首页 | 本学科首页   官方微博 | 高级检索  
相似文献
 共查询到20条相似文献,搜索用时 78 毫秒
1.
The last two decades have witnessed an explosion of empirical research on the role of space in group life at the same time scholars have lamented the under‐theorization of space in sociology. In particular, mainstream poverty researchers have conceptualized space as a neutral backdrop against which action unfolds and viewed poor people's agency as passive and unreflexive. This article attempts to move beyond this space‐as‐container ontology and provide a more coherent view of how theorizing space and spatial issues can help us understand the actions of the urban poor. At the core of the paper is an attempt to theorize agency as a spatial phenomenon — with spatial attributes and spatial influences — and offer empirical insight into how different spatial meanings can enable or constrain particular forms of social action and behavior. My intent is to contribute to an understanding of the urban poor as spatial actors. I argue that the importance of space lies in understanding it as an object of political struggle, a constitutive component of human agency, and a facilitator as well as constraint upon action. Les deux dernières décennies ont connu une explosion des recherches empiriques sur le rôle de l'espace dans la vie de groupe, tandis que les intellectuels déploraient le manque de théorisation de l'espace en sociologie. En particulier dans le courant dominant de la recherche sur la pauvreté, l'espace a été conceptualisé comme un décor neutre devant lequel se déroule l'action, et la capacité d'action des pauvres était considérée comme passive et irréfléchie. Cet article tente de dépasser cette ontologie de l'espace‐contenant et de fournir une vision plus cohérente de la façon dont on peut théoriser l'espace et dont les aspects spatiaux peuvent aider à comprendre les actions des populations urbaines pauvres. L'essence de ce travail vise à théoriser l'agence en tant que phénomène spatial — avec des influences et attributs spatiaux — et à proposer un aperçu empirique de la manière dont différentes significations spatiales peuvent susciter ou limiter des formes spécifiques d'action et de comportement sociaux. Le propos est de contribuer à une reconnaissance des pauvres des villes en tant qu'acteurs spatiaux. Donner son importance à l'espace, c'est le concevoir comme thème de lutte politique, élément constitutif de l'agence humaine, ainsi qu'aide et entrave à toute action.  相似文献   

2.
Over the last two decades, social and economic changes in transitional economies have produced many new outcomes. In this article, I examine some of the ways in which China's transition has produced gendered outcomes and highlight evidence of these outcomes. I argue that during transition the state has shifted its goals to economic ones, but unlike capitalist economies it still has at its disposal instruments of social control. Peasants are made more vulnerable and must rely on migrant work for survival, but their low institutional status relegates them to outsider status in urban areas. These circumstances, together with socio‐cultural traditions that constrain women's mobility and endorse stratifications, have enabled the development of a labor regime that fosters segmentation and division of labor. Peasant migrants' reliance on social network further reinforces segregation in the urban labor market. Using multiple sources of macro‐level and field surveys, I examine both quantitative and qualitative evidence of gender segregation and division of labor. The findings show that a high degree of gender segregation among rural‐urban migrants exists in the urban labor market, that peasant women's urban work opportunities are short‐lived, and that upon marriage women migrants are relegated back to the village and to the ‘inside’, in part to sustain gender division of labor as a household strategy. Au cours des deux dernières décennies, les gouvernements de transition ont connu des évolutions économiques et sociales aux conséquences nouvelles et variées. Cet article examine comment la transition chinoise a produit des effets différenciés selon le sexe, et en détaille la réalité. Durant la phase transitoire, l'É tat a transposé ses objectifs sur le terrain économique mais, contrairement aux pays capitalistes, il dispose encore d'instruments de régulation sociale. Rendue plus vulnérable, la population rurale doit compter sur les travailleurs migrants pour sa survie; cependant, une fois en ville, leur faible statut institutionnel en fait des travailleurs ‘en marge’. Alliée aux traditions socio‐culturelles qui limitent la mobilité des femmes et nourrissent les stratifications, cette situation a permis la création d'un système d'emploi tendant à la segmentation et la division du travail. La dépendance des migrants ruraux par rapport au réseau social vient renforcer la ségrégation sur le marché du travail urbain. A partir d'études de terrain et de niveau global, l'article explore les éléments quantitatifs et qualitatifs de ségrégation sexuelle et division du travail. D'après les résultats, il existe un degré important de ségrégation selon le sexe parmi les migrants sur le marché de l'emploi urbain, les possibilités de travail en ville sont de courte durée pour les paysannes et, quant au mariage, les migrantes sont ramenées à leur village et à‘l'intérieur’, en partie pour soutenir une stratégie domestique de division sexuée du travail.  相似文献   

