首页 | 本学科首页   官方微博 | 高级检索  
相似文献
 共查询到20条相似文献,搜索用时 793 毫秒
1.
A future policy in the general interest According to the Aristotelian Classification of policies, based on whether they promote the common good or that of particular interests, the present agricultural market policy is “degenerate”. Reform of the CAP in the general interest should strengthen structural and rural development policy while limiting market policy to price stabilisation. Existing commodity support (price + aids) should be “degressive and temporary” with a precise deadline. This would avoid abrupt shocks in farm incomes while favouring structural adjustment and reducing production costs. Problems related to price and investment distortions, production quotas, land set‐aside, modulation by farm size, extension of the CAP to new EU Members, would largely disappear. A l'avenir, une politique de l'intérêt général Dans la classification des politiques établie par Aristote, scion qu'elles recherchent le bien commun ou la satisfaction d'intérêts particuliers, la politique agricole actuelle figurerait dans la rubrique des politiques “dégénérées”. Si elle avait l'intérêt général en vue, la réforme de la PAC essaierait de renforcer les structures et le développement rural, tout en limitant ses interventions sur les marchés à la stabilisation des prix. Les soutiens existants aux produits (aides directes et soutiens aux prix) devraient être dégressifs et temporaires (avec des dates d'expiration bien déterminées). Cela éviterait des chocs brutaux sur les revenus agricoles, tout en favorisant les restructurations et en abaissant les coûts. Alors disparaîtraient la plus grande partie des problèmes de prix, d'investissement, de distorsions, de quotas de production, de gel des terres, de modulation par tailles, et d'extension de la PAC aux nouveaux membres de l'Union Européenne. Eine zukünftige Politik im Sinne des Gemeinwohls In Anlehnung an die aristotelische Einteilung von Ponukmaßnahmen, die nach der Orientierung am Gemeinwohl oder an Einzelinteressen erfolgt, handelt es sich bei der derzeitigen landwirtschaftlichen Marktpolitik um eine “entartete” Politik. Die Reform der GAP im Sinne des Gemeinwohls sollte die Strukturpolitik und die Politik zur Entwicklung des ländlichen Raums stärken und die Rolle der Marktpolitik auf die Preisstabilisierung beschränken. Die gegenwärtige Produktstützung (Preis und Beihilfen) sollte mit einer exakten Fristsetzung “degressiv und zeitlich begrenzt” sein. Dadurch würden starke Einkommenseinbußen bei den landwirtschaftlichen Betrieben vermieden und zusätzliche Anreize für strukturelle Anpassung und Senkung der Produktionskosten ausgeübt werden. Somit würden die Probleme größtenteils gelöst, die sich aufgrund von Verzerrungen der Preise und Investitionen, Produktionsquoten, Flächenstilllegung, Modulation nach Betriebsgröße und Erweiterung der GAP auf neue EU‐Mitgliedsstaaten ergeben.  相似文献   

2.
The Midterm Review and the New Challenges for EU Agriculture The Brussels Summit agreement of October 2002 on the financing of the CAP opens the way for a final agreement on enlargement and defines the level of the agricultural budget for the next financial perspective. Answering the how much question allows the debate to focus on the how question of support for EU agriculture. To these questions the Commission had responded with its Midterm Review of July 2002. Although proposals will have to be adapted in view of the new financial perspective, the fundamental issues addressed in the Midterm Review remain unchanged as these reflect the gradual shift from supply driven to demand driven orientations for the CAR The citizens of the EU seem to agree that EU agriculture should, at the same time, be competitive and promote the highest environmental, product quality and animal welfare standards. This apparent paradox implies, on the one hand, the need for lower prices and, on the other hand, higher production costs. To resolve this dilemma the underlying philosophy of the Midterm Review is to shift the policy debate onto the efficiency of the available policy instruments in meeting their stated objectives. Thus the need for safety‐net market support, decoupled income support and strengthened rural development. La revue à mi parcours et les nouveaux défis de l'agriculture européenne Grâce à l'accord obtenu sur le financement de la PAC au sommet de Bruxelles d'octobre 2002, la voie est maintenant ouverte à un accord final sur l‘élargissement et sur la définition du budget agricole pour les prochaines échéances. Répondre à la question “à quel niveau” permet au débat de se centrer sur le “comment” soutenir l'agriculture européenne. La commission a donné sa réponse à ces questions dans sa “revue à mi‐parcours”. Même si les propositions en question devront faire l'objet d'ajustements aux nouvelles perspectives budgétaires, les problèmes fondamentaux posés par la revue à mi‐parcours demeurent, dans la mesure où elles reflètent le passage graduel d'un pilotage de PAC par l'offre à un pilotage par la demande. Les citoyens de l'UE semblent d'accord pour dire que l'agriculture doit être à la fois compétitive, et obtenir les plus hauts standards possibles en matière de qualité et de bien‐être animal. Ce paradoxe apparent implique d'un côté, des prix plus bas, et de l'autre, des coûts de production plus élevés. Pour résoudre ce conflit, la philosophie sous‐jacente à la “revue à mi‐parcours” consiste à faire glisser le débat politique sur la question de l'efficacité des instruments disponibles et de leur aptitude à atteindre les objectifs ainsi fixés. D'où le besoin d'un filet de sécurité sur les marchés, d'un soutien découplé pour les revenus et d'un renforcement du développement rural. Die Zwischenbewertung und die neuen Herausforderungen an die Landwirtschaft der EU Das Abkommen vom Brüsseler Gipfel im Oktober 2002 zur Finanzierung der GAP eröffnet die Möglichkeit einer endgültigen Einigung im Hinblick auf die Erweiterung und legt die Höhe des Agrarhaushalts für die kommende Finanzplanungsperiode fest. Durch die Festlegung kann sich die Debatte nun der Frage widmen, auf welche Art und Weise die Landwirtschaft der EU unterstützt werden soil. Diesen beiden Aspekten hatte die Kommission in der Zwischenbewertung vom Juli 2002 Rechnung getragen. Obwohl die Vorschläge angesichts der neuen Finanzplanungsperiode angepasst werden müssen, bleiben die grundlegenden, in der Zwischenbewertung angesprochenen Probleme bestehen, da diese den schrittweisen Übergang der GAP von der Angebotsorientierung hin zur Nachfrageorientierung widerspiegeln. Die EU‐Bürger stimmen scheinbar darin überein, dass die Landwirtschaft der EU gleichermaßen wettbewerbsfähig sein und die höchsten Standards im Hinblick auf die Umwelt, die Produktqualität und den Tierschutz erreichen sollte. Dieser offenkundige Widerspruch erfordert einerseits niedrigere Preise und zieht andererseits höhere Produktionskosten nach sich. Zur Auflösung dieses Dilemmas sieht es der der Zwischenbewertung zugrunde liegende Ansatz vor, den Fokus der politischen Debatte darauf zu richten, wie effizient die verfügbaren Politikmaßnahmen zum Erreichen der Zielsetzung beitragen. Daraus ergibt sich die Notwendigkeit für eine Marktstützung als Sicherheitsnetz, für eine entkoppelte Einkommensstützung und für eine intensivere Entwicklung des ländlichen Raums.  相似文献   

3.
CAP Reform in the Dairy Sector: Remove Export Subsidies and Retain Milk Quota The reforms of the Common Agricultural Policy of June 2003 introduced major policy changes, In the dairy sector the aim is to decrease price distortions between the EU and world dairy markets through successive reductions in milk intervention prices. However, the milk quota system is still in place and successive increases in milk quotas are planned. The question is whether these dairy reforms are going in the right direction given the three main characteristics of the EU dairy sector. First the price inelasticity of both milk supply (due to quota) and domestic demand means that price distortion mainly affects the distribution of economic surplus between consumers and producers but does not generate significant net losses in economic welfare. Second, the ‘large country’ position of the EU on the world market means that the EU should remove all export subsidies, which will reduce EU exports and increase world prices. Third, the projected increase in EU aggregate demand for milk favours a reduction in all subsidies. The CAP is going in the right direction in the dairy sector. But to reduce price distortions all subsidies should be removed as soon as possible and the milk production quota should be retained. La réforme de la PAC laitiére: supprimer les subventions aux exportations et conserver les quotas La réforme de la PAC en juin 2003 est un changement majeur. En ce qui concerne le secteur laitier, l'idée consiste à diminuer les distorsions entre les prix européens et ceux du marché mondial par une série de réductions progressives du prix d'intervention. En même temps, le système des quotas reste en place et des accroissements progressifs sont envisageés pour les droits à produire. La question. est alors de savoir si une telle politique est bien orientée, compte tenu des trois caractéristiques principales du secteur laitier européen. En premier lieu, la faible élasticité-prix aussi bien de l'offre (à cause des quotas) que de la demande, implique que les distorsions, si elies affectent la répartition des bénéfices entre producteurs et consommateurs, ne génèrent pas de très grandes pertes sociales au niveau du bien-être global. Ensuite, l'importance de l'Union européenne sur les marchés mondiaux implique que l'UE doive réduire ses subventions à l'exportation, ce qui diminuera le volume des exportations et en fera remonter le prix, Enfin, l'accroissement prévisible de la demande globale européenne en produits laitiers devrait conduire G une réduction des subventions de toute sorte. La PAC est done sur la bonne voie en matière laitière. Mais pour réduire les distorsions, il faut le plus vite possible supprimer les subventions et conserver les quotas laitiers. Reform der GAP im Milchsektor: Abschaffung der Exportsubventionen und Beibehaltung der Milchquoten Die Reform der Gemeinsamen Agrarpolitik vom Juni 2003 führt zu erheblichen Politikänderungen. Im Milchsektor ist das Ziel, die Preisverzerrungen zwischen der EU und den Weltmärkten für Milchprodukte durch eine sukzessive Reduzierung der Milchinterventionspreise zu verringern. Das Milchquotensystem bleibt jedoch weiter bestehen und sukzessive Erhöhungen der Milchquoten sind geplant. Es ergibt sich die Frage, ob die Reform bei den vorhandenen drei Charakteristika im EU Milchsektor in die richtige Richtung geht. Erstens bedeuten das gegebene preisunelastische Angebot von Milch (wegen der Quotierung) und die Nachfrage im Inland, dass die Preisverzerrung sich vomehmlich auf die Verteilung der ökonomischen Rente zwischen Konsumenten und Produzenten auswirkt, nicht aber zu bedeutenden Wohlfahrtsverlusten führt. Zweitens fuhrt die Abschaffung aller Exporterstattungen für Milch und Milchprodukte dazu, dass die EU Exporte sinken und damit wegen der EU als relative großes Land die Weltmarktpreise für Milch steigen werden. Drittens begünstigt die vorausgesagte Zunahme in der aggregierten Milchnachfrage in der EU eine Reduzierung aller Subventionen. Die GAP entwickelt sich im Milchsektor in die richtige Richtung. Es sollten aber alle Subventionen so schnell wie möglich abgebaut und die Milchquote sollte aufrechterhalten werden, um Preisverzerrungen zu reduzieren.  相似文献   

