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1.
La résistance des habitants des quartiers populaires de Bogotá contre la construction d'une autoroute à travers leur voisinae, est le sujet de cet article. Cette 'Avenida de los Cerros' faisait partie d'un 'programme intégré de développement urbain' comprenant aussi la construction de centres médicaux, écoles, et autres infrastructures urbaines; le côut de 89 millions de dollars américains, étant financé par l'Intramerican Development Bank. Ce mouvement urbain est analysé en tant que pratique spécifique, particulière aux résidents des quartiers populaires. En tant que groupe sociale, leurs traits communs sont qu'ils vivent à l'intérieur d'un quartier strictement ségrégé géographiquement et socialement—le 'barrio', et qu'ils vendent leur force de travail sur un marché du travail dévalué, sans pour autant constituer une classe sociale homogène. Toutefois, comme sous-proletariat urbain ils partagent un intérêt commun dans la consommation collective et individuelle (déficiences en matières de logement, service, etc., et expérience de la pauvreté). La menace de l'Avenida de los Cerros dans ces deux domaines fût reconnue et causa une grande agitation parmi les habitants du 'barrio'. Le plan de construction fût abandonné après deux ans de protestations. Bien que le mouvement populaire eu de l'influence, cet abandon fut en grande partie causé par une conjoncture changeante quand les intérêts du bloc au pouvoir de la classe dirigeante se déplacèrent vers d'autres quartiers.  相似文献   

2.
Cet article examine les interprétations marxistes et dites ‘structuralistes’ des mouvements sociaux urbains. Il propose l'argument selon lequel certains aspects de méthodologie ne sont pas incompatibles avec la perspective des études pluralistes américaines employée pour le traitement des phénomènes de revendications. Ces deux perspectives partagent la měme supposition, c'est à dire que l'influence coule des mouvements de revendications à l'état; ce qui amène à chercher les raisons pour l'échec à l'intérieur du mouvement lui-měme, plutǒt que dans les ressources et les stratégies à la disposition de l'état et de ses agents pour détourner et dominer la revendication. Deuxièmement, ces perspectives ne semblent pas avoir de critères de sélection, et analysent seulement les cas manifestes de revendications. Il est suggéré qu'une interprétation adéquate ne peut ětre arrivée que sur la base d'une recherche qui essaye d'expliquer les relations fondamentales de pouvoir dans le système urbain, particulièrement quand il s'agit de situations d'inertie ou de non-revendication. La seconde partie de cet article est un compte rendu d'une recherche empirique sur la suppression d'un mouvement ouvrier de revendication à Londres contre des politiques de logement ‘pour les masses’. Cette recherche montre de quelle façon la portée et l'exactitude des interprétations marxistes et dites ‘structuralistes’ peuvent ětre avancée afin de prendre en compte ces critiques. En měme temps, elle explore l'utilisation des pouvoirs coercifs par les autorités locales anglaises et l'influence exercée par les corporations industrielles sur la politique du logement.  相似文献   

3.
L'Espagne se trouve à l'encontre de sévères problèmes urbains que le régime authoritaire ne peut résoudre. Au fǔr et à mesure que ce régime se désintère, de nouvelles revendications surgissent; mais en Espagne, contrairement au Portugale, ce sont des mouvements organisés qui réclament une nouvelle politique. Ces mouvements populaires sont fondés sur les quartiers (Barrios); cette communication s'addresse à leurs développement à Barcelone. Les mouvements urbains de cette ville ont évolués à partir d'une contestation d'issus d'envergure locale, à une qui s'addresse aux processus et planification de toute la ville. Un réseau de groupes a créé les moyens pour une renaissance d'une vie collective et démocratique. Le droit à un logement convenable, aux aménagements adéquats, au contrǒle sur l'industrie et la pollution, et à une suspension des rénovations urbaines, s'est fait valoir. Les moyens par lequels ces objectifs sont accomplis sont esquissés. Une critique de la planification implique celle de l'administration municipale. Divers genres de protestations ont eu lieu à différentes périodes dans l'évolution de cette critique. C'est maintenant que les mouvements communautaires, les analystes de l'urbain, et les nouveaux groupes politiques ont besoin de travailler ensemble afin développer un nouveau contexte pour le gouvernement municipal, à l'intérieur d'un programme socio-économique plus large. Dans n'importe quel système futur, les groupes des Barrios continueront de jouer un rǒle essentiel. Un mouvement vers une réforme municipale accompagnera vraisemblablement un changement social plus grand, surtout celui de la lutte pour l'autonomie Catalane.  相似文献   