3.
Les thèmes d'authoritarisme bureaucratique servent à expliquer les changements dans l'organisation de la production au Brésil, et l'émergence en conséquence, de nouveaux groupes sociaux et relations de classes. Cet article trace l'impacte du développement économique au Brésil sur la croissance et l'organisation des populations urbaines. Les phases des contrôles sur l'importation qui étaient le véhicule pour l'industrialisation urbaine dépendaient d'un transfer du capital de l'agriculture à l'industrie, du consommateur au producteur, négocié à travers une politique de taux d'échanges et de protection commerciale et d'inflation. Ce développement était associé avec l'incorporation limité d'une classe ouvrière et urbaine croissante dans la structure émergeante de l'état. Cependant, l'éffondrement des contrôles sur l'importation et le développement de l'intervention de l'état et des investissements étrangers créerent le fondement de l'exclusion des revendications économiques et politiques des populations urbaines. Le raisonnement est que cette téchnocracie, produit de ces interventions et investissements, articula à la fois cette exclusion et son intérêt dans l'établissement et l'extension d'un contexte bureaucratique corporatif. Le résultat a été non seulement la suppression directe des revendications populaires, mais aussi l'exclusion de toute impulsion pour un nouveau model économique. Cet article termine en proposant qu'une analyse plus poussée devrait se concentrer plutôt sur les structures et processus organisationnels que sur les intérêts de rôles téchnocratiques particuliers.  相似文献   

4.
Many studies have examined the role of racial prejudice and discrimination in the creation of racial residential segregation in US cities. Yet few researchers have situated early twentieth‐century meanings of race and racism within broader processes of urban development and the emergence of the modern real estate industry. Using a case study of Kansas City, Missouri, this article examines the organized efforts of community builders and homeowner associations to create racially homogeneous neighborhoods through the use and enforcement of racially restrictive covenants. Racially restrictive covenants encoded racial difference in urban space and helped nurture emerging racial prejudices and stereotypes that associated black residence with declining property values, deteriorating neighborhoods and other negative consequences. I argue that the cultivation and development of this segregationist ideology was simultaneously an exercise in the racialization of urban space that linked race and culturally specific behavior to place of residence in the city. As the twentieth century progressed, the identification of black behavior and culture with deteriorating neighborhoods became an important impetus and justification for exclusionary real estate practices designed to create and maintain the geographical separation of the races and control metropolitan development. I conclude with a discussion of how the linkage between race, racism and urban space helps to explain why racial residential segregation remains a persistent and tenacious feature of US metropolitan areas despite the passage of fair housing and numerous anti‐discrimination statutes over the past decades. Nombre d'études ont porté sur l'incidence des préjugés raciaux et de la discrimination sur la ségrégation raciale apparue dans l'habitat des villes américaines. En revanche, peu de chercheurs ont replacé les notions de race et de racisme en ce début de millénaire dans le cadre des processus plus larges d'aménagement urbain et d'émergence de l'immobilier moderne. À partir d'une étude de cas sur Kansas City (Missouri), cet article examine les efforts d'associations locales de propriétaires d'habitations et de constructeurs de logements sociaux qui se sont organisées afin de créer des quartiers homogènes sur le plan racial via l'utilisation et l'application de conditions locatives restrictives. Ces restrictions ont codifié une différence raciale dans l'espace urbain et contribuéà entretenir les préjugés raciaux et stéréotypes associant l'habitat noir à la dévalorisation de l'immobilier, à la détérioration des quartiers et à d'autres effets négatifs. L'article démontre que maintenir et développer cette idéologie ségrégationniste constituait parallèlement une opération de racialisation de l'espace urbain, une race et un comportement culturel spécifique se trouvant liés à un lieu de résidence dans la ville. Au cours du XXe siècle, l'identification du comportement et de la culture noirs à des quartiers dégradés a stimulé et justifié des pratiques immobilières d'exclusion visant à créer et à préserver la séparation géographique des races, tout en contrôlant l'aménagement métropolitain. Pour terminer, l'article aborde de quelle manière l'établissement d'un lien entre race, racisme et espace urbain permet d'expliquer les raisons pour lesquelles la ségrégation raciale de l'habitat persiste dans les zones métropolitaines américaines et ce, malgré l'adoption, au cours des dernières décennies, de l'accès universel au logement et de nombreuses lois contre les discriminations.  相似文献   

