouvernement nationaux et les populations régionales), ces personnages jouent un rôle important dans la mobilisation du terrain, de la main‐d'?uvre et du capital en plan local, tout en favorisant un appui politique pour les stratégies de développement économique nationales. L'article illustre ce phénomène avec le cas de Chonburi, province en cours d'industrialisation rapide située aux confins de la Métropole étendue de Bangkok.  相似文献   

5.
Whilst real estate capital became a driving force in analyses of urban development, urban land rent theory has made only very limited progress during the past decade. There are a number of reasons for this – such as a weak conceptualization of the role of political agency, for example. Hence, a way out of this relative stagnation, by attempting to systematically develop an integrated view on structure and agency in the context of urban land rent, is offered in this article. Advances in critical theory, thinking about space and dialectic reasoning contribute to the development of a new perspective on land rent. Land rent is conceptualized as a middle‐range theory. In order to bring together concrete urban phenomena with the general process of political‐economic development, a systematic link between land rent theory and the theoretical apparatus of the French Regulation School is developed. The reformulation of land rent theory from a regulationist perspective underlines the importance of the institutional context (and its changes) for an understanding of rent and its role in the urban context. In so doing, land rent theory proves to be a very useful tool for providing an integrated political‐economic perspective for analyses of urban phenomena. This is illustrated briefly in the cases of Vienna and Montevideo. Si le capital immobilier est devenu un point central des analyses du développement urbain, la théorie n'a guère progressé au cours de la dernière décennie. Plusieurs facteurs sont en cause, telle la faible conceptualisation du rôle politique d'agence. Cet article propose donc une porte de sortie à cette relative stagnation, en tentant de construire systématiquement une vision intégrée de la structure et l'agence dans le cadre de la rente urbaine. Les progrès en matière de théorie critique, réflexion en termes d'espace et raisonnement dialectique facilitent l'élaboration d'une nouvelle perspective sur la location foncière, laquelle est conceptualisée en tant que théorie intermédiaire. Afin de regrouper phénomènes urbains concrets et processus général d'aménagement politico‐économique, une relation systématique est établie entre la théorie sur la rente foncière et l'appareil théorique de l'École Française de Régulation. Reformuler la théorie sur la rente foncière d'un point de vue régulationiste souligne combien le contexte institutionnel (et ses changements) est important pour comprendre la rente et son rôle dans le cadre urbain. Ce faisant, la théorie sur la rente foncière se révèle un outil très utile pour créer une perspective politico‐économique intégrée permettant d'analyser les phénomènes urbains. Cet aspect est brièvement illustré dans les cas de Vienne et Montevideo.  相似文献   

