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1.
Abstract. Few studies have examined auditors' decisions to use internal auditors as assistants. In addition, those that have investigated this issue have primarily concentrated on the three internal audit factors: objectivity, competence, and work performed. This study expands the research in this area by investigating the impact of inherent risk on auditors' decisions to use internal auditors as assistants. Specifically, the study examines the effect of inherent risk on (1) the extent to which auditors consider factors related to the internal audit function in making decisions to use internal auditors as assistants and (2) the complexity of auditors' decision processes in making such judgments. The results indicate that inherent risk impacts the extent to which internal audit objectivity and work performed affect auditors' decisions to use internal auditors as assistants. In high inherent risk conditions, the results suggest that auditors use a complex configural decision process to evaluate the objectivity and work performed of the internal auditors. Specifically, in the high inherent risk condition, the effect of the work performed by the internal auditors on auditors' decisions to use internal auditors as assistants is contingent upon the level of internal audit objectivity. When objectivity is high, differences in the nature of the work performed by the internal auditors have a significant effect on auditor judgments. However, when objectivity is low, auditors do not appear to consider the work performed by the internal auditors. In the low inherent risk condition, no interactions exist between internal audit objectivity and work performed as auditors appear to use a less complex decision process in evaluating these variables. Résumé. Peu de chercheurs se sont penchés sur les décisions des vérificateurs de faire appel aux vérificateurs internes à titre d'assistants. En outre, ceux qui se sont intéressés à cette question se sont concentrés avant tout sur des facteurs propres à la fonction de vérification interne, notamment l'objectivité du service de vérification interne, sa compétence et le travail qu'il accomplit. L'auteur élargit les perspectives dans ce domaine en analysant l'incidence du risque inhérent sur les décisions des vérificateurs relatives au service de vérification interne. Il examine plus précisément l'incidence du risque inhérent sur 1) la mesure dans laquelle les vérificateurs tiennent compte des facteurs liés à la fonction de vérification interne dans leur décision de faire appel aux vérificateurs internes à titre d'assistants et 2) la complexité du processus décisionnel qu'utilisent les vérificateurs dans la formulation de ces jugements. Les résultats indiquent que le risque inhérent a des répercussions sur la mesure dans laquelle l'objectivité du service de vérification interne et le travail qu'il accomplit interviennent dans la décision des vérificateurs de recourir à l'assistance des vérificateurs internes. En situation de risque inhérent élevé, les résultats obtenus donnent à penser que les vérificateurs utilisent un processus décisionnel configurationnel complexe pour évaluer l'objectivité des vérificateurs internes et le travail qu'ils accomplissent. Pour être plus précis, en situation de risque inhérent élevé, l'incidence du travail accompli par les vérificateurs internes sur la décision des vérificateurs dépend du niveau d'objectivité du service de vérification interne. Lorsque l'objectivité est élevée, les différences dans la nature du travail accompli par les vérificateurs internes ont une incidence marquée sur le jugement des vérificateurs. Toutefois, lorsque l'objectivité est faible, les vérificateurs ne semblent pas prendre en considération le travail accompli par les vérificateurs internes. En situation de risque inhérent faible, il n'existe aucune interaction entre l'objectivité du service de vérification interne et le travail accompli, étant donné que les vérificateurs semblent recourir à un processus décisionnel moins complexe pour évaluer ces variables.  相似文献   

2.
Résumé. Les auteurs font appel aux théories proposées par Darrough et Stoughton (1990) afin de mieux comprendre pourquoi certaines entreprises incorporent volontairement des prévisions directionnelles à leurs rapports annuels alors que d'autres s'en abstiennent. Les données qu'ils recueillent sont conformes à leurs prédictions selon lesquelles la politique d'information d'une entreprise reflète ses préoccupations à l'égard de la cote d'évaluation que lui attribue le marché des capitaux et à l'égard de la concurrence à laquelle elle doit faire face sur le marché des produits. Les auteurs constatent que pour les entreprises dont l'information est favorable, la probabilité de produire de l'information prévisionnelle croît lorsque l'entreprise a besoin de capitaux, mais décroît lorsqu'un nouveau concurrent menace d'entrer sur le marché. L'inverse est vrai pour les entreprises dont l'information est défavorable. Ces résultats viennent étayer plus solidement, sur le plan empirique, l'observation selon laquelle l'hypothèse familière de l'information favorable vérifiée dans les travaux portant sur la prévision des résultats par la direction n'offre qu'une explication partielle à la décision de produire de l'information prévisionnelle. Chose intéressante, toutefois, même une fois contrôlés les facteurs relatifs au marché des capitaux et au marché des produits, les données révèlent toujours une distorsion globale dans la présentation volontaire d'information. Elles viennent également légitimer les préoccupations de la CVMO à l'égard de cette distorsion dans la présentation volontaire d'information. Seulement 17,5 pour cent des prévisions de l'échantillon sélectionné par les auteurs indiquent une baisse par rapport aux résultats de l'exercice précédent. Toutefois, par contraste avec les préoccupations de la CVMO en ce qui a trait à l'absence générale d'information prospective dans les rapports annuels, 35,9 pour cent des entreprises de l'échantillon constitué par les auteurs incorporent des prévisions directionnelles à leur rapport de gestion ou à d'autres sections de leur rapport annuel.  相似文献   