5.
There is evidence that the politics of economic development in the post‐industrial city is increasingly bound up with the ability of urban elites to manage ecological impacts and environmental demands emanating from within and outside the urban area. More than simply a question of promoting quality of life in cities in response to interurban competition and pressures from local residents, the greening of the urban growth machine reflects changes in state rules and incentives structuring urban governance as part of an evolving geopolitics of nature and the environment. The adoption of principles and practices of ecological modernization potentially represents a dramatic shift in the social regulation of urban governance away from unconstrained neoliberalized modes. In this article we explore how different demands on and for urban environmental policy have played out vis‐à‐vis changing modes and practices of governance in two English post‐industrial cities. We explore differences in the ways that entrepreneurial urban regimes have sought to incorporate the green agenda (Leeds), or insulate themselves from ecological dissent (Manchester). We further attempt to conceptualize evolving urban economy‐environment relations in the UK in terms of an ensemble of governance practices, strategies, alliances and discourses that enables the local state to manage, though not necessarily resolve, seemingly conflicting economic, social and environmental demands at different scales of territoriality. Here we propose the notion of an ‘urban sustainability fix’ to describe the selective incorporation of ecological objectives in local territorial structures during an era of ecological modernization. Dans les villes post‐industrielles, la politique de développement économique semble liée de plus en plus étroitement à l'aptitude des élites urbaines à gérer les impacts écologiques et les exigences environnementales venus de l'intérieur et de l'extérieur. Au‐delà de la simple défense d'une qualité de vie en ville, répondant à la concurrence interurbaine et aux pressions des habitants, l'intégration de la cause Verte dans la machine de croissance urbaine reflète les nouvelles règles et mesures d'encouragement étatiques qui structurent la gouvernance des villes dans le cadre d'une géopolitique évolutive de la nature et de l'environnement. L'adoption de principes et pratiques de modernisation écologique pourrait traduire un revirement dans la régulation sociale de la gouvernance urbaine, en remplaçant la totale latitude des réponses néolibérales. L'article explore comment les demandes variées de et en politique urbaine d'environnement se sont exercées dans le contexte changeant des modalités et pratiques de gouvernance de deux villes post‐industrielles anglaises. Il s'intéresse aux différences de démarches qu'ont adoptées des régimes urbains ayant l'esprit d'entreprise pour incorporer le programme vert (Leeds) ou s'affranchir de la dissidence écologique (Manchester). De plus, il s'efforce de conceptualiser les relations évolutives économie‐environnement dans le cadre urbain britannique en tant qu'ensemble de pratiques de gouvernance, stratégies, alliances et discours permettant à l'État local de gérer (sans toujours les satisfaire) des exigences économiques, sociales et environnementales apparemment contradictoires, et ce aux différents échelons de territorialité. La notion de ‘solution de durabilité urbaine’ est proposée pour décrire l'intégration sélective d'objectifs écologiques dans les structures territoriales locales pendant une phase de modernisation écologique.  相似文献   

6.
This article uses a structural approach to the investigation of the continuity and discontinuity between ‘old’ urban and ‘new’ environmental protest, opening further space for analysis of the relationship between different mobilizations in Northern Ireland. In particular, I suggest that the ‘novelty’ and strength of social movements' challenges can be assessed in terms of their capacity to promote participation and cooperation between the opposite poles of established cleavages, especially when one engages in the analysis of socio‐politically polarized contexts. In this article I focus on two mobilizations. On the one hand, I show that the first Westlink protest of the 1970s was not the product of an integrated social movement but, rather, of a heterogeneous and instrumental coalition of urban and political actors which gained no support from formal environmental organizations and soon split along the national‐religious divide. On the other hand, I show that the current Westlink campaign is the product of a cohesive network, which cuts across the many socio‐political cleavages of Northern Ireland, linking together local, urban and community groups, conservation and environmental organizations, associations, universities, political actors and parties, of opposing national‐religious identity. I then take these two patterns of mobilization as a dependent variable and explain them by drawing on theories of resource mobilization, new social movements, framing and political opportunity structure. Cet article applique une démarche structurelle à l'examen de la continuité et discontinuité entre ‘ancienne’ contestation urbaine et ‘nouvelle’ contestation environnementale, dégageant ainsi un espace qui permet d'analyser le lien entre diverses mobilisations en Irlande du Nord. Il suggère notamment que la ‘nouveauté’ et l'intensité des défis lancés par les mouvements sociaux peuvent s'évaluer en termes de capacitéà favoriser participation et coopération entre les pôles opposés de clivages établis, en particulier si l'on s'intéresse aux contextes socio‐politiques polarisés. Deux mobilisations sont approfondies. D'une part, la première manifestation du Westlink dans les années 1970 ne résultait pas d'un mouvement social intégré, mais plutôt d'une coalition hétérogène et pragmatique d'acteurs politiques et urbains, laquelle n'a jamais reçu le soutien d'organismes officiels de protection de l'environnement et s'est rapidement divisée en suivant la fracture nationale religieuse. D'autre part, la campagne actuelle du Westlink est le produit d'un réseau cohérent, qui transcende les nombreux clivages socio‐politiques d'Irlande du Nord, reliant groupes locaux, urbains et communautés, organismes de protection et de défense de l'environnement, associations, universités, acteurs et partis politiques, tous d'identités nationales et religieuses différentes. Ces deux schémas de mobilisation sont ensuite repris en tant que variables dépendantes, et explicitées à partir des théories sur la mobilisation des ressources, les nouveaux mouvements sociaux, les cadres et la structure politique des opportunités.  相似文献   

