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1.
After a decade of wide‐ranging social welfare reforms in New Zealand, that have resulted in a considerable restructuring of the role of the state in housing provision, the introduction of new housing legislation in 2000 marked a significant attempt to reassert the notion of social provision. This article examines the manner in which housing policy has recast the role of social rented housing in New Zealand and sets out the political context and implications of the new legislation in which housing policy is being pursued. It is argued that while the notion of social provision has been revived, social rented housing is still constructed in terms of a residual model of provision in the political discourses of reform. En Nouvelle‐Zélande, après une décennie de réformes sociales de toutes sortes, lesquelles ont largement restructuré le rô le de l'É tat dans la fourniture de logements, la récente présentation d'une législation sur l'habitat en 2000 s'est distinguée par une nette tendance à réaffirmer la notion de service social. En examinant comment la politique du logement néo‐zélandaise a remanié le rô le de l'habitat social en location, l'article expose le contexte et les implications politiques des nouvelles lois dans lesquelles s'inscrit la politique publique du logement. Si la notion de service social a été ravivée, le logement social en location reste un pis‐aller parmi les schémas d'aide évoqués dans les discours politiques réformistes.  相似文献   

2.
Cet article examine les interprétations marxistes et dites ‘structuralistes’ des mouvements sociaux urbains. Il propose l'argument selon lequel certains aspects de méthodologie ne sont pas incompatibles avec la perspective des études pluralistes américaines employée pour le traitement des phénomènes de revendications. Ces deux perspectives partagent la měme supposition, c'est à dire que l'influence coule des mouvements de revendications à l'état; ce qui amène à chercher les raisons pour l'échec à l'intérieur du mouvement lui-měme, plutǒt que dans les ressources et les stratégies à la disposition de l'état et de ses agents pour détourner et dominer la revendication. Deuxièmement, ces perspectives ne semblent pas avoir de critères de sélection, et analysent seulement les cas manifestes de revendications. Il est suggéré qu'une interprétation adéquate ne peut ětre arrivée que sur la base d'une recherche qui essaye d'expliquer les relations fondamentales de pouvoir dans le système urbain, particulièrement quand il s'agit de situations d'inertie ou de non-revendication. La seconde partie de cet article est un compte rendu d'une recherche empirique sur la suppression d'un mouvement ouvrier de revendication à Londres contre des politiques de logement ‘pour les masses’. Cette recherche montre de quelle façon la portée et l'exactitude des interprétations marxistes et dites ‘structuralistes’ peuvent ětre avancée afin de prendre en compte ces critiques. En měme temps, elle explore l'utilisation des pouvoirs coercifs par les autorités locales anglaises et l'influence exercée par les corporations industrielles sur la politique du logement.  相似文献   

3.
The emergence of a new housing crisis in the United States for low‐income renter households at the outset of the twenty‐first century can be traced to an increasing lack of affordability, where the average cost of housing as a portion of income has risen steadily over the last half‐century. In turn, this rise in housing costs can be attributed to a growing and dramatic shortage of low‐cost rental housing. Ultimately, the evocation of homeownership as the embodiment of the ‘American Dream’ has made renting the ‘stepchild’ of housing options, and this has had hidden, but nonetheless deleterious effects upon US cities, which remain major concentrations of rental housing and financially‐strapped tenants. Aux Etats‐Unis, on peut imputer la nouvelle crise du logement du début du vingt‐et‐unième siècle touchant les ménages locataires à faibles revenus à une impossibilité croissante d'accessibilité financière, la part du coût moyen d'un logement dans le revenu ayant progressé constamment au cours du demi‐siècle précédent. Par ailleurs, cette élévation des coûts du logement peut être attribuée à une pénurie accrue et dramatique de l'habitat à loyer modéré. Enfin, évoquer l'accession à la propriété comme incarnation du ‘Rêve américain’ a fait de la location le ‘parent pauvre’ des possibilités de logement, ce qui a eu des effets latents, quoique néfastes, sur les grandes villes américaines, lesquelles restent des concentrations dominantes de logements locatifs et d'occupants désargentés.  相似文献   

4.
L'Espagne se trouve à l'encontre de sévères problèmes urbains que le régime authoritaire ne peut résoudre. Au fǔr et à mesure que ce régime se désintère, de nouvelles revendications surgissent; mais en Espagne, contrairement au Portugale, ce sont des mouvements organisés qui réclament une nouvelle politique. Ces mouvements populaires sont fondés sur les quartiers (Barrios); cette communication s'addresse à leurs développement à Barcelone. Les mouvements urbains de cette ville ont évolués à partir d'une contestation d'issus d'envergure locale, à une qui s'addresse aux processus et planification de toute la ville. Un réseau de groupes a créé les moyens pour une renaissance d'une vie collective et démocratique. Le droit à un logement convenable, aux aménagements adéquats, au contrǒle sur l'industrie et la pollution, et à une suspension des rénovations urbaines, s'est fait valoir. Les moyens par lequels ces objectifs sont accomplis sont esquissés. Une critique de la planification implique celle de l'administration municipale. Divers genres de protestations ont eu lieu à différentes périodes dans l'évolution de cette critique. C'est maintenant que les mouvements communautaires, les analystes de l'urbain, et les nouveaux groupes politiques ont besoin de travailler ensemble afin développer un nouveau contexte pour le gouvernement municipal, à l'intérieur d'un programme socio-économique plus large. Dans n'importe quel système futur, les groupes des Barrios continueront de jouer un rǒle essentiel. Un mouvement vers une réforme municipale accompagnera vraisemblablement un changement social plus grand, surtout celui de la lutte pour l'autonomie Catalane.  相似文献   

