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1.
A recent change in attitude of politicians and officials in Amsterdam towards artists who use squatted workspaces does not entail co‐optation of squatters as providers of cultural services. The municipal Breeding Places Amsterdam (BPA) project is a continuation of the long‐standing tendency to legalize squats, but now motivated in terms of the artists' function for the city. There are no indications that recent legalizations have an effect that is different from earlier legalizations. They did not cause the squatters' movement to shift from waging a housing struggle towards creative expression, nor did they affect the core business of the movement: squatting. Internal conflicts, the use of legal procedure instead of political arguments and highly differentiated outcomes for individual squatters are not specific to the recent era of squatting. Some squatters are now trying to play their cards in a way that is compatible with the hype of the creative city. This illustrates the resilience of the prevailing pattern of ‘flexible institionalization’. Flexibility and diversity may well be characteristics that have enabled the squatters' movement to survive under increasingly adverse conditions. A Amsterdam, le récent changement d'attitude des politiciens et fonctionnaires à l'égard des artistes qui travaillent dans des ateliers squattés n'entraîne pas de cooptation des squatters comme fournisseurs de services culturels. Le projet municipal BPA (l'Amsterdam des pépinières) perpétue une tendance à légaliser les squats, quoique désormais motivée par le rôle des artistes dans la ville. Il n'existe aucun indice que les récentes légalisations aient un effet différent des précédentes. Elles ne font pas évoluer le mouvement des squatters d'une agitation de lutte pour le logement vers une expression créative, ni ne modifient l'activité première du mouvement: squatter. Conflits internes, recours à une procédure légale plutôt qu'à une argumentation politique, et résultats très différenciés selon les individus ne sont pas spécifiques à l'époque récente. Certains squatters tentent désormais leur chance selon une méthode compatible avec la dynamique promotionnelle de la ville créative, illustrant ainsi la résilience du schéma dominant ‘d'institutionnalisation flexible’. Ainsi, souplesse et diversité pourraient être les caractéristiques qui permettraient au mouvement des squatters de survivre dans des conditions de plus en plus défavorables.  相似文献   

2.
L'Espagne se trouve à l'encontre de sévères problèmes urbains que le régime authoritaire ne peut résoudre. Au fǔr et à mesure que ce régime se désintère, de nouvelles revendications surgissent; mais en Espagne, contrairement au Portugale, ce sont des mouvements organisés qui réclament une nouvelle politique. Ces mouvements populaires sont fondés sur les quartiers (Barrios); cette communication s'addresse à leurs développement à Barcelone. Les mouvements urbains de cette ville ont évolués à partir d'une contestation d'issus d'envergure locale, à une qui s'addresse aux processus et planification de toute la ville. Un réseau de groupes a créé les moyens pour une renaissance d'une vie collective et démocratique. Le droit à un logement convenable, aux aménagements adéquats, au contrǒle sur l'industrie et la pollution, et à une suspension des rénovations urbaines, s'est fait valoir. Les moyens par lequels ces objectifs sont accomplis sont esquissés. Une critique de la planification implique celle de l'administration municipale. Divers genres de protestations ont eu lieu à différentes périodes dans l'évolution de cette critique. C'est maintenant que les mouvements communautaires, les analystes de l'urbain, et les nouveaux groupes politiques ont besoin de travailler ensemble afin développer un nouveau contexte pour le gouvernement municipal, à l'intérieur d'un programme socio-économique plus large. Dans n'importe quel système futur, les groupes des Barrios continueront de jouer un rǒle essentiel. Un mouvement vers une réforme municipale accompagnera vraisemblablement un changement social plus grand, surtout celui de la lutte pour l'autonomie Catalane.  相似文献   

3.
In this article the opportunity structures of New York City and Amsterdam for organized squatting are compared. New York City knew two distinct squatting waves, with an intermission of several years. The literature on US urban movements predicts transformation through cooptation and repression. Only the first wave, in which housing activists used squatting as a tactic, fits this prediction. The second wave of squatting in New York City, and squatting in Amsterdam in general, escaped cooptation because they involved a squatters' movement proper, in which squatting was not only a tactic but also central to its existence. Compared to Amsterdam, squatting in New York was hampered by technical difficulties and political isolation. Stricter protection of private property made New York squatters restrict themselves to publicly‐owned abandoned buildings. Turf conflicts tended to develop on the neighbourhood level when these buildings were later claimed for the development of low‐income housing. In Amsterdam this type of conflict was rare because of the broad support for low‐income (re)development. Instead, Amsterdam saw citywide protest directed at the real estate sector and municipal authorities. Cet article compare la structure des opportunités des villes de New York et Amsterdam concernant les squats organisés. New York a connu deux vagues de squattage séparées de plusieurs années. Les textes sur les mouvements urbains aux Etats‐Unis prévoient une mutation par cooptation et répression. Seule la première vague, pour laquelle les militants en faveur du logement ont utilisé le squattage comme tactique, répond à cette prédiction. La seconde vague d'opérations à New York, et celles d'Amsterdam en général, ont échappéà la cooptation, car il s'agissait de mouvements de squatters à proprement parler, où le squat n'était pas seulement une tactique mais surtout un fondement de leur existence. Comparéà Amsterdam, le squattage à New York s'est heurtéà des problèmes techniques et à un isolement politique. La protection plus stricte de la propriété privée a forcé les squatters new‐yorkais à se limiter aux bâtiments publics abandonnés. Des luttes de territoires ont eu tendance à se développer entre voisins lorsque ces bâtiments ont ensuite été réclamés pour aménager des logements à faible loyer. A Amsterdam, rare fut ce genre de conflit grâce au vaste soutien favorable au (ré)aménagement social; au contraire, une protestation générale s'est élevée à l'encontre du secteur immobilier et des autorités municipales.  相似文献   

