首页 | 本学科首页   官方微博 | 高级检索  
相似文献
 共查询到20条相似文献,搜索用时 46 毫秒
1.
La rente différentielle, dans la théorie marxiste de la rente fonciére capitaliste, est souvent considérée comme l'appropriation, par les propriétaires, des surprofits résultant de la production sur les terres les plus fertiles, surprofits différentiels dont l'existence serait indépendante de la nécessité du paiement de rente. Dans cette perspective, la rente différentielle n'influe pas sur le procès d'accumulation du capital, ni sur la valeur d'échange des marchandises. La thèse développée ici est que l'analyse de la rente différentielle (type II) dans Le Capital montre que l'existence de cette rente conduit à des effets opposés, et que la conclusion selon laquelle la rente différentielle n'est qu'une redistribution de surprofit préexistant ne peut découler que d'une problématique ricardienne ou marginaliste. Après avoir explicité les différences entre les théories de la rente différentielle de Marx et de Ricardo, il est montré que la théorie marxiste de la valeur constitue un élément décisif de la constitution de ces différences. De plus, il résulte du rapport entre la théorie marxiste de la valeur et celle de la rente différentielle que les effets de cette catégorie de rente sont distincts selon qu'il s'agit de l'agriculture ou de l'industrie. Et ceci permet, entre autre, de théoriser l'impact des localisations sur le procès de production et sur la valeur des marchandises. Ce qui mène, au bout du compte, à s'interroger sur la pertinence des catégories marxistes de rente, rente différentielle comprise, pour l'analyse des mécanismes créateurs de rente dans les zones urbaines.  相似文献   

2.
Partant du présent système de propriété foncière du capital en Grande Bretagne, ce texte vise à établir diverses propositions pour l'analyse des rapports sociaux caractérisant la propriété foncière du capital, et des effets de ces rapports dans une formation sociale dominée par le capital. Dans une réflexion théorique liminaire sur la rente. est avancée l'idée que des formes particulières—telles que la rente différentielle—ne peuvent ëtre analysees comme des categories economiques independantes des rapports spécifiques de propriété du sol où elles sont fondées; c'est au contraire, la nature de ces rapports qui détermine la forme précise ou catégorie de rente appropriée. Sont alors considérés, en fonction de ces remarques, la nature et les effets des rapports de propriété foncière, et de l'appropriation de rente comme fraction spécifique de la plus-value. Il est souligné que cette appropriation concerne, y compris dans le cas de la rente différentielle, au delà des seuls problèmes de distribution, la structure měme de l'accumulation. Et ceci, à notre sens, ne peut ětre évité à l'intérieur du mode de production capitaliste. Ces remarques théoriques organisent la présentation résumée des résultats d'une recherche empirique sur les formes actuelles de propriété foncière du capital en Grande Bretagne. Trois formes sont mises en évidence, qui résultent des différences dans les rapports de propriété en cause, reflet des relations entre cette propriété foncière et la formation sociale dans son ensemble. Les résultats empiriques permettent de montrer que les modifications historiques dans l'équilibre entre ces formes résultent de la position contradictoire de la propriété foncière dans la formation sociale. Enfin, sont avancées quelques remarques sur la législation britannique recente, et sur les implications générales de la nationalisation du sol. La thése proposée est que la propriété d'état ne résoudra pas les contradictions de la propriété foncière, mais changera leur forme, modifiant ainsi les conditions de la lutte des classes.  相似文献   

3.
The urban process under capitalism: a framework for analysis   总被引:3,自引:0,他引:3  
L'objectif de cet article est d'esquisser une problématique générale pour l'interprétation du processus urbain capitaliste. A cette fin, deux thèmes apparentés, l'accumulation et la lutte de classes, sont examinés. Un examen de la théorie marxiste de l'accumulation mène à une compréhension théorique du rôle de l'investissement dans le cadre bàti en relation avec l'ensemble de la structure et des contradictions du processus d'accumulation. Plus précisément, l'investissement dans le cadre bâti est perçu en relation avec les différentes formes de crise qui peuvent surgir sous le capitalisme. Une séléction d'exemples empiriques est présentée et discutée afin d'illustrer comment le support théorique est relié à l'évidence historique. Ceçi permet de mettre à l'intérieur d'une perspective théorique cohérente les ‘long cycles’ d'investissement observés, ainsi que les changements geógraphique des fluxes d'investissements. Ensuite la manière dont le cadre bâti lui-même exprime et contribu aux crises capitalistes est examinée. Il est demontré que sous le capitalisme il existe une lutte perpetuelle selon laquelle le capital essaye de construire un environnement propre à son image seulement pour le détruire avec la réapparition d'une nouvelle crise. L'analyse considère alors comment la lutte de classes—c'est à dire la réaction organisée de la force du travail aux déprédations du capital—influence la direction et la forme de l'investissement dans le cadre bâti. D'un intérêt particulier est la manière dont la lutte de classes au lieu du travail se trouve déplacée à travers le processus urbain vers des luttes centrées autour de la reproduction de la force du travail au foyer. Quelques exemples de ces luttes sont présentés afin d'illustrer comment elles se rattachent à la lutte fondamentale au point de production en même temps qu'elles influencent la direction et la forme de l'investissement dans le cadre bâti.  相似文献   