4.
After Cancún: what next for agricultural subsidies? The collapse of the Ministerial in Cancún highlighted the enhanced role of the developing countries in the WTO and the reduced ability of the US and the EU to manage the trade system. One aspect of these changes has been that developing countries have taken much more interest in the level of domestic support in developed countries. Developed countries believe that the shift of support from production‐linked to decoupled instruments has had a positive impact on trade. Developing countries maintain that this reform has not helped them, and has perpetuated inequities in the trade system. Research suggests that the output effect of decoupled support is limited, if not negligible. Such decoupling may be necessary to reform domestic polices. Additionally, domestic policies are being challenged by developing countries using the trade litigation of the WTO. But such challenges risk undermining support for the WTO. Until agreement is reached on these issues there will be little progress in further agricultural trade reform. A political solution must be found that continues the slow process of improvement of domestic farm policies and at the same time offers hope to developing countries that they will benefit from the improvement in the trade conditions for agricultural products. Après Cancún: quel avenir pour les subventions? L'échec de la conférence ministérielle de Cancun met en évidence !e rôle accru des pays en voie de développement à l'OMC, ainsi que la faible aptitude des Etats‐Unis et de l'Europe à gérer le système des échanges internationaux. Ces changements impliquent que les pays en voie de développement s'intéressent de plus en plus aux niveaux de protection internes des pays développés. Les pays développés croient que le glissement des aides vers plus de découplage aura eu un effet positif sur les échanges. Mais les pays en voie de développement continuent à penser que ces réformes ne les ont pas aidés, et qu'elles ont perpétué les inégalités du commerce mondial. Le travail présenté ici semble montrer que l'effet du découplage sur l'offre est très faible, voire nul. Peut‐être le decouplage est‐il utile pour la réforme des politiques internes. Mais, au delà, ces politiques internes sont mises en cause par les pays en voie de développement, qui utilisent à leur encontre les ressources de procédure mises à leur disposition par l'OMC. De telles mises en cause sont de nature à détruire le soutien de l'opinion à l'OMC. II ne faut pas s'attendre à beaucoup de progrès dans les réformes du commerce international agricole tant qu'on n'aura pas trouve un accord sur ces questions. II est done necessaire d'élaborer des solutions qui confortent le lent progrès des politiques internes des pays developpes, tout en offrant aux pays en voie de développement 1′ espoir de bénéficier de l'amélioration des conditions des échanges agricoles. Nach Cancún: Was geschieht als nächstes mit Agrarsubventionen? Das Scheitern des Ministerialtreffensin Cancún hob die verbesserte Position der Entwicklungsländer in der WTO und die verminderte Fähigkeit der USA und der EU hervor, das Handelssystem zu lenken. Finer der Aspekte dieser Veränderungen bestand darin, dass die Entwicklungsländer ein sehr viel größeres Interesse am Ausmaß der Inlandsstützung in Industrieländern gezeigt haben. Die Industrieländer glauben, dass sich der Schritt von einer produktionsgebundenen Inlandsstützung hin zu einer entkoppelten Inlandsstützung positiv auf den Handel ausgewirkt hat. Die Entwicklungsländer behaupten jedoch, dass ihnen diese Reform nicht geholfen habe und dass so Ungerechtigkeiten im Handelssystem aufrecht erhalten würden. Forschungsergebnisse legen es nahe, dass sich die entkoppelte Inlandsstützung sehr begrenzt, möglicherweise nur geringfügig, auf die Produktion auswirkt. Eine solche Entkopplung ist möglicherweise notwendig, urn inländische Politikmaßnahmen zu reformieren. Zusátzlich werden die inländischen Politikmaßnahmen von den Entwicklungsländern zur Zeit im Rahmen der WTO‐Verfahren zur Beilegung von Handelsstreitigkeiten angefochten. Solche Anfechtungen bergen jedoch immer das Risiko einer abgeschwächten Unterstützung für die WTO. Bis in diesen Punkten Einigkeit herrscht, wird es nur geringe Fortschritte für die Agrarhandelsreformen geben. Es muss eine politische Lösung gefunden werden, welche den langsamen Verbesserungsprozess bei den inländischen Agrarpolitikmaßnahmen voran treibt und welche die Entwicklungsländer zugleich hoffen lässt, von der Verbesserung der Handelsbedingungen für landwirtschaftliche Erzeugnisse profitieren zu können.  相似文献   

5.
Will Enlargement Gridlock CAP Reforms? a Political Economy Perspective This article highlights the role of political institutions in predicting further reforms of the CAP We argue that the institutional setup of the political decision-making process has given rise to levels of farm support that neither represent the political will of the majority of national governments nor of the Commission. We further argue that, in theory, this gap will widen due to the need to accommodate the diverse preferences of the New Member States. In practice, however, the institutional structure of CAP decision-making will give rise to a gridlock in the Council, impeding further reforms. We argue that one possible route to further reform is via a coalition of national governments and the Commission, harnessing future WTO negotiations to break the gridlock and force the Agricultural Council to accept further reforms. Decoupling will become an internal driver of further reform because it makes transfers transparent and politically visible, thus casting doubt on the legitimacy of payments to large farms and wealthy farmers. We thus expect the CAP's rationale to shift further in the direction of multifunctionality and public-good type benefits. Enlargement at most poses a further obstacle to reform but will not halt the process of making the CAP more effective, efficient and more equitable. Se peut-il que l'éiarqissement paralyse la réforme de fa PAC ? Un point de vue d'économie politique Le projecteur est mis sur Je rôle des institutions politiques pour l'avenir des nouvelles réformes de la PAC. L'idée est que le cadre institutionnel dans tequel se prennent les décisions a produit un niveau de soutien aux agriculteurs qui ne correspond ni aux vceux de la majorité des gouvernements, ni à celui de la Commission. Enthéorie, cet écart devrait s'accroître, à cause de la nécessité de satisfaire la variété des préférences des nouveaux membres. En pratique, cependant, les structures institutionnelles au sein desquelles sont prises les décisions relatives à la PAC devraient conduire à la paralysie du Conseil, empêchant ainsi toute réforme future. Une solution possible serait la constitution d'une coalition entre la Commission et certains gouvernements nationaux, qui se serviraient des négotiations à venir à l'OMC pour faire éclater le blocage, et forcer l'adoption de nouvelles réformes par le Conseil des ministres de l'Agriculture, Le découplage deviendra alors le moteur des réformes à venir, en faisant apparaître les transferts et en les rendant politiquement visibles, ce qui jettera le doute sur la légitimité des paiements à de gros agriculteurs riches. On peut done s'attendre à ce que la logique de la PAC glisse toujours plus vers la multifonctionalité et la recherche dela production de biens publics. Ainsi, l' élargissement constitue au plus un nouvel obstacle, mais qui ne devrait pas arrêter le processus par lequel la PAC évolue vers plus d'efficacité, de rationalité et d' équité. Wird die Erweiterung die Reformen der GAP blockieren? Eine politökonomische Perspektive Dieser Beitrag hebt die Rolle politischer Institutionen für die Vorhersage weiterer Reformen der GAP hervor. Wir argumentieren, dass der institutionelle Aufbau des Prozesses der politischen Entscheidungsfindung zu einem solchen Ausmaß der Stützung von landwirtschaftlichen Betrieben geführt hat, welches weder von der Mehrheit der nationalen Regierungen noch von der Kommission gewollt ist. Weiterhta argumentieren wir, dass sich diese Kluft in der Theorie vergrößern wird, da den unterschiedlichen Präferenzen der neuen Mitgliedstaaten Rechnung getragen werden muss. In der Praxis jedoch wird die institutionelle Struktur der Entscheidungsfindung in der GAP für eine Blockade im Ministerrat sorgen und somit weitere Reformen behindern. Wir argumentieren, dass ein gangbarer Weg zu weiteren Reformen über eine Koalition nationaler Regierungen mit der Kommission fiihrt, welche die Blockade mit Hilfe der zukünftigen WTO-Verhandiungen bricht und den Agrarministerrat zwingt, weitere Reformen zu akzeptieren. Die Entkopplung wird sich als wichtige Triebfeder für weitere Reformen erweisen, da sie Transferleistungen transparent und politisch sichtbar macht und so die Legitimität von Zahlungen an großs“e landwirtschaftliche Betriebe und wohlhabende Landwirte in Frage stellt, Somit erwarten wir, dass sich die Begründung der GAP mehr in die Richtung von Multifunktionalität und Bereitstellung öffentlicher Güter entwickeln wird. Die Erweiterung stellt höchstens ein weiteres Hindernis für die Reformen dar, kann die Entwicklung, die GAP effektiver, effizienter und fairer zu gestalten, jedoch nicht aufhalten.  相似文献   

6.
Is Meat Processing in Central and Eastern European New Member States Competitive after EU Accession? With EU accession, businesses in the CEE-NMS will see a considerable expansion of their potential market but they will also face direct competition from all EU enterprises in the European market as well as in their domestic markets. Our analysis of the competitive potential of the meat industry shows some pronounced differences among countries as well as some common features. First, the meat processing industry in the CEE-NMS benefits from low wages and expected future increases in the consumption of meat and processed meat products. But the CEE-NMS will suffer from a fragmented structure in the primary, slaughter and processing sector. The majority of meat processing plants in the CEE-NMS, moreover, also show serious deficiencies in meeting EU standards for hygiene, food safety, food quality and environmental protection. Given the lack of access to capital, many of those enterprises will not be able to comply with the acquis commimautaire and thus will very likely be forced out of business. A dramatic reshaping of the industry is underway with an accelerated rise in concentration and a move towards vertical integration. In the medium to long term, this could increase the competitive position of the CEE-NMS meat industry which, with the exception of Hungary and Poland, currently lacks competitiveness relative to the enlarged EU. La filiére viande des nouveaux pays membres d'Europe centrale et orientate sera-t-elle compétitive aprés l'accession ? OAvec l'accession a l'UE, les entreprises des NPM (nouveaux pays membres) de la CEE disposeront d'un marché potentiel considérablement élargi, mais elles devront aussi faire face à la concurrence directe de toutes les autres entreprises européennes, tant sur les marchés européens que sur leur propre marché intérieur. l'analyse de la compétittvité de la filiére viande de ces pays met en évidence des différences sensibles entre eux, en même temps que quelques points communs. En premier lieu, les filiéres en question sont avantagées par de bas salaires et de bonnes perspectives d'accroissement de la demande de viande et de produits animaux. Mais elles souffrent de la fragmentation des structures, aussi bien au niveau de la production primaire qu à celui des abattoirs et des fabrications. En outre, dans leur majorité, les entreprises de la filiére viande des NPM présentent de graves insuffisances en matiére d'hygiéne, de qualityé, de sécurité sanitaire et de protection de l'environnement. Comme elles auront difficilement accés au capital, elles ne seront pas en mesure de s'adapter àl'acquis communantaire, de sorte que beaucoup d'entre elles devront disparaître, Une dramatique réorganisation du secteur se dessine ainsi, avec l'accélération de la concentration et le développement de l'intégration verticale. A terme, ces transformations peuvent conduire a un renforcement de la position des industries de la viande dans les NMS qui, à l'exception de la Pologne et de la Hongrie, souffrent d'un déficit de compétitivité vis à vis de l'Europe élargie. Wird die fleischverarbeitende Industrie in den neuen mittel- und osteuropäischen Mitgliedstaaten nach dem EU-Beitritt wettbewerbsfähig sein? Mit dem EU-Beitritt erfahren Unternehmen in den neuen mittel-und osteuropäischen Mitgliedstaaten eine beträchtliche Ausdehnung ihres potenziellen Marktes, sie treten jedoch ebenfalls in direkten Wettbewerb mit alien EU-Unternehmen aüf dem europäischen Markt sowie auf ihrem Binnenmarkt. Unsere Untersuchung des Wettbewerbspotenzials der ffcisehverarbeirenden Industrie zeigte sowohl einige deutliche Unterschiede zwischen den Ländern als auch einige Gemeinsamkeiten auf. Zunächst profttiert die fleischverarbeitende Industrie in den neuen mittel- und osteuropäischen Mitgliedstaaten von den niedrigen Löhnen und dem zu erwartenden Anstieg des Verbrauchs von Fleisch und verarbeiteten Fleischprodukten. Die fragmentierte Struktur in der Erzeugung, Schlachtung und Weiterverarbeitung wird den neuen mittel-und osteuropäischen Mitgliedstaaten jedoch zu schaffen machen. Der überwiegenden Anzahl der fleischverarbeitenden Betriebe in den neuen mittel- und osteuropäischen Mitgliedstaaten fällt es zudem schwer, den EU-Normen in den Bereichen Hygiene, Nah-rungsmittelsicherheit, Nahrungsmittelqualität sowie Umweltschutz zu entsprechen. Angesichts des eingeschränkten Zugangs zu Kapital werden viele dieser Betriebe nicht in der Lage sein, die Bedingungen des acquis communautaire zu erfüllen und somit sehr wahrscheinlich vom Markt verdrängt werden. Eine drastische Umstrukturierung der Branche mit einem beschleunigten Anstieg der Konzentration und einer Entwicklung hin zu einer vertikalen Integration steht bevor. Auf mittlere und lange Sicht könnte dies die Wettbewerbsstellung der fleischverarbeitenden Industrie der neuen mittel- und osteuropäischen Mitgliedstaaten erhöhen, welche verglichen mit der erweiterten EU mit Ausnahme von Ungarn und Men gegenwärtig nur eine relativ geringe Wettbewerbsfähigkeit aufweisen.  相似文献   