3.
Abstract. Prior studies have examined whether audit opinions have incremental explanatory power over financial statement data in predicting bankruptcy filings. However, recent regulatory pronouncements indicate that the auditor should attempt to predict impending financial distress (going-concern difficulties), not whether a firm will file for bankruptcy. This study compares the audit opinion to the resolution of a bankruptcy filing to determine whether prior claims of audit failures might be due to the auditor's focus on financial distress resolution rather than the act of filing for bankruptcy. We find that the audit opinion is a significant variable in a model explaining the resolution of a bankruptcy filing. However, the audit opinion did not predict resolution of bankruptcy proceedings with any greater accuracy than did a naive mechanical model. Résumé. Des chercheurs se sont déjà demandé si l'opinion des vérificateurs avait un pouvoir explicatif marginal par rapport aux données des états financiers dans la prédiction des dépôts de bilan. Or, les règlements récemment promulgués prévoient que les vérificateurs doivent tenter de prédire les difficultés financières imminentes (menaces à la permanence de l'entreprise), et non pas les dépôts de bilan. Les auteurs mettent en parallèle l'opinion du vérificateur et l'issue des dépôts de bilan afin de déterminer si les allégations formulées d'inaptitude des vérificateurs peuvent être attribuables à l'intérêt porté par le vérificateur à la résolution des difficultés financières de l'entreprise plutôt qu'à l'acte du dépôt de bilan. Les auteurs concluent que l'opinion du vérificateur est une variable importante dans un modèle explicatif de l'issue des dépôts de bilan, maís qu'elle ne permet pas de prédire l'issue du déroulement de la faillite avec davantage d'exactitude qu'un modèle mécanique simple.  相似文献   

4.
Résumé. Dans le présent article, les auteurs font état des résultats d'une recherche dans le cadre de laquelle des vérificateurs expérimentés ont interprété les critères du Statement of Financial Accounting Standards No. 5 (Norme n° 5): Accounting for Contingencies (Comptabilisation des éventualités). Cette recherche est axée sur deux questions: 1) la nature et le degré du consensus qui se dégage des interprétations des vérificateurs et 2) la mesure dans laquelle ces interprétations dépendent de la nature de la perte éventuelle. Quarante-cinq vérificateurs expérimentés (chefs de groupe, directeurs et associés) issus de cabinets d'experts-comptables figurant parmi les «huit grands» se sont prêtés à un exercice visant à recueillir leur interprétation des critères de probabilité de la Norme n° 5. Nous avons centré notre analyse sur le seuil auquel s'établit la distinction entre une perte «improbable» et une perte «plausible», et entre une perte «plausible» et une perte «probable». Les résultats de nos recherches ont indiqué: 1) un seuil moyen respectif de 0, 16 et 0,68; 2) un consensus plus manifeste chez les vérificateurs dans le cas du premier seuil que dans le cas du second; 3) un premier seuil beaucoup plus bas que ne l'avaient laissé supposer les précédents travaux de recherche; et 4) dans l'ensemble, l'absence de lien entre les seuils et la nature de la perte éventuelle.  相似文献   

5.
Résumé. Les auteurs s'intéressent ici à la nature des représentations cognitives qu'utilisent les vérificateurs en situation de fraude potentielle dans les états financiers. Ils divisent le problème de détection de la fraude en deux parties: la détection de la mise en scène élaborée par la direction pour masquer la fraude et la détection de la fraude. Ils examinent les deux méthodes de détection des mises en scène proposées par Kahneman et Tversky (1986): 1) l'utilisation de représentations multiples aboutissant à différentes interprétations possibles des données contenues dans les états financiers; et 2) l'utilisation d'une méthode permettant de transposer les données contenues dans les états financiers sous forme de représentation normalisée. Vingt-quatre associés de vérification ont participé à l'étude. Chacun d'eux devait procéder à la contre-révision d'un dossier de vérification. Tous les vérificateurs examinaient quatre cas dans lesquels la direction avait présenté une image trompeuse de l'entreprise (au moyen d'une mise en scène) et produit des états financiers frauduleux. Les résultats obtenus par les auteurs confirment la thèse de Kahneman et Tversky selon laquelle les mises en scène peuvent être décelées grâce à la transposition du problème sous forme de représentation normalisée. Les vérificateurs qui ont eu recours à une représentation normalisée sont parvenus à percer à jour la mise en scène de la direction, à totaliser les éléments correctement et à déceler la fraude dans tous les cas. Ils ont, pour cela, appliqué des procédés conformes aux normes de vérification généralement reconnues (Institut Canadien des Comptables Agréés, 1988; American Institute of Certified Public Accountants, 1984) pour totaliser les éléments. Les vérificateurs qui ont eu recours à des représentations multiples ont aussi détecté la mise en scène élaborée par la direction dans les quatre cas. Ils n'ont cependant pas appliqué les procédés de totalisation recommandés dans les normes de vérification et ne sont parvenus à détecter la fraude dans aucun des quatre cas.  相似文献   