4.
L'intention de cet essai est de provoquer une discussion sur une perspective comparative de l'éeconomie politique. Un compte rendu est fait des contributions récentes de Poulantzas et de Runciman sur les systèmes de pouvoir et de conflit dans l'état-nation contemporain. Une attention particulière est donnée à la typologie de Runciman de six sociétés idéales types. A titre de contraste, la théorie marxiste de l'état est perçue comme étant circulaire et ne pouvant pas confronter d'une manière satisfaisante les problèmes posés par les sociétés de l'Europe de i'Est, et aussi par la gamme de variations à l'intérieur du monde capitaliste. Dans la sphère du développement urbain et régional, la variation de buts et de résultats est en partie déterminée par les relations entre états. Les contraintes imposées par le marché mondial, par la disposition et la circulation inégales de materiaux et de denrées, sont structurées plus par la détermination des états à accroǐtre la production matérielle que par le mode de production dominant dans une formation sociale donnée. Cet acharnement à accroǐtre la production matérielle n'est visiblement pas moins fort dans les sociétés de type ‘socialiste’ ou ‘révolutionnaire’. La théorie marxiste semble accepter l'expansion inévitable de la production matérielle sans se soucier des limites écologiques. De la méme façon qu'il y a un besoin net pour une typologie du pouvoir et des formes de contrǒle social, il y a aussi besoin d'une analyse urbaine et régionale détaillée dans les formations sociales particulières qui pourrait égaler présuppositions théoriques avec résultats empiriques. Les questions pratiques en ce qui concerne qui reçoit quoi, qui détermine qui reçoit quoi, qu'est-ce qui détermine qui reçoit quoi, ne sont pas en mesure d'ětre repondues d'une façon monocausale.  相似文献   

5.
Les travaux théoriques récents en urbanisation ont tendance à supposer que les conditions historiques du capitalisme avancé sont universelles. Un objectif de cet article est d'aller à l'encontre de cette idée préconçue en démontrant la spécificité historique du capitalisme dans les sociétés sous-développées. Cette explication préliminaire est structurée autour de quatre éléments fondamentaux: i) la conquête et l'intégration dans une économic capitaliste mondiale; ii) l'impossibilité d'une accumulation industrielle autochtone; iii) un développement capitaliste sans transformation capitaliste; iv) l'impossibilité d'un développement socialiste sans un désengagement structurel de l'économie capitaliste mondiale. Il est proposé dans le contexte d'un capitalisme sous-développé, que ces quatre éléments fournissent une base nécéssaire et fondamentale pur toutes analyses futures de la problématique urbaine et régionale. Dans la seconde partie de cet article une évaluation critique est faite des diverses interprétations du processus d'urbanisation. Les travaux sur l'Amérique Latine qui relient la théorie de dépendance aux thèmes urbains ont droit à une attention particulière, et il est proposé qu'un problème majeur existe dans le peu d'attention donné à l'impérialisme et à la périodisation de l'accumulation du capital dans les sociétés capitalistes sous-développées. En dernier, quelques suggestions sont faites pour l'analyse de l'urbanisation péruvienne d'après-guerre. L'accent est porté sur la formulation d'une méthode théorique qui puisse intégrer la concentration spatiale accélérée du capital et de la main-d'?uvre à l'intérieure d'un processus généralisé de pénétration impérialiste et de développement capitaliste combiné et inégal.  相似文献   