4.
Cette analyse de l'urbanisation d'aprés-guerre en Afrique Occidentale est proposée comme un jalon pour l'économie politique de l'urbanisation dans le Tiers Monde. L'Afrique Occidentale est une des régions les moins urbanisées du monde qui cependant a récemment connu une urbanisation plus rapide que toute autre. Cette explosion urbaine est associée avec des inégalités sévères à trois niveaux:
  • 1 un déséquilibre profond dans les conditions de travail et de vie entre le secteur urbain et le secteur rural
  • 2 une forte concentration des ressources dans les capitales
  • 3 une énorme disparité économique à l'intérieur des villes entre les masses et une petit élite
Si l'urbanisation en Afrique Occidentale est caractérisée par ces inégalités, il apparait qu'elle entraîne aussi des pertes économiques. Deux approches suggèrent que l'allocation des ressources est loin d'ětre optimale pour la croissance économique. D'une part des ressources sont gaspillées dans le chǒmage et le sous-emploi urbain, dans la croissance des grands centres métropolitains, et dans la construction des ‘quartiers spontanés’. D'autre part la présupposition que la forme prise par l'urbanisation est le résultat d'une allocation optimale des ressources est mise en doute quand les facteurs qui affectent les paramètres économiques ou qui interferent directement avec les décisions d'investissement sont soumis à l'examen, et quand l'attention est dirigée sur le processus politique qui s'avère constamment dominé par les intérěts et les préoccupations d'un petit groupe de dirigeants.  相似文献   

5.
Research on ethnic residential patterns is overwhelmingly empiricist in focus. The discursive context surrounding the socio‐spatial phenomenon needs to be acknowledged since it can have concrete impacts on the practice of urban social planning as well as the spatial behaviour of individuals and groups. Using Henri Lefebvre's insights into the production of social space, this article looks at how a dominant representation of space is constructed, with its implications for ‘lived’ spaces and the spatial practices which circumscribe them. The case of Singapore is examined, where the government has appropriated the discourse surrounding ‘ethnic regrouping’ in an attempt to legitimize the unpopular policy of ethnic quotas in public housing. Alleging that ‘ethnic regrouping’ had been taking place during the 1980s, this was portrayed as undesirable and contrary to the ideal of integration. The imposition of ethnic quotas was thus justified as necessary and appropriate. Systematic analysis using the index of dissimilarity, however, problematizes this representation of space. The rhetoric surrounding ethnic regrouping is revealed to be a means of social discipline whereby the government imposes a particular representation of space and seeks to manipulate the social landscape via technocratic means. Les recherches sur les modèles résidentiels ethniques débordent d'empirisme. Or, le contexte discursif du phénomène socio‐spatial doit être reconnu puisque celui‐ci peut avoir des incidences tangibles sur l'exercice de l'urbanisme social, ainsi que sur le comportement des individus et groupes dans l'espace. A partir des idées d'Henri Lefebvre sur la production de l'espace social, l'article analyse comment s'élabore une représentation dominante de l'espace, avec ses implications sur les espaces ‘vécus'et les pratiques spatiales qui les délimitent. Dans le cas de Singapour, le gouvernement s'est approprié le discours autour du ‘regroupement ethnique’ dans le but de légitimer la politique impopulaire des quotas ethniques dans les logements publics. Sous le prétexte que le ‘regroupement ethnique’ s'était déroulé dans les années 1980, il a été présenté comme indésirable et contraire à l'idéal d'intégration. Les quotas ethniques ont donc été justifiés comme nécessaires et pertinents. Cependant, une analyse systématique utilisant l'indice de dissemblance remet en cause cette représentation de l'espace. La rhétorique entourant le regroupement ethnique apparaît comme un outil de discipline sociale grâce auquel le gouvernement impose une représentation particulière de l'espace, cherchant à manipuler le paysage social par des moyens technocratiques.  相似文献   