7.
Farm Performance, Direct Payments and EU Enlargement This article attempts to shed light on the recent performance of farms in the Czech Republic, Hungary and Poland, contrasting it with the situation in two regions of existing EU Member States as a means for stimulating a debate on the likely nature of agricultural restructuring in an enlarged EU. Data were extracted from FADN surveys and performance is measured in terms of three cost-revenue ratios that vary in terms of the valuation of unpaid land and labour input, and direct budgetary transfers. There is no neat divide between established and new EU Member States in terms of the cost-revenue ratios presented; rather the main differences concern the level of capitalisation and wage rates. The analysis indicates that Hungarian farms have the best prospects amongst the analysed CEECs, which is in contrast to the poor returns and structural problems evident in Poland. In the latter case the returns to own labour and land are exceptionally low and the majority of farms persist through a lack of other employment options and a degree of self-exploitation. To deal with this problem, the stimulation of the non-farm rural economy is paramount but the introduction of CAP first pillar support may hinder structural adjustment. Performance des exploitations, paiements directs et élargissement de l'UE Les performances récentes d'exploitations tchéques, hongroises et polonaises sont ici comparées à celles observées dans deux régions d'Etats membres de l'UE, afin d' éclairer et de stimuler le débat sur les restructurations probables de l'agriculture dans l'UE élargie. Les donnes proviennent du RICA, et les performances sont mesurées par trois rapports coûts/revenus, associés a l' évaluation du travail familial et de la terre en faire-valoir direct, ainsi que par les transferts budgéaires directs. II n'y a pas de différences fondamentales entre les anciens et les nouveaux Européens sous l'angle des trois critéres présentés ici. Les plus sensibles concernent les salaires et le niveau de capitalisation. Dans les PECO, les Hongrois ont les meilleures perspectives de performances, ce qui les oppose aux mauvais résultats et aux problémes structurels des Polonais. Dans ce dernier cas, les rémunérations du travail familial et de la terre en propriété sont exceptionnellement basses. Dans leur majorité, les exploitations ne survivent que du fait de Fabsence d'autré opportunite d'emplois, et grâce à une trés forte auto-exploitation du travail, Dans une telle situation, la stimulation du secteur rural non agricole est essentielle, mais l'introduction des aides associées au premier pilier de la PAC pourrait gêner l'ajustement nécessaire. Wirtschaftlicher Erfolg von Landwirtschaftsbetrie ben, Direktzahiungen und EU-Erweiterung Mit diesem Beitrag soll der wirtschaftliche Erfolg in der jüngeren Vergangenheit von Landwirtschaftsbetrieben in der Tschechischen Republik, Ungarn und Polen beleuchtet werden, indem ein Vergleich mit der Lage in zwei Regionen in bisherigen EU-Mitgliedstaaten gezogen wird, um zu einer Debatte über die mögliche Art und Weise der landwirtschaftlichen Restrukturierung in der erweiterten EU anzuregen. An Hand von Daten aus dem INLB wird der wirtschaftliche Erfolg mit Hilfe von drei Kosten-Erlös-Verhältniszahlen ermittelt, weiche sich im Hinblick auf die Bewertung von nicht entlohntem Boden und Arbeitskräften sowie direkte Einkommensübertragungen unterscheiden. Im Hinblick auf die vorgelegten Kosten-Erlös-Verhältnisse liegt keine Ware Trennlinie zwischen den alten und den neuen EU-Mitgliedstaaten vor; die Hauptunterschiede beziehen sich eher auf die Kapitalverzinsung und die Löhnsatze. Die Analyse ergibt, dass die ungarischen Landwirtschaftsbetriebe von alien untersuchten MOEL die besten Zukunftsaussichten aufweisen, im Gegensatz zu der geringen Verzinsung und den strukturellen Problemen in Polen. Hier 1st die Entlohnung der eigenen Arbeit und des eigenen Landes außergewöhnlich gering, und die überwiegende Anzahl der Betriebe wird nur durch einen Mangel an anderen Beschaßtigungsmöglichkeiten und ein gewisses Maß an Selbstausbeutung aufrecht erhalten. Zur Lösung dieses Problems muss der auißerlandwirtschaftlichen ländlichen Wirtschaft Priorität eingeräumt werden; jedoch könnte die Einführung der Stützung im Rahmen der ersten Säule der GAP die strukturelle Anpassung hemmen.  相似文献   

8.
Agri‐Food Exports to the CEECs: Winners and Losers from EU Enlargement The accession of the CEEC‐4 to the EU will enlarge its customs union and thus influence trade flows. The article examines likely changes in agri‐food trade flows and identifies the sensitive areas for future WTO negotiations on market access issues, including the potential for compensation claims by trading partners. We estimate that total CEEC‐4 agri‐food imports will increase by about 9.3 per cent. Processed food imports will rise by over 14 per cent but raw commodities by only about 3.5 per cent. There are contrasting effects among the CEEC‐4. Poland and Hungary can expect significant increases in imports while the Czech and Slovak Republics will experience slight decreases. Thus, depending on the success of their support programs for structural adjustment, Poland and Hungary may wish to negotiate transitional arrangements for the adoption of tariffs in order to protect the most sensitive sectors. The EU, the major trading partner of the CEEC‐4, will gain the most, especially Germany, while third countries will suffer comparatively small losses. We estimate that, except for limited impacts on banana and rice imports from Latin America and Asia, the forthcoming enlargement should not raise problems for third countries in the framework of the WTO negotiations on market access issues. It is likely that the EU will be able relatively easily to compensate developing country losers. Les exportations agroalimentaires vers les pays de la Communauté Européenne: les gagnants et les perdants de l'élargissement de L'Union Européenne L'accession de quatre pays d'Europe Centrale et Orientale (PECO) à l'Union Européenne élargira son union douanière et aura ainsi un impact sur les flux commerciaux. L'article examine les changements que cela peut entraîner dans les flux du commerce agroalimentaire et identifie les thèmes sensibles cies négociations futures de l'OMC sur les problèmes d'accès au marchè, y compris les possibilités de demandes d'indemnisations par les partenaires commerciaux. On estime que les importations agroalimentaires totales des quatre PECO augmenteront d'environ 9,3 pour cent. Les importations d'aliments transformés augmenteront de plus de 14 pour cent, mais les produits de base de seulement 3,5 pour cent environ. Les effets diffèrent entre ces quatre pays. La Pologne et la Hongrie peuvent espérer des augmentations significatives de leurs importations, tandis que les Républiques tchèque et slovaque connaîtront de légères diminutions. Ainsi, en function de la réussite de leurs programmes de soutien à l'ajustement structurel, la Pologne et la Hongrie peuvent espérer négocier des mesures transitoires pour l'adoption de droits de douane afin de protéger les secteurs les plus sensibles. L'Union Européenne, partenaire commercial le plus important des quatre PECO, et en son sein l'Allemagne, gagnera le plus, tandis que les pays tiers subiront, par comparaison, des pertes faibles. L'on estime que, mis à part un impact limité sur les importations de bananes et de riz en provenance d'Amérique Latine et d'Asie, l'élargissement futur ne devrait pas poser de problèmes pour les pays tiers dans le cadre des négociations de l'OMC sur les problèmes d'accès au marché. Il est probable que l'Union Européenne arrivera assez aisément à indemniser les pays en voie de développement qui seront perdants. Agrar‐und Lebensmittelexporte Ernährungswirtschaft in die MOEL: Gewinner und Verlierer der EU‐Erweiterung Mit dem Beitritt der mittel‐ und osteuropäischen Länder (MOEL) zur EU erweitert sich die Zollunion, und somit beeinflusst dies ebenfalls die Handelsströme. In diesem Artikel werden die zu erwartenden Veränderungen hinsichtlich der Handelsströme bei Produkten der Agrar‐und Ernährungswirtschaft untersucht und die für die zukünftigen WTO‐Verhandlungen heiklen Fragen zum Marktzugang herausgestellt, wie zum Beispiel potenzielle Ausgleichsforderungen der Handelspartner. Unseren Schätzungen zu Folge werden die Importe der Agrar‐ und Ernährungswirtschaft aus den MOEL um ca, 9,3 Prozent zunehmen. Die Importe von weiterverarbeiteten Nahrungsmitteln werden um über 14 Prozent zunehmen, die Importe von Roherzeugnissen jedoch nur um ca. 3,5 Prozent. Innerhalb der MOEL kommt es zu gegenläufigen Effekten. Polen und Ungarn können von signifikanten Importzuwächsen ausgehen, während für die Tschechische und die Slowakische Republik cine rückläufige Entwicklung zu erwarten ist. Daher könnten Polen und Ungarn ‐ je nachdem, welchen Erfolg ihre Subventionsprogramme zur strukturellen Anpassung aufweisen ‐ den Wunsch äußern, Übergangsregelungen für die Zollübernahme auszuhandeln, um die anfälligsten Sektoren zu schützen. Die EU als der bedeutendste Handelspartner der MOEL wird dabei am meisten profitieren, vor allem Deutschland, während Drittländer vergleichsweise geringe Verluste erleiden werden. Wenn von begrenzten Auswirkungen auf die Bananen‐ und Reisimporte aus Lateinamerika und Asien einmal abgesehen wird, sollte die bevorstehende Erweiterung für Drittländer keine Probleme im Rahmen der WTO‐Verhandlungen hinsichtlich des Marktzugangs aufwerfen. Wahrscheinlich wird es für die EU vergleichsweise einfach sein, die voraussichtlich Verluste erleidenden Länder zu entschädigen.  相似文献   