6.
Cet essai propose un contraste et une comparaison entre perspectives marxistes et wébèriennes sur la nature de l'état contemporain, comme elles sont présentées dans les contributions de Jean Lojkine et de R. E. Pahl à l'occasion de ce colloque. En premier, la critique de la perspective marxiste faite par R. E. Pahl est considérée inadéquate; largement parce qu'il néglige de présenter d'une façon rigoureuse la méthode d'analyse et la complexité des concepts fondamentaux. Ensuite, une analyse est faite de deux questions opposés entre ces conceptions divergeantes: (I) sur la conceptualisation du pouvoir; (2) sur la perception des relations de classe. Il est suggéré vers la fin que l'état-nation, en tant qu'unité d'analyse et de stratification sociale, n'est vraisemblablement pas l'approche la plus utile pour la considération de questions urbaines et régionales. Ce qu'il serait nécèssaire, plutǒt, est une théorie de l'accumulation mondiale du capital, qui est la plus visible dans les relations entre corporations multinationales et le rǒde expansioniste de l'état, de façon à générer des contradictions menant à une transformation non seulement dans des formations sociales particulières, mais aussi dans le système capitaliste tout entier.  相似文献   

7.
Domestic property and social class   总被引:1,自引:0,他引:1  
Cet exposé traite de l'importance des conséquences des différents modes d'occupation de logement, en ce qui concerne les rapports de classes. L'accent est mis précisément sur la Grande Bretagne où, environ 40% des ouvriers manuels possèdent maintenant leur propre maison, et où l'extension de l'occupation de l'habitation par le propriétaire a nettement contribué à accroitre les dividions sociales et politiques, au sein de la classe ouvrière. La question qui se pose, est de savoir si de telles divisions ont une base matérielle réelle, ou si elles sont principalement idéologiques. On voit que la réponse à cette question aura d'importantes conséquences pour l'organisation de luttes politiques autour de la question du logement. L'exposé débute par une discussion des perspectives wéberiennes et marxistes en matière d'occupation de logement et de rapports de classes. La perspective wébérienne, liée aux travaux de Rex et de Moore sur 'le logement par classes', est rejetée, quoique la possibilité de reformuler le concept du logement par classes, au sein d'une orientation wébérienne, soit mise en évidence. Le point de vue marxiste, qui rejette la possession du logement comme étant étrangère à l'identification des intérêts de classe, est également rejeté, sous prétexte que l'occupation de l'habitation par le propriétaire est un facteur crucial d'une augmentation réelles des richesses individuelles qui peuvent largement dépasser les économics que l'on peut faire sur les salaires de toute une vie. L 'exposé montre ensuite, comment la possession de sa maison va dans le sens d'une accumulation des richesses, et comment ceci crée une réelle division d'intérèt économique entre les propriétaires en jouissance et les locataires, fait qui se manifeste souvent dans les luttes politiques locales. La conclusion qui se dégage de ceci est que, les efforts des activistes locaux pour unifier les deux groupes en une alliance politique contre le capital monopole, peut sàvérer à la fois peu judicieux et nuisible à la productivité.  相似文献   

8.
Get article commence en mettant l'accent sur le débat entre Lojkine et Poulantzas pour identifier les divergences (ainsi que certaines convergences) au sein de la théorie politique marxiste. Ceci permet de passer à un examen critique de deux études récentes majeures sur la politique urbaine en France partant d'une perspective marxiste—celles de Lojkine et de Biarez et al. II est montré que les points forts et les points faibles de ces études concrétes relévent des démarches théoriques qu'elles adoptent. La mise au jour de ces points est destiné à développer les études subséquentes dans ce domaine.  相似文献   