6.
Attempts at understanding the urbanization process in Southeast Asia have, in recent years, focused on the emergence of extended metropolitan regions around primate cities. Many have argued that with a landscape of intensively mixed ‘rural’ and ‘urban’ activities, such regions represent a distinctive Asian form of urbanization and a challenge to the conventional urban-rural dualism. The implication, both in theoretical and policy terms, is that such regions of mixed land use form new ‘urban’ landscapes that will persist into the future on the basis of balanced ‘agro-industrial’ development. Drawing on fieldwork in a town on Manila’s agricultural periphery, this paper argues that such understandings present a static view of these regions, limited by macro-level data and analysis. A more ethnographic understanding of the social processes of ‘everyday urbanization’ at the interface of the ‘urban’ and the ‘rural’ dispels any sense of a stable rural-urban landscape or balanced development. The evidence points to an incompatibility of functions leading to the gradual ‘squeezing out’ of agriculture due to a changing economic calculus in agricultural households brought on by labour market shifts; environmental conflicts between agricultural and urban-industrial activities; social and cultural transformations in rural society; a political framework of bureaucratic corruption in the regulation of urbanization; and the influence of personalized power relations in agrarian society. — Ces dernières années, les efforts pour comprendre le processus d’urbanisation en Asie du sud-est se sont concentrés sur la naissance des régions métropolitaines étendues autour des cités centrales. Beaucoup soutiennent que ces régions, avec leurs paysages d’activités ‘rurales’ et ‘urbaines’ intensivement mélangées, représentent une forme d’urbanisation typiquement asiatique et mettent la dualité traditionnelle urbain-rural en question. L’implication, théoriquement et politiquement, est que de telles régions, avec leur utilisation mixte du terrain, forment de nouveaux paysages ‘urbains’ qui persisteront dans l’avenir sur une base de développement ‘agro-industriel’. Basé sur un travail de terrain dans une ville de la périphérie agricole de Manille, cet article soutient que de telles approches présentent une vue statique de ces régions, limitée par des données et une analyse de niveau macroscopique. Une approche plus ethnographique des processus sociaux de ‘l’urbanisation de tous les jours’ au point de rencontre du ‘rural’ et de l’urbain’ dissipe toute impression d’un paysage rural-urbain stable ou d’un développement équilibré. Les données font ressortir une incompatibilité de fonction causant un ‘écrasement’ graduel de l’agriculture dûà un calcul économique changeant dans les ménages agricoles occasionné par les changements du marché du travail; des conflits de l’environnement entre les activités agricoles et les activités urbaines-industrielles; des transformations sociales et culturelles dans la société rurale; une structure politique de corruption bureaucratique de la réglementation de l’urbanisation; et l’influence des relations personnelles de pouvoir dans la société agraire  相似文献   

7.
La nature spécifique des luttes de classes dans les villes américaines avant les années 1870 a reçu, curieusement, peu d'attention de la part des historiens. Cet article examine l'évolution de la lutte de classes dans les villes du nord-est entre 1760 et 1820. Il est soutenu que pendant cette période le travail est devenu marchandise, ou force de travail, et que la distinction entre travail et force de travail est créé par la mobilité, fondement sur lequel l'accumulation du capital devient possible. ‘L'accumulation primitive’ est précédée par la ‘mobilité primitive’ dont il y a évidence aussi tôt que les années 1760 dans l'agriculture commerciale des régions du nord-est. Si la structure du travail temporaire urbain demeure en grande partie inchangée pendant cette periode, celle du travail artisanal devient sujette aux contraintes de la ‘force du travail’ au début du dix-neuvièrne siècle. Si le contrôle du pouvoir politique est à la base de la lutte de classes urbaine à la fin du dix-huitième siècle, vers les années 1820 il devient plutôt contrôle du pouvoir économique. Les réformes proposées dans les années qui suivent, ont comme objet la modification du comportement économique de la classe ouvrière ou des ‘pauvres’, qui étaient en effet en grande partie des Américains d'origine et non des immigrants. Ces réformes ont une portée spéciale dans les grandes villes où la réorganisation du travail par le capital fait face à des réactions violentes basées sur des idées communautaires plus anciennes. Ces réformes étaient essentielles à la réorganisation rationale de l'espace urbain social, et en tant que tel, représentent le commencement de la ‘modernisation’ des conflits de classes.  相似文献   

8.
The past decade has seen an increasing interest in the cultural economies of cities by public bodies keen to address issues of urban decline. This article documents recent developments on the South Bank of the Thames in central London where cultural investments appear to be clustered and where attempts have been made to give spatial and policy coherence to a range of new development projects. The local authority promotes the South Bank as London’s new cultural quarter. However, this strategy is an opportunist and image‐based response to dominant property speculation interests. The management of cultural production in this part of London reveals limits to local coalition building and the limited influence of local strategies on the development process. The article questions whether the cultural quarter is an appropriate scale for managing the development of cultural industries as a motor for economic development in particular. Depuis une dizaine d’années, les autorités publiques qui s’occupent du déclin urbain s’intéressent de plus en plus à la dimension économique de la culture dans les villes. Cet article présente ce qui s’est passé sur la rive sud de la Tamise au centre de Londres où une tentative a été faite pour donner une cohérence spatiale à une série de nouveaux projets. L’autorité locale vend la South Bank comme un nouveau centre culturel. Cependant, cette stratégie constitue une réponse opportuniste en termes d’image aux intérêts immobiliers spéculatifs dominants. La gestion de la production culturelle dans ce quartier de Londres révèle les limites de la construction de la coalition locale et l’influence limitée des stratégies locales dans les processus de développement. Les auteurs de l’article se demandent si le quartier culturel est une échelle appropriée pour la gestion du développement des industries culturelles comme centre moteur du développement économique en particulier.  相似文献   

