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1.
In this article I argue that the US public housing policy, as codified by the Quality Housing and Work Responsibility Act of 1998 (QHWRA), is helping to reconfigure the racial and class structure of many inner cities. By promoting the demolition of public housing projects and replacement with mixed‐income housing developments, public housing policy is producing a gentrified inner‐city landscape designed to attract middle and upper‐class people back to the inner city. The goals of public housing policy are also broadly consonant with those of welfare reform wherein the ‘workfare’ system helps to bolster and produce the emergence of contingent low‐wage urban labor markets. In a similar manner, I argue that public housing demonstration programs, such as the ‘Welfare‐to‐Work’ initiative, encourage public housing residents to join the lowwage labor market. Although the rhetoric surrounding the demolition of public housing emphasizes the economic opportunities made available by residential mobility, I argue that former public housing residents are simply being relocated into private housing within urban ghettos. Such a spatial fix to the problems of unemployment and poverty will not solve the problems of inner‐city poverty. Will it take another round of urban riots before we seriously address the legacy of racism and discrimination that has shaped the US city? Cet article démontre que la politique du logement public américaine, telle que la réglemente la Loi de 1998, Quality Housing and Work Responsibility Act, contribue à remodeler la structure par races et classes de nombreux quartiers déshérités des centres‐villes. En favorisant la démolition d'ensembles de logements sociaux et leur remplacement par des complexes urbanisés à loyers variés, la politique publique génère un embourgeoisement des centres‐villes destinéà y ramener les classes moyennes et supérieures. Les objectifs de la politique du logement rejoignent largement ceux de la réforme sociale oú le système de ‘l'allocation conditionnelle' facilite et nourrit la création de marchés contingents du travail à bas salaires. De même, les programmes expérimentaux de logements publics, telle l'initiative Welfare‐to‐Work (De l'aide sociale au travail) poussent les habitants des logements sociaux à rejoindre le marchéde la main d'?uvre à bas salaires. Bien que les discours autour de la démolition des logements sociaux mettent en avant les ouvertures économiques créées par la mobilité résidentielle, leurs anciens habitants sont simplement en train d'être déplacés vers des logements privés situés dans des ghettos urbains. Ce genre de solution spatiale aux problèmes du chômage et de la pauvreté ne viendra pas à bout du dénuement des quartiers déshérités du centre. Faudra‐t‐il une autre série d'émeutes urbaines pour que l'on aborde sérieusement l'héritage de racisme et de discrimination qui a façonné les villes américaines?  相似文献   

2.
In this article I argue that the US public housing policy, as codified by the Quality Housing and Work Responsibility Act of 1998 (QHWRA), is helping to reconfigure the racial and class structure of many inner cities. By promoting the demolition of public housing projects and replacement with mixed‐income housing developments, public housing policy is producing a gentrified inner‐city landscape designed to attract middle and upper‐class people back to the inner city. The goals of public housing policy are also broadly consonant with those of welfare reform wherein the ‘workfare’ system helps to bolster and produce the emergence of contingent low‐wage urban labor markets. In a similar manner, I argue that public housing demonstration programs, such as the ‘Welfare‐to‐Work’ initiative, encourage public housing residents to join the lowwage labor market. Although the rhetoric surrounding the demolition of public housing emphasizes the economic opportunities made available by residential mobility, I argue that former public housing residents are simply being relocated into private housing within urban ghettos. Such a spatial fix to the problems of unemployment and poverty will not solve the problems of inner‐city poverty. Will it take another round of urban riots before we seriously address the legacy of racism and discrimination that has shaped the US city? Cet article démontre que la politique du logement public américaine, telle que la réglemente la Loi de 1998, Quality Housing and Work Responsibility Act, contribue à remodeler la structure par races et classes de nombreux quartiers déshérités des centres‐villes. En favorisant la démolition d'ensembles de logements sociaux et leur remplacement par des complexes urbanisés à loyers variés, la politique publique génère un embourgeoisement des centres‐villes destinéà y ramener les classes moyennes et supérieures. Les objectifs de la politique du logement rejoignent largement ceux de la réforme sociale où le système de ‘l'allocation conditionnelle’ facilite et nourrit la création de marchés contingents du travail à bas salaires. De même, les programmes expérimentaux de logements publics, telle l'initiative Welfare‐to‐Work (De l'aide sociale au travail) poussent les habitants des logements sociaux à rejoindre le marchéde la main d'?uvre à bas salaires. Bien que les discours autour de la démolition des logements sociaux mettent en avant les ouvertures économiques créées par la mobilité résidentielle, leurs anciens habitants sont simplement en train d'être déplacés vers des logements privés situés dans des ghettos urbains. Ce genre de solution spatiale aux problèmes du chômage et de la pauvreté ne viendra pas à bout du dénuement des quartiers déshérités du centre. Faudra‐t‐il une autre série d'émeutes urbaines pour que l'on aborde sérieusement l'héritage de racisme et de discrimination qui a façonné les villes américaines?  相似文献   

