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1.
Abstract. Résumé. Les auteurs proposent une explication des motifs pour lesquels les gestionnaires peuvent opter pour la modification des méthodes comptables. En situation difficile et devant la probabilité sérieuse d'un manquement technique aux clauses restrictives que comportent les contrats d'emprunt de l'entreprise, le gestionnaire est enclin à procéder à des modifications entraînant la hausse des bénéfices dans le but d'esquiver l'éventuel manquement. En posant l'hypothèse de prévisions rationnelles, si les investisseurs ne détiennent aucune information préalable au sujet des difficultés qu'éprouve l'entreprise, la réaction prévisible du marché à l'annonce d'une modification comptable sera négative. Nous postulons que la réaction du marché à cette décision à la date de l'annonce de la modification est en corrélation négative avec le volume d'information que peuvent détenir les investisseurs. Ils auteurs ont sélectionné un échantillon de 77 entreprises dans le but de vérifier leur raisonnement économique. Ds se servent des rendements anormaux constatés à la date de l'annonce pour tester la réaction des investisseurs à la modification comptable. Des tests transversaux associent la réaction des investisseurs à l'information qu'ils détenaient au préalable au sujet de la situation financière des entreprises de l'échantillon. À la date de l'annonce des modifications, les entreprises échantillonnées n'ont pas enregistré de réaction négative du marché qui soit statistiquement significative. Une analyse transversale permet cependant de conclure que le paramètre de la réaction du marché est en corrélation négative significative avec la variable substitutive de l'information préalable.  相似文献   

2.
Résumé. Cette étude établit et teste, dans un cadre d'équilibre d'anticipations rationnelles bruité, l'existence d'une relation linéaire formelle entre le prix des titres, la moyenne (le consensus) et la dispersion des anticipations des agents. Les variations de la moyenne et de la dispersion des anticipations des agents, mesurées par les prévisions de bénéfices réalisées par les analystes financiers transmises par I/B/E/S, ont respectivement un effet positif et négatif sur le prix des titres. Les difficultés soulevées par cette estimation, ainsi que les dimensions institutionnelles de l'industrie de l'analyse financière sont examinées. Les principaux résultats sont les suivants: 1) les variations les plus importantes du consensus (en valeur absolue) correspondent aux variations les plus importantes (en valeur absolue) de la dispersion des prévisions d'analystes, 2) les changements dans le consensus et la dispersion des prévisions sont respectivement liés positivement et négativement aux rendements des actions canadiennes mais en raison du décalage entre la réalisation et la diffusion des prévisions, une part importante de l'ajustement de prix a lieu avant la diffusion publique des changements dans les prévisions, 3) l'effet des variations du consensus sur le rendement des titres domine l'effet des variations de la dispersion des prévisions. Il semble donc que l'impact de l'arrivée d'information sur le prix des titres ne dépende pas uniquement du sens et de l'ampleur de la révision moyenne des anticipations, mais aussi du sens et de l'ampleur du changement dans la dispersion des anticipations.  相似文献   

3.
Résumé. Les auteurs font appel aux théories proposées par Darrough et Stoughton (1990) afin de mieux comprendre pourquoi certaines entreprises incorporent volontairement des prévisions directionnelles à leurs rapports annuels alors que d'autres s'en abstiennent. Les données qu'ils recueillent sont conformes à leurs prédictions selon lesquelles la politique d'information d'une entreprise reflète ses préoccupations à l'égard de la cote d'évaluation que lui attribue le marché des capitaux et à l'égard de la concurrence à laquelle elle doit faire face sur le marché des produits. Les auteurs constatent que pour les entreprises dont l'information est favorable, la probabilité de produire de l'information prévisionnelle croît lorsque l'entreprise a besoin de capitaux, mais décroît lorsqu'un nouveau concurrent menace d'entrer sur le marché. L'inverse est vrai pour les entreprises dont l'information est défavorable. Ces résultats viennent étayer plus solidement, sur le plan empirique, l'observation selon laquelle l'hypothèse familière de l'information favorable vérifiée dans les travaux portant sur la prévision des résultats par la direction n'offre qu'une explication partielle à la décision de produire de l'information prévisionnelle. Chose intéressante, toutefois, même une fois contrôlés les facteurs relatifs au marché des capitaux et au marché des produits, les données révèlent toujours une distorsion globale dans la présentation volontaire d'information. Elles viennent également légitimer les préoccupations de la CVMO à l'égard de cette distorsion dans la présentation volontaire d'information. Seulement 17,5 pour cent des prévisions de l'échantillon sélectionné par les auteurs indiquent une baisse par rapport aux résultats de l'exercice précédent. Toutefois, par contraste avec les préoccupations de la CVMO en ce qui a trait à l'absence générale d'information prospective dans les rapports annuels, 35,9 pour cent des entreprises de l'échantillon constitué par les auteurs incorporent des prévisions directionnelles à leur rapport de gestion ou à d'autres sections de leur rapport annuel.  相似文献   