9.
The last two decades have witnessed an explosion of empirical research on the role of space in group life at the same time scholars have lamented the under‐theorization of space in sociology. In particular, mainstream poverty researchers have conceptualized space as a neutral backdrop against which action unfolds and viewed poor people's agency as passive and unreflexive. This article attempts to move beyond this space‐as‐container ontology and provide a more coherent view of how theorizing space and spatial issues can help us understand the actions of the urban poor. At the core of the paper is an attempt to theorize agency as a spatial phenomenon — with spatial attributes and spatial influences — and offer empirical insight into how different spatial meanings can enable or constrain particular forms of social action and behavior. My intent is to contribute to an understanding of the urban poor as spatial actors. I argue that the importance of space lies in understanding it as an object of political struggle, a constitutive component of human agency, and a facilitator as well as constraint upon action. Les deux dernières décennies ont connu une explosion des recherches empiriques sur le rôle de l'espace dans la vie de groupe, tandis que les intellectuels déploraient le manque de théorisation de l'espace en sociologie. En particulier dans le courant dominant de la recherche sur la pauvreté, l'espace a été conceptualisé comme un décor neutre devant lequel se déroule l'action, et la capacité d'action des pauvres était considérée comme passive et irréfléchie. Cet article tente de dépasser cette ontologie de l'espace‐contenant et de fournir une vision plus cohérente de la façon dont on peut théoriser l'espace et dont les aspects spatiaux peuvent aider à comprendre les actions des populations urbaines pauvres. L'essence de ce travail vise à théoriser l'agence en tant que phénomène spatial — avec des influences et attributs spatiaux — et à proposer un aperçu empirique de la manière dont différentes significations spatiales peuvent susciter ou limiter des formes spécifiques d'action et de comportement sociaux. Le propos est de contribuer à une reconnaissance des pauvres des villes en tant qu'acteurs spatiaux. Donner son importance à l'espace, c'est le concevoir comme thème de lutte politique, élément constitutif de l'agence humaine, ainsi qu'aide et entrave à toute action.  相似文献   

10.
La nouvelle sociologie urbaine, et sa contrepartie, l'%eAconomie politique du bien-être social ont attiré l'attention sur la consommation collective et/ou la reproduction. Néanmoins, en dépit des intéressantes analyses théoriques et empiriques que ces développements ont engendrées, ces deux éléments ont négligé le 'sens premier' de la reproduction. Ce récit d'un mouvement féministe contemporain que conteste la violence mâle en ce qu'elle est l'expression sauvage d'une forme de sexisme institutionnalisé, essaie de rétablir l'équilibre. Women's Aid (l'Aide aux Femmes), en tant que mouvement urbain qui a transcendé l'urbain, voire même la problématique des classes, est le plus puissant — et peut-être le dernier — dans le présent immédiat, de toute une série de mouvements sociaux qui, au cours de la dernière décennie, ont contesté l'état providence britannique. Les difficultés recontrées par le mouvement dans sa tentative pour se frayer un chemin entre la cooptation, la confrontation et le conflit réglementé par l'état, y sont discutées. Néanmoins, malgré les contradictions qui se sont à la fois développées autour de ce mouvement (Women's Aid) et ont bien failli l'engloutir, le mouvement s'exerce, de façon hésitante et inégale, à de nouveaux rapports sociaux non-sexistes. A présent, ce mouvement est rendu théoriquement invisible par les analyses du courant principal sur la reproduction, même lorsque les nouveaux analystes le soutiennent, à un niveau personnel et pratique. La conclusion de l'article suggère que le soutien pratique et la négligence théorique pourraient servir è exacerber les tendances réformistes du mouvement.  相似文献   

11.
La relation entre i'état et le développement social peut entre analysée à partir de trois niveaux interconnectés:
  • 1 Au niveau de la théorie et de la méthodologie. C'est ce que font Lojkine et Pahl.
  • 2 A un niveau général, mais concernant des types théoriquement differenciés d'organisations sociales (c'est à dire, sociétés capitalistes avancées, sociététés socialistes. etc.). C'est le niveau qui concerne cet auteur le plus.
  • 3 Au niveau d'une société donnée, durant une période historique déterminéee. C'est à ce niveau que les autres travaux de Lojkine ont été faits.
La critique faite par Pahl des perspectives marxistes est rejetés comme étant superficielle, par contre il est reconnu que i'?uvre de Poulantzas manque de perspective historique et dialectique. Mais i'analyse marxiste des institutions politiques dépend d'une interprétation correcte de la relation entre structure et superstructure, et ce point est développé par i'auteur. Une critique est faite des théories élitistes et historicistes. La typologie historiciste de Runciman est considérée comme étant inadéquate, car elle ne peut ětre appliquée à la réalité historique, et en dernier lieu, ne peut expliquer pourquoi les relations état-société montrent tant de variations. Les définitions marxistes de i'état sont insuffisantes et ont besoin d'ětre dévéloppées. A propos, les travaux de Lojkine et de Poulantzas sont critiqués comme étant réductivistes et non-dialectiques. La question des origines sociales de la démocratie est introduite afin de développer une perspective analytique satisfaisante qui pourrait prendre en compte les faits historiques des révolutions nationales en Europe de l'Ouest, au Japon et aux Etats-Unis. L'accent est mis sur le role de la classe ouvrière, le concept d'hégémonie, l'exercise du pouvoir hégémonique, et plus précisement quand la classe hégémonique n'est pas dominante. Une bonne analyse marxiste des relations état-société doit pouvoir envisager les tendences et les conditions actuelles de l'accumulation du capital, en conjonction avec les intérěts des groupes monopolistes. Cet essai fini par une brěve discussion des tendences actuelles dans ces domaines.  相似文献   