6.
A quoi peut-on attribuer la crise fiscale qui engouffre une grande partie du c?ur urbain américain? Est-ce que cette crise et l'intensification de la lutte politique présagent des changements fondamentaux dans la structure de l'économie politique des Etats-Unis? Cet essai est une réponse tentative à ces questions. L'exposition de la crise fiscale urbaine aux Etats-Unis demande une analyse générale de la relation entre accumulation du capital, urbanisation, et expansion de l'état. Cette analyse doit ětre le fondement d'une exploration des origines particulières du financement urbain qui confronte beaucoup de villes centrales, ainsi que de la relation entre crise fiscale et lutte politique. Il est suggéré en dernière partie que la menace posée par la crise fiscale urbaine et la lutte politique envers la stabilité et la légitimité des institutions capitalistes américaines est la cause d'une réponse parmi les sections les plus éclairées de la classe capitaliste, qui tend vers un accroissement de leurs efforts à developper la Cité Capitaliste d'état en tant que noyau d'un complex socio-industriel grandissant.  相似文献   

7.
La nature spécifique des luttes de classes dans les villes américaines avant les années 1870 a reçu, curieusement, peu d'attention de la part des historiens. Cet article examine l'évolution de la lutte de classes dans les villes du nord-est entre 1760 et 1820. Il est soutenu que pendant cette période le travail est devenu marchandise, ou force de travail, et que la distinction entre travail et force de travail est créé par la mobilité, fondement sur lequel l'accumulation du capital devient possible. ‘L'accumulation primitive’ est précédée par la ‘mobilité primitive’ dont il y a évidence aussi tôt que les années 1760 dans l'agriculture commerciale des régions du nord-est. Si la structure du travail temporaire urbain demeure en grande partie inchangée pendant cette periode, celle du travail artisanal devient sujette aux contraintes de la ‘force du travail’ au début du dix-neuvièrne siècle. Si le contrôle du pouvoir politique est à la base de la lutte de classes urbaine à la fin du dix-huitième siècle, vers les années 1820 il devient plutôt contrôle du pouvoir économique. Les réformes proposées dans les années qui suivent, ont comme objet la modification du comportement économique de la classe ouvrière ou des ‘pauvres’, qui étaient en effet en grande partie des Américains d'origine et non des immigrants. Ces réformes ont une portée spéciale dans les grandes villes où la réorganisation du travail par le capital fait face à des réactions violentes basées sur des idées communautaires plus anciennes. Ces réformes étaient essentielles à la réorganisation rationale de l'espace urbain social, et en tant que tel, représentent le commencement de la ‘modernisation’ des conflits de classes.  相似文献   

8.
Whilst real estate capital became a driving force in analyses of urban development, urban land rent theory has made only very limited progress during the past decade. There are a number of reasons for this – such as a weak conceptualization of the role of political agency, for example. Hence, a way out of this relative stagnation, by attempting to systematically develop an integrated view on structure and agency in the context of urban land rent, is offered in this article. Advances in critical theory, thinking about space and dialectic reasoning contribute to the development of a new perspective on land rent. Land rent is conceptualized as a middle‐range theory. In order to bring together concrete urban phenomena with the general process of political‐economic development, a systematic link between land rent theory and the theoretical apparatus of the French Regulation School is developed. The reformulation of land rent theory from a regulationist perspective underlines the importance of the institutional context (and its changes) for an understanding of rent and its role in the urban context. In so doing, land rent theory proves to be a very useful tool for providing an integrated political‐economic perspective for analyses of urban phenomena. This is illustrated briefly in the cases of Vienna and Montevideo. Si le capital immobilier est devenu un point central des analyses du développement urbain, la théorie n'a guère progressé au cours de la dernière décennie. Plusieurs facteurs sont en cause, telle la faible conceptualisation du rôle politique d'agence. Cet article propose donc une porte de sortie à cette relative stagnation, en tentant de construire systématiquement une vision intégrée de la structure et l'agence dans le cadre de la rente urbaine. Les progrès en matière de théorie critique, réflexion en termes d'espace et raisonnement dialectique facilitent l'élaboration d'une nouvelle perspective sur la location foncière, laquelle est conceptualisée en tant que théorie intermédiaire. Afin de regrouper phénomènes urbains concrets et processus général d'aménagement politico‐économique, une relation systématique est établie entre la théorie sur la rente foncière et l'appareil théorique de l'École Française de Régulation. Reformuler la théorie sur la rente foncière d'un point de vue régulationiste souligne combien le contexte institutionnel (et ses changements) est important pour comprendre la rente et son rôle dans le cadre urbain. Ce faisant, la théorie sur la rente foncière se révèle un outil très utile pour créer une perspective politico‐économique intégrée permettant d'analyser les phénomènes urbains. Cet aspect est brièvement illustré dans les cas de Vienne et Montevideo.  相似文献   