9.
Mega‐events are short‐term high‐profile events like Olympics and World Fairs that always have a significant urban impact. They re‐prioritize urban agendas, create post‐event usage debates, often stimulate urban redevelopment, and are instruments of boosterist ideologies promoting economic growth. While mega‐events have normally been the preserve of industrial/postindustrial cities, the bid for the 2004 Olympics by Cape Town, South Africa represented the first bid from Africa, and the most successful bid to date from a developing country. The unique theme of the Cape Town bid was human/urban development — a contradiction given the elitist and commercial nature of mega‐events — and yet a direct response to problems created by the apartheid city. The developmental aspects of the Cape Town bid are assessed in their South African context in order to ascertain whether development was only a legitimation for business interests (or growth machines) or whether and how the mega‐event would contribute to urban restructuring. It is concluded that the bid represented a form of urban/national boosterism that repositioned Cape Town and South African interests in the global economy — particularly relevant given its previous apartheid pariah status. As a pro‐growth strategy advocated by political and economic elites, the Olympic bid was less important as a sporting event at the grassroots than as a symbol of expectations of economic betterment. Whether mega‐events like the Olympics can carry such far‐reaching objectives within their more specific mandates is a matter for further reflection. Les méga‐événements sont des événements à court terme très en vue comme les jeux Olympiques et les foires mondiales qui ont toujours un impact urbain considérable. Ils changent les priorités des programmes urbains, ils créent des débats d'usage après l'événement, encouragent souvent le redéveloppement urbain, et sont les instruments des idéologies de relance qui supportent la croissance économique. Les méga‐événements prennent place habituellement dans les villes industrialisées/post‐industrialisées, mais la tentative du Cap en Afrique du Sud pour obtenir les jeux Olympiques de 2004 représente la première offre de l'Afrique. C'est la tentative venant d'un pays en voie de développement qui à ce jour a été la plus couronnée de succès. Le thème unique de la tentative du Cap était le développement humain/urbain — une contradiction, en vue de la nature commerciale et élitiste des méga‐événements — et cependant une réponse directe aux problèmes créés par la ville apartheid. Les aspects du développement de l'enchère du Cap sont évalués dans leur contexte sud‐africain afin d'établir si le développement était simplement une justification des intérÁts commerciaux (ou machines de croissance) ou si le méga‐événement pouvait contribuer à la restructuration urbaine, et comment. Je conclus que l'enchère représentait une forme de relance urbaine/nationale qui a replacé le Cap et l'Afrique du Sud dans l'économie globale — particulièrement pertinente en vue de son statut précédent d'apartheid paria. En tant que stratégie préconisée par les élites politiques et économiques pour stimuler la croissance, la tentative des jeux Olympiques était moins importante comme événement sportif populaire que comme le symbole d'une attente d'amélioration économique. Il reste à savoir si les méga‐événements comme les jeux Olympiques peuvent atteindre de tels objectifs de grande envergure dans leurs mandats spécifiques.  相似文献   