4.
Abstract. This paper develops and analyzes a signaling model in which a firm discloses privately held information to investors via a forecast. The forecast is constrained by the extent to which the accounting system reflects the private information, and the extent to which estimates regarding the private information are available from other sources, such as financial analysts. The market assesses the credibility of the forecast in setting the price of the firm's stock. A partially separating equilibrium is presented. The implications of the equilibrium are consistent with empirical regularities concerning the market's reaction to management forecasts. In particular, a majority of management forecasts contain good news, forecasts containing bad news are more credible than forecasts containing good news, and stock price reactions are stronger for firms that are not followed by financial analysts. Analysis of investor returns suggests that although a more effective accounting system reduces the variance of returns, it also skews them to the left. Thus, the largest losses are from investments in firms with the most effective accounting systems. Résumé. L'auteur élabore et analyse un modèle indicateur dans lequel une entreprise communique aux investisseurs, par le truchement d'une prévision, l'information qu'elle détient à titre privilégiée. La prévision est sous contrainte dans la mesure où le système comptable reflète l'information privilégiée et les estimations relatives à l'information privilégiée peuvent être obtenues auprès d'autres sources, comme celle des analystes financiers. Le marché évalue la crédibilité de la prévision en fixant le cours de l'action de l'entreprise. L'auteur présente un équilibre partiellement intercalaire. Les conséquences de cet équilibre sont conformes à celles régulièrement observées dans les études empiriques relatives à la réaction du marché aux prévisions de la direction. On note en particulier que la majorité des prévisions de la direction renferment de l'information positive, que les prévisions qui renferment de l'information négative sont plus crédibles que les prévisions contenant de l'information positive et que les réactions touchant le cours de l'action sont plus fortes pour les entreprises qui ne sont pas suivies par des analystes financiers. L'analyse des rendements obtenus par les investisseurs laisse croire que même si un système comptable plus efficace réduit la variance des rendements, il les rend asymétriques vers la gauche. Les pertes les plus importantes sont donc liées aux investissements dans des entreprises ayant les systèmes comptables les plus efficaces.  相似文献   

5.
Abstract. This paper examines three possible specification problems with the research on information content of earnings disclosure. The first deals with the extent to which contemporaneous prediction errors are good surrogates for revisions of future earnings expectations and, hence, distributions of cash flows. This problem is elucidated by evaluating analysts' revisions of future earnings expectations as “relevant omitted variables.” The results show that the quality of such surrogation is high in the first quarter but low in the second. The second problem concerns the degree to which analysts' earnings forecasts are good surrogates for the market's own earnings expectations. Unbiasedness and orthogonality are the two properties examined. Although analysts' forecasts satisfy the unbiasedness property, the necessary condition of orthogonality is not satisfied. Hence, analysts' earnings forecasts are not Muthian rational expectations (i.e., they are not good surrogates for market forecasts). Consequently, the explanatory power of known empirical results is likely to be understated. The third specification issue is the significance of the self-selection bias resulting from endogenous partitioning of samples into, say, good- and bad-news portfolios. The Heckman-Lee method of correcting for this type of selection (truncation) bias is applied. The results show significant self-selection bias in both quarters but more so in the first than in the second quarter. Although applying the correction for this sample did not alter the general inferences, it did alter the marginal contribution of each explanatory variable and the explanatory power of the models. The results indicate that the information news about quarterly earnings is not homogeneous across different quarters in a fiscal period. The possibility that a “quarter effect” exists needs further investigation. Résumé. L'auteur se penche sur trois problèmes de spécification possibles en ce qui a trait à la recherche sur le contenu informatif des bénéfices publiés. Le premier de ces problèmes porte sur la mesure dans laquelle les erreurs prévisionnelles actuelles sont des substituts efficaces aux ajustements des bénéfices éventuels prévus et, partant, aux distributions de flux monétaires. On élucide ce problème grâce à l'évaluation des ajustements des bénéfices éventuels prévus effectués par les analystes, à titre de « variables pertinentes omises ». Les résultats de l'étude montrent que la qualité de cette substitution est élevée pour le premier trimestre mais faible pour le second. Le deuxième problème a trait à la mesure dans laquelle les prévisions de bénéfices des analystes sont des substituts efficaces aux prévisions de bénéfices au marché. L'auteur se demande si les prévisions des analystes sont non biaisées et orthogonales. Bien qu'elles se révèlent en effet non biaisées, elles ne respectent pas le critère d'orthogonalité. Les prévisions de bénéfices des analystes ne sont donc pas des prévisions rationnelles de Muthian (c'est-à-dire qu'elles ne sont pas des substituts efficaces aux prévisions du marché). On peut donc penser que le pouvoir explicatif des résultats empiriques connus est sous-estimé. Le troisième problème de spécification est celui de la signification de la distorsion d'autosélection résultant du découpage endogène des échantillons, par exemple sous forme de portefeuilles dont les comptes rendus sont favorables ou défavorables. L'auteur applique la méthode de correction Heckman-Lee prévue pour ce genre de distorsion de sélection (tronquée). Les résultats révèlent une importante distorsion d'autosélection pour les deux trimestres, plus marquée toutefois dans le premier que dans le second. Bien que l'application de la méthode de correction à cet échantillon n'ait pas modifié les inférences générales, elle a modifié la valeur explicative marginale de chaque variable et le pouvoir explicatif des modèles. Les résultats obtenus indiquent que l'information relative aux bénéfices trimestriels n'est pas homogène dans les différents trimestres d'un exercise financier. L'existence possible d'un « effet trimestre » doit faire l'objet de recherches plus approfondies.  相似文献   