6.
Abstract. Generally accepted auditing standards, auditing textbooks, and firm audit manuals indicate that, other things equal, the presence of significant monetary incentives based on financial results increases the inherent risk of material misstatement, and higher inherent risk should ordinarily cause the auditor to exercise a heightened degree of professional skepticism in conducting the audit. This article addresses the following basic research question: Are auditors sensitive to management's incentives to manage earnings? Research that examines whether auditors distinguish between explanations provided by managers with different incentives is important because audit standards indicate that inquiry of management can assist the auditor in evaluating significant unexpected differences. Two experiments were conducted. The first experiment explored whether management-buyout-induced incentives to make income-decreasing accruals affect auditors' judgments of the probability that a material misstatement exists. As predicted, auditors were sensitive to these incentives. The second experiment explored whether bonus-induced incentives affect auditors' judgments of the probability that a material misstatement exists. The auditors agreed that bonus plans such as the one in the experiment create incentives for management to make income-increasing or income-decreasing accruals depending on the terms of the plan. However, the auditors' judgments were unaffected by whether the unexpected difference and management's incentives were congruent. The auditors opted for potential audit effectiveness rather than potential audit efficiency by assuming that—on balance—management had incentives congruent with the unexpected overstatement. Résumé. Selon les normes de vérification généralement reconnues, les manuels de vérification et les guides de vérification des cabinets comptables, toutes choses égales par ailleurs, la présence d'encouragements monétaires substantiels basés sur les résultats financiers accroît le risque inhérent d'inexactitudes importantes, et un risque inhérent supérieur doit normalement amener le vérificateur à exercer davantage de vigilance dans la réalisation de sa mission de vérification. L'auteur s'intéresse à la question fondamentale suivante: les vérificateurs sont-ils sensibles aux motivations de la direction à user d'astuces comptables aux fins de l'établissement des bénéfices? Les recherches visant à déterminer si les vérificateurs établissent une distinction entre les explications fournies par les gestionnaires dont les motivations sont différentes revêtent beaucoup d'importance, compte tenu du fait que les normes de vérification indiquent que les demandes de renseignements de la direction peuvent aider le vérificateur à évaluer les écarts inattendus appréciables. Deux expériences ont été menées. La première avait pour but de déterminer si les motivations à agir sur les comptes de régularisation de manière à réduire les bénéfices, induites par un rachat de l'entreprise par les cadres, ont une incidence sur les jugements des vérificateurs relatifs à la probabilité d'inexactitudes importantes dans les déclarations. Conformément aux prévisions, les vérificateurs se montrent sensibles à ces motivations. La seconde expérience visait à déterminer si les motivations induites par les primes ont une incidence sur les jugements des vérificateurs en ce qui a trait à la probabilité de l'existence d'inexactitudes importantes. Les vérificateurs conviennent que les systèmes de primes, comme celui de la seconde expérience, motivent la direction à agir sur les comptes de régularisation de façon à augmenter ou réduire les bénéfices, selon les conditions du système. Toutefois, les jugements des vérificateurs ne sont pas influencés par le fait que l'écart inattendu dans les bénéfices et la motivation de la direction sont reliés. Les vérificateurs optent pour l'efficacité potentielle de la vérification plutôt que pour son efficience potentielle, en supposant que, dans l'ensemble, la direction présente des motivations qui vont dans le sens des surestimations inattendues en matière de bénéfices.  相似文献   

7.
Abstract. The Securities and Exchange Commission requires disclosure of auditor-client disagreements that precede a change in auditor. Although prior research has documented that disclosure of disagreements is associated with a decline in equity value, no empirical work has examined factors that result in auditor-client disagreements. We hypothesize that managers are motivated by debt and compensation arrangements to propose methods that are objected to by their auditors (resulting in a disagreement). Because of their greater independence, we also hypothesize that reported disagreements will be more likely for Big Eight (now Big Six) auditors, A comparison of 40 firms that changed auditors and reported a disagreement with a control group of 40 firms that simply changed auditors revealed that disagreement firms are more likely to have debt covenant violations. Disagreement firms are also more likely to have higher leverage, a decline in earnings, and Big Eight auditors. For firms that disclosed the magnitude of the disagreement's effect on earnings, the use of the questionable procedure tended to enhance “flat” earnings growth. Résumé. La Securities and Exchange Commission exige que soit publiée l'information relative aux désaccords vérificateur-client qui précèdent un changement de vérificateurs. Bien que les recherches antérieures aient démontré que la publication de cette information est accompagnée d'un déclin de la valeur des titres, aucun travail empirique n'a examiné les facteurs qui sont à l'origine des désaccords vérificateur-client. Les auteurs posent l'hypothèse selon laquelle ce sont le passif et les régimes de rémunération qui motivent les gestionnaires à proposer des méthodes auxquelles s'opposent les vérificateurs (et qui donnent lieu à un désaccord). Les auteurs posent également l'hypothèse selon laquelle il est plus probable que les désaccords déclarés mettent en cause les huit grands cabinets d'experts-comptables (maintenant les six grands), étant donné leur indépendance plus grande. La comparaison de 40 entreprises ayant changé de vérificateurs et fait état d'un désaccord à un groupe de contrôle de 40 entreprises ayant simplement changé de vérificateurs a révélé que les entreprises en désaccord sont davantage susceptibles d'avoir dérogé à des clauses restrictives. Les entreprises qui déclarent être en désaccord avec leurs vérificateurs sont aussi davantage susceptibles d'être caractérisées par un levier financier élevé, un déclin dans les bénéfices et le recours aux services d'un cabinet d'experts-comptables appartenant aux huit grands. Dans le cas des entreprises qui ont fait état de l'ampleur des conséquences du désaccord sur les bénéfices, l'utilisation du procédé discutable a eu tendance à favoriser une croissance « horizontale » des bénéfices.  相似文献   

