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1.
Abstract: The paper advocates that unchecked population growth may lead to serious social and economic burdens in developing countries in general, and particularly in Africa. This position does not stem from the neo-Malthusian perspective according to which population is mainly responsible for economic stagnation, nor does it derives from the «developmentalist» approach which perceives population as a neutral variable and development as the «best contraceptive». The theoretical stand advocated here is that population and development are intimately linked and strongly influence each other. Therefore, an attempt to foster economic growth and hopefully improve the standard of living of the people without taking into consideration the population factor would be as illusory as an attempt to control population without involving economic variables. Based on this epistemological perspective, prospects for the ADB's intervention in population sector have been assessed and suggestions for its sector policy made. Résumé: Le document preconise que la croissance demographique non maitrisee peut imposer de lourdes contraintes sociales et economiques sur les pays en voie de developpement en general et l'Afrique en particulier. Cette attitude ne resulte pas de la perspective neo-malthusienne selon laquelle la population est principalement responsable de la stagnation economique, ni de l'approche « developpementaliste » qui percoit la population comme une variable neutre et developpement comme le « meilleur contraceptif ». Le point de vue theorique exprime ici est que population et developpement sont intimement lies et exercent une grande influence l'une sur l'autre. En consequence, une action visant a promouvoir la croissance economique et ameliorer, peut-Ctre, le niveau de vie des populations sans tenir compte du facteur demographique serait aussi illusoire qu'une action visant la regulation de la population sans prendre en consideration les variables economiques. Sur la base de cette perspective epistemologique, les perspectives pour l'intervention de la BAD dans le secteur de la population ont ete evaluees et des recommandations faites pour sa politique sectorielle.  相似文献   

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Résumé: La relation entre le développement financier et la croissance économique a suscité beaucoup d’attention ces dernières années dans la littérature économique. Dans ce papier, nous avons présenté, en premier lieu, l’effet du développement bancaire sur la croissance économique à travers une validation empirique en données de panel d’un modèle à effets aléatoires de 52 pays de 1980 à 2005, et en second lieu, nous avons essayé d’explorer les liens qui peuvent exister entre le développement financier au sens large (bancaire et boursier) et la croissance économique à travers une analyse en coupe transversale pour 42 pays durant la période 1988–2002. Les principaux résultats retenus de ce travail montrent que le niveau du développement financier au sens large peut être un facteur important pour la croissance économique. Toutefois, force est de signaler que cette contribution est conditionnée par la réunion de certaines conditions.  相似文献   

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Abstract: This paper traces the development process from the optimism of the post-war era to the present scenario of adjustment, retrenchment and stabilisation. What were the mistakes and the success stories, and the lessons that can be drawn from them these last 40 years ? The paper takes a hard look at the ‘Golden Years’ of the 1950s and 1960s; it analyses the ‘debt-led’ growth of the 1970s and the resulting lost decade of the 1980s in Africa and Latin America. It goes on to examine the successes and failures that emerge from the history of the development process, and argues in favour of learning these lessons by resuming a policy of ‘redistributionwith growth’ and re-establishing strong international institutions to ensure future growth in developing countries. Résumé: Le présent document retrace le processus de développement depuisl'optimisme de l'apres-guerre au scenario actuel de l'ajustement, de redressement et de stabilisation. Quels ont ete les erreurs et les SUCCCS et les enseignements que l'on pourrait en tirer au cours de ces 40 dernieres annees? Le document examine a fond la « belle epoque » des annees 1950 et 1960; il analyse la croissance guidee par la dette des annees 1970 et en consequence, la decennie perdue des annees 1980 en Afrique et en Amerique Latine. I1 continue en examinant les SUCCCS et les echecs provenant de l'histoire du processus de developpement et donne les raisons pour lesquelles ces enseignements doiventttre retenus en reprenant une politique de « nouvelle repartition et de croissance » et en creant de nouvelles institutions internationales assez solides capables d'assurer a l'avenir la croissance dans les pays en developpement.  相似文献   

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The balance-of-payments constrained growth rate model postulates that the balance of payments position of a country is the main constraint on economic growth, because it imposes a limit on demand to which supply can adapt. This paper applies the model to a sample of African and Asian countries aiming at explaining growth rate differences among these countries by quantifying the individual and combined contributions of export growth, capital flows and changes in the terms of trade in each country’s case. The results obtained give support to the argument that, in contrast to Asian countries, the low growth rates in African countries are explained by low export expansion relative to the imports required for the processes of growth and development. This poor performance of African countries is attributed to the low magnitudes of their dynamic Harrod foreign trade multipliers, which are determined by the respective income elasticities of demand for exports and imports. It is asserted that the low dynamic Harrod foreign trade multipliers of African countries are direct products of their excessive dependency on the exportation of primary products. — Le modèle de taux de croissance contrariés par la balance des paiements postule que la position de la balance des paiements constitue le principal obstacle à la croissance économique d’un pays, dans la mesure où elle impose une limite à la demande à laquelle l’offre pourrait s’adapter. Le présent article applique ce modèle à un échantillon de pays africains et asiatiques afin d’expliquer les différences de taux de croissance entre ces pays, en quantifiant la contribution individuelle et collective de facteurs tels que la croissane des exportations, les flux de capitaux et la variation des termes de l’échange dans chaque pays. Les résultats obtenus confortent l’argument selon lequel, contrairement à ce qui se passe dans les pays asiatiques, la modicité des taux de croissance dans les des pays africains s’explique par la faible expansion des exportations par rapport aux importations nécessaires pour assurer le processus de croissance et de développement. Cette performance médiocre des économies africaines est imputée à l’insuffisance de leur multiplicateur dynamique du commerce extérieur de Harrod, qui est déterminé par leurs élasticités-revenu de la demande d’exportations et d’importations. Cette insuffisance est elle-même une conséquence directe de la dépendance excessive de ces pays à l’égard des exportations de produits de base.  相似文献   