9.
La nouvelle sociologie urbaine, et sa contrepartie, l'%eAconomie politique du bien-être social ont attiré l'attention sur la consommation collective et/ou la reproduction. Néanmoins, en dépit des intéressantes analyses théoriques et empiriques que ces développements ont engendrées, ces deux éléments ont négligé le 'sens premier' de la reproduction. Ce récit d'un mouvement féministe contemporain que conteste la violence mâle en ce qu'elle est l'expression sauvage d'une forme de sexisme institutionnalisé, essaie de rétablir l'équilibre. Women's Aid (l'Aide aux Femmes), en tant que mouvement urbain qui a transcendé l'urbain, voire même la problématique des classes, est le plus puissant — et peut-être le dernier — dans le présent immédiat, de toute une série de mouvements sociaux qui, au cours de la dernière décennie, ont contesté l'état providence britannique. Les difficultés recontrées par le mouvement dans sa tentative pour se frayer un chemin entre la cooptation, la confrontation et le conflit réglementé par l'état, y sont discutées. Néanmoins, malgré les contradictions qui se sont à la fois développées autour de ce mouvement (Women's Aid) et ont bien failli l'engloutir, le mouvement s'exerce, de façon hésitante et inégale, à de nouveaux rapports sociaux non-sexistes. A présent, ce mouvement est rendu théoriquement invisible par les analyses du courant principal sur la reproduction, même lorsque les nouveaux analystes le soutiennent, à un niveau personnel et pratique. La conclusion de l'article suggère que le soutien pratique et la négligence théorique pourraient servir è exacerber les tendances réformistes du mouvement.  相似文献   

10.
Cities throughout the world – particularly global cities – are becoming increasingly heterogeneous as a result of international migration movements. During the past three decades, the influx of immigrants into metropolitan areas like New York, Los Angeles and San Francisco has increased demand for housing, exacerbating the already tight housing markets in these cities. This article focuses on the spatial distribution and housing conditions of immigrants in San Francisco using primarily the 2000 US census data on population and housing down to the census tract level. Building on past research on ethnic enclaves and communities, this article applies spatial analysis methods to identify clusters where Chinese, Filipino and Mexican households – the largest foreign‐born groups in San Francisco – live. The article argues that different immigrant groups show distinct spatial clustering patterns and that there are significant variations in housing outcomes for immigrants within and outside of ethnic clusters. These differences are largely in the direction predicted by the spatial assimilation theory. However, findings such as the high incidence of homeownership within Chinese and Filipino clusters suggest that contemporary immigrants do not necessarily view ethnic clusters as transitory. These findings help to confirm other recent studies showing that immigrants are now spatially clustered in ways that may no longer fit theoretical models derived from the settlement patterns of late nineteenth‐century immigrants. The article contributes to literature concerned with ethnic clusters in US inner cities and the housing conditions of immigrants in global cities. A travers le monde, les villes, surtout les villes planétaires, sont de plus en plus hétérogènes à cause des mouvements migratoires internationaux. Au cours des trois dernières décennies, l'afflux de migrants vers les zones métropolitaines comme New York, Los Angeles et San Francisco a accru la demande de logements, resserrant les marchés déjàétroits dans ces grandes villes. L'article s'attache à la répartition spatiale et aux conditions de logement des immigrants à San Francisco à partir, essentiellement, de données provenant du recensement américain 2000 sur la population et l'habitat par régions sociales. S'inspirant de recherches antérieures sur les communautés et enclaves ethniques, l'étude applique les méthodes d'analyse spatiale pour identifier les regroupements de foyers chinois, philippins et mexicains (groupes d'étrangers les plus nombreux à San Francisco). Les différents groupes d'immigrants présentent des modèles d'agrégation spatiale distincts et leur logement varie considérablement selon que les populations se trouvent dans ou hors des regroupements ethniques. Ces divergences traduisent largement l'orientation prévue par la théorie de l'assimilation spatiale. Toutefois, des résultats tels que le poids de l'accession à la propriété dans les groupes chinois et philippins suggèrent que les immigrants actuels ne jugent pas forcément ces regroupements ethniques comme transitoires. Ainsi sont corroborées d'autres études récentes montrant que les immigrants sont désormais regroupés dans l'espace selon des modèles qui ne correspondent plus aux types théoriques dérivés des schémas d'implantation de la fin du dix‐neuvièmesiècle. L'article contribue au débat sur les regroupements ethniques dans les quartiers déshérités américains et sur les conditions de logement des immigrants dans les villes planétaires.  相似文献   

