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1.
L'intention de cet essai est de provoquer une discussion sur une perspective comparative de l'éeconomie politique. Un compte rendu est fait des contributions récentes de Poulantzas et de Runciman sur les systèmes de pouvoir et de conflit dans l'état-nation contemporain. Une attention particulière est donnée à la typologie de Runciman de six sociétés idéales types. A titre de contraste, la théorie marxiste de l'état est perçue comme étant circulaire et ne pouvant pas confronter d'une manière satisfaisante les problèmes posés par les sociétés de l'Europe de i'Est, et aussi par la gamme de variations à l'intérieur du monde capitaliste. Dans la sphère du développement urbain et régional, la variation de buts et de résultats est en partie déterminée par les relations entre états. Les contraintes imposées par le marché mondial, par la disposition et la circulation inégales de materiaux et de denrées, sont structurées plus par la détermination des états à accroǐtre la production matérielle que par le mode de production dominant dans une formation sociale donnée. Cet acharnement à accroǐtre la production matérielle n'est visiblement pas moins fort dans les sociétés de type ‘socialiste’ ou ‘révolutionnaire’. La théorie marxiste semble accepter l'expansion inévitable de la production matérielle sans se soucier des limites écologiques. De la méme façon qu'il y a un besoin net pour une typologie du pouvoir et des formes de contrǒle social, il y a aussi besoin d'une analyse urbaine et régionale détaillée dans les formations sociales particulières qui pourrait égaler présuppositions théoriques avec résultats empiriques. Les questions pratiques en ce qui concerne qui reçoit quoi, qui détermine qui reçoit quoi, qu'est-ce qui détermine qui reçoit quoi, ne sont pas en mesure d'ětre repondues d'une façon monocausale.  相似文献   

2.
Cet article examine quelques antinomies existant dans la planification urbaine d'une société socialiste et rattache certaines questions théoriques à la recherche empirique et aux expériences de la pratique sociale en Yugoslavie. La critique des solutions urbanistiques courantes indique un besoin de surmonter une pratique fragmentaire et d'exercer une approche plus dialectique. L'analyse sociologique peut spécifier les conditions possibles pour la mise en ?uvre des valeurs dominantes dans une telle société et les relier aux pratiques quotidiennes de la direction du développement urbain. Les antinomies apparents dans la planification urbaine peuvent etre dévoilées pour être ensuite réinterprétées en tant qu'ensemble dialectique. Par exemple: Le sujet/l'objet de la planification La séparation habituelle entre le rôle actif de l'architecte-urbaniste et du dessinateur (sujet) et le rôle passif du résident (objet) est devenue inacceptable dans le contexte d'une sociéte socialiste avec un systéme d'autogestion. Continuité/discontinuité A la place de la logique prédominante de croissance, il y a à la fois un besoin de continuité et de discontinuité. Visionnarisme/pragmatisme Ni une orientation visionnaire générale et à long terme, ni l'approche pragmatique ne peuvent assurer un changement maximum dans la direction souhaitée. Inertie/correction Plus notre action est aprioriste, plus il faudra de temps pour reconnaître les erreurs passées et les diverses façons de résoudre les problèmes par la suite. Forme/fond L'urbanisme a gardé le vieux cadre du modèle formel et technique des fragments individuels. Dynamique sociale/structure physique La crise de l'environnement urbain représente la phénoménologie des discordes existant entre les dimensions physiques et sociales de la ville. Contrôle/initiative individuelle Un plaus grand contrôle n'est pas forcément incompatible avec la croissance du rôle de l'individu. Stimulation/sanctions négatives La menace des sanctions négatives du pouvoir coercitif de l'état ne peut pas maximiser la mise en ?uvre des objectifs de la planification: l'approche affirmative a été négligée.  相似文献   

3.
This paper is based on a survey of St Petersburg's elite, carried out in October 1994 for a city daily, Nevskoe Vremia (a paper with approximately 100,000 subscribers). A representative sample of 800 city dwellers were interviewed by phone, responding to mainly open questions about the city elite. Eight main indicators provided data on the general composition of the elite and lists of names by categories of influence, authority and personal fortune. Of the 150 names nominated by our respondents, all but 12 were identified and characterized in terms of their current or recent formal status, political or social-cultural standing and/or reputation. Some general and specific problems of the study are considered: What is an elite? Is there a theoretical consensus on the nature of the ruling and non-ruling constituents of an elite? What are the dynamics of regional or city elites in modern Russia today? Has the emergence of an elite any relevance to the system of representative democracy and to other aspects of social life? What are the mechanisms determining the formation and reproduction of an elite in public space? Cet article est basé sur un sondage de l'élite de Saint Pétersbourg, fait en 1994 pour un quotidien de la ville, Nevskoe Vremia (un journal qui a environ 100,000 abonnés). Une section représentative de 800 citadins fut interviewée par téléphone, répondant à des questions, principalement des questions ouvertes, concernant l'élite de la ville. Huit indicateurs principaux offraient des informations sur la composition des élites et des listes de noms classés par catégories d'influence, d'autorité et de fortune personnelle. Des 150 noms cités par les personnes interrogées, tous sauf 12 furent identifiés et caractérisés par leur statut formel, leur rang et/ou réputation politique ou socio-culturel, actuels ou récents. Certains problèmes de cette étude, généraux ou spécifiques, sont examinés. Qu'est-ce qu'une élite? Y a-t-il un consensus quant à la nature des éléments qui constituent une élite dirigeante et non-dirigeante? Quelles sont les dynamiques des élites régionales ou citadines de la Russie moderne actuelle? Est-ce que l'apparition d'une élite a un rapport avec le système de democratie représentative et avec d'autres aspects de la vie sociale? Quels sont les processus qui déterminent la formation et la reproduction d'une élite dans l'espace public?  相似文献   