10.
Cette analyse de l'urbanisation d'aprés-guerre en Afrique Occidentale est proposée comme un jalon pour l'économie politique de l'urbanisation dans le Tiers Monde. L'Afrique Occidentale est une des régions les moins urbanisées du monde qui cependant a récemment connu une urbanisation plus rapide que toute autre. Cette explosion urbaine est associée avec des inégalités sévères à trois niveaux:
  • 1 un déséquilibre profond dans les conditions de travail et de vie entre le secteur urbain et le secteur rural
  • 2 une forte concentration des ressources dans les capitales
  • 3 une énorme disparité économique à l'intérieur des villes entre les masses et une petit élite
Si l'urbanisation en Afrique Occidentale est caractérisée par ces inégalités, il apparait qu'elle entraîne aussi des pertes économiques. Deux approches suggèrent que l'allocation des ressources est loin d'ětre optimale pour la croissance économique. D'une part des ressources sont gaspillées dans le chǒmage et le sous-emploi urbain, dans la croissance des grands centres métropolitains, et dans la construction des ‘quartiers spontanés’. D'autre part la présupposition que la forme prise par l'urbanisation est le résultat d'une allocation optimale des ressources est mise en doute quand les facteurs qui affectent les paramètres économiques ou qui interferent directement avec les décisions d'investissement sont soumis à l'examen, et quand l'attention est dirigée sur le processus politique qui s'avère constamment dominé par les intérěts et les préoccupations d'un petit groupe de dirigeants.  相似文献   

11.
Selected statistical time-series covering the 30-year period from 1965–94 were studied to determine general trends of both economic development and population growth of urban settlements in the Negev desert of Israel. The research indicated that in comparison with urban settlements located in central ‘non-desert’ districts of the country, peripheral desert localities tend to exhibit wider fluctuations of economic activity, unstable population growth, and an attenuation of general urbanization trends that manifest themselves elsewhere across the country. The research led to a set of analytical models designed to explain development peculiarities of peripheral desert settlements. In addition, several planning strategies were proposed, aimed at enhancing the socio-economic sustainability of existing settlements in peripheral desert areas and facilitating prospective urban development there. These include: (1) the establishment of development clusters consisting of urban settlements which share some essential interregional functions such as employment, educational, cultural, and recreational services and facilities; (2) the adoption of a system of progressive economic incentives to promote private investment in peripheral desert areas; and (3) stricter regulation of land use in the central, non-desert regions of the country. Although the present analysis was restricted to small and medium urban settlements in Israel, the mode of analysis and its practical applications can be useful for urban and regional planning elsewhere. Certaines périodes, sélectionnées par le moyen de statistiques et couvrant une tranche de 30 ans de 1965 à 1994, ont étéétudiées afin de déterminer les tendances générales du développement économique et de l'augmentation démographique des installations urbaines dans le désert du Negev en Israël. Cette recherche indique que, par rapport aux centres urbains situés dans les régions centrales ‘non-désert’ du pays, les localités désertiques périphériques ont tendance à faire preuve de changements d'activités économiques plus prononcés, d'une croissance démographique instable et d'une atténuation de la tendance vers l'urbanisation générale qui se révélent ailleurs dans le pays. Cette recherche a conduit à une série de modéles analytiques créés afin d'expliquer les particularités du développement des installations périphériques du désert. De plus, plusieurs stratégies de planification ont été proposées, dans le but d'augmenter la viabilité socio-économique des installations existantes dans les régions périphériques du désert et d'y faciliter le développement urbain futur. Celles-ci comprennent: (1) l'établissement de groupes de développement composés d'installations urbaines partageant certaines fonctions inter-régionales essentielles comme les services et aménagements pour l'emploi, l'éducation, la culture et les loisirs; (2) l'adoption d'un systéme d'encouragements économiques progressifs pour promouvoir les investissements privés dans les régions périphériques du désert; et (3) des réglementations plus strictes quant à l'utilisation des terres dans les régions centrales non désertiques du pays. Bien que l'analyse actuelle ait été limitée aux installations urbaines de petite et moyenne tailles en Israël, la méthode d'analyse et ses applications pratiques peuvent ? tre utiles pour la planification urbaine et régionale dans d'autres régions.  相似文献   