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Résumé: L’article analyse empiriquement les liens développement financier (DF)‐croissance économique, et développement financier‐productivité globale des facteurs (PGF) en Afrique Sub‐saharienne. L’étude est basée sur une approche VAR: tests de cointégration de Johansen et modèles à correction d’erreurs. L’échantillon comprend 22 pays et porte sur la période 1960–2002. Les résultats suggèrent que le DF et la croissance, et le DF et la PGF sont cointégrés, dans plusieurs pays. De plus, dans plusieurs cas, la relation entre le DF et la croissance est caractérisée par une causalité bidirectionnelle au sens de Granger, alors que la relation entre le DF et la PGF est caractérisée par une causalité unidirectionnelle allant du DF vers la PGF. Il apparaît, à quelques exceptions près, que le développement financier stimule la croissance dans les pays où cette croissance est soutenue par le progrès technique. L’implication de nos résultats est que toute mesure qui stimule le développement financier, va stimuler la croissance économique à travers l’accélération du progrès technique. Abstract: The paper empirically analyzes the financial development (FD)‐growth nexus, and the financial development‐total factor productivity (TFP) link in sub‐Saharan Africa. The study is based on a VAR approach: Johansen cointegration tests and error correction models. The sample includes 22 countries over the period from 1960 to 2002. Results suggest that FD and economic growth and, FD and TFP are cointegrated for many countries. Moreover, in many cases, the relationship between FD and growth is characterized by bidirectional causality in the Granger sense, whereas the relation between FD and TFP is characterized by a unidirectional causality running from FD to TFP. With few exceptions, it appears that financial development spurs economic growth in countries where that growth is supported by technological progress. The implication of the findings is that any reform that causes betterment in the financial sector will foster economic growth through a sharp increase in technological progress.  相似文献   

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Résumé: A partir d'une analyse des approches de l'intégration, privilégiées par les Etats africains, la communauté des bailleurs de fonds et les institutions intemationales, l'auteur en évalue les limites et les contraintes à leur mise en oeuvre. II entreprend sur cette base, une analyse prospective de leur probabilité de succès et d'échecs et des conséquences de chacun de ces scénarii sur la situation économique et socio-politique des pays concernés. Cette analyse le conduit à l'examen des pré-requis nationaux dans tout effort de construction communautaire. Sa conclusion est que bien que la recherche de l'integration soit essentielle pour l'avenir du continent, il est dangereux de poursuivre les experiences en cours, car les pays ne se situent pas dans un espace de proximité institutionnelle, économique, socio-politique et culturelle; pré-requis déterminant dans la réussite des efforts de construction communautaire. Sur cette base, l'auteur avance les fondements d'une démarche alternative, pragmatique et réaliste de la construction communautaire et définit les conditions de sa mise en oeuvre au triple niveau réglementaire des pays, des relations et des institutions inter-Etatiques. Abstract: On the basis of an analysis of approaches to integration favoured by African States, the donor community and international institutions, the paper assesses the limits of and constraints to their implementation. It conducts a forward analysis of their chances of success or failure and the consequences of each of these scenarios for the socio-political and economic situations of the countries concerned. This analysis is followed by a review of national prerequisites for the success of the community. The conclusion is that while research on integration is essential for the continent's future, it is dangerous to pursue ongoing experiences, for the countries are institutionally, economically, socio-politically and culturally close. On that basis, the author puts forward the bases of an alternative, pragmatic and realistic approach to community building and defines the conditions for its implementation at the regulatory and state-level, as well as that of inter-state relations and institutions.  相似文献   