3.
Domestic property and social class   总被引:1,自引:0,他引:1  
Cet exposé traite de l'importance des conséquences des différents modes d'occupation de logement, en ce qui concerne les rapports de classes. L'accent est mis précisément sur la Grande Bretagne où, environ 40% des ouvriers manuels possèdent maintenant leur propre maison, et où l'extension de l'occupation de l'habitation par le propriétaire a nettement contribué à accroitre les dividions sociales et politiques, au sein de la classe ouvrière. La question qui se pose, est de savoir si de telles divisions ont une base matérielle réelle, ou si elles sont principalement idéologiques. On voit que la réponse à cette question aura d'importantes conséquences pour l'organisation de luttes politiques autour de la question du logement. L'exposé débute par une discussion des perspectives wéberiennes et marxistes en matière d'occupation de logement et de rapports de classes. La perspective wébérienne, liée aux travaux de Rex et de Moore sur 'le logement par classes', est rejetée, quoique la possibilité de reformuler le concept du logement par classes, au sein d'une orientation wébérienne, soit mise en évidence. Le point de vue marxiste, qui rejette la possession du logement comme étant étrangère à l'identification des intérêts de classe, est également rejeté, sous prétexte que l'occupation de l'habitation par le propriétaire est un facteur crucial d'une augmentation réelles des richesses individuelles qui peuvent largement dépasser les économics que l'on peut faire sur les salaires de toute une vie. L 'exposé montre ensuite, comment la possession de sa maison va dans le sens d'une accumulation des richesses, et comment ceci crée une réelle division d'intérèt économique entre les propriétaires en jouissance et les locataires, fait qui se manifeste souvent dans les luttes politiques locales. La conclusion qui se dégage de ceci est que, les efforts des activistes locaux pour unifier les deux groupes en une alliance politique contre le capital monopole, peut sàvérer à la fois peu judicieux et nuisible à la productivité.  相似文献   

4.
Social and Spatial Implications of Housing Reform in China   总被引:1,自引:0,他引:1  
Research into eastern European housing reform indicates that privatization has been accompanied by processes of social and physical exclusion and segregation. Has the Chinese housing reform been accompanied by similar problems? This paper addresses this question by examining the early evidence on the social and spatial consequences of housing reform. It begins with a discussion of the particular social and spatial patterns of Chinese cities developed during the early years of Communist control and then examines the social and spatial impacts of housing reform. It is argued that although housing reform has brought significant changes to the housing provision system and improved many urban residents' living conditions, it has not entirely broken the traditional system. Reform was to a large extent carried out within work‐unit establishments and has had very different impacts for different social and economic groups. In addition, spatial impacts in urban areas have varied between old and new areas and between rich and poor areas. La recherche sur les réformes du logement en Europe de l'est montre que la privatisation a été accompagnée de processus d'exclusion et de ségrégation physique et sociale. La réforme chinoise du logement a‐t‐elle été accompagnée de problèmes identiques? Cet article examine les premières données sur les conséquences sociales et spatiales de la réforme du logement. Il commence par une discussion des modèles sociaux et spatiaux particuliers aux villes chinoises développés durant les premières années du contrôle communiste et examine ensuite l'impact social et spatial de la réforme du logement. Bien que la réforme du logement ait apporté des changements significatifs au système de provision du logement et amélioré les conditions de vie de nombreux résidents urbains, elle n'a pas entièrement rompu avec le système traditionnel. La réforme a été en grande partie conduite à l'intérieur des établissements d'unités de travail et a eu un impact très différent sur les divers groupes sociaux et économiques. De plus, les impacts spatiaux dans les régions urbaines ont varié selon que les régions sont anciennes ou nouvelles et riches ou pauvres.  相似文献   

5.
Jeff Crump's discussion of housing policy in the United States is highly polemic but not very analytic or informative. Crump argues that federal housing policy is attempting to move people out of public housing and into the private housing market and the lowwage labor force. However, he fails to support his argument with credible evidence. My comments point out the most egregious of Crump's claims. I start with Crump's most extreme contentions that housing policy is coercing public housing residents into the low‐wage labor force. I then question his dismissive attitude toward the problems confronted by residents of distressed public housing and policies designed to help low‐income families move out of impoverished neighborhoods. I subsequently show how Crump exaggerates the extent to which federal housing policy is clearing central cities of subsidized low‐income housing. I conclude with a few words on the serious issues that a more informed critique of US housing policy could have raised. L'exposé de Jeff Crump sur la politique du logement aux Etats‐Unis relève principalement de la polémique, plus que de l'analyse ou de l'information. Selon lui, la politique fédérale tente de déplacer la population des logements sociaux vers les marchés de l'habitat privé et de la main‐d'?uvre à bas salaires. Toutefois, il n'apporte aucune preuve crédible à son propos. Ma réaction porte sur ses arguments les plus insignes, en commençant par ses allégations extrémistes selon lesquelles la politique du logement contraint les habitants des logements publics à des emplois peu rémunérés. Je remets ensuite en cause son dédain à l'égard des difficultés que rencontrent les résidents des logements sociaux insalubres, sans oublier les politiques prévues pour aider les familles à faibles revenus à quitter les quartiers pauvres. En conséquence, à mon avis, Crump exagère la mesure dans laquelle la politique fédérale élimine des centres‐villes les habitats à loyer modéré subventionnés. En quelques mots, ma conclusion porte sur les questions graves qu'aurait pu soulever un commentateur mieux documenté sur la politique du logement aux Etats‐Unis.  相似文献   