12.
Cet article essaie d' examiner le rapport socio-culturel/politique entre l'etat et l'idéologie dominante et les nouvelles initiatives en Grande-Bretagne en matière de coopération ourvrière, notamment en ce qui concerne les femmes en situation urbaine. Il envisage les méthodes de récupération et d'interdiction d'une participation ouvrière active, et réciproquement, les conditions où la participation ouvrière change à son tour la politique de l'état et apporte des changements aux structures sociales imposées par une idéologie dominate. Il pose aussi des questions théoriques sur le fait de posséder des aptitudes, la connaissance, et l'efficacité de groupes coopératifs urbains travaillant à contre-courant de la culture dominante. De plus, au sein du cadre théorique qui entoure ces problèmes, il interroge le rapport qui existe actuellement entre la théorie universitaire et la pratique, son rapport avec les besoins de la grande masse de la population urbaine, et propose diverses formes de discussion dialectique entre ceux qui font l'expérience et ceux qui l'étudient-formes qui englobent et encouragent une pratique socialement transformatrice. Il essaie, particulièrement en ce qui concerne les femmes, de définir la façon dont la pratique coopérative, en ce qu'elle forme de nouvelles catégories et de nouveaux rapports sociaux, met en question le fondement des rôles intrasociaux que la plupart des femmes tiennent et les changements qui doivent suivre si les femmes sont appelées à jouir de la pleine participation au même titre que les hommes. The relationship between theory and practice are far more partial and fragmentary. … The relationship which holds in the application of theory is never one of resemblance. … No theory can develop without eventually encountering a wall and practice is necessary for the piercing of that wall. … A theorizing intellectual, for us, is no longer a subject, a representing or representative consciousness. … Those who act or struggle are no longer represented. Who speaks and who acts? It is always a multiplicity even within the person who speaks and acts … (Deleuze, G. in Foucault, 1977).  相似文献   

13.
Les thèmes d'authoritarisme bureaucratique servent à expliquer les changements dans l'organisation de la production au Brésil, et l'émergence en conséquence, de nouveaux groupes sociaux et relations de classes. Cet article trace l'impacte du développement économique au Brésil sur la croissance et l'organisation des populations urbaines. Les phases des contrôles sur l'importation qui étaient le véhicule pour l'industrialisation urbaine dépendaient d'un transfer du capital de l'agriculture à l'industrie, du consommateur au producteur, négocié à travers une politique de taux d'échanges et de protection commerciale et d'inflation. Ce développement était associé avec l'incorporation limité d'une classe ouvrière et urbaine croissante dans la structure émergeante de l'état. Cependant, l'éffondrement des contrôles sur l'importation et le développement de l'intervention de l'état et des investissements étrangers créerent le fondement de l'exclusion des revendications économiques et politiques des populations urbaines. Le raisonnement est que cette téchnocracie, produit de ces interventions et investissements, articula à la fois cette exclusion et son intérêt dans l'établissement et l'extension d'un contexte bureaucratique corporatif. Le résultat a été non seulement la suppression directe des revendications populaires, mais aussi l'exclusion de toute impulsion pour un nouveau model économique. Cet article termine en proposant qu'une analyse plus poussée devrait se concentrer plutôt sur les structures et processus organisationnels que sur les intérêts de rôles téchnocratiques particuliers.  相似文献   