4.
Cet article examine les interprétations marxistes et dites ‘structuralistes’ des mouvements sociaux urbains. Il propose l'argument selon lequel certains aspects de méthodologie ne sont pas incompatibles avec la perspective des études pluralistes américaines employée pour le traitement des phénomènes de revendications. Ces deux perspectives partagent la měme supposition, c'est à dire que l'influence coule des mouvements de revendications à l'état; ce qui amène à chercher les raisons pour l'échec à l'intérieur du mouvement lui-měme, plutǒt que dans les ressources et les stratégies à la disposition de l'état et de ses agents pour détourner et dominer la revendication. Deuxièmement, ces perspectives ne semblent pas avoir de critères de sélection, et analysent seulement les cas manifestes de revendications. Il est suggéré qu'une interprétation adéquate ne peut ětre arrivée que sur la base d'une recherche qui essaye d'expliquer les relations fondamentales de pouvoir dans le système urbain, particulièrement quand il s'agit de situations d'inertie ou de non-revendication. La seconde partie de cet article est un compte rendu d'une recherche empirique sur la suppression d'un mouvement ouvrier de revendication à Londres contre des politiques de logement ‘pour les masses’. Cette recherche montre de quelle façon la portée et l'exactitude des interprétations marxistes et dites ‘structuralistes’ peuvent ětre avancée afin de prendre en compte ces critiques. En měme temps, elle explore l'utilisation des pouvoirs coercifs par les autorités locales anglaises et l'influence exercée par les corporations industrielles sur la politique du logement.  相似文献   

5.
Les transports en commun deviennent rapidement un exemple critique de la crise générale des politiques de l'état dans la production et la distribution des équipements collectifs. La destruction antérieure des transports en commun aux Etats Unis par les intérêts de l'automobile, ainsi que les contraintes de l'énérgic, de l'utilisation du sol, et du chômage, produisent une situation selon laquelle diverses fractions du capital se regroupent dans une coalition afin de déterminer une politique future des transports. Une telle politique doit tant bien que mal satisfaire les besoins souvent contradictoires du transport, le résultat d'un développement urbain structuré autour de la dominance de l'automobile. Ces besoins sont soulignés ici-bas. Cet article présente les diverses options considérées actuellement ainsi que les contradictions survenant de chaque direction proposée. Les divisions à l'intérieur de la classe capitaliste sur ces options sont aussi présentés. Finalement, une brève considération est donnée aux mouvements sociaux urbains passés et présents organisés autour des questions de transport, ainsi que les problèmes auxquels ces mouvements doivent faire face dans les luttes futures autour de cet enjeu critique.  相似文献   

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Starting from the elections of 1990, the renewal of St Petersburg's political elite has developed in two stages. During the first stage, activists of social movement organizations were established in the city representative body (institutionalization of social movements). In the second stage, authoritative bodies within the city Soviet were formed from the deputy corps (whose members we have identified as the elite). Having progressed from their role of challenging the institutionalized political process to participating in it, the new city political leadership at first followed the patterns of social movement behaviour. There has been, however, a shift in activity patterns and an estrangement from challenging groups. There is also evidence of a change in the concept of city authorities' functioning. The desire for a union of representative and executive power, typical of an initial introduction to politics, is giving way to recognition of the need for a division of power. But the admission of leaders of challenging social movements to city power structures has not entailed their conversion to the new city elite. Depuis les élections de 1990, le renouvellement des élites de Saint Pétersbourg s'est produit en deux étapes. Durant la première phase, les activistes des organisations de mouvements sociaux s'établirent dans le corps représentatif de la ville (l'institutionalisation des mouvements sociaux). Durant la deuxième phase, les organisations autoritaires de la ville furent formées par le corps des fondés de pouvoir (dont nous avons identifiés les membres comme étant l'élite). Ayant progressé de leur position de contestation du processus politique institutionaliséà celle de participant dans ce processus, les nouveaux dirigeants politiques de la ville suivirent, au début, le modèle de comportement du mouvement social. Il y a cependant eu un changement dans les types d'activités et un retrait des groupes contestataires. Il y a aussi des indications de changement dans les concepts de fonctionnement des autorités de la ville. Le désir d'unir les pouvoirs représentatifs et exécutifs, caractéristique d'une introduction initiale à la politique, cède la place à une reconnaissance qu'une division du pouvoir est nécessaire. Mais l'entrée des dirigeants des mouvements sociaux contestataires dans les structures du pouvoir de la ville n'a pas été suivie par leur transformation en nouvelles élites.  相似文献   

