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1.
No one has documented the changing geography of low‐income settlements in any city in the developing world over the entire postwar period. The most plausible model of this changing geography, first outlined by John F.C. Turner, indicates the existence of a dual concentration of the poor: in central slums and in informal settlements at the periphery. This dual pattern is associated, respectively, with the filtering‐down of older housing and with owner‐construction of new dwellings, sometimes on illegally‐occupied land. Some writers have suggested that central slums deteriorate, while fringe settlements may be improved over time, thereby distinguishing slums of despair from those of hope. Analysis of the Egyptian census from 1947 to 1996 shows that this suggestion is borne out by the postwar experience of Cairo. Evidence on literacy indicates that central and fringe areas have both contained a high proportion of low‐income households, but that over half a century the relative status of the central areas has slowly declined. Although it has helped to shape the experience of millions, this long‐term trend has not been obvious to close observers of the local scene. Similar historical surveys should be undertaken of low‐income settlements in other cities in the developing world. Personne n’a étudié la géographie évolutive des logements à faibles revenus dans quelque ville que ce soit du monde en développement durant tout l’après‐guerre. Le modèle le plus plausible de ce changement, esquisséà l’origine par John F.C. Turner, définit l’existence de deux concentrations de pauvres: dans les taudis du centre et dans des implantations informelles à la périphérie. Ce modèle dual est lié respectivement à un déclassement de l’habitat ancien et à la construction de nouvelles habitations par les propriétaires, parfois sur un terrain occupé illégalement. D’après certains auteurs, les quartiers centraux des pauvres se détériorent tandis que les installations périphériques sont susceptibles de s’améliorer avec le temps, établissant ainsi une distinction entre les taudis du désespoir et ceux de l’espoir. Une analyse du recensement égyptien de 1947 à 1996 confirme cette idée au vu de l’expérience du Caire depuis la guerre. Des données sur l’alphabétisation montrent que les zones centrales et périphériques ont abrité une forte proportion de ménages à faible revenu mais que, en un demi‐siècle, la condition sociale des quartiers du centre a connu un relatif déclin. Même si elle a influé sur l’expérience de millions de gens, cette tendance à long terme a échappéà des observateurs directs de la scène locale. Il conviendrait donc d’entreprendre des études historiques similaires dans les quartiers à bas revenus d’autres grandes villes du monde en développement.  相似文献   

2.
Despite widespread claims of its demise, the national state is the scale of the state institution best able to marshal the political, discursive and material resources necessary to achieve goals of social justice, defined as a decrease in income inequality, at local, national and global scales. The appearance of the withering away of the state is deceptive, since it is the state itself that is enacting the distribution of functions that some observers interpret as a reduction in state power. The arguments for a return of big government are both strategic and tactical. Strategically, central government has been responsible for every major social policy advance in the United States in the twentieth century. Tactically, the institutions comprising decentralized governance, including local governments, non–profit foundations and community–based organizations, are inadequate to the task. The role of big government in pursuit of social justice entails discursive and regulatory functions, each in turn suggesting an attendant political project for academics and activists. What is at stake is not a quantitative redistribution of state power but a qualitative redirection of the purposes to which that power is applied. Uncritical insistence on the end of the nation state may create a self–defeating self–fulfilling prophecy that conceals important opportunities for political realignment. L’Etat nation est à la meilleure échelle pour mobiliser les ressources politiques, discursives et matérielles nécessaires à la poursuite de la justice sociale, définie comme la réduction des inégalités de revenu aux échelles locales, nationales et globales, et ce malgré les affirmations répandues sur le retrait de l’Etat. L’apparence d’effacement de l’Etat est trompeuse puisque c’est l’Etat luui même qui organise la réallocation des fonctions que certains observateurs interprètent comme une réduction du pouvoir de l’Etat. L’argument en faveur d’un retour du ‘big government’ sont à la fois stratégiques et tactiques. D’un point de vue stratégique, le gouvernement central a été responsable de toutes les grandes avancées sociales du Xxème siècle aux USA. Sur le plan tactique, les institutions de gouvernance décentralisée comprenant le gouvernement local, les fondations à but non lucratif et les organisations communautaires ne peuvent pas faire face à ces tâches. Le rôle du gouvernement dans la poursuite de la justice sociale comprend des fonctions régulatives et discursives, chacune d’entre elle renvoyant à des projets politiques pour les activistes et les universitaires. Ce n’est pas la réallocation de l’autorité qui est en jeu mais une réorientation des objectifs du pouvoir. L’accent mis sans réserve sur la fin de l’Etat nation pourrait crééer une prophétie auto–créatrice auto–défaitiste qui dissimulerait les vraies opportunités de réorientation politique.  相似文献   