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Abstract: Growth accounting provides a convenient framework for decomposing the structure of economic growth and, hence, interpreting the underlying factors shaping long-run growth performance. The present study attempts to analyse the sources of Nigerian economic growth performance, using data from the period 1950–1991. The results conform generally with the ‘stylized’ facts of economic growth in less developed countries (LDCs), namely: that labour-force expansion and capital accumulation provide the motor of long-run growth in GDP, with improvement in ‘total factor productivity’ (TFP) playing at best a marginal role. Another important element in the Nigerian experience, however, is that deteriorating capacity utilization constitutes a key drag on capital productivity growth and, hence, economic growth. The collapse in capital investment from the early 1980s, coupled with deterioration in capacity utilization, and a virtual lack of efficiency gains in the economy constitute the major source of long-run decline in GDP growth rates. Policy-wise, these results suggest that given slow growth in TFP, strategies to sustain Nigerian economic growth must rely on rapid accumulation of factor inputs, particularly, capital expansion. Résumé: La comptabilisation de la croissance est un cadre d'analyse judicieux qui permet de décomposer la structure de la croissance économique et, partant, d'interpréter les facteurs sous-jacents qui façonnet les résultats en termes de croissance à long terme. La présente étude analyse les sources de la croissance économique au Nigéria, en se fondant sur les données relatives à la période 1950–1991. Les résultats de cette analyse corroborent, d'une manière générate, les faits “stylisés” de la croissance économique dans les pays en développement, à savoir: que l'expansion de la main-d'oeuvre et l'accumulation de capital constituent le moteur de la croissance à long terme du PIB, et que l'amélioration de la “productivité totale des facteurs” (PTF) ne joue, au mieux, qu'un rôle marginal. L'expérience nigériane dégage toutefois un autre enseignement, à savoir que la baisse d'utilisation des capacités est une entrave majeur à la croissance dc la productivité du capital et, corollairement, à la croissance économique. La chute brutale des investissements au début des années 1980, conjuguée à la baisse d'utilisation des capacités et à la quasi-absence de gains d'efficacité au sein de l‘économie, est la cause prépondérate du ralentissement à long terme de la croissance du PIB. Au chapitre des politiques, les resultats de l'analyse incitent à penser qu'en raison de la faible croissance de la PTF, les stratégies visant à soutenir la croissance de l’économie nigériane doivent tabler sur une rapid accumulation des facteurs, et en particulier sur une expansion du capital.  相似文献   

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Abstract: The paper presents an empirical study of determinants of economic growth in Africa. The cross-sectional study covers 42 African countries and the periods: 1970-80; 1970-77; and 1980-87. In the regression equations estimated, over 20 possible variables that might affect economic growth were tested for. The empirical findings suggest that export growth; investment growth or investment share in the GDP; and extent of political democracy promoted economic growth during the periods. Conversely, inflation rate and per capita income retarded growth during all the periods. In addition, while labour force growth; life expectancy at birth; and population size promoted growth and financial depth retarded growth in the 1970's, these factors had little or no effects on growth during 1980-87 period. Conversely, the growth of government consumption expenditure promoted economic growth and the share of agricultural output in the GDP retarded it during 1980-87 period, these factors were found to have had little or no effect in the 1970's. We also detected some evidence in support of negative effects, on growth, of incidence of wars; military government; and incidence of coups d'etat and positive effects, on growth, of terms of trade improvement; not being land-locked; and foreign aid. Weak evidence also exists in support of positive effects on growth, of share of government consumption expenditure in the GDP and share of manufacturing output in the GDP together with negative effects of literacy level and population growth. There is no evidence supporting any effect of export share in the GDP; real exchange rate movement; and external debt/GDP ratio. Résumé: Le document fait une étude empirique des facteurs déterminants de la croissance économique en Afrique. L'étude transversale couvre 42 pays africains et les périodes de 1970 à 1980; 1970 à 1977; et de 1980 à 1987. Dans les estimations d'équations à régression, on a testè plus de 20 variables qui pourraient affecter la croissance économique. Les rèsultats empiriques suggèrent que: l'expansion des exportations, l'augmentation des investissements ou la part des investissements dans le PIB, et l'ampleur de la démocratie politique ont encouragé la croissance économique au cours de ces périodes. Inversement, le taux d'inflation et le revenu par habitant ont retardé la croissance au cours des périodes considérées. En outre, alors que l'accroissement des ressources humaines, l'espérance de vie à la naissance et la taille de la population encourageaient la croissance et que, par contre, la consistance financière la retardait dans les années 1970, ces facteurs avaient peu d'effet ou pas du tout sur la croissance au cours de la période 1980–1987. Par contre, alors que l'augmentation des dépenses publiques de consommation favorisait la croissance économique, et que la part de la production agricole dans le PIB la retardait au cours de la période 1980–1987, on s'est apençu que ces mêmes facteurs avaient peu d'effet ou pas du tout pendant les années 1970. Nous avons aussi détecté des preuves concernant les incidences négatives sur la croissance, des facteurs comme les conséquences des guerres, les gouvernements militaires, et les conséquences des coups d'état; et des effets positifs sur la croissance, des éléments tels que l'amélioration des termes de l'échange, le fait pour un pays de ne pas être enclavé, et l'aide extérieure. II existe également des preuves faibles concernant les effets positifs sur la croissance, de la part des dépenses publiques de consommation dans le PIB et de la part de la production manufacturière dans le PIB; ces preuves faibles concernent aussi les effets négatifs du niveau d'alphabétisation et de la croissance démographique sur la croissance. Il n'y a pas de preuve en ce qui concerne l'effet de la part des exportations dans le PIB, les mouvements réels des taux de change, et le ratio dette extérieure/PIB.  相似文献   

