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1.
Agri‐Food Exports to the CEECs: Winners and Losers from EU Enlargement The accession of the CEEC‐4 to the EU will enlarge its customs union and thus influence trade flows. The article examines likely changes in agri‐food trade flows and identifies the sensitive areas for future WTO negotiations on market access issues, including the potential for compensation claims by trading partners. We estimate that total CEEC‐4 agri‐food imports will increase by about 9.3 per cent. Processed food imports will rise by over 14 per cent but raw commodities by only about 3.5 per cent. There are contrasting effects among the CEEC‐4. Poland and Hungary can expect significant increases in imports while the Czech and Slovak Republics will experience slight decreases. Thus, depending on the success of their support programs for structural adjustment, Poland and Hungary may wish to negotiate transitional arrangements for the adoption of tariffs in order to protect the most sensitive sectors. The EU, the major trading partner of the CEEC‐4, will gain the most, especially Germany, while third countries will suffer comparatively small losses. We estimate that, except for limited impacts on banana and rice imports from Latin America and Asia, the forthcoming enlargement should not raise problems for third countries in the framework of the WTO negotiations on market access issues. It is likely that the EU will be able relatively easily to compensate developing country losers. Les exportations agroalimentaires vers les pays de la Communauté Européenne: les gagnants et les perdants de l'élargissement de L'Union Européenne L'accession de quatre pays d'Europe Centrale et Orientale (PECO) à l'Union Européenne élargira son union douanière et aura ainsi un impact sur les flux commerciaux. L'article examine les changements que cela peut entraîner dans les flux du commerce agroalimentaire et identifie les thèmes sensibles cies négociations futures de l'OMC sur les problèmes d'accès au marchè, y compris les possibilités de demandes d'indemnisations par les partenaires commerciaux. On estime que les importations agroalimentaires totales des quatre PECO augmenteront d'environ 9,3 pour cent. Les importations d'aliments transformés augmenteront de plus de 14 pour cent, mais les produits de base de seulement 3,5 pour cent environ. Les effets diffèrent entre ces quatre pays. La Pologne et la Hongrie peuvent espérer des augmentations significatives de leurs importations, tandis que les Républiques tchèque et slovaque connaîtront de légères diminutions. Ainsi, en function de la réussite de leurs programmes de soutien à l'ajustement structurel, la Pologne et la Hongrie peuvent espérer négocier des mesures transitoires pour l'adoption de droits de douane afin de protéger les secteurs les plus sensibles. L'Union Européenne, partenaire commercial le plus important des quatre PECO, et en son sein l'Allemagne, gagnera le plus, tandis que les pays tiers subiront, par comparaison, des pertes faibles. L'on estime que, mis à part un impact limité sur les importations de bananes et de riz en provenance d'Amérique Latine et d'Asie, l'élargissement futur ne devrait pas poser de problèmes pour les pays tiers dans le cadre des négociations de l'OMC sur les problèmes d'accès au marché. Il est probable que l'Union Européenne arrivera assez aisément à indemniser les pays en voie de développement qui seront perdants. Agrar‐und Lebensmittelexporte Ernährungswirtschaft in die MOEL: Gewinner und Verlierer der EU‐Erweiterung Mit dem Beitritt der mittel‐ und osteuropäischen Länder (MOEL) zur EU erweitert sich die Zollunion, und somit beeinflusst dies ebenfalls die Handelsströme. In diesem Artikel werden die zu erwartenden Veränderungen hinsichtlich der Handelsströme bei Produkten der Agrar‐und Ernährungswirtschaft untersucht und die für die zukünftigen WTO‐Verhandlungen heiklen Fragen zum Marktzugang herausgestellt, wie zum Beispiel potenzielle Ausgleichsforderungen der Handelspartner. Unseren Schätzungen zu Folge werden die Importe der Agrar‐ und Ernährungswirtschaft aus den MOEL um ca, 9,3 Prozent zunehmen. Die Importe von weiterverarbeiteten Nahrungsmitteln werden um über 14 Prozent zunehmen, die Importe von Roherzeugnissen jedoch nur um ca. 3,5 Prozent. Innerhalb der MOEL kommt es zu gegenläufigen Effekten. Polen und Ungarn können von