4.
Partant du présent système de propriété foncière du capital en Grande Bretagne, ce texte vise à établir diverses propositions pour l'analyse des rapports sociaux caractérisant la propriété foncière du capital, et des effets de ces rapports dans une formation sociale dominée par le capital. Dans une réflexion théorique liminaire sur la rente. est avancée l'idée que des formes particulières—telles que la rente différentielle—ne peuvent ëtre analysees comme des categories economiques independantes des rapports spécifiques de propriété du sol où elles sont fondées; c'est au contraire, la nature de ces rapports qui détermine la forme précise ou catégorie de rente appropriée. Sont alors considérés, en fonction de ces remarques, la nature et les effets des rapports de propriété foncière, et de l'appropriation de rente comme fraction spécifique de la plus-value. Il est souligné que cette appropriation concerne, y compris dans le cas de la rente différentielle, au delà des seuls problèmes de distribution, la structure měme de l'accumulation. Et ceci, à notre sens, ne peut ětre évité à l'intérieur du mode de production capitaliste. Ces remarques théoriques organisent la présentation résumée des résultats d'une recherche empirique sur les formes actuelles de propriété foncière du capital en Grande Bretagne. Trois formes sont mises en évidence, qui résultent des différences dans les rapports de propriété en cause, reflet des relations entre cette propriété foncière et la formation sociale dans son ensemble. Les résultats empiriques permettent de montrer que les modifications historiques dans l'équilibre entre ces formes résultent de la position contradictoire de la propriété foncière dans la formation sociale. Enfin, sont avancées quelques remarques sur la législation britannique recente, et sur les implications générales de la nationalisation du sol. La thése proposée est que la propriété d'état ne résoudra pas les contradictions de la propriété foncière, mais changera leur forme, modifiant ainsi les conditions de la lutte des classes.  相似文献   

5.
This article is based on recent transnational research on partnership‐based initiatives to promote local development and regeneration and combat social exclusion in the EU. The increasing reliance on partnership as the basis for local policy initiatives is first situated in the context of contemporary debates about social exclusion. The main part of the article then draws on the literatures on local governance and urban regime theory to examine three issues critical to the impact of the ‘new orthodoxy’ of local partnership: the capacity of partnerships as interorganizational forms of local governance; their inclusiveness; and the extent of outcomes which can be attributed to partnership as a distinctive mode of local governance. On all three issues, the evidence points to the limited claims that can be made for most local partnerships as ‘inclusion coalitions’ capable of effectively tackling social exclusion, and suggests that structural features of the currently dominant version of partnership entrench a model of elite rather than inclusive governance. Local partnership is associated with weak rather than strong discourses of social exclusion and inclusion, and its significance lies as much as anything in the way in which the practice of partnership tends to foreclose the sphere of debate and action, excluding more radical options. Cet article se fonde sur une récente étude transnationale concernant l'UE et portant sur les initiatives de partenariat visant à promouvoir le développement et la régénération sur le plan local, tout en combattant l'exclusion sociale. Le recours croissant au partenariat comme base des initiatives de politique locale est d'abord resitué dans le cadre des débats contemporains sur l'exclusion sociale. L'article, qui s'inspire des travaux sur la gouvernance locale et les régimes urbains, examine trois points essentiels pour l'influence de la ‘nouvelle orthodoxie’ du partenariat local: la capacité des partenariats en tant que formes de gouvernance locale inter‐organismes, leur nature inclusive, ainsi que la part des résultats qui leur revient au titre de mode distincif de gouvernance locale. Sur ces trois aspects, les faits soulignent la portée limitée que peuvent revendiquer la plupart des partenariats locaux comme ‘coalitions d'inclusion’ capables de traiter efficacement l'exclusion sociale; les résultats suggèrent en outre que les caractéristiques structurelles du partenariat, dans sa version dominante actuelle, enracinent un modèle élitiste plutôt qu'une gouvernance inclusive. Le partenariat local est associéà des propos sur l'exclusion et l'inclusion sociale plus complaisants que percutants, et sa place tient tout autant à la manière dont son exercice tend à figer la sphère de débats et d'actions, excluant toute option plus radicale.  相似文献   