6.
La nature spécifique des luttes de classes dans les villes américaines avant les années 1870 a reçu, curieusement, peu d'attention de la part des historiens. Cet article examine l'évolution de la lutte de classes dans les villes du nord-est entre 1760 et 1820. Il est soutenu que pendant cette période le travail est devenu marchandise, ou force de travail, et que la distinction entre travail et force de travail est créé par la mobilité, fondement sur lequel l'accumulation du capital devient possible. ‘L'accumulation primitive’ est précédée par la ‘mobilité primitive’ dont il y a évidence aussi tôt que les années 1760 dans l'agriculture commerciale des régions du nord-est. Si la structure du travail temporaire urbain demeure en grande partie inchangée pendant cette periode, celle du travail artisanal devient sujette aux contraintes de la ‘force du travail’ au début du dix-neuvièrne siècle. Si le contrôle du pouvoir politique est à la base de la lutte de classes urbaine à la fin du dix-huitième siècle, vers les années 1820 il devient plutôt contrôle du pouvoir économique. Les réformes proposées dans les années qui suivent, ont comme objet la modification du comportement économique de la classe ouvrière ou des ‘pauvres’, qui étaient en effet en grande partie des Américains d'origine et non des immigrants. Ces réformes ont une portée spéciale dans les grandes villes où la réorganisation du travail par le capital fait face à des réactions violentes basées sur des idées communautaires plus anciennes. Ces réformes étaient essentielles à la réorganisation rationale de l'espace urbain social, et en tant que tel, représentent le commencement de la ‘modernisation’ des conflits de classes.  相似文献   

7.
With ongoing housing reform and profound changes in housing consumption in urban China, this article aims to understand tenure transition from rental to homeownership. Because of different housing systems in China over time, and thus different connotations attached to homeownership, tenure transition should be understood within its historic context. Using a sample survey of life history in 20 cities and the method of event history analysis, this article examines the tenure transition to the first homeownership during 1949–94, a period covering both the socialist era and the early stage of housing reform. In contrast to conventional wisdom, older and married people, and those working in the public sector and living in public housing were less likely to change to homeownership before housing reform, mainly because the socialist housing system was ironically in favor of those households with higher socio‐economic positions. In the reform era, while there are remnants of the socialist housing system, tenure transition has different dynamics with factors such as marital status, work units and previous housing tenure no longer important, at least by the mid‐1990s. In addition, crowded housing conditions and long duration in the rental sector generally encourage the transition to homeownership, and there are significant regional variations. Face à la réforme actuelle du logement et aux mutations de consommation de l'habitat dans la Chine urbaine, cet article cherche à comprendre le passage de la location à la propriété. Les systèmes de logement ayant varié avec le temps, donnant à la propriété différentes connotations, il faut appréhender la transition du mode d'occupation dans son contexte historique. S'appuyant sur une étude biographique effectuée par sondage dans 20 villes et sur la méthode de l'analyse historique des événements, l'article examine la transition vers la première accession à la propriété entre 1949 et 1994, période couvrant l'ère socialiste et le stade initial de la réforme du logement. Contrairement à l'avis traditionnel, les individus mariés et plus âgés, ainsi que les employés du secteur public qui vivent dans des logements sociaux, avaient moins tendance à opter pour la propriété avant la réforme, essentiellement parce que l'habitat socialiste favorisait bizarrement les ménages aux positions socio‐économiques élevées. Pendant la période de réforme, malgré une survivance du système socialiste, le changement de mode d'occupation présente une autre dynamique; ainsi, des facteurs tels que le statut marital, les unités de travail et le mode de jouissance antérieur n'ont plus d'importance, du moins jusqu'au milieu des années 1990. De plus, les conditions de surpopulation des logements et une durée prolongée dans le secteur locatif encouragent généralement le passage à la propriété, sans oublier des variations régionales significatives.  相似文献   

