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1.
Property rights play a key role in maintaining sustainable growth and in achieving efficient development. China’s economic reforms have stimulated urban physical development through the commodification and marketization of land‐use rights and building construction. Property rights over urban land have been decentralized, but the gradualist reform of state assets has not assigned and delineated property rights clearly between the principal and agents. Within a short space of time, Shanghai, a city in a transition economy, is facing a great property glut for the first time in its history. It is the two‐tier incentive structure that has created the dynamics of Shanghai’s urban physical development since 1980. The marketization of buildings makes property development a viable business. Capitalization on valued properties in the open domain motivates key actors in the development process to initiate redevelopment projects. Rapidly rising price benchmarks established by the booming property market escalate the urge to transform rents in the unsecured public domain to physical assets that are protected by the socialist use right. Les droits de propriété jouent un rôle essentiel dans la réussite d’une expansion durable et d’un aménagement efficace. En Chine, les réformes économiques ont stimulé un urbanisme construit, via une banalisation et une marchandisation des droits d’utilisation du sol et de la construction de bûtiments. Les droits de propriété sur les terrains urbains ont été décentralisés; cependant, la réforme gradualiste des biens de l’État n’a ni attribué ni délimité clairement les droits de propriété entre commettant et mandataires. En un court laps de temps, Shanghai, ville en économie de transition, se trouve confrontée à une surabondance de biens immobiliers pour la première fois de son histoire. C’est une structure incitative à deux niveaux qui a généré la dynamique de l’urbanisme construit de Shanghai depuis 1980. La marchandisation des immeubles fait de la promotion immobilière une activité lucrative. La capitalisation sur des propriétés valorisées dans un marché libre motive les acteurs‐clés du processus de développement à lancer des projets de réaménagement. Les prix de référence en croissance rapide, instaurés par le marché immobilier florissant, intensifient la tendance à transformer les loyers sans garantie du domaine public en biens construits protégés par le droit d’usage socialiste.  相似文献   

2.
The focus of this essay is success in collective action. It is based on a critical review and synthesis of the literature on collective action and property rights. I make three key arguments in the essay. First, contrary to the narrow conventional wisdom, self‐interested behavior can lead to successful collective action in both commonly managed resources and open‐access situations. The literature documents and explains a number of examples of success. Second, and nonetheless, collective action can be problematic and may require institutional responses, but privatization is not a panacea. Paradoxically, privatism can be a key source of the problems in collective action. And third, since the conventionally postulated, simple one‐to‐one relationship between a private property rights regime and an efficient outcome is not true, and given planners’ institutional interests, they should take a leading role in publicly advocating the potential viability of common property and collective action. Another important objective of the essay is to introduce to the readers a vast body of non‐traditional literature that has relevance for urban studies and planning practice. I include the literature on private property rights, ‘the tragedy of the commons’, ‘the inverse commons’, ‘the comedy of the commons’, and ‘the tragedy of the anticommons’. Cet essai s’intéresse au succès de l’action collective. Il s’appuie sur une critique et une synthèse des références sur l’action collective et les droits de propriété. Trois arguments sont exposés. D’abord, a contrario d’un avis étroit et conventionnel, l’intérêt personnel peut conduire à une action collective réussie tant pour des ressources gérées en commun que pour des situations en accès libre; des documents retracent et expliquent bon nombre de cas de succès. Ensuite, et néanmoins, une action collective peut poser problème et exiger des réponses institutionnelles, quoique la privatisation ne soit pas la panacée; paradoxalement, le ‘privatisme’ peut se révéler une source essentielle de difficultés en cas d’action collective. Enfin, comme le principe classique de relation simple, un pour un, entre un régime de droits de propriété privée et un résultat efficace n’est pas vérifié, et compte tenu des intérêts institutionnels des urbanistes, ceux‐ci devraient prendre un rôle moteur en défendant publiquement la viabilité de la propriété commune et de l’action collective. L’essai a comme autre objectif important de présenter aux lecteurs un vaste corpus de textes non traditionnels pertinent pour les études urbaines et la pratique de l’urbanisme. La conclusion inclut des références sur les droits de la propriété privée, ‘la tragédie des biens communs’, ‘les communs inversés’, ‘la comédie des communs’ et ‘la tragédie des anti‐communs’.  相似文献   