3.
This article uses a case study of the spatial and career mobility of bank workers from Lloyds, a leading British bank, to explore the relationship between class formation and spatial mobility. The article argues against the idea that the large‐scale concentration and bureaucratization of the British banking industry in the early years of the twentieth century saw the emergence of a mobile middle‐class spiralist or cosmopolitan. We use archival data from Lloyds Bank to argue that the emergence of Lloyds as a large‐scale national bank involved a compromise with localized interests rather than a detachment of the bank from local concerns. We use data on the career histories of a representative sample of male bank employees to argue that spatial mobility was organized largely within regions and helped to consolidate the prospects of rural bank workers. We argue that London emerged as a distinctive ‘hub’ for banking careers, with significant amounts of movement to and from London from all regions. We therefore demonstrate how localized and rural cultures were sedimented within a large, national bureaucracy, and that a genuine ‘spiralist’ structure did not emerge. En s’appuyant sur une étude de cas relative à la mobilité géographique et professionnelle du personnel de la Lloyds, l’une des premières banques britanniques, cet article examine le lien entre la formation d’une classe et la mobilité spatiale. Il combat l’idée que la concentration et la bureaucratisation à grande échelle du secteur bancaire britannique au début du XXe siècle a fait na? tre une classe moyenne mobile en spirale ou cosmopolite. Les données d’archives de la Lloyds révèlent que son développement en tant que grande banque nationale s’est accompagné d’un compromis avec les intér? ts locaux plutôt que d’une indifférence à l’égard de ces préoccupations. Les informations sur les carrières d’un échantillon représentatif d’employés de banque masculins permettent d’établir que la mobilité géographique a été organisée largement au plan régional, contribuant à consolider les perspectives des employés en zone rurale. Londres est apparu comme un ‘pôle’ particulier dans les carrières bancaires, avec un nombre considérable de mutations vers et de la capitale à partir de toutes les régions. L’article montre ainsi comment des cultures locales et rurales se sont sédimentées au sein d’une importante bureaucratie nationale et qu’aucune structure ‘en spirale’ pure n’en est issue.  相似文献   

4.
This article examines cooperative modes of regulation of local economies that in Europe increasingly take the form of concertation (partnership) – i.e. formalized agreement on common goals stated by collective actors with traditionally/potentially contrasting interests. This kind of agreement (‘pacts’) is increasingly institutionalized; ‘institutionalization’ being the process through which certain behaviours are steadily promoted, required, even made obligatory, by actors other than those putting them into effect, who demand conformity to their values and beliefs in return for making resources available. The process in question is particularly visible in EU countries, and it can be interpreted both as an opportunity to construct a model of a social Europe and as an opportunity to defend the features of this model that were subject to rapid erosion during the 1990s. Recurrent forms of partnership are: public–private and public–public partnerships; ‘regionalized’ industrial relations; ‘second–generation’ industrial districts; urban strategic planning; and territorial pacts. To order them, a typology is proposed on the basis of the dichotomy between exogenous/endogenous actors/resources. Three main constraints to an effective working of local concertation are then discussed: local presence of ‘global players’; excessive institutionalization; and lack of adequate implementation structures. Starting from the latter, some working hypotheses are proposed on a new ‘organizational population’, namely, the organizations of local development. Cet article examine les modes de régulation collectifs des économies locales, ceux–ci prenant de plus en plus souvent la forme d’une concertation (partenariat), accord formel sur des objectifs communs énoncés par un collectif d’acteurs dont les intérêts sont habituellement ou éventuellement opposés. Ce type d’accord (pacte) s’institutionnalise progressivement au travers d’un processus grâce auquel certains comportements sont toujours encouragés, demandés, voire exigés, par des acteurs qui, d’une part, ne sont pas ceux qui les appliquent et, d’autre part, réclament le respect de leurs valeurs et convictions en contrepartie de la mise à disposition de ressources. Ce processus, particulièrement évident dans les pays de l’U.E., peut s’interpréter à la fois comme une possibilité de construire un modèle d’Europe sociale et comme une chance de défendre les caractéristiques de ce modèle alors que celles–ci se sont rapidement dégradées dans les années 1990. Les formes récurrentes de partenariat sont: partenariats public–privé et public–public, liens industriels régionaux, districts industriels ‘de deuxième génération’, urbanisme stratégique et pactes territoriaux. L’article propose une typologie basée sur les dichotomies acteurs/ressources exogènes/endogènes. Il déduit ensuite les trois principales entraves à une concertation locale efficace: la présence locale de ‘joueurs de niveau international‘, un excès d’institutionnalisation et un manque de structures de mise en ?uvre appropriées. A partir de ce dernier point, sont présentées quelques hypothèses de travail sur une nouvelle ‘population organisationnelle‘, autrement dit des organisations de développement local.  相似文献   