5.
Cities throughout the world – particularly global cities – are becoming increasingly heterogeneous as a result of international migration movements. During the past three decades, the influx of immigrants into metropolitan areas like New York, Los Angeles and San Francisco has increased demand for housing, exacerbating the already tight housing markets in these cities. This article focuses on the spatial distribution and housing conditions of immigrants in San Francisco using primarily the 2000 US census data on population and housing down to the census tract level. Building on past research on ethnic enclaves and communities, this article applies spatial analysis methods to identify clusters where Chinese, Filipino and Mexican households – the largest foreign‐born groups in San Francisco – live. The article argues that different immigrant groups show distinct spatial clustering patterns and that there are significant variations in housing outcomes for immigrants within and outside of ethnic clusters. These differences are largely in the direction predicted by the spatial assimilation theory. However, findings such as the high incidence of homeownership within Chinese and Filipino clusters suggest that contemporary immigrants do not necessarily view ethnic clusters as transitory. These findings help to confirm other recent studies showing that immigrants are now spatially clustered in ways that may no longer fit theoretical models derived from the settlement patterns of late nineteenth‐century immigrants. The article contributes to literature concerned with ethnic clusters in US inner cities and the housing conditions of immigrants in global cities. A travers le monde, les villes, surtout les villes planétaires, sont de plus en plus hétérogènes à cause des mouvements migratoires internationaux. Au cours des trois dernières décennies, l'afflux de migrants vers les zones métropolitaines comme New York, Los Angeles et San Francisco a accru la demande de logements, resserrant les marchés déjàétroits dans ces grandes villes. L'article s'attache à la répartition spatiale et aux conditions de logement des immigrants à San Francisco à partir, essentiellement, de données provenant du recensement américain 2000 sur la population et l'habitat par régions sociales. S'inspirant de recherches antérieures sur les communautés et enclaves ethniques, l'étude applique les méthodes d'analyse spatiale pour identifier les regroupements de foyers chinois, philippins et mexicains (groupes d'étrangers les plus nombreux à San Francisco). Les différents groupes d'immigrants présentent des modèles d'agrégation spatiale distincts et leur logement varie considérablement selon que les populations se trouvent dans ou hors des regroupements ethniques. Ces divergences traduisent largement l'orientation prévue par la théorie de l'assimilation spatiale. Toutefois, des résultats tels que le poids de l'accession à la propriété dans les groupes chinois et philippins suggèrent que les immigrants actuels ne jugent pas forcément ces regroupements ethniques comme transitoires. Ainsi sont corroborées d'autres études récentes montrant que les immigrants sont désormais regroupés dans l'espace selon des modèles qui ne correspondent plus aux types théoriques dérivés des schémas d'implantation de la fin du dix‐neuvièmesiècle. L'article contribue au débat sur les regroupements ethniques dans les quartiers déshérités américains et sur les conditions de logement des immigrants dans les villes planétaires.  相似文献   

6.
Jeff Crump's discussion of housing policy in the United States is highly polemic but not very analytic or informative. Crump argues that federal housing policy is attempting to move people out of public housing and into the private housing market and the lowwage labor force. However, he fails to support his argument with credible evidence. My comments point out the most egregious of Crump's claims. I start with Crump's most extreme contentions that housing policy is coercing public housing residents into the low‐wage labor force. I then question his dismissive attitude toward the problems confronted by residents of distressed public housing and policies designed to help low‐income families move out of impoverished neighborhoods. I subsequently show how Crump exaggerates the extent to which federal housing policy is clearing central cities of subsidized low‐income housing. I conclude with a few words on the serious issues that a more informed critique of US housing policy could have raised. L'exposé de Jeff Crump sur la politique du logement aux Etats‐Unis relève principalement de la polémique, plus que de l'analyse ou de l'information. Selon lui, la politique fédérale tente de déplacer la population des logements sociaux vers les marchés de l'habitat privé et de la main‐d'?uvre à bas salaires. Toutefois, il n'apporte aucune preuve crédible à son propos. Ma réaction porte sur ses arguments les plus insignes, en commençant par ses allégations extrémistes selon lesquelles la politique du logement contraint les habitants des logements publics à des emplois peu rémunérés. Je remets ensuite en cause son dédain à l'égard des difficultés que rencontrent les résidents des logements sociaux insalubres, sans oublier les politiques prévues pour aider les familles à faibles revenus à quitter les quartiers pauvres. En conséquence, à mon avis, Crump exagère la mesure dans laquelle la politique fédérale élimine des centres‐villes les habitats à loyer modéré subventionnés. En quelques mots, ma conclusion porte sur les questions graves qu'aurait pu soulever un commentateur mieux documenté sur la politique du logement aux Etats‐Unis.  相似文献   