3.
The objective of this article is to speculate on the urban restructuring process in China’s transition to a market economy. Previous studies suggest that a broad theoretical framework is much needed to develop hypotheses for further empirical studies. This paper draws its insights from relevant studies on contemporary capitalist cities, in particular, political economy analysis of the urban process and capital switching, the structure of building provision and the creation of a rent gap, and institutional analysis of property rights. Summarily, it suggests that the basic logic of production in the context of a socialist city requires a specific way of coordinating — through economic planning and a specific configuration — the state work-unit system. Manifested in the production of the built environment was project-specific development. The structural tendency to disinvest in developed land has engendered a rent gap, which has laid the foundation for the phase of redevelopment in reforming socialist economies. Urban restructuring in the recent emerging market economy, which mainly involves decentralization, reorganizing the production of the built environment, and an increasing local-global link through overseas capital, is understood through this perspective. The post-reform built environment is characterized by land-use restructuring and polycentric development. It is argued that the physical reshaping of Chinese cities can be understood with respect to the redefinition of property rights, hence, capturing the rent gap by the main actors — state work-units, municipalities, the central state, real-estate investors, original residents and farmers. By its nature, the process favours big builders who have either de facto rights over existing urban land property or huge capital that enables them to ‘wipe out’ small owners. Western experience of gentrification reminds us that social problems may be created during the process, which calls for continuing insights to shed light on urban restructuring in post-reform China. L’objectif de cet article est de spéculer sur le processus de restructuration urbaine durant la période de transition de la Chine à une économie de marché. Les études précédentes suggèrent qu’un modèle théorique large est absolument nécessaire pour développer des hypothèses pour des études empiriques additionnelles. Cet article tire ses idées des études des villes capitalistes contemporaines, en particulier des analyses d’économie politique du processus urbain et du tranfert de capitaux, de la structure de la provision de bâtiments et de l’écart entre les loyers, et de l’analyse institutionnelle des droits de propriété. Succintement, cet article suggère que la logique fondamentale de la production dans le contexte d’une ville socialiste demande une méthode particulière de coordination — par la planification économique et une configuration spécifique — le système d’unité de travail de l’état. Le développement spécific de certains projets était manifeste dans la production de l’environnement urbain. La tendance structurelle au désinvestissement des terres développées a produit un écart dans les loyers, qui a créé une base pour une phase de redéveloppement des économies socialistes en réforme. La restructuration urbaine dans l’économie de marché naissante, qui implique principalement la décentralisation, la réorganisation de la production de l’environnement urbain, et, de plus en plus, un lien entre le local et le global grâce au capital d’outremer, peut être comprise dans cette perspective. L’environnement urbain d’après les réformes est caractérisé par la restructuration de l’aménagement du territoire et le développement polycentrique. Cet article soutient que le remaniement physique des villes chinoises peut être compris par rapport à la redéfinition des droits de propriété, et l’écart des loyers est donc accaparé par les agents principaux — les unités de travail de l’état, les municipalités, l’état central, les investisseurs immobiliers, les résidents d’origine et les fermiers. Vu sa nature, ce processus favorise les gros entrepreneurs qui ont soit les droits de facto aux terres urbaines existantes soit des capitaux considérables qui leur permettent de ‘liquider’ les petits propriétaires. L’expérience occidentale d’embourgeoisement nous rappelle que les problèmes sociaux peuvent être créés durant ce processus, qui demande une attention continue afin d’expliquer la restructuration urbaine dans la Chine d’après les réformes.  相似文献   

4.
The purpose of this article is to analyse the economic properties as well as the institutions governing the start‐up and evolution of cultural districts. The first part of the article reviews the relationships between culture, viewed as an idiosyncratic good, and the theory of industrial districts. The second part comprises a critical discussion of four models of cultural districts: the industrial cultural district (mainly based on positive externalities, localized culture and traditions in ‘arts and crafts’); the institutional cultural district (chiefly relying on the assignment of property rights); the museums cultural district (based on network externalities and the search for optimal size); and the metropolitan cultural district (based on communication technologies, performing arts and electronic trade). The assignment of intellectual property rights to local idiosyncratic cultural goods seems to be the most significant way to differentiate among cultural districts. The final section discusses a possible convergence of all district models towards the institutional district, based on the creation of a system of property rights as a means to protect localized production. Cet article tente d’analyser les propriétés économiques et les institutions qui régissent la création et l’évolution de districts culturels. La première partie étudie les relations entre la culture – vue comme un bien idiosyncrasique – et la théorie des districts industriels. La deuxième partie est un débat critique sur quatre modèles de districts culturels: le district culturel industriel (basé essentiellement sur des externalités positives, des cultures et traditions artisanales locales), le district culturel institutionnel (s’appuyant principalement sur l’attribution de droits de propriété), le district culturel des musées (fondé sur des effets d’entraînement en réseau et la recherche d’une taille optimale), et le district culturel métropolitain (basé sur les technologies de communication, des représentations artistiques et le commerce électronique). L’attribution de droits de propriété intellectuelle sur des biens culturels idiosyncrasiques locaux semble être la meilleure manière de différencier les districts culturels. La dernière partie de l’article examine une convergence possible de tous les modèles de district vers le district institutionnel, en s’appuyant sur la création d’un système de droits de propriété comme moyen de protection d’une production locale.  相似文献   