6.
Les travaux théoriques récents en urbanisation ont tendance à supposer que les conditions historiques du capitalisme avancé sont universelles. Un objectif de cet article est d'aller à l'encontre de cette idée préconçue en démontrant la spécificité historique du capitalisme dans les sociétés sous-développées. Cette explication préliminaire est structurée autour de quatre éléments fondamentaux: i) la conquête et l'intégration dans une économic capitaliste mondiale; ii) l'impossibilité d'une accumulation industrielle autochtone; iii) un développement capitaliste sans transformation capitaliste; iv) l'impossibilité d'un développement socialiste sans un désengagement structurel de l'économie capitaliste mondiale. Il est proposé dans le contexte d'un capitalisme sous-développé, que ces quatre éléments fournissent une base nécéssaire et fondamentale pur toutes analyses futures de la problématique urbaine et régionale. Dans la seconde partie de cet article une évaluation critique est faite des diverses interprétations du processus d'urbanisation. Les travaux sur l'Amérique Latine qui relient la théorie de dépendance aux thèmes urbains ont droit à une attention particulière, et il est proposé qu'un problème majeur existe dans le peu d'attention donné à l'impérialisme et à la périodisation de l'accumulation du capital dans les sociétés capitalistes sous-développées. En dernier, quelques suggestions sont faites pour l'analyse de l'urbanisation péruvienne d'après-guerre. L'accent est porté sur la formulation d'une méthode théorique qui puisse intégrer la concentration spatiale accélérée du capital et de la main-d'?uvre à l'intérieure d'un processus généralisé de pénétration impérialiste et de développement capitaliste combiné et inégal.  相似文献   

7.
La relation entre i'état et le développement social peut entre analysée à partir de trois niveaux interconnectés:
  • 1 Au niveau de la théorie et de la méthodologie. C'est ce que font Lojkine et Pahl.
  • 2 A un niveau général, mais concernant des types théoriquement differenciés d'organisations sociales (c'est à dire, sociétés capitalistes avancées, sociététés socialistes. etc.). C'est le niveau qui concerne cet auteur le plus.
  • 3 Au niveau d'une société donnée, durant une période historique déterminéee. C'est à ce niveau que les autres travaux de Lojkine ont été faits.
La critique faite par Pahl des perspectives marxistes est rejetés comme étant superficielle, par contre il est reconnu que i'?uvre de Poulantzas manque de perspective historique et dialectique. Mais i'analyse marxiste des institutions politiques dépend d'une interprétation correcte de la relation entre structure et superstructure, et ce point est développé par i'auteur. Une critique est faite des théories élitistes et historicistes. La typologie historiciste de Runciman est considérée comme étant inadéquate, car elle ne peut ětre appliquée à la réalité historique, et en dernier lieu, ne peut expliquer pourquoi les relations état-société montrent tant de variations. Les définitions marxistes de i'état sont insuffisantes et ont besoin d'ětre dévéloppées. A propos, les travaux de Lojkine et de Poulantzas sont critiqués comme étant réductivistes et non-dialectiques. La question des origines sociales de la démocratie est introduite afin de développer une perspective analytique satisfaisante qui pourrait prendre en compte les faits historiques des révolutions nationales en Europe de l'Ouest, au Japon et aux Etats-Unis. L'accent est mis sur le role de la classe ouvrière, le concept d'hégémonie, l'exercise du pouvoir hégémonique, et plus précisement quand la classe hégémonique n'est pas dominante. Une bonne analyse marxiste des relations état-société doit pouvoir envisager les tendences et les conditions actuelles de l'accumulation du capital, en conjonction avec les intérěts des groupes monopolistes. Cet essai fini par une brěve discussion des tendences actuelles dans ces domaines.  相似文献   

8.
La résistance des habitants des quartiers populaires de Bogotá contre la construction d'une autoroute à travers leur voisinae, est le sujet de cet article. Cette 'Avenida de los Cerros' faisait partie d'un 'programme intégré de développement urbain' comprenant aussi la construction de centres médicaux, écoles, et autres infrastructures urbaines; le côut de 89 millions de dollars américains, étant financé par l'Intramerican Development Bank. Ce mouvement urbain est analysé en tant que pratique spécifique, particulière aux résidents des quartiers populaires. En tant que groupe sociale, leurs traits communs sont qu'ils vivent à l'intérieur d'un quartier strictement ségrégé géographiquement et socialement—le 'barrio', et qu'ils vendent leur force de travail sur un marché du travail dévalué, sans pour autant constituer une classe sociale homogène. Toutefois, comme sous-proletariat urbain ils partagent un intérêt commun dans la consommation collective et individuelle (déficiences en matières de logement, service, etc., et expérience de la pauvreté). La menace de l'Avenida de los Cerros dans ces deux domaines fût reconnue et causa une grande agitation parmi les habitants du 'barrio'. Le plan de construction fût abandonné après deux ans de protestations. Bien que le mouvement populaire eu de l'influence, cet abandon fut en grande partie causé par une conjoncture changeante quand les intérêts du bloc au pouvoir de la classe dirigeante se déplacèrent vers d'autres quartiers.  相似文献   