7.
Domestic property and social class   总被引:1,自引:0,他引:1  
Cet exposé traite de l'importance des conséquences des différents modes d'occupation de logement, en ce qui concerne les rapports de classes. L'accent est mis précisément sur la Grande Bretagne où, environ 40% des ouvriers manuels possèdent maintenant leur propre maison, et où l'extension de l'occupation de l'habitation par le propriétaire a nettement contribué à accroitre les dividions sociales et politiques, au sein de la classe ouvrière. La question qui se pose, est de savoir si de telles divisions ont une base matérielle réelle, ou si elles sont principalement idéologiques. On voit que la réponse à cette question aura d'importantes conséquences pour l'organisation de luttes politiques autour de la question du logement. L'exposé débute par une discussion des perspectives wéberiennes et marxistes en matière d'occupation de logement et de rapports de classes. La perspective wébérienne, liée aux travaux de Rex et de Moore sur 'le logement par classes', est rejetée, quoique la possibilité de reformuler le concept du logement par classes, au sein d'une orientation wébérienne, soit mise en évidence. Le point de vue marxiste, qui rejette la possession du logement comme étant étrangère à l'identification des intérêts de classe, est également rejeté, sous prétexte que l'occupation de l'habitation par le propriétaire est un facteur crucial d'une augmentation réelles des richesses individuelles qui peuvent largement dépasser les économics que l'on peut faire sur les salaires de toute une vie. L 'exposé montre ensuite, comment la possession de sa maison va dans le sens d'une accumulation des richesses, et comment ceci crée une réelle division d'intérèt économique entre les propriétaires en jouissance et les locataires, fait qui se manifeste souvent dans les luttes politiques locales. La conclusion qui se dégage de ceci est que, les efforts des activistes locaux pour unifier les deux groupes en une alliance politique contre le capital monopole, peut sàvérer à la fois peu judicieux et nuisible à la productivité.  相似文献   

8.
Social and Spatial Implications of Housing Reform in China   总被引:1,自引:0,他引:1  
Research into eastern European housing reform indicates that privatization has been accompanied by processes of social and physical exclusion and segregation. Has the Chinese housing reform been accompanied by similar problems? This paper addresses this question by examining the early evidence on the social and spatial consequences of housing reform. It begins with a discussion of the particular social and spatial patterns of Chinese cities developed during the early years of Communist control and then examines the social and spatial impacts of housing reform. It is argued that although housing reform has brought significant changes to the housing provision system and improved many urban residents' living conditions, it has not entirely broken the traditional system. Reform was to a large extent carried out within work‐unit establishments and has had very different impacts for different social and economic groups. In addition, spatial impacts in urban areas have varied between old and new areas and between rich and poor areas. La recherche sur les réformes du logement en Europe de l'est montre que la privatisation a été accompagnée de processus d'exclusion et de ségrégation physique et sociale. La réforme chinoise du logement a‐t‐elle été accompagnée de problèmes identiques? Cet article examine les premières données sur les conséquences sociales et spatiales de la réforme du logement. Il commence par une discussion des modèles sociaux et spatiaux particuliers aux villes chinoises développés durant les premières années du contrôle communiste et examine ensuite l'impact social et spatial de la réforme du logement. Bien que la réforme du logement ait apporté des changements significatifs au système de provision du logement et amélioré les conditions de vie de nombreux résidents urbains, elle n'a pas entièrement rompu avec le système traditionnel. La réforme a été en grande partie conduite à l'intérieur des établissements d'unités de travail et a eu un impact très différent sur les divers groupes sociaux et économiques. De plus, les impacts spatiaux dans les régions urbaines ont varié selon que les régions sont anciennes ou nouvelles et riches ou pauvres.  相似文献   