8.
The emergence of a new housing crisis in the United States for low‐income renter households at the outset of the twenty‐first century can be traced to an increasing lack of affordability, where the average cost of housing as a portion of income has risen steadily over the last half‐century. In turn, this rise in housing costs can be attributed to a growing and dramatic shortage of low‐cost rental housing. Ultimately, the evocation of homeownership as the embodiment of the ‘American Dream’ has made renting the ‘stepchild’ of housing options, and this has had hidden, but nonetheless deleterious effects upon US cities, which remain major concentrations of rental housing and financially‐strapped tenants. Aux Etats‐Unis, on peut imputer la nouvelle crise du logement du début du vingt‐et‐unième siècle touchant les ménages locataires à faibles revenus à une impossibilité croissante d'accessibilité financière, la part du coût moyen d'un logement dans le revenu ayant progressé constamment au cours du demi‐siècle précédent. Par ailleurs, cette élévation des coûts du logement peut être attribuée à une pénurie accrue et dramatique de l'habitat à loyer modéré. Enfin, évoquer l'accession à la propriété comme incarnation du ‘Rêve américain’ a fait de la location le ‘parent pauvre’ des possibilités de logement, ce qui a eu des effets latents, quoique néfastes, sur les grandes villes américaines, lesquelles restent des concentrations dominantes de logements locatifs et d'occupants désargentés.  相似文献   

9.
Supported by federal funds, many eastern German cities have started to address their acute vacant housing problem, and the new strategies attempt to pursue revitalization in especially consistent and comprehensive forms. This article offers evidence that current policies are not meeting their main objectives. Very little is being done in the older, inner‐city neighbourhoods, although these have been given a top political priority in the planning process since they are perceived as one of the greatest economic and cultural assets of eastern Germany. Rather, the policies have been effective only in the large‐scale housing estates, where local administrations and city governments meet ‘big partners’ with resources for action. Further, it is argued that present policy strategies focus too tightly on housing market issues alone. Many housing problems cannot be solved using housing market policy tools alone as vacancy is caused by the general trends of depopulation and deindustrialization in the region. Avec l'aide de financements fédéraux, de nombreuses grandes villes est‐allemandes se sont attaquées à leur grave problème de logements inoccupés, et les nouvelles stratégies tentent une relance par des formules particulièrement vastes et cohérentes. Cet article démontre que les politiques actuelles n'atteignent pas leurs objectifs principaux. Très peu est fait dans les quartiers anciens déshérités, même si on leur a donné une priorité politique élevée dans le processus d'aménagement puisqu'ils sont en bonne place, dit‐on, dans le patrimoine économique et culturel de l'Allemagne de l'Est. En revanche, les politiques publiques n'ont été efficaces que dans les projets de logements à grande échelle lorsque les administrations locales et autorités de la ville rencontrent des ‘partenaires de poids’ ayant des ressources pour agir. De plus, les stratégies politiques présentes s'attachent trop aux seuls aspects liés au marché du logement. Bien des problèmes d'habitat ne peuvent être résolus à l'aide d'outils de politique de marché puisque la vacance tient aux tendances générales à la dépopulation et à la désindustrialisation de la région.  相似文献   

10.
Cet article examine les interprétations marxistes et dites ‘structuralistes’ des mouvements sociaux urbains. Il propose l'argument selon lequel certains aspects de méthodologie ne sont pas incompatibles avec la perspective des études pluralistes américaines employée pour le traitement des phénomènes de revendications. Ces deux perspectives partagent la měme supposition, c'est à dire que l'influence coule des mouvements de revendications à l'état; ce qui amène à chercher les raisons pour l'échec à l'intérieur du mouvement lui-měme, plutǒt que dans les ressources et les stratégies à la disposition de l'état et de ses agents pour détourner et dominer la revendication. Deuxièmement, ces perspectives ne semblent pas avoir de critères de sélection, et analysent seulement les cas manifestes de revendications. Il est suggéré qu'une interprétation adéquate ne peut ětre arrivée que sur la base d'une recherche qui essaye d'expliquer les relations fondamentales de pouvoir dans le système urbain, particulièrement quand il s'agit de situations d'inertie ou de non-revendication. La seconde partie de cet article est un compte rendu d'une recherche empirique sur la suppression d'un mouvement ouvrier de revendication à Londres contre des politiques de logement ‘pour les masses’. Cette recherche montre de quelle façon la portée et l'exactitude des interprétations marxistes et dites ‘structuralistes’ peuvent ětre avancée afin de prendre en compte ces critiques. En měme temps, elle explore l'utilisation des pouvoirs coercifs par les autorités locales anglaises et l'influence exercée par les corporations industrielles sur la politique du logement.  相似文献   