8.
Résumé. L'auteur étudie l'incidence de la compétence sur la qualité de la prise de décisions de vérification dans le contexte de la planification de la vérification. Contrairement aux chercheurs qui se sont, jusqu'à maintenant, penchés sur cette question, il mesure la compétence par rapport à des champs de connaissances précis. Il évalue la qualité de la prise de décisions de vérification en fonction de trois critères: la conformité aux normes de la profession, la conformité aux normes du cabinet et le degré de consensus parmi les vérificateurs. Dans l'ensemble, les résultats de l'analyse permettent de conclure que la qualité de la prise de décisions, au sens que lui donne l'auteur, est supérieure chez les vérificateurs expérimentés par rapport aux vérificateurs inexpérimentés. Plus particulièrement, il semble, en premier lieu, que les vérificateurs expérimentés comme les vérificateurs inexpérimentés possèdent un bagage de connaissances minimum et se conforment aux normes de la profession. En second lieu, les vérificateurs expérimentés se conforment davantage aux normes du cabinet, tant en ce qui a trait aux décisions relatives à la confiance à accorder au contrôle interne qu'aux décisions de corroboration, ce qui indique que les connaissances des vérificateurs expérimentés seraient plus approfondies que celles des vérificateurs inexpérimentés. Enfin, le degré de consensus chez les vérificateurs expérimentés est supérieur à celui qu'on retrouve chez les vérificateurs inexpérimentés en situation de vérification normale, bien que dans les situations plus inhabituelles, le degré de consensus soit plus faible chez les vérificateurs expérimentés.  相似文献   

9.
10.
Abstract. The Cohen Commission and previous research have suggested that auditors' opinions are inferior indicators of bankruptcy relative to the predictions of statistical models. This research reexamines this question in light of two important considerations that make the comparison between audit opinions and model predictions considerably more reflective of the auditors' real-world decision environment. First, the sample is partitioned into stressed and nonstressed observations and the importance of doing so is demonstrated; second, the statistical models and the forecast errors are adjusted so that they reflect the proportion of bankrupt firms actually faced by auditors. The empirical results provide convincing evidence suggesting that the notion established in previous research that auditors' opinions are interior to models in predicting bankruptcy is unfounded. It should be noted, however, that neither the auditors' opinions nor the bankruptcy prediction model are very good predictors of bankruptcy when population proportions, differences in misclassification costs, and financial stress levels are considered. Résumé. Les travaux de recherche de la Commission Cohen et d'autres travaux qui les ont précédés semblent indiquer que les opinions des vérificateurs sont des indicateurs de faillite moins efficaces que les prédictions des modèles statistiques. Les auteurs se penchent à leur tour sur cette question, à la lumière de deux éléments importants qui font en sorte que la comparaison entre les opinions des vérificateurs et les modèles prévisionnels s'inscrit beaucoup plus dans le contexte décisionnel véritable dans lequel travaillent les vérificateurs. D'abord, l'échantillon est scindé en deux groupes d'observations selon la présence ou l'absence de contrainte financière, partage dont les auteurs expliquent l'importance; ensuite, les modèles statistiques et les erreurs prévisionnelles sont ajustés de manière & refléter la proportion des sociétés dont la faillite a été envisagée par le vérificateur. Les résultats empiriques démontrent de façon probante que les conclusions tirées des travaux précédents selon lesquelles les opinions des vérificateurs sont moins efficaces que les modèles en matière de prévision des faillites ne sont pas fondées. Il convient de noter, cependant, que ni les opinions des vérificateurs ni les modèles prévisionnels ne sont des prédicteurs très efficaces des faillites si l'on tient compte des proportions de la population, des différences dans le coût des erreurs de classification et du niveau de contrainte financière.  相似文献   