9.
Supported by federal funds, many eastern German cities have started to address their acute vacant housing problem, and the new strategies attempt to pursue revitalization in especially consistent and comprehensive forms. This article offers evidence that current policies are not meeting their main objectives. Very little is being done in the older, inner‐city neighbourhoods, although these have been given a top political priority in the planning process since they are perceived as one of the greatest economic and cultural assets of eastern Germany. Rather, the policies have been effective only in the large‐scale housing estates, where local administrations and city governments meet ‘big partners’ with resources for action. Further, it is argued that present policy strategies focus too tightly on housing market issues alone. Many housing problems cannot be solved using housing market policy tools alone as vacancy is caused by the general trends of depopulation and deindustrialization in the region. Avec l'aide de financements fédéraux, de nombreuses grandes villes est‐allemandes se sont attaquées à leur grave problème de logements inoccupés, et les nouvelles stratégies tentent une relance par des formules particulièrement vastes et cohérentes. Cet article démontre que les politiques actuelles n'atteignent pas leurs objectifs principaux. Très peu est fait dans les quartiers anciens déshérités, même si on leur a donné une priorité politique élevée dans le processus d'aménagement puisqu'ils sont en bonne place, dit‐on, dans le patrimoine économique et culturel de l'Allemagne de l'Est. En revanche, les politiques publiques n'ont été efficaces que dans les projets de logements à grande échelle lorsque les administrations locales et autorités de la ville rencontrent des ‘partenaires de poids’ ayant des ressources pour agir. De plus, les stratégies politiques présentes s'attachent trop aux seuls aspects liés au marché du logement. Bien des problèmes d'habitat ne peuvent être résolus à l'aide d'outils de politique de marché puisque la vacance tient aux tendances générales à la dépopulation et à la désindustrialisation de la région.  相似文献   

10.
In this article I argue that the US public housing policy, as codified by the Quality Housing and Work Responsibility Act of 1998 (QHWRA), is helping to reconfigure the racial and class structure of many inner cities. By promoting the demolition of public housing projects and replacement with mixed‐income housing developments, public housing policy is producing a gentrified inner‐city landscape designed to attract middle and upper‐class people back to the inner city. The goals of public housing policy are also broadly consonant with those of welfare reform wherein the ‘workfare’ system helps to bolster and produce the emergence of contingent low‐wage urban labor markets. In a similar manner, I argue that public housing demonstration programs, such as the ‘Welfare‐to‐Work’ initiative, encourage public housing residents to join the lowwage labor market. Although the rhetoric surrounding the demolition of public housing emphasizes the economic opportunities made available by residential mobility, I argue that former public housing residents are simply being relocated into private housing within urban ghettos. Such a spatial fix to the problems of unemployment and poverty will not solve the problems of inner‐city poverty. Will it take another round of urban riots before we seriously address the legacy of racism and discrimination that has shaped the US city? Cet article démontre que la politique du logement public américaine, telle que la réglemente la Loi de 1998, Quality Housing and Work Responsibility Act, contribue à remodeler la structure par races et classes de nombreux quartiers déshérités des centres‐villes. En favorisant la démolition d'ensembles de logements sociaux et leur remplacement par des complexes urbanisés à loyers variés, la politique publique génère un embourgeoisement des centres‐villes destinéà y ramener les classes moyennes et supérieures. Les objectifs de la politique du logement rejoignent largement ceux de la réforme sociale oú le système de ‘l'allocation conditionnelle' facilite et nourrit la création de marchés contingents du travail à bas salaires. De même, les programmes expérimentaux de logements publics, telle l'initiative Welfare‐to‐Work (De l'aide sociale au travail) poussent les habitants des logements sociaux à rejoindre le marchéde la main d'?uvre à bas salaires. Bien que les discours autour de la démolition des logements sociaux mettent en avant les ouvertures économiques créées par la mobilité résidentielle, leurs anciens habitants sont simplement en train d'être déplacés vers des logements privés situés dans des ghettos urbains. Ce genre de solution spatiale aux problèmes du chômage et de la pauvreté ne viendra pas à bout du dénuement des quartiers déshérités du centre. Faudra‐t‐il une autre série d'émeutes urbaines pour que l'on aborde sérieusement l'héritage de racisme et de discrimination qui a façonné les villes américaines?  相似文献   