signifikanten Importzuwächsen ausgehen, während für die Tschechische und die Slowakische Republik cine rückläufige Entwicklung zu erwarten ist. Daher könnten Polen und Ungarn ‐ je nachdem, welchen Erfolg ihre Subventionsprogramme zur strukturellen Anpassung aufweisen ‐ den Wunsch äußern, Übergangsregelungen für die Zollübernahme auszuhandeln, um die anfälligsten Sektoren zu schützen. Die EU als der bedeutendste Handelspartner der MOEL wird dabei am meisten profitieren, vor allem Deutschland, während Drittländer vergleichsweise geringe Verluste erleiden werden. Wenn von begrenzten Auswirkungen auf die Bananen‐ und Reisimporte aus Lateinamerika und Asien einmal abgesehen wird, sollte die bevorstehende Erweiterung für Drittländer keine Probleme im Rahmen der WTO‐Verhandlungen hinsichtlich des Marktzugangs aufwerfen. Wahrscheinlich wird es für die EU vergleichsweise einfach sein, die voraussichtlich Verluste erleidenden Länder zu entschädigen.  相似文献   

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CAP Reform in the Dairy Sector: Remove Export Subsidies and Retain Milk Quota–Counterpoints and Reply Counterpoint–David Harvey. The authors argue for retention of dairy quotas, elimination of all subsidies and continued import taxes. The argument that quotas will increase market prices fails to recognise that demand is likely to become more price elastic, that quotas will not allow EU producers to benefit from an expanding domestic market, and that any domestic price gain will be capitalised into the cost structure of producers. It is more sensible to eliminate quotas completely, possibly with compensation of existing quota owners. Counterpoint–Gunnar Breustedt and Uricb Koester. We argue that their reference system is misleading, that they underrate the welfare losses of the EU quota system and that some a priori assumptions concerning the external effects of milk production are debatable. Abolishing the quota in a world with no export subsidies would increase EU welfare the most. Reply–Zohra Bouamra‐Mechemache and Vincent Requillart. The comments develop two main lines of argument. First, those related to an ideal world. But we are far from this ideal situation: the EU has world market power and there are positive and negative externalities in milk production. Full liberalisation, moreover, would generate social costs so the key question is: what is the best way to implement a gradual liberalisation? A second set of arguments is related to the indirect costs and benefits of dairy quotas. In our model indirect quota costs would be lowered and milk production in the Less Favoured Areas would be supported. We maintain our conclusion that it could be rational to keep a quantity instrument to regulate the EU dairy sector if price instruments are removed. Réforme de la PAC laitière: supprimer les subventions et garder les quotas ‐ contrepoint et réponses David Harvey en contrepoint Les auteurs roudraient conserver les quotas laitiers, éliminer les subventions, et garder les droits de douane. Mais l'argument selon lequel les quotas vont contribuer a accroître le prix sur le marché intérieur néglige le fait que la demande deviendra plus élastique, que les quotas ne permettront pas aux producteurs européens de bénéficier de l'expansion de la demande interne, et que tout accroissement de prix intérieur sera capitalisé dans les prix des facteurs fixes. Il est done plus intelligent de complètement éliminer les quotas, le cas échéant en offrant des compensations à ceux qui, à l'heure actuelle, détiennent des quotas. Gunnar Breustedt et Ulrich Koester en contrepoint Le système de référence des auteurs est trompeur. lis sous estiment les pertes de bien‐être qui sont engenderées par le système de quotas européens. Certaines de leurs hypothèses sur les effets externes de la production laitière sont discutables. La meilleure façon d' accroître le bien‐être en Europe serait d' abolir les quotas dans un monde sans subventions à l' xportation. Zohra Bouhamra et Vincent Requillart en reponse On nous oppose deux ordres d'objections: D'abord celles qui concemeraient un monde ideal. Mais nous sommes bien loin d'un monde idéal: de fait, l'Union européenne dispose bien d'un certain pouvoir sur le marché mondial et il existe bien des externalités, tantôt positives et tantot negatives, dans la production de lait. De plus, la liberalisation totale engendrerait des