14.
La résistance des habitants des quartiers populaires de Bogotá contre la construction d'une autoroute à travers leur voisinae, est le sujet de cet article. Cette 'Avenida de los Cerros' faisait partie d'un 'programme intégré de développement urbain' comprenant aussi la construction de centres médicaux, écoles, et autres infrastructures urbaines; le côut de 89 millions de dollars américains, étant financé par l'Intramerican Development Bank. Ce mouvement urbain est analysé en tant que pratique spécifique, particulière aux résidents des quartiers populaires. En tant que groupe sociale, leurs traits communs sont qu'ils vivent à l'intérieur d'un quartier strictement ségrégé géographiquement et socialement—le 'barrio', et qu'ils vendent leur force de travail sur un marché du travail dévalué, sans pour autant constituer une classe sociale homogène. Toutefois, comme sous-proletariat urbain ils partagent un intérêt commun dans la consommation collective et individuelle (déficiences en matières de logement, service, etc., et expérience de la pauvreté). La menace de l'Avenida de los Cerros dans ces deux domaines fût reconnue et causa une grande agitation parmi les habitants du 'barrio'. Le plan de construction fût abandonné après deux ans de protestations. Bien que le mouvement populaire eu de l'influence, cet abandon fut en grande partie causé par une conjoncture changeante quand les intérêts du bloc au pouvoir de la classe dirigeante se déplacèrent vers d'autres quartiers.  相似文献   

15.
Cette analyse de l'urbanisation d'aprés-guerre en Afrique Occidentale est proposée comme un jalon pour l'économie politique de l'urbanisation dans le Tiers Monde. L'Afrique Occidentale est une des régions les moins urbanisées du monde qui cependant a récemment connu une urbanisation plus rapide que toute autre. Cette explosion urbaine est associée avec des inégalités sévères à trois niveaux:
  • 1 un déséquilibre profond dans les conditions de travail et de vie entre le secteur urbain et le secteur rural
  • 2 une forte concentration des ressources dans les capitales
  • 3 une énorme disparité économique à l'intérieur des villes entre les masses et une petit élite
Si l'urbanisation en Afrique Occidentale est caractérisée par ces inégalités, il apparait qu'elle entraîne aussi des pertes économiques. Deux approches suggèrent que l'allocation des ressources est loin d'ětre optimale pour la croissance économique. D'une part des ressources sont gaspillées dans le chǒmage et le sous-emploi urbain, dans la croissance des grands centres métropolitains, et dans la construction des ‘quartiers spontanés’. D'autre part la présupposition que la forme prise par l'urbanisation est le résultat d'une allocation optimale des ressources est mise en doute quand les facteurs qui affectent les paramètres économiques ou qui interferent directement avec les décisions d'investissement sont soumis à l'examen, et quand l'attention est dirigée sur le processus politique qui s'avère constamment dominé par les intérěts et les préoccupations d'un petit groupe de dirigeants.  相似文献   

16.
Le centre-ville est devenu un sujet populaire de débat dans le 'média', parmi les hommes politiques, et dans la recherche académique. Le gouvernement travailliste vient d'esquisser dans un livre blanc sa perspective future envers les problèmes du centre-ville en indiquant que les résidents de ces zones centrales bénéficieront de ses programmes. Cet article questionne les suppositions sur lesquelles les débats en cours sont basés, et offre une analyse alternative fondée sur le développement inégal des villes britanniques qui se concentre sur les contradictions de l'intervention étatique en affaires urbaines. Il est soutenu que la notion de 'crise urbaine' est utilisée par l'état en tant que tactique de diversion durant une période de récéssion économique; elle est idéologique plutôt que réelle bien qu'il soit évident que l'état aille peur de la possibilité de conflits raciaux intra-urbains.  相似文献   

17.
Cet article critique le point de vue avancé par certains groupes italiens, selon lequel la lutte urbaine se produirait dans un cadre distinct de celui des conflits au travail et possèderait un potentiel politique plus grand que ces derniers. La lutte urbaine a été au centre de la croissance du mouvement ouvrier dans l'Italie de l'après-guerre. L'article remonte ensuite aux racines historiques de ce phénomène et trouve une signification toute particulière dans la pérriode de la résistance anti-fasciste et dans la toute récente période historique. Cet exposé est illustré par une documentation d'actualité et par la discussion d'un grand éventail de cas de lutte urbaine. On y avance que le mouvement ouvrier (c'est à dire les partis officiels et les syndicats), ont donné à la lutte urbaine une perspective historique et une ampleur nationale, la transformant en un véritable mouvement et faisant d'elle le moteur de réformes.  相似文献   