11.
L'intention de cet essai est de provoquer une discussion sur une perspective comparative de l'éeconomie politique. Un compte rendu est fait des contributions récentes de Poulantzas et de Runciman sur les systèmes de pouvoir et de conflit dans l'état-nation contemporain. Une attention particulière est donnée à la typologie de Runciman de six sociétés idéales types. A titre de contraste, la théorie marxiste de l'état est perçue comme étant circulaire et ne pouvant pas confronter d'une manière satisfaisante les problèmes posés par les sociétés de l'Europe de i'Est, et aussi par la gamme de variations à l'intérieur du monde capitaliste. Dans la sphère du développement urbain et régional, la variation de buts et de résultats est en partie déterminée par les relations entre états. Les contraintes imposées par le marché mondial, par la disposition et la circulation inégales de materiaux et de denrées, sont structurées plus par la détermination des états à accroǐtre la production matérielle que par le mode de production dominant dans une formation sociale donnée. Cet acharnement à accroǐtre la production matérielle n'est visiblement pas moins fort dans les sociétés de type ‘socialiste’ ou ‘révolutionnaire’. La théorie marxiste semble accepter l'expansion inévitable de la production matérielle sans se soucier des limites écologiques. De la méme façon qu'il y a un besoin net pour une typologie du pouvoir et des formes de contrǒle social, il y a aussi besoin d'une analyse urbaine et régionale détaillée dans les formations sociales particulières qui pourrait égaler présuppositions théoriques avec résultats empiriques. Les questions pratiques en ce qui concerne qui reçoit quoi, qui détermine qui reçoit quoi, qu'est-ce qui détermine qui reçoit quoi, ne sont pas en mesure d'ětre repondues d'une façon monocausale.  相似文献   

12.
Le but de cette étude ect d'éclairer sous un autre jour la position des femmes en sociologie urbaine. Cette discussion va illustrer les directions dont on a tiré les analyses précédentes et l'effet qui s'ensuit sur la sociologie urbaine vis-à-vis des femmes. Tout d'abord, la présentation s'attache principalement à l'articulation de la politique des femmes au sein de l'expérience urbaine. Un exemple de ce développemcnt est l'émergence du mouvement de libération de la femme. On soutient que ce domaine constitue un sujet d'enquête valable en sociologie urbaine. De ce fait, des phénomènes liés à sa progression en tant que force sociale seront discutés. Finalement, l'étude d'un cas, (le ghetto lesbien) dans un contexte urbain précis, sera inclus.  相似文献   