9.
Time to Get Rid of EU Dairy Quotas? Although the latest CAP reform extends dairy quotas to 2014‐15, they are likely to remain subject to question. Some member states (the Capri group), supported by Europe's trading partners, will continue to press for elimination of dairy quotas. The members of the Capri group have commissioned research to examine the consequences of quota elimination, and by implication the elimination of dairy market support measures. Economic analysis of the consequences of quota and market support elimination strongly suggests that the European dairy industry would be able to compete effectively, with at least present levels of output, without the support and protection of the current policy European society as a whole would be better off without this policy. Eliminating the present policy, however, would result in substantial losses to the owners of quota. Elimination of the present policy without some compensation for these losses is unrealistic. But there are ways of providing compensation, to leave everyone better off ultimately, by an estimated £12 billion per year when compensation ceases. This is a very substantial gain to the EU. Nevertheless, stability of world dairy markets would remain a considerable deterrent to such a policy reform unless other countries also eliminate their own protectionist policies. Is either the EU or the rest of the world ready to accept this challenge? Est‐ce le moment de se débarrasser des quotas laitiers européens? La dernir?e réforme de la PAC prolonge les quotas laitiers jusqu'en 2014–2015, mais il y a beaucoup de chances pour que ceux‐ci soient remis en question ?ici là. Certains des Etats membres ‐ le groupe de Capri ‐ avec le soutien des partenaires commerciaux de 1'Europe, vont continuer à en réclamer ?élimination. Des recherches ont été entreprises par les membres du groupe de Capri pour étudier les conséquences de ?élimination des quotas, et des mesures de soutien au marché du lait qui leur sont associées. II ressort avec vigueur de cette analyse économique des conséquences de la suppression des quotas et des mesures de soutien au marché que, au moins au niveau de production actuel, Findustrie laitière européenne serait parfaitement compétitive en ?absence des aides et des protections des politiques en vigueur. En Europe, la Société bénéficierait globalement de la suppression des politiques laitières. La nouvelle situation entraînerait certes pour les détenteurs de quotas des penes sensibles, qu'il ne serait pas réaliste de ne pas indemniser. Mais il est tout à fait possible de le faire, ce qui améliorerait la situation de chacun, avec un bénéfice global après compensation de ?ordre de 12 milliards ?Euros par an. Il s'agirait là?un bénéfice considérable pour 1'Europe. Cependant, tant que les autres pays n'élimineront pas les barrières protectionnistes de leur coté aussi, les inquiétudes sur la stabilityé du marché mondial du lait resteront un obstacle très sérieux à cette reforme. Est‐on prêt, aussi bien en Europe que dans le reste du monde, à relever ce défi ? 1st es an der Zeit, die Milchquoten der EU abzuschaffen? Obgleich die jüngste Reform der GAP den Fortbestand der Milchquoten bis 2014/2015 vorsieht, bleiben diese wahrscheinlich weiterhin in der Diskussion. Einige Mitgliedsstaaten (die Capri‐Gruppe) werden weiterhin versuchen, die Abschaffung der Milchquoten durchzusetzen; sie werden dabei von Europas Handelspartnern unterstützt. Die Mitglieder der Capri‐Gruppe haben eine Studie in Auftrag gegeben, urn die Konsequenzen der Abschaffung der Milchquoten und der Maßnahmen zur Marktstützung zu untersuchen. Die ökonomische Analyse der Konsequenzen der Abschaffung von Milchquoten und Maßnahmen zur Marktstützung deutet stark darauf hin, dass die europäische Milchwirtschaft ohne die Marktstützung und den Schutz der gegenwärtigen Politik wettbewerbsfähig bliebe, wobei mindestens die aktuelle Produktionsmenge erzeugt werden würde. Die europäische Gesellschaft als Ganzes wäre ohne diese Politik besser gestellt. Die Abschaffung der gegenwärtigen Politik würde jedoch beträchtliche Verluste auf der Seite der Eigenrümer von Milchquoten nach sich Ziehen. Die Abschaffung der gegenwärtigen Politik scheint unrealistisch, solange den Eigentümern nicht wenigstens teilweise Kompensation für ihre Verluste gewährt wird. Es gäbe jedoch Möglichkeiten der Kompensation, bei denen letzten Endes alle gewinnen. Der mögliche Gewinn beläuft sich auf schätzungsweise £12 Milliarden projahr bei Auslaufen der Kompensationszahlungen. Dies bedeutet einen erheblichen Gewinn für die EU. Dennoch würde die Stabilität der Weltmilchmärkte einer solchen Reform im Wege stehen, solange nicht andere Länder ebenfalk ihre protektionistischen Politikmaßnahmen abschaffen. 1st entweder die EU oder der Rest der Welt bereit, sich dieser Herausforderung zu stellen?  相似文献   

10.
Public health should return to the core of Cap reform The fundamental purpose of EU agricultural market support should be to secure and promote human health, as it was in 1962. The core objectives of the CAP should be modernised to meet the needs of contemporary society. The CAP affects consumption patterns by influencing both the price and availability of agricultural products. Population dietary goals for alcohol, fat, fruit and vegetables intake cannot be reached without appropriate changes in CAP market support measures. Future reforms should consider public health impacts, otherwise market support cannot be justified. The worldwide obesity epidemic proves that an adequate food supply will not automatically deliver good health. Heart disease, cancer, diabetes and alcohol‐related diseases, all linked to over‐ or under‐consumption of agricultural products, each year cause the loss of 53 million healthy life years. Food safety dominates the health debate in relation to agriculture in spite of the fact that the disease burden associated with food contamination is at least a hundred‐fold lower than that associated with over‐ or under‐consumption. A public policy which undermines public health must be characterised as a failure. It violates article 152 of the Amsterdam Treaty and requires urgent corrective action. II faut que la santé publique revienne au centre de la réforme de la PAC Il faut que la santé publique et la sécurité alimentaire reviennent au centre des finalitÉs de la PAC, comme elles ?Étaient en 1962. Il faut que les objectifs fondamentaux du marché commun agricole soient révisÉs pour tenir compte des besoins des sociétés contemporaines. La PAC affecte la consommation des produits agricoles en agissant à la fois sur leur coût et sur leur disponibilitÉ. Il ne sera pas possible ?atteindre les niveaux souhaitables pour les populations en matière de consommation ?alcool, de graisses, de fruits ou de légumes, sans changer de façon appropriée les mesures de soutien au marché de la PAC. Les réformes à venir vont devoir prendre en considération leur impact sur la santé publique, faute de quoi les soutiens au marchÉ n'auraient plus de justification. ?épidémie mondiale ?obésité montre bien que la disponibilité?une offre alimentaire adéquate ne suffit pas automatiquement à engendrer une bonne situation de la santé publique. Les maladies de cceur, les cancers, le diabète, les maladies liées à?alcool, tout cela dépend de la consommation excessive ou insuffisante de certains produits agricoles, et met en péril la santé de plus de 53 millions de personnes chaque année. Chaque fois que Ton aborde les relations entre santé; et agriculture, c'est la sécuritÉ sanitaire des aliments qui domine le débat, alors que le poids des contaminations pour la santé publique est au moins cent fois plus faible que celui des maladies liées à la sur‐ ou à la sous‐consommation de certains aliments. On ne peut considérer que comme un échec une politique publique qui s'attaque ainsi à la santé Elle viole ?article 152 du traitÉ?Amsterdam. Des mesures correctives s'imposent ?urgence. Die öffentliche Gesundheit sollte wieder zum zentralen Ziel der GAP‐Reform werden Das zu Grunde liegende Ziel der Stützung der EU‐Agrarmärkte sollte darin bestehen, die Gesundheit der Menschen zu fördern und sicher zu stellen, wie es 1962 beschlossen wurde. Die Hauptziele der GAP sollten modernisiert und an die Bedürfnisse der heutigen Gesellschaft angepasst werden. Die GAP wirkt sich auf das Konsumverhalten aus, indem sie sowohl den Preis als auch die Verfügbarkeit landwirtschaftlicher Erzeugnisse beeinflusst. Die Ernährungsziele fUr die Bevölkerung im Hinblick auf den Verzehr von Alkohol, Fett, Obst und Gemüse können nicht ohne entsprechende Veränderungen der marktstützenden Maßnahmen der GAP erreicht werden. Die zukünftigen Reformen sollten die Auswirkungen auf die öffentliche Gesundheit berücksichtigen, sonst kann eine Marktstützung nicht gerechtfertigt werden. Die weltweite Zunahme von Fettleibigkeit in der Bevölkerung belegt, dass eine ausreichende Nahrungsversorgung nicht automatisch einen guten Gesundheitszustand herbei führt. Herzkrankheiten, Krebs, Diabetes und mit übermäßigem Alkoholkonsum verbundene Krankheiten sind auf den übermäßigen oder den zu geringen Verzehr von landwirtschaftlichen Erzeugnissen zurück zu führen und haben jedes Jahr den Veriust von 53 Millionen gesunden Lebensjahren zur Folge. Im Bereich der Landwirtschaft wird der Lebensmittelsicherheit mehr Bedeutung beigemessen als der Gesundheitsdebatte, obwohl der Krankheitsdruck durch belastete Lebensmittel wenigstens urn das hundertfache unter dem liegt, was durch einen übermäßigen oder zu geringen Verzehr bestimmter Lebensmittel verursacht wird. Eine öffendiche Politik, welche der öffentlichen Gesundheit entgegen wirkt, muss als gescheitert gelten. Sie verstößt gegen Artikel 152 des Vertrages von Amsterdam und muss dringend korrigiert werden.  相似文献   