7.
La résistance des habitants des quartiers populaires de Bogotá contre la construction d'une autoroute à travers leur voisinae, est le sujet de cet article. Cette 'Avenida de los Cerros' faisait partie d'un 'programme intégré de développement urbain' comprenant aussi la construction de centres médicaux, écoles, et autres infrastructures urbaines; le côut de 89 millions de dollars américains, étant financé par l'Intramerican Development Bank. Ce mouvement urbain est analysé en tant que pratique spécifique, particulière aux résidents des quartiers populaires. En tant que groupe sociale, leurs traits communs sont qu'ils vivent à l'intérieur d'un quartier strictement ségrégé géographiquement et socialement—le 'barrio', et qu'ils vendent leur force de travail sur un marché du travail dévalué, sans pour autant constituer une classe sociale homogène. Toutefois, comme sous-proletariat urbain ils partagent un intérêt commun dans la consommation collective et individuelle (déficiences en matières de logement, service, etc., et expérience de la pauvreté). La menace de l'Avenida de los Cerros dans ces deux domaines fût reconnue et causa une grande agitation parmi les habitants du 'barrio'. Le plan de construction fût abandonné après deux ans de protestations. Bien que le mouvement populaire eu de l'influence, cet abandon fut en grande partie causé par une conjoncture changeante quand les intérêts du bloc au pouvoir de la classe dirigeante se déplacèrent vers d'autres quartiers.  相似文献   

8.
This article brings regulation theory and the broader post‐Fordist debate together with an empirical study of the emergence and consequences of tourism in Harlem. It shows that the valorization of cultural diversity, as well as under‐served markets, has helped reposition this formerly unmarketable area in relation to city, state and capital markets. Moreover, as development occurs, the nature of regulation pertaining to Harlem begins to change. The author argues that the failure to disaggregate – to link the elements of the restructuring economy to outcomes for specific areas and residents, leads to an overly pessimistic view. Tourism‐based development may act as an equalizing force, helping to rebalance the uneven urban spatial development characteristic of Fordism and symbolized by the social isolation and concentrated poverty of the racial ghetto in the US. The role of cultural capital as the engine of growth in Harlem, has meant that revitalization promotes cultural differentiation along with standardization. Overall, cultural tourism requires substantial civic engagement. This gives the community control, but at the same time disciplines and stabilizes. Urban tourism thus incorporates a new mode of regulation, making for greater social/political and economic inclusion, but with the associated costs as well as benefits. Cet article allie la théorie de la régulation et le débat plus large du post‐Fordisme, à une étude empirique sur l'apparition et les conséquences du tourisme à Harlem. Il montre que la valorisation de la diversité culturelle, de mäme que les marchés sous‐approvisionnés, ont aidéà repositionner cette zone auparavant sans attrait commercial dans une relation avec les marchés de la ville, de l'État et des capitaux. En outre, avec l'expansion, la nature de la régulation propre à Harlem a commencéà changer. L'absence de désagrégation – qui associe les éléments de l'économie en restructuration aux résultats en faveur de zones et résidents particuliers – conduit à une vision des plus pessimiste. Toutefois, un essor basé sur le tourisme peut avoir une force compensatrice, aidant à rééquilibrer l'aménagement spatial urbain inégal, caractéristique fordienne symbolisée par l'isolement culturel et la pauvreté concentrée dans les ghettos raciaux aux Etats‐Unis. Le rôle du capital social en tant que moteur de croissance d'Harlem s'est traduit par une revitalisation favorisant à la fois différenciation culturelle et normalisation. Le tourisme culturel implique surtout un engagement civique réel, celui‐ci donnant la maä'trise à la communauté, tout en apportant discipline et stabilité. Le tourisme urbain amène donc un nouveau mode de régulation, créant une meilleure inclusion socio‐politique et économique, mais avec les coûts (et avantages) associés.  相似文献   

9.
The events of September 11th bring urgency to problems of urban security, both in terms of finding ways to protect cities from attacks by terrorists and also protecting urban life from repressive measures that form in reaction to those attacks. We outline a rationale for urbanists to participate in analysis and policy‐formulation on security issues and examine the utility of past urban research strategies, including criminology, in terms of their relevance to the current challenge. We suggest principles to guide future urban policy in light of past experiences. Les événements du 11 septembre rendent urgents les problèmes de sécurité urbaine, à la fois pour trouver des façons de protéger les villes contre des attaques terroristes et pour préserver la vie urbaine de mesures répressives en réponse à ces attaques. L'article argumente en faveur de la participation d'urbanistes à l'analyse et à la formulation d'une politique publique sur les questions de sécurité. Il examine le parti à tirer des stratégies de recherches urbaines antérieures (y compris en criminologie) en fonction de leur pertinence par rapport au défi actuel. De plus, il suggère des principes permettant d'orienter la politique urbaine future à la lumière des expériences passées.  相似文献   