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Les thèmes d'authoritarisme bureaucratique servent à expliquer les changements dans l'organisation de la production au Brésil, et l'émergence en conséquence, de nouveaux groupes sociaux et relations de classes. Cet article trace l'impacte du développement économique au Brésil sur la croissance et l'organisation des populations urbaines. Les phases des contrôles sur l'importation qui étaient le véhicule pour l'industrialisation urbaine dépendaient d'un transfer du capital de l'agriculture à l'industrie, du consommateur au producteur, négocié à travers une politique de taux d'échanges et de protection commerciale et d'inflation. Ce développement était associé avec l'incorporation limité d'une classe ouvrière et urbaine croissante dans la structure émergeante de l'état. Cependant, l'éffondrement des contrôles sur l'importation et le développement de l'intervention de l'état et des investissements étrangers créerent le fondement de l'exclusion des revendications économiques et politiques des populations urbaines. Le raisonnement est que cette téchnocracie, produit de ces interventions et investissements, articula à la fois cette exclusion et son intérêt dans l'établissement et l'extension d'un contexte bureaucratique corporatif. Le résultat a été non seulement la suppression directe des revendications populaires, mais aussi l'exclusion de toute impulsion pour un nouveau model économique. Cet article termine en proposant qu'une analyse plus poussée devrait se concentrer plutôt sur les structures et processus organisationnels que sur les intérêts de rôles téchnocratiques particuliers.  相似文献   

13.
Les transports en commun deviennent rapidement un exemple critique de la crise générale des politiques de l'état dans la production et la distribution des équipements collectifs. La destruction antérieure des transports en commun aux Etats Unis par les intérêts de l'automobile, ainsi que les contraintes de l'énérgic, de l'utilisation du sol, et du chômage, produisent une situation selon laquelle diverses fractions du capital se regroupent dans une coalition afin de déterminer une politique future des transports. Une telle politique doit tant bien que mal satisfaire les besoins souvent contradictoires du transport, le résultat d'un développement urbain structuré autour de la dominance de l'automobile. Ces besoins sont soulignés ici-bas. Cet article présente les diverses options considérées actuellement ainsi que les contradictions survenant de chaque direction proposée. Les divisions à l'intérieur de la classe capitaliste sur ces options sont aussi présentés. Finalement, une brève considération est donnée aux mouvements sociaux urbains passés et présents organisés autour des questions de transport, ainsi que les problèmes auxquels ces mouvements doivent faire face dans les luttes futures autour de cet enjeu critique.  相似文献   

14.
There is evidence that the politics of economic development in the post‐industrial city is increasingly bound up with the ability of urban elites to manage ecological impacts and environmental demands emanating from within and outside the urban area. More than simply a question of promoting quality of life in cities in response to interurban competition and pressures from local residents, the greening of the urban growth machine reflects changes in state rules and incentives structuring urban governance as part of an evolving geopolitics of nature and the environment. The adoption of principles and practices of ecological modernization potentially represents a dramatic shift in the social regulation of urban governance away from unconstrained neoliberalized modes. In this article we explore how different demands on and for urban environmental policy have played out vis‐à‐vis changing modes and practices of governance in two English post‐industrial cities. We explore differences in the ways that entrepreneurial urban regimes have sought to incorporate the green agenda (Leeds), or insulate themselves from ecological dissent (Manchester). We further attempt to conceptualize evolving urban economy‐environment relations in the UK in terms of an ensemble of governance practices, strategies, alliances and discourses that enables the local state to manage, though not necessarily resolve, seemingly conflicting economic, social and environmental demands at different scales of territoriality. Here we propose the notion of an ‘urban sustainability fix’ to describe the selective incorporation of ecological objectives in local territorial structures during an era of ecological modernization. Dans les villes post‐industrielles, la politique de développement économique semble liée de plus en plus étroitement à l'aptitude des élites urbaines à gérer les impacts écologiques et les exigences environnementales venus de l'intérieur et de l'extérieur. Au‐delà de la simple défense d'une qualité de vie en ville, répondant à la concurrence interurbaine et aux pressions des habitants, l'intégration de la cause Verte dans la machine de croissance urbaine reflète les nouvelles règles et mesures d'encouragement étatiques qui structurent la gouvernance des villes dans le cadre d'une géopolitique évolutive de la nature et de l'environnement. L'adoption de principes et pratiques de modernisation écologique pourrait traduire un revirement dans la régulation sociale de la gouvernance urbaine, en remplaçant la totale latitude des réponses néolibérales. L'article explore comment les demandes variées de et en politique urbaine d'environnement se sont exercées dans le contexte changeant des modalités et pratiques de gouvernance de deux villes post‐industrielles anglaises. Il s'intéresse aux différences de démarches qu'ont adoptées des régimes urbains ayant l'esprit d'entreprise pour incorporer le programme vert (Leeds) ou s'affranchir de la dissidence écologique (Manchester). De plus, il s'efforce de conceptualiser les relations évolutives économie‐environnement dans le cadre urbain britannique en tant qu'ensemble de pratiques de gouvernance, stratégies, alliances et discours permettant à l'État local de gérer (sans toujours les satisfaire) des exigences économiques, sociales et environnementales apparemment contradictoires, et ce aux différents échelons de territorialité. La notion de ‘solution de durabilité urbaine’ est proposée pour décrire l'intégration sélective d'objectifs écologiques dans les structures territoriales locales pendant une phase de modernisation écologique.  相似文献   