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Abstract: The purpose of the present study is to estimate the public expenditure sector's respective roles in the ‘productive’ and ‘non productive’ components of the economy of WAEMU (West African Economic and Monetary Union) member states. An econometric analysis aims to reveal the externalities and/or relative factorial marginal productivity effects on the long‐term economic growth rate. It appears that public capital expenditure positively affects relative factorial productivity but public consumption expenditure has no effect on economic growth. The study confirms the productive contribution of public infrastructures on GDP growth in the WAEMU area. Résumé: L'objet de la présente étude est d'estimer les rôles respectifs des différentes composantes “productive” et “non productive” des dépenses du secteur public dans l'économie des pays de l'UEMOA. Une analyse économétrique vise à capter les effets de productivité marginale factorielle relative et/ou d'externalités sur le taux de croissance économique en longue période. L'analyse montre que les dépenses en capital public ont un effet positif de productivité factorielle relative alors que les dépenses publiques de consommation ne laissent apparaître aucun effet sur la croissance. L'étude apporte une confirmation de la contribution productive des infrastructures publiques à la croissance du PIB dans l'espace UEMOA.  相似文献   

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Résumé: Les performances exceptionnelles de l'agriculture d'exportation en C6te-d'Ivoire, notamment en ce qui concerne le cafe et le cacao, justifient, face a stagnation observee dans d'autres pays africains, que l'on s'interroge sur les raisons de ce succes. Pour ce faire, l'etude analyse les lignes de force de la politique agricole suivie par le pays depuis la colonisation et degage les facteurs explicatifs de la croissance fulgurante de la production enregistree sans discontinuite entre 1960 et 1988. Parallelement, l'etude souligne les aspects negatifs de cette politique dont les consequences sont importantes au niveau de la realisation de l'objectif d'autosuffisance alimentaire du pays et de la preservation du patrimoine forestier, et montre les limites d'un modele de developpement dont seuls quelques aspects sont exportables. Abstract: Considering the stagnation in other African countries, it is worth looking for the reasons for the exceptional performance in cash crops production, particularly coffee and cocoa, in Côte d'Ivoire. In this regard, the study analyses the agricultural policy followed by the country since the colonial era and gives reasons for the spectacular and unbroken production growth between 1960 and 1988. The study also deals with the negative aspects of this policy, the consequencies of which are serious with regard to the attainment of the objective of food self-sufficiency and preservation of the forest, and shows the limitations of a development model of which only a few aspects are exportable.  相似文献   

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Abstract: In view of the explicit link between inflation and the rate of monetary expansion that is invariably incorporated into many macroeconomic adjustment programmes in Africa, this paper, using both cross-section and time series econometric analysis, provides some new empirical evidence on the relationship between money and inflation in Africa. It is shown that although, broadly speaking, the simple monetarist inflation model appears to hold when tested in cross-section equations covering several countries and averaged over several years, the same is generally not true for individual countries in time series analysis or in cross-section studies covering shorter time periods. In fact, the result of the analysis strongly suggest that factors other than the rate of monetary expansion have played an important role in determining short-run inflation trends in Africa. With respect to the implications of these findings for the conduct of current macroeconomic policy and in particular, given the apparently lesser role that ought to be assigned to monetary factors over the short run, the paper urges greater flexibility in deploying policy instruments towards inflation targets in individual African countries and cautions against the application of rules based on regional results in favour of those derived from country-specific findings. Résumé: Compte tenu du lien explicite entre inflation et taux d'expansion monetaire, auquel il est invariablement fait reference dans de nombreux pro-grammes d'ajustements macro-economique en Afrique, cet article, s'appuyant sur une analyse economique de donnees transversales et chronologiques fournit de nouvelles preuves empiriques des relations qui existent entre la monnaie et l'inflation en Afrique. On montre que, de facon generale, mkme si le simple modele monetariste d'inflation parait ktre valide lorsqu'on effectue des tests sur des equations transversales couvrant plusieurs pays et qu'on calcule sa moyenne sur plusieurs annees, il n'en est pas de mCme, pour les pays consideres isolement, dans l'analyse de series chronologiques ou dans les etudes transver-sales couvrant des periodes plus courtes. De fait, les resultats de l'analyse donnent fortement a penser que des facteurs autres que le taux d'expension monetaire ont joue un role important dansla determination des tendances inflationnistes a court terme en Afrique. En ce qui concerne les consequences de ces conclusions pour la conduite de la politique macro-economique actuelle et, en particulier, vu le role moins important, a ce qui semble, qu'il faudrait accorder court terme aux facteurs monetaires, l'article preconise une plus grande souplesse dans le deploiement de la panoplie des instruments de poli- tique economique pour atteindre les objectifs retenus pour le taux d'inflation dam les differents pays africains et met en garde contre l'application de regles fondees sur les resultats regionaux en faveur de celles elaborees a partir de conclusions propres aux pays.  相似文献   