10.
Les mesures prises aux USA pour les enfants d'âge préscolaire et leurs parents, surtout les mères, font l'objet de cette étude. Les mesures sociales, pédagogiques et fiscales qui ont été, soit débattues, soit développées par le gouvernement fédéral dans les deux dernières décennies, y sont discutées. Elles montrent les présomptions qui étayent la politique de l'état vis-à-vis des femmes dans une société capitaliste avancée. La division sexuelle et sociale du travail, qui est une des clefs de l'économie capitaliste, se voit renforcée par des mesures en faveur de la ‘famille’ et en particulier des femmes qui doivent s'occuper d'enfants d'âge préscolaire. Néanmoins, à tout moment, les femmes peuvent se voir attribuer différents rôles, à la fois au sein du système économique et â la maison, selon les besoins en main-d'?uvre de l'économie. Elles peuvent donc être encouragées à prendre un travail rémunéré, ou au contraire sanctionnées. Durant la période étudiée, les femmes des classes moyennes étaient pourvues, mais celles de la classe ouvrière, et surtout les mères seules, sans source de support financier, ont été forcées de trouver du travail. En même temps, les femmes sont restées les gardiennes principales des enfants d'âge préscolaire.  相似文献   

11.
L'Espagne se trouve à l'encontre de sévères problèmes urbains que le régime authoritaire ne peut résoudre. Au fǔr et à mesure que ce régime se désintère, de nouvelles revendications surgissent; mais en Espagne, contrairement au Portugale, ce sont des mouvements organisés qui réclament une nouvelle politique. Ces mouvements populaires sont fondés sur les quartiers (Barrios); cette communication s'addresse à leurs développement à Barcelone. Les mouvements urbains de cette ville ont évolués à partir d'une contestation d'issus d'envergure locale, à une qui s'addresse aux processus et planification de toute la ville. Un réseau de groupes a créé les moyens pour une renaissance d'une vie collective et démocratique. Le droit à un logement convenable, aux aménagements adéquats, au contrǒle sur l'industrie et la pollution, et à une suspension des rénovations urbaines, s'est fait valoir. Les moyens par lequels ces objectifs sont accomplis sont esquissés. Une critique de la planification implique celle de l'administration municipale. Divers genres de protestations ont eu lieu à différentes périodes dans l'évolution de cette critique. C'est maintenant que les mouvements communautaires, les analystes de l'urbain, et les nouveaux groupes politiques ont besoin de travailler ensemble afin développer un nouveau contexte pour le gouvernement municipal, à l'intérieur d'un programme socio-économique plus large. Dans n'importe quel système futur, les groupes des Barrios continueront de jouer un rǒle essentiel. Un mouvement vers une réforme municipale accompagnera vraisemblablement un changement social plus grand, surtout celui de la lutte pour l'autonomie Catalane.  相似文献   

12.
Cette analyse de l'urbanisation d'aprés-guerre en Afrique Occidentale est proposée comme un jalon pour l'économie politique de l'urbanisation dans le Tiers Monde. L'Afrique Occidentale est une des régions les moins urbanisées du monde qui cependant a récemment connu une urbanisation plus rapide que toute autre. Cette explosion urbaine est associée avec des inégalités sévères à trois niveaux:
  • 1 un déséquilibre profond dans les conditions de travail et de vie entre le secteur urbain et le secteur rural
  • 2 une forte concentration des ressources dans les capitales
  • 3 une énorme disparité économique à l'intérieur des villes entre les masses et une petit élite
Si l'urbanisation en Afrique Occidentale est caractérisée par ces inégalités, il apparait qu'elle entraîne aussi des pertes économiques. Deux approches suggèrent que l'allocation des ressources est loin d'ětre optimale pour la croissance économique. D'une part des ressources sont gaspillées dans le chǒmage et le sous-emploi urbain, dans la croissance des grands centres métropolitains, et dans la construction des ‘quartiers spontanés’. D'autre part la présupposition que la forme prise par l'urbanisation est le résultat d'une allocation optimale des ressources est mise en doute quand les facteurs qui affectent les paramètres économiques ou qui interferent directement avec les décisions d'investissement sont soumis à l'examen, et quand l'attention est dirigée sur le processus politique qui s'avère constamment dominé par les intérěts et les préoccupations d'un petit groupe de dirigeants.  相似文献   

13.
Cet article examine quelques antinomies existant dans la planification urbaine d'une société socialiste et rattache certaines questions théoriques à la recherche empirique et aux expériences de la pratique sociale en Yugoslavie. La critique des solutions urbanistiques courantes indique un besoin de surmonter une pratique fragmentaire et d'exercer une approche plus dialectique. L'analyse sociologique peut spécifier les conditions possibles pour la mise en ?uvre des valeurs dominantes dans une telle société et les relier aux pratiques quotidiennes de la direction du développement urbain. Les antinomies apparents dans la planification urbaine peuvent etre dévoilées pour être ensuite réinterprétées en tant qu'ensemble dialectique. Par exemple: Le sujet/l'objet de la planification La séparation habituelle entre le rôle actif de l'architecte-urbaniste et du dessinateur (sujet) et le rôle passif du résident (objet) est devenue inacceptable dans le contexte d'une sociéte socialiste avec un systéme d'autogestion. Continuité/discontinuité A la place de la logique prédominante de croissance, il y a à la fois un besoin de continuité et de discontinuité. Visionnarisme/pragmatisme Ni une orientation visionnaire générale et à long terme, ni l'approche pragmatique ne peuvent assurer un changement maximum dans la direction souhaitée. Inertie/correction Plus notre action est aprioriste, plus il faudra de temps pour reconnaître les erreurs passées et les diverses façons de résoudre les problèmes par la suite. Forme/fond L'urbanisme a gardé le vieux cadre du modèle formel et technique des fragments individuels. Dynamique sociale/structure physique La crise de l'environnement urbain représente la phénoménologie des discordes existant entre les dimensions physiques et sociales de la ville. Contrôle/initiative individuelle Un plaus grand contrôle n'est pas forcément incompatible avec la croissance du rôle de l'individu. Stimulation/sanctions négatives La menace des sanctions négatives du pouvoir coercitif de l'état ne peut pas maximiser la mise en ?uvre des objectifs de la planification: l'approche affirmative a été négligée.  相似文献   

14.
The urban process under capitalism: a framework for analysis   总被引:3,自引:0,他引:3  
L'objectif de cet article est d'esquisser une problématique générale pour l'interprétation du processus urbain capitaliste. A cette fin, deux thèmes apparentés, l'accumulation et la lutte de classes, sont examinés. Un examen de la théorie marxiste de l'accumulation mène à une compréhension théorique du rôle de l'investissement dans le cadre bàti en relation avec l'ensemble de la structure et des contradictions du processus d'accumulation. Plus précisément, l'investissement dans le cadre bâti est perçu en relation avec les différentes formes de crise qui peuvent surgir sous le capitalisme. Une séléction d'exemples empiriques est présentée et discutée afin d'illustrer comment le support théorique est relié à l'évidence historique. Ceçi permet de mettre à l'intérieur d'une perspective théorique cohérente les ‘long cycles’ d'investissement observés, ainsi que les changements geógraphique des fluxes d'investissements. Ensuite la manière dont le cadre bâti lui-même exprime et contribu aux crises capitalistes est examinée. Il est demontré que sous le capitalisme il existe une lutte perpetuelle selon laquelle le capital essaye de construire un environnement propre à son image seulement pour le détruire avec la réapparition d'une nouvelle crise. L'analyse considère alors comment la lutte de classes—c'est à dire la réaction organisée de la force du travail aux déprédations du capital—influence la direction et la forme de l'investissement dans le cadre bâti. D'un intérêt particulier est la manière dont la lutte de classes au lieu du travail se trouve déplacée à travers le processus urbain vers des luttes centrées autour de la reproduction de la force du travail au foyer. Quelques exemples de ces luttes sont présentés afin d'illustrer comment elles se rattachent à la lutte fondamentale au point de production en même temps qu'elles influencent la direction et la forme de l'investissement dans le cadre bâti.  相似文献   

15.
La crise urbaine en Espagne et la crise politique de la Dictature franquiste ont suscité dans la plupart des villes espagnoles, entre 1971 et 1977 des associations de quartier qui groupent des centaines de milliers de citoyens et qui représentent l'un des mouvements sociaux urbains les plus importants dont on a connaissance à l'heure actuelle. Sur la base d'une enquête sociologique effectuée en 1977 dans les quartiers de Madrid, cet article tente de dégager les composantes essentielles du mouvement, d'établir une typologie des situations urbaines où il surgit et d'esquisser des hypothèses sur les rapports entre mouvements urbains et action politique.  相似文献   

16.
Entre 1971 et 1974 une stratégie de développement unique a été appliquée en Colombie. A l'encontre des autres stratégies de développement, celle de Colombie comprenait l'urbanisation et créait des emplois urbains dans la construction. Cette étude évalue la stratégie colombienne dans le contexte de l'urbanisation du développement économique. Seulement une évaluation partielle est possible à cause du nombre limité de données, mais dans l'ensemble la stratégie semble avoir réussi. L'emploi et la construction ont augmenté de façon notable, tandis que les bénéfices nets progressaient aussi. Cette étude évalue d'autre part (brièvement) les effets inflationnistes et les effets de la distribution des revenus de cette stratégie. Bien qu'elle n'ait pas été responsable exclusivement du taux d'inflation accéléré après 1971, cette stratégie y a contribué en mésestimant les variation des prix des denrées alimentaires et des matériaux de construction. les conclusions de cette stratégie sont tout à fait provisoires. Les parts de la main d'oeuvre ont sans doute augmenté, mais la construction a fait bénéficier principalement les groupes de revenus moyens et supérieurs.  相似文献   

17.
This article examines the way ‘social capital’ has been deployed by researchers and practitioners in the field of urban movements and community development. It reveals the powerful and in many ways effective role the concept is playing in framing the contemporary reconfigurations of local state‐society relations which impact especially on the trajectory of third or voluntary sector development. The article identifies the gaps and weaknesses the ‘social capital’ perspective responds to, thereby explaining why it looms so large within the urban development discourse. Its own blind spots and ambiguities, however, limit our understanding of contemporary urban change. By prioritizing specific forms of civic engagement (and neglecting others), the concept filters the contemporary reconfigurations in the relationship of civil society, state and market in a peculiar way, which is conducive to supporting the spread of market forces to areas so far beyond the reach of capital. By directing attention to the self‐activation potential of different communities, whether in the form of civic engagement of well‐to‐do volunteers or in the form of activation/reinsertion (into the low‐wage labour market) of the marginalized, this new discourse plays a crucial role not only in current efforts to unburden the local (welfare) state, but also in the expansion of market forces into new areas. L'article examine comment les chercheurs et spécialistes ont fait usage du ‘capital social’ dans le domaine des mouvements urbains et de l'évolution des communautés. Il dévoile le rô le dynamique et, par bien des aspects, efficace que ce concept joue en structurant les reconfigurations contemporaines des relations société‐gouvernement local, lesquelles influent notamment sur les tendances du secteur associatif ou du bénévolat. L'article identifie les lacunes et faiblesses que comble la perspective du ‘capital social’, expliquant ainsi les raisons de son omniprésence dans la rhétorique de l'urbanisme. Ses propres faiblesses et ambiguïtés limitent toutefois notre compréhension du changement urbain contemporain. En mettant en avant des formes spécifiques d'engagement civique (et en en négligeant d'autres), le concept dégage les reconfigurations modernes qui interviennent sur la relation entre société civile, É tat et marché, et ce d'une manière particulière qui contribue à la propagation des forces du marché dans des zones jusqu'alors inaccessibles au capital. En s'intéressant au potentiel d'auto‐activation de diverses communautés, que ce soit sous la forme d'un engagement civique de nantis volontaires ou de l'activation ou la réinsertion (sur le marché du travail des bas salaires) des marginaux, ce nouveau discours est essentiel, non seulement dans le cadre des efforts actuels visant à soulager l'É tat (providence) local, mais aussi dans l'expansion des forces du marché vers des zones nouvelles.  相似文献   

18.
Cities throughout the world – particularly global cities – are becoming increasingly heterogeneous as a result of international migration movements. During the past three decades, the influx of immigrants into metropolitan areas like New York, Los Angeles and San Francisco has increased demand for housing, exacerbating the already tight housing markets in these cities. This article focuses on the spatial distribution and housing conditions of immigrants in San Francisco using primarily the 2000 US census data on population and housing down to the census tract level. Building on past research on ethnic enclaves and communities, this article applies spatial analysis methods to identify clusters where Chinese, Filipino and Mexican households – the largest foreign‐born groups in San Francisco – live. The article argues that different immigrant groups show distinct spatial clustering patterns and that there are significant variations in housing outcomes for immigrants within and outside of ethnic clusters. These differences are largely in the direction predicted by the spatial assimilation theory. However, findings such as the high incidence of homeownership within Chinese and Filipino clusters suggest that contemporary immigrants do not necessarily view ethnic clusters as transitory. These findings help to confirm other recent studies showing that immigrants are now spatially clustered in ways that may no longer fit theoretical models derived from the settlement patterns of late nineteenth‐century immigrants. The article contributes to literature concerned with ethnic clusters in US inner cities and the housing conditions of immigrants in global cities. A travers le monde, les villes, surtout les villes planétaires, sont de plus en plus hétérogènes à cause des mouvements migratoires internationaux. Au cours des trois dernières décennies, l'afflux de migrants vers les zones métropolitaines comme New York, Los Angeles et San Francisco a accru la demande de logements, resserrant les marchés déjàétroits dans ces grandes villes. L'article s'attache à la répartition spatiale et aux conditions de logement des immigrants à San Francisco à partir, essentiellement, de données provenant du recensement américain 2000 sur la population et l'habitat par régions sociales. S'inspirant de recherches antérieures sur les communautés et enclaves ethniques, l'étude applique les méthodes d'analyse spatiale pour identifier les regroupements de foyers chinois, philippins et mexicains (groupes d'étrangers les plus nombreux à San Francisco). Les différents groupes d'immigrants présentent des modèles d'agrégation spatiale distincts et leur logement varie considérablement selon que les populations se trouvent dans ou hors des regroupements ethniques. Ces divergences traduisent largement l'orientation prévue par la théorie de l'assimilation spatiale. Toutefois, des résultats tels que le poids de l'accession à la propriété dans les groupes chinois et philippins suggèrent que les immigrants actuels ne jugent pas forcément ces regroupements ethniques comme transitoires. Ainsi sont corroborées d'autres études récentes montrant que les immigrants sont désormais regroupés dans l'espace selon des modèles qui ne correspondent plus aux types théoriques dérivés des schémas d'implantation de la fin du dix‐neuvièmesiècle. L'article contribue au débat sur les regroupements ethniques dans les quartiers déshérités américains et sur les conditions de logement des immigrants dans les villes planétaires.  相似文献   

19.
Since the 1980s, the changing character of the Indian state has allowed it to move away from a highly regulated, autarkic development model to pursue lighter regulation and closer integration with the global economy. This move created the incentives for India?s emergence as a leading software exporter. Within India, Bangalore emerged as the leading software–producing region and the large number of domestic and foreign firms there has led to popular references to it as India?s Silicon Valley. This essay, however, argues that referring to Bangalore as Silicon Valley?s India is more appropriate, as it struggles to transform itself from a region that develops software for global markets to one that defines new products and technologies. Driving the growth of the Indian software industry is the export of labour–intensive services, while the relatively small and slow–growing domestic market has limited the nurturing of original ideas. The essay explains the limitations in terms of social constraints on the state despite its changed character. The analysis of how changing state–society relations have shaped the software industry in Bangalore provides a means of addressing debates on the importance of social embeddedness in agglomeration and late industrialization in newly industrializing countries. Depuis les années 1980 et le changement de nature de l'Etat indien, ce dernier s'éloigne d'un modèle de développement autarcique très réglementé, allant vers un contrô le allégé et une intégration plus étroite à l'économie mondiale. Cette évolution a suscité des mesures d'incitation favorisant l'émergence de l'Inde comme premier exportateur de logiciels. Dans le pays, c'est la région de Bangalore qui est en tête de la production de logiciels, et la concentration d'entreprises nationales et étrangères y est connue sous le nom de `Silicon Valley indienne'. Pourtant, `l'Inde de la Silicon Valley' conviendrait mieux, puisque la région s'efforce de passer du développement de logiciels destinés à des marchés mondiaux à la définition de nouveaux produits et technologies. La dynamique du secteur indien des logiciels tient a` l'exportation de services demandeurs de main‐d'uvre, tandis que le marché intérieur, relativement restreint et à croissance lente, a limité les sources d'idées originales. L'article explique les limitations en termes de contraintes sociales sur l'Etat malgré sa nouvelle nature. Analyser comment les relations Etat‐société et leur évolution ont modelé l'industrie des logiciels à Bangalore permet ainsi d'aborder le débat sur l'importance de l'intégration sociale dans une agglomération et une industrialisation tardive propres aux pays d'industrie récente.  相似文献   

20.
Based on life-stories, in-depth interviews and informal conversations, this article focuses on the lived experiences of the inhabitants of a slum in Buenos Aires, Argentina. The first part of the article explores the political-economic context of deepening marginalization of the slum population in contemporary Argentina, paying special attention to the mutually reinforcing processes of massification of under- and unemployment, impoverishment and state retrenchment. The second part of the article analyses the impact of such increasing marginalization on the lived experiences of slum-dwellers in Villa Paraiso. In particular, it focuses on (a) the dominant antagonisms that divide the residents of this destitute neighbourhood; and (b) the feeling of social isolation and abandonment that pervades much of the reality of slum-dwellers. The article finds some experiential similarities between slum-dwellers in Argentina and residents of other enclaves of urban poverty in advanced societies. A partir d'histoires de vie, des entrevues en profondeur et des conversations informelles, cet article a pour objet les expériences vécues des habitants des taudis de Buenos-Aires en Argentine. La première partie de l'article explore le contexte socio-politique de marginalisation croissante des habitants des taudis dans l'Argentine contemporaine, attirant particulièrement l'attention sur les processus de massification, de sous-emploi et de chômage, d'appauvrissement et de retrait de l'état qui se renforcent mutuellement. La seconde partie de l'article analyse l'impact que cette marginalisation grandissante a sur l'expérience des habitants des taudis de Villa Paraiso. Il examine en particulier (a) les antagonismes dominants qui divisent les résidents de ce quartier sans ressources et (b) l'impression d'isolation sociale et d'abandonnement qui imprègne une bonne part de la réalité des habitants de taudis. L'article met en evidence certaines similarités entre les expériences des habitants de taudis en Argentine et les résidents d'autres enclaves de pauvreté urbaine dans les sociétés avancées.  相似文献   

设为首页 | 免责声明 | 关于勤云 | 加入收藏

Copyright©北京勤云科技发展有限公司  京ICP备09084417号