couts sociaux. La question est done plutot de savoir comment preparer une liberalisation progressive. La seconde série d'argurnents a trait aux coûts et aux bénéfices indirects liés aux quotas laitiers. Dans notre modèle, les coûts indirects des quotas seraient plus faibles et la production laitiére serait soutenue dans les zones les moins favorisées. Nous maintenons notre conclusion qu'il pourrait etre rationnel, si Ton vient a supprimer les interventions sur les prix, de conserver un instrument quantitatif de régulation de la production laitière européenne. Reform der GAP auf dem Milchsektor: Abschaffung von Exportsubventionen und Aufrechterhaltung von Milchquoten– Kontrapunkte und Antwort Kontrapunkt–David Harvey. Die Autoren sprechen sich für die Beibehakung von Milchquoten, die Abschaffung aller Subventionen und weiter bestehende Einfuhrzölle aus. Das Argument, die Quoten würden die Marktpreise erhöhen, übersieht, dass die Nachfrage wahrscheinlich preiselastischer wird, dass die Quoten es den EU‐Erzeugern nicht gestatten, Nutzen aus einem wachsenden Binnenmarkt zu Ziehen, und dass jede Preiserhöhung im Inland in der Kostenstruktur der Erzeuger kapitalisiert wird. Es ist sinnvoller, die Quoten vollständig abzuschaffen und möglicherweise die Quoteneigner zu Entschädigen. Kontrapunkt–Gunnar Breustedt und Ulrich Koester. Wir vertreten den Standpunkt, dass ihr Referenzsystem irrefuhrend ist, dass sie die Wohlfahrtsverluste des EU‐Quotensystems unterbewerten und dass einige a priori‐Annahmen in Hinblick auf die externen Effekte der Milchproduktion umstritten sind. Die Abschaffung der Quoten bei gleichzeitigem weltweiten Verzicht auf Exportsubventionen würde die Wohlfahrt in der EU am stärksten erhöhen. Antwort–Zohra Bouamra‐Mechemache und Vincent Réquillart. Die Kommentare entwickeln zwei grundsätzlicheArgumentationsrickungen. Die erste bezieht sich auf eine ideale Welt. Von dieser idealen Situation sind wir hingegen weit entfernt: Die EU besitzt Marktmacht auf dem Weltmarkt, und die Milcherzeugung ist durch positive und negative externe Effekte gekennzeichnet. Zudem würde eine vollständige Liberalisierung zu gesamtwirtschaftlichen Kosten führen, daher lautet die Schlüsselfrage: Wie kann eine schrittweise Liberalisierung am besten umgesetzt werden? Die zweite Argumentationsrichtung bezieht sich auf die indirekten Kosten und den indirekten Nutzen von Milchquoten. In unserem Modell würden die indirekten Kosten der Quoten verringert und die Milcherzeugung in den benachteiligten Gebteten subventioniert. Wir erhalten unsere Schlussfolgerung aufrecht, dass es rational ware, ein Instrument zur Mengenregulierung im EU‐Milchsektor beizubehalten, falls die Preisinstrumente abgeschafft werden.  相似文献   

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‘Integrate’ Rural Development Policy in the EU: a Term Too Far? Since its introduction in the early 1980s for Mediterranean and some other regions, an ‘integrated’ approach to EU rural development policy has come to-be increasingly advocated. However, the precise meaning of the term is seldom made clear in official and other documents, which appear to have applied it in a variety of contexts and in a number of different ways, This article discusses and analyses some alternative interpretations of ‘integrated’ rural development policy, including considerations of finance (funding from more than one source), administration (policy design, approval, monitoring and evaluation being undertaken by a single agency), institutions (responsibility and coordination being shared between different departments and agencies) and the economics of efficiency (better balancing of costs and benefits, and the encouragement of desired complementarities). These different meanings may explain some of the confusion in the long-running debate over rural policy in the EU, and suggest the need for more careful language. However, the arguments do endorse the apparent direction of thinking at the November 2003 Salzburg conference on rural development, i.e. that improved policy will result from better defined objectives, a single EU fund for rural development, and territorial programming at a local or regional level. Les politiques européennes de développement rural ‘intégré’:un mot de trop? Depuis l'introduction de ce vocable, au début des années 80, à propos, entre autres, des régions méditerranéennes, il est de plus