5.
This article is based on recent transnational research on partnership‐based initiatives to promote local development and regeneration and combat social exclusion in the EU. The increasing reliance on partnership as the basis for local policy initiatives is first situated in the context of contemporary debates about social exclusion. The main part of the article then draws on the literatures on local governance and urban regime theory to examine three issues critical to the impact of the ‘new orthodoxy’ of local partnership: the capacity of partnerships as interorganizational forms of local governance; their inclusiveness; and the extent of outcomes which can be attributed to partnership as a distinctive mode of local governance. On all three issues, the evidence points to the limited claims that can be made for most local partnerships as ‘inclusion coalitions’ capable of effectively tackling social exclusion, and suggests that structural features of the currently dominant version of partnership entrench a model of elite rather than inclusive governance. Local partnership is associated with weak rather than strong discourses of social exclusion and inclusion, and its significance lies as much as anything in the way in which the practice of partnership tends to foreclose the sphere of debate and action, excluding more radical options. Cet article se fonde sur une récente étude transnationale concernant l'UE et portant sur les initiatives de partenariat visant à promouvoir le développement et la régénération sur le plan local, tout en combattant l'exclusion sociale. Le recours croissant au partenariat comme base des initiatives de politique locale est d'abord resitué dans le cadre des débats contemporains sur l'exclusion sociale. L'article, qui s'inspire des travaux sur la gouvernance locale et les régimes urbains, examine trois points essentiels pour l'influence de la ‘nouvelle orthodoxie’ du partenariat local: la capacité des partenariats en tant que formes de gouvernance locale inter‐organismes, leur nature inclusive, ainsi que la part des résultats qui leur revient au titre de mode distincif de gouvernance locale. Sur ces trois aspects, les faits soulignent la portée limitée que peuvent revendiquer la plupart des partenariats locaux comme ‘coalitions d'inclusion’ capables de traiter efficacement l'exclusion sociale; les résultats suggèrent en outre que les caractéristiques structurelles du partenariat, dans sa version dominante actuelle, enracinent un modèle élitiste plutôt qu'une gouvernance inclusive. Le partenariat local est associéà des propos sur l'exclusion et l'inclusion sociale plus complaisants que percutants, et sa place tient tout autant à la manière dont son exercice tend à figer la sphère de débats et d'actions, excluant toute option plus radicale.  相似文献   

6.
In the post‐1945 rebuilding of local democracy and local government in West Germany the local government statutes enacted by each of the regions (Länder) created a conspicuous variety of local governments that ranged from the council/directly elected (chief executive) mayor form (installed in the South German Länder of Baden‐Württemberg and Bayern) to that of the (British local government‐derived) council/council‐elected mayor, and the city director form (introduced in the Land of Nordrhein‐Westfalen). This made almost for a natural experiment with different local government models. Since the early 1990s, in a striking sequence of legislative moves, all Länder have adopted the (‘South German’) directly elected (chief executive) variant. The legislative motives behind this shift were twofold: first, to strengthen the direct democratic rights of citizens (‘local democracy’); and, second, to improve the capacity of local leadership in running and managing the city (‘governability’). The article argues that — as evidenced by the 50 year‐long practice in the South German Länder — the directly elected (chief executive) mayor form seems capable of fulfilling the double goal of strengthening the administrative leadership in local government and of enhancing its political accountability to the citizens. Furthermore, experience indicates that the potentially ‘over‐powerful’ position of the directly elected mayor (as political and administrative leader) has been counterbalanced and held in check by an active local council and by vigorous local political parties. Lors de la reconstruction de la démocratie locale et des gouvernements locaux en Allemagne de l'Ouest après 1945, les régions (Länder) ont chacune mis en place des statuts de gouvernement local aboutissant à une extraordinaire variété allant de la combinaison conseil‐maire (directeur) élu par la population (dans les Länder du Bade‐Wurtemberg et de Bavière, au Sud) et conseil‐maire élu par le conseil (inspirée du gouvernement local britannique), jusqu'à une forme d'administrateur de la cité (introduite dans le Land de Rhénanie‐du‐Nord‐Westphalie). Il en a résulté une quasi‐expérience naturelle de différents modèles de gouvernement local. Depuis le début des années 1990, dans une succession frappante de mesures législatives, tous les Länder ont adopté la variante (‘sud‐germanique’) par élection directe (d'un directeur). Cette mutation obéit à deux sortes de motifs législatifs: d'une part, renforcer les droits des citoyens à la démocratie directe (‘démocratie locale’) et, d'autre part, améliorer la capacité de l'autorité locale à diriger et gérer la ville (‘gouvernabilité’). Comme le prouve la pratique de cinquante années dans les Länder du sud, la formule du maire (directeur) élu directement paraît en mesure de répondre au double objectif de renforcement de la direction administrative dans un gouvernement local et d'accentuation de sa responsabilité politique vis‐à‐vis des citoyens. En outre, l'expérience montre que la position potentiellement ‘toute‐puissante’ des maires élus au suffrage direct (en tant que chef politique et administratif) a été contrebalancée et contenue par un conseil local actif et d'énergiques partis politiques locaux.  相似文献   