11.
Abstract. This paper examines the probability judgments made by auditors for their financial statement footnote disclosure decisions and their audit report additional paragraph decisions in the presence of material loss contingencies. In the United States these judgments are governed by SFAS No. 5 and SAS No. 58. Two prior studies have reported inconsistent results pertaining to the degree of compliance of auditors with the judgment and decision-making process implied by SFAS No. 5. In contrast, SAS No. 58 has not previously been examined with respect to auditor compliance. Results from an experiment with 64 audit partners from six firms were consistent with the hypothesis that audit partners employ the same (compensatory) judgment process when making footnote disclosure decisions as when making additional paragraph decisions. This process led the partners to make judgments for the additional paragraph decision that were in accordance with SAS No. 58. In contrast, their judgments for the footnote disclosure decision were consistent with a decision theory model of auditor behavior rather than the noncompensatory process implied by SFAS No. 5. Additional aspects of the study pertain to the additional paragraph decision of auditors. Observed judgments for these decisions are consistent with the hypothesis that additional information is conveyed beyond that provided by only a footnote disclosure. This is contrary to some recent discussions of the standards. Résumé. Les auteurs étudient les jugements relatifs aux probabilités portés par les vérificateurs dans le cadre de leurs décisions relatives à la présentation des pertes éventuelles importantes sous forme de notes infrapaginales dans les états financiers ou de paragraphes supplémentaires dans le rapport des vérificateurs. Aux États-Unis, ces jugements sont régis par le SFAS no 5 et le SAS no 58. Deux études antérieures ont donné des résultats dissemblables en ce qui a trait à la mesure dans laquelle les vérificateurs se conforment au processus de jugement et de prise de décisions que suppose le SFAS no 5. Le respect par les vérificateurs des normes du SAS no 58 n'a fait, quant à lui, l'objet d'aucune analyse. Les résultats d'une expérience menée auprès de 64 associés reponsables de la vérification dans six cabinets ont confirmé l'hypothèse selon laquelle les associés responsables de la vérification utilisent le même processus de jugement (compensatoire) lorsqu'ils décident de présenter les pertes éventuelles sous forme de notes infrapaginales que lorsqu'ils optent pour les paragraphes supplémentaires. Ce processus a amené les associés à porter des jugements pour l'ajout de paragraphes supplémentaires conformes au SAS no 58. Par opposition, leurs jugements relatifs à la présentation sous forme de notes infrapaginales étaient conformes à un modèle de comportement du vérificateur inspiré de la théorie de la décision plutôt qu'au processus non compensatoire que suppose le SFAS no 5. D'autres aspects de l'étude portent sur la décision des vérificateurs relative à l'ajout de paragraphes supplémentaires. Les jugements observés relativement à cette décision sont conformes à l'hypothèse selon laquelle d'autres renseignements sont transmis, outre ceux qui sont fournis par voie de simples notes infrapaginales. Ces résultats viennent contredire certaines analyses récentes portant sur les normes.  相似文献   

12.
Abstract. Adequate disclosure of risks and uncertainties is an issue of interest to the accounting profession and regulators both in Canada and in the United States. Previously, auditors were required to modify their audit reports in the presence of material uncertainties. However, following suggestions that such disclosure is redundant and not useful, the CICA removed this requirement in 1980. Auditors in the United States are still required to disclose material uncertainties in the audit report. The criterion of predictive ability is used in this research to evaluate the potential usefulness of this report modification requirement. Specifically, the study examines the ability of report modifications to predict the materially adverse resolutions of pending litigation. The subsequent resolution patterns for a sample of litigation loss contingencies (with an audit report modification) and a control sample of litigation loss contingencies (without an audit report modification) were compared. The results indicate that a larger proportion of contingencies with an audit report modification were resolved materially against the client. Also noteworthy, audit report modifications had incremental predictive ability over other types of disclosures such as footnotes to the financial statements and prior media disclosure of the contingency. Résumé. La présentation adéquate des risques et des incertitudes est une question d'intérêt pour la profession comptable et les responsables de la réglementation, tant au Canada qu'aux États-Unis. Les vérificateurs étaient auparavant tenus de modifier leur rapport en cas d'incertitudes importantes. Toutefois, à la suite de suggestions selon lesquelles cette information était redondante et sans véritable utilité, l'I.C.C.A. a supprimé cette exigence en 1980. Aux États-Unis, les vérificateurs sont encore tenus de prvérificateurssenter les incertitudes importantes dans leurs rapports. L'auteur utilise le critère de la capacité de prédiction pour évaluer l'utilité potentielle de cette demande de modification du rapport des vérificateurs. Il examine plus précisément dans quelle mesure les modifications apportées au rapport permettent de pédire si les litiges en instance auront un dénouement défavorable dont les conséquences seront importantes. Les modèles de dénouement ultérieur d'un échantillon de pertes éentuelles attribuantes à des litiges, avec modification du rapport des vérificateurs, et d'un échantillon de contrôle de pertes éventuelles attribuables à des litiges, sans modification du rapport des vérificateurs, ont été comparés. Les résultats de cette comparaison indiquent qu'une plus grande proportion de pertes éventuelles attribuables à des litiges avec modification du rapport des vérificateurs se sont soldées par un résultat défavorable important pour le client. Autre fait digne de mention: les modifications apportées au rapport des vérificateurs présentaient une capacité de prédiction marginale par rapport aux autres types d'information tels que les notes afférentes aux états financiers et la diffusion préalable par les médias des pertes éventuelles.  相似文献   