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Partant du présent système de propriété foncière du capital en Grande Bretagne, ce texte vise à établir diverses propositions pour l'analyse des rapports sociaux caractérisant la propriété foncière du capital, et des effets de ces rapports dans une formation sociale dominée par le capital. Dans une réflexion théorique liminaire sur la rente. est avancée l'idée que des formes particulières—telles que la rente différentielle—ne peuvent ëtre analysees comme des categories economiques independantes des rapports spécifiques de propriété du sol où elles sont fondées; c'est au contraire, la nature de ces rapports qui détermine la forme précise ou catégorie de rente appropriée. Sont alors considérés, en fonction de ces remarques, la nature et les effets des rapports de propriété foncière, et de l'appropriation de rente comme fraction spécifique de la plus-value. Il est souligné que cette appropriation concerne, y compris dans le cas de la rente différentielle, au delà des seuls problèmes de distribution, la structure měme de l'accumulation. Et ceci, à notre sens, ne peut ětre évité à l'intérieur du mode de production capitaliste. Ces remarques théoriques organisent la présentation résumée des résultats d'une recherche empirique sur les formes actuelles de propriété foncière du capital en Grande Bretagne. Trois formes sont mises en évidence, qui résultent des différences dans les rapports de propriété en cause, reflet des relations entre cette propriété foncière et la formation sociale dans son ensemble. Les résultats empiriques permettent de montrer que les modifications historiques dans l'équilibre entre ces formes résultent de la position contradictoire de la propriété foncière dans la formation sociale. Enfin, sont avancées quelques remarques sur la législation britannique recente, et sur les implications générales de la nationalisation du sol. La thése proposée est que la propriété d'état ne résoudra pas les contradictions de la propriété foncière, mais changera leur forme, modifiant ainsi les conditions de la lutte des classes.  相似文献   

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This paper evaluates the perennial question of whether the urban poor in developing countries are autonomous political actors or co-opted tools of patronage. I develop a theoretical interpretation of urban politics, arguing that collective action is shaped by changing configurations of state, economy and civil society. Collective action is expressed in struggles over labor, public goods and political rights — issues of varying salience in different periods of development. The theoretical framework generates a set of propositions which I evaluate with reference to a wide range of secondary evidence. At bottom, the data indicate that collective action varies in form and intensity (militance) with specifiable conditions. Illustratively, clientism did predominate during the ‘developmental decades’ (1960–80) that followed earlier (1930–60) experiences of militant labor conflict and yielded in the current period of neoliberalism to struggles for political rights. Cet article évalue l’éternelle question de savoir si les pauvres des villes dans les pays en voie de développement sont des participants politiques autonomes ou des instruments de patronage cooptés. Je développe une interprétation théorique des politiques urbaines soutenant que l’action collective est formée par les configurations changeantes de l’état, de l’économie et de la société civile. L’action collective s’exprime dans les luttes pour le travail, les biens publics et les droits politiques — des problèmes dont l’importance varie suivant les périodes de développement. Ce modèle théorique engendre un ensemble de propositions que j’évalue par rapport à une variété de preuves secondaires. En fin de compte, les données indiquent que la forme et l’intensité (activisme) de l’action collective varient selon des conditions qui peuvent être spécifiées. Pour illustrer, le clientisme prédominait durant les ‘décennies de développement’ (1960–1980) qui suivirent les experiences précédentes (1930–1960) de conflits des travailleurs militants et a donné lieu, dans la période actuelle de néo-libéralisme, aux luttes pour les droits politiques.  相似文献   

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Research on national development in developing and newly industrializing countries (NICs) has focused on issues of economic growth and social change independent of each other, without paying much attention to the way the two elements relate to each other and to the conditions that could lead to their simultaneous occurrence. This paper argues that explanations of how economic growth with — or without —‘positive social change’ can occur require attention to changing state-society relations. This research investigates the cases of Argentina and Taiwan, where economic growth in the 1990s has not translated into positive social change. By analyzing changing state-society relations, this research shows that relations of power within societies have a clear effect on national development; it also reveals how different social actors may be able to influence a state’s developmental strategies. This paper re-evaluates traditional views of the state and society in Argentina and Taiwan by examining the fluctuating composition of the societal base of the state and the changing relations between the state and its societal coalition. The analysis reveals the processes under which economic growth without social change is occurring in both countries, and provides general insights into the way dynamic state-society relations can influence national development in other contexts. — La recherche sur le développement national des pays en voie de développement et les pays nouvellement industrialisés a exploré les questions de croissance économique et de changement social séparément, sans s’occuper du rapport entre les deux et des conditions qui pourraiemt mener à leur occurrence simultanée. Cet article soutient qu’une explication de la croissance industrielle, avec ou sans ‘changements sociaux positifs’, demande que l’on prête attention aux relations changeantes entre l’état et la société. Cet article examine les cas d’étude de l’Argentine et de Taï?wan, où la croissance économique n’a pas apporté de changements sociaux positifs. En analysant les relations changeantes de l’état et de la société, cette étude démontre que les relations de pouvoir à l’intérieur des sociétés ont un effet manifeste sur le développement national; elle révèle aussi comment les différents participants sociaux peuvent influencer les stratégies de développement de l’état. Cet article ré-évalue les vues traditionnelles de l’état et de la société en Argentine et à Taïrsquo;?wan en examinant les compositions changeantes de la base sociale de l’état et les relations variables entre l’état et sa coalition sociale. L’analyse révèle les processus par lesquels la croissance économique survient sans changement social dans les deux pays et offre un aperçu général de la façon dont les relations dynamiques entre l’état et la société peuvent influencer le développement national dans d’autres contextes.  相似文献   