7.
This article explores how bargaining advantages arising from the process of public‐private coordination of interests enable local government to contain business influence in urban development. A theoretical framework highlights how the scope of business demands and the impact of policy on political coalitions empower local officials as Brokers, Organizers, Entrepreneurs and Promoters. Each role affords different pathways for state power in competition with business. This is illustrated by surveying transportation politics during the industrial age in New York City. The city’s experience demonstrates alternative local public‐sector foundations for governmental power in growth politics. As such, it qualifies theories of business privilege in democratic politics and identifies how the dynamics of the public sector empower local officials. Cet article examine comment la négociation d’avantages, née de la coordination des intérêts publics‐privés, permet à un gouvernement local de contenir l’influence des entreprises sur l’urbanisme. Un cadre théorique explique comment l’ampleur des demandes des entreprises et l’impact de la politique sur les coalitions politiques autorisent les représentants locaux à agir en Médiateur, Organisateur, Entrepreneur et Promoteur, chacun de ces rôles permettant des chemins différents vers le pouvoir étatique, en concurrence avec le monde des affaires. L’illustration est donnée par une étude de la politique des transports de la ville de New York à l’ère industrielle. Elle démontre que le secteur public local dispose de diverses assises pour s’assurer un pouvoir gouvernemental dans une politique de croissance. A cet égard, il modère les théories sur le privilège des entreprises dans une politique démocratique et définit comment la dynamique du secteur public donne un pouvoir aux représentants locaux.  相似文献   

8.
The term ‘substantive subsidiarity’ characterizes a radical position in the major debate in the European Union (EU) on how to structure territorially‐based power in a closely interlinked economy. A similar debate took place in the period between the 1950s and the early 1990s over the need for radical reform of spatial economic and power structures in Canada and less developed countries. The difficulty in constructing supporting arguments from economics for both these positions can be better understood by looking at the whole range of economic thought on spatial structures. A characterization of this range into three models reveals how economics generally supports centralizing tendencies. The assumptions required to make a case for stronger, more local authorities in the EU, Canada or less developed economies are shown to be restrictive. The article concludes that the case for substantive subsidiarity in the EU, which calls for radical decentralization to more local levels of government, claiming efficiency and equity gains, faces a similar challenge to that faced by earlier economists writing on less developed economies. L’expression ‘subsidiarité rélle’ définit une position radicale dans le grand débat qui anime l’Union Européenne sur la manière de structurer un pouvoir sur un territoire, dans une économie interdépendante. Entre les années 1950 et le début des années 1990, des discussions similaires se sont déroulées sur la nécessité de réformer profondément les structures spatiales du pouvoir et de l’économie au Canada et dans des pays sous‐développés. Dans les deux cas, on peut plus aisément appréhender la difficulté de trouver dans l’économie une source d’arguments favorables, si on observe l’éventail des pensées économiques sur les structures spatiales; en ramenant cette palette à trois modèles caractéristiques, on peut établir que l’économie penche généralement vers la centralisation. Par ailleurs, l’article démontre la nature restrictive des hypothèses permettant de dépeindre des autorités à la fois plus fortes et plus locales dans l’UE, au Canada ou dans des économies en développement. L’article conclut que la défense d’une subsidiarité réelle au sein de l’UE – appelant à une décentralisation radicale à des niveaux plus locaux de gouvernement, tout en revendiquant des gains d’efficacité et d’équité– est confrontée à un défi similaire à celui qu’ont rencontré les économistes passés quand ils écrivaient sur les économies en développement.  相似文献   

9.
Cet article examine les interprétations marxistes et dites ‘structuralistes’ des mouvements sociaux urbains. Il propose l'argument selon lequel certains aspects de méthodologie ne sont pas incompatibles avec la perspective des études pluralistes américaines employée pour le traitement des phénomènes de revendications. Ces deux perspectives partagent la měme supposition, c'est à dire que l'influence coule des mouvements de revendications à l'état; ce qui amène à chercher les raisons pour l'échec à l'intérieur du mouvement lui-měme, plutǒt que dans les ressources et les stratégies à la disposition de l'état et de ses agents pour détourner et dominer la revendication. Deuxièmement, ces perspectives ne semblent pas avoir de critères de sélection, et analysent seulement les cas manifestes de revendications. Il est suggéré qu'une interprétation adéquate ne peut ětre arrivée que sur la base d'une recherche qui essaye d'expliquer les relations fondamentales de pouvoir dans le système urbain, particulièrement quand il s'agit de situations d'inertie ou de non-revendication. La seconde partie de cet article est un compte rendu d'une recherche empirique sur la suppression d'un mouvement ouvrier de revendication à Londres contre des politiques de logement ‘pour les masses’. Cette recherche montre de quelle façon la portée et l'exactitude des interprétations marxistes et dites ‘structuralistes’ peuvent ětre avancée afin de prendre en compte ces critiques. En měme temps, elle explore l'utilisation des pouvoirs coercifs par les autorités locales anglaises et l'influence exercée par les corporations industrielles sur la politique du logement.  相似文献   