11.
The development of low‐income housing continues to be a political imperative and an urban reconstruction priority for the post‐apartheid South African state. But, even though policies for housing construction and delivery by the state are in place, in practice many homeless families initiate, direct and drive the process through which they secure state‐provided housing. I analyse in this study two such cases where homeless residents in peripherally located, poor areas of the Cape Metropolitan Area successfully accessed state‐provided housing. In both instances, homeless families organized around the different sets of capacities that structured the nature of the linkages that each forged to resources outside of their respective areas, and thus the ways in which they pursued their need for housing. I argue in this study that uneven and place‐specific, community‐based capacity often directs the manner in which communities interpret, interface with and access state‐run urban reconstruction projects such as housing provision. An analysis of community‐based capacity thus proves useful to investigate the potential and the problems that underlie state initiatives for development and the manner in which communities participate and engage with urban reconstruction and development. L'expansion du logement social reste un impératif politique et une priorité de la reconstruction urbaine pour l'État sud‐africain de l'après‐apartheid. Des politiques de construction et de fourniture de logements par l'État ont été mises en place mais, en pratique, de nombreuses familles sans‐domicile induisent, orientent et mènent le processus par lequel elles s'assurent un logement public. Cette étude analyse deux de ces cas dans lesquels des sans‐domicile vivant dans des quartiers pauvres à la périphérie de la zone métropolitaine du Cap ont réussi à se loger. Dans les deux situations, les familles se sont organisées autour des capacités spécifiques qui structuraient la nature des liens établis pour trouver des ressources hors de leurs quartiers respectifs, définissant ainsi leurs modalités d'action pour obtenir un logement. L'étude démontre qu'une capacité inégale, particulière à un lieu et à un groupe, oriente souvent la manière dont les communautés interprètent, interagissent avec et accèdent aux projets de reconstruction urbaine menés par l'État tels que la fourniture de logement. Il apparaît donc utile d'analyser la capacité propre à une communauté, si l'on veut déterminer non seulement le potentiel et les problèmes fondamentaux des initiatives gouvernementales de développement, mais aussi la manière dont les communautés participent et contribuent à la reconstruction et à l'aménagement urbains.  相似文献   

12.
After a decade of wide‐ranging social welfare reforms in New Zealand, that have resulted in a considerable restructuring of the role of the state in housing provision, the introduction of new housing legislation in 2000 marked a significant attempt to reassert the notion of social provision. This article examines the manner in which housing policy has recast the role of social rented housing in New Zealand and sets out the political context and implications of the new legislation in which housing policy is being pursued. It is argued that while the notion of social provision has been revived, social rented housing is still constructed in terms of a residual model of provision in the political discourses of reform. En Nouvelle‐Zélande, après une décennie de réformes sociales de toutes sortes, lesquelles ont largement restructuré le rô le de l'É tat dans la fourniture de logements, la récente présentation d'une législation sur l'habitat en 2000 s'est distinguée par une nette tendance à réaffirmer la notion de service social. En examinant comment la politique du logement néo‐zélandaise a remanié le rô le de l'habitat social en location, l'article expose le contexte et les implications politiques des nouvelles lois dans lesquelles s'inscrit la politique publique du logement. Si la notion de service social a été ravivée, le logement social en location reste un pis‐aller parmi les schémas d'aide évoqués dans les discours politiques réformistes.  相似文献   

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This article deals with the vulnerability of the Dutch housing allowance scheme. This scheme can be compared with the British housing benefit. The vulnerability of the scheme has been augmented by the current less favourable economic conditions (stagnating household incomes, increasing unemployment) and the Dutch government's announcement that it plans to reduce housing allowance expenditure. Two scenarios are outlined, which may serve to resolve the danger of exploding housing allowances expenditure in the coming years. If a market‐led scenario is chosen, whereby housing associations strive to achieve market rents, the housing allowance will be transformed into a form of housing voucher, the value of which is not directly related to the actual rental price of the property. In this American‐style model, the value of the vouchers would be linked to a ‘virtual’ rent, say 40% of the average rental price in the region. The housing associations would then lose their special semi‐public status. Under the social housing model, the housing associations would retain their special status provided they aimed to achieve rents somewhat lower than the market level. The housing allowance would remain directly linked to the actual rental price. However, some marked changes would be required to render this system sustainable. The Netherlands cannot avoid having to make this choice. Cet article porte sur la vulnérabilité du régime hollandais d'aide au logement. Celui‐ci est comparable aux prestations britanniques. La fragilité du régime a été accrue par les conditions économiques actuelles moins favorables (stagnation du revenu des ménages, augmentation du chômage) et par l'annonce du gouvernement néderlandais relative à la réduction prévue des dépenses d'allocation‐logement. Sont présentés deux scénarios susceptibles de limiter le risque d'explosion des dépenses d'allocations dans les années à venir. Si l'option choisie est un scénario de marché où les associations pour le logement luttent pour atteindre les loyers du marché, l'allocation‐logement se transformera en ‘bon’ dont la valeur ne sera pas directement liée au montant réel du loyer. Selon ce modèle de type américain, la valeur des ‘bons’ sera fonction d'un loyer ‘virtuel’, soit environ 40% du prix moyen dans la région; les associations perdraient alors leur statut particulier semi‐public. Selon le modèle de logement social, elles conserveraient leur statut, à condition qu'elles cherchent à atteindre des loyers légèrement inférieurs au niveau du marché; l'allocation‐logement serait alors directement liée au montant réel du loyer. Toutefois, pour que le régime subsiste, il faudrait procéder à d'importants changements. Les Pays‐Bas ne peuvent s'épargner ce choix.  相似文献   