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8.
La crise urbaine en Espagne et la crise politique de la Dictature franquiste ont suscité dans la plupart des villes espagnoles, entre 1971 et 1977 des associations de quartier qui groupent des centaines de milliers de citoyens et qui représentent l'un des mouvements sociaux urbains les plus importants dont on a connaissance à l'heure actuelle. Sur la base d'une enquête sociologique effectuée en 1977 dans les quartiers de Madrid, cet article tente de dégager les composantes essentielles du mouvement, d'établir une typologie des situations urbaines où il surgit et d'esquisser des hypothèses sur les rapports entre mouvements urbains et action politique.  相似文献   

9.
During the Danish local and national elections in November 2001, the scale, intensity and tone of the debates on migration took both national and international commentators by surprise. Within the first year of the new right‐wing government, supported by the influential Danish People's Party, Denmark has become one of the most exclusive and restrictive immigration regimes in Europe. This article takes a closer look at the recent politicization of migration issues in Denmark. While there is certainly concern with the compatibility of migrant ‘otherness’, in particular Islam, with Danish society and norms, then an equally, or even more central issue regards the ‘cost of migration’ for Danish social policy standards. Because of high unemployment rates, migrants and their descendants receive a relatively large part of Danish social contributions. This has raised the more general question of how to combine immigration with a tax‐financed universal welfare system where all have rights to full social benefits immediately upon arrival. The answer of the government has been to cut both sides of the equation by implementing stricter entry rules for family reunification and asylum‐seekers, as well as making a historical break with the principle of equal social welfare benefits for all legal residents. Lors des élections danoises locales et nationales de novembre 2001, l'ampleur, l'intensité et le ton des débats sur la migration ont surpris les commentateurs tant nationaux qu'étrangers. Au cours de la première année au pouvoir du nouveau gouvernement de droite, soutenu par le puissant Parti populaire danois, le Danemark a mis en place l'un des régimes d'immigration les plus fermés et restrictifs d'Europe. L'article s'attache à la récente politisation des questions de migration dans ce pays. Sans négliger le souci réel de compatibilité de ‘l'altérité’ des migrants, notamment l'Islam, avec la société et les normes danoises, il expose un problème aussi, voire plus crucial: le ‘coût de la migration’ selon les bases de la politique sociale nationale. Compte tenu des forts taux de chômage, les migrants et leurs descendants reçoivent une part relativement importante des contributions sociales danoises. D'où une question plus générale sur la façon de combiner immigration et système social universel financé par la fiscalité, où tous ont droit à l'intégralité des prestations sociales dès leur arrivée. En réponse, le gouvernement a tronqué les deux câtés de l'équation, en appliquant des règles d'entrée plus strictes pour la réunification familiale et les demandeurs d'asile, tout en créant une rupture historique avec le principe de prestations sociales égales pour tous les résidents légaux.  相似文献   

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This article focuses on the waste collection strategies of the municipal government in Cape Town, South Africa, using the case as a point of entry to a wider critique of global neoliberalism and the privatization of municipal services. The analysis of the case sheds light on the links between the cost recovery agenda of the neoliberal state and the casualization of labor. To minimize costs, local governments, like private sector firms, rely on and have enhanced the casualization of labor. This strategy further blurs the conceptual distinction between the public and private sectors, in that the local governments treat citizens as, instead, customers with stratified entitlements to basic services. Stressing the continuities of apartheid under the neoliberal policies, the article identifies specific ways in which the neoliberal government in its post‐apartheid moment uses gender ideologies and the rhetoric of voluntarism and empowerment to justify its use of residents' underpaid and precarious labor for municipal services in poor black townships. Cet article aborde les stratégies de ramassage des ordures établies par la municipalité de Cape Town (Afrique du Sud) et utilise ce cas comme point de départ d'une critique plus large sur le néolibéralisme ambiant et la privatisation des services municipaux. L'analyse révèle les liens entre le programme de recouvrement des coûts de l'État néolibéral et la précarisation de la main‐d'?uvre. En effet, pour minimiser les coûts, les gouvernements locaux, à l'instar des entreprises privées, s'appuient sur une précarisation (qu'ils accroissent) de l'emploi. Cette stratégie atténue encore la distinction conceptuelle entre secteurs public et privé, les gouvernements locaux traitant les habitants plutôt comme des clients ayant droit, selon leur strate d'appartenance, à tel ou tel service de base. Soulignant les prolongements de l'apartheid sous une politique néolibérale, l'article identifie les modalités spécifiques grâce auxquelles le gouvernement néolibéral de post‐apartheid recourt aux idéologies sexistes et au discours sur le bénévolat et l'habilitation pour justifier son utilisation d'une main‐d'?uvre précaire et mal rémunérée parmi les habitants, pour les services municipaux dans les quartiers noirs pauvres.  相似文献   