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Throughout the post‐war period, there have been increased prospects of inheritance in many capitalist societies, brought about by growing economies and labour markets as well as growth in the homeownership sector. This article aims to examine the commonalities and differences in views and strategies adopted by older homeowners in England and Japan towards accumulation of their housing assets and the disposal of them in later life. Changes in housing markets, social policy, and family structure and function affecting older homeowners in recent years have started to alter their attitudes towards bequests. Qualitative data from in‐depth interviews with older homeowners highlighted that independent living and the principle of equal shares among children are strongly valued by English elders. In Japan, the ‘generational contract’ involving inheritance and care provision is no longer as clear‐cut as it once was, and the contradictions and ambiguities in attitudes and practices exhibited by the current older cohort clearly illustrate the current transition. Pendant l’après‐guerre, les possibilités d’hériter se sont accrues dans de nombreuses sociétés capitalistes, grâce à la croissance des économies et des marchés du travail, ainsi qu’à l’expansion de la propriété individuelle. Cet article étudie les points communs et divergences de perspectives et stratégies adoptées par les propriétaires âgés en Angleterre et au Japon face à un accroissement du patrimoine que constitue leur logement et à sa transmission ultérieure. Les transformations des marchés du logement, de la politique sociale, ainsi que de la structure et la fonction familiale qu’ont connues récemment les anciens propriétaires ont entraîné un changement d’attitude en matière de legs. Des données qualitatives provenant d’entretiens approfondis avec des propriétaires âgés ont mis en lumière que l’indépendance de vie et le principe d’égalité des parts entre les enfants sont privilégiés par les seniors en Angleterre. Au Japon, le ‘contrat entre générations’— impliquant héritage et soins assurés — n’est plus aussi clairement établi qu’autrefois; en outre, contradictions et ambiguïtés dans les attitudes et pratiques de la cohorte âgée actuelle illustre clairement la transition en cours.  相似文献   

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With ongoing housing reform and profound changes in housing consumption in urban China, this article aims to understand tenure transition from rental to homeownership. Because of different housing systems in China over time, and thus different connotations attached to homeownership, tenure transition should be understood within its historic context. Using a sample survey of life history in 20 cities and the method of event history analysis, this article examines the tenure transition to the first homeownership during 1949–94, a period covering both the socialist era and the early stage of housing reform. In contrast to conventional wisdom, older and married people, and those working in the public sector and living in public housing were less likely to change to homeownership before housing reform, mainly because the socialist housing system was ironically in favor of those households with higher socio‐economic positions. In the reform era, while there are remnants of the socialist housing system, tenure transition has different dynamics with factors such as marital status, work units and previous housing tenure no longer important, at least by the mid‐1990s. In addition, crowded housing conditions and long duration in the rental sector generally encourage the transition to homeownership, and there are significant regional variations. Face à la réforme actuelle du logement et aux mutations de consommation de l'habitat dans la Chine urbaine, cet article cherche à comprendre le passage de la location à la propriété. Les systèmes de logement ayant varié avec le temps, donnant à la propriété différentes connotations, il faut appréhender la transition du mode d'occupation dans son contexte historique. S'appuyant sur une étude biographique effectuée par sondage dans 20 villes et sur la méthode de l'analyse historique des événements, l'article examine la transition vers la première accession à la propriété entre 1949 et 1994, période couvrant l'ère socialiste et le stade initial de la réforme du logement. Contrairement à l'avis traditionnel, les individus mariés et plus âgés, ainsi que les employés du secteur public qui vivent dans des logements sociaux, avaient moins tendance à opter pour la propriété avant la réforme, essentiellement parce que l'habitat socialiste favorisait bizarrement les ménages aux positions socio‐économiques élevées. Pendant la période de réforme, malgré une survivance du système socialiste, le changement de mode d'occupation présente une autre dynamique; ainsi, des facteurs tels que le statut marital, les unités de travail et le mode de jouissance antérieur n'ont plus d'importance, du moins jusqu'au milieu des années 1990. De plus, les conditions de surpopulation des logements et une durée prolongée dans le secteur locatif encouragent généralement le passage à la propriété, sans oublier des variations régionales significatives.  相似文献   

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This paper examines the systems of social relations underpinning the late 1980s’ office boom in São Paulo, Brazil. Using ‘institutionalist’ approaches to provide an empirical examination of these systems, it focuses on the nature of the dominant agents and their strategies, the linkages that allow them to perform their functions, and the relative position and power of the agents in the production and use of built structures. The paper tries to situate these systems in their economic and social environment and to point to the connections between socially constructed property markets, their environment, and the characteristics and outcomes of the property boom. In doing so, it aims to cast some light on the processes through which a mix of economic, social and cultural impulses, of global and ã local origins, are related to the structures of provision of offices in the context of So Paulo and lead to the production of specific forms of built environment. — Cet article examine les sytèmes de relations sociales qui a soutenu le boom des bureaux à S ão Paulo à la fin les années quatre-vingt. Utilisant des approches ‘institutionnalistes’ afin de fournir une examination empirique de ces systèmes, il se concentre sur la nature des agents principaux et sur leurs stratègies, sur les liens qui leur permettent d’assurer leurs fonctions, et sur la position de pouvoir relatif de ces agents dans la production et l’utilisation des structures bâties. Cet article essaie de situer ces sytèmes dans leur environnement social et économique, et de montrer les rapports entre les marchés immobiliers construits socialement, leur environnement et les caractéristiques et résultats de l’essor immobilier. Ce faisant, il entend éclaicir les processus par lesquels un mélange d’impulsions économiques, sociales et culturelles d’origine locale et globale est lié aux structures de construction des bureaux dans le contexte de S ão Paulo et conduit à la production de formes spécifiques d’environnement construit.  相似文献   