14.
Many studies have examined the role of racial prejudice and discrimination in the creation of racial residential segregation in US cities. Yet few researchers have situated early twentieth‐century meanings of race and racism within broader processes of urban development and the emergence of the modern real estate industry. Using a case study of Kansas City, Missouri, this article examines the organized efforts of community builders and homeowner associations to create racially homogeneous neighborhoods through the use and enforcement of racially restrictive covenants. Racially restrictive covenants encoded racial difference in urban space and helped nurture emerging racial prejudices and stereotypes that associated black residence with declining property values, deteriorating neighborhoods and other negative consequences. I argue that the cultivation and development of this segregationist ideology was simultaneously an exercise in the racialization of urban space that linked race and culturally specific behavior to place of residence in the city. As the twentieth century progressed, the identification of black behavior and culture with deteriorating neighborhoods became an important impetus and justification for exclusionary real estate practices designed to create and maintain the geographical separation of the races and control metropolitan development. I conclude with a discussion of how the linkage between race, racism and urban space helps to explain why racial residential segregation remains a persistent and tenacious feature of US metropolitan areas despite the passage of fair housing and numerous anti‐discrimination statutes over the past decades. Nombre d'études ont porté sur l'incidence des préjugés raciaux et de la discrimination sur la ségrégation raciale apparue dans l'habitat des villes américaines. En revanche, peu de chercheurs ont replacé les notions de race et de racisme en ce début de millénaire dans le cadre des processus plus larges d'aménagement urbain et d'émergence de l'immobilier moderne. À partir d'une étude de cas sur Kansas City (Missouri), cet article examine les efforts d'associations locales de propriétaires d'habitations et de constructeurs de logements sociaux qui se sont organisées afin de créer des quartiers homogènes sur le plan racial via l'utilisation et l'application de conditions locatives restrictives. Ces restrictions ont codifié une différence raciale dans l'espace urbain et contribuéà entretenir les préjugés raciaux et stéréotypes associant l'habitat noir à la dévalorisation de l'immobilier, à la détérioration des quartiers et à d'autres effets négatifs. L'article démontre que maintenir et développer cette idéologie ségrégationniste constituait parallèlement une opération de racialisation de l'espace urbain, une race et un comportement culturel spécifique se trouvant liés à un lieu de résidence dans la ville. Au cours du XXe siècle, l'identification du comportement et de la culture noirs à des quartiers dégradés a stimulé et justifié des pratiques immobilières d'exclusion visant à créer et à préserver la séparation géographique des races, tout en contrôlant l'aménagement métropolitain. Pour terminer, l'article aborde de quelle manière l'établissement d'un lien entre race, racisme et espace urbain permet d'expliquer les raisons pour lesquelles la ségrégation raciale de l'habitat persiste dans les zones métropolitaines américaines et ce, malgré l'adoption, au cours des dernières décennies, de l'accès universel au logement et de nombreuses lois contre les discriminations.  相似文献   

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Les tendences divergeantes de la structure agraire dans diverses parties du Brésil sont le thème de cet article. Le développement capitaliste dans les régions rurales de São Paolo, et la préservation/destruction des formes archaïques de production dans le nord-est sont analysés en terme des catégories et stages de développement capitaliste qui évoluent au pays. En considérant ce dernier dans son ensemble, une attention particulière est donnée à l'état. Depuis le début de l'industrialisation, l'industrie et l'agriculture ont toujours eu une relation ambiguë et contradictoire, et ceçi à la fois dans l'exportation et dans les marchés internes. Ceçi explique le caractère composite de l'état et la préservation d'une agriculture primitive. La préservation de la grande entreprise agro-merchantile et des formes archaïques de l'agriculture avait des fonctions distinctes pour l'accumulation du capital dans les secteurs non-agraires. Cet article examine aussi les tendances les plus récentes dans l'organisation agraire en relation avec les caractéristiques spécifiques de la nouvelle étape acquise par le capitalisme au Brésil. Une fois de plus, Côte à côte avec l'accroissement de la c?apitalisme agraire, dans la région de São Paolo (suivit par l'émergence d'un proletariat rural plus pur, la méchanisation massive et l'augmentation rapide de la composition organique du capital agraire), se produit l'extension et la récréation continuelle de la paysannerie latifundia dans les régions éloignées du pays. Un tel développement inégal dans les régions rurales coexiste avec le développement capitaliste dans son ensemble.  相似文献   