10.
China’s urban land reforms are being implemented within a framework of general economic reforms which are gradualist in nature. Thus, the urban land reforms are moving step by step towards the establishment of a land market. This gradualism is developing in association with a redefinition of central-local intergovernmental relations in the reform era, and with the advent of localism. In this context, gradual urban land reforms have become an implicit programme to nurture local enterprises and developers, a means of fostering local government-enterprise coalitions and an instrument to strengthen local government’s position in local development. During the systematic transition toward a socialist market economy, booming Chinese cities are formulating informal local ‘urban regimes’ to compete for local growth by capitalizing on financial gains derived from a dual market of urban land and property development. — Les réformes du sol urbaines en Chine sont mises en oeuvre dans une structure de réformes économiques générales de nature incrementaliste. Ainsi, les réformes agraires urbaines vont pas à pas vers l’établissement d’un marché de la terre. Cet incrémentalisme se développe en association avec une redéfinition des relations intergouvernementales centre-région pendant les réformes et avec l’arrivée du localisme. Dans ce contexte, les réformes du sol urbaines se sont implicitement transformées en un programme de support pour les entreprises et les promoteurs locaux, un moyen d’encourager les coalitions locales entre le gouvernement et les entreprises et un instrument de renforcement de la position du gouvernement local dans le développement local. Durant la transition systématique vers une économie de marché socialiste, les villes chinoises en plein essor élaborent des ‘régimes urbains’ locaux officieux pour améliorer la croissance locale par une capitalisation des gains financiers dérivés et du double marché du sol urbain et du développement immobilier.  相似文献   

11.
On a assisté en Grande-Bretagne au cours des dix années passées non seulement à une réémergence mais à une redéfinition de l'action communautaire. Un développement majeur a été une évolution hors des conceptions pluralistiques précédentes au profit d'analyses basées sur les classes. Cet article examine la partie de cette évolution qui nous intéresse, et qui a été définie comme étant un radicalisme progmatique. Elle est radicale parce que ses buts et sa stratégie consistent à résister à ce qui est ressenti comme des épreuves évitables imposées aux classes ouvrières par un système économique et politique capitaliste. Elle est pragmatique dans un contexte global par suite de la nature contradictoire des activités journalières. Le but du radicalisme pragmatique est de développer des alliances naturelles entre les groupes industriels et les groupes communautaires pour leur intérét commun. Il est considéré que les communautées en lutte manquent de pouvoir politique réel; les luttes purement industrielles manquent également souvent d'objectifs qui pourraient élargir l'horizon politique des travailleurs concernés au-delà des problèmes immédiats en question. Il y a trois niveaux dans la stratégie du radicalisme pragmatique: le niveau industriel, le niveau communautaire et le niveau gouvernemental local. Chacun de ces niveaux est analysé et des exemples sont donnés.  相似文献   

12.
The influence of bond–rating agencies on local autonomy is explored in light of recent research which views autonomy not as the degree of separation from the global economy, but rather as the nature of the interaction that places have with the wider politico–economic sphere. Based on the recent experience of American cities, it appears that the activities of rating agencies influence local autonomy more so now than during the immediate postwar period for three interrelated reasons. First, the governing turn away from federally–organized Keynesianism has transferred certain responsibilities to localities that are often funded with debt. Localities are thus more reliant on capital markets and the decisions that determine their access to such markets. Second, an increased presence of institutional investors in the municipal bond market has strengthened the investment–grade threshold because such investors are legally prohibited from holding a high percentage of speculative securities. Localities with speculative–grade debt are less able to sell their bonds than before. Third, commercial banks and locally–based lenders, which used to lend more frequently to cities (based on their own market research), are less involved in municipal debt markets than before. The knowledge vacuum created by their exit has been filled by the only other reputable sources on municipal credit: bond–rating agencies. Des recherches récentes montrent que l’autonomie locale ne se mesure pas en termes de séparation de l’économie globale mais à partir de l’interaction entre des localités et la sphère politico–économique au sens large. Dans cette perspective, l’article analyse l’influence des agences financières sur l’autonomie locale. A partir de l’expérience récente des villes américaines, il apparaît que les activités de ces agences de notation ont beaucoup plus d’influence sur l’autonomie locale que dans l’immédiate après guerre et ce pour trois raisons. Premièrement, en se détournant du keynésianisme organisé au niveau fédéral, le gouvernement a transféré des responsabilités aux localités qui sont souvent financées par la dette. Deuxièmement, le rôle accru des investisseurs institutionnels sur le marché de la dette des municipalités a renforcé le poids des notations et de seuils de risque car ces investisseurs n’ont légalement pas le droit de détenir un pourcentage élevé de titres à risque. Par conséquent, les localités dont la dette est considérée comme relevant du domaine de la spéculation sont moins capables d’émettre du papier. Troisièmement, les banques commerciales et les prêteurs locaux sont aujourd’hui moins impliqués sur ce marché. La perte de connaissance et d’information créée par leur départ a été compensée par la seule autre source fiable sur les finances municipales: la agences de notation financière.  相似文献   