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Abstract: This paper is concerned with how primary product price movements, and movements in the terms of trade of primary commodities, impinge on the balance of payments and growth of countries, and also on debt. The first part of the paper gives an up-to-date survey of the literature on the terms of trade of primary commodities which suggests overall an average deterioration of 0.5 to 1.0 percent per annum over the last 90 years. The second section models the terms of trade, and movements in the terms of trade are shown to depend on wage rate changes in industry, labour saving technical progress in industry, diminishing returns to agriculture, and land saving technical progress in agriculture. In the next section of the paper a model of balance of payments constrained growth is developed which enables the direct and indirect effects of movements in the terms of trade on growth to be quantified. Some recent evidence of the effect of terms of trade movements and volatility on growth is examined, and the effect of export instability on growth in Africa. The fourth section looks at the debt situation in Africa, and a simple model is presented enabling changes in the debt service ratio to be decomposed to see, particularly, the effect of export earnings instability on the debt service ratio. The last section draws some policy conclusions. Résumé: Le document examine comment les fluctuations des cours des produits primaires et l'évolution des termes de l'échange des produits de base influent sur la balance des paiements, la croissance et la dette des pays. La première section passe en revue la documentation la plus récente sur les termes de l'échange des produits primaires, qui fait apparaître en moyenne une deterioration de 0,5 à 1 pour cent par an sur les 90 dernières années. La deuxième section présente une modélisation des termes de l'échange et montre que leur variation est liée à l'évolution des taux salariaux dans l'industrie, au progrès technique occasionnant des économies de main-d'oeuvre dans l'industrie, aux rendements décroissants dans l'agriculture et aux économies de terres induites par le progrès technique dans l'agriculture. La section suivante du document développe un modèle d'une croissance entravée par la balance des paiements, permettant de quantifier les effets directs et indirects des fluctuations de la balance des paiements sur la croissance. Sont examinés quelques exemples récents des effets qu'exercent sur la croissance les mouvements et la volatilité de la balance des paiements ainsi que l'instablilité des exportations en Afrique. La quatrième section se penche sur la situation de la dette en Afrique et présente un modèle simple qui permet de décomposer les changements intervenant dans le ratio du service de la dette pour voir notamment comment l'instabilité des recettes d'exportation influe sur le ratio du service de la dette. La dernière section tire quelques conclusions d'ordre pratique. This paper is a mixture of survey material and analytical frameworks for thinking about movements in the net barter terms of trade of primary commodities relative to manufactured goods and how these movements affect the growth performance of countries both directly and indirectly (for example, by affecting the balance of payments, or by worsening the debt burden of heavily indebted countries). Following a brief introduction, the paper is divided into five parts. Firstly, there is an up-to-date survey of movements in the terms of trade of primary commodities and of less developed countries (LDCs), including Africa. Secondly, I address the issue of the determinants of terms of trade movements, drawing on my formalisation of Kaldor's two-sector agriculture-industry model which captures both neoclassical and structuralist explanations of terms of trade movements (Thirlwall, 1986). Thirdly, a model of balance of payments constrained growth is presented which enables the effect of terms of trade movements on economic growth to be quantified. I look at some of the recent evidence of the effect of terms of trade movements and volatility on output growth, and the effect of export instability on growth in Africa. Fourthly, the interrelationship between primary product price changes and international debt problems is examined, with specific reference to Africa. Finally some policy implications are drawn.  相似文献   

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Abstract: Agriculture plays an important role in the development of the Zimbabwean economy, impacting on overall economic growth, household incomes and food security. However, its poor performance in recent times has raised serious questions about its viability, and the implications this has on self-sufficiency and food security. While current debates on the problems facing the agricultural sector have tended to focus on poor incentives and excessive government intervention as major constrains, in this paper we argue that attention should also be paid to other non-price factors such as technological constraints, and inadequate physical and social infrastructure. We specifically focus on the former, arguing that a successful transformation of the agricultural sector to a dynamic and efficient producer of output is partly dependent on appropriate technological advance. This is because as land becomes less available, growth in agricultural output, especially in the commercial farm sub-sector will increasingly depend on technology generating activities such as investment in research and development, extension services, and foreign technology. We use a production theory framework to document improvements in the performance of total factor productivity (TFT) growth in Zimbabwe's commercial agricultural sector and draw conclusions for technology-improving policies. The study finds that between 1970 and 1990, the commercial agricultural sector in recorded a 3.4% increase in total factor productivity, slightly higher than that suggested by earlier studies using the traditional growth accounting framework. We also decomposed TFP growth into three components, viz the technical change effect, the capacity utilisation effect, and economies of scale effect. The results show that the technical change effect dominates TFP growth, followed by the capacity utilisation effect, while the scale effect has a negative impact? Résumé: L'agriculture joue un rôle important dans le développement de l'économie zimbabwéenne, que ce soit en termes d'impact sur la croissance économique globale, de revenus des ménages ou de sécurite alimentaire. Cependant, les contre-performances de ces derniers temps font douter de sa viabilité et, partant, de son aptitude à garantir 1'autosuffisance et la sécurité alimentaires. Le débat en cours sur les problèmes du secteur agricole se concentre généralement sur deux contraintes majeures: la modicité des incitations et un interventionnisme d'Etat excessif. Toutefois, dans cet article, l'auteur soutient qu'il faudrait également tenir compte des autres facteurs hors prix que sont les obstacles technologiques et l'inadéquation des infrastructures physiques et sociales. Il s'attarde en particulier sur la première catégorie de facteurs, faisant valoir que la transformation du secteur agricole en un secteur de production dynamique et efficace est conditionnée, entre autres, par des progrès techniques approprtés. En effet, à mesure que diminuera l'offre de ressorces foncières, la croissance de la production agricole -notamment dans le sous-secteur des exploitations commerciales- sera de plus en plus subordonnée aux activités de renforcement technologique telles que les investissements dans la recherche et le développement, les services de vulgarisation et l'acquisition de technologies éttangères. L'auteur s'appuie sur un schéma théorique de la production pour analyser l'améiioration de la productivité totale des facteurs (PTF) dans le sous-secteur des exploitations agricoles commerciales au Zimbabwe, et dégage de cette analyse des conclusions sur les politiques de renforcement technologique. Il ressort de cette étude qu'entre 1970 et 1990, le sous-secteur agricole commercial a enregistré au niveau de la productivité totale des facteurs une hausse de 3, 4 %, qui dépasse légèrement les chiffres des études antérieures fondées sur les méthodes traditionnelles de mesure de la croissance. Par ailleurs, l'auteur a décomposé la croissance de la PTF en trois éléments, à savoir l'incidence du changement technologique, l'incidence de l'utilisation des capacités et l'incidence des économies d'échelle. Il découle de son analyse que dans la croissance de la PTF l'incidence du changement technologique est le facteur prépondérant, suivi del'utilisation des capacités, tandis que l'effet d'échelle a une incidence négative.  相似文献   