en plus courant d'entendre vanter les mérites d'une approche ‘intégrée’ des politiques de développement rural. Pourtant, la signification précise de ce terme n'est que rarement explicitée, que ce soit dans les documents officiels ou dans d'autres. Le mot semble avoir été appliquéà de nombreuses situations différentes et de toutes sortes de façons. On essaie id d'analyser les différentes interprétations qu'il est possible de donner à la notion d'intégration des politiques de développement rural, que ce soit en termes de financement (utilisation de plus d'une seule source de financement), d'administration (l'élaboration des politiques, la décision, le suivi, et l'évaluation se trouvant sous la responsabilité d'une agence unique), destitutions (partage des responsabilités et des tâches de coordination entre différents départements ministériels ou agences d'exécution), ou d'efficacitééconomique (meilleur équilibre entre les bénéfices et les coûts, souci de créer des complérnentarités). La polysémie du mot semble expliquer la confusion qui entoure depuis longtemps le débat sur la politique rurale dans l'Union européenne et cela implique la nécessité d'employer un langage plus précis. Aussi bien, ce point correspond à la ligne générale de pensée qui s'est manifestéà la conférence de Salzbourg en novembre 2003 sur le développement rural: pour améliorer la politique, il faut que ses objectifs soient mieux définis, qu'il existe un seul fonds européen pour le développement rural, et que la planification territoriale se fasse au niveau local ou régional. ‘Integrierte’ Politik zur Entwicklung des ländlichen Raums in der EU: Ein zu weit gefasster Begriff? Seitdem der integerierte Ansatz für die Politik zur Entwicklung des ländlichen Raums der EU in den frühen 1980er Jahren für den Mittelmeerraum und andere Regionen eingeführt wurde, wird er zunehmend befürwortet. Die Definition dieses Begriffs geht jedoch selten eindeutig aus amtlichen und anderen Dokumenten hervor, welche diesen Begriff scheinbar auf die verschiedensten Arten und in vielfaltigen Kontexten verwenden. In diesem Beitrag werden einige Alternativen hinsichtlich der Auslegung des Begriffs der “integrierten” Politik zur Entwicklung des ländlichen Raums diskutiert und analysiert. Hierbei werden Finanzierung (Finanzierung aus mehreren Quellen), Verwaltung (Politikentwurf, Zustimmung, Überwachung und Evaluierung durch eine einzige Agentur), Institutionen (gemeinschaftliche Verantwortung und Koordination von verschiedenen Abteilungen und Geschäftsstellen) und Effizienz (verbessertes Abwägen von Kosten und Nutzen sowie Förderung erwünschter Komplementaritäten) behandelt. Diese unterschiedlichen Begriffsinhalte sind möglicherweise ein Grund für die Verwirrung in der seit langem geführten Debatte zur ländlichen Politik in der EU und lassen eine umsichtigere Sprachwahl sinnvoll erscheinen. Die Argumente untermauern jedoch die vorherrschende Meinung auf der Salzburger Konferenz zur Entwicklung des ländlichen Raums im November 2003, d.h. dass klarer definierte Ziele, ein einziger EU-Fonds für die Entwicklung des ländlichen Raums sowie territoriale Programmentwicklung auf lokaler oder regionaler Ebene zu einer verbesserten Politik führen.  相似文献   

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Is Meat Processing in Central and Eastern European New Member States Competitive after EU Accession? With EU accession, businesses in the CEE-NMS will see a considerable expansion of their potential market but they will also face direct competition from all EU enterprises in the European market as well as in their domestic markets. Our analysis of the competitive potential of the meat industry shows some pronounced differences among countries as well as some common features. First, the meat processing industry in the CEE-NMS benefits from low wages and expected future increases in the consumption of meat and processed meat products. But the CEE-NMS will suffer from a fragmented structure in the primary, slaughter and processing sector. The majority of meat processing plants in the CEE-NMS, moreover, also show serious deficiencies in meeting EU standards for hygiene, food safety, food quality and environmental protection. Given the lack of access to capital, many of those enterprises will not be able to comply with the acquis commimautaire and thus will very likely be forced out of business. A dramatic