13.
This article examines the process of local development within the context of restructuring in hinterland British Columbia, Canada. The role of local development in the reconstruction of hinterland space is attracting considerable research attention, building upon an existing body of work from Canada and elsewhere, which is steadily refining our understanding of the local development process. Through a case study of two communities, this article seeks to enhance the theory–practice coordination of this work by using a regulation approach to examine the process, organizational structures and relationships inherent in local development. The communities in this study used local development both to pursue economic diversification and also to offset the uncertainty caused by economic and political restructuring. The findings illustrate that the case communities responded to restructuring in a systematic manner. This shows that the practice of local development may be related to theoretical interpretations of institution‐building. Regulation theory provides a framework within which to forge a link between the practical dimensions of the local development process and the concept of building local institutions. Specifically, the development of a local mode of social regulation is dependent upon the stability and coordination of a locally based development institution. Cet article examine le processus de développement local parallèlement à la restructuration de l’arrière‐pays en Colombie britannique (Canada). Le rôle du processus dans la reconstruction de cet espace soulève l’intérêt manifeste de chercheurs qui, ajoutéà un corpus de travaux émanant du Canada ou d’ailleurs, affine régulièrement notre appréhension du développement local. A partir d’une étude de cas portant sur deux communautés, l’article tente d’améliorer la coordination entre théorie et pratique de ce travail en utilisant la régulation comme démarche d’investigation des processus, structures organisationnelles et relations propres au développement local. Les communautés concernées se sont servies du développement local pour mener une diversification économique, tout en compensant l’incertitude née de la restructuration économique et politique. D’après les résultats, elles ont réagi de manière systématique à la restructuration, ce qui montre que l’on peut lier l’exercice du développement local à des interprétations théoriques de la création d’institutions. La théorie de la régulation offre le cadre oùétablir un lien entre les dimensions pratiques du processus et le concept de création d’institutions locales. Plus précisément, le développement d’un mode local de régulation sociale dépend de la stabilité et de la coordination d’une institution de développement basée localement.  相似文献   

14.
A quoi peut-on attribuer la crise fiscale qui engouffre une grande partie du c?ur urbain américain? Est-ce que cette crise et l'intensification de la lutte politique présagent des changements fondamentaux dans la structure de l'économie politique des Etats-Unis? Cet essai est une réponse tentative à ces questions. L'exposition de la crise fiscale urbaine aux Etats-Unis demande une analyse générale de la relation entre accumulation du capital, urbanisation, et expansion de l'état. Cette analyse doit ětre le fondement d'une exploration des origines particulières du financement urbain qui confronte beaucoup de villes centrales, ainsi que de la relation entre crise fiscale et lutte politique. Il est suggéré en dernière partie que la menace posée par la crise fiscale urbaine et la lutte politique envers la stabilité et la légitimité des institutions capitalistes américaines est la cause d'une réponse parmi les sections les plus éclairées de la classe capitaliste, qui tend vers un accroissement de leurs efforts à developper la Cité Capitaliste d'état en tant que noyau d'un complex socio-industriel grandissant.  相似文献   

15.
In a context where changes brought about by globalization and Europeanization, and where local governments increasingly operate in a governance mode, different countries place increasing stress on the importance of strong local leadership. This article reviews local political leadership in Denmark, Finland, Norway and Sweden. Outside of a few major (mainly capital) cities, local government in the Nordic area remains small scale and frequently rural, is strongly partisan, yet relies on a strong tradition of consensual, corporatist style of decision‐making. Furthermore, this social democratic consensus places a stress on the continued production and delivery of high quality welfare state services. This domestic environment produces a style of local leadership which is essentially collective in nature and in which the strong mayor concept is alien. The article reviews the experience of local political leadership in the four Nordic countries and concludes that, though there is some small country variation and without many examples of strong mayors, local political leaders play an important role, especially in managing and maintaining the consensual style of politics. Mondialisation et européanisation créent des changements qui, à l'instar des gouvernements locaux, opèrent de plus en plus selon un mode de gouvernance, poussant plusieurs pays à faire une place plus importante à une forte autorité locale. L'article étudie l'autorité politique locale au Danemark, en Finlande, en Norvège et en Suède. A l'exception de quelques rares grandes villes (essentiellement les capitales), un gouvernement local dans les pays nordiques garde une échelle réduite et souvent un caractère rural, tout en étant fortement partisan même s'il s'appuie sur une solide tradition décisionnelle consensuelle de type syndical. Par ailleurs, ce consensus social démocratique agit sur la poursuite et la qualité de la fourniture de prestations dans le cadre de l'État‐providence. Cet environnement national génère un style d'autorité locale de nature principalement collective, qui exclut toute notion de pouvoir propre au maire. L'article étudie les formes d'autorité politique locale dans les quatre pays scandinaves concluant que, malgré quelques légères variations nationales et la quasi‐absence de maires puissants, les leaders politiques locaux jouent un rôle important, en particulier dans la gestion et la préservation d'un style politique consensuel.  相似文献   