6.
Résumé. L'auteur examine comment le risque d'épuisement des obligations fiscales des sociétés avant la déduction des intérêts débiteurs influe sur leur niveau d'endettement. L'étude diffère des travaux précédents sous trois aspects: 1) elle fait usage de données compilées par l'Internal Revenue Service (IRS) à partir des déclarations de revenus des sociétés plutôt que de données comptables; 2) elle mesure le risque d'épuisement de l'impôt avec plus de précision; et 3) elle fait appel à une méthode reposant sur les séries chronologiques et le calcul des différences d'ordre 1, de sorte que les sociétés servent d'élément d'autocontrôle entre années successives. Ces innovations méthodologiques réduisent les distorsions attribuables à l'erreur de mesure et aux variables omises que l'on retrouvait dans les travaux précédents. Les résultats donnent à penser que, toutes choses étant égales par ailleurs, le risque élevé d'épuisement de l'impôt amène les sociétés à réduire leur utilisation du levier financier. L'étude fournit également des données confirmant pour la première fois que les impôts des particuliers influent de manière sensible sur le niveau d'endettement des sociétés. Les effets des décisions relatives au niveau d'endettement sur d'autres variables font également l'objet de tests dont les résultats confirment les prévisions énoncées dans les travaux théoriques précédents.  相似文献   

7.
Abstract. This study examines empirically the role played by direct disclosure in the valuation of initial public offerings (IPOs). We investigate why some firms making an initial public offering in Canada include an earnings forecast in the offering prospectus and others do not, and, in particular, the role of such direct disclosures in IPO valuation. We explore several hypotheses motivated by the voluntary disclosure and signaling literatures. Our results are consistent with the hypotheses that (1) forecasters have “good news” to reveal about future earnings prospects relative to nonforecasters, (2) the earnings forecast signals are valuation relevant, and (3) the market is able to correct for expected forecast error or bias in the earnings forecast. Résumé. Les auteurs font une analyse empirique du rôle que joue la présentation directe d'information dans l'évaluation des premiers appels publics à lépargne. Ils se penchent sur les raisons pour lesquelles certaines sociétés qui font appel public à l'épargne au Canada intègrent à leur prospectus d'émission des prévisions de bénéfices, alors que d'autres ne le font pas, et ils s'intéressent en particulier au rôle de la présentation directe de ce genre d'information dans l'évaluation d'un premier appel public à l'épargne. Ils examinent plusieurs hypothèses inspirées d'ouvrages traitant de présentation volontaire d'information et d'indicateurs. Les résultats obtenus sont conformes aux hypothèses selon lesquelles 1) ceux qui font état de prévisions ont de l'information positive à communiquer au sujet des perspectives de bénéfices, contrairement à ceux qui ne font état d'aucune prévision, 2) les indicateurs que représentent les prévisions de bénéfices sont pertinents à l'évaluation et 3) le marché a la capacité de corriger l'information qu'il reçoit pour tenir compte des erreurs ou des distorsions anticipées dans les prévisions de bénéfices.  相似文献   