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Zusammenfassung Exportf?rderung und Exporterfolge in Entwicklungs-l?ndern: Eine vergleichende Analyse. — Dieser Aufsatz enth?lt eine vergleichende Be-wertung der Exportf?rderungsmaβnahmen und ihrer Wirkungen auf die Exporte und die wirtschaftliche Leistung von elf wichtigen Entwicklungsl?ndern, die bereits eine industrielle Basis besitzen. Die Arbeit konzentriert sich weitgehend auf die Er-fahrungen der Periode von 1966 bis 1973, in der die Exportf?rderungsprogramme der einzelnen L?nder im groβen und ganzen voll angewendet wurden. Die betrach-teten L?nder sind Argentinien, Brasilien, Chile, Kolumbien, Mexiko, Israel, Ju-goslawien, Indien, Korea, Singapur und Taiwan. Sie sind entsprechend dem Zeit-punkt und dem Ausmaβ ihrer Exportf?rderungsanstrengungen in vier Gruppen eingeteilt worden. 1973 stellten diese L?nder 68 vH aller Exporte von Industrie-erzeugnissen aus Entwicklungsl?ndern. Bei der Durchführung der vergleichenden Analyse hat der Autor neben den Resultaten anderer Forscher die Ergebnisse von Studien benutzt, die im Auftrage der Weltbank und für das ECLA/IBRD-Seminar über Exportf?rderung erarbeitet wurden. Der Aufsatz beschreibt kurz die Exportf?rderungsanstrengungen der einzelnen L?nder, die sich daraus ergebenden ?nderungen ihrer F?rderungssysteme und die Lage im Jahre 1973. Die Wirkungen dieser Mavnahmen auf Export und Wirt-schaftswachstum werden abgesch?tzt und Empfehlungen gegeben für ein ?ideales? Anreizsystem zur Exportf?rderung und für die allgemeine Allokation der Ressourcen. In den Schluβfolgerungen wird auf die Zukunftsaussichten für die gewerblichen Exporte der Entwicklungsl?nder eingegangen.
Résumé Les incitations exportatrices et la performance exportatrice dans les pays en voie de développement: une analyse comparative. — Ce papier présente une évaluation comparative des incitations exportatrices et leurs effets sur les exportations et la performance économique dans onze majeurs pays développants qui ont déjà établi une base industrielle. Principalement le papier concentre sur l’ex-périence de la période 1966–1973, quand les schèmes des incitations exportatrices des pays individuels étaient totalement en opération. Les pays considérés sont l’Argentine, le Brésil, le Chili, la Colombie, le Mexique, l’Israel, la Yougoslavie, l’Inde, la Corée, le Singapore et le Taiwan. Nous les classifions en quatre groupes, en dépendence du temps et de l’étendue de leurs efforts de promotion exportatrice. En 1973, ces pays occupaient un pourcentage de 68 des exportations des produits manufacturiers des pays développants. En faisant l’analyse comparative, l’auteur a utilisé les résultats des études préparées sous l’égide de la Banque Mondiale, les résultats des études préparées pour le séminaire du CEAL/BIRD sur la promotion exportatrice, aussi bien que les résultats des autres chercheurs. Le papier brèvement décrit les efforts de promotion exportatrice des pays indi-viduels, les changes résultants dans leurs systèmes d’incitations et la situation existante en 1973. Nous évaluons les effets de ces efforts sur les exportations et la croissance économique et nous faisons des recommandations pour un système ?idéal? des incitations pour les exportations et l’allocation des resources en général. Finale-ment, en tirant des conclusions du papier, nous considérons les prospects pour les exportations des produits manufacturiers par les pays développants.