13.
Résumé. Les vérificateurs, les responsables de la réglementation et les universitaires s'intéressent à la pratique du ? leurre-prix ? et à sa relation avec l'objectivité du vérificateur. Cette question a même fait l'objet de plusieurs modèles analytiques. Ces théories n'ont cependant jamais été testées, principalement à cause de l'absence de données concrètes relatives à d'importantes variables contextuelles. Les auteurs de la présente étude élaborent un modèle à périodes multiples s'appliquant à la pratique du leurre-prix et à l'objectivité du vérificateur et l'expérimentent dans des marchés de laboratoire en recourant à la méthodologie de l'économique expérimentale. Leur étude vient enrichir la documentation existante sous deux rapports. D'abord, il s'agit de l'une des premières études à produire une argumentation empirique et à expérimenter la théorie de la relation entre la pratique du leurre-prix et l'objectivité. Ensuite, le modèle repose sur un raisonnement nouveau relatif à la pratique du leurre-prix et à sa relation avec l'objectivité du vérificateur. La pratique du leurre-prix et l'atteinte à l'objectivité, qui se manifestent indépendamment des coûts exogènes des opérations, sont le résultat de la prémisse d'une variation transversale dans les coûts et la qualité de la vérification et d'un avantage relatif à l'information qui échoit à un couple vérificateur attitré-client en ce qui a trait à l'évolution de ces dimensions de la vérification. Les auteurs ont appliqué le modèle pendant un certain nombre de périodes à des marchés de laboratoire réunissant plusieurs acheteurs et plusieurs vendeurs. Ils ont observé seize de ces marchés dans le but de vérifier la valeur prédictive du modèle en ce qui a trait aux prix et à l'information communiquée. L'expérience est concluante quant à la pratique du leurre-prix, mais elle n'est pas convaincante en ce qui a trait à la prévision exacte des prix. L'expérience confirme également la validité des prévisions relatives à l'information communiquée, les vendeurs ne s'éloignant de la vérité (et faisant une entorse à l'objectivité) que lorsque les profits supplémentaires qu'ils sont susceptibles d'en retirer sont supérieurs aux coûts supplémentaires que risque d'entraîner la communication d'information inexacte. L'on peut obtenir les données relatives aux marchés de laboratoire utilisées dans le présent document en en faisant la demande aux auteurs.  相似文献   

14.
Abstract. A strategic internal auditing model is developed to analyze the use of discovery sampling to deter or detect abstraction of assets by an auditee. The analysis develops a game in which the auditee chooses the fraud level and an auditor chooses an effort level (sample size). The auditee seeks to maximize expected successful fraud net of a fixed sanction for detected fraud. The auditor seeks to minimize expected costs from sampling and fraud losses. Both simultaneous play and commitment versions of the game are analyzed. For each version, pure strategies are optimal. In comparison with simultaneous play, the commitment version equilibrium results in greater audit effort and less fraud by the auditee. Comparative statics showing effects of sanction level and recovery rates are derived. For simultaneous play, optimal monitoring effort decreases with the sanction level and increases with the recovery rate; for the commitment version, these effects are reversed. The analysis demonstrates the sensitivity of results to the audit effort communication arrangement and to the specific audit objective of fraud detection. Résumé. L'auteur élabore un modèle stratégique de vérification interne permettant d'analyser l'utilisation du sondage de dépistage dans le but d'empêcher ou de détecter l'abstraction d'éléments d'actif par l'entité vérifiée. Il élabore, dans son analyse, un jeu dans lequel l'entité vérifiée choisit l'importance de la fraude et le vérificateur choisit l'envergure du travail de vérification (taille de l'échantillon). L'entité vérifiée cherche à maximiser le montant de la fraude qu'elle arrive à dissimuler, diminué d'une pénalité établie au préalable s'appliquant aux fraudes détectées. Le vérificateur cherche à minimiser les coûts prévus des sondages et des pertes attribuables aux fraudes. L'auteur analyse la version du jeu où les protagonistes agissent simultanément de même que celle où le vérificateur s'engage au préalable. Pour chaque version, les stratégies pures sont optimales. Par comparaison à la version simultanée, la situation d'équilibre de la version de l'engagement préalable donne lieu à un travail de vérification d'envergure plus grande et une fraude de moindre importance de la part de l'entité vérifiée. Des statistiques comparatives montrant les effets du niveau de pénalité et des taux de récupération sont dérivées. Dans le cas de la version de l'action simultanée des protagonistes, le travail de contrôle optimal diminue avec le niveau de sanction et augmente avec le taux de récupération; dans le cas de l'engagement préalable du vérificateur, les résultats sont inverses. L'analyse démontre la sensibilité des résultats à l'entente relative à la communication de l'envergure du travail de vérification et à l'objectif précis de la vérification consistant à détecter la fraude.  相似文献   