13.
This article explores the importance of image to the Atlanta Olympic Games of 1996. It suggests that the event must be seen as an example of the use of the propagation of selected images designed to boost the standing of the city in an increasingly competitive interurban environment. The intersection of major sporting spectacles, big business and vastly increased television coverage provides an important new medium through which boosterists can put their city on the world map. However, as the Atlanta case reveals, the ‘semiotics of the successful city‘ involves a highly ideological construction which often presents urban areas as conflict‐free zones. In Atlanta, potentially negative images were removed both physically and symbolically from the urban landscape, while the actual experience of the Games suggested that the city had some way to go in material terms to match its often hyperbolic self‐promotion. The article suggests that the staging of events such as the Olympics is a necessarily high‐risk venture for cities, one that, as in the case of Atlanta, may not have been ultimately worth the effort. Cet article examine l'importance de l'image dans le cadre des Jeux Olympiques d'Atlanta de 1996. Il propose de considérer l'événement comme un exemple de la diffusion d'images sélectionnées, conçues et utilisées afin de promouvoir la réputation de la ville dans un contexte interurbain de plus en plus concurrentiel. L'intersection entre des spectacles sportifs exceptionnels, de grandes entreprises et une couverture télévisuelle considérablement étendue constitue un moyen novateur grâce auquel les promoteurs de cette dynamique peuvent positionner leur ville sur la carte du monde. Cependant, comme le montre le cas d'Atlanta, la ‘sémiotique d'une ville gagnante’ implique une construction idéologique très forte qui présente souvent les zones urbaines comme des espaces non conflictuels. À Atlanta, les images à potentiel négatif ont étééliminées à la fois physiquement et symboliquement du paysage urbain, tandis que les Jeux eux‐mêmes laissaient à penser que la ville devait progresser sur le plan matériel si elle voulait correspondre à son auto‐promotion souvent hyperbolique. L'article suggère que la mise en scène d'événements tels que les Jeux Olympiques est une opération nécessairement très risquée pour des villes, opération qui, à l'instar de l'expérience d'Atlanta, peut finalement ne pas justifier les efforts réalisés.  相似文献   

14.
Domestic property and social class   总被引:1,自引:0,他引:1  
Cet exposé traite de l'importance des conséquences des différents modes d'occupation de logement, en ce qui concerne les rapports de classes. L'accent est mis précisément sur la Grande Bretagne où, environ 40% des ouvriers manuels possèdent maintenant leur propre maison, et où l'extension de l'occupation de l'habitation par le propriétaire a nettement contribué à accroitre les dividions sociales et politiques, au sein de la classe ouvrière. La question qui se pose, est de savoir si de telles divisions ont une base matérielle réelle, ou si elles sont principalement idéologiques. On voit que la réponse à cette question aura d'importantes conséquences pour l'organisation de luttes politiques autour de la question du logement. L'exposé débute par une discussion des perspectives wéberiennes et marxistes en matière d'occupation de logement et de rapports de classes. La perspective wébérienne, liée aux travaux de Rex et de Moore sur 'le logement par classes', est rejetée, quoique la possibilité de reformuler le concept du logement par classes, au sein d'une orientation wébérienne, soit mise en évidence. Le point de vue marxiste, qui rejette la possession du logement comme étant étrangère à l'identification des intérêts de classe, est également rejeté, sous prétexte que l'occupation de l'habitation par le propriétaire est un facteur crucial d'une augmentation réelles des richesses individuelles qui peuvent largement dépasser les économics que l'on peut faire sur les salaires de toute une vie. L 'exposé montre ensuite, comment la possession de sa maison va dans le sens d'une accumulation des richesses, et comment ceci crée une réelle division d'intérèt économique entre les propriétaires en jouissance et les locataires, fait qui se manifeste souvent dans les luttes politiques locales. La conclusion qui se dégage de ceci est que, les efforts des activistes locaux pour unifier les deux groupes en une alliance politique contre le capital monopole, peut sàvérer à la fois peu judicieux et nuisible à la productivité.  相似文献   

15.
The urban process under capitalism: a framework for analysis   总被引:3,自引:0,他引:3  
L'objectif de cet article est d'esquisser une problématique générale pour l'interprétation du processus urbain capitaliste. A cette fin, deux thèmes apparentés, l'accumulation et la lutte de classes, sont examinés. Un examen de la théorie marxiste de l'accumulation mène à une compréhension théorique du rôle de l'investissement dans le cadre bàti en relation avec l'ensemble de la structure et des contradictions du processus d'accumulation. Plus précisément, l'investissement dans le cadre bâti est perçu en relation avec les différentes formes de crise qui peuvent surgir sous le capitalisme. Une séléction d'exemples empiriques est présentée et discutée afin d'illustrer comment le support théorique est relié à l'évidence historique. Ceçi permet de mettre à l'intérieur d'une perspective théorique cohérente les ‘long cycles’ d'investissement observés, ainsi que les changements geógraphique des fluxes d'investissements. Ensuite la manière dont le cadre bâti lui-même exprime et contribu aux crises capitalistes est examinée. Il est demontré que sous le capitalisme il existe une lutte perpetuelle selon laquelle le capital essaye de construire un environnement propre à son image seulement pour le détruire avec la réapparition d'une nouvelle crise. L'analyse considère alors comment la lutte de classes—c'est à dire la réaction organisée de la force du travail aux déprédations du capital—influence la direction et la forme de l'investissement dans le cadre bâti. D'un intérêt particulier est la manière dont la lutte de classes au lieu du travail se trouve déplacée à travers le processus urbain vers des luttes centrées autour de la reproduction de la force du travail au foyer. Quelques exemples de ces luttes sont présentés afin d'illustrer comment elles se rattachent à la lutte fondamentale au point de production en même temps qu'elles influencent la direction et la forme de l'investissement dans le cadre bâti.  相似文献   