9.
La crise économique actuelle a conduit à en terminer avec la politique d'après-guerre, fondée sur les principes keynésiens de la croissance dirigée, du plein-emploi et de l'état providence. Dans de nombreux pays capitalistes, des efforts sont faits maintenant pour 'recapitaliser le capitalisme'. Ceci entraîne des réductions dans le secteur public et une expansion du secteur privé, mettant principalement l'accent sur l'industrie et sur l'exportation. Mais la crise n'est pas seulement d'ordre économique; elle a des répercussions sur tout l'ordre social, et cet article examine les idées de quelques-uns des plus importants défenseurs politiques et universitaires des idées et des attitudes qui servent à légitimer la nouvelle politique. La conclusion est que la force de la stratégie de recapitalisation dépend, en partie, de la qualité de la gauche, qui se doit d'élaborer immédiatement un programme à court terme, sur lequel elle puisse fonder une opposition efficace.  相似文献   

10.
Cet article examine les interprétations marxistes et dites ‘structuralistes’ des mouvements sociaux urbains. Il propose l'argument selon lequel certains aspects de méthodologie ne sont pas incompatibles avec la perspective des études pluralistes américaines employée pour le traitement des phénomènes de revendications. Ces deux perspectives partagent la měme supposition, c'est à dire que l'influence coule des mouvements de revendications à l'état; ce qui amène à chercher les raisons pour l'échec à l'intérieur du mouvement lui-měme, plutǒt que dans les ressources et les stratégies à la disposition de l'état et de ses agents pour détourner et dominer la revendication. Deuxièmement, ces perspectives ne semblent pas avoir de critères de sélection, et analysent seulement les cas manifestes de revendications. Il est suggéré qu'une interprétation adéquate ne peut ětre arrivée que sur la base d'une recherche qui essaye d'expliquer les relations fondamentales de pouvoir dans le système urbain, particulièrement quand il s'agit de situations d'inertie ou de non-revendication. La seconde partie de cet article est un compte rendu d'une recherche empirique sur la suppression d'un mouvement ouvrier de revendication à Londres contre des politiques de logement ‘pour les masses’. Cette recherche montre de quelle façon la portée et l'exactitude des interprétations marxistes et dites ‘structuralistes’ peuvent ětre avancée afin de prendre en compte ces critiques. En měme temps, elle explore l'utilisation des pouvoirs coercifs par les autorités locales anglaises et l'influence exercée par les corporations industrielles sur la politique du logement.  相似文献   

11.
Cet essai propose un contraste et une comparaison entre perspectives marxistes et wébèriennes sur la nature de l'état contemporain, comme elles sont présentées dans les contributions de Jean Lojkine et de R. E. Pahl à l'occasion de ce colloque. En premier, la critique de la perspective marxiste faite par R. E. Pahl est considérée inadéquate; largement parce qu'il néglige de présenter d'une façon rigoureuse la méthode d'analyse et la complexité des concepts fondamentaux. Ensuite, une analyse est faite de deux questions opposés entre ces conceptions divergeantes: (I) sur la conceptualisation du pouvoir; (2) sur la perception des relations de classe. Il est suggéré vers la fin que l'état-nation, en tant qu'unité d'analyse et de stratification sociale, n'est vraisemblablement pas l'approche la plus utile pour la considération de questions urbaines et régionales. Ce qu'il serait nécèssaire, plutǒt, est une théorie de l'accumulation mondiale du capital, qui est la plus visible dans les relations entre corporations multinationales et le rǒde expansioniste de l'état, de façon à générer des contradictions menant à une transformation non seulement dans des formations sociales particulières, mais aussi dans le système capitaliste tout entier.  相似文献   