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Post-Mao China is marked by priorities which unlike Maoist redistributive policies encourage and tolerate uneven regional development. But this approach has been under severe attack, and the Ninth Five-Year Plan (1996–2000) which calls for narrowing the regional gap signals that new policies are due. These changes reflect shifts in development philosophies and theories, which are overlooked by many existing studies which emphasize only policies and their outcome. This paper explores the thoughts and ideas that underlie post-Mao regional policy, by reviewing the Chinese literature on regional development from about 1985 to 1995. New applications of socialism and the influence of Western theories have helped to remove the stigma associated with uneven regional development, and have guided post-Mao regional policy which favors the more developed eastern region. But the uneven regional development policy is blamed for the escalation in regional inequality, outflows of resources from poorer inland provinces, and regional conflicts and protectionism. More recent research which advocates renewed attention on and regional diffusion to the inland region, has inspired a new generation of regional development models and has influenced urban and regional policy. Nevertheless, the theory of Chinese regional development continues to be constrained by the obligation to justify official policy, and a lack of attention to firms, enterprises, and the relations between production and space. La Chine d’après Mao est caractérisée par des priorités qui, au contraire de la politique redistributive maoï?ste, encouragent et tolèrent le développement régional inégal. Mais cette approche a été l’objet d’attaques virulentes, et le neuvième Plan de Cinq Ans (1996–2000), qui demande une diminution des écarts régionaux, indique qu’une nouvelle politique est nécessaire. Ces changements reflètent les variations dans les philosophies et théories de développement que de nombreuses études ignorent au profit des politiques et de leur résultats. En faisant une revue de la littérature chinoise sur le développement régional de 1985 à 1995, cet article explore les idées fondamentales de la politique régionale post-Mao. De nouvelles applications du socialisme et l’influence des théories occidentales ont aidéà enlever le stigmate associé au développement régional inégal, et ont guidé la politique régionale post-Mao, qui favorise la région de l’est, qui est plus développée. Mais la politique de développement régional inégal a été accusée de causer une escalation de l’inégalité régionale, une perte de ressources dans les provinces intérieures les plus pauvres, des conflits régionaux et du protectionnisme. Les recherches plus récentes, qui attirent l’attention sur la région de l’intérieur et recommandent la diffusion régionale aux terres de l’intérieur, ont inspiré une nouvelle génération de modèles de développement régional et ont influencé la politique urbaine et régionale. Néanmoins, la théorie du développement régional chinois est toujours limitée par l’obligation de justifier la politique officielle et par un manque d’attention aux entreprises et aux rapports entre la production et l’espace.  相似文献   