16.
Domestic property and social class   总被引:1,自引:0,他引:1  
Cet exposé traite de l'importance des conséquences des différents modes d'occupation de logement, en ce qui concerne les rapports de classes. L'accent est mis précisément sur la Grande Bretagne où, environ 40% des ouvriers manuels possèdent maintenant leur propre maison, et où l'extension de l'occupation de l'habitation par le propriétaire a nettement contribué à accroitre les dividions sociales et politiques, au sein de la classe ouvrière. La question qui se pose, est de savoir si de telles divisions ont une base matérielle réelle, ou si elles sont principalement idéologiques. On voit que la réponse à cette question aura d'importantes conséquences pour l'organisation de luttes politiques autour de la question du logement. L'exposé débute par une discussion des perspectives wéberiennes et marxistes en matière d'occupation de logement et de rapports de classes. La perspective wébérienne, liée aux travaux de Rex et de Moore sur 'le logement par classes', est rejetée, quoique la possibilité de reformuler le concept du logement par classes, au sein d'une orientation wébérienne, soit mise en évidence. Le point de vue marxiste, qui rejette la possession du logement comme étant étrangère à l'identification des intérêts de classe, est également rejeté, sous prétexte que l'occupation de l'habitation par le propriétaire est un facteur crucial d'une augmentation réelles des richesses individuelles qui peuvent largement dépasser les économics que l'on peut faire sur les salaires de toute une vie. L 'exposé montre ensuite, comment la possession de sa maison va dans le sens d'une accumulation des richesses, et comment ceci crée une réelle division d'intérèt économique entre les propriétaires en jouissance et les locataires, fait qui se manifeste souvent dans les luttes politiques locales. La conclusion qui se dégage de ceci est que, les efforts des activistes locaux pour unifier les deux groupes en une alliance politique contre le capital monopole, peut sàvérer à la fois peu judicieux et nuisible à la productivité.  相似文献   

17.
Place in product     
Products and commodities take on the qualities of the places from which they come. In their tendency to persist even in the context of geographically homogenizing forces, place differences permeate the artifacts whose creation they stimulate. Through an investigation of industrial design practice, I specify how factors like client referral systems, local art worlds, and the existence of prior physical infrastructure influence the substance of stuff. I also examine processes like migrants’ cultural self–selection, the formation of internal markets, and the nature of the local semiotic. The mechanisms through which such diverse elements combine into a local industrial atmosphere shape not just competitive advantage of one place over another in producing a given artifact, but the nature of goods that can come into existence. Les produits et marchandises revêtent les propriétés de leurs lieux d’origine. Tendant à subsister en dépit des forces d’homogénéisation géographique, les différences entre les lieux imprègnent les objets dont elles stimulent la création. A partir d’une étude sur les pratiques en conception industrielle, l’article établit la façon dont les systèmes de référence des clients, les univers artistiques locaux et l’existence d’une infrastructure matérielle antérieure influent sur l’essence même des choses. Certains processus sont détaillés comme l’auto–sélection culturelle des migrants, la formation de marchés internes et la nature de la sémiotique locale. Les mécanismes qui permettent la combinaison de ces divers éléments en une ‘ambiance’ industrielle locale façonnent non seulement des atouts pour la concurrence entre tel et tel lieux grâce à la production d’un objet spécifique, mais aussi la nature des produits qui peuvent voir le jour.  相似文献   

18.
The past decade has seen an increasing interest in the cultural economies of cities by public bodies keen to address issues of urban decline. This article documents recent developments on the South Bank of the Thames in central London where cultural investments appear to be clustered and where attempts have been made to give spatial and policy coherence to a range of new development projects. The local authority promotes the South Bank as London’s new cultural quarter. However, this strategy is an opportunist and image‐based response to dominant property speculation interests. The management of cultural production in this part of London reveals limits to local coalition building and the limited influence of local strategies on the development process. The article questions whether the cultural quarter is an appropriate scale for managing the development of cultural industries as a motor for economic development in particular. Depuis une dizaine d’années, les autorités publiques qui s’occupent du déclin urbain s’intéressent de plus en plus à la dimension économique de la culture dans les villes. Cet article présente ce qui s’est passé sur la rive sud de la Tamise au centre de Londres où une tentative a été faite pour donner une cohérence spatiale à une série de nouveaux projets. L’autorité locale vend la South Bank comme un nouveau centre culturel. Cependant, cette stratégie constitue une réponse opportuniste en termes d’image aux intérêts immobiliers spéculatifs dominants. La gestion de la production culturelle dans ce quartier de Londres révèle les limites de la construction de la coalition locale et l’influence limitée des stratégies locales dans les processus de développement. Les auteurs de l’article se demandent si le quartier culturel est une échelle appropriée pour la gestion du développement des industries culturelles comme centre moteur du développement économique en particulier.  相似文献   