11.
This article deals with the vulnerability of the Dutch housing allowance scheme. This scheme can be compared with the British housing benefit. The vulnerability of the scheme has been augmented by the current less favourable economic conditions (stagnating household incomes, increasing unemployment) and the Dutch government's announcement that it plans to reduce housing allowance expenditure. Two scenarios are outlined, which may serve to resolve the danger of exploding housing allowances expenditure in the coming years. If a market‐led scenario is chosen, whereby housing associations strive to achieve market rents, the housing allowance will be transformed into a form of housing voucher, the value of which is not directly related to the actual rental price of the property. In this American‐style model, the value of the vouchers would be linked to a ‘virtual’ rent, say 40% of the average rental price in the region. The housing associations would then lose their special semi‐public status. Under the social housing model, the housing associations would retain their special status provided they aimed to achieve rents somewhat lower than the market level. The housing allowance would remain directly linked to the actual rental price. However, some marked changes would be required to render this system sustainable. The Netherlands cannot avoid having to make this choice. Cet article porte sur la vulnérabilité du régime hollandais d'aide au logement. Celui‐ci est comparable aux prestations britanniques. La fragilité du régime a été accrue par les conditions économiques actuelles moins favorables (stagnation du revenu des ménages, augmentation du chômage) et par l'annonce du gouvernement néderlandais relative à la réduction prévue des dépenses d'allocation‐logement. Sont présentés deux scénarios susceptibles de limiter le risque d'explosion des dépenses d'allocations dans les années à venir. Si l'option choisie est un scénario de marché où les associations pour le logement luttent pour atteindre les loyers du marché, l'allocation‐logement se transformera en ‘bon’ dont la valeur ne sera pas directement liée au montant réel du loyer. Selon ce modèle de type américain, la valeur des ‘bons’ sera fonction d'un loyer ‘virtuel’, soit environ 40% du prix moyen dans la région; les associations perdraient alors leur statut particulier semi‐public. Selon le modèle de logement social, elles conserveraient leur statut, à condition qu'elles cherchent à atteindre des loyers légèrement inférieurs au niveau du marché; l'allocation‐logement serait alors directement liée au montant réel du loyer. Toutefois, pour que le régime subsiste, il faudrait procéder à d'importants changements. Les Pays‐Bas ne peuvent s'épargner ce choix.  相似文献   

12.
In this article I argue that the US public housing policy, as codified by the Quality Housing and Work Responsibility Act of 1998 (QHWRA), is helping to reconfigure the racial and class structure of many inner cities. By promoting the demolition of public housing projects and replacement with mixed‐income housing developments, public housing policy is producing a gentrified inner‐city landscape designed to attract middle and upper‐class people back to the inner city. The goals of public housing policy are also broadly consonant with those of welfare reform wherein the ‘workfare’ system helps to bolster and produce the emergence of contingent low‐wage urban labor markets. In a similar manner, I argue that public housing demonstration programs, such as the ‘Welfare‐to‐Work’ initiative, encourage public housing residents to join the lowwage labor market. Although the rhetoric surrounding the demolition of public housing emphasizes the economic opportunities made available by residential mobility, I argue that former public housing residents are simply being relocated into private housing within urban ghettos. Such a spatial fix to the problems of unemployment and poverty will not solve the problems of inner‐city poverty. Will it take another round of urban riots before we seriously address the legacy of racism and discrimination that has shaped the US city? Cet article démontre que la politique du logement public américaine, telle que la réglemente la Loi de 1998, Quality Housing and Work Responsibility Act, contribue à remodeler la structure par races et classes de nombreux quartiers déshérités des centres‐villes. En favorisant la démolition d'ensembles de logements sociaux et leur remplacement par des complexes urbanisés à loyers variés, la politique publique génère un embourgeoisement des centres‐villes destinéà y ramener les classes moyennes et supérieures. Les objectifs de la politique du logement rejoignent largement ceux de la réforme sociale où le système de ‘l'allocation conditionnelle’ facilite et nourrit la création de marchés contingents du travail à bas salaires. De même, les programmes expérimentaux de logements publics, telle l'initiative Welfare‐to‐Work (De l'aide sociale au travail) poussent les habitants des logements sociaux à rejoindre le marchéde la main d'?uvre à bas salaires. Bien que les discours autour de la démolition des logements sociaux mettent en avant les ouvertures économiques créées par la mobilité résidentielle, leurs anciens habitants sont simplement en train d'être déplacés vers des logements privés situés dans des ghettos urbains. Ce genre de solution spatiale aux problèmes du chômage et de la pauvreté ne viendra pas à bout du dénuement des quartiers déshérités du centre. Faudra‐t‐il une autre série d'émeutes urbaines pour que l'on aborde sérieusement l'héritage de racisme et de discrimination qui a façonné les villes américaines?  相似文献   

13.
This article focuses on the role of real estate agents as interpreters of the relationship between housing aesthetics (taste) and price. The research includes an analysis of housing advertisements, observation of housing auctions, and interviews with real estate agents in the gentrified inner western suburbs of Sydney, Australia. Adapting the work of Pierre Bourdieu on social class, the article argues that the relationship between housing taste and price captures the interaction of cultural and economic capital and that the intermediary role of the estate agent can be used to explore this. It concludes that the gentrification aesthetic is dynamic and increasingly demands economic capital at the expense of cultural capital (a gentrification premium) to maintain class distinction. Cet article traite du rôle des agents immobiliers en tant qu'interprètes du lien entre l'esthétique (goût) et le prix d'un logement. L'étude couvre une analyse des annonces, une observation des ventes aux enchères, ainsi que des entretiens avec des agents immobiliers dans des banlieues embourgeoisées situées directement à la périphérie ouest de Sydney (Australie). En adaptant les travaux de Pierre Bourdieu sur les classes sociales, l'article établit que la relation goût‐prix du logement accapare l'interaction du capital culturel et économique, le rôle intermédiaire de l'agent immobilier permettant d'explorer celle‐ci. La conclusion démontre que l'esthétique de l'embourgeoisement est dynamique et exige un capital financier croissant au détriment du capital culturel (bonus de la réhabilitation) afin de préserver une distinction de classe.  相似文献   