12.
Domestic property and social class   总被引:1,自引:0,他引:1  
Cet exposé traite de l'importance des conséquences des différents modes d'occupation de logement, en ce qui concerne les rapports de classes. L'accent est mis précisément sur la Grande Bretagne où, environ 40% des ouvriers manuels possèdent maintenant leur propre maison, et où l'extension de l'occupation de l'habitation par le propriétaire a nettement contribué à accroitre les dividions sociales et politiques, au sein de la classe ouvrière. La question qui se pose, est de savoir si de telles divisions ont une base matérielle réelle, ou si elles sont principalement idéologiques. On voit que la réponse à cette question aura d'importantes conséquences pour l'organisation de luttes politiques autour de la question du logement. L'exposé débute par une discussion des perspectives wéberiennes et marxistes en matière d'occupation de logement et de rapports de classes. La perspective wébérienne, liée aux travaux de Rex et de Moore sur 'le logement par classes', est rejetée, quoique la possibilité de reformuler le concept du logement par classes, au sein d'une orientation wébérienne, soit mise en évidence. Le point de vue marxiste, qui rejette la possession du logement comme étant étrangère à l'identification des intérêts de classe, est également rejeté, sous prétexte que l'occupation de l'habitation par le propriétaire est un facteur crucial d'une augmentation réelles des richesses individuelles qui peuvent largement dépasser les économics que l'on peut faire sur les salaires de toute une vie. L 'exposé montre ensuite, comment la possession de sa maison va dans le sens d'une accumulation des richesses, et comment ceci crée une réelle division d'intérèt économique entre les propriétaires en jouissance et les locataires, fait qui se manifeste souvent dans les luttes politiques locales. La conclusion qui se dégage de ceci est que, les efforts des activistes locaux pour unifier les deux groupes en une alliance politique contre le capital monopole, peut sàvérer à la fois peu judicieux et nuisible à la productivité.  相似文献   

13.
Current changes in territorial organization are interpreted by focusing on two main aspects that are different yet closely interrelated. The first aspect concerns relationships between unfolding processes of territorial redefinition and changes imposed by globalization processes and by European integration, and by the loss of centrality and of part of the power of nation‐state government. The second aspect concerns the change in forms and procedures of collective action in urban and territorial policies, recognizing, in particular, the consolidation — including in practices — of forms of partnership, inter‐institutional cooperation, strategic planning and governance. Within this general context, this article aims to present and discuss changes, both ongoing and recent, by (1) presenting the changes that are emerging in the framework of Italian urban and territorial policies; and (2) discussing critically, with reference to the Italian case, the relationship between change in the idea of local territories and change in urban and territorial policies. Our aim is to verify whether, within what limits and from what point of view, the innovations introduced in the Italian context may be interpreted as changes that are moving towards more place‐focused forms of urban and territorial governance. On interprète les évolutions actuelles de l'organisation territoriale à travers deux aspects dominants, différents quoique étroitement liés. Le premier concerne les relations entre les processus d'explication de la redéfinition territoriale et les changements imposés par les processus de mondialisation et l'intégration européenne, et par la disparition de la centralité et d'une partie de la puissance gouvernementale de l'Énation. Le second porte sur la transformation des formes et procédures d'action collective dans les politiques publiques urbaines et territoriales, celles‐ci reconnaissant notamment la fusion — y compris dans les pratiques — de formes de partenariat, coopération inter‐institutions, planification stratégique et gouvernance. Dans ce contexte général, l'article cherche à exposer et étudier les évolutions actuelles et récentes, d'une part en présentant les changements qui apparaissent dans le cadre des politiques urbaines et territoriales italiennes, d'autre part en abordant de façon critique, par rapport au cas italien, le lien entre un changement d'idée sur les territoires locaux et une transformation des politiques urbaines et territoriales. Il s'agit de vérifier si les innovations introduites dans le contexte italien peuvent s'interpréter comme des changements tendant à des formes de gouvernance urbaine et territoriale plus soucieuses des lieux, et ce dans quelle mesure et de quel point de vue.  相似文献   

14.
This paper maps some of the social and commercial forces shaping the debate around ‘realistic’ or ‘appropriate’ levels of energy specification in the commercial office market. It discusses how the dynamics of the market, alternative lease arrangements, enhanced building management standards, technological innovation and shifts in cultural taste are all redefining contemporary office space and presenting new opportunities for environmental innovation. Drawing upon interviews with developers, investors, agents, occupiers and property researchers in Britain and France, the changing, often conflicting, priorities underpinning decisions about energy standards are explored. The paper explores possible ‘futures’ for office development processes in the United Kingdom. Highlighting the ebb and flow of the market, the paper points to the changing nature of tenant demand and current ‘opportunities’ for the development of alternative, more ‘realistic’ energy specification levels. Looking beyond the current property slump it examines the cultural and structural shifts likely to sustain any reformation of British real estate practices. In particular, the paper highlights contemporary debates around transformation of the institutional lease and legislative codification of energy and environmental standards. It is argued that this loose constellation of social forces promises a significant, new mutuality of interests between developers and occupiers which is cultivating ‘appropriate’ specification and procurement practices. Cet article retrace certaines des formes sociales et commerciales qui modèlent le débat sur les niveaux ‘réalistes’ ou ‘appropriés’ de spécification de l'énergie dans le marché des bureaux commerciaux. Il explique comment les dynamiques du marché, l'organisation alternative du bail, une meilleure gestion des immeubles, la nouveauté technologique et le changement des goûts culturels redéfinissent l'espace contemporain du bureau et présentent de nouvelles opportunités d'innovation de l'environnement. M'appuyant sur des entrevues avec des promoteurs, des agents, des occupants et des chercheurs sur les propriétés immobilières en Grande-Bretagne et en France, j'examine les priorités changeantes et souvent contradictoires qui supportent les décisions quant aux niveaux d'énergie. Cet article explore les ‘futurs’ possibles pour les processus de développement des bureaux au Royaume Uni. Soulignant le va et vient du marché, cet article démontre la nature changeante de la demande des locataires et les ‘opportunités’ actuelles quant au développement de niveaux alternatifs et plus ‘réalistes’ de spécification de l'énergie. En regardant par delà l'effrondement actuel du marché immobilier, il examine les mouvements culturels et structuraux qui pourraient supporter une réforme des pratiques des agents immobiliers britanniques. Cet article souligne en particulier les débats contemporains sur la transformation du bail institutionnel et la codification législative de la qualité de l'environnement et de l'énergie. Je soutiens que cette constellation décousue de forces sociales promet une nouvelle et significative mutualité d'intérêts entre les promoteurs et les occupants qui cultive les spécifications ‘appropriées’ et les pratiques d'acquisition.  相似文献   