16.
La crise urbaine en Espagne et la crise politique de la Dictature franquiste ont suscité dans la plupart des villes espagnoles, entre 1971 et 1977 des associations de quartier qui groupent des centaines de milliers de citoyens et qui représentent l'un des mouvements sociaux urbains les plus importants dont on a connaissance à l'heure actuelle. Sur la base d'une enquête sociologique effectuée en 1977 dans les quartiers de Madrid, cet article tente de dégager les composantes essentielles du mouvement, d'établir une typologie des situations urbaines où il surgit et d'esquisser des hypothèses sur les rapports entre mouvements urbains et action politique.  相似文献   

17.
In metropolitan Detroit, scholars have long observed that geographic space is racialized in the sense that black Americans are not welcome in many suburban communities. This extends beyond housing segregation: black drivers are not wanted on many suburban streets. While the existence of racial animosity has been documented, the enforcement mechanisms utilized to ‘protect’ certain geographic areas from black presence have rarely been quantified and dissected. This study examines police behavior toward black motorists who were arrested during routine traffic stops in the Detroit suburb of Eastpointe. Comparison of search, arrest, and handcuff patterns of white and black motorists indicates that police bias harms blacks. Rather than simply being anti‐black, patterns of police behavior in Eastpointe enforce racialized space, signaling where black presence is tolerated and where it is discouraged. Depuis longtemps, les intellectuels observent la racialisation de l’espace géographique, au sens que les Américains noirs ne sont pas les bienvenus dans de nombreuses communautés de banlieue de la métropole de Détroit. La tendance dépasse la ségrégation des logements: les automobilistes noirs sont indésirables dans bien des rues de banlieue. Si l’existence d’une animosité raciale a été documentée, les mécanismes coercitifs utilisés pour ‘protéger’ certaines zones géographiques d’une présence noire ont rarement été quantifiés ou disséqués. Cette étude examine l’attitude policière vis‐à‐vis des conducteurs noirs arrêtés au cours de contrôles de routine dans la banlieue de Eastpointe, à Détroit. Une comparaison des types de fouilles, arrestations et menottages d’automobilistes blancs et noirs révèle un préjugé de la police au détriment des noirs. Au lieu d’être simplement anti‐noirs, les types de comportement policier à Eastpointe impose un espace racialisé, indiquant là où la présence noire est tolérée et là où elle est dissuadée.  相似文献   