11.
Grocery Retailing in Europe and Emerging Routes to the Consumer   总被引:1,自引:0,他引:1  
Grocery Retailing in Europe and Emerging Routes to the Consumer The structure of grocery retailing in Europe has changed substantially over the past twenty years as companies seek growth opportunities outside their mature and largely static markets. A cadre of global retailers is emerging, with European‐owned companies well represented in the front ranks. The evolving wants of European consumers will determine how, when, and in what form food products are purchased in the EU. The traditional supermarket format will not necessarily meet the future (even, present) requirements of many of these consumers. Time‐constrained shoppers will seek alternatives to retail parks inconveniently located on the outskirts of towns, where, in the drive for continually lower food prices, shopper services are reduced. As the relative importance of price of food products declines, and other non‐price quality attributes increase in importance, there will be welcome market opportunities for relatively high cost, although strongly value‐driven, EU primary producers and food processors. The highest value and most loyal markets will be within the EU. There is a double challenge. Firstly for farmers and their marketing organisations to shift their commercial ethos from a production‐driven to a market‐driven orientation. Secondly for EU policy makers to introduce programmes which promote a transformation of the agricultural and food industry to one that can compete internationally in expanding high value markets. Le commerce alimentaire de détail en Europe et les nouveaux modes d'approche du consommateur La structure du commerce de détail alimentaire en Europe a enormément changé ces vingt dernières années, car les entreprises recherchent des opportunités de croissance en dehors de leurs propres marchés, arrivés à maturité et souvent statiques. La distribution de niveau mondial se structure, et les entreprises européennes sont bien représentées aux premiers rangs de ce mouvement. L'évolution des besoins des consommateurs européens déterminera comment, quand et sous quelle forme les produits alimentaires seront achetés dans l'Union Européenne. Le concept traditionnel de supermarché ne répondra pas nécessairement aux exigences futures (et même présentes) de nombre de ces consommateurs. Les acheteurs contraints par le temps chercheront des alternatives aux implantations du commerce de détail situées de façon peu pratique à la périphéric des villes et où, à la recherche de prix alimentaires toujours plus bas, les services offerts à l'acheteur sont réduits. Au fur et à mesure que diminue l'importance relative du prix des produits alimentaires et que d'autres attributs de qualité hors coût prennent de l'importance, il y aura de la place pour des marchés approvisionnés par des producteurs et des industriels de l'alimentation très intéressës par une production de haute valeur ajoutée, même si elle est obtenue à des coûts relativement élevés. Les marchés les plus loyaux et assurant la valeur ajoutée la plus forte se trouveront dans l'Union Européenne. Un double défi est à relever. D'abord les agriculteurs et leurs organisations de vente devront réviser leur approche du commerce pour passer d'une conception où la production joue le rôle moteur à une orientation stimulée par le marché. Deuxièmement, les responsables des politiques européennes devront substituer aux programmes d'aide à la transformation du complexe agroalimentaire une politique qui lui permette d'être concurrentiel sur les marchés mondiaux à haute valeur ajoutée qui sont en expansion. Lebensmitteleinzelhandel in Europa und neue Wege zum Verbraucher Die Struktur des Lebensmitteleinzelhandels hat sich in den vergangenen 20 Jahren in Europa beträchtlich verändert, da sich die Unternehmen nach Wachstumsmöglichkeiten außerhalb ihrer ausgereiften und zum größten Teil statischen Märkte umsehen. Ein Kader internationaler Einzelhändler hat sich herausgebildet, in dem europäische Unternehmen in erster Reihe vertreten sind. Die immer höheren Ansprüche europäischer Verbraucher entscheiden darüber, auf welche Art und Weise, zu welchem Zeitpunkt und in welcher Form Nahrungsmittel in der EU abgesetzt werden. Der Supermarkt in seiner traditionellen Form wird nicht notwendigerweise die zukünftigen (oder gar gegenwärtigen) Bedürfnisse vieler Verbraucher erfüllen. Die Verbraucher werden Alternativen zu den zeitraubenden Einkaufszentren suchen, welche ungünstig am Rande der Stadt liegen und wo mit den permanent sinkenden Lebensmittelpreisen ebenfalls die Serviceleistungen zurückgehen. Da die relative Bedeutung der Lebensmittelpreise abnimmt und weitere, nicht am Preis orientierte Qualitätsmerkmale an Bedeutung gewinnen, bestehen gute Chancen auf dem Markt für die Primärerzeuger und Nahrungsmittelverarbeiter in der EU, welche zu relativ hohen Kosten ‐ jedoch wertorientiert ‐ produzieren. Die hochwertigsten und zuverlässigsten Märkte beflnden sich innerhalb der EU. Dies stellt eine zweifache Herausforderung dar: Erstens sollten Landwirte und ihre Vermarktungsorganisationen von einer produktionsorientierten zu einer marktorientierten Einstellung gelangen. Zweitens sollten die Polltikakteure in der EU Programme einführen, welche die Umwandlung der Agrar‐ und Ernährungsindustrie in einen international wettbewerbsfähigen Wirtschaftszweig in Bezug auf die Ausweitung hochwertiger Märkte fördern.  相似文献   

12.
The 2002 U.S. Farm Bill: What's In It For CAP and WTO Reform? The 2002 U.S. Farm Bill (the Farm Security and Rural Investment Act or FSRIA) provides considerably more government subsidies for U.S. agriculture than Congress envisaged when it passed the preceding 1996–2002 FAIR Act. We review the FAIR record, showing how government subsidies increased greatly beyond those originally scheduled. For FSRIA, we outline key commodity, trade, and conservation and environmental provisions. We expect that the commodity programmes will: (a) encourage production when the market calls for less; (b) significantly increase subsidies over FAIR baseline subsidies; (c) press against current WTO and possible Doha Round support limits; and (d) aggravate trading partners. Finally, we suggest two lessons from the U.S. policy experience that might benefit those working on CAP and WTO reform. First, past research shows that farm programmes have little to do with the economic health of rural communities. Second, programme transparency, and especially public disclosure of the level of payments going to individual farmers, by name, influences the farm policy debate. Personalized data show what economists have long maintained—that the bulk of programme benefits go to a relatively few, large, producers—but do so in a way that captures the public and policy‐makers' attention. La loi d'orientation agricole américaine de 2002: que peut on en tirer pour réformer la PAC et l'OMC? La loi d'orientation agricole américaine de 2002 (loi sur la securité et l'investissement rural, ou FSRIA) autorise beaucoup plus de subventions a l'agriculture des Etats Unis qu'il n'avait été envisagé par le congrès quand fut votée la loi d'orientation précédente, le “Fair Act” en vigueur de 1996 à 2002. L'examen du Fair Act réalisé ici montre que les subventions durant cette période avaient déjà augmenté beaucoup plus qu'il n‘était initialement prévu. Dans le cas du FSRIA, des provisions importantes sont prévues pour les produits clé, le commerce, la conservation des sols, et l'environnement. Il faut s'attendre à ce que les programmes par produit: (a): encouragent la production alors même que le marché en demanderait la réduction, (b) accroissent significativement les subventions par rapport au niveau de base du Fair Act (c) exercent une pression à la hausse sur les limites imposées aux soutiens, tant dans la réglementation actuelle de l'OMC que dans celle qui pourrait être adopté dans les négociation de Doha (d) lèsent gravement les partenaires commerciaux des Etats Unis. Pour finir, deux enseignements de la politique américaine pourraient être utiles à ceux qui, en Europe, songent à réformer l'OMC et la PAC: d'abord, l'histoire montre que les subventions n'ont pas grand chose à voir avec la santééconomique des communautés rurales. Ensuite, la transparence des programmes en question, et tout spécialement, l'affichage nominatif des bénéficiaires de subventions, est de nature à influer sur le débar de politique agricole. Les données personnalisées montrent ce que les économistes out toujours dit: les subventions bénéficient pour l'essentiel à un petit nombre de producteurs relativement riches, mais d'une façon telle qu'ils arrivent à mobiliser l'opinion et les décideurs politiques en leur faveur. Das US‐Landwirtschaftsgesetz von 2002: Wie wirkt es sich auf GAP und WTO‐Reform aus? Das US‐Landwirtschaftsgesetz von 2002 (FSRIA, Gesetz zur Absicherung von landwirtschaftlichen Betrieben und zur Förderung von Investitionen in ländlichen Räumen) sieht wesentlich höhere staatliche Subventionen für die Landwirtschaft der USA vor als es der Kongress bei tier Verabschiedung des FAIR‐Gesetzes (1996–2002) beabsichtigte. Die Subventionen haben während der Laufzeit des Gesetzes die vorgesehene Höhe weit überschritten. Für das FSRIA werden die Bestimmungen für die Hauptagrarprodukte, den Handel und den Umweltschutz kurz dargestellt. Es ist zu erwarten, dass die Programme (a) die landwirtschaftliche Produktion in Perioden anregen, in denen die Weltmarktpreise niedrig sind; (b) die Subventionen weit über den im FAIR‐Gesetz vorgesehenen Betrag hinaus erhöhen; (c) gegen das in der WTO festgeschriebene und zukünftig in der Doha‐Runde wahrscheinliche gekürzte Stützungsniveau verstoßon können und (d) die Missbilligung der Handelspartner hervorrufen werden. Aus der Erfahrung mit der US‐Politik greifen wir zum Schluss zwei Erkenntnisse heraus, die für diejenigen hilfreich sein können, die sich mit der GAP und der WTO‐Reform beschäftigen. Erstens zeigt die bisherige Forschung, dass die Programme zur Förderung von landwirtschaftlichen Betrieben nur wenig zum wirtschaftlichen Wohlergehen ländlicher Räume beitragen. Zweitens beeinflusst die Transparenz der Programme die politische Debatte in Bezug auf landwirtschaftliche Betriebe – insbesondere durch die öffentliche Nennung der Höhe der Zahlungssummen und der Namen der Empfänger. Diese personalisierten Daten zeigen, was Wirtschaftswissenschaftler bereits seit langem behaupten – dass relativ wenige Großerzeuger am meisten von den Programmen profitieren und dabei die Aufmerksamkeit der Öffentlichkeit und die der politischen Entscheidungsträger auf sich ziehen.  相似文献   

13.
freedom to choose: perspectives on modern biotechnology and developing countries' food and agriculture Perspectives differ between rich and poor countries and people on the use of modern biotechnology in food and agriculture. Europeans generally support the use of this technology in medicine, but not to address hunger. Unlike Europeans, poor people in developing countries spend 50 to 80 percent of their income on food and depend on agriculture for their living, so agricultural productivity gains that lower food prices are critical. Policy makers, scientists, and farmers in developing countries generally support appropriate use of agricultural biotechnology. They are more concerned about food availability and better nutrition than food safety or environmental issues, although they do insist upon sound biosafety regulations. Bans on importation of genetically modified (GM) foods in Europe could harm agricultural growth and poverty alleviation in developing countries. If developed countries limit molecular biology research to health, developing countries will not receive needed support to apply the technology to food and agriculture. Policy action is required to assure adequate public investment in agricultural research to benefit poor farmers and consumers in developing countries. Intellectual property rights regimes must maintain farmers' rights to replant seed. Trade policies should not discriminate against developing countries that choose to commercialize GM crops. Developing countries and their citizens must be empowered to make their own choices based on informed debate and their own risk‐benefit calculations. la liberte de choisir: points de vue sur l'utilisation des biotechnologies modernes dans l'alimentation et l'agriculture des pays en voie de developpement L'utilisation des biotechnologies modernes dans l'alimentation et l'agriculture fait l'objet de points de vue différents selon que les pays et les personnes concernées sont riches ou pauvres. Les Européens sont généralement favorables à l'utilisation de cette technologie en médecine, mais pas pour aborder le problème de la faim. Contrairement aux Européens, les pauvres des pays en voie de développement dépensent 50 à 80 pour cent de leur revenu en nourriture et dépendent de l'agriculture pour leur survie, si bien que les gains de productivité agricole permettant d'abaisser les prix alimentaires sont d'une grande importance pour eux. Les hommes politiques, les scientifiques et les agriculteurs des pays en voie de développement sont génerálement partisans d'un usage approprié des biotechnologies agricoles. Ils se soucient plus de la disponibilité en nourriture et d'une meilleure nutrition que des problèmes d'environnement et de sécurité des produits alimentaires, bien qu'ils mettent l'accent sur la nécessité de réglementations justes en matiére d'hygiène alimentaire. Les interdictions d'aliments génétiquement modifiés en Europe pourraient nuire à la croissance agricole et a la diminution de la pauvreté dans les pays en voie de développement. Si les pays développés limitent à la santé la recherche en biologie moléculaire, les pays en voie de développement ne recevront pas le soutien dont ils ont besoin pour appliquer cette technologie à l'alimentation et à l'agriculture. Il convient de mettre en place des actions pour garantir des investissements publics suffisants en recherche agricole au bénéfice des agriculteurs et des consommateurs pauvres des pays en voie de développement. Les régimes relatifs aux droits de propriété intellectuelle doivent maintenir les droits des agriculteurs à replanter leurs semences. Les politiques commerciales ne devraient pas faire de discrimination contre les pays en voie de développement qui choisissent de commercialiser des récoltes génétiquement modifiées. Les pays en voie de développement et leurs citoyens devraient être habilités à faire leurs propres choix sur la base de débats informés et de leurs propres calculs risques avantages. Die Freiheit zu wählen: Sichtweisen in Bezug auf moderne Biotechnologie und auf Nahrungsmittel und Landwirtschaft in Entwicklungslandern Im Hinblick auf die Verwendung moderner Biotechnologie im Nahrungsmittelbereich und in der Landwirtschaft ergeben sich für reiche und arme Länder und Bevölkerungen unterschiedliche Sichtweisen. Die Europäer befürworten im Allgemeinen, diese Technologie im Bereich der Medizin einzusetzen; nicht aber, um den Hunger zu bekämpfen. Im Gegensatz zu den Europäern gibt die arme Bevölkerung in Entwicklungsländern 50 bis 80 Prozent ihres Einkommens für Nahrungsmittel aus und ist zur Sicherung ihres Lebensunterhalts auf die Landwirtschaft angewiesen, so dass Produktivitatszuwächse in der Landwirtschaft, die zu sinkenden Nahrungsmittelpreisen führen, entscheidend sind, Im Allgemeinen befürworten Entscheidungsträger, Wissenschaftler und Landwirte in Entwicklungsländern eine angemessene Verwendung von Biotechnologie in der Landwirtschaft. Sie sind mehr an der Verfügbarkeit von Nahrungsmitteln und an einer verbesserten Ernährungslage interessiert als an der Nahrungsmittelsicherheit oder am Umweltschutz, obgleich sie auf klaren Verordnungen zur Sicherheit von Biotechnologie bestehen. Europäische Einfuhrverbote von genetisch modifizierten Nahrungsmitteln könnten das landwirtschaftliche Wachstum und die Armutsbekämpfung in den Entwicklungsländern beeinträchtigen. Wenn die Industrieländer die Forschung auf dem Gebiet der Molekularbiologie jedoch auf den Bereich der Medizin beschränken, werden die Entwicklungsländer nicht die benötigte Unterstützung erhalten, diese Technologie im Nahrungsmittelbereich und in der Landwirtschaft umzusetzen. Politisches Handeln ist erforderlich, um ausreichende staatliche Investitionen in die landwirtschaftliche Forschung sicherzustellen, damit arme Landwirte und Verbraucher in Entwicklungsländern davon profitieren können. Die Regelungen zur Wahrung des geistigen Eigentums müssen die Rechte der Landwirte auf Nachbau erhalten. Handelspolitische Maßnahmen sollten nicht jene Entwicklungsländer diskriminieren, welche sich zur kommerzieflen Nutzung von genetisch modifizierten Feldfrüchten entschieden haben. Die Entwicklungsländer und deren Einwohner müssen das Recht erhalten, auf der Grundlage fundierter Debatten und individueller Risiko‐Nutzen‐Abwägungen ihre eigenen Entscheidungen zu treffen.  相似文献   