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In the post‐1945 rebuilding of local democracy and local government in West Germany the local government statutes enacted by each of the regions (Länder) created a conspicuous variety of local governments that ranged from the council/directly elected (chief executive) mayor form (installed in the South German Länder of Baden‐Württemberg and Bayern) to that of the (British local government‐derived) council/council‐elected mayor, and the city director form (introduced in the Land of Nordrhein‐Westfalen). This made almost for a natural experiment with different local government models. Since the early 1990s, in a striking sequence of legislative moves, all Länder have adopted the (‘South German’) directly elected (chief executive) variant. The legislative motives behind this shift were twofold: first, to strengthen the direct democratic rights of citizens (‘local democracy’); and, second, to improve the capacity of local leadership in running and managing the city (‘governability’). The article argues that — as evidenced by the 50 year‐long practice in the South German Länder — the directly elected (chief executive) mayor form seems capable of fulfilling the double goal of strengthening the administrative leadership in local government and of enhancing its political accountability to the citizens. Furthermore, experience indicates that the potentially ‘over‐powerful’ position of the directly elected mayor (as political and administrative leader) has been counterbalanced and held in check by an active local council and by vigorous local political parties. Lors de la reconstruction de la démocratie locale et des gouvernements locaux en Allemagne de l'Ouest après 1945, les régions (Länder) ont chacune mis en place des statuts de gouvernement local aboutissant à une extraordinaire variété allant de la combinaison conseil‐maire (directeur) élu par la population (dans les Länder du Bade‐Wurtemberg et de Bavière, au Sud) et conseil‐maire élu par le conseil (inspirée du gouvernement local britannique), jusqu'à une forme d'administrateur de la cité (introduite dans le Land de Rhénanie‐du‐Nord‐Westphalie). Il en a résulté une quasi‐expérience naturelle de différents modèles de gouvernement local. Depuis le début des années 1990, dans une succession frappante de mesures législatives, tous les Länder ont adopté la variante (‘sud‐germanique’) par élection directe (d'un directeur). Cette mutation obéit à deux sortes de motifs législatifs: d'une part, renforcer les droits des citoyens à la démocratie directe (‘démocratie locale’) et, d'autre part, améliorer la capacité de l'autorité locale à diriger et gérer la ville (‘gouvernabilité’). Comme le prouve la pratique de cinquante années dans les Länder du sud, la formule du maire (directeur) élu directement paraît en mesure de répondre au double objectif de renforcement de la direction administrative dans un gouvernement local et d'accentuation de sa responsabilité politique vis‐à‐vis des citoyens. En outre, l'expérience montre que la position potentiellement ‘toute‐puissante’ des maires élus au suffrage direct (en tant que chef politique et administratif) a été contrebalancée et contenue par un conseil local actif et d'énergiques partis politiques locaux.  相似文献   

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Research on ethnic residential patterns is overwhelmingly empiricist in focus. The discursive context surrounding the socio‐spatial phenomenon needs to be acknowledged since it can have concrete impacts on the practice of urban social planning as well as the spatial behaviour of individuals and groups. Using Henri Lefebvre's insights into the production of social space, this article looks at how a dominant representation of space is constructed, with its implications for ‘lived’ spaces and the spatial practices which circumscribe them. The case of Singapore is examined, where the government has appropriated the discourse surrounding ‘ethnic regrouping’ in an attempt to legitimize the unpopular policy of ethnic quotas in public housing. Alleging that ‘ethnic regrouping’ had been taking place during the 1980s, this was portrayed as undesirable and contrary to the ideal of integration. The imposition of ethnic quotas was thus justified as necessary and appropriate. Systematic analysis using the index of dissimilarity, however, problematizes this representation of space. The rhetoric surrounding ethnic regrouping is revealed to be a means of social discipline whereby the government imposes a particular representation of space and seeks to manipulate the social landscape via technocratic means. Les recherches sur les modèles résidentiels ethniques débordent d'empirisme. Or, le contexte discursif du phénomène socio‐spatial doit être reconnu puisque celui‐ci peut avoir des incidences tangibles sur l'exercice de l'urbanisme social, ainsi que sur le comportement des individus et groupes dans l'espace. A partir des idées d'Henri Lefebvre sur la production de l'espace social, l'article analyse comment s'élabore une représentation dominante de l'espace, avec ses implications sur les espaces ‘vécus'et les pratiques spatiales qui les délimitent. Dans le cas de Singapour, le gouvernement s'est approprié le discours autour du ‘regroupement ethnique’ dans le but de légitimer la politique impopulaire des quotas ethniques dans les logements publics. Sous le prétexte que le ‘regroupement ethnique’ s'était déroulé dans les années 1980, il a été présenté comme indésirable et contraire à l'idéal d'intégration. Les quotas ethniques ont donc été justifiés comme nécessaires et pertinents. Cependant, une analyse systématique utilisant l'indice de dissemblance remet en cause cette représentation de l'espace. La rhétorique entourant le regroupement ethnique apparaît comme un outil de discipline sociale grâce auquel le gouvernement impose une représentation particulière de l'espace, cherchant à manipuler le paysage social par des moyens technocratiques.  相似文献   