15.
During the Danish local and national elections in November 2001, the scale, intensity and tone of the debates on migration took both national and international commentators by surprise. Within the first year of the new right‐wing government, supported by the influential Danish People's Party, Denmark has become one of the most exclusive and restrictive immigration regimes in Europe. This article takes a closer look at the recent politicization of migration issues in Denmark. While there is certainly concern with the compatibility of migrant ‘otherness’, in particular Islam, with Danish society and norms, then an equally, or even more central issue regards the ‘cost of migration’ for Danish social policy standards. Because of high unemployment rates, migrants and their descendants receive a relatively large part of Danish social contributions. This has raised the more general question of how to combine immigration with a tax‐financed universal welfare system where all have rights to full social benefits immediately upon arrival. The answer of the government has been to cut both sides of the equation by implementing stricter entry rules for family reunification and asylum‐seekers, as well as making a historical break with the principle of equal social welfare benefits for all legal residents. Lors des élections danoises locales et nationales de novembre 2001, l'ampleur, l'intensité et le ton des débats sur la migration ont surpris les commentateurs tant nationaux qu'étrangers. Au cours de la première année au pouvoir du nouveau gouvernement de droite, soutenu par le puissant Parti populaire danois, le Danemark a mis en place l'un des régimes d'immigration les plus fermés et restrictifs d'Europe. L'article s'attache à la récente politisation des questions de migration dans ce pays. Sans négliger le souci réel de compatibilité de ‘l'altérité’ des migrants, notamment l'Islam, avec la société et les normes danoises, il expose un problème aussi, voire plus crucial: le ‘coût de la migration’ selon les bases de la politique sociale nationale. Compte tenu des forts taux de chômage, les migrants et leurs descendants reçoivent une part relativement importante des contributions sociales danoises. D'où une question plus générale sur la façon de combiner immigration et système social universel financé par la fiscalité, où tous ont droit à l'intégralité des prestations sociales dès leur arrivée. En réponse, le gouvernement a tronqué les deux câtés de l'équation, en appliquant des règles d'entrée plus strictes pour la réunification familiale et les demandeurs d'asile, tout en créant une rupture historique avec le principe de prestations sociales égales pour tous les résidents légaux.  相似文献   

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Research on national development in developing and newly industrializing countries (NICs) has focused on issues of economic growth and social change independent of each other, without paying much attention to the way the two elements relate to each other and to the conditions that could lead to their simultaneous occurrence. This paper argues that explanations of how economic growth with — or without —‘positive social change’ can occur require attention to changing state-society relations. This research investigates the cases of Argentina and Taiwan, where economic growth in the 1990s has not translated into positive social change. By analyzing changing state-society relations, this research shows that relations of power within societies have a clear effect on national development; it also reveals how different social actors may be able to influence a state’s developmental strategies. This paper re-evaluates traditional views of the state and society in Argentina and Taiwan by examining the fluctuating composition of the societal base of the state and the changing relations between the state and its societal coalition. The analysis reveals the processes under which economic growth without social change is occurring in both countries, and provides general insights into the way dynamic state-society relations can influence national development in other contexts. — La recherche sur le développement national des pays en voie de développement et les pays nouvellement industrialisés a exploré les questions de croissance économique et de changement social séparément, sans s’occuper du rapport entre les deux et des conditions qui pourraiemt mener à leur occurrence simultanée. Cet article soutient qu’une explication de la croissance industrielle, avec ou sans ‘changements sociaux positifs’, demande que l’on prête attention aux relations changeantes entre l’état et la société. Cet article examine les cas d’étude de l’Argentine et de Taï?wan, où la croissance économique n’a pas apporté de changements sociaux positifs. En analysant les relations changeantes de l’état et de la société, cette étude démontre que les relations de pouvoir à l’intérieur des sociétés ont un effet manifeste sur le développement national; elle révèle aussi comment les différents participants sociaux peuvent influencer les stratégies de développement de l’état. Cet article ré-évalue les vues traditionnelles de l’état et de la société en Argentine et à Taïrsquo;?wan en examinant les compositions changeantes de la base sociale de l’état et les relations variables entre l’état et sa coalition sociale. L’analyse révèle les processus par lesquels la croissance économique survient sans changement social dans les deux pays et offre un aperçu général de la façon dont les relations dynamiques entre l’état et la société peuvent influencer le développement national dans d’autres contextes.  相似文献   