14.
Les thèmes d'authoritarisme bureaucratique servent à expliquer les changements dans l'organisation de la production au Brésil, et l'émergence en conséquence, de nouveaux groupes sociaux et relations de classes. Cet article trace l'impacte du développement économique au Brésil sur la croissance et l'organisation des populations urbaines. Les phases des contrôles sur l'importation qui étaient le véhicule pour l'industrialisation urbaine dépendaient d'un transfer du capital de l'agriculture à l'industrie, du consommateur au producteur, négocié à travers une politique de taux d'échanges et de protection commerciale et d'inflation. Ce développement était associé avec l'incorporation limité d'une classe ouvrière et urbaine croissante dans la structure émergeante de l'état. Cependant, l'éffondrement des contrôles sur l'importation et le développement de l'intervention de l'état et des investissements étrangers créerent le fondement de l'exclusion des revendications économiques et politiques des populations urbaines. Le raisonnement est que cette téchnocracie, produit de ces interventions et investissements, articula à la fois cette exclusion et son intérêt dans l'établissement et l'extension d'un contexte bureaucratique corporatif. Le résultat a été non seulement la suppression directe des revendications populaires, mais aussi l'exclusion de toute impulsion pour un nouveau model économique. Cet article termine en proposant qu'une analyse plus poussée devrait se concentrer plutôt sur les structures et processus organisationnels que sur les intérêts de rôles téchnocratiques particuliers.  相似文献   

15.
The Japanese social structure was established and has been maintained through a mixed economy comprising a balance between the state, the market, the family and the company. Vital elements in maintaining this balance have been the traditional family, full employment and increasing prosperity. More recently, developments have seen a reversal of economic prosperity, rising unemployment, increasing pressure to restructure the employment system and a potential rise in the number of households experiencing housing difficulties. In addition, the predominance of the nuclear family, the increased employment of women and decreased fertility has put the enterprise, family and state dynamic under challenge. This article explores some of the implications of these trends as some of the certainties of the past are giving way to increasing insecurity and risk across a wider section of society. It begins by exploring the institutional and social structure of post‐war Japan, when there was little evidence of poverty and homelessness. It goes on to consider the recent rise in the number of people living on the streets of Japanese cities and the policies put in place. The article then outlines some of the processes of social change that have contributed to the growth in the numbers of homeless people in Japan. La structure sociale japonaise a été créée et préservée grâce à une économie mixte, équilibre complexe entre É tat, marché, famille et entreprise. Les éléments essentiels à cet équilibre étaient la famille traditionnelle, le plein emploi et une prospérité croissante. Or, on a pu constaté dernièrement un revirement économique, une hausse du chômage, une accentuation des forces visant à restructurer l'emploi et une progression latente du nombre de ménages confrontés à des difficultés de logement. De plus, la prédominance de la famille nucléaire, le travail croissant des femmes et la diminution de la fertilité ont remis en question la dynamique entreprise‐famille‐É tat. L'article explore certains effets de ces évolutions, alors que nombre de certitudes passées laissent place à un renforcement de l'insécurité et du risque dans une part plus vaste de la société. L'étude débute par la structure institutionnelle et sociale du Japon de l'après‐guerre, lequel comptait peu de cas de pauvreté et de sans‐abris. Elle aborde ensuite la hausse récente du nombre de personnes vivant dans les rues des grandes villes nippones et les politiques publiques mises en place, tout en décrivant certains des processus de changement social impliqués dans la multiplication des sans‐abris au Japon.  相似文献   