8.
Résumé. La crédibilité des différents emprunteurs commerciaux, que les prêteurs assimilent à la notion de ? conduite ?, influe sur l'utilisation que font ces derniers de l'information comptable. L'incidence de la crédibilité de la source est subtile par rapport à celle de l'opinion des vérificateurs externes sur l'utilisation des états financiers dans d'autres contextes. L'auteur pose l'hypothèse selon laquelle les faits comptables doivent être positifs (c'est-à-dire avaliser le prêt) pour que les faits relatifs à la conduite des emprunteurs influent sur les jugements des prêteurs et sur leurs décisions de prêt. Les faits liés à la conduite des emprunteurs n'auront pas d'incidence appréciable sur les jugements ou les décisions de prêt si les faits comptables sont négatifs (c'est-à-dire qu'ils incitent le prêteur à refuser le prêt). Cette interaction entre les faits comptables et la conduite des emprunteurs devrait s'accentuer à mesure que les prêteurs acquièrent de l'expérience et élaborent des critères qui leur permettent d'évaluer cette conduite. L'auteur s'est livré à une expérience dans le cadre de laquelle des prêteurs ont lu une demande de crédit qui contenait certains faits d'ordre comptable, des faits relatifs à la conduite de l'emprunteur et divers autres renseignements; les faits comptables et les faits portant sur la conduite ont été manipulés de façon qu'ils soient tantôt positifs, tantôt négatifs, ce qui a donné lieu à quatre versions de la demande de crédit. Les prêteurs recommandaient ensuite l'autorisation ou le refus du prêt et estimaient la probabilité que ce dernier soit intégralement remboursé (estimation du risque). L'expérience a permis d'établir les conséquences interactives des faits comptables et des faits liés à la conduite des emprunteurs sur les décisions de prêt et les estimations du risque formulées par les prêteurs, mais les interactions entre les faits comptables et la conduite ne variaient pas, de façon générale, avec le niveau d'expérience. Une différence est cependant digne de mention: les prêteurs expérimentés n'ont jamais autorisé de prêts lorsque les faits comptables étaient négatifs, ce qui n'est pas toujours le cas des prêteurs inexpérimentés.  相似文献   

9.
Résumé. Les vérificateurs, les responsables de la réglementation et les universitaires s'intéressent à la pratique du ? leurre-prix ? et à sa relation avec l'objectivité du vérificateur. Cette question a même fait l'objet de plusieurs modèles analytiques. Ces théories n'ont cependant jamais été testées, principalement à cause de l'absence de données concrètes relatives à d'importantes variables contextuelles. Les auteurs de la présente étude élaborent un modèle à périodes multiples s'appliquant à la pratique du leurre-prix et à l'objectivité du vérificateur et l'expérimentent dans des marchés de laboratoire en recourant à la méthodologie de l'économique expérimentale. Leur étude vient enrichir la documentation existante sous deux rapports. D'abord, il s'agit de l'une des premières études à produire une argumentation empirique et à expérimenter la théorie de la relation entre la pratique du leurre-prix et l'objectivité. Ensuite, le modèle repose sur un raisonnement nouveau relatif à la pratique du leurre-prix et à sa relation avec l'objectivité du vérificateur. La pratique du leurre-prix et l'atteinte à l'objectivité, qui se manifestent indépendamment des coûts exogènes des opérations, sont le résultat de la prémisse d'une variation transversale dans les coûts et la qualité de la vérification et d'un avantage relatif à l'information qui échoit à un couple vérificateur attitré-client en ce qui a trait à l'évolution de ces dimensions de la vérification. Les auteurs ont appliqué le modèle pendant un certain nombre de périodes à des marchés de laboratoire réunissant plusieurs acheteurs et plusieurs vendeurs. Ils ont observé seize de ces marchés dans le but de vérifier la valeur prédictive du modèle en ce qui a trait aux prix et à l'information communiquée. L'expérience est concluante quant à la pratique du leurre-prix, mais elle n'est pas convaincante en ce qui a trait à la prévision exacte des prix. L'expérience confirme également la validité des prévisions relatives à l'information communiquée, les vendeurs ne s'éloignant de la vérité (et faisant une entorse à l'objectivité) que lorsque les profits supplémentaires qu'ils sont susceptibles d'en retirer sont supérieurs aux coûts supplémentaires que risque d'entraîner la communication d'information inexacte. L'on peut obtenir les données relatives aux marchés de laboratoire utilisées dans le présent document en en faisant la demande aux auteurs.  相似文献   

10.
Résumé. La profession comptable et de vérification fait grand usage de mots pour communiquer les niveaux d'incertitude dans des situations formelles et informelles s'étendant des déclarations du Manuel, en passant par les documents de travail jusqu'aux communications de tous les jours. La littérature comptable ne présente pas de recherches sur le niveau d'ambiguïté dans les interprétations de telles communications ou sur les facteurs qui pourraient potentiellement influencer cette ambiguïté. Cet article fournit un examen détaillé et approfondi de l'ambiguïté des interprétations dans la communication de l'incertitude en faisant usage d'un vocabulaire familier aux comptables et aux vérificateurs. Des niveaux de probabilité moyens furent calculés à partir des réponses à différents mots communément utilisés. Des analyses supplémentaires des interprétations furent entreprises pour comparer différentes méthodes de répondre aux communications. Pour ce faire, nous avons utilisé différentes façons pour évaluer l'impact sur les interprétations et pour comparer les réponses des sujets de différents groupes. Nous avons fait usage de différents designs expérimentaux afin d'assurer la validité interne nécessaire à l'interprétation des résultats de la recherche. La validité externe fut assurée par l'utilisation: de mots communs, de sujets raisonnablement sophistiqués, d'observations à différents moments et en faisant des comparaisons avec les résultats d'expériences dans d'autres cadres. Cet article démontre que l'ambiguïté existe et que cette ambiguïté est raisonnablement stable pour le vocabulaire du comptable. De même, l'ambiguïté peut être augmentée par l'utilisation de modes de réponse difficiles de la part de l'interprète, mais elle ne peut être réduite facilement.  相似文献   