14.
CAP Reform: Prospects for crop markets in the Enlarged EU Agricultural Policy Modelling in the EU has become more complicated due to the recent CAP reform and EU Enlargement. Under the AGMEMOD (Agricultural Member States Modelling) Partnership, teams of economists with specialist knowledge of agriculture in their own countries have come together to build the AGMEMOD model. The model can be used to analyse the impact of policy reform at a country level in EU member states and at an aggregate EU level. The model covers a wide variety of agricultural commodities, but this article focuses specifically on the impact of the policy reform on the cereals sector. Results are presented for the EU15 in aggregate, the New Member States (NMS), Bulgaria and Romania. The implication of EU Enlargement is also examined for the accession countries. For the EU15, results suggest that there would be a modest reduction in grain production and a slightly larger reduction in oilseeds production by 2010, as a response to the decoupling of cereal payments. Results for the NMS suggest that their accession will bring some modest growth in grains production by 2010, This result is not greatly different from that which might have been achieved had these countries remained outside the EU. The recent reforms limit the extent to which the CAP stimulates increased production in the NMS. La réforme de la PAC: l'avenir des marches agricoles dans l'Europe élargie Avec l'elargissement et la recente reforme de la PAC, modeliser la politique agricole europeenne devient de plus en plus difficile. C'est pour cela que plusieurs Cquipes d'kconomistes ‐ chacune selectionnee sur la base de ses connaissances accumulees sur l'agriculture de son propre pays ‐ se sont associees pour construire le modele AGMEMOD, dans le cadre du partenariat MAEM (Modelisation Agricole des Etats Membres). Ce modkle est utilisable pour analyser l'impact des reformes de la politique agricole, tant au niveau de l'Europe entiere qu'i celui de chacun des Etats membres. Il couvre une vaste variete de produits agricoles, mme si le present article met I'accent sur les cereales. k s resultats sont prksentes pour les agrigats ‘Europe a 15’, ‘NMS’ (nouveaux ktats membres), Bulgarie et Roumanie. On examine aussi, ici, les implications de I'elargissement de I'Union pour les nouveaux membres. Pour 1'Europe a 15, a la suite du dkcouplage des aides cerealieres, les resultats conduisent i envisager a I'horizon 2010 une modeste reduction de la production de cereales et une reduction un peu plus forte de la production dolkagineux. Dans le mCme temps, les NMS devraient connaitre un faible accroissement de leur production de cereales. Ceci n'est pas fondamentalement different de ce qui serait arrive si ces pays etaient restes en dehors de 1'Europe. Dans les NMS, les reformes recentes ont pour effet de brider les accroissements de production auxquels I'application de la PAC aurait permis de s'attendre. Reform der GAP: Aussichten für die Märkte von Feldfruchten in der erweiterten EU Die Modellierung von Agrarpolitiken in der EU gestaltet sich auf Grund der kurzlich durchgefiihrten Reform der GAP und der EU‐Erweiterung zunehmend schwieriger. Im Rahmen der AGMEMOD (Agricultural Member States Modelling, Agrarmodellierung von Mitgliedstaaten)‐Partnerschaft haben sich Okonomen zusammengefunden, die im Hinblick auf die Landwirtschaft in ihren Heimatlandern uber Fachkenntnisse verfiigen, um das AGMEMOD‐Modell zu erarbeiten. Mit Hilfe dieses Modells konnen die Auswirkungen der Politikreformen sowohl auf Ebene der EU‐Mitgliedstaaten als auch auf aggregierter EU‐Ebene analysiert werden. Das Modell deckt eine groRe Anzahl von landwirtschaftlichen Produkten ab; dieser Artikel behandelt jedoch insbesondere die Auswirkungen der Politikreformen auf dem Getreidesektor. Die Ergebnisse werden fiir die aggregierte EU‐15, die neuen Mitgliedstaaten (NMS) sowie fiir Bulgarien und Rumanien dargestellt. Die Auswirkungen der ELI‐Erweiterung werden ebenfalls ftir die Beitrittslander untersucht. Im Fall der EU‐15 zeigen die Ergebnisse einen geingen Ruckgang bei der Getreideproduktion und einen etwas hoheren Ruckgang bei der Olsaatenproduktion bis zum Jahr 2010 als Folge der Entkopplung der Getreidezahlungen. Die Ergebnisse fiir die NMS deuten darauf hin, dass sich ein geringes Wachstum der Getreideproduktion bis zum Jahr 2010 ergeben wird. Dieses Ergebnis unterscheidet sich nicht wesentlich von einem Szenarium, in welchem diese Lander der EU nicht beigetreten waren. Die kurzlich durchgefiihrten Reformen begrenzen die produktionssteigernde Wirkung der GAP in den NMS.  相似文献   

15.
Comment Doubt is cast on the feasibility of a bond scheme for reforming the CAP; as advocated by Swinbank and Tangermann (EuroChoices, Premier Issue). Attention is drawn to the unsatisfactory outcome of the recent American experiment with discarding stabilising price support in favour of tapering decoupled payments. The inherent instability of agriculture is such that in times of acute financial stress farmers are always going to turn to the government for relief. With the US now considering the possibility of re‐introducing some form of countercyclical farm price support, there may be a case for the ELI to follow suit. In that event, pre‐1973 UK experience with deficiency payments could usefully be drawn on. An outstanding advantage of DPs is that market prices continue to prevail for consumers and markets clear. Commentaire On peut douter de la faisabilité du projet de titres obligataires préconisé par Swinbank et Tangermann pour réformer la PAC (EuroChoices, Premier numéro). Nous nous proposons d'attirer 1'attention sur le résultat ram satisfaisant de l'expérience américaine récente qui substitue des paiements découplés dégressifs au soutien permettant de stabiliser les prix. L'instabilité propre a l'agriculture est telle qu'en période de difficulté financière aiguë, les agriculteurs se tournent toujours vers le gouvernement pour ehercher de l'aide. Comme les Etats‐Unis cherchent maintenant la possibilité de réintroduire une certaine forme de politique anti‐cyclique tie soutien des prix agricoles, l'Union Européenne pourrait leur emboîater le pas. Dans ce cas, l'expérience des paiements compensatoires menée au Royaume‐Uni avant 1973 pourrait servir de leçon. En effet, les paiements compensatoires présentent l'avantage remarquable de permettre aux marchés de fonctionner et aux prix de marché de continuer à servir de signal aux consommateurs. Kommentar Der Vorschlag von Swinbank und Tangermann (EuroChoices, Frühjahr 2001), die Gemeinsame Agrarpolitik (GAP) mit Hilfe von Bonds zu reformieren, wird kritisch betrachtet. Das Augenmerk wird auf das unbefriedigende Ergebnis des jüngsten amerikanischen Experiments gelenkt, in welchem die sich stabilisierend auswirkende Preisstützung durch abnehmende entkoppelte Zahlungen ersetzt wurde. Die der Landwirtschaft innewohnende Instabilität äußert sich clarin, dass sich Landwirte in Zeiten akuter finanzieller Not Hilfe suchend an den Staat wenden. Da die USA zur Zeit die Wiedereinführung von antizyklischen Agrarpreissubventionen in Betracht Ziehen, könnte die EU womöglich nachziehen. In diesem Fall könnten die Erfahrungen mit Produktsubventionen herangezogen werden, welche in den Jahren vor 1973 in Großbritannien gemacht wurden. Ein bemerkenswerter Vorteil von Produktsubventionen besteht darin, dass sich der Verbraucher weiterhin an clen Marktpreisen orientiert und dass die Märkte geräumt werden. Reply We have three difficulties with Ingersent's concerns. First, he takes our comments out of context. We advocated that existing area and headage payments be replaced by a fully decoupled transferable bond; but envisaged this operating in the context of other policy instruments to deal with the legitimate concerns of society. Second, Ingersent misinterprets the stability implications of our proposals. Decoupling payments from production and conversion into bonds does not as such result in less stability; and he forgets about policy uncertainty. Third, deficiency payments will tend to raise, as well as stabilise, producer prices; and will export price instability to world markets. Reponse Les propos d'Ingersent nous posent trois problèmes. D'abord, il prend nos commentaires hors contexte. Nous avons préconisé le remplacement des paiements existants par région et par tête par une obligation transférable entitièrement découplée, mais nous avons envisagé son fonctionnement au sein d'un ensemble d'autres mesures répondant aux inquiétudes légitimes de la société. Deuxièmement, Ingersent interpréte mal les conséquences de nos propositions sur la stabilité des prix. Les paiements découplés de la production et la conversion en obligations n'entraînent pas en tant que tels une stabilité moindre et il ne tient pas compte des aléas politiques. Troisièmement, les paiements compensatoires tendront autant à faire augmenter les prix à la production qu'à les stabiliser et ils transfèreront l'instabilité des prix à la production sur les marchés mondiaux. Antwort Wir sehen Ingersents Einwände an drei Stellen als problematisch an. Erstens wurden unsere Anmerkungen aus clem Kontext gerissen. Wir haben eine Umwandlung der vorhandenen Flächen‐ und Kopfzahlungen in vollständig entkoppelte, übertragbare Bonds befürwortet; dies sollte jedoch in den Kontext weiterer Politikinstrumente zur Berücksichtigung der legitimen Anliegen der Gesellschaft etngebettet werden. Zweitens fehlinterpretiert Ingersent die Implikationen unserer Vorschläge auf die Stabilität. Die Entkopplung der Zahlungen von der Produktion und die Umwandlung in Bonds führt nicht zwangsläufig zu weniger Stabilität. Ingersent lässt außerdem die Politikunsicherheit außer Acht. Drittens weisen Produktsubventionen neben ihrem stabilisierenden Effekt eine Tendenz zur Erhöhung der Produzentenpreise auf Weiterhin wird die Preisinstabilität auf die Weltmärkte exportiert.  相似文献   