15.
Abstract. This research identifies those characteristics that could potentially influence a choice to create an internal audit department and tests via discriminant analysis to evaluate whether such attributes significantly distinguish between companies with and without an internal audit department. In addition, qualitative characteristics of such departments are described, as is the association of such traits with errors and the overall control environment. A sample of 260 companies is examined. Companies with internal audit departments are observed to be significantly larger, more highly regulated, more competitive, more profitable, more liquid, more conservative in accounting policies, more competent in their management and accounting personnel, and subject to better management controls. Key discriminant variables are the degree of regulation, decentralization, size, the duration of association with present auditors, the existence of an audit committee, EDP control, and pressures by external parties on management to achieve budgetary goals. Qualitative attributes of internal audit are systematically associated with the overall quality of the control environment, as well as errors. The most important attribute appears to be the independence of internal audit in terms of the propriety of the reporting level. An advantage of internal auditing is that external auditors report a 10 percent reduction in the number of hours incurred and greater flexibility appears to exist in the proportion of work performed in off-peak periods. Résumé. Les auteurs dressent l'inventaire des caractéristiques susceptibles d'influer sur le choix de créer un service de vérification interne et soumettent ces attributs à des tests, par voie d'analyse discriminante, afin de déterminer s'ils permettent d'établir une distinction claire entre les entreprises ayant et n'ayant pas de service de vérification interne. De plus, ils décrivent les caractéristiques qualitatives de ces services, de même que l'association de ces carctéristiques aux erreurs et au contexte global du contrôle. Les auteurs procèdent à l'examen d'un échantillon de 260 entreprises. L'étude révèle que les entreprises possédant des services de vérification interne sont beaucoup plus souvent des entreprises de grande taille, faisant l'objet d'une réglementation plus rigoureuse, plus concurrentielles, plus rentables, ayant davantage de liquidités, plus prudentes dans leurs conventions compatables, possédant une équipe de gestion et un personnel comptable plus compétents et soumises à de meilleurs contrôles de gestion. Les principales variables discriminantes sont le degré de réglementation, la décentralisation, la taille, la durée de l'association avec les vérificateurs actuels, l'existence d'un comité de vérification, le contrôle dans un cadre informatique et les pressions exercées par les tiers sur la direction pour l'atteinte des objectifs budgétaires. Les attributs qualitatifs de la vérification interne sont systématiquement asociés à la qualité globale du cadre de contrôle, de même qu'aux erreurs. L'attribut le plus important semble être le degré d'autonomie du service de vérification interne, c'est-à-dire le caractère approprié de ses liens hiérarchiques. La vérification interne comporte un avantage: les vérificateurs externes font état d'une réduction de 10 pour cent dans le nombre d'heures consacrées à la vérification, et il semble exister une plus grande souplesse dans la proportion du travail de vérification effectué en dehors des périodes de pointe.  相似文献   

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Résumé. Les travaux antérieurs qui ont porté sur la formulation d'hypothèses démontrent que les vérificateurs ont tendance, dans la formulation de leurs hypothèses initiales, à attribuer les fluctuations imprévues aux erreurs qui se produisent fréquemment dans les états financiers. L'on ne s'interroge cependant pas, dans ces travaux, sur la nature de l'incidence des hypothèses initiales sur la performance subséquente dans le diagnostic de l'erreur véritable. Les auteurs avancent que l'hypothèse formulée au départ et la capacité des vérificateurs de passer par la suite à une hypothèse différente interfèrent. Si, par exemple, l'hypothèse initiale était inexacte, il serait difficile pour les vérificateurs de changer d'hypothèse dans le diagnostic de l'erreur véritable. Plus encore, le fait d'invoquer initialement une erreur fréquente exacerberait cette difficulté. L'on a demandé aux vérificateurs-sujets de produire une hypothèse initiale relative à l'erreur après avoir pris connaissance d'un modèle de fluctuations dans lequel les ventes et les comptes clients étaient surévalués. Une fois formulée leur hypothèse initiale, la moitié des sujets recevaient de l'information supplémentaire révélant l'existence d'une erreur très fréquente (dans la démarcation des ventes) et l'autre moitié recevaient de l'information révélant l'existence d'une erreur peu fréquente (celle de la double comptabilisation d'une même vente). Conformément à leurs prévisions, les auteurs constatent que le fait, pour les vérificateurs, d'invoquer initialement l'erreur très fréquente (soit la démarcation des ventes) par rapport à une autre erreur moins fréquente avait par la suite une incidence sur leur performance dans le diagnostic des erreurs véritables. Plus précisément, les vérificateurs qui invoquaient l'erreur très fréquente dans leur hypothèse initiale obtenaient les meilleurs résultats lorsque cette erreur était l'erreur véritable, mais ils obtenaient les résultats les moins bons lorsque l'erreur peu fréquente se trouvait être l'erreur véritable. Les vérificateurs qui invoquaient une erreur moins fréquente dans leur hypothèse initiale affichaient, pour leur part, une performance relativement bonne (c'est-à-dire se situant entre la performance la meilleure et la performance la moins bonne), aussi bien lorsque l'erreur véritable était fréquente que lorsqu'elle était peu fréquente. Les auteurs analysent les conséquences de ces résultats sur l'efficience et l'efficacité de la vérification.  相似文献   

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Abstract. An important issue in audit judgment research concerns auditors' use of unaudited book values when making judgments in the presampling phase of the audit. This paper presents a rudimentary model of the auditor's belief revision process with respect to unaudited book values from an audit value estimation perspective. An experiment testing some implications of the model is also presented. The model proposes that the auditor should judge the validity of unaudited book values in the circumstances and use them accordingly when making presampling audit value estimates. The experimental results indicated that the subjects (auditors) used available unaudited book values and that the extent of usage varied over accounts. However, the results also indicated some inaccurate presampling validity judgments which led to overweighting of unaudited book values. Résumé. Une question importante qui préoccupe les chercheurs dans le domaine de la formulation de jugements en vérification a trait à l'utilisation par les vérificateurs de valeurs comptables non vérifiées dans la formulation de jugements au cours de la phase de la vérification précédant l'échantillonnage. Les auteurs présentent un modèle rudimentaire du processus de révision des convictions du vérificateur en ce qui a trait aux valeurs comptables non vérifiées dans une perspective d'estimation de la valeur de vérification. Ils font également état d'une expérience destinée à vérifier certaines des conséquences du modèle. Selon le modèle, le vérificateur devrait juger de la validité des valeurs comptables non vérifiées dans les circonstances et les utiliser en conséquence dans la formation d'estimations de la valeur de vérification avant échantillonnage. Les résultats de l'expérience révèlent que les sujets (vérificateurs) utilisent les valeurs comptables non vérifiées disponibles et que l'étendue de cette utilisation varie avec les comptes. Toutefois, les résultats révèlent aussi l'inexactitude de certains jugements relatifs à la validité antérieure à l'échantillonnage, à la suite desquels une importance trop grande a été accordée aux valeurs comptables non vérifiées.  相似文献   