11.
Résumé. Les travaux antérieurs qui ont porté sur la formulation d'hypothèses démontrent que les vérificateurs ont tendance, dans la formulation de leurs hypothèses initiales, à attribuer les fluctuations imprévues aux erreurs qui se produisent fréquemment dans les états financiers. L'on ne s'interroge cependant pas, dans ces travaux, sur la nature de l'incidence des hypothèses initiales sur la performance subséquente dans le diagnostic de l'erreur véritable. Les auteurs avancent que l'hypothèse formulée au départ et la capacité des vérificateurs de passer par la suite à une hypothèse différente interfèrent. Si, par exemple, l'hypothèse initiale était inexacte, il serait difficile pour les vérificateurs de changer d'hypothèse dans le diagnostic de l'erreur véritable. Plus encore, le fait d'invoquer initialement une erreur fréquente exacerberait cette difficulté. L'on a demandé aux vérificateurs-sujets de produire une hypothèse initiale relative à l'erreur après avoir pris connaissance d'un modèle de fluctuations dans lequel les ventes et les comptes clients étaient surévalués. Une fois formulée leur hypothèse initiale, la moitié des sujets recevaient de l'information supplémentaire révélant l'existence d'une erreur très fréquente (dans la démarcation des ventes) et l'autre moitié recevaient de l'information révélant l'existence d'une erreur peu fréquente (celle de la double comptabilisation d'une même vente). Conformément à leurs prévisions, les auteurs constatent que le fait, pour les vérificateurs, d'invoquer initialement l'erreur très fréquente (soit la démarcation des ventes) par rapport à une autre erreur moins fréquente avait par la suite une incidence sur leur performance dans le diagnostic des erreurs véritables. Plus précisément, les vérificateurs qui invoquaient l'erreur très fréquente dans leur hypothèse initiale obtenaient les meilleurs résultats lorsque cette erreur était l'erreur véritable, mais ils obtenaient les résultats les moins bons lorsque l'erreur peu fréquente se trouvait être l'erreur véritable. Les vérificateurs qui invoquaient une erreur moins fréquente dans leur hypothèse initiale affichaient, pour leur part, une performance relativement bonne (c'est-à-dire se situant entre la performance la meilleure et la performance la moins bonne), aussi bien lorsque l'erreur véritable était fréquente que lorsqu'elle était peu fréquente. Les auteurs analysent les conséquences de ces résultats sur l'efficience et l'efficacité de la vérification.  相似文献   

12.
Abstract. Using a sample of 856 management earnings forecasts, we provide evidence that managers release larger shock-earnings forecasts in nontrading periods. Our results do not depend on whether the magnitude of the shock is measured exogenously (unexpected accounting earnings) or endogenously (security market reaction). The timing effects are more pronounced for less-precise (i.e., open-interval and closed-interval) forecasts. Also, we provide evidence of an overnight reaction to closed-period management forecast releases. Our results are consistent with explanations for voluntary disclosure that rely on a precommitted policy of information asymmetry reduction (see Diamond 1985; King, Pownall, and Waymire 1990). These explanations lead to predictions of strategic timing of greater shocks in the nontrading period in order to provide the less-informed with a period for information evaluation. Résumé. À partir d'un échantillon de 856 prévisions de bénéfices publiées par la direction de diverses entreprises, les auteurs démontrent que les prévisions publiées par les gestionnaires en période où les titres ne sont pas négociés ont davantage d'impact. Les résultats qu'ils obtiennent ne dépendent pas du caractère exogène (bénéfices comptables inattendus) ou endogène (réaction du marché des valeurs mobilières) de la mesure de l'impact. L'effet du choix du moment est plus prononcé pour les prévisions moins précises (c'est-à-dire à intervalle ouvert et à intervalle fermé). Les auteurs démontrent aussi qu'il se produit une réaction à la publication de prévisions par la direction en période de fermeture, dans les vingt-quatre heures qui suivent la publication. Les résultats de l'étude sont conformes au principe de la présentation facultative d'information dont l'explication repose sur une politique, préalablement adoptée, de réduction de l'asymétrie de l'information (voir Diamond, 1985; King, Pownall et Waymire, 1990). Cette explication mène à des prédictions voulant que l'on choisisse, à des fins stratégiques, les périodes de non-négociation des titres pour publier les prévisions de bénéfices dont l'impact est plus grand, de manière à laisser aux investisseurs moins bien informés un certain laps de temps pour évaluer l'information.  相似文献   