reshaping of the industry is underway with an accelerated rise in concentration and a move towards vertical integration. In the medium to long term, this could increase the competitive position of the CEE-NMS meat industry which, with the exception of Hungary and Poland, currently lacks competitiveness relative to the enlarged EU. La filiére viande des nouveaux pays membres d'Europe centrale et orientate sera-t-elle compétitive aprés l'accession ? OAvec l'accession a l'UE, les entreprises des NPM (nouveaux pays membres) de la CEE disposeront d'un marché potentiel considérablement élargi, mais elles devront aussi faire face à la concurrence directe de toutes les autres entreprises européennes, tant sur les marchés européens que sur leur propre marché intérieur. l'analyse de la compétittvité de la filiére viande de ces pays met en évidence des différences sensibles entre eux, en même temps que quelques points communs. En premier lieu, les filiéres en question sont avantagées par de bas salaires et de bonnes perspectives d'accroissement de la demande de viande et de produits animaux. Mais elles souffrent de la fragmentation des structures, aussi bien au niveau de la production primaire qu à celui des abattoirs et des fabrications. En outre, dans leur majorité, les entreprises de la filiére viande des NPM présentent de graves insuffisances en matiére d'hygiéne, de qualityé, de sécurité sanitaire et de protection de l'environnement. Comme elles auront difficilement accés au capital, elles ne seront pas en mesure de s'adapter àl'acquis communantaire, de sorte que beaucoup d'entre elles devront disparaître, Une dramatique réorganisation du secteur se dessine ainsi, avec l'accélération de la concentration et le développement de l'intégration verticale. A terme, ces transformations peuvent conduire a un renforcement de la position des industries de la viande dans les NMS qui, à l'exception de la Pologne et de la Hongrie, souffrent d'un déficit de compétitivité vis à vis de l'Europe élargie. Wird die fleischverarbeitende Industrie in den neuen mittel- und osteuropäischen Mitgliedstaaten nach dem EU-Beitritt wettbewerbsfähig sein? Mit dem EU-Beitritt erfahren Unternehmen in den neuen mittel-und osteuropäischen Mitgliedstaaten eine beträchtliche Ausdehnung ihres potenziellen Marktes, sie treten jedoch ebenfalls in direkten Wettbewerb mit alien EU-Unternehmen aüf dem europäischen Markt sowie auf ihrem Binnenmarkt. Unsere Untersuchung des Wettbewerbspotenzials der ffcisehverarbeirenden Industrie zeigte sowohl einige deutliche Unterschiede zwischen den Ländern als auch einige Gemeinsamkeiten auf. Zunächst profttiert die fleischverarbeitende Industrie in den neuen mittel- und osteuropäischen Mitgliedstaaten von den niedrigen Löhnen und dem zu erwartenden Anstieg des Verbrauchs von Fleisch und verarbeiteten Fleischprodukten. Die fragmentierte Struktur in der Erzeugung, Schlachtung und Weiterverarbeitung wird den neuen mittel-und osteuropäischen Mitgliedstaaten jedoch zu schaffen machen. Der überwiegenden Anzahl der fleischverarbeitenden Betriebe in den neuen mittel- und osteuropäischen Mitgliedstaaten fällt es zudem schwer, den EU-Normen in den Bereichen Hygiene, Nah-rungsmittelsicherheit, Nahrungsmittelqualität sowie Umweltschutz zu entsprechen. Angesichts des eingeschränkten Zugangs zu Kapital werden viele dieser Betriebe nicht in der Lage sein, die Bedingungen des acquis communautaire zu erfüllen und somit sehr wahrscheinlich vom Markt verdrängt werden. Eine drastische Umstrukturierung der Branche mit einem beschleunigten Anstieg der Konzentration und einer Entwicklung hin zu einer vertikalen Integration steht bevor. Auf mittlere und lange Sicht könnte dies die Wettbewerbsstellung der fleischverarbeitenden Industrie der neuen mittel- und osteuropäischen Mitgliedstaaten erhöhen, welche verglichen mit der erweiterten EU mit Ausnahme von Ungarn und Men gegenwärtig nur eine relativ geringe Wettbewerbsfähigkeit aufweisen.  相似文献   