18.
The development of low‐income housing continues to be a political imperative and an urban reconstruction priority for the post‐apartheid South African state. But, even though policies for housing construction and delivery by the state are in place, in practice many homeless families initiate, direct and drive the process through which they secure state‐provided housing. I analyse in this study two such cases where homeless residents in peripherally located, poor areas of the Cape Metropolitan Area successfully accessed state‐provided housing. In both instances, homeless families organized around the different sets of capacities that structured the nature of the linkages that each forged to resources outside of their respective areas, and thus the ways in which they pursued their need for housing. I argue in this study that uneven and place‐specific, community‐based capacity often directs the manner in which communities interpret, interface with and access state‐run urban reconstruction projects such as housing provision. An analysis of community‐based capacity thus proves useful to investigate the potential and the problems that underlie state initiatives for development and the manner in which communities participate and engage with urban reconstruction and development. L'expansion du logement social reste un impératif politique et une priorité de la reconstruction urbaine pour l'État sud‐africain de l'après‐apartheid. Des politiques de construction et de fourniture de logements par l'État ont été mises en place mais, en pratique, de nombreuses familles sans‐domicile induisent, orientent et mènent le processus par lequel elles s'assurent un logement public. Cette étude analyse deux de ces cas dans lesquels des sans‐domicile vivant dans des quartiers pauvres à la périphérie de la zone métropolitaine du Cap ont réussi à se loger. Dans les deux situations, les familles se sont organisées autour des capacités spécifiques qui structuraient la nature des liens établis pour trouver des ressources hors de leurs quartiers respectifs, définissant ainsi leurs modalités d'action pour obtenir un logement. L'étude démontre qu'une capacité inégale, particulière à un lieu et à un groupe, oriente souvent la manière dont les communautés interprètent, interagissent avec et accèdent aux projets de reconstruction urbaine menés par l'État tels que la fourniture de logement. Il apparaît donc utile d'analyser la capacité propre à une communauté, si l'on veut déterminer non seulement le potentiel et les problèmes fondamentaux des initiatives gouvernementales de développement, mais aussi la manière dont les communautés participent et contribuent à la reconstruction et à l'aménagement urbains.  相似文献   

19.
The last two decades have witnessed an explosion of empirical research on the role of space in group life at the same time scholars have lamented the under‐theorization of space in sociology. In particular, mainstream poverty researchers have conceptualized space as a neutral backdrop against which action unfolds and viewed poor people's agency as passive and unreflexive. This article attempts to move beyond this space‐as‐container ontology and provide a more coherent view of how theorizing space and spatial issues can help us understand the actions of the urban poor. At the core of the paper is an attempt to theorize agency as a spatial phenomenon — with spatial attributes and spatial influences — and offer empirical insight into how different spatial meanings can enable or constrain particular forms of social action and behavior. My intent is to contribute to an understanding of the urban poor as spatial actors. I argue that the importance of space lies in understanding it as an object of political struggle, a constitutive component of human agency, and a facilitator as well as constraint upon action. Les deux dernières décennies ont connu une explosion des recherches empiriques sur le rôle de l'espace dans la vie de groupe, tandis que les intellectuels déploraient le manque de théorisation de l'espace en sociologie. En particulier dans le courant dominant de la recherche sur la pauvreté, l'espace a été conceptualisé comme un décor neutre devant lequel se déroule l'action, et la capacité d'action des pauvres était considérée comme passive et irréfléchie. Cet article tente de dépasser cette ontologie de l'espace‐contenant et de fournir une vision plus cohérente de la façon dont on peut théoriser l'espace et dont les aspects spatiaux peuvent aider à comprendre les actions des populations urbaines pauvres. L'essence de ce travail vise à théoriser l'agence en tant que phénomène spatial — avec des influences et attributs spatiaux — et à proposer un aperçu empirique de la manière dont différentes significations spatiales peuvent susciter ou limiter des formes spécifiques d'action et de comportement sociaux. Le propos est de contribuer à une reconnaissance des pauvres des villes en tant qu'acteurs spatiaux. Donner son importance à l'espace, c'est le concevoir comme thème de lutte politique, élément constitutif de l'agence humaine, ainsi qu'aide et entrave à toute action.  相似文献   

20.
Les transports en commun deviennent rapidement un exemple critique de la crise générale des politiques de l'état dans la production et la distribution des équipements collectifs. La destruction antérieure des transports en commun aux Etats Unis par les intérêts de l'automobile, ainsi que les contraintes de l'énérgic, de l'utilisation du sol, et du chômage, produisent une situation selon laquelle diverses fractions du capital se regroupent dans une coalition afin de déterminer une politique future des transports. Une telle politique doit tant bien que mal satisfaire les besoins souvent contradictoires du transport, le résultat d'un développement urbain structuré autour de la dominance de l'automobile. Ces besoins sont soulignés ici-bas. Cet article présente les diverses options considérées actuellement ainsi que les contradictions survenant de chaque direction proposée. Les divisions à l'intérieur de la classe capitaliste sur ces options sont aussi présentés. Finalement, une brève considération est donnée aux mouvements sociaux urbains passés et présents organisés autour des questions de transport, ainsi que les problèmes auxquels ces mouvements doivent faire face dans les luttes futures autour de cet enjeu critique.  相似文献   

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