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There is evidence that the politics of economic development in the post‐industrial city is increasingly bound up with the ability of urban elites to manage ecological impacts and environmental demands emanating from within and outside the urban area. More than simply a question of promoting quality of life in cities in response to interurban competition and pressures from local residents, the greening of the urban growth machine reflects changes in state rules and incentives structuring urban governance as part of an evolving geopolitics of nature and the environment. The adoption of principles and practices of ecological modernization potentially represents a dramatic shift in the social regulation of urban governance away from unconstrained neoliberalized modes. In this article we explore how different demands on and for urban environmental policy have played out vis‐à‐vis changing modes and practices of governance in two English post‐industrial cities. We explore differences in the ways that entrepreneurial urban regimes have sought to incorporate the green agenda (Leeds), or insulate themselves from ecological dissent (Manchester). We further attempt to conceptualize evolving urban economy‐environment relations in the UK in terms of an ensemble of governance practices, strategies, alliances and discourses that enables the local state to manage, though not necessarily resolve, seemingly conflicting economic, social and environmental demands at different scales of territoriality. Here we propose the notion of an ‘urban sustainability fix’ to describe the selective incorporation of ecological objectives in local territorial structures during an era of ecological modernization. Dans les villes post‐industrielles, la politique de développement économique semble liée de plus en plus étroitement à l'aptitude des élites urbaines à gérer les impacts écologiques et les exigences environnementales venus de l'intérieur et de l'extérieur. Au‐delà de la simple défense d'une qualité de vie en ville, répondant à la concurrence interurbaine et aux pressions des habitants, l'intégration de la cause Verte dans la machine de croissance urbaine reflète les nouvelles règles et mesures d'encouragement étatiques qui structurent la gouvernance des villes dans le cadre d'une géopolitique évolutive de la nature et de l'environnement. L'adoption de principes et pratiques de modernisation écologique pourrait traduire un revirement dans la régulation sociale de la gouvernance urbaine, en remplaçant la totale latitude des réponses néolibérales. L'article explore comment les demandes variées de et en politique urbaine d'environnement se sont exercées dans le contexte changeant des modalités et pratiques de gouvernance de deux villes post‐industrielles anglaises. Il s'intéresse aux différences de démarches qu'ont adoptées des régimes urbains ayant l'esprit d'entreprise pour incorporer le programme vert (Leeds) ou s'affranchir de la dissidence écologique (Manchester). De plus, il s'efforce de conceptualiser les relations évolutives économie‐environnement dans le cadre urbain britannique en tant qu'ensemble de pratiques de gouvernance, stratégies, alliances et discours permettant à l'État local de gérer (sans toujours les satisfaire) des exigences économiques, sociales et environnementales apparemment contradictoires, et ce aux différents échelons de territorialité. La notion de ‘solution de durabilité urbaine’ est proposée pour décrire l'intégration sélective d'objectifs écologiques dans les structures territoriales locales pendant une phase de modernisation écologique.  相似文献   

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This article examines the way ‘social capital’ has been deployed by researchers and practitioners in the field of urban movements and community development. It reveals the powerful and in many ways effective role the concept is playing in framing the contemporary reconfigurations of local state‐society relations which impact especially on the trajectory of third or voluntary sector development. The article identifies the gaps and weaknesses the ‘social capital’ perspective responds to, thereby explaining why it looms so large within the urban development discourse. Its own blind spots and ambiguities, however, limit our understanding of contemporary urban change. By prioritizing specific forms of civic engagement (and neglecting others), the concept filters the contemporary reconfigurations in the relationship of civil society, state and market in a peculiar way, which is conducive to supporting the spread of market forces to areas so far beyond the reach of capital. By directing attention to the self‐activation potential of different communities, whether in the form of civic engagement of well‐to‐do volunteers or in the form of activation/reinsertion (into the low‐wage labour market) of the marginalized, this new discourse plays a crucial role not only in current efforts to unburden the local (welfare) state, but also in the expansion of market forces into new areas. L'article examine comment les chercheurs et spécialistes ont fait usage du ‘capital social’ dans le domaine des mouvements urbains et de l'évolution des communautés. Il dévoile le rô le dynamique et, par bien des aspects, efficace que ce concept joue en structurant les reconfigurations contemporaines des relations société‐gouvernement local, lesquelles influent notamment sur les tendances du secteur associatif ou du bénévolat. L'article identifie les lacunes et faiblesses que comble la perspective du ‘capital social’, expliquant ainsi les raisons de son omniprésence dans la rhétorique de l'urbanisme. Ses propres faiblesses et ambiguïtés limitent toutefois notre compréhension du changement urbain contemporain. En mettant en avant des formes spécifiques d'engagement civique (et en en négligeant d'autres), le concept dégage les reconfigurations modernes qui interviennent sur la relation entre société civile, É tat et marché, et ce d'une manière particulière qui contribue à la propagation des forces du marché dans des zones jusqu'alors inaccessibles au capital. En s'intéressant au potentiel d'auto‐activation de diverses communautés, que ce soit sous la forme d'un engagement civique de nantis volontaires ou de l'activation ou la réinsertion (sur le marché du travail des bas salaires) des marginaux, ce nouveau discours est essentiel, non seulement dans le cadre des efforts actuels visant à soulager l'É tat (providence) local, mais aussi dans l'expansion des forces du marché vers des zones nouvelles.  相似文献   