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Current international development policies promote both free markets and democratic states through privatization and decentralization programs. Building on T.H. Marshall's concept of citizenship, this article examines how these programs have affected the rights associated with citizenship in Bolivia since 1993 when the administration of President Gonzalo Sänchez de Lozada introduced a broad set of economic and political reforms. His administration sold state firms that had accounted for 50% of government revenues at the same time as it adopted a new constitution that recognized the multicultural and pluri‐ethnic nature of Bolivian society. His administration also began decentralization programs in government, health and education that transferred 20% of national revenues, as well as the responsibility for providing services, to municipal governments. I show how current development practice has strengthened a neoliberal citizenship regime in which civil rights associated with ownership of private property, and political rights associated with formal democracy and representation, have been promoted at the expense of social rights associated with access to health, education and welfare. Actuellement, les politiques de développement internationales favorisent à la fois les marchés libres et les états démocratiques par des programmes de privatisation et décentralisation. A partir du concept de citoyenneté de T.H. Marshall, l'article examine comment ces programmes ont affecté les droits liés à la citoyenneté en Bolivie depuis 1993, date à laquelle le gouvernement du Président Gonzalo Sánchez de Lozada a lancé un vaste train de réformes économiques et politiques. Il a vendu des entreprises publiques qui avaient représenté 50% des recettes de l'Etat, tout en adoptant une nouvelle constitution reconnaissant la nature multiculturelle et pluri‐ethnique de la société bolivienne. De plus, il a entamé des programmes de décentralisation au niveau du gouvernement, de la santé et de l'éducation, cédant aux autorités municipales 20% des revenus nationaux et la responsabilité de la fourniture de services. Ainsi, le développement actuel a renforcé un régime de citoyenneté néo‐libéral où les droits civils relatifs à la propriété privée, et les droits politiques relatifs à la représentation et la démocratie officielles, ont été avantagés au détriment des droits sociaux liés à l'accä%s à la santé l'éducation et l'aide sociale.  相似文献   

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The focus of this article is on the role of the transnational capitalist class (TCC) in and around architecture in the production and marketing of iconic buildings and spaces, in global or world cities. The TCC is conceptualized in terms of four fractions: (1) Those who own and/or and control the major transnational corporations and their local affiliates (corporate fraction). In architecture these are the major architectural, architecture‐engineering and architecture‐developer‐real estate firms. In comparison with the major global consumer goods, energy and financial corporations the revenues of the biggest firms in the architecture industry are quite small. However, their importance for the built environment and their cultural importance, especially in cities, far outweighs their relative lack of financial and corporate muscle. (2) Globalizing politicians and bureaucrats (state fraction). These are the politicians and bureaucrats at all levels of administrative power and responsibility who actually decide what gets built where, and how changes to the built environment are regulated. (3) Globalizing professionals (technical fraction). The members of this fraction range from the leading technicians centrally involved in the structural features of new building to those responsible for the education of students and the public in architecture. (4) Merchants and media (consumerist fraction). These are the people who are responsible for the marketing of architecture in all its manifestations. (There is obviously some overlap between the membership of these fractions.). My conclusion is that many global and aspiring global cities have looked to iconic architecture as a prime strategy of urban intervention, often in the context of rehabilitation of depressed areas. The attempt to identify the agents most responsible for this transformation, namely the TCC, and to explain how they operate, suggests that deliberately iconic architecture is becoming a global phenomenon, specifically a central urban manifestation of the culture‐ideology of consumerism. L’article porte sur la classe capitaliste transnationale (TCC) au sein et à la périphérie de l’architecture, et sur son rôle dans la production et la commercialisation de constructions et espaces iconiques dans les villes mondiales ou planétaires. Cette classe se conceptualise en quatre fractions: (1) Ceux qui détiennent et/ou contrôlent les principaux groupes transnationaux et leurs sociétés affiliées locales (fraction économique): En architecture, il existe de grands cabinets d’architecture, d’ingénierie en architecture et d’architectes promoteurs immobiliers. Par rapport aux grosses sociétés multinationales de la finance, de l’énergie ou des biens de consommation, les recettes des plus importants cabinets sont assez faibles; pourtant, leur place dans l’environnement construit et la culture, notamment en milieu urbain, compensent largement leur impact relativement mince sur le plan financier et économique. (2) Les acteurs politiques et bureaucratiques de la mondialisation (fraction étatique): Il s’agit des politicients et bureaucrates à tous les niveaux de responsabilié et de pouvoir administratifs qui décident effectivement de ce qui est construit et où, ainsi que de la régulation des changements apportés à l’environnement construit. (3) Les acteurs professionnels de la mondialisation (fraction technique): Leur diversité va des techniciens de renom, surtout impliqués dans les caractéristiques structurelles des nouveaux bâtiments, à ceux qui sont chargés d’enseigner l’architecture aux étudiants et d’éduquer le public. (4) Marchands et médias (fraction consumériste): Ce sont les personnes responsables de la commercialisation de l’architecture dans toutes ses manifestations. Ces quatre fractions présentent bien sûr des intersections. On peut déduire que bon nombre de villes planétaires — ou aspirant à le devenir — ont opté pour une architecture iconique comme première stratégie d’intervention urbaine, souvent dans un contexte de réhabilitation de zones en déclin. Identifier les principaux agents responsables de cette transformation (la TCC) et expliquer leur mode de fonctionnement conduit à suggérer qu’une architecture délibérément iconique devient un phénomène mondial, plus précisément une manifestation urbaine essentielle de l’idéologie‐culture du consumérisme.  相似文献   