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Abstract. This paper reports the results of an empirical investigation of auditor judgment involving the assessment of audit risk and planning of an audit strategy. The study focuses on whether methodological techniques used for conducting research affect decision behavior; in particular, whether silent versus think-aloud elicitations of auditor responses lead to different responses. Auditors performed the experimental tasks under two methods of eliciting responses: they responded to half of the cases silently, and to the other half while thinking aloud into a tape recorder. Comparisons of the silent and aloud responses suggest a systematic influence exerted by method of eliciting responses, but one which varies depending on the subjects' positions in the firm and the particular judgment being made. Résumé. Il est question dans le présent article des résultats d'une étude empirique des jugements portés par le vérificateur sur l'évaluation du risque lié à la vérification et la planification d'une stratégie de vérification. L'étude traite des répercussions des techniques méthodologiques utilisées dans le cadre de la recherche sur le comportement décisionnel; elle vise en particulier à déterminer si les réponses des vérificateurs diffèrent selon le mode d'expression, en silence ou à voix haute. Dans le cadre de cette étude, les vérificateurs participants ont accompli les tâches expérimentales en communiquant leurs réponses selon deux modes d'expression: en silence pour la moitié des cas et à voix haute pour l'autre moitié, avec enregistrement sur bande. La comparaison des deux séries donne lieu de croire que le mode de communication des réponses exerce une influence systématique, mais une influence variable selon le poste occupé par le sujet au sein du cabinet et selon le jugement précis qu'il porte.  相似文献   

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Abstract. Conventional wisdom holds that an auditor's optimal response to an increase in legal exposure is to double his efforts in finding errors in his client's financial reports. This paper's main result is that in a market setting where clients shop for opinions and auditors must compete for clients, the conventional wisdom may fail. Increased damages: affect all auditors reducing the competition among auditors for clients. Thus, an auditor can reduce his legal exposure by reporting more conservatively, instead of working harder. The main result is mitigated if client firms also face legal damages and if clients themselves are more conservative in preparing their unaudited financial statements. If it is more likely that a client claiming “good news” is truly good, the auditor has an incentive to work harder to confirm this good report and satisfy his client. This incentive to work harder to please his client may prevent the auditor from retreating into conservatism when damages are increased. Finally, if the auditors' report space were continuous, as with a continuum of client types, the main result would be reversed: additional damages would (weakly) increase the auditor's efforts. With a continuum of possible reports, the competition is not eliminated as damages increase; only the range of reports that the auditors offer is reduced. Because the competition cannot be eliminated and the incumbent cannot resort to conservatism to reduce his legal exposure, the auditor works hard. Résumé. Par tradition, la sagesse veut que la réaction la plus appropriée d'un vérificateur à une augmentation des risques juridiques soit un redoublement d'efforts pour déceler les erreurs dans les rapports financiers de ses clients. L'auteur en arrive pourtant à la principale conclusion que, dans le contexte d'un marché où les clients font du «magasinage» d'opinion et où les vérificateurs doivent se disputer les clients, la sagesse nous amène à faire fausse route. L'augmentation des dommages touche tous les vérificateurs et atténue la rivalité qui les oppose dans la recherche de clients. Ainsi, un vérificateur peut diminuer le risque juridique auquel il est exposé en usant d'une plus grande prudence dans ses rapports plutôt qu'en travaillant avec plus d'acharnement. L'auteur est cependant moins catégorique à ce sujet lorsque l'entreprise cliente fait aussi l'objet de poursuites en dommages et qu'elle est donc plus prudente dans la préparation de ses états financiers non vérifiés. Il est davantage probable que les nouvelles positives qu'une telle entreprise publie le soient véritablement, de sorte que le vérificateur est, lui, davantage enclin à déployer les efforts nécessaires pour confirmer ces nouvelles positives et satisfaire son client. Cette incitation à travailler avec plus d'énergie pour satisfaire le client peut faire en sorte que le vérificateur ne se replie pas derrière la prudence lorsque les dommages augmentent. Enfin, s'il existe un large éventail de rapports de vérification, comme dans le cas d'une multiplicité de types d'entreprises, la conclusion principale se trouve inversée; l'augmentation des montants de dommages entraîne une (faible) hausse de l'intensité du travail du vérificateur. Dans le cas d'un large éventail de rapports possibles, la concurrence ne s'atténue pas avec l'augmentation des montants de dommages; seul l'éventail des rapports qu'offrent les vérificateurs est réduit. Étant donné que la concurrence ne peut être éliminée, et que le vérificateur attitré ne peut recourir à la prudence pour réduire le risque juridique auquel il est exposé, il redouble d'effort.  相似文献   

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