16.
Can we rise to the challenges of reform? It is argued that the CAP can and must be reformed. The question is not whether but when and, importantly, how and by whom it will be reformed. We should seize the initiative from within rather than allow reform to be imposed on us by others. The Doha Round, which we agreed should be a development round, was a good start but the biggest test of our real commitment will be the agriculture negotiations. There is no other sector in which the policies of rich countries impact so heavily on the developing world. The costs of failure will be high both within Europe and, more importantly, in the developing world. Changes in agricultural subsidies have to come first and the European Union and the United States have to show the way. The Mid‐Term Review of CAP has produced some forward looking and radical proposals. We should break the long‐standing link between support and production whilst continuing to protect our rural ways of life and the important roles that farmers play. This will transform the impact of the CAP both internally and externally. But the CAP should not be used as an instrument of cohesion policy, as the proposal for reassigning Second Pillar money between Member States seeks to do. Sommes nous prêts à relever le défi des réformes? On montre ici que la PAC peut être réformée et doit ?être. La question n'est pas de savoir ‘si’, mais ‘quand’ et surtout ‘comment et par qui’. Il nous faut prendre ?‘initiative’ de ?intérieur, et ne pas nous laisser imposer des réformes par les autres. Nous avons accepté que la négotiation de Doha soit focalisée sur le développement, et c'est là un bon point de départ. Mais le test le plus probant de la réalité de notre engagement sera la négotiation agricole. Il n'y a pas de secteur où la politique des pays riches influe si fortement sur le monde en développement. Le coût ?un échec sera élevé en Europe, mais surtout dans le Tiers Monde. La première chose à faire est de modifier les régimes ? aide agricole. C'est à? Union Européenne et aux Etats Unis de montrer ? exemple. On trouvera dans la revue a mi parcourt de la PAC quelques perspectives ? avenir et certaines propositions assez radicales. Tout en préservant les modes de vie ruraux et le rôle des agriculteurs, il faut briser le lien qui existe depuis trop longtemps entre soutien et production. Cela devrait transformer ? impact de la PAC, aussi bien a ? intérieur qu'à?'extérieur. Cependant, la PAC ne doit pas constituer un instrument de cohésion politique, comme essaient de le faire les propositions visant à réallouer aux pays membres ? argent du ‘Second Pilier’. Können wir den Herausforderungen der Reform gerecht werden? Hier wird der Standpunkt vertreten, dass eine Reform der GAP erfolgen kann und muss. Die Frage lautet nicht, ob, sondern wann und vor allem wie und von wem die Reform durchgeführt werden soil. Wir als Beteiligte sollten die Initiative ergreifen und es nicht zulassen, dass uns die Reform von Außenstehenden aufgedrängt wird. Die Doha‐Runde, bei der es sich gemäß gemeinsamer Übereinkunft urn eine Entwicklungsrunde handeln soil, stellt einen gelungenen Anfang dar, aber erst die Agrarverhandlungen werden zeigen, wie sehr uns die Reform am Herzen liegt. In keinem anderen Sektor üben die Politik‐maßnahmen reicher Länder einen so großen Einfluss auf die Entwicklungsländer aus. Im Falle eines Scheiterns fallen innerhalb Europas und vor allem in den Entwicklungsländern hohe Kosten an. Zunächst müssen Veränderungen bei den Agrarsubventionen vorgenommen werden, wobei die Europäische Union und die USA die Richtung vorgeben müssen. Die Zwischenbewertung der GAP hat einige vorausschauende und radikale Aunderungsvorschläge hervorgebracht. Wir sollten zwar die seit langem bestehende Verbindung zwischen Stützung und Produktion kappen, aber dennoch die ländliche Lebensan und die wichtige Rolle erhalten, welche die Landwirte spielen. Dadurch würde die Auswirkung der GAP sowohl intern als auch extern grundlegend verändert. Die GAP sollte jedoch nicht als Instrument einer Kohäsionspolitik fungieren, wie es der Vorschlag zur Neuverteilung der Mittel aus der zweiten Säule zwischen den Mitgliedstaaten vorsieht.  相似文献   

17.
Financial Distress with Family Farm Transfer in Six European Countries Many potential young farmers face the difficult choice between farming or a city career. An important criterion in this decision is the financial distress that goes with farming. We compared the financial distress after take-over of family farms by the next generation, in six European countries: Denmark, France, Germany, Spain, the Netherlands and the United Kingdom. The principles of inheritance and succession and the fiscally appraised value of the farm have a large impact on the transfer price, and therefore on the installation costs. A transfer price below the fiscally appraised value results in gift taxes. The financial distress ratio is a ratio of the yearly interest and rent burden of the installation costs to agricultural income. Besides the installation costs, rent prices and the average interest rate determine the differences in the ratio among countries. The combination of high transfer prices with a high interest rate, together with the lowest agricultural income of the six countries, resulted in the hardest situation for Danish successors. A policy to reduce the fiscally appraised value of the farm would most aid successors. Such a policy would reduce transfer prices and reduce or avoid gift taxes and thereby cut installation costs for successors. La pression financeère sur les exploitations familiales dans six pays de la communauté européenne La plgpart des jeunes agriculteurs potentiels se trouvent confrpntés entre l'agriculture et une carrière urbaine. Au moment de prendre cette décision, un critère de choix important est la pression financeère qui est associée à l'agriculture. Nous avons compareé la pression financeère consécutive à un changement de génération dans des exploitations familiales de six pays européens:Danemark, France, Allemagne, Espagne, Pays-Bas et Grande Bretagne. Les régimes successoraux auxquels sont soumis les héritages et l'accroissement de la valeur fiscale de la terre ont un impact important sur les droits de mutation, ainsi que, par conséquent, sur les coûts d'installation. Un transfert pour une valeur infèrieure à la valeur fiscale conduit à payer un impôt sur les donations. Le coefficient de pression financeère mesure le rapport entre le revenu agricole et les charges financeères liées à l'installation, intérêt et annuityés de remboursement confondus. Les variations de ce coefficient d'un pays à l'autre dépendent du prix du fermage et du taux d'intérêt, en plus évidemment des frais d'installation. La conjonction entre d'un côté des frais de mutation et d'intérêt élevés, de l'autre les revenus agricoles les plus bas des six pays place les jeunes successeurs danois dans la situation la moins favorable. Une politique qui consisterait à réduire la valeur fiscale des exploitations serait de nature a favoriser les successions. Elle réduirait les coûts de transfert, et éviterait ou allegèrait les impôts sur les donations, diminuant par là les charges liées aux mutations. Finanzielle Notlage bei der Hofübergabe von Familienbetrieben in sechs europäischen Ländern iele designierte Hofnachfolger sehen ich in der schwierigen Lage, sich der Landwirtschaft und einer außerlandwirtschaftlichen Tätigkeit entscheiden zu müssen. Ein bedeutendes Kriterium bei der Entscheidungsfindung ist die finanzielle Notlage, welche die Landwirtschaft mit sich bringt. Wir verglichen die finanzielle Notlage nach Übernahme des Familienbetriebs von der nachfolgenden Generation in den folgenden sechs europäischen Ländern: Dänemark, Frankreich, Deutschland, Spanien, die Niederlande und Großbritannien. Die Grundsätze der Erbfolge und die steuerliche Bewertung des landwirtschaftlichen Betriebes haben großen Einfluss auf den Übernahmepreis und somit auf die Betriebseinrichtungskosten, Bei einem Übernahmepreis unterhalb der steuerlichen Bewertung fallen Schenkungssteuern an. Die Verhältniszahl der finanziellen Notlage sei definiert als das Verhältnis der jährlichen Zinsen der Betriebseinrichtungskosten und der Pachten zum landwirtschaftlichen Einkommen. Außer den Betriebseinrich tungskosten bestimmen Pachtpreise und durchschnittlicher Zinssatz die Unterschiede in dieser Verhältniszahl zwischen den einzelnen Ländern. Die Kombination aus hohen Übernahmepreisen und einem hohen Zinssatz in Verbindung mit dem geringsten landwirtschaftlichen Einkommen aller sechs Länder führte dazu, dass sich für dänische Hoferben die schwierigste Situation ergab. Eine Politik, welche die steuerliche Bewertung der landwirtschaftlichen Betriebe verringert, käme den meisten Hoferben zu Gute. Eine solche Politik würde die Übernahmepreise senken und die Schenkungssteuern verringern odergar vermeiden und somit die Betriebseinrichtun gskosten für Hoferben verringern.  相似文献   

18.
What we stand for While the primary function of agriculture is to feed humankind, public opinion now expects it also to contribute to the development of poor countries, to provide safe, high‐quality foodstuffs and to inject greater energy into rural areas. Farming's special features mean that agricultural trade cannot be governed by market forces alone. It was in this spirit, and in order to promote the agricultural development of Africa, that the French President, Jacques Chirac, recently proposed a moratorium on export refunds, the stabilisation of commodity prices and the granting of preferential arrangements favouring the poorest nations. Likewise, our policy on food must guarantee health and safety, promote quality enhancement programmes and encourage diversity in what we eat. Lastly, farming must continue to be the ‘beating heart’ of our countryside. At a time when the Luxembourg agreement has quite rightly strengthened rural development policies, I myself wished to propose to French farmers a new contract based on trust and aimed at sustainable agriculture. Ce que nous croyons Si la fonction première de l'agriculture est de nourrir les hommes, l'opinion publique attend désormais qu'elle participe également au développement des pays pauvres, fournisse une alimentation süre et de qualityé et renforce le dynamisme des territoires ruraux. Les particularités de l'agriculture imposent que les échanges agricoles ne soient pas régis par la seule loi du marché. C'est dans cet esprit et pour favoriser le développement agricole de l'Afrique que le Président français Jacques CHIRAC a récemment proposé un moratoire sur les restitutions, une initiative pour la stabilisation du prix des matières premières et l'octroi de préférence spécifiques en faveur des pays les plus pauvres. De même, notre politique de 1'alimentation doit‐elle à la fois garantir la sécurité sanitaire, promouvoir les démarches de qualité et favoriser la diversité de notre alimentation. Enfin, l'agriculture doit demeurer le ‘cceur battant’ de nos campagnes. Alors que l'accord de Luxembourg a fort justement renforcé les politiques de développement rural, j'ai souhaité, pour ma part, proposer aux agriculteurs de France un nouveau contrat de confiance pour une agriculture durable. Wofür wir eintreten Auch wenn es die erste Aufgabe der Landwirtschaft ist, die Menschheit zu ernähren, so erwartet die öffendiche Meinung heute, dass die Landwirtschaft auch einen Beitrag zur Entwicklung der armen Länder leistet, sichere und qualitativ hochwertige Nahrungsmittel liefert und die Entwicklung ländlicher Regionen fördert. Die Besonderheiten der Landwirtschaft machen es notwendig, dass sich der Handel mit landwirtschaftlichen Erzeugnissen nicht ausschließlich nach den Gesetzen des Marktes richtet. In diesem Sinn, und urn die landwirtschaftliche Entwicklung Afrikas zu fördern, hat der französische Staatspräsident Jacques CHIRAC kürzlich ein Moratorium für die Exportrückerstattungen, die Stabilisierung der Rohstoffpreise und die Gewährung spezifischer Präferenzen zugunsten der ärmsten Länder gefordert. Unsere Ernährungspolitik muss auch die Nahrungsmittelsicherheit gewährleisten, Qualitätsbestrebungen fördern und die Vielfalt unserer Ernährung begünstigen. Letztendlich muss die Landwirtschaft der “Pulsschlag” unserer ländlichen Gebiete bleiben. Während die Vereinbarung von Luxemburg zu Recht die Politiken der ländlichen Entwicklung verstärkt hat, wollte ich meinerseits den Landwirten Frankreichs einen neuen Vertrag anbieten, der auf Vertrauen basiert und auf eine nachhaltige Entwicklung der Landwirtschaft abzielt.  相似文献   