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This article explores how bargaining advantages arising from the process of public‐private coordination of interests enable local government to contain business influence in urban development. A theoretical framework highlights how the scope of business demands and the impact of policy on political coalitions empower local officials as Brokers, Organizers, Entrepreneurs and Promoters. Each role affords different pathways for state power in competition with business. This is illustrated by surveying transportation politics during the industrial age in New York City. The city’s experience demonstrates alternative local public‐sector foundations for governmental power in growth politics. As such, it qualifies theories of business privilege in democratic politics and identifies how the dynamics of the public sector empower local officials. Cet article examine comment la négociation d’avantages, née de la coordination des intérêts publics‐privés, permet à un gouvernement local de contenir l’influence des entreprises sur l’urbanisme. Un cadre théorique explique comment l’ampleur des demandes des entreprises et l’impact de la politique sur les coalitions politiques autorisent les représentants locaux à agir en Médiateur, Organisateur, Entrepreneur et Promoteur, chacun de ces rôles permettant des chemins différents vers le pouvoir étatique, en concurrence avec le monde des affaires. L’illustration est donnée par une étude de la politique des transports de la ville de New York à l’ère industrielle. Elle démontre que le secteur public local dispose de diverses assises pour s’assurer un pouvoir gouvernemental dans une politique de croissance. A cet égard, il modère les théories sur le privilège des entreprises dans une politique démocratique et définit comment la dynamique du secteur public donne un pouvoir aux représentants locaux.  相似文献   

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Cet article examine quelques antinomies existant dans la planification urbaine d'une société socialiste et rattache certaines questions théoriques à la recherche empirique et aux expériences de la pratique sociale en Yugoslavie. La critique des solutions urbanistiques courantes indique un besoin de surmonter une pratique fragmentaire et d'exercer une approche plus dialectique. L'analyse sociologique peut spécifier les conditions possibles pour la mise en ?uvre des valeurs dominantes dans une telle société et les relier aux pratiques quotidiennes de la direction du développement urbain. Les antinomies apparents dans la planification urbaine peuvent etre dévoilées pour être ensuite réinterprétées en tant qu'ensemble dialectique. Par exemple: Le sujet/l'objet de la planification La séparation habituelle entre le rôle actif de l'architecte-urbaniste et du dessinateur (sujet) et le rôle passif du résident (objet) est devenue inacceptable dans le contexte d'une sociéte socialiste avec un systéme d'autogestion. Continuité/discontinuité A la place de la logique prédominante de croissance, il y a à la fois un besoin de continuité et de discontinuité. Visionnarisme/pragmatisme Ni une orientation visionnaire générale et à long terme, ni l'approche pragmatique ne peuvent assurer un changement maximum dans la direction souhaitée. Inertie/correction Plus notre action est aprioriste, plus il faudra de temps pour reconnaître les erreurs passées et les diverses façons de résoudre les problèmes par la suite. Forme/fond L'urbanisme a gardé le vieux cadre du modèle formel et technique des fragments individuels. Dynamique sociale/structure physique La crise de l'environnement urbain représente la phénoménologie des discordes existant entre les dimensions physiques et sociales de la ville. Contrôle/initiative individuelle Un plaus grand contrôle n'est pas forcément incompatible avec la croissance du rôle de l'individu. Stimulation/sanctions négatives La menace des sanctions négatives du pouvoir coercitif de l'état ne peut pas maximiser la mise en ?uvre des objectifs de la planification: l'approche affirmative a été négligée.  相似文献   