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This article explores the production of the nightlife industry within a new urban entertainment economy. We do this by drawing upon debates about the transition from Fordism to post‐Fordism, and the assumed shift away from standardized and mass towards more segmented and niche consumer markets. In contrast to some of the more self‐congratulatory accounts of varied, flexible niche urban consumption, our starting point is to pursue more neo‐Fordist interpretations which explore continuity as well as change and in particular stress growing corporate control in entertainment and night‐life economies, the increased use of branding and theming, and the emergence of segmented, sanitized and gentrified consumer markets. These processes are illustrated and empirically examined in relation to changes within the UK nightlife sector which has undergone rapid restructuring, re‐concentration and segmentation over the last 10 years. We discuss a number of implications which emerge from these developments, such as the erosion of diversity and choice, and the possibilities for alternative/independent and historic/community forms of nightlife production and spaces to coexist in such a context. L'article examine la production du secteur de la vie nocturne dans le cadre d'une nouvelle économie urbaine des loisirs. Pour cela, il s'inspire des débats sur la transition du Fordisme au post‐Fordisme, et sur le soi‐disant décalage des marchés de consommation de masse standardisés vers des niches et des marchés plus segmentés. Contrairement à certaines des justifications auto‐suffisantes d'une consommation urbaine de niches variée et flexible, son point de départ consiste à suivre des interprétations plus néo‐Fordiennes qui explorent continuité et changement, en soulignant notamment la main‐mise croissante d'entreprises dans les économies du loisir et de la vie nocturne, le recours accru à une stratégie de marque ou de thème, et l'émergence de marchés de consommation segmentés, aseptisés et embourgeoisés. Ces processus sont illustrés et étudiés empiriquement d'après les transformations du secteur de la vie nocturne au Royaume‐Uni, lequel a connu un enchaînement de restructuration‐reconcentration‐segmentation au cours des dix dernières années. Hormis plusieurs implications de ces évolutions (comme l'érosion de la diversité et du choix), l'article aborde les possibilités de coexistence, dans un tel contexte, de formes alternatives ou indépendantes et historiques ou collectives de production et d'espaces de vie nocturne.  相似文献   

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This overview article sets out the broad themes behind the transformation of local political leadership, in particular the forces that have led to the introduction of stronger forms of local executive, such as directly elected mayors. After setting out the role of local political leadership in traditional local government and different traditions and patterns across Western Europe, the article sets out the likely factors driving the changes toward a stronger form of leadership in the more complex pattern of governing described as local governance: complex networks, the ‘new political culture’, Europeanization of public policy and institutional mimetism. The article observes that the articles in this symposium do not fully confirm these hypotheses, showing the complexity of the responses and the different contexts across Western Europe. The concluding sections draw together the implications of the stronger forms of local executive for the current practice and functioning of local politics and policy‐making: the legitimacy crisis that may have emerged from more autonomous political leaders, which combines with the decline in the conventional measures of local political participation; the lack of complementary institutional resources to assist the performance of the enhanced executive function; and the emergence of a new north‐south divide in governing styles. Cet article général expose les grands thèmes qui sous‐tendent la transformation de l'autorité politique locale, notamment les forces qui ont conduit à l'introduction de formes d'exécutif local plus puissantes, comme l'élection des maires au suffrage direct. Après avoir expliqué le rôle d'une autorité politique locale dans un contexte classique et selon plusieurs traditions ou modèles d'Europe occidentale, l'étude s'intéresse aux facteurs susceptibles de tendre vers une forme plus forte d'autorité dans le cadre pluscompliqué d'une gouvernance locale intégrant réseaux complexes, ‘nouvelle culture politique’, européanisation des politiques publiques et mimétisme institutionnel. Les articles proposés pour ce symposium ne confirment pas totalement ces hypothèses, révélant la sophistication des réponses et la multiplicité des contextes européens. La conclusion déduit ce qu'implique le renforcement de l'exécutif local dans la pratique et le fonctionnement actuels de la politique et du processus décisionnel locaux: crise de légitimité, éventuellement née de leaders politiques plus autonomes, combinée au déclin des dispositifs classiques de participation locale; manque de ressources institutionnelles complémentaires qui faciliteraient la mise en ?uvre de la nouvelle fonction exécutive; émergence d'une scission nord‐sud dans les styles de gouvernement.  相似文献   