16.
Cette analyse de l'urbanisation d'aprés-guerre en Afrique Occidentale est proposée comme un jalon pour l'économie politique de l'urbanisation dans le Tiers Monde. L'Afrique Occidentale est une des régions les moins urbanisées du monde qui cependant a récemment connu une urbanisation plus rapide que toute autre. Cette explosion urbaine est associée avec des inégalités sévères à trois niveaux:
  • 1 un déséquilibre profond dans les conditions de travail et de vie entre le secteur urbain et le secteur rural
  • 2 une forte concentration des ressources dans les capitales
  • 3 une énorme disparité économique à l'intérieur des villes entre les masses et une petit élite
Si l'urbanisation en Afrique Occidentale est caractérisée par ces inégalités, il apparait qu'elle entraîne aussi des pertes économiques. Deux approches suggèrent que l'allocation des ressources est loin d'ětre optimale pour la croissance économique. D'une part des ressources sont gaspillées dans le chǒmage et le sous-emploi urbain, dans la croissance des grands centres métropolitains, et dans la construction des ‘quartiers spontanés’. D'autre part la présupposition que la forme prise par l'urbanisation est le résultat d'une allocation optimale des ressources est mise en doute quand les facteurs qui affectent les paramètres économiques ou qui interferent directement avec les décisions d'investissement sont soumis à l'examen, et quand l'attention est dirigée sur le processus politique qui s'avère constamment dominé par les intérěts et les préoccupations d'un petit groupe de dirigeants.  相似文献   

17.
L'Espagne se trouve à l'encontre de sévères problèmes urbains que le régime authoritaire ne peut résoudre. Au fǔr et à mesure que ce régime se désintère, de nouvelles revendications surgissent; mais en Espagne, contrairement au Portugale, ce sont des mouvements organisés qui réclament une nouvelle politique. Ces mouvements populaires sont fondés sur les quartiers (Barrios); cette communication s'addresse à leurs développement à Barcelone. Les mouvements urbains de cette ville ont évolués à partir d'une contestation d'issus d'envergure locale, à une qui s'addresse aux processus et planification de toute la ville. Un réseau de groupes a créé les moyens pour une renaissance d'une vie collective et démocratique. Le droit à un logement convenable, aux aménagements adéquats, au contrǒle sur l'industrie et la pollution, et à une suspension des rénovations urbaines, s'est fait valoir. Les moyens par lequels ces objectifs sont accomplis sont esquissés. Une critique de la planification implique celle de l'administration municipale. Divers genres de protestations ont eu lieu à différentes périodes dans l'évolution de cette critique. C'est maintenant que les mouvements communautaires, les analystes de l'urbain, et les nouveaux groupes politiques ont besoin de travailler ensemble afin développer un nouveau contexte pour le gouvernement municipal, à l'intérieur d'un programme socio-économique plus large. Dans n'importe quel système futur, les groupes des Barrios continueront de jouer un rǒle essentiel. Un mouvement vers une réforme municipale accompagnera vraisemblablement un changement social plus grand, surtout celui de la lutte pour l'autonomie Catalane.  相似文献   

18.
Urban planning is usually portrayed as a benign and progressive societal force. This interpretation is critically examined through an evaluation of Israel's development town project. According to the ‘best’ planning concepts available during the 1950s, Israel built 28 new towns, mainly on the country's peripheral ‘frontiers’. New immigrants, chiefly low‐income Mizrahi Jews, were housed in the towns, which provided a cornerstone of Israel's national project of ‘Judaising’ the country. The evidence shows that the planning of the towns has had many regressive consequences: it reinforced and reproduced patterns of deprivation and inequality through the creation of segregated and low‐status Mizrahi ethnic spaces. In the longer term, this spawned continuing grievances and protest, fluctuating political orientation and the emergence of a low‐status Mizrahi ethno‐class. The case in hand casts doubt over the notion of planning solely as a progressive force, and highlights its potential to act as an instrument of control and domination in the hands of societal elites. In Israel, promotion of the ‘national imperative’ of settling the frontiers, the advent of ‘modern urban planning’, and later ‘corrective’ policies to close the centre‐periphery gap, all worked to obscure the regressive stratifying processes caused by the development town project. La planification urbaine est généralement vue comme une force sociale bégnine et progressive. Cette interprétation est examinée de facon critique avec une évaluation du projet de développement de la ville en Israël. Suivant les ‘meilleurs’ concepts de planification des années cinquante, Israël a construit 28 villes nouvelles, principalement sur les ‘frontières’ périphériques du pays. Les nouveaux immigrants, avant tout des juifs Mizrahi qui avaient des revenus bas, furent logés dans les villes, qui étaient au centre du projet national israélien de rendre le pays plus judaïque. L'évidence montre que la planification des villes a eu de nombreuses conséquences régressives: elle a renforcé et reproduit les modèles de privation et d'inégalité par la création d'espaces ethniques Mizrahi de bas standing et isolés. À long terme, cela a donné lieu à des protestations et des doléances continuelles, à une orientation politique changeante et à la naissance d'une ethno‐classe Mizrahi de statut peu élevé. Ce cas d'étude met en doute le fait que la notion de planification soit uniquement une force progressive, et illumine le fait qu'elle peut servir d'instrument de contröle et de domination pour les élites sociales. En Israël, la promotion de ‘l'impératif national’ de stabilisation des frontières, l'arrivée de la ‘planification moderne urbaine’ et la récente politique ‘corrective’ pour réduire la distance entre le centre et la périphérie, ont toutes contribuéà obscurcir les processus régressifs de stratification dus au projet de développement des villes.  相似文献   