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This article deals with the relationship of religion to space, ethnicity and political domination, through the case of the Orisha religion in Africa and the Americas. This religion originated in the south‐east of present‐day Nigeria and was first re‐implanted in the Americas as a result of the deportation of thousands of Yoruba slaves, especially to Cuba. Today, it is experiencing a second transplantation, resulting from Cuban emigration, mainly to the United States. These two moves, from Africa to Cuba and then from Cuba to the United States, have been associated with successive processes of territorialization and dissemination in very different social and political contexts, which are analysed in historical sequence. On each occasion, transmission through lineage and dissemination through proximity seem to have come into play, in varying degrees according to the socio‐political context. Even though religion and ethnic identity were closely linked in Africa, the Orisha religion has spread into populations of European and mixed‐race origin in Cuba. The United States is witnessing a form of ‘re‐ethnicization’ of this religion in the black population and in the Hispanic population, with notable differences between the East Coast and California. Cet article a pour objet le rapport de la religion à l’espace, à l’ethnicité et à la domination politique dans le cas de la religion des orisha en Afrique et dans les Amériques. Cette religion, originaire du sud‐ouest de l’actuel Nigeria, s’est d’abord réimplantée dans les Amériques du fait de la déportation de milliers d’esclaves yoruba, à Cuba en particulier. Elle connaît aujourd’hui une seconde transplantation du fait de l’émigration cubaine, aux Etats‐Unis principalement. Les deux déplacements, de l’Afrique vers Cuba puis de Cuba vers les Etats‐Unis, sont associés à des processus successifs de territorialisation et de diffusion dans des contextes sociaux et politiques très différents, qui sont analysés dans leur succession historique. A chaque moment historique, il apparaît que transmission lignagère et diffusion par proximité jouent à des degrés variables selon les contextes socio‐politiques. Alors que religion et identité ethnique étaient étroitement liés en Afrique, la religion des orisha s’est diffusée dans la population d’origine européenne et métisse à Cuba. Aux Etats‐Unis, on assiste à une forme de ‘ré‐ethnicisation’ de cette religion dans la population noire et dans la population hispanique, avec des différences notables entre la côte Est et la Californie.  相似文献   

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This paper is a response to some of the arguments developed by Stephen Graham in an article published in IJURR in March 2000. In that article, Graham argues that the contemporary conditions of development of infrastructure networks worldwide are particularly favourable to ‘secessionary tendencies’ and lead to the deliberate creation of premium network(ed) spaces, i.e. ‘new or retrofitted transport, telecommunications, power or water infrastructures that are customized precisely to the needs of powerful users and spaces, whilst bypassing less powerful users and spaces’. In this response, I discuss cases in a variety of urban and national contexts that appear to stand in contrast with Graham’s narrative. In conclusion, I stress four directions which additional empirical research on these issues should address: incorporating the role of historical time; differentiating between developed and developing countries; expanding the analysis to spaces other than large cities; and integrating the features of socio‐political regimes. Cet article répond à certains arguments développés par Stephen Graham dans un article publié dans l’IJURR en mars 2000. Dans son article, Graham soutient que les conditions contemporaines de développement des réseaux techniques sont particulièrement favorables à l’expression de ‘tendances sécessionnistes’ (selon ses termes) et au développement d’espaces‐réseaux de première classe, c’est‐à‐dire ‘des réseaux de transports, de télécommunications, d’énergie ou de distribution d’eau, nouveaux ou redéveloppés, qui sont adaptés précisément aux besoins d’espaces et d’utilisateurs puissants, au détriment d’espaces et d’utilisateurs moins puissants’. Dans cette réponse, je présente un certain nombre de travaux empiriques menés dans des contextes urbains et nationaux divers et qui me semblent aller à l’encontre de la thèse défendue par Graham. En conclusion, j’indique qu’il serait souhaitable que les études empiriques à venir approfondissent quatre dimensions du problème: le rôle de l’histoire et du temps long; les différences entre pays développés (équipés en réseaux d’infrastructures) et pays en développement (en voie d’équipement); la situation des territoires autres que ceux des grandes métropoles (et les interactions entre les différents types de territoires); et l’influence des régimes socio‐politiques.  相似文献   

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Informal, or illegal, occupation of land is growing in importance in the cities of the developing world, especially sub‐Saharan Africa. The widespread nature of ‘illegality’ in some situations has led to queries of whether this should be termed ‘illegal’, and this is particularly so where there are potentially different entities bestowing legality. It has been increasingly recognized that informal land development is a solution for access to land by the urban poor, where formal supply is inadequate and inflexible, but that there need to be more efficient relationships between the formal and informal sectors. It is thus argued that new forms of association and new forms of partnership across the formal boundary are required. This article looks at the situation of land access for housing in Maputo, the capital of Mozambique, with a focus on the poor majority, and suggests alternative mechanisms for urban land rights to the simplistic application of full freehold tenure in formal land markets. These alternative mechanisms are based on structures within civil society, as it is argued that where the state and market are weak, as in Mozambique, these are more appropriate and less alienating for the urban poor majority. L'occupation irrégulière, voire illégale, des terrains s'accroît dans les villes des pays en développement, notamment en Afrique sub‐saharienne. Le caractère répandu de ‘l'illégalité’ dans certaines situations a conduit à s'interroger sur la pertinence du terme ‘illégal’, en particulier quand différentes entités sont susceptibles d'accorder la légalité. De plus en plus souvent, il est reconnu que l'aménagement non‐officiel du sol est une solution permettant aux citadins pauvres d'accéder à la terre (lorsque l'offre officielle n'est ni suffisante ni souple), mais que les relations entre les secteurs officiels et non‐officiels doiventÀtre plus performantes. L'article affirme qu'il faut créer de nouvelles formes d'association et de partenariat dépassant le cadre officiel. Il observe la situation de l'accès foncier pour le logement à Maputo, capitale du Mozambique, en considérant la majorité pauvre, et suggère d'autres mécanismes pour les droits fonciers urbains jusqu'à la demande toute simple de la pleine propriété sur des marchés fonciers officiels. Ces mécanismes de substitution sont basés sur des structures appartenant à la société civile, car lorsque l'État et le marché sont faibles, comme au Mozambique, ces mécanismes sont plus appropriés et moins aliénants pour la majorité urbaine pauvre.  相似文献   