13.
Abstract. A recent article in this journal (Hsieh, Ferris, and Chen, 1990) presents evidence demonstrating that financially distressed firms that terminate overfunded pension plans experience significantly positive abnormal returns, while nondistressed terminating firms experience returns not different from zero. The article concludes from this evidence that the market regards the property rights to excess assets as residing fully with the sponsoring firm prior to termination, particularly when the sponsoring firm is not financially distressed. Accordingly, the reporting requirements of Statement of Financial Accounting Standards (SFAS) No. 88, which require immediate recognition of gains resulting from termination, are inconsistent with the market's view of the ownership rights to excess plan assets. Similarly, the article suggests that the excise tax imposed on asset reversions is “punitive” because property rights to fund assets resided with the company prior to termination. This paper questions three aspects of the Hsieh, Ferris, and Chen article: (1) the plausibility of the theory explaining differential reaction to the announcement to terminate for distressed and nondistressed firms; (2) the effect of the distressed/nondistressed classification criteria, event date specification, and event window length on the results; and (3) the appropriateness of using the empirical results, if reliable, to evaluate accounting treatment or federal tax policy. Résumé. Dans un récent article paru dans cette même publication, Hsieh, Ferris et Chen (1990) soumettaient des faits démontrant que les entreprises en difficulté financière qui mettent fin à un régime de retraite surprovisionné enregistrent des rendements anormaux positifs importants, tandis que les entreprises qui mettent fin à un régime de retraite sans être en difficulté financière enregistrent des rendements qui ne sont pas différents de zéro. De là, les auteurs concluaient que le marché estime que les droits à l'excédent d'actif appartiennent exclusivement à l'entreprise responsable du régime avant la cessation, en particulier lorsque cette dernière n'est pas en difficulté financière. Par conséquent, les exigences de la norme SFAS No. 88 en matière d'information à fournir, qui prévoient la constatation immédiate du produit de la cessation du régime, ne sont pas conformes à la façon de voir du marché relativement aux droits à l'excédent d'actif du régime. De la même façon, selon les auteurs, la taxe d'accise imposée en cas de retour de l'actif est “punitive”, étant donné que les droits à l'actif du régime appartenaient à l'entreprise avant la cessation du régime. Les auteurs s'interrogent ici sur trois aspects de l'article de Hsieh, Ferris, et Chen: 1) la pertinence de la théorie expliquant la réaction marginale à l'annonce de la cessation d'un régime pour les entreprise qui sont en difficulté financière et celles qui ne le sont pas; 2) l'incidence sur les résultats des critères permettant de classer les entreprises comme étant en difficulté financière ou ne l‘étant pas, de la précision de la date de l’événement et de la longueur de la période pré-post relative à l‘événement; et 3) l'opportunité de l'utilisation des résultats empiriques, s'ils sont fiables, pour évaluer le traitement comptable ou la politique fiscale fédérale.  相似文献   

14.
L’auteure examine comment les analystes traitent l’information non financière et comment ce traitement est influencé par le profil des entreprises en ce qui a trait à la publication d’informations non financières. Elle se penche plus précisément sur le lien entre les erreurs des analystes dans les prévisions de résultats et la régularité de la publication d’informations non financières, selon des variables de contenu en information et de temps. L’étude est centrée sur les entreprises du secteur de la communication sans fil et la période s’échelonnant de 1997 à 2007. Les résultats révèlent que les analystes ont tendance à réagir de façon trop modérée aux informations contenues dans le coût d’acquisition de clients, le revenu moyen par utilisateur et le nombre d’abonnés. Ces données sont les indicateurs de performance qui ont un pouvoir prédictif important pour ce qui est des résultats futurs des entreprises de communication sans fil. L’établissement de la distinction entre les entreprises en fonction de leur profil de publication d’informations non financières révèle que les constatations qui précèdent touchent principalement les entreprises qui se caractérisent par l’irrégularité de la publication d’informations. Rien ne permet de conclure à l’inefficacité des analystes dans l’évaluation du contenu des indicateurs non financiers fournis par les entreprises qui publient des informations avec régularité. Ces observations signifient que le manque de régularité dans la publication d’indicateurs de performance restreint la capacité des analystes financiers d’analyser en profondeur l’apport de ces indicateurs pour ce qui est des résultats futurs.  相似文献   