Resumen Incentivos de exportación y desempe?o de las exportaciones en países en desarrollo: un análisis comparativo. — Este artículo presenta una evalua-ción comparativa de los incentivos de exportación y sus efectos sobre las exporta-ciones y el desempe?o de la economía en once países en desarrollo de tama?o mayor que ya han establecido una base industrial. E1 artículo se concentra mayormente sobre la experiencia del período 1966–1973, cuando los esquemas de incentivos a la exportación de los países individuales estaban en su mayor parte en operación. Los países considerados son Argentina, Brasil, Chile, Colombia, México, Israel, Yugoeslavia, India, Corea, Singapur y Taiwan. Ellos fueron clasificados en cuatro grupos, dependiendo de la regulación y del grado de sus esfuerzos de promoción de exportación. En el a?o 1973, estos países sumaban el 68% de las exportaciones de manufacturas de los países en desarrollo. Para realizar el análisis comparativo, el autor ha utilizado resultados de estudios preparados bajo el auspicio del Banco Mundial, resultados de estudios preparados para el seminario CEPAL/IBRD sobre promoción de exportaciones, como también los resultados de otros investigadores. El articulo describe brevemente los efuerzos de promoción de exportación de los países individuales, los cambios ocurridos en sus sistemas de incentivos y la situación existente en el a?o 1973. Se evalúan los efectos de estos esfuerzos sobre las exportaciones y el crecimiento económico y se formulan recomendaciones para un sistema ?ideal? de incentivos a las exportaciones y para la alocación de recursos en general. Finalmente, al formular las conclusiones de este articulo, se hacen con-sideraciones sobre las perspectivas futuras para las exportaciones de bienes manu-factuardos de países en desarrollo.
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In this paper, the African external debt problem with particular reference to Nigeria and Morocco is extensively analysed, and statistical indicators show that it is severe and has adverse effects on investment. The analysis also finds that fiscal expenditure, balance of payments and global interest rate are the crucial factors in explaining the accumulation of external debt in the two countries. Although the problem tends to exhibit some differences in characteristics between the two countries, the fact remains that they both belong to the same category of highly indebted countries. It is therefore necessary they embark on a rapid programme of privatization aimed at reducing fiscal expenditure, and a sustained export promotion programme to improve balance of payments. At the same time, both countries should restructure and develop their capital markets to reduce exposure to the vagaries of global interest rate. The International Monetary Fund (IMF) and the World Bank could also assist by modifying the International debt relief programme (HIPC Initiative) to accommodate both countries. Cet article étudie en détail le problème de la dette extérieure de l’Afrique, en se centrant en particulier sur les exemples du Nigeria et du Maroc. Les indicateurs statistiques montrent que le problème est grave et a des effets négatifs sur l’investissement. L’analyse a également mis à jour le fait que les dépenses fiscales, la balance des paiements et le taux d’intérÁt global sont des facteurs essentiels dans l’accumulation de la dette extérieure dans ces deux pays. Si le problème présente des caractéristiques différentes dans les deux pays, le fait n’en demeure pas moins qu’ils appartiennent tous deux à la mÁme catégorie des pays très endettés. Il leur est donc nécessaire d’engager rapidement un programme de privatisation visant à réduire les dépenses fiscales, et un programme intensif de promotion des exportations pour améliorer la balance des paiements. Dans le mÁme temps, les deux pays doivent restructurer et développer leurs marchés financiers pour réduire leur exposition aux caprices des taux d’intérÁt mondiaux. Le Fonds monétaire international (FMI) et la Banque mondiale pourraient également les aider en modifiant le programme international d’allégement de dette (Initiative PPTE) de manière à ce qu’ils puissent en profiter.  相似文献   

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Exports and technology in manufacturing industry   总被引:1,自引:0,他引:1  
Zusammenfassung Exporte und Technologie der Verarbeitenden Industrie. — Die Verfasser nehmen die Behandlung der Technologie in der modernen Au\enhandelstheorie kritisch unter die Lupe. Unter Anwendung einer dynamischen Perspektive liefern sie einige neue empirische Erkenntnisse über die Beziehung zwischen der technologischen Wettbewerbsf?higkeit eines Landes und seiner Exportleistung. Anhand von fünf Industriel?ndern (Deutschland, Japan, Frankreich, Schweden und den Niederlanden) wird gezeigt, da\ es in dieser Hinsicht betr?chtliche Unterschiede zwischen den L?ndern gibt. Diese Unterschiede k?nnen teilweise auf l?nderspezifische Entwicklungspfade und auf Unterschiede in der Industriestruktur zurückgeführt werden, aber nach Ansicht der Autoren k?nnten sie auch durch eine unterschiedliche nationale Technologiepolitik beeinflu\t worden sein.
Résumé Les exportations et la technologie des industries manufacturières. Cette étude examine le traitement du facteur de technologie dans la théorie moderne du commerce international. En utilisant une perspective dynamique, les auteurs donnent quelque évidence nouvelle pour la relation entre la compétitivité technologique et la performance dans le commerce international. En considérant cinq pays industriels (R.F.A., le Japon, la France, la Suède, et les Pays Bas), il est évident qu’il y a des différences remarquables entre ces pays. On peut attribuer ces différences aux processus du développement spécifiques de ces pays et aux différences entre la structure industrielle de ces pays examinés. Mais d’après les auteurs, ces différences pourraient être influencées aussi par les différences entre la politique de la technologie de ces pays.