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This paper maps some of the social and commercial forces shaping the debate around ‘realistic’ or ‘appropriate’ levels of energy specification in the commercial office market. It discusses how the dynamics of the market, alternative lease arrangements, enhanced building management standards, technological innovation and shifts in cultural taste are all redefining contemporary office space and presenting new opportunities for environmental innovation. Drawing upon interviews with developers, investors, agents, occupiers and property researchers in Britain and France, the changing, often conflicting, priorities underpinning decisions about energy standards are explored. The paper explores possible ‘futures’ for office development processes in the United Kingdom. Highlighting the ebb and flow of the market, the paper points to the changing nature of tenant demand and current ‘opportunities’ for the development of alternative, more ‘realistic’ energy specification levels. Looking beyond the current property slump it examines the cultural and structural shifts likely to sustain any reformation of British real estate practices. In particular, the paper highlights contemporary debates around transformation of the institutional lease and legislative codification of energy and environmental standards. It is argued that this loose constellation of social forces promises a significant, new mutuality of interests between developers and occupiers which is cultivating ‘appropriate’ specification and procurement practices. Cet article retrace certaines des formes sociales et commerciales qui modèlent le débat sur les niveaux ‘réalistes’ ou ‘appropriés’ de spécification de l'énergie dans le marché des bureaux commerciaux. Il explique comment les dynamiques du marché, l'organisation alternative du bail, une meilleure gestion des immeubles, la nouveauté technologique et le changement des goûts culturels redéfinissent l'espace contemporain du bureau et présentent de nouvelles opportunités d'innovation de l'environnement. M'appuyant sur des entrevues avec des promoteurs, des agents, des occupants et des chercheurs sur les propriétés immobilières en Grande-Bretagne et en France, j'examine les priorités changeantes et souvent contradictoires qui supportent les décisions quant aux niveaux d'énergie. Cet article explore les ‘futurs’ possibles pour les processus de développement des bureaux au Royaume Uni. Soulignant le va et vient du marché, cet article démontre la nature changeante de la demande des locataires et les ‘opportunités’ actuelles quant au développement de niveaux alternatifs et plus ‘réalistes’ de spécification de l'énergie. En regardant par delà l'effrondement actuel du marché immobilier, il examine les mouvements culturels et structuraux qui pourraient supporter une réforme des pratiques des agents immobiliers britanniques. Cet article souligne en particulier les débats contemporains sur la transformation du bail institutionnel et la codification législative de la qualité de l'environnement et de l'énergie. Je soutiens que cette constellation décousue de forces sociales promet une nouvelle et significative mutualité d'intérêts entre les promoteurs et les occupants qui cultive les spécifications ‘appropriées’ et les pratiques d'acquisition.  相似文献   

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This article utilizes property tax arrears data to trace the contraction of gentrification at the end of the 1980s and its resurgence in the 1990s in New York City’s Lower East Side. Contrary to the claims made during the recession about the end of gentrification, this article provides an important historical record of the resurgence of gentrification in the 1990s. The paper also argues that this new ‘third round’ gentrification has to be seen as a dramatic reassertion of economics in the central urban land market. That this shift is also expressed within the popular cultural discourses accompanying the process reveals an altered relationship between economics and culture in fin de siècle gentrification. Cet article utilise les données sur les arriérés des impôts sur la propriété pour retracer le déclin de l’embourgeoisement á la fin des années quatre-vingt et son renouveau dans les années quatre-vingt-dix dans le Lower East Side de New York City. Contrairement á ce qui fut dit sur la fin de l’embourgeoisement durant la récession, cet article fournit un dossier historique important qui montre le renouveau de l’embourgeoisement dans les années quatre-vingt-dix. Cet article soutient aussi que ce nouveau ‘troisième tour’ d’embourgeoisement doit ? tre regardé comme une réaffirmation dramatique de l’économie politique dans le marché foncier urbain central. Le fait que ce changement est aussi perceptible dans les discours de la culture populaire qui accompagnent ce processus révèle une relation changée entre l’écomonie politique et la culture dans l’embourgeoisement de fin de siècle.  相似文献   

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