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The new free trade agreements are rescaling governance in ways that have critical implications for subnational governments. The nation state is not simply being hollowed out; rather, a new governance nexus is forming — of nation states, multinational corporations and international agreements — which explicitly excludes subnational and local government voice. This article describes the new governance features of the North American Free Trade Agreement (NAFTA) and illustrates how they work out at the national, subnational and local scales using cases from the United States and Mexico. NAFTA provides the template for other free trade agreements including the Free Trade Area of the Americas (FTAA) and a growing number of bilateral agreements. We show how NAFTA's governance structure is undermining subnational and local government authority in legislative and judicial arenas. Designed to advance privatization of public services, these agreements undermine the very ability of local governments to use markets for public goods by defining traditional state and local governance mechanisms as ‘non‐tariff barriers to trade’. Contradictions between private profit and public interest appear at the subnational level but their resolution is engaged at the global level between private investors and the nation state. Recognition of this rescaling requires attention to the reforming state and its implications for subnational authority and democratic representation and voice. Les nouveaux accords de libre‐échange ré‐échelonne la gouvernance selon des modalités aux implications critiques pour les gouvernements infra‐nationaux. L'État‐nation n'est pas seulement en train d'êvidé de son contenu, mais une nouvelle sphère de gouvernance se forme —à partir d'États‐nations, de groupes multinationaux et d'ententes internationales —, excluant explicitement toute voix de gouvernements locaux ou infra‐nationaux. Cet article décrit les nouvelles caractéristiques de la gouvernance selon l'Accord de Libre‐Échange Nord‐Américain (ALENA) et illustre, avec les cas des Etats‐Unis et du Mexique, comment elles opèrent aux échelons national, infra‐national et local. L'ALENA fournit un modèle pour d'autres accords de libre‐échange, comme la Zone de Libre‐Échange des Amériques (ZLEA) et un nombre croissant de conventions bilatérales. L'article montre comment la structure de gouvernance de l'ALENA mine l'autorité des gouvernements locaux et infra‐nationaux dans les domaines législatif et judiciaire. Destinés à favoriser la privatisation des services publics, ces accords sapent l'aptitude même des gouvernements locaux à recourir aux marchés pour les marchandises publiques, puisqu'ils définissent les mécanismes de gouvernance locale et étatique traditionnels comme des ‘barrières commerciales non‐douanières’. Les contradictions entre profit privé et intérêt public apparaissent au niveau infra‐national, mais leur résolution est entreprise au niveau mondial entre investisseurs privés et État‐nation. La reconnaissance de ce décalage d'échelon appelle à s'intéresser à l'État réformateur et aux implications pour toute autorité infra‐nationale et représentation ou voix démocratique.  相似文献   

17.
Many studies have examined the role of racial prejudice and discrimination in the creation of racial residential segregation in US cities. Yet few researchers have situated early twentieth‐century meanings of race and racism within broader processes of urban development and the emergence of the modern real estate industry. Using a case study of Kansas City, Missouri, this article examines the organized efforts of community builders and homeowner associations to create racially homogeneous neighborhoods through the use and enforcement of racially restrictive covenants. Racially restrictive covenants encoded racial difference in urban space and helped nurture emerging racial prejudices and stereotypes that associated black residence with declining property values, deteriorating neighborhoods and other negative consequences. I argue that the cultivation and development of this segregationist ideology was simultaneously an exercise in the racialization of urban space that linked race and culturally specific behavior to place of residence in the city. As the twentieth century progressed, the identification of black behavior and culture with deteriorating neighborhoods became an important impetus and justification for exclusionary real estate practices designed to create and maintain the geographical separation of the races and control metropolitan development. I conclude with a discussion of how the linkage between race, racism and urban space helps to explain why racial residential segregation remains a persistent and tenacious feature of US metropolitan areas despite the passage of fair housing and numerous anti‐discrimination statutes over the past decades. Nombre d'études ont porté sur l'incidence des préjugés raciaux et de la discrimination sur la ségrégation raciale apparue dans l'habitat des villes américaines. En revanche, peu de chercheurs ont replacé les notions de race et de racisme en ce début de millénaire dans le cadre des processus plus larges d'aménagement urbain et d'émergence de l'immobilier moderne. À partir d'une étude de cas sur Kansas City (Missouri), cet article examine les efforts d'associations locales de propriétaires d'habitations et de constructeurs de logements sociaux qui se sont organisées afin de créer des quartiers homogènes sur le plan racial via l'utilisation et l'application de conditions locatives restrictives. Ces restrictions ont codifié une différence raciale dans l'espace urbain et contribuéà entretenir les préjugés raciaux et stéréotypes associant l'habitat noir à la dévalorisation de l'immobilier, à la détérioration des quartiers et à d'autres effets négatifs. L'article démontre que maintenir et développer cette idéologie ségrégationniste constituait parallèlement une opération de racialisation de l'espace urbain, une race et un comportement culturel spécifique se trouvant liés à un lieu de résidence dans la ville. Au cours du XXe siècle, l'identification du comportement et de la culture noirs à des quartiers dégradés a stimulé et justifié des pratiques immobilières d'exclusion visant à créer et à préserver la séparation géographique des races, tout en contrôlant l'aménagement métropolitain. Pour terminer, l'article aborde de quelle manière l'établissement d'un lien entre race, racisme et espace urbain permet d'expliquer les raisons pour lesquelles la ségrégation raciale de l'habitat persiste dans les zones métropolitaines américaines et ce, malgré l'adoption, au cours des dernières décennies, de l'accès universel au logement et de nombreuses lois contre les discriminations.  相似文献   