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Farm Performance, Direct Payments and EU Enlargement This article attempts to shed light on the recent performance of farms in the Czech Republic, Hungary and Poland, contrasting it with the situation in two regions of existing EU Member States as a means for stimulating a debate on the likely nature of agricultural restructuring in an enlarged EU. Data were extracted from FADN surveys and performance is measured in terms of three cost-revenue ratios that vary in terms of the valuation of unpaid land and labour input, and direct budgetary transfers. There is no neat divide between established and new EU Member States in terms of the cost-revenue ratios presented; rather the main differences concern the level of capitalisation and wage rates. The analysis indicates that Hungarian farms have the best prospects amongst the analysed CEECs, which is in contrast to the poor returns and structural problems evident in Poland. In the latter case the returns to own labour and land are exceptionally low and the majority of farms persist through a lack of other employment options and a degree of self-exploitation. To deal with this problem, the stimulation of the non-farm rural economy is paramount but the introduction of CAP first pillar support may hinder structural adjustment. Performance des exploitations, paiements directs et élargissement de l'UE Les performances récentes d'exploitations tchéques, hongroises et polonaises sont ici comparées à celles observées dans deux régions d'Etats membres de l'UE, afin d' éclairer et de stimuler le débat sur les restructurations probables de l'agriculture dans l'UE élargie. Les donnes proviennent du RICA, et les performances sont mesurées par trois rapports coûts/revenus, associés a l' évaluation du travail familial et de la terre en faire-valoir direct, ainsi que par les transferts budgéaires directs. II n'y a pas de différences fondamentales entre les anciens et les nouveaux Européens sous l'angle des trois critéres présentés ici. Les plus sensibles concernent les salaires et le niveau de capitalisation. Dans les PECO, les Hongrois ont les meilleures perspectives de performances, ce qui les oppose aux mauvais résultats et aux problémes structurels des Polonais. Dans ce dernier cas, les rémunérations du travail familial et de la terre en propriété sont exceptionnellement basses. Dans leur majorité, les exploitations ne survivent que du fait de Fabsence d'autré opportunite d'emplois, et grâce à une trés forte auto-exploitation du travail, Dans une telle situation, la stimulation du secteur rural non agricole est essentielle, mais l'introduction des aides associées au premier pilier de la PAC pourrait gêner l'ajustement nécessaire. Wirtschaftlicher Erfolg von Landwirtschaftsbetrie ben, Direktzahiungen und EU-Erweiterung Mit diesem Beitrag soll der wirtschaftliche Erfolg in der jüngeren Vergangenheit von Landwirtschaftsbetrieben in der Tschechischen Republik, Ungarn und Polen beleuchtet werden, indem ein Vergleich mit der Lage in zwei Regionen in bisherigen EU-Mitgliedstaaten gezogen wird, um zu einer Debatte über die mögliche Art und Weise der landwirtschaftlichen Restrukturierung in der erweiterten EU anzuregen. An Hand von Daten aus dem INLB wird der wirtschaftliche Erfolg mit Hilfe von drei Kosten-Erlös-Verhältniszahlen ermittelt, weiche sich im Hinblick auf die Bewertung von nicht entlohntem Boden und Arbeitskräften sowie direkte Einkommensübertragungen unterscheiden. Im Hinblick auf die vorgelegten Kosten-Erlös-Verhältnisse liegt keine Ware Trennlinie zwischen den alten und den neuen EU-Mitgliedstaaten vor; die Hauptunterschiede beziehen sich eher auf die Kapitalverzinsung und die Löhnsatze. Die Analyse ergibt, dass die ungarischen Landwirtschaftsbetriebe von alien untersuchten MOEL die besten Zukunftsaussichten aufweisen, im Gegensatz zu der geringen Verzinsung und den strukturellen Problemen in Polen. Hier 1st die Entlohnung der eigenen Arbeit und des eigenen Landes außergewöhnlich gering, und die überwiegende Anzahl der Betriebe wird nur durch einen Mangel an anderen Beschaßtigungsmöglichkeiten und ein gewisses Maß an Selbstausbeutung aufrecht erhalten. Zur Lösung dieses Problems muss der auißerlandwirtschaftlichen ländlichen Wirtschaft Priorität eingeräumt werden; jedoch könnte die Einführung der Stützung im Rahmen der ersten Säule der GAP die strukturelle Anpassung hemmen.  相似文献   