18.
This article is based on recent transnational research on partnership‐based initiatives to promote local development and regeneration and combat social exclusion in the EU. The increasing reliance on partnership as the basis for local policy initiatives is first situated in the context of contemporary debates about social exclusion. The main part of the article then draws on the literatures on local governance and urban regime theory to examine three issues critical to the impact of the ‘new orthodoxy’ of local partnership: the capacity of partnerships as interorganizational forms of local governance; their inclusiveness; and the extent of outcomes which can be attributed to partnership as a distinctive mode of local governance. On all three issues, the evidence points to the limited claims that can be made for most local partnerships as ‘inclusion coalitions’ capable of effectively tackling social exclusion, and suggests that structural features of the currently dominant version of partnership entrench a model of elite rather than inclusive governance. Local partnership is associated with weak rather than strong discourses of social exclusion and inclusion, and its significance lies as much as anything in the way in which the practice of partnership tends to foreclose the sphere of debate and action, excluding more radical options. Cet article se fonde sur une récente étude transnationale concernant l'UE et portant sur les initiatives de partenariat visant à promouvoir le développement et la régénération sur le plan local, tout en combattant l'exclusion sociale. Le recours croissant au partenariat comme base des initiatives de politique locale est d'abord resitué dans le cadre des débats contemporains sur l'exclusion sociale. L'article, qui s'inspire des travaux sur la gouvernance locale et les régimes urbains, examine trois points essentiels pour l'influence de la ‘nouvelle orthodoxie’ du partenariat local: la capacité des partenariats en tant que formes de gouvernance locale inter‐organismes, leur nature inclusive, ainsi que la part des résultats qui leur revient au titre de mode distincif de gouvernance locale. Sur ces trois aspects, les faits soulignent la portée limitée que peuvent revendiquer la plupart des partenariats locaux comme ‘coalitions d'inclusion’ capables de traiter efficacement l'exclusion sociale; les résultats suggèrent en outre que les caractéristiques structurelles du partenariat, dans sa version dominante actuelle, enracinent un modèle élitiste plutôt qu'une gouvernance inclusive. Le partenariat local est associéà des propos sur l'exclusion et l'inclusion sociale plus complaisants que percutants, et sa place tient tout autant à la manière dont son exercice tend à figer la sphère de débats et d'actions, excluant toute option plus radicale.  相似文献   

19.
Les tendences divergeantes de la structure agraire dans diverses parties du Brésil sont le thème de cet article. Le développement capitaliste dans les régions rurales de São Paolo, et la préservation/destruction des formes archaïques de production dans le nord-est sont analysés en terme des catégories et stages de développement capitaliste qui évoluent au pays. En considérant ce dernier dans son ensemble, une attention particulière est donnée à l'état. Depuis le début de l'industrialisation, l'industrie et l'agriculture ont toujours eu une relation ambiguë et contradictoire, et ceçi à la fois dans l'exportation et dans les marchés internes. Ceçi explique le caractère composite de l'état et la préservation d'une agriculture primitive. La préservation de la grande entreprise agro-merchantile et des formes archaïques de l'agriculture avait des fonctions distinctes pour l'accumulation du capital dans les secteurs non-agraires. Cet article examine aussi les tendances les plus récentes dans l'organisation agraire en relation avec les caractéristiques spécifiques de la nouvelle étape acquise par le capitalisme au Brésil. Une fois de plus, Côte à côte avec l'accroissement de la c?apitalisme agraire, dans la région de São Paolo (suivit par l'émergence d'un proletariat rural plus pur, la méchanisation massive et l'augmentation rapide de la composition organique du capital agraire), se produit l'extension et la récréation continuelle de la paysannerie latifundia dans les régions éloignées du pays. Un tel développement inégal dans les régions rurales coexiste avec le développement capitaliste dans son ensemble.  相似文献   

20.
La crise économique actuelle a conduit à en terminer avec la politique d'après-guerre, fondée sur les principes keynésiens de la croissance dirigée, du plein-emploi et de l'état providence. Dans de nombreux pays capitalistes, des efforts sont faits maintenant pour 'recapitaliser le capitalisme'. Ceci entraîne des réductions dans le secteur public et une expansion du secteur privé, mettant principalement l'accent sur l'industrie et sur l'exportation. Mais la crise n'est pas seulement d'ordre économique; elle a des répercussions sur tout l'ordre social, et cet article examine les idées de quelques-uns des plus importants défenseurs politiques et universitaires des idées et des attitudes qui servent à légitimer la nouvelle politique. La conclusion est que la force de la stratégie de recapitalisation dépend, en partie, de la qualité de la gauche, qui se doit d'élaborer immédiatement un programme à court terme, sur lequel elle puisse fonder une opposition efficace.  相似文献   

设为首页 | 免责声明 | 关于勤云 | 加入收藏

Copyright©北京勤云科技发展有限公司  京ICP备09084417号