19.
Can Russia be competitive in Agriculture? Russian agriculture currently is not internationally cost competitive. Since the mid‐1990s Russia has imported large volumes of meat, while the grain trade has fluctuated in most years between small net imports and exports. Russia has, however, exported large quantities of key agricultural inputs, including 80 per cent of fertilizer output, mainly to EU countries. Research indicates that Russia has a comparative advantage in producing grain compared to meat, but also a comparative advantage in producing agricultural inputs compared to agricultural outputs. The expected real appreciation of the Russian rouble vis‐à‐vis Western currencies should further damage Russia's cost competitiveness in meat and grain, but this should be offset by modest productivity growth. An expected rise in consumer income, deriving from relatively high annual GDP growth of about 4–5 per cent, should also stimulate demand for meat imports. In spring 2003, Russia imposed tariff rate quotas on its imports of beef and pork, and a pure quota on imports of poultry. For other agricultural commodities, Russia is pushing in its WTO accession negotiations for allowable agricultural import tariffs that are higher than current levels. Taking these changes together, it is likely that Russia will continue as a big meat importer for about the next ten years–with tariff rate quotas probably determining the level of meat imports–and will become a moderate grain exporter. L'agriculture russe pourrait‐elle être compétitive ? Actuellement, l'agriculture russe n'est pas compétitive. La Russie a importé de gros volumes de viande depuis le milieu des années 90, tandis que la balance des échanges de céréales oscillait entre les faibles excédents et les faibles déficits. Cependant, la Russie est grande exportatrice d'agro‐fournitures dont, en particulier, 80% de sa production d'engrais, principalement vers l'Europe. On montre ici que l'avantage comparatif de la Russie se situe dans les céréales plutôt que dans la viande et, surtout, dans les agro‐fournitures plutôt que dans les denrées agricoles. La remontée, à laquelle il faut s'attendre, du rouble vis à vis des devises occidentales, devrait encore diminuer la compétitivité de la Russie en matière de viandes et de céréales, ce qui devrait être compensé par des gains de productivité même faibles. La hausse attendue des revenus des consommateurs, engenderée par une croissance élevée du revenu national, de l'ordre de 4 à 5% par an, devrait aussi stimuler la demande de viande importée. Au printemps 2003, la Russie s'est dotée d'un système de droits sur ses importations hors quotas de viande de bæuf et de pore, ainsi que d'un quota d'importation pour les produits avicoles. En ce qui conceme les autres produits agricoles, dans le cadre des négociations relatives à son entrée dans l'OMC, la Russie s'efforce d'obtenir l'autorisation d'augmenter les taxes à l'importation par rapport à leur niveau actuel. Au total done, à un horizon de l'ordre de dix ans, il est probable que la Russie reste un gros importateur de viandes ‐ le niveau des taxes sur le hors quotas déterminant les niveaux d'importation ‐, et un modeste exportateur de céréales. Kann Russland auf dem Agrarsektor wettbewerbsfähig sein? Die russische Landwirtschaft ist hinsichtlich der Kosten momentan nicht international wettbewerbsfähig. Seit Mitte der 1990er importiert Russland große Mengen an Fleisch, während der Getreidehandel in den meisten Jahren zwischen geringen Nettoimporten und ‐exporten schwankte. Russland hat jedoch große Mengen an wichtigen landwirtschaftlichen Vorieistungen, unter anderem 80% seiner Düngerproduktion, hauptsächlich in EU‐Länder exportiert. Forschungsergebnisse weisen darauf hin, dass Russland in der Produktion von Getreide verglichen mit Fleisch einen komparativen Vorteil besitzt; dies trifft jedoch ebenfalls auf die Produktion von landwirtschaftlichen Vorieistungen verglichen mit landwirtschaftlichen Endprodukten zu. Es ist anzunehmen, dass die erwartete reale Aufwertung des russischen Rubel gegenüber den westlichen Währungen eine zusätzliche Verschlechterung der russischen Wettbewerbsfähigkeit hinsichtlich der Kosten im Bereich Fleisch und Getreide nach sich zieht; dies sollte sich jedoch durch ein moderates Produktivitätswachstum ausgleichen. Der erwartete Anstieg der Verbrauchereinkommen, der sich aus dem relativ hohen jährlichen Bruttoin‐landsproduktzuwachs von ca. 4–5 Prozent ableitet, sollte sich ebenfalls stimulierend auf die Nachfrage nach Fleischimporten auswirken. Im Frühjahr 2003 führte Russland Zolltarifkontingente für seine Schweine‐ und Rindfleischimporte ein und belegte seine Geflügelfleischimporte mit einem Importkontingent. Im Hinblick auf weitere Agrarerzeugnisse drängt Russland in den WTO‐Beitrittsverhandlungen darauf, höhere Einfuhrzölle als die gegenwärtig geltenden zuzulassen. In Anbetracht all dieser Veränderungen ist es wahrscheinlich, dass Russland auch für die kommenden zehn Jahre große Mengen an Fleisch importieren–wobei möglicherweise Zolltarifkontingente die Menge bestimmen werden–und sich zu einem mäßigen Getreideexporteur entwickeln wird.  相似文献   

20.
Agriculture Under the Public Eye: Who Cares for What? The new CAP is becoming geared towards a more sustainable agriculture that takes account of the needs of future generations. Achieving sustainability, however, means meeting three challenges-, (a) profit - strengthening the viability and competitiveness of the agricultural sector; (b) planet - the ecological challenge of promoting good environmental practices; and (c) people-the social challenge to improve the living conditions and economic opportunities in rural areas. In the food chain we see responses to consumer concerns about food safety, quality and welfare issues through the development and implementation of mandatory and voluntary quality control and assurance schemes. And the consolidation and internationalisation of the food retailing and the manufacturing industry is expected to continue. An important duality has emerged. On the one side, we find a state system of regulation, on the other a system of self-regulation, largely driven by the major forces in supply chain management, the food retailers in particular. A simple and effective regulatory environment for the agri-food complex is essential if we are to achieve our competitiveness goals. One of the priorities for discussion by politicians, therefore, should be whether current and expected policy and industry developments should lead to a review of the balance between markets and government, ‘who cares for what?’ l'agriculture aux yeux des politiques publiques qui doit faire quoi? La nouvelle PAC est maintenant bien orientée vers une agriculture plus durable, en mesure de tenir compte des besoins des générations futures. Une véritable durabilityé suppose cependant que soient relevés trois défis: a) le profit - renforcer la viabilityé et la compétitivité du secteur agricole; b) la planète - le défiécologique de promouvoir des pratiques favorables à l'environnement; c) les gens - le défi social d'améliorer les conditions de vie et les opportunités économiques dans les zones rurales. Du côté des filières alimentaires, la réponse à trouver aux inquiétudes des consommateurs vis à vis de la qualityé sanitaire et organoleptique des produits devrait pouvoir venir de l'élaboration de contrôles de qualityé et de systèmes d'assurances, à appliquer sur la base du volontariat ou à rendre obligatoires. En même temps, il faut s'attendre à la continuation du mouvement vers l'affermissement du rôle des industries alimentaires et du commerce de détail, ainsi qu'à leur internationalisation. Un système dual vient d'émerger: d'un côté, un système de réglementations étatiques, de l'autre, une autodiscipline, pilotée par les plus solides des maillons de la filière, en particulier les grandes surfaces. Un environnement réglementaire à la fois simple et efficace est essentiel pour atteindre l'objectif de compétitivité du complexe agroalimentaire, II en résulte que, pour les pouvoirs publics, une des grandes questions à discuter est de savoir dans quelle mesure l' évolution des conditions politiques et celle du développement industriel imposent une révision de l'équilibre actuel entre les marchés et les autorités gouvernementales; en d'autres termes, qui doit faire quoi ? Landwirtschaft in der öffentlichen Meinung; Wer ist wofür zuständig? Die neue GAP wird gerade auf eine nachhaltigere Landwirtschaft hin ausgerichtet, welche die Bedürfnisse der kommenden Generationen berücksichtigt. Nachhaltigkeit kann jedoch nur erzielt werden, wenn den folgenden drei Herausforderungen Rechnung getragen wird: (a) Ökonomie – Stärkung der Leistungs- und Wettbewerbsfähigkeit des Landwirtschaftssektors; (b) Ökologie – Förderung umweltgerechter Verfahrensweisen; und (c) Soziales - Verbesserung der Lebensbedingungen und der wirtschaftlichen Lage im ländlichen Raum. Im Bereich der Nahrungsmittelkette wird den Bedenken der Verbraucher hinsichtlich der Nahrun gsmittelsicherheit, der Qualität und der Wohlfahrt durch die Entwicklung und Implementierung von obligatorischen und freiwilligen Qualitätskontrollen und Sicherheitsprogrammen Rechnung getragen. Es ist davon auszugehen, dass sich die Konsolidierung und Lnternationalisierung im Bereich des Lebensmitteleinzel-handels und der weiterverarbeitenden Industrie fortsetzen wird. Es ist eine bedeutsame Dualität entstanden. Auf der einen Seite erfolgt eine Regulierung seitens des Staates, auf der anderen Seite erfolgt eine Selbstregulierung durch die Vermarktungskette, insbesondere durch den Lebensmitteleinzelhandel. Eine sowohl einfache als auch wirksame Regulierung der Agrar- und Ernährungswirtschaft ist von grundlegender Bedeutung für das Erreichen unserer Wettbewerbsziele. Daher sollte in der Politik mit Priorität diskutiert werden, ob die gegenwärtige und zukünftige Politik und auch die industrielle Entwicklung zu einem neuen Gleichgewicht zwischen Markt und Staatseingriffen führen sollte: Wer ist wofür zuständig?  相似文献   

设为首页 | 免责声明 | 关于勤云 | 加入收藏

Copyright©北京勤云科技发展有限公司  京ICP备09084417号