15.
Depuis quelques années, les annonces de résultats trimestriels prévisionnels font l’objet de sévères critiques, leurs détracteurs affirmant qu’elles incitent à la gestion à courte vue et à d’autres péchés. C’est pourquoi les institutions influentes enjoignent aux dirigeants de cesser la publication de résultats trimestriels prévisionnels. Les auteurs examinent empiriquement les causes de cet abandon de la publication de résultats trimestriels prévisionnels et constatent que la piètre performance opérationnelle — bénéfices à la baisse, résultats inférieurs aux prévisions des analystes et rentabilité prévue plus faible — est le principal motif pour lequel les entreprises abandonnent les annonces de résultats trimestriels prévisionnels. Dans les entreprises qui ont abandonné ces annonces, les auteurs n’observent pas de croissance appréciable de l’investissement à long terme après que les dirigeants se soient libérés de la myopie des investisseurs. Contrairement à l’affirmation selon laquelle les entreprises publieraient davantage d’autres informations à caractère prévisionnel en remplacement des annonces de résultats trimestriels et prévisionnels, les auteurs constatent que les entreprises se dérobent. Ils observent également une détérioration de l’environnement informationnel des entreprises qui cessent la publication de résultats trimestriels prévisionnels, détérioration qui se manifeste par un plus grand nombre d’erreurs dans les prévisions des analystes et une plus grande dispersion des prévisions et par une diminution de l’intérêt des analystes. Ces constatations révèlent, dans leur ensemble, que les entreprises qui abandonnent les annonces de résultats trimestriels prévisionnels sont principalement des entreprises en difficulté, et que la décision d’abandon n’est avantageuse ni pour les entreprises qui la prennent ni pour leurs investisseurs.  相似文献   

16.
Abstract. This study extends the growing literature on the deteminants of the variation in the relationship between unexpected earnings and abnormal security returns (the earnings response coefficient). We hypothesize that the firm's default risk as measured by financial leverage would affect the earnings response coefficient. We test this hypothesis by partitioning firms according to (1) the existence of debt in the capital structure (all-equity versus levered firms) and (2) the level of leverage (low-leverage versus high-leverage firms). The results are generally consistent with our hypothesis. Specifically, we find that the earnings response coefficients are larger for all-equity and low-leverage firms vis-à-vis matched-levered and high-leverage firms, even after controlling for the effects of equity beta, persistence, risk premium, and measurement error in unexpected earnings. Our findings are also robust with respect to the choice of earnings measure, either before or after interest charges. Résumé. L'étude s'inscrit dans le prolongement des travaux de plus en plus nombreux portant sur les déterminants de la fluctuation de la relation entre les bénéfices imprévus et les rendements anormaux des titres (le coefficient de réponse des bénéfices). Les auteurs posent l'hypothèse que le risque de non-paiement de l'entreprise, mesuré en termes de levier financier, influe sur le coefficient de réponse des bénéfices. Les auteurs testent cette hypothèse en classant les entreprises selon 1) l'existence ou non de capitaux empruntés dans la structure du capital (entreprises dont les capitaux sont exclusivement des capitaux propres par rapport aux entreprises dont les capitaux sont en partie empruntés) et 2) l'importance du levier financier (entreprises dont le levier financier est faible par rapport aux entreprises dont l'importance du levier financier est élevée). Dans l'ensemble. les résultats confirment l'hypothèse. De façon plus précise, les coefficients de réponse des bénéfices sont plus élevés pour les entreprises dont les capitaux sont exclusivement des capitaux propres et les entreprises dont le levier financier est faible, par rapport aux entreprises, classées selon la taille et le secteur d'activité, dont les capitaux sont davantage constitués de capitaux empruntés et dont le levier financier est élevé, même lorsque sont contrôlées les répercussions du bêta des capitaux propres, de la persistance, de la prime de risque et de l'erreur de mesure des bénéfices imprévus. Les résultats de leur étude résistent également à l'analyse lorsqu'ils font intervenir le choix de la mesure des bénéfices, avant ou après avoir tenu compte des intérêts débiteurs.  相似文献   

17.
Résumé. L'auteur entend déterminer laquelle parmi trois possibilités de présentation de l'information relative aux gisements pétroliers et gaziers dans le rapport annuel—coûts d'origine capitalisés, quantités ou flux monétaires actualisés—a un contenu marginal en information, par rapport au bénéfice par action. Le contenu en information est défini comme étant la mesure dans laquelle l'option retenue pour présenter les gisements tient compte de l'évolution du prix des actions ordinaires. L'auteur a recours à l'analyse de régression multiple afin d'évaluer dans quelle mesure chacune des trois options de présentation de l'information relative aux gisements est indicative du rendement des actions ordinaires, compte tenu de l'information livrée par un indicateur du bénéfice par action. Il recueille dans les rapports annuels de 67 sociétés canadiennes d'exploration et de mise en valeur du pétrole et du gaz naturel l'information relative à chaque année de la période s'échelonnant de 1983 à 1987. Les résultats de l'étude prouvent que le bénéfice par action présente un certain contenu en information. Pour l'ensemble de la période de cinq ans, l'étude prouve également que les coûts capitalisés, les quantités des réserves et les flux monétaires actualisés présentent un contenu marginal en information; les résultats ne sont cependant pas constants lorsqu'on analyse une à une les années de la période, quelle que soit la forme de présentation utilisée.  相似文献   