19.
The literature on the transition to postmodernism, postfordism and participatory planning stresses the value of the economic and planning process shifts that have occurred in the late 1960s and early 1970s. This paper compares two periods of planning and urban development in Toronto: one running from 1959 to 1962, at the height of modernism, fordism and expert-driven planning, and the other, from 1989 to 1992, set within the postmodern, postfordist and participatory planning era. In line with expectations arising from the literature, the study reveals stark distinctions between the two periods. It documents the breaking up of the modern consensus around the progress ideology into a postmodern constellation of values. As a result, the range of issues debated on the planning scene was much broader over the second period than over the first. Overall, however, results point to a mixture of continuity and change between the two periods and thus diverge from this literature’s strong emphasis on transition. Contrary to expectations, citizen mobilization was pervasive in both periods, although there were major differences in the nature of activism and in the issues that were raised. Over the first period most activism originated from ratepayer organizations dedicated to the protection of single-family-home neighbourhoods from encroachments, whereas the second period featured, along with such associations, advocacy groups championing environmental and social causes. The two periods are also distinguished by different planning implementation capacities. Whereas in the first period, planning had the means to implement its visions, this was no longer the case in the second period. In the late 1980s and early 1990s, planning was thus incapable of aligning urban development with its environmental and social ideals, which meant that, by default, planning practice over the second period proceeded pretty much according to land-use and transportation principles evolved in the early postwar decades. In sum, distinctions between the two periods were far more evident in the discourse than in the implementation sphere. — Les recherches sur la transition vers le postmodernisme, le postfordisme et la planification participative soulignent la valeur des changements qui ont pris place à la fin des années soixante et au début des années soixante-dix. Cet article compare deux périodes de planification et de dévelopment urbain à Toronto: une qui va de 1959 à 1962, durant l’apogée du modernisme, du fordisme et de la planification contrôlée par les experts, et l’autre, de 1989 à 1992, à l’époque du postmodernisme, du postfordisme et de la planification participative. En accord avec les prévisions émanant des recherches, cette étude révèle des distinctions nettes entre les deux périodes. Elle documente le morcellement du consensus moderne autour l’idéologie du progrès et le changement en faveur d’une constellation de valeurs postmodernes. Il s’ensuit que le champ de problèmes discutés en relation avec la planification était beaucoup plus étendu durant la seconde période que durant la première. Dans l’ensemble, cependant, les résultats indiquent un mélange de continuité et de changement entre les deux périodes et divergent donc de la forte emphase sur la transition que l’on trouve dans les recherches. Contairement aux prévisions, la mobilisation des citoyens était omniprésente à Toronto pendant les deux périodes, mais il y avait des différences importantes quant à la nature de l’activisme et dans les problèmes soulevés. Durant la première période, la plus grande part de l’activisme provenait des organisations de contribuables vouées à la protection des quartiers d’habitations contre les empiètements, alors que la seconde période comprenait, en plus de ces organisations, des groupes de soutien aux causes de l’environnement et aux causes sociales. Les deux périodes sont également distinctes en termes de mise en oeuvre. Alors que dans la première période les urbanistes avaient les moyens de mettre leurs idées à exécution, ce n’était plus le cas dans la seconde. Vers la fin des années quatre-vingt et le début des années quatre-vingt-dix, la planification ne pouvait pas intégrer les développements urbains et ses idéaux sociaux et environnementaux. Par défaut, la pratique de la planification durant la seconde période a fonctionnée selon les principes d’utilisation des terrains et du transport développés dans les premières décennies de l’après-guerre. En somme, les différences entre les deux périodes sont beaucoup plus visibles au niveau du discours qu’au niveau de l’application.  相似文献   

20.
Les transports en commun deviennent rapidement un exemple critique de la crise générale des politiques de l'état dans la production et la distribution des équipements collectifs. La destruction antérieure des transports en commun aux Etats Unis par les intérêts de l'automobile, ainsi que les contraintes de l'énérgic, de l'utilisation du sol, et du chômage, produisent une situation selon laquelle diverses fractions du capital se regroupent dans une coalition afin de déterminer une politique future des transports. Une telle politique doit tant bien que mal satisfaire les besoins souvent contradictoires du transport, le résultat d'un développement urbain structuré autour de la dominance de l'automobile. Ces besoins sont soulignés ici-bas. Cet article présente les diverses options considérées actuellement ainsi que les contradictions survenant de chaque direction proposée. Les divisions à l'intérieur de la classe capitaliste sur ces options sont aussi présentés. Finalement, une brève considération est donnée aux mouvements sociaux urbains passés et présents organisés autour des questions de transport, ainsi que les problèmes auxquels ces mouvements doivent faire face dans les luttes futures autour de cet enjeu critique.  相似文献   

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