19.
Since the 1980s, the changing character of the Indian state has allowed it to move away from a highly regulated, autarkic development model to pursue lighter regulation and closer integration with the global economy. This move created the incentives for India?s emergence as a leading software exporter. Within India, Bangalore emerged as the leading software–producing region and the large number of domestic and foreign firms there has led to popular references to it as India?s Silicon Valley. This essay, however, argues that referring to Bangalore as Silicon Valley?s India is more appropriate, as it struggles to transform itself from a region that develops software for global markets to one that defines new products and technologies. Driving the growth of the Indian software industry is the export of labour–intensive services, while the relatively small and slow–growing domestic market has limited the nurturing of original ideas. The essay explains the limitations in terms of social constraints on the state despite its changed character. The analysis of how changing state–society relations have shaped the software industry in Bangalore provides a means of addressing debates on the importance of social embeddedness in agglomeration and late industrialization in newly industrializing countries. Depuis les années 1980 et le changement de nature de l'Etat indien, ce dernier s'éloigne d'un modèle de développement autarcique très réglementé, allant vers un contrô le allégé et une intégration plus étroite à l'économie mondiale. Cette évolution a suscité des mesures d'incitation favorisant l'émergence de l'Inde comme premier exportateur de logiciels. Dans le pays, c'est la région de Bangalore qui est en tête de la production de logiciels, et la concentration d'entreprises nationales et étrangères y est connue sous le nom de `Silicon Valley indienne'. Pourtant, `l'Inde de la Silicon Valley' conviendrait mieux, puisque la région s'efforce de passer du développement de logiciels destinés à des marchés mondiaux à la définition de nouveaux produits et technologies. La dynamique du secteur indien des logiciels tient a` l'exportation de services demandeurs de main‐d'uvre, tandis que le marché intérieur, relativement restreint et à croissance lente, a limité les sources d'idées originales. L'article explique les limitations en termes de contraintes sociales sur l'Etat malgré sa nouvelle nature. Analyser comment les relations Etat‐société et leur évolution ont modelé l'industrie des logiciels à Bangalore permet ainsi d'aborder le débat sur l'importance de l'intégration sociale dans une agglomération et une industrialisation tardive propres aux pays d'industrie récente.  相似文献   

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Based on life-stories, in-depth interviews and informal conversations, this article focuses on the lived experiences of the inhabitants of a slum in Buenos Aires, Argentina. The first part of the article explores the political-economic context of deepening marginalization of the slum population in contemporary Argentina, paying special attention to the mutually reinforcing processes of massification of under- and unemployment, impoverishment and state retrenchment. The second part of the article analyses the impact of such increasing marginalization on the lived experiences of slum-dwellers in Villa Paraiso. In particular, it focuses on (a) the dominant antagonisms that divide the residents of this destitute neighbourhood; and (b) the feeling of social isolation and abandonment that pervades much of the reality of slum-dwellers. The article finds some experiential similarities between slum-dwellers in Argentina and residents of other enclaves of urban poverty in advanced societies. A partir d'histoires de vie, des entrevues en profondeur et des conversations informelles, cet article a pour objet les expériences vécues des habitants des taudis de Buenos-Aires en Argentine. La première partie de l'article explore le contexte socio-politique de marginalisation croissante des habitants des taudis dans l'Argentine contemporaine, attirant particulièrement l'attention sur les processus de massification, de sous-emploi et de chômage, d'appauvrissement et de retrait de l'état qui se renforcent mutuellement. La seconde partie de l'article analyse l'impact que cette marginalisation grandissante a sur l'expérience des habitants des taudis de Villa Paraiso. Il examine en particulier (a) les antagonismes dominants qui divisent les résidents de ce quartier sans ressources et (b) l'impression d'isolation sociale et d'abandonnement qui imprègne une bonne part de la réalité des habitants de taudis. L'article met en evidence certaines similarités entre les expériences des habitants de taudis en Argentine et les résidents d'autres enclaves de pauvreté urbaine dans les sociétés avancées.  相似文献   

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