16.
The spatial impacts of the post-Mao development strategy are examined at the local level from various perspectives using the Zhujiang Delta, southern China as a case. The findings of this article suggest that the overall growth performance during the period from 1978 to 1992 has been extremely strong, in spite of fluctuating and uneven development between industrial and agricultural sectors. As a result of economic reform and the open door policy, particularly of free market forces, the spatial economic pattern changed from one in which Guangzhou monopolized the development to one that became dominated by two core areas after 1985. Moreover, the spatial relationship between the industrial and agricultural sectors has evolved into a new, balanced sectoral development pattern from place to place. Finally, in keeping with Chinese classical socialist development objectives, regional disparity in the delta since 1978 has shown a tendency to decline. Les effets spatiaux de la stratégie de développement d’après Mao sont examinés au niveau local sous des angles divers, utilisant the delta Zhujiang en Chine du Sud comme cas d’étude. Les résultats suggèrent que la performance générale de croissance durant la période 1978–1992 a été extrêmement bonne en dépit de développements variables et inégaux entre les secteurs industriel et agricole. A la suite des réformes économiques et de la politique de portes ouvertes, particulièrement des forces du marché libre, le modèle spatial économique est passé après 1985 de Guangzhou monopolisant le développement à une domination par deux régions centrales. De plus, la relation spatiale entre les secteurs industriel et agricole a ici et làévolué vers un nouveau modèle équilibré de développement par secteurs. Enfin, en accord avec les objectifs du développement socialiste classique chinois, les disparités régionales dans le delta ont tendance àêtre en déclin depuis 1978.  相似文献   

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Les tendences divergeantes de la structure agraire dans diverses parties du Brésil sont le thème de cet article. Le développement capitaliste dans les régions rurales de São Paolo, et la préservation/destruction des formes archaïques de production dans le nord-est sont analysés en terme des catégories et stages de développement capitaliste qui évoluent au pays. En considérant ce dernier dans son ensemble, une attention particulière est donnée à l'état. Depuis le début de l'industrialisation, l'industrie et l'agriculture ont toujours eu une relation ambiguë et contradictoire, et ceçi à la fois dans l'exportation et dans les marchés internes. Ceçi explique le caractère composite de l'état et la préservation d'une agriculture primitive. La préservation de la grande entreprise agro-merchantile et des formes archaïques de l'agriculture avait des fonctions distinctes pour l'accumulation du capital dans les secteurs non-agraires. Cet article examine aussi les tendances les plus récentes dans l'organisation agraire en relation avec les caractéristiques spécifiques de la nouvelle étape acquise par le capitalisme au Brésil. Une fois de plus, Côte à côte avec l'accroissement de la c?apitalisme agraire, dans la région de São Paolo (suivit par l'émergence d'un proletariat rural plus pur, la méchanisation massive et l'augmentation rapide de la composition organique du capital agraire), se produit l'extension et la récréation continuelle de la paysannerie latifundia dans les régions éloignées du pays. Un tel développement inégal dans les régions rurales coexiste avec le développement capitaliste dans son ensemble.  相似文献   

18.
The embeddedness of ethnic minority business activity is widely accepted, as researchers increasingly eschew ethno‐culturalist explanations of the phenomenon. However, despite the importance of urban processes, studies of ethnic minority enterprise are often ‘spaceless’. This article uses Rekers and van Kempen’s urban spatial framework to assess the experiences of South Asian owners in Birmingham’s restaurant industry. One taken‐for‐granted but evidently important element to which this article draws attention is location, which emerges as one of the key points of differentiation within the ethnic business community. Location is seen to influence individual access to market potential, an unevenly distributed resource largely shaped by local social geography. At the same time, entry into more lucrative market niches is heavily dependent on the possession of other resources such as capital, information and in some instances management skills. Si l’intégration d’entreprises créées par des minorités ethniques est largement admise, les chercheurs évitent de plus en plus les explications ethno‐culturalistes du phénomène. Par ailleurs, malgré l’importance des processus urbains, les études sur ces entreprises n’ont souvent pas de ‘bornes’. Cet article utilise le cadre spatial urbain de Rekers et van Kempen pour évaluer les expériences de propriétaires de restaurants sud‐asiatiques à Birmingham. Il attire l’attention sur une composante normale, quoique manifestement importante: le lieu. Celui‐ci apparaît comme l’un des points de différenciation essentiels au sein de la communautééconomique ethnique. Il influence l’accès individuel au marché potentiel, ressource inégalement répartie et largement configurée par la géographie sociale locale. Parallèlement, une pénétration de niches de marché plus lucratives dépend considérablement de la détention d’autres ressources, telles qu’un capital, des informations et, dans certains cas, des compétences de dirigeant.  相似文献   