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A future policy in the general interest According to the Aristotelian Classification of policies, based on whether they promote the common good or that of particular interests, the present agricultural market policy is “degenerate”. Reform of the CAP in the general interest should strengthen structural and rural development policy while limiting market policy to price stabilisation. Existing commodity support (price + aids) should be “degressive and temporary” with a precise deadline. This would avoid abrupt shocks in farm incomes while favouring structural adjustment and reducing production costs. Problems related to price and investment distortions, production quotas, land set‐aside, modulation by farm size, extension of the CAP to new EU Members, would largely disappear. A l'avenir, une politique de l'intérêt général Dans la classification des politiques établie par Aristote, scion qu'elles recherchent le bien commun ou la satisfaction d'intérêts particuliers, la politique agricole actuelle figurerait dans la rubrique des politiques “dégénérées”. Si elle avait l'intérêt général en vue, la réforme de la PAC essaierait de renforcer les structures et le développement rural, tout en limitant ses interventions sur les marchés à la stabilisation des prix. Les soutiens existants aux produits (aides directes et soutiens aux prix) devraient être dégressifs et temporaires (avec des dates d'expiration bien déterminées). Cela éviterait des chocs brutaux sur les revenus agricoles, tout en favorisant les restructurations et en abaissant les coûts. Alors disparaîtraient la plus grande partie des problèmes de prix, d'investissement, de distorsions, de quotas de production, de gel des terres, de modulation par tailles, et d'extension de la PAC aux nouveaux membres de l'Union Européenne. Eine zukünftige Politik im Sinne des Gemeinwohls In Anlehnung an die aristotelische Einteilung von Ponukmaßnahmen, die nach der Orientierung am Gemeinwohl oder an Einzelinteressen erfolgt, handelt es sich bei der derzeitigen landwirtschaftlichen Marktpolitik um eine “entartete” Politik. Die Reform der GAP im Sinne des Gemeinwohls sollte die Strukturpolitik und die Politik zur Entwicklung des ländlichen Raums stärken und die Rolle der Marktpolitik auf die Preisstabilisierung beschränken. Die gegenwärtige Produktstützung (Preis und Beihilfen) sollte mit einer exakten Fristsetzung “degressiv und zeitlich begrenzt” sein. Dadurch würden starke Einkommenseinbußen bei den landwirtschaftlichen Betrieben vermieden und zusätzliche Anreize für strukturelle Anpassung und Senkung der Produktionskosten ausgeübt werden. Somit würden die Probleme größtenteils gelöst, die sich aufgrund von Verzerrungen der Preise und Investitionen, Produktionsquoten, Flächenstilllegung, Modulation nach Betriebsgröße und Erweiterung der GAP auf neue EU‐Mitgliedsstaaten ergeben.  相似文献   

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freedom to choose: perspectives on modern biotechnology and developing countries' food and agriculture Perspectives differ between rich and poor countries and people on the use of modern biotechnology in food and agriculture. Europeans generally support the use of this technology in medicine, but not to address hunger. Unlike Europeans, poor people in developing countries spend 50 to 80 percent of their income on food and depend on agriculture for their living, so agricultural productivity gains that lower food prices are critical. Policy makers, scientists, and farmers in developing countries generally support appropriate use of agricultural biotechnology. They are more concerned about food availability and better nutrition than food safety or environmental issues, although they do insist upon sound biosafety regulations. Bans on importation of genetically modified (GM) foods in Europe could harm agricultural growth and poverty alleviation in developing countries. If developed countries limit molecular biology research to health, developing countries will not receive needed support to apply the technology to food and agriculture. Policy action is required to assure adequate public investment in agricultural research to benefit poor farmers and consumers in developing countries. Intellectual property rights regimes must maintain farmers' rights to replant seed. Trade policies should not discriminate against developing countries that choose to commercialize GM crops. Developing countries and their citizens must be empowered to make their own choices based on informed debate and their own risk‐benefit calculations. la liberte de choisir: points de vue sur l'utilisation des biotechnologies modernes dans l'alimentation et l'agriculture des pays en voie de developpement L'utilisation