15.
Domestic property and social class   总被引:1,自引:0,他引:1  
Cet exposé traite de l'importance des conséquences des différents modes d'occupation de logement, en ce qui concerne les rapports de classes. L'accent est mis précisément sur la Grande Bretagne où, environ 40% des ouvriers manuels possèdent maintenant leur propre maison, et où l'extension de l'occupation de l'habitation par le propriétaire a nettement contribué à accroitre les dividions sociales et politiques, au sein de la classe ouvrière. La question qui se pose, est de savoir si de telles divisions ont une base matérielle réelle, ou si elles sont principalement idéologiques. On voit que la réponse à cette question aura d'importantes conséquences pour l'organisation de luttes politiques autour de la question du logement. L'exposé débute par une discussion des perspectives wéberiennes et marxistes en matière d'occupation de logement et de rapports de classes. La perspective wébérienne, liée aux travaux de Rex et de Moore sur 'le logement par classes', est rejetée, quoique la possibilité de reformuler le concept du logement par classes, au sein d'une orientation wébérienne, soit mise en évidence. Le point de vue marxiste, qui rejette la possession du logement comme étant étrangère à l'identification des intérêts de classe, est également rejeté, sous prétexte que l'occupation de l'habitation par le propriétaire est un facteur crucial d'une augmentation réelles des richesses individuelles qui peuvent largement dépasser les économics que l'on peut faire sur les salaires de toute une vie. L 'exposé montre ensuite, comment la possession de sa maison va dans le sens d'une accumulation des richesses, et comment ceci crée une réelle division d'intérèt économique entre les propriétaires en jouissance et les locataires, fait qui se manifeste souvent dans les luttes politiques locales. La conclusion qui se dégage de ceci est que, les efforts des activistes locaux pour unifier les deux groupes en une alliance politique contre le capital monopole, peut sàvérer à la fois peu judicieux et nuisible à la productivité.  相似文献   

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This article retraces the emergence and shows the implications of current regulative frameworks in the field of urban drug policy. Framed by an analytical perspective that is based on the concept of urban governance, the article focuses on the processes by which cooperation and coordination between various conflicting governmental and non‐governmental agencies are achieved to address drug‐related problems in the major agglomerations of Switzerland, as well as in the metropolitan areas of Amsterdam, Glasgow and Frankfurt am Main. In the first part, it is shown that these problems are structured and debated along a conflict between advocates of the public‐health approach and those of the public‐order approach in the field of drug policy, as well as, to a lesser extent, a conflict between core cities and fringe municipalities about spillover effects related to the provision of services for users of illegal drugs. It is argued that this stems from a general tension between the goals of an attractiveness policy aimed at enhancing local economic development, and the necessities of social policy needed to address urban social problems. The second part examines the emergence of mechanisms of governance aimed at addressing drug‐related urban problems. It is argued that a ‘social public order’ regime emerged to regulate drug‐related urban problems, controlling urban practices of drug users by a combination of police and social work. In addition, it is held that in Switzerland, where social policy is traditionally confined to municipalities, these mechanisms of governance contributed to the emergence of metropolitan regions as new territorial actors in the field of drug policy. Cet article retrace l'apparition et les implications des cadres régulateurs actuels dans le domaine de la politique urbaine contre la drogue. Dans une perspective analytique fondée sur le concept de gouvernance urbaine, il s'attache aux processus qui permettent coopération et coordination entre divers organismes antagonistes, gouvernementaux ou non, pour traiter des problèmes liés à la drogue dans les principales agglomérations suisses, ainsi que dans les zones métropolitaines d'Amsterdam, Glasgow et Francfort‐sur‐le‐Main. La première partie démontre que ces questions sont organisées et discutées au sein d'une opposition entre partisans de l'approche de santé publique et ceux de l'ordre public en matière de politique de lutte contre la drogue, ainsi que, dans une moindre mesure, au sein d'un conflit entre les villes centrales et les municipalités satellites sur les retombées des services mis en place pour les consommateurs de drogues; cette situation résulte d'une tension globale entre les objectifs d'une politique d'attraction visant à favoriser le developpement économique local, et les nécessités d'une politique sociale obligée de traiter les problèmes urbains. La deuxième partie étudie l'émergence de mécanismes de gouvernance en réponse aux problèmes urbains liés à la drogue; ainsi, un régime ‘d'ordre public social’ a vu le jour, les pratiques urbaines des consommateurs de drogue étant sous le contrôle combiné de la police et des travailleurs sociaux. De plus, en Suisse où la politique sociale est par tradition du ressort des municipalités, certaines zones métropolitaines sont devenues, grâce à ces mécanismes de gouvernance, de nouveaux acteurs territoriaux de la politique publique de lutte contre la drogue.  相似文献   