19.
Entre 1971 et 1974 une stratégie de développement unique a été appliquée en Colombie. A l'encontre des autres stratégies de développement, celle de Colombie comprenait l'urbanisation et créait des emplois urbains dans la construction. Cette étude évalue la stratégie colombienne dans le contexte de l'urbanisation du développement économique. Seulement une évaluation partielle est possible à cause du nombre limité de données, mais dans l'ensemble la stratégie semble avoir réussi. L'emploi et la construction ont augmenté de façon notable, tandis que les bénéfices nets progressaient aussi. Cette étude évalue d'autre part (brièvement) les effets inflationnistes et les effets de la distribution des revenus de cette stratégie. Bien qu'elle n'ait pas été responsable exclusivement du taux d'inflation accéléré après 1971, cette stratégie y a contribué en mésestimant les variation des prix des denrées alimentaires et des matériaux de construction. les conclusions de cette stratégie sont tout à fait provisoires. Les parts de la main d'oeuvre ont sans doute augmenté, mais la construction a fait bénéficier principalement les groupes de revenus moyens et supérieurs.  相似文献   

20.
Cet article examine quelques antinomies existant dans la planification urbaine d'une société socialiste et rattache certaines questions théoriques à la recherche empirique et aux expériences de la pratique sociale en Yugoslavie. La critique des solutions urbanistiques courantes indique un besoin de surmonter une pratique fragmentaire et d'exercer une approche plus dialectique. L'analyse sociologique peut spécifier les conditions possibles pour la mise en ?uvre des valeurs dominantes dans une telle société et les relier aux pratiques quotidiennes de la direction du développement urbain. Les antinomies apparents dans la planification urbaine peuvent etre dévoilées pour être ensuite réinterprétées en tant qu'ensemble dialectique. Par exemple: Le sujet/l'objet de la planification La séparation habituelle entre le rôle actif de l'architecte-urbaniste et du dessinateur (sujet) et le rôle passif du résident (objet) est devenue inacceptable dans le contexte d'une sociéte socialiste avec un systéme d'autogestion. Continuité/discontinuité A la place de la logique prédominante de croissance, il y a à la fois un besoin de continuité et de discontinuité. Visionnarisme/pragmatisme Ni une orientation visionnaire générale et à long terme, ni l'approche pragmatique ne peuvent assurer un changement maximum dans la direction souhaitée. Inertie/correction Plus notre action est aprioriste, plus il faudra de temps pour reconnaître les erreurs passées et les diverses façons de résoudre les problèmes par la suite. Forme/fond L'urbanisme a gardé le vieux cadre du modèle formel et technique des fragments individuels. Dynamique sociale/structure physique La crise de l'environnement urbain représente la phénoménologie des discordes existant entre les dimensions physiques et sociales de la ville. Contrôle/initiative individuelle Un plaus grand contrôle n'est pas forcément incompatible avec la croissance du rôle de l'individu. Stimulation/sanctions négatives La menace des sanctions négatives du pouvoir coercitif de l'état ne peut pas maximiser la mise en ?uvre des objectifs de la planification: l'approche affirmative a été négligée.  相似文献   

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