des biotechnologies modernes dans l'alimentation et l'agriculture fait l'objet de points de vue différents selon que les pays et les personnes concernées sont riches ou pauvres. Les Européens sont généralement favorables à l'utilisation de cette technologie en médecine, mais pas pour aborder le problème de la faim. Contrairement aux Européens, les pauvres des pays en voie de développement dépensent 50 à 80 pour cent de leur revenu en nourriture et dépendent de l'agriculture pour leur survie, si bien que les gains de productivité agricole permettant d'abaisser les prix alimentaires sont d'une grande importance pour eux. Les hommes politiques, les scientifiques et les agriculteurs des pays en voie de développement sont génerálement partisans d'un usage approprié des biotechnologies agricoles. Ils se soucient plus de la disponibilité en nourriture et d'une meilleure nutrition que des problèmes d'environnement et de sécurité des produits alimentaires, bien qu'ils mettent l'accent sur la nécessité de réglementations justes en matiére d'hygiène alimentaire. Les interdictions d'aliments génétiquement modifiés en Europe pourraient nuire à la croissance agricole et a la diminution de la pauvreté dans les pays en voie de développement. Si les pays développés limitent à la santé la recherche en biologie moléculaire, les pays en voie de développement ne recevront pas le soutien dont ils ont besoin pour appliquer cette technologie à l'alimentation et à l'agriculture. Il convient de mettre en place des actions pour garantir des investissements publics suffisants en recherche agricole au bénéfice des agriculteurs et des consommateurs pauvres des pays en voie de développement. Les régimes relatifs aux droits de propriété intellectuelle doivent maintenir les droits des agriculteurs à replanter leurs semences. Les politiques commerciales ne devraient pas faire de discrimination contre les pays en voie de développement qui choisissent de commercialiser des récoltes génétiquement modifiées. Les pays en voie de développement et leurs citoyens devraient être habilités à faire leurs propres choix sur la base de débats informés et de leurs propres calculs risques avantages. Die Freiheit zu wählen: Sichtweisen in Bezug auf moderne Biotechnologie und auf Nahrungsmittel und Landwirtschaft in Entwicklungslandern Im Hinblick auf die Verwendung moderner Biotechnologie im Nahrungsmittelbereich und in der Landwirtschaft ergeben sich für reiche und arme Länder und Bevölkerungen unterschiedliche Sichtweisen. Die Europäer befürworten im Allgemeinen, diese Technologie im Bereich der Medizin einzusetzen; nicht aber, um den Hunger zu bekämpfen. Im Gegensatz zu den Europäern gibt die arme Bevölkerung in Entwicklungsländern 50 bis 80 Prozent ihres Einkommens für Nahrungsmittel aus und ist zur Sicherung ihres Lebensunterhalts auf die Landwirtschaft angewiesen, so dass Produktivitatszuwächse in der Landwirtschaft, die zu sinkenden Nahrungsmittelpreisen führen, entscheidend sind, Im Allgemeinen befürworten Entscheidungsträger, Wissenschaftler und Landwirte in Entwicklungsländern eine angemessene Verwendung von Biotechnologie in der Landwirtschaft. Sie sind mehr an der Verfügbarkeit von Nahrungsmitteln und an einer verbesserten Ernährungslage interessiert als an der Nahrungsmittelsicherheit oder am Umweltschutz, obgleich sie auf klaren Verordnungen zur Sicherheit von Biotechnologie bestehen. Europäische Einfuhrverbote von genetisch modifizierten Nahrungsmitteln könnten das landwirtschaftliche Wachstum und die Armutsbekämpfung in den Entwicklungsländern beeinträchtigen. Wenn die Industrieländer die Forschung auf dem Gebiet der Molekularbiologie jedoch auf den Bereich der Medizin beschränken, werden die Entwicklungsländer nicht die benötigte Unterstützung erhalten, diese Technologie im Nahrungsmittelbereich und in der Landwirtschaft umzusetzen. Politisches Handeln ist erforderlich, um ausreichende staatliche Investitionen in die landwirtschaftliche Forschung sicherzustellen, damit arme Landwirte und Verbraucher in Entwicklungsländern davon profitieren können. Die Regelungen zur Wahrung des geistigen Eigentums müssen die Rechte der Landwirte auf Nachbau erhalten. Handelspolitische Maßnahmen sollten nicht jene Entwicklungsländer diskriminieren, welche sich zur kommerzieflen Nutzung von genetisch modifizierten Feldfrüchten entschieden haben. Die Entwicklungsländer und deren Einