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1.
La nature spécifique des luttes de classes dans les villes américaines avant les années 1870 a reçu, curieusement, peu d'attention de la part des historiens. Cet article examine l'évolution de la lutte de classes dans les villes du nord-est entre 1760 et 1820. Il est soutenu que pendant cette période le travail est devenu marchandise, ou force de travail, et que la distinction entre travail et force de travail est créé par la mobilité, fondement sur lequel l'accumulation du capital devient possible. ‘L'accumulation primitive’ est précédée par la ‘mobilité primitive’ dont il y a évidence aussi tôt que les années 1760 dans l'agriculture commerciale des régions du nord-est. Si la structure du travail temporaire urbain demeure en grande partie inchangée pendant cette periode, celle du travail artisanal devient sujette aux contraintes de la ‘force du travail’ au début du dix-neuvièrne siècle. Si le contrôle du pouvoir politique est à la base de la lutte de classes urbaine à la fin du dix-huitième siècle, vers les années 1820 il devient plutôt contrôle du pouvoir économique. Les réformes proposées dans les années qui suivent, ont comme objet la modification du comportement économique de la classe ouvrière ou des ‘pauvres’, qui étaient en effet en grande partie des Américains d'origine et non des immigrants. Ces réformes ont une portée spéciale dans les grandes villes où la réorganisation du travail par le capital fait face à des réactions violentes basées sur des idées communautaires plus anciennes. Ces réformes étaient essentielles à la réorganisation rationale de l'espace urbain social, et en tant que tel, représentent le commencement de la ‘modernisation’ des conflits de classes.  相似文献   

2.
In the Uptown area of Chicago and Sheffield, England’s Sharrow neighborhood, redevelopment initiatives in the late 1960s and early 1970s produced a significant degree of community conflict. Throughout the 1970s and 1980s a variety of grassroots movements appeared in each community. The legacy of redevelopment-derived conflict and community-based organizing in the two communities suggests that there is more variation in neighborhood grassroots politics — even in communities with comparable public policy and organizing histories — than prevailing explanations of neighborhood mobilization tend to acknowledge. However, with the 1990s a convergence in the Uptown and Sharrow experiences has appeared: the narrowing of their grassroots organizations’ political agendas, which can be attributed to national shifts in political discourse and public policy. Dans le quartier de Uptown à Chicago et le quartier de Sharrow à Sheffield en Angleterre, les initiatives de redéveloppement à la fin des années soixante et le début des années soixante-dix ont causé un degré significatif de conflit dans la communauté. Durant les années soixante-dix et quatre-vingt divers mouvements populaires sont apparus dans ces communautés. Dans les deux communautés, le résultat des conflits dûs au redéveloppement et de l'organisation basée dans la communauté suggère qu'il y a plus de variation dans les politiques populaires des quartiers — même dans les communautés qui ont des politiques publiques et un passé d'organisation similaires — que les explications dominantes de la mobilisation de quartier tendent à reconna^tre. Cependant, dans les années quatre-vingt-dix, une convergence entre les expériences de Uptown et Sharrow est apparue: le rétrécissement des programmes politiques de leurs organisations populaires qui peut être attribué aux changements nationaux du discours politique et de la politique publique.  相似文献   

3.
The objective of this article is to speculate on the urban restructuring process in China’s transition to a market economy. Previous studies suggest that a broad theoretical framework is much needed to develop hypotheses for further empirical studies. This paper draws its insights from relevant studies on contemporary capitalist cities, in particular, political economy analysis of the urban process and capital switching, the structure of building provision and the creation of a rent gap, and institutional analysis of property rights. Summarily, it suggests that the basic logic of production in the context of a socialist city requires a specific way of coordinating — through economic planning and a specific configuration — the state work-unit system. Manifested in the production of the built environment was project-specific development. The structural tendency to disinvest in developed land has engendered a rent gap, which has laid the foundation for the phase of redevelopment in reforming socialist economies. Urban restructuring in the recent emerging market economy, which mainly involves decentralization, reorganizing the production of the built environment, and an increasing local-global link through overseas capital, is understood through this perspective. The post-reform built environment is characterized by land-use restructuring and polycentric development. It is argued that the physical reshaping of Chinese cities can be understood with respect to the redefinition of property rights, hence, capturing the rent gap by the main actors — state work-units, municipalities, the central state, real-estate investors, original residents and farmers. By its nature, the process favours big builders who have either de facto rights over existing urban land property or huge capital that enables them to ‘wipe out’ small owners. Western experience of gentrification reminds us that social problems may be created during the process, which calls for continuing insights to shed light on urban restructuring in post-reform China. L’objectif de cet article est de spéculer sur le processus de restructuration urbaine durant la période de transition de la Chine à une économie de marché. Les études précédentes suggèrent qu’un modèle théorique large est absolument nécessaire pour développer des hypothèses pour des études empiriques additionnelles. Cet article tire ses idées des études des villes capitalistes contemporaines, en particulier des analyses d’économie politique du processus urbain et du tranfert de capitaux, de la structure de la provision de bâtiments et de l’écart entre les loyers, et de l’analyse institutionnelle des droits de propriété. Succintement, cet article suggère que la logique fondamentale de la production dans le contexte d’une ville socialiste demande une méthode particulière de coordination — par la planification économique et une configuration spécifique — le système d’unité de travail de l’état. Le développement spécific de certains projets était manifeste dans la production de l’environnement urbain. La tendance structurelle au désinvestissement des terres développées a produit un écart dans les loyers, qui a créé une base pour une phase de redéveloppement des économies socialistes en réforme. La restructuration urbaine dans l’économie de marché naissante, qui implique principalement la décentralisation, la réorganisation de la production de l’environnement urbain, et, de plus en plus, un lien entre le local et le global grâce au capital d’outremer, peut être comprise dans cette perspective. L’environnement urbain d’après les réformes est caractérisé par la restructuration de l’aménagement du territoire et le développement polycentrique. Cet article soutient que le remaniement physique des villes chinoises peut être compris par rapport à la redéfinition des droits de propriété, et l’écart des loyers est donc accaparé par les agents principaux — les unités de travail de l’état, les municipalités, l’état central, les investisseurs immobiliers, les résidents d’origine et les fermiers. Vu sa nature, ce processus favorise les gros entrepreneurs qui ont soit les droits de facto aux terres urbaines existantes soit des capitaux considérables qui leur permettent de ‘liquider’ les petits propriétaires. L’expérience occidentale d’embourgeoisement nous rappelle que les problèmes sociaux peuvent être créés durant ce processus, qui demande une attention continue afin d’expliquer la restructuration urbaine dans la Chine d’après les réformes.  相似文献   

4.
On a assisté en Grande-Bretagne au cours des dix années passées non seulement à une réémergence mais à une redéfinition de l'action communautaire. Un développement majeur a été une évolution hors des conceptions pluralistiques précédentes au profit d'analyses basées sur les classes. Cet article examine la partie de cette évolution qui nous intéresse, et qui a été définie comme étant un radicalisme progmatique. Elle est radicale parce que ses buts et sa stratégie consistent à résister à ce qui est ressenti comme des épreuves évitables imposées aux classes ouvrières par un système économique et politique capitaliste. Elle est pragmatique dans un contexte global par suite de la nature contradictoire des activités journalières. Le but du radicalisme pragmatique est de développer des alliances naturelles entre les groupes industriels et les groupes communautaires pour leur intérét commun. Il est considéré que les communautées en lutte manquent de pouvoir politique réel; les luttes purement industrielles manquent également souvent d'objectifs qui pourraient élargir l'horizon politique des travailleurs concernés au-delà des problèmes immédiats en question. Il y a trois niveaux dans la stratégie du radicalisme pragmatique: le niveau industriel, le niveau communautaire et le niveau gouvernemental local. Chacun de ces niveaux est analysé et des exemples sont donnés.  相似文献   

5.
The literature on the transition to postmodernism, postfordism and participatory planning stresses the value of the economic and planning process shifts that have occurred in the late 1960s and early 1970s. This paper compares two periods of planning and urban development in Toronto: one running from 1959 to 1962, at the height of modernism, fordism and expert-driven planning, and the other, from 1989 to 1992, set within the postmodern, postfordist and participatory planning era. In line with expectations arising from the literature, the study reveals stark distinctions between the two periods. It documents the breaking up of the modern consensus around the progress ideology into a postmodern constellation of values. As a result, the range of issues debated on the planning scene was much broader over the second period than over the first. Overall, however, results point to a mixture of continuity and change between the two periods and thus diverge from this literature’s strong emphasis on transition. Contrary to expectations, citizen mobilization was pervasive in both periods, although there were major differences in the nature of activism and in the issues that were raised. Over the first period most activism originated from ratepayer organizations dedicated to the protection of single-family-home neighbourhoods from encroachments, whereas the second period featured, along with such associations, advocacy groups championing environmental and social causes. The two periods are also distinguished by different planning implementation capacities. Whereas in the first period, planning had the means to implement its visions, this was no longer the case in the second period. In the late 1980s and early 1990s, planning was thus incapable of aligning urban development with its environmental and social ideals, which meant that, by default, planning practice over the second period proceeded pretty much according to land-use and transportation principles evolved in the early postwar decades. In sum, distinctions between the two periods were far more evident in the discourse than in the implementation sphere. — Les recherches sur la transition vers le postmodernisme, le postfordisme et la planification participative soulignent la valeur des changements qui ont pris place à la fin des années soixante et au début des années soixante-dix. Cet article compare deux périodes de planification et de dévelopment urbain à Toronto: une qui va de 1959 à 1962, durant l’apogée du modernisme, du fordisme et de la planification contrôlée par les experts, et l’autre, de 1989 à 1992, à l’époque du postmodernisme, du postfordisme et de la planification participative. En accord avec les prévisions émanant des recherches, cette étude révèle des distinctions nettes entre les deux périodes. Elle documente le morcellement du consensus moderne autour l’idéologie du progrès et le changement en faveur d’une constellation de valeurs postmodernes. Il s’ensuit que le champ de problèmes discutés en relation avec la planification était beaucoup plus étendu durant la seconde période que durant la première. Dans l’ensemble, cependant, les résultats indiquent un mélange de continuité et de changement entre les deux périodes et divergent donc de la forte emphase sur la transition que l’on trouve dans les recherches. Contairement aux prévisions, la mobilisation des citoyens était omniprésente à Toronto pendant les deux périodes, mais il y avait des différences importantes quant à la nature de l’activisme et dans les problèmes soulevés. Durant la première période, la plus grande part de l’activisme provenait des organisations de contribuables vouées à la protection des quartiers d’habitations contre les empiètements, alors que la seconde période comprenait, en plus de ces organisations, des groupes de soutien aux causes de l’environnement et aux causes sociales. Les deux périodes sont également distinctes en termes de mise en oeuvre. Alors que dans la première période les urbanistes avaient les moyens de mettre leurs idées à exécution, ce n’était plus le cas dans la seconde. Vers la fin des années quatre-vingt et le début des années quatre-vingt-dix, la planification ne pouvait pas intégrer les développements urbains et ses idéaux sociaux et environnementaux. Par défaut, la pratique de la planification durant la seconde période a fonctionnée selon les principes d’utilisation des terrains et du transport développés dans les premières décennies de l’après-guerre. En somme, les différences entre les deux périodes sont beaucoup plus visibles au niveau du discours qu’au niveau de l’application.  相似文献   

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The past decade has seen an increasing interest in the cultural economies of cities by public bodies keen to address issues of urban decline. This article documents recent developments on the South Bank of the Thames in central London where cultural investments appear to be clustered and where attempts have been made to give spatial and policy coherence to a range of new development projects. The local authority promotes the South Bank as London’s new cultural quarter. However, this strategy is an opportunist and image‐based response to dominant property speculation interests. The management of cultural production in this part of London reveals limits to local coalition building and the limited influence of local strategies on the development process. The article questions whether the cultural quarter is an appropriate scale for managing the development of cultural industries as a motor for economic development in particular. Depuis une dizaine d’années, les autorités publiques qui s’occupent du déclin urbain s’intéressent de plus en plus à la dimension économique de la culture dans les villes. Cet article présente ce qui s’est passé sur la rive sud de la Tamise au centre de Londres où une tentative a été faite pour donner une cohérence spatiale à une série de nouveaux projets. L’autorité locale vend la South Bank comme un nouveau centre culturel. Cependant, cette stratégie constitue une réponse opportuniste en termes d’image aux intérêts immobiliers spéculatifs dominants. La gestion de la production culturelle dans ce quartier de Londres révèle les limites de la construction de la coalition locale et l’influence limitée des stratégies locales dans les processus de développement. Les auteurs de l’article se demandent si le quartier culturel est une échelle appropriée pour la gestion du développement des industries culturelles comme centre moteur du développement économique en particulier.  相似文献   

8.
Despite widespread claims of its demise, the national state is the scale of the state institution best able to marshal the political, discursive and material resources necessary to achieve goals of social justice, defined as a decrease in income inequality, at local, national and global scales. The appearance of the withering away of the state is deceptive, since it is the state itself that is enacting the distribution of functions that some observers interpret as a reduction in state power. The arguments for a return of big government are both strategic and tactical. Strategically, central government has been responsible for every major social policy advance in the United States in the twentieth century. Tactically, the institutions comprising decentralized governance, including local governments, non–profit foundations and community–based organizations, are inadequate to the task. The role of big government in pursuit of social justice entails discursive and regulatory functions, each in turn suggesting an attendant political project for academics and activists. What is at stake is not a quantitative redistribution of state power but a qualitative redirection of the purposes to which that power is applied. Uncritical insistence on the end of the nation state may create a self–defeating self–fulfilling prophecy that conceals important opportunities for political realignment. L’Etat nation est à la meilleure échelle pour mobiliser les ressources politiques, discursives et matérielles nécessaires à la poursuite de la justice sociale, définie comme la réduction des inégalités de revenu aux échelles locales, nationales et globales, et ce malgré les affirmations répandues sur le retrait de l’Etat. L’apparence d’effacement de l’Etat est trompeuse puisque c’est l’Etat luui même qui organise la réallocation des fonctions que certains observateurs interprètent comme une réduction du pouvoir de l’Etat. L’argument en faveur d’un retour du ‘big government’ sont à la fois stratégiques et tactiques. D’un point de vue stratégique, le gouvernement central a été responsable de toutes les grandes avancées sociales du Xxème siècle aux USA. Sur le plan tactique, les institutions de gouvernance décentralisée comprenant le gouvernement local, les fondations à but non lucratif et les organisations communautaires ne peuvent pas faire face à ces tâches. Le rôle du gouvernement dans la poursuite de la justice sociale comprend des fonctions régulatives et discursives, chacune d’entre elle renvoyant à des projets politiques pour les activistes et les universitaires. Ce n’est pas la réallocation de l’autorité qui est en jeu mais une réorientation des objectifs du pouvoir. L’accent mis sans réserve sur la fin de l’Etat nation pourrait crééer une prophétie auto–créatrice auto–défaitiste qui dissimulerait les vraies opportunités de réorientation politique.  相似文献   

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This article explores how bargaining advantages arising from the process of public‐private coordination of interests enable local government to contain business influence in urban development. A theoretical framework highlights how the scope of business demands and the impact of policy on political coalitions empower local officials as Brokers, Organizers, Entrepreneurs and Promoters. Each role affords different pathways for state power in competition with business. This is illustrated by surveying transportation politics during the industrial age in New York City. The city’s experience demonstrates alternative local public‐sector foundations for governmental power in growth politics. As such, it qualifies theories of business privilege in democratic politics and identifies how the dynamics of the public sector empower local officials. Cet article examine comment la négociation d’avantages, née de la coordination des intérêts publics‐privés, permet à un gouvernement local de contenir l’influence des entreprises sur l’urbanisme. Un cadre théorique explique comment l’ampleur des demandes des entreprises et l’impact de la politique sur les coalitions politiques autorisent les représentants locaux à agir en Médiateur, Organisateur, Entrepreneur et Promoteur, chacun de ces rôles permettant des chemins différents vers le pouvoir étatique, en concurrence avec le monde des affaires. L’illustration est donnée par une étude de la politique des transports de la ville de New York à l’ère industrielle. Elle démontre que le secteur public local dispose de diverses assises pour s’assurer un pouvoir gouvernemental dans une politique de croissance. A cet égard, il modère les théories sur le privilège des entreprises dans une politique démocratique et définit comment la dynamique du secteur public donne un pouvoir aux représentants locaux.  相似文献   

11.
Post-Mao China is marked by priorities which unlike Maoist redistributive policies encourage and tolerate uneven regional development. But this approach has been under severe attack, and the Ninth Five-Year Plan (1996–2000) which calls for narrowing the regional gap signals that new policies are due. These changes reflect shifts in development philosophies and theories, which are overlooked by many existing studies which emphasize only policies and their outcome. This paper explores the thoughts and ideas that underlie post-Mao regional policy, by reviewing the Chinese literature on regional development from about 1985 to 1995. New applications of socialism and the influence of Western theories have helped to remove the stigma associated with uneven regional development, and have guided post-Mao regional policy which favors the more developed eastern region. But the uneven regional development policy is blamed for the escalation in regional inequality, outflows of resources from poorer inland provinces, and regional conflicts and protectionism. More recent research which advocates renewed attention on and regional diffusion to the inland region, has inspired a new generation of regional development models and has influenced urban and regional policy. Nevertheless, the theory of Chinese regional development continues to be constrained by the obligation to justify official policy, and a lack of attention to firms, enterprises, and the relations between production and space. La Chine d’après Mao est caractérisée par des priorités qui, au contraire de la politique redistributive maoï?ste, encouragent et tolèrent le développement régional inégal. Mais cette approche a été l’objet d’attaques virulentes, et le neuvième Plan de Cinq Ans (1996–2000), qui demande une diminution des écarts régionaux, indique qu’une nouvelle politique est nécessaire. Ces changements reflètent les variations dans les philosophies et théories de développement que de nombreuses études ignorent au profit des politiques et de leur résultats. En faisant une revue de la littérature chinoise sur le développement régional de 1985 à 1995, cet article explore les idées fondamentales de la politique régionale post-Mao. De nouvelles applications du socialisme et l’influence des théories occidentales ont aidéà enlever le stigmate associé au développement régional inégal, et ont guidé la politique régionale post-Mao, qui favorise la région de l’est, qui est plus développée. Mais la politique de développement régional inégal a été accusée de causer une escalation de l’inégalité régionale, une perte de ressources dans les provinces intérieures les plus pauvres, des conflits régionaux et du protectionnisme. Les recherches plus récentes, qui attirent l’attention sur la région de l’intérieur et recommandent la diffusion régionale aux terres de l’intérieur, ont inspiré une nouvelle génération de modèles de développement régional et ont influencé la politique urbaine et régionale. Néanmoins, la théorie du développement régional chinois est toujours limitée par l’obligation de justifier la politique officielle et par un manque d’attention aux entreprises et aux rapports entre la production et l’espace.  相似文献   

12.
Housing policy in the developing world has usually been shaped by social and political considerations, yet housing can also be used to promote economic development. From the 1930s to the 1950s, it was increasingly deployed for this purpose by the agencies of colonial powers, including Britain and France; by the United States in Puerto Rico; and by the US Agency for International Development and the Inter‐American Development Bank in Latin America. By the mid‐1960s, the UN and affiliated agencies, notably the International Labour Office, had a keen and broad appreciation of its significance for economic policy. This understanding was temporarily swamped by rising social concerns and then sidelined when the World Bank began to support sites‐and‐services schemes in the 1970s. It reasserted itself in the 1980s in the form of ‘market enabling’ strategies which, however, too often became an excuse for inaction. This history underlines the importance of paying attention to the potential role of housing as a tool of economic development. Dans le monde en développement, la configuration de la politique du logement tient généralement à des aspects sociaux et politiques, alors que le logement peut aussi servir à promouvoir l’expansion économique. Des années 1930 à 1950, c’est dans ce but qu’elle a été mise en ?uvre par les organes des puissances coloniales, dont la Grande‐Bretagne et la France, par les États‐Unis à Puerto Rico, ainsi que par l’agence de développement international des États‐Unis (USAID) et la Banque interaméricaine de développement en Amérique latine. Au milieu des années 1960, l’ONU et ses agences, notamment le Bureau International du Travail, ont émis un avis général tranché quant à son importance en politique économique. Cette idée a été temporairement submergée par l’apparition de problèmes sociaux, puis mise sur la touche lorsque la Banque mondiale a soutenu les projets Sites et services dans les années 1970. Elle s’est réimplantée dans les années 1980 sous la forme de stratégies de stimulation de marché qui, toutefois, ont trop souvent servi d’excuse au manque d’action. Cet historique souligne l’intérêt à accorder au rôle potentiel du logement en tant qu’outil de développement économique.  相似文献   

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In the post-Communist period, the territory — which under communism was an expression of the sovereignty of the centralized state — now carries the founding aspirations of local or regional communities which are determined to reconstitute political relations on a different basis. This is illustrated by focusing on negotiations to define cross-border (Oder-Neisse) economic privileges and on political competences in the region of Upper Silesia. An examination of these themes allows us to define the post-Communist identity as a construct of collective action, based on the reinvestment of various historical resources and on the formation of cleavages directed at redefining relations between the centre and the political periphery. Several features of the old political order have been reconstituted in this way. — Dans la période post-communiste, le territoire — qui sous le communisme était une expression de la souveraineté de l’état centralisé— supporte maintenant les aspirations fondatrices des communautés locales ou régionales qui sont résolues à reconstituer les relations politiques sur des bases différentes. Une examination des négociations pour définir des privilèges politiques à travers la frontière (Oder-Neisse) et pour les compétences politiques dans la région de Haute-Silésie illustre ceci. L’exploration de ces thèmes nous permet de définir l’identité post-communiste comme une construction de l’action collective, basée sur le réinvestissement de diverses ressources historiques et sur la formation de divisions orientées vers la redéfinition des relations entre le centre et périphérie politique. Plusieurs traits de l’ancien ordre politique ont ainsi été reconstitués.  相似文献   

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Over the past two decades, converted loft spaces have emerged as an important element of the North American inner-city landscape. Originating within the specific social and economic conditions of Manhattan's SoHo (South of Houston) District in the 1970s, lofts have come to exemplify a conjunction between culture and economy in the restructuring of the contemporary city. In the gentrification literature, however, the idea of ‘culture’ and its role in urban change remains weakly conceptualized as ‘arts-related investment’ and ‘heritage preservation’. In this paper I untangle this relationship and realign the cultural with socio-spatial practice to examine the production of a loft landscape in inner-city Montréal. This case study illustrates the weak role played by capital accumulation strategies in the production of this landscape in Montréal and highlights the importance of a North-America-wide cultural construction of the SoHo loft and its reproduction in other cities. I argue that the media serves as a site and agent in the re-coding of inner city industrial landscapes by repeatedly representing lofts as the ‘authentic’ domain of the avant-garde. In the case of Montréal, the reconstruction of a loft landscape further depends on local cultural forms that map and translate the loft lifestyle and aesthetic in the local material environment and build relationships between local conditions and identities, and SoHo. Finally, drawing on interviews with Montréal loft tenants, I illustrate how inner-city identities are constructed through socio-spatial practices. Durant les deux dernières décennies, les espaces de lofts aménagés sont devenus un élément important du paysage des centres-villes d'Amérique du Nord. Ayant leur origine dans les conditions économiques et sociales spécifiques au district de SoHo à Manhattan (au Sud de Houston) dans les années 1970, les lofts en sont venus à exemplifier une conjonction entre la culture et l'économie dans la restructuration de la ville contemporaine. Cependant, dans la littérature sur l'embourgeoisement, l'idée de ‘culture’ et son rôle dans le changement urbain ne sont que peu théorisés en tant que ‘investissement qui se rapporte aux arts’ et ‘préservation du patrimoine’. Dans cet article, j'éclaircis ce rapport et réaligne le cultural à la pratique socio-spatiale afin d'examiner la production d'un paysage de lofts dans le centre de la ville de Montréal. Ce cas d'étude illustre le rôle minime des stratégies d'accumulation du capital dans la production de ce paysage à Montréal et souligne l'importance d'une construction culturelle du loft de SoHo, connue dans toute l'Amérique du Nord, et de sa reproduction dans d'autres villes. Je soutiens que les médias servent de lieu et d'agent de recodification des paysages industriels des centres-villes en représentant régulièrement les lofts comme le domaine ‘authentique’ de l'avant-garde. Dans le cas de Montréal, la reconstruction d'un paysage de lofts dépend aussi des formes culturelles locales qui tracent et traduisent le mode de vie et l'esthétique du loft dans l'environnement matériel local et qui construisent des rapports entre les conditions et identités locales et SoHo. Finalement, me basant sur des entrevues avec des occupants de loft à Montréal, je montre comment les identités du centre-ville sont construites par les pratiques socio-spatiales.  相似文献   

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Policy debates on shelter for women have focused on family structure, gender roles and the importance of shelter in women’s economic development. They emphasize the need for shelter that is generally effective and empowering for women. Although valuable, these general policy proposals are often unable to account for the particular situations in specific cultural contexts in which family structure, roles and economic development are reshaped by women’s migration, and where cultural mandates for, and family‐based control of, women’s shelter are re‐articulated. Through a study of 12 working women’s hostels in Bangalore, India, which includes a survey of 126 residents and 4 focus groups, this article analyses the functions that hostels serve for women and explores the aspects of hostels that are effective and empowering. While only partially effective and empowering in ways that are specified within the current debates, hostels offer a significant policy opportunity to help women both expand their personal, social, economic and political universe without losing contact with the familiar and nurturing networks of family, and gain autonomy over their shelter and lives. The article discusses how hostels can provide a stepping stone for policy and programmatic interventions toward decent, secure and empowering shelter for women. Les débats politiques sur l’hébergement des femmes se sont concentrés sur la structure familiale, les rôles des sexes et l’importance de l’habitat dans le développement économique des femmes. Ils ont souligné le besoin d’un hébergement qui procure généralement à celles‐ci satisfaction et possibilités. Bien qu’appréciables, ces propositions générales sont souvent incapables de tenir compte de situations particulières, dans des contextes culturels spécifiques où la migration des femmes remodèle la structure familiale, les rôles et l’évolution économique, parallèlement au réajustement entre les directives culturelles et le contrôle familial à l’égard de l’hébergement féminin. À travers une étude sur 12 foyers de travailleuses de Bangalore (Inde), comprenant une enqu? te auprès de 126 pensionnaires et 4 groupes‐témoins, cet article analyse les fonctions que les foyers apportent aux femmes et explore les aspects de ces lieux porteurs de satisfaction et de possibilités. M? me si cet apport n’est que partiel, selon les modalités énoncées dans les débats actuels, les foyers donnent à la politique une véritable occasion d’aider les femmes àétendre leur univers personnel, social, économique et politique sans perdre contact avec les réseaux familiers et formateurs de la famille, tout en acquérant une autonomie sur leur résidence et leur existence. L’article explique comment les foyers peuvent constituer un premier pas vers des programmes organisés visant à un hébergement décent et sécurisé pour les femmes qui les rendent autonome.  相似文献   

16.
This article retraces the emergence and shows the implications of current regulative frameworks in the field of urban drug policy. Framed by an analytical perspective that is based on the concept of urban governance, the article focuses on the processes by which cooperation and coordination between various conflicting governmental and non‐governmental agencies are achieved to address drug‐related problems in the major agglomerations of Switzerland, as well as in the metropolitan areas of Amsterdam, Glasgow and Frankfurt am Main. In the first part, it is shown that these problems are structured and debated along a conflict between advocates of the public‐health approach and those of the public‐order approach in the field of drug policy, as well as, to a lesser extent, a conflict between core cities and fringe municipalities about spillover effects related to the provision of services for users of illegal drugs. It is argued that this stems from a general tension between the goals of an attractiveness policy aimed at enhancing local economic development, and the necessities of social policy needed to address urban social problems. The second part examines the emergence of mechanisms of governance aimed at addressing drug‐related urban problems. It is argued that a ‘social public order’ regime emerged to regulate drug‐related urban problems, controlling urban practices of drug users by a combination of police and social work. In addition, it is held that in Switzerland, where social policy is traditionally confined to municipalities, these mechanisms of governance contributed to the emergence of metropolitan regions as new territorial actors in the field of drug policy. Cet article retrace l'apparition et les implications des cadres régulateurs actuels dans le domaine de la politique urbaine contre la drogue. Dans une perspective analytique fondée sur le concept de gouvernance urbaine, il s'attache aux processus qui permettent coopération et coordination entre divers organismes antagonistes, gouvernementaux ou non, pour traiter des problèmes liés à la drogue dans les principales agglomérations suisses, ainsi que dans les zones métropolitaines d'Amsterdam, Glasgow et Francfort‐sur‐le‐Main. La première partie démontre que ces questions sont organisées et discutées au sein d'une opposition entre partisans de l'approche de santé publique et ceux de l'ordre public en matière de politique de lutte contre la drogue, ainsi que, dans une moindre mesure, au sein d'un conflit entre les villes centrales et les municipalités satellites sur les retombées des services mis en place pour les consommateurs de drogues; cette situation résulte d'une tension globale entre les objectifs d'une politique d'attraction visant à favoriser le developpement économique local, et les nécessités d'une politique sociale obligée de traiter les problèmes urbains. La deuxième partie étudie l'émergence de mécanismes de gouvernance en réponse aux problèmes urbains liés à la drogue; ainsi, un régime ‘d'ordre public social’ a vu le jour, les pratiques urbaines des consommateurs de drogue étant sous le contrôle combiné de la police et des travailleurs sociaux. De plus, en Suisse où la politique sociale est par tradition du ressort des municipalités, certaines zones métropolitaines sont devenues, grâce à ces mécanismes de gouvernance, de nouveaux acteurs territoriaux de la politique publique de lutte contre la drogue.  相似文献   

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This paper examines the systems of social relations underpinning the late 1980s’ office boom in São Paulo, Brazil. Using ‘institutionalist’ approaches to provide an empirical examination of these systems, it focuses on the nature of the dominant agents and their strategies, the linkages that allow them to perform their functions, and the relative position and power of the agents in the production and use of built structures. The paper tries to situate these systems in their economic and social environment and to point to the connections between socially constructed property markets, their environment, and the characteristics and outcomes of the property boom. In doing so, it aims to cast some light on the processes through which a mix of economic, social and cultural impulses, of global and ã local origins, are related to the structures of provision of offices in the context of So Paulo and lead to the production of specific forms of built environment. — Cet article examine les sytèmes de relations sociales qui a soutenu le boom des bureaux à S ão Paulo à la fin les années quatre-vingt. Utilisant des approches ‘institutionnalistes’ afin de fournir une examination empirique de ces systèmes, il se concentre sur la nature des agents principaux et sur leurs stratègies, sur les liens qui leur permettent d’assurer leurs fonctions, et sur la position de pouvoir relatif de ces agents dans la production et l’utilisation des structures bâties. Cet article essaie de situer ces sytèmes dans leur environnement social et économique, et de montrer les rapports entre les marchés immobiliers construits socialement, leur environnement et les caractéristiques et résultats de l’essor immobilier. Ce faisant, il entend éclaicir les processus par lesquels un mélange d’impulsions économiques, sociales et culturelles d’origine locale et globale est lié aux structures de construction des bureaux dans le contexte de S ão Paulo et conduit à la production de formes spécifiques d’environnement construit.  相似文献   

18.
L'intention de cet essai est de provoquer une discussion sur une perspective comparative de l'éeconomie politique. Un compte rendu est fait des contributions récentes de Poulantzas et de Runciman sur les systèmes de pouvoir et de conflit dans l'état-nation contemporain. Une attention particulière est donnée à la typologie de Runciman de six sociétés idéales types. A titre de contraste, la théorie marxiste de l'état est perçue comme étant circulaire et ne pouvant pas confronter d'une manière satisfaisante les problèmes posés par les sociétés de l'Europe de i'Est, et aussi par la gamme de variations à l'intérieur du monde capitaliste. Dans la sphère du développement urbain et régional, la variation de buts et de résultats est en partie déterminée par les relations entre états. Les contraintes imposées par le marché mondial, par la disposition et la circulation inégales de materiaux et de denrées, sont structurées plus par la détermination des états à accroǐtre la production matérielle que par le mode de production dominant dans une formation sociale donnée. Cet acharnement à accroǐtre la production matérielle n'est visiblement pas moins fort dans les sociétés de type ‘socialiste’ ou ‘révolutionnaire’. La théorie marxiste semble accepter l'expansion inévitable de la production matérielle sans se soucier des limites écologiques. De la méme façon qu'il y a un besoin net pour une typologie du pouvoir et des formes de contrǒle social, il y a aussi besoin d'une analyse urbaine et régionale détaillée dans les formations sociales particulières qui pourrait égaler présuppositions théoriques avec résultats empiriques. Les questions pratiques en ce qui concerne qui reçoit quoi, qui détermine qui reçoit quoi, qu'est-ce qui détermine qui reçoit quoi, ne sont pas en mesure d'ětre repondues d'une façon monocausale.  相似文献   

19.
Struggling with the Creative Class   总被引:4,自引:0,他引:4  
This article develops a critique of the recently popularized concepts of the ‘creative class’ and ‘creative cities’. The geographic reach and policy salience of these discourses is explained not in terms of their intrinsic merits, which can be challenged on a number of grounds, but as a function of the profoundly neoliberalized urban landscapes across which they have been traveling. For all their performative display of liberal cultural innovation, creativity strategies barely disrupt extant urban‐policy orthodoxies, based on interlocal competition, place marketing, property‐ and market‐led development, gentrification and normalized socio‐spatial inequality. More than this, these increasingly prevalent strategies extend and recodify entrenched tendencies in neoliberal urban politics, seductively repackaging them in the soft‐focus terms of cultural policy. This has the effect of elevating creativity to the status of a new urban imperative — defining new sites, validating new strategies, placing new subjects and establishing new stakes in the realm of competitive interurban relations. L’article présente une critique des concepts de ‘classe créative’ et ‘villes créatives’ publiés récemment. La portée géographique et la pertinence politique de ces discours s’expliquent non par leurs mérites intrinsèques, ceux‐ci pouvant être remis en question à plus d’un titre, mais en tant que fonction des paysages urbains fortement néolibéraux qu’ils ont traversés. Quant à leur manifestation concrète de l’innovation culturelle libérale, les stratégies de créativité dérangent à peine les orthodoxies qui subsistent en politique urbaine, fondées sur une compétition interlocale, un marketing de lieu, une expansion axée sur la propriété et le marché, un embourgeoisement et une inégalité socio‐spatiale normalisée. Mais surtout, ces stratégies toujours plus présentes prolongent et recodifient des tendances bien installées en politique urbaine néolibérale, les rhabillant de manière attrayante dans un flou artistique terminologique de politique culturelle. Ainsi, la créativité est élevée au statut de nouvel impératif urbain pour définir de nouveaux sites, valider de nouvelles stratégies, positionner de nouveaux sujets et instaurer de nouveaux enjeux dans la concurrence interurbaine.  相似文献   

20.
Recent studies show that ethnic economies are an increasingly vital part of the larger national economy. This is especially true in the case of the Turkish ethnic economy in Germany. This article sheds light on a ‘hidden aspect’ of Berlin’s Turkish ethnic economy: the structure and role of Turkish female labour and female self-employment. It begins with a general discussion on the significance of the gender concept in the international debate on ethnic economies – including findings on minority and immigrant women in self-employment in Europe. The second section of the article focuses on Berlin, using an analysis of the official labour market data at hand to sketch the gendered structure of Berlin’s labour market. The third section presents exploratory empirical data concentrating exclusively on female Turkish entrepreneurs and employees. The results indicate that some of the gendered traits of the ethnic economies described in the international literature also appear in the Berlin survey: the under-representation of women as entrepreneurs and their difficult position in the overall labour market. Furthermore, the data suggest that the concept of ‘ethnic business’ as typically presented in the literature turns out to be a ‘male’ concept and is hardly applicable to the case of the Turkish women in Berlin. The common features of the concept (ethnic clientele, suppliers, labour or involved kin, orientation towards the ethnic community) applied only partially to the Turkish women entrepreneurs. — Des études récentes ont démontré que les économies ethniques sont une partie de plus en plus vitale de l’économie nationale. Ceci est particulièrement vrai dans le cas de l’économie ethnique turque en Allemagne. Cet article explore un ‘aspect caché’ de l’économie ethnique turque à Berlin: la structure et le rôle de la main d’oeuvre féminine turque et des femmes travailleuses indépendantes turques. Il commence par une discussion générale sur la signification du concept du genre dans le débat international sur les économies ethniques – y compris les données concernant les travailleuses indépendantes immigrantes et de minorité ethnique en Europe. La seconde partie de l’article est consacrée à Berlin, et donne un aperçu de la structure du marché du travail de Berlin par rapport au genre grâce à une analyse des données disponibles du travail officiel. La troisième section présente des données empiriques exploratoires concernant les employées et les femmes entrepreneurs turques exclusivement. Les résultats indiquent que certains des traits de genre des économies ethniques décrits dans les bibliographies internationales se retrouvent dans l’enquête sur Berlin: la sous-représentation des femmes entrepreneurs et leur position difficile dans le marché du travail dans son ensemble. De plus, les données suggèrent que le concept de ‘commerce ethnique’, comme il est habituellement présenté dans les travaux sur ce sujet, est un concept ‘masculin’ et qui ne peut guère ? tre appliqué au cas des femmes turques de Berlin. Les points communs du concept (la clientèle ethnique, les fournisseurs ethniques, la place de la famille ou des employés ethniques, une orientation vers la communauté ethnique) ne s’appliquent que partiellement aux femmes entrepreneurs turques.  相似文献   

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