Resurnen Exportaciones y tecnologia en la industria manufacturera. — Este trabajo estudia el trato del factor tecnologia en la teoria moderna del comercio. Utilizando un enfoque dinámico se presenta evidencia empirica nueva de la relation entre la competitividad technológica y la performance del comercio. Considerando los casos de cinco paises industrials (Alemania, Japon, Francia, Suecia y Holanda) se demuestra que existen notables diferencias entre los países en este aspecto. Si bien estas diferencias se pueden atribuir parcialmente a las trayectorias de desarrollo especificas de cada pais y a diferencias en la estructura industrial, se sugiere que también podrian ser influenciadas por las diferencias entre las politicas tecnológicas nacionales.
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Résumé: Les consequences souvent dramatiques de l'evolution recente des cours internationaux des produits de base d'exportation pour les pays africains conduisent a se demander quelle peut etre la place de ce secteur dans le developpement a venir de leurs economies. La premiere partie analyse les mecanismes de l'evolution des cours en distinguant les facteurs explicatifs de court, de moyen et de long terme. Elle examine en particulier le r61e et la portee des marches a terme. La seconde partie degage quelques perspectives generales concernant les fluctuations pluriannuelles cycliques des cours et la position de l'Afrique sur les marches internationaux des produits. Elle pose alors la question de la releve progressive eventuelle du secteur des produits de base comme secteur generateur du surplus macroeconomique exportable necessaire pour financer le developpement. En fait, une vue generale et plurisectorielle de la dynamique des economies montre que dans la plupart des cas, ce secteur va conserver une place essentielle, mais elle souligne aussi la necessite d'une profonde mutation de l'agriculture et d'un relevement des revenus ruraux. Abstract: The often dramatic consequences of the recent trend of international export commodity prices for the African countries raise the question as to what could be the role of this sector in the future development of their economies. The first part of this paper deals with the mechanisms of the trend of prices by differentiating short, medium and long-term explanatory factors. The second part gives some general prospects concerning cyclical multi-year fluctuations of prices and Africa's place on the world commodity market. It therefore considers the issue of the possible and gradual take-over by the commodities sector as the generator of the exportable macro-economic surplus required for development financing. In fact, a general and multi-sectoral overview of the dynamics of economies shows that in most cases, this sector will play an essential role, but it also stresses the need for a profound change in agriculture and increasing farm incomes.  相似文献   

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Résumé: Ce papier passe en revue les raisons d'investir dans le capital humain dans un pays en développement, évalue les performances accomplies au cours des ann ées 1990 et 2000 en matière d'éducation et de santé, particulièrement dans les pays africains, et soumet à une analyse critique les réformes de politiques qui ont sous‐tendu ces performances. Les contraintes et opportunités offertes par la mondialisation sont examinées dans le contexte des pays africains. Enfin, des recommandations sont faites pour accélérer l'accumulation d'un capital humain de qualité en Afrique à travers l'éducation et la santé.  相似文献   

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Les études précédentes indiquent que les analystes n’ajustent pas totalement leurs évaluations en fonction du biais général à la baisse des annonces de résultats prévisionnels faites par les directions d’entreprises. Les auteurs rapportent les résultats de deux expériences visant à déterminer comment la feuille de route des entreprises en ce qui a trait à la publication de résultats prévisionnels et les enjeux motivant les analystes expliquent de concert la mesure dans laquelle ces derniers ajustent leurs évaluations en fonction du biais des annonces de résultats prévisionnels. Ces résultats d’expérience semblent indiquer que les analystes pour qui l’enjeu est celui de l’exactitude ajustent leurs évaluations selon la feuille de route de la direction en ce qui a trait à la publication de résultats prévisionnels biaisés à la baisse lorsque le biais est relativement modeste (un cent), mais que les analystes pour qui l’enjeu est celui de leur relation avec la direction s’en abstiennent. Au surplus, la différence dans l’ajustement est plus importante lorsque la feuille de route de l’entreprise en matière de biais est irrégulière que lorsqu’elle est régulière. Aussi, lorsque le biais des annonces de résultats prévisionnels est plus important que moins (deux cents par rapport à un cent), les analystes pour qui l’enjeu est celui de la relation avec la direction procèdent à un ajustement partiel, paraissant ainsi rechercher un équilibre entre exactitude et volonté de plaire à la direction. Ces constatations ont des répercussions pour les investisseurs, les autorités de réglementation et l’interprétation des études précédentes.  相似文献   

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