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Abstract. The alternative versions of the t-test found in event studies result from different weighting schemes for abnormal returns, different abnormal return models, and different correlational structures among abnormal returns. In the presence of dependencies among abnormal returns, the generalized least squares t-tests are much more sensitive to the mis-specifications in the abnormal return model than are the nongeneralized t-tests. Therefore, when analyzing contemporaneous returns, particularly with samples exhibiting a large industry concentration, a nongeneralized t-test should be preferred to a generalized least squares t-test because of the dependencies that may exist. Because the generalized least squares t-tests are highly sensitive to errors in specifying an appropriate abnormal return model, a portfolio time-series ordinary least squares regression should be preferred to a generalized least squares regression even when the variance or covariance matrix of abnormal returns can be estimated with a high degree of reliability. In testing for the mean effects, the concern for event period variance increases seems to be unwarranted, and the variance estimators using event period data are inefficient and biased. The issue is not whether variance increases in an event period, but which variance is to be used: that of the event period or of the nonevent period? Answers to such questions are presented in this paper. Résumé. Les différentes versions possibles du test t que l'on trouve dans les études d'événements résultent de différents systèmes de pondération des rendements anormaux, de différents modèles de rendements anormaux et de différentes structures de corrélation des rendements anormaux. Lorsqu'il existe une dépendance entre les rendements anormaux, les tests t généralisés des moindres carrés sont beaucoup plus sensibles aux défauts de construction du modèle des rendements anormaux que ne le sont les tests t non généralisés. C'est pourquoi lorsqu'on analyse des rendements simultanés, en particulier si l'échantillon présente une forte concentration industrielle, le test t non généralisé est préférable au test t généralisé des moindres carrés, compte tenu des dépendances qui peuvent exister. Les tests t généralisés des moindres carrés étant très sensibles aux défauts de construction du modèle approprié de rendements anormaux, l'application de la méthode classique des moindres carrés à une série chronologique relative à un portefeuille est préférable à la régression généralisée des moindres carrés, même s'il est possible d'estimer avec un degré élevé de fiabilité la matrice de variance ou de covariance des rendements anormaux. Dans le test des effets moyens, la préoccupation relative aux augmentations de la variance de la période d'événements semble être injustifiée, et les estimateurs de la variance fondés sur les données de la période d'événements sont inefficients et biaisés. Il ne s'agit pas de déterminer si la variance augmente pendant la période d'événements, mais quelle variance doit être utilisée: celle de la période d'événements ou une autre. Les auteurs répondent à ces questions.  相似文献   

20.
Résumé. Les auteurs s'intéressent ici à la nature des représentations cognitives qu'utilisent les vérificateurs en situation de fraude potentielle dans les états financiers. Ils divisent le problème de détection de la fraude en deux parties: la détection de la mise en scène élaborée par la direction pour masquer la fraude et la détection de la fraude. Ils examinent les deux méthodes de détection des mises en scène proposées par Kahneman et Tversky (1986): 1) l'utilisation de représentations multiples aboutissant à différentes interprétations possibles des données contenues dans les états financiers; et 2) l'utilisation d'une méthode permettant de transposer les données contenues dans les états financiers sous forme de représentation normalisée. Vingt-quatre associés de vérification ont participé à l'étude. Chacun d'eux devait procéder à la contre-révision d'un dossier de vérification. Tous les vérificateurs examinaient quatre cas dans lesquels la direction avait présenté une image trompeuse de l'entreprise (au moyen d'une mise en scène) et produit des états financiers frauduleux. Les résultats obtenus par les auteurs confirment la thèse de Kahneman et Tversky selon laquelle les mises en scène peuvent être décelées grâce à la transposition du problème sous forme de représentation normalisée. Les vérificateurs qui ont eu recours à une représentation normalisée sont parvenus à percer à jour la mise en scène de la direction, à totaliser les éléments correctement et à déceler la fraude dans tous les cas. Ils ont, pour cela, appliqué des procédés conformes aux normes de vérification généralement reconnues (Institut Canadien des Comptables Agréés, 1988; American Institute of Certified Public Accountants, 1984) pour totaliser les éléments. Les vérificateurs qui ont eu recours à des représentations multiples ont aussi détecté la mise en scène élaborée par la direction dans les quatre cas. Ils n'ont cependant pas appliqué les procédés de totalisation recommandés dans les normes de vérification et ne sont parvenus à détecter la fraude dans aucun des quatre cas.  相似文献   

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