19.
This article focuses on the role of real estate agents as interpreters of the relationship between housing aesthetics (taste) and price. The research includes an analysis of housing advertisements, observation of housing auctions, and interviews with real estate agents in the gentrified inner western suburbs of Sydney, Australia. Adapting the work of Pierre Bourdieu on social class, the article argues that the relationship between housing taste and price captures the interaction of cultural and economic capital and that the intermediary role of the estate agent can be used to explore this. It concludes that the gentrification aesthetic is dynamic and increasingly demands economic capital at the expense of cultural capital (a gentrification premium) to maintain class distinction. Cet article traite du rôle des agents immobiliers en tant qu'interprètes du lien entre l'esthétique (goût) et le prix d'un logement. L'étude couvre une analyse des annonces, une observation des ventes aux enchères, ainsi que des entretiens avec des agents immobiliers dans des banlieues embourgeoisées situées directement à la périphérie ouest de Sydney (Australie). En adaptant les travaux de Pierre Bourdieu sur les classes sociales, l'article établit que la relation goût‐prix du logement accapare l'interaction du capital culturel et économique, le rôle intermédiaire de l'agent immobilier permettant d'explorer celle‐ci. La conclusion démontre que l'esthétique de l'embourgeoisement est dynamique et exige un capital financier croissant au détriment du capital culturel (bonus de la réhabilitation) afin de préserver une distinction de classe.  相似文献   

20.
There is evidence that the politics of economic development in the post‐industrial city is increasingly bound up with the ability of urban elites to manage ecological impacts and environmental demands emanating from within and outside the urban area. More than simply a question of promoting quality of life in cities in response to interurban competition and pressures from local residents, the greening of the urban growth machine reflects changes in state rules and incentives structuring urban governance as part of an evolving geopolitics of nature and the environment. The adoption of principles and practices of ecological modernization potentially represents a dramatic shift in the social regulation of urban governance away from unconstrained neoliberalized modes. In this article we explore how different demands on and for urban environmental policy have played out vis‐à‐vis changing modes and practices of governance in two English post‐industrial cities. We explore differences in the ways that entrepreneurial urban regimes have sought to incorporate the green agenda (Leeds), or insulate themselves from ecological dissent (Manchester). We further attempt to conceptualize evolving urban economy‐environment relations in the UK in terms of an ensemble of governance practices, strategies, alliances and discourses that enables the local state to manage, though not necessarily resolve, seemingly conflicting economic, social and environmental demands at different scales of territoriality. Here we propose the notion of an ‘urban sustainability fix’ to describe the selective incorporation of ecological objectives in local territorial structures during an era of ecological modernization. Dans les villes post‐industrielles, la politique de développement économique semble liée de plus en plus étroitement à l'aptitude des élites urbaines à gérer les impacts écologiques et les exigences environnementales venus de l'intérieur et de l'extérieur. Au‐delà de la simple défense d'une qualité de vie en ville, répondant à la concurrence interurbaine et aux pressions des habitants, l'intégration de la cause Verte dans la machine de croissance urbaine reflète les nouvelles règles et mesures d'encouragement étatiques qui structurent la gouvernance des villes dans le cadre d'une géopolitique évolutive de la nature et de l'environnement. L'adoption de principes et pratiques de modernisation écologique pourrait traduire un revirement dans la régulation sociale de la gouvernance urbaine, en remplaçant la totale latitude des réponses néolibérales. L'article explore comment les demandes variées de et en politique urbaine d'environnement se sont exercées dans le contexte changeant des modalités et pratiques de gouvernance de deux villes post‐industrielles anglaises. Il s'intéresse aux différences de démarches qu'ont adoptées des régimes urbains ayant l'esprit d'entreprise pour incorporer le programme vert (Leeds) ou s'affranchir de la dissidence écologique (Manchester). De plus, il s'efforce de conceptualiser les relations évolutives économie‐environnement dans le cadre urbain britannique en tant qu'ensemble de pratiques de gouvernance, stratégies, alliances et discours permettant à l'État local de gérer (sans toujours les satisfaire) des exigences économiques, sociales et environnementales apparemment contradictoires, et ce aux différents échelons de territorialité. La notion de ‘solution de durabilité urbaine’ est proposée pour décrire l'intégration sélective d'objectifs écologiques dans les structures territoriales locales pendant une phase de modernisation écologique.  相似文献   

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