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This article uses a structural approach to the investigation of the continuity and discontinuity between ‘old’ urban and ‘new’ environmental protest, opening further space for analysis of the relationship between different mobilizations in Northern Ireland. In particular, I suggest that the ‘novelty’ and strength of social movements' challenges can be assessed in terms of their capacity to promote participation and cooperation between the opposite poles of established cleavages, especially when one engages in the analysis of socio‐politically polarized contexts. In this article I focus on two mobilizations. On the one hand, I show that the first Westlink protest of the 1970s was not the product of an integrated social movement but, rather, of a heterogeneous and instrumental coalition of urban and political actors which gained no support from formal environmental organizations and soon split along the national‐religious divide. On the other hand, I show that the current Westlink campaign is the product of a cohesive network, which cuts across the many socio‐political cleavages of Northern Ireland, linking together local, urban and community groups, conservation and environmental organizations, associations, universities, political actors and parties, of opposing national‐religious identity. I then take these two patterns of mobilization as a dependent variable and explain them by drawing on theories of resource mobilization, new social movements, framing and political opportunity structure. Cet article applique une démarche structurelle à l'examen de la continuité et discontinuité entre ‘ancienne’ contestation urbaine et ‘nouvelle’ contestation environnementale, dégageant ainsi un espace qui permet d'analyser le lien entre diverses mobilisations en Irlande du Nord. Il suggère notamment que la ‘nouveauté’ et l'intensité des défis lancés par les mouvements sociaux peuvent s'évaluer en termes de capacitéà favoriser participation et coopération entre les pôles opposés de clivages établis, en particulier si l'on s'intéresse aux contextes socio‐politiques polarisés. Deux mobilisations sont approfondies. D'une part, la première manifestation du Westlink dans les années 1970 ne résultait pas d'un mouvement social intégré, mais plutôt d'une coalition hétérogène et pragmatique d'acteurs politiques et urbains, laquelle n'a jamais reçu le soutien d'organismes officiels de protection de l'environnement et s'est rapidement divisée en suivant la fracture nationale religieuse. D'autre part, la campagne actuelle du Westlink est le produit d'un réseau cohérent, qui transcende les nombreux clivages socio‐politiques d'Irlande du Nord, reliant groupes locaux, urbains et communautés, organismes de protection et de défense de l'environnement, associations, universités, acteurs et partis politiques, tous d'identités nationales et religieuses différentes. Ces deux schémas de mobilisation sont ensuite repris en tant que variables dépendantes, et explicitées à partir des théories sur la mobilisation des ressources, les nouveaux mouvements sociaux, les cadres et la structure politique des opportunités.  相似文献   

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This article assesses the shape of industrial growth at the western end of the US‐Mexican border, analysing the degree to which globalization has diminished and/or restructured this international division. Baja California's connection to external economies is highly variable in tourism, agribusiness and export processing, with electronic maquiladoras clustering and garment production fragmenting. Most recently, dynamism has been driven by Asian investors meeting NAFTA deadlines, and impeded by recession and increased border security. The polarizing effect of globalization is demonstrated by the unprecedented emergence of a powerful group of Mexican‐state and private‐sector technocrats, at the expense of the majority of workers whose jobs remain poor. The state government has facilitated the development of capital intensive electronics industries, has neglected small and medium domestic suppliers, and been unable to provide public security. Low extensity, or the concentration of maquiladoras in an east‐west corridor adjacent to the border, and the location of most of their owners in Southern California, indicates the strongly regional character of the maquiladora economy. However, a small number of very large capital intensive plants originate in Asia, contributing to globalization via intercontinental linkages. The findings support transformationalist and sceptical models of globalization. L'article évalue la forme de croissance industrielle à l'extrémité occidentale de la frontière américano‐mexicaine, en analysant dans quelle mesure la mondialisation a atténué et/ou restructuré cette séparation internationale. La péninsule de Basse Californie est reliée de façon très variable aux économies extérieures, par le tourisme, l'agro‐industrie et la transformation à l'exportation, avec un regroupement de maquiladoras d'électronique et une fragmentation de la production vestimentaire. Plus récemment, si le dynamisme est venu d'investisseurs asiatiques en des échéances de l'ALENA, il a été entravé par la récession et une sécurité frontalière accrue. L'effet polarisant de la mondialisation est réävélé par l'émergence d'un puissant groupe de technocrates du secteur privé et de lÉtat mexicain, aux dépens de la majorité des salariés dont les emplois restent médiocres. Négligeant les petits et moyens fournisseurs nationaux, le gouvernement a facilité l'essor de secteurs capitalistiques de l'électronique, tout en se montrant incapable d'assurer la sécurité publique. La faible extensibilité ou la concentration des maquiladoras sur une bande Est‐Ouest longeant la frontière, ainsi que l'implantation de la plupart de leur propriétaire dans le sud de la Californie, marquent le caractère fortement régional de ce type d'économie. Toutefois, un petit nombre de très grosses usines capitalistiques viennent d'Asie, contribuant à la mondialisation via des liens intercontinentaux. Les résultats corroborent les modèles de transformation et sceptique de la mondialisation.  相似文献   