18.
There has long been a tension between the roles of the university in servicing the needs of sub‐national economies and civil societies, those of the national state and those of learning and the pursuit of knowledge in an abstract sense. The position in liberal democracies through much of the twentieth century can be accurately characterized by a significant degree of separation and segregation between the university, the state and the market. Recently, however, it has been posited that the balance is shifting away from relative autonomy towards a new ‘mode of knowledge production’ in which the growing engagement of universities with their regions and localities is an important aspect. The first part of this article explores the knowledge economy rhetorics which have come to dominate public policy rationales in many liberal democracies and interrelationships with questions of territory and scale. Second, the implications for universities are considered as they are confronted by a number of challenges and choices in navigating the waters of increasing societal expectations. Finally, the article highlights key questions that emerge from our preliminary overview of these issues within a wider research agenda around universities, the knowledge economy and regional development. Depuis longtemps, une tension existant entre les rôles qu'a l'université dans la satisfaction des besoins des économies sub‐nationales et des sociétés civiles, de ceux de l'État ou de ceux de l'enseignement, et la quête du savoir au sens abstrait du terme. Pendant une bonne partie du vingtième siècle, dans les démocraties libérales, la situation a pu se définir par un degré très net de séparation entre université, État et marché. Toutefois, récemment, certains ont suggéré que l'équilibre se décalait, d'une autonomie relative vers un nouveau ‘mode de production du savoir’ dans lequel l'intervention croissante des universités vis‐à‐vis de leur région et sites locaux constitue un aspect important. La première partie de l'article explore le discours de l'économie du savoir, lequel a envahi la logique de la politique publique dans nombre de démocraties libérales, ainsi que les inter‐relations avec les questions de territoire et d'échelle. La deuxième partie s'intéresse aux implications pour les universités, celles‐ci étant confrontées à de multiples défis et choix en parcourant l'océan des attentes sociétales croissantes. Pour finir, sont présentées les questions‐clés qui émergent de l'étude préalable de ces problèmes effectuée dans le cadre d'un programme de recherches plus vaste autour des universités, de l'économie du savoir et du développement régional.  相似文献   

19.
With ongoing housing reform and profound changes in housing consumption in urban China, this article aims to understand tenure transition from rental to homeownership. Because of different housing systems in China over time, and thus different connotations attached to homeownership, tenure transition should be understood within its historic context. Using a sample survey of life history in 20 cities and the method of event history analysis, this article examines the tenure transition to the first homeownership during 1949–94, a period covering both the socialist era and the early stage of housing reform. In contrast to conventional wisdom, older and married people, and those working in the public sector and living in public housing were less likely to change to homeownership before housing reform, mainly because the socialist housing system was ironically in favor of those households with higher socio‐economic positions. In the reform era, while there are remnants of the socialist housing system, tenure transition has different dynamics with factors such as marital status, work units and previous housing tenure no longer important, at least by the mid‐1990s. In addition, crowded housing conditions and long duration in the rental sector generally encourage the transition to homeownership, and there are significant regional variations. Face à la réforme actuelle du logement et aux mutations de consommation de l'habitat dans la Chine urbaine, cet article cherche à comprendre le passage de la location à la propriété. Les systèmes de logement ayant varié avec le temps, donnant à la propriété différentes connotations, il faut appréhender la transition du mode d'occupation dans son contexte historique. S'appuyant sur une étude biographique effectuée par sondage dans 20 villes et sur la méthode de l'analyse historique des événements, l'article examine la transition vers la première accession à la propriété entre 1949 et 1994, période couvrant l'ère socialiste et le stade initial de la réforme du logement. Contrairement à l'avis traditionnel, les individus mariés et plus âgés, ainsi que les employés du secteur public qui vivent dans des logements sociaux, avaient moins tendance à opter pour la propriété avant la réforme, essentiellement parce que l'habitat socialiste favorisait bizarrement les ménages aux positions socio‐économiques élevées. Pendant la période de réforme, malgré une survivance du système socialiste, le changement de mode d'occupation présente une autre dynamique; ainsi, des facteurs tels que le statut marital, les unités de travail et le mode de jouissance antérieur n'ont plus d'importance, du moins jusqu'au milieu des années 1990. De plus, les conditions de surpopulation des logements et une durée prolongée dans le secteur locatif encouragent généralement le passage à la propriété, sans oublier des variations régionales significatives.  相似文献   

20.
Paris et sa banlieue sont les mieux loties de toutes les régions de France en équipement et en service de garde de jeunes enfants. ainsi que le plus de jeunes mères qui travaillent. Divers services de l'état, du département et de la municipalité sont responsables pour la création, la gestion, et l'agrément des services de garde. Le coût, le financement, la tarification et la disponibilité des services publics et les services privés à travers la capitale, sa proche et sa lointaine banlieue sont analysés. On trace l'affrontement qui se développe entre différentes instances de l'état autant que le rôle des partis politiques, des syndicats et d'autres groupes de pression. L'analyse de la politique en vigueur dégage certaines implications théoriques et spécifiques. Pour les jeunes mères les services de garde (leur disponibilité et leur coût) deviennent un facteur essentiel dans l'accès l'emploi. Une inégalité très nette dans celui-ci apparaît entre hommes et femmes, parisiennes et banlieusardes, femmes qualifiées et non-qualifiées.  相似文献   

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