19.
The urban process under capitalism: a framework for analysis   总被引:3,自引:0,他引:3  
L'objectif de cet article est d'esquisser une problématique générale pour l'interprétation du processus urbain capitaliste. A cette fin, deux thèmes apparentés, l'accumulation et la lutte de classes, sont examinés. Un examen de la théorie marxiste de l'accumulation mène à une compréhension théorique du rôle de l'investissement dans le cadre bàti en relation avec l'ensemble de la structure et des contradictions du processus d'accumulation. Plus précisément, l'investissement dans le cadre bâti est perçu en relation avec les différentes formes de crise qui peuvent surgir sous le capitalisme. Une séléction d'exemples empiriques est présentée et discutée afin d'illustrer comment le support théorique est relié à l'évidence historique. Ceçi permet de mettre à l'intérieur d'une perspective théorique cohérente les ‘long cycles’ d'investissement observés, ainsi que les changements geógraphique des fluxes d'investissements. Ensuite la manière dont le cadre bâti lui-même exprime et contribu aux crises capitalistes est examinée. Il est demontré que sous le capitalisme il existe une lutte perpetuelle selon laquelle le capital essaye de construire un environnement propre à son image seulement pour le détruire avec la réapparition d'une nouvelle crise. L'analyse considère alors comment la lutte de classes—c'est à dire la réaction organisée de la force du travail aux déprédations du capital—influence la direction et la forme de l'investissement dans le cadre bâti. D'un intérêt particulier est la manière dont la lutte de classes au lieu du travail se trouve déplacée à travers le processus urbain vers des luttes centrées autour de la reproduction de la force du travail au foyer. Quelques exemples de ces luttes sont présentés afin d'illustrer comment elles se rattachent à la lutte fondamentale au point de production en même temps qu'elles influencent la direction et la forme de l'investissement dans le cadre bâti.  相似文献   

20.
Singapore is renowned as a global business and financial centre, an international hub of air and sea transport, and Asia's leading convention city. In the new millennium, the government has envisioned a new role for the city‐state as a ‘Renaissance City’ and ‘Global City for the Arts’. This vision is premised on Singapore becoming an investment base for leading arts, cultural and entertainment enterprises in the region, the theatre hub of Southeast Asia, and an entertainment destination for tourists. This article examines the challenges and accomplishments in Singapore's quest to be a Renaissance City. Drawing on literature on ‘global cities’ and concepts relating to ‘globalization’ and ‘localization’, it argues that the key challenge facing Singapore is how best to ‘go global’ and ‘stay local’ at the same time. Developing a Renaissance City entails a balancing act between globalizing local sensibilities on the one hand, while localizing global best‐practices on the other. This global‐local nexus can be approached in three ways: (1) by striking a balance between the economic and humanistic objectives of the arts; (2) by importing world‐class arts talents and exporting home‐grown skills; and (3) by globalizing local peculiarities in line with best practices from around the world. The need to balance global standards with local interests is not easily achieved, however, making Singapore's ‘Global City for the Arts’ vision one of its most ambitious goals to date. Singapour est célèbre en tant que centre mondial de la finance et des affaires, pivot du transport aéro‐maritime international, site de premier plan pour les salons en Asie. Avec le millénaire naissant, le gouvernement a envisagé une nouvelle fonction pour la cité‐État, celle de ‘Ville de la Renaissance’ et ‘Ville mondiale des Arts‘. Préalablement, Singapour doit devenir non seulement une base d'investissement pour les grands projets artistiques, culturels et de divertissement dans cette partie du monde, mais aussi le nud théâtral de l'Asie du Sud‐Est et une destination touristique de loisirs. L'article étudie les défis et réalisations qui jalonnent cette entreprise. Exploitant les documents traitant des ‘villes mondiales’ et des concepts liés à la ‘mondialisation’ et à la ‘localisation‘, il démontre que le grand problème auquel Singapour se heurte est de concilier simultanément les deux démarches ‘agir mondial‘ et ‘rester local‘. Développer une Ville de la Renaissance implique un équilibrage entre la mondialisation de sensibilités locales d'un côté, et la localisation des meilleures méthodes internationales de l'autre. On peut aborder ce lien mondial‐local de trois manières différentes: trouver un juste milieu entre les objectifs économiques et humanistes des arts; importer des talents artistiques de dimension mondiale et exporter les compétences nationales; mondialiser les particularités locales cohérentes avec les meilleures méthodes internationales existantes. Atteindre l'équilibre nécessaire entre normes mondiales et intérêts locaux est loin d'être aisé, ce qui fait de la vision de Singapour en ‘Ville mondiale des Arts‘ l'un des buts nationaux les plus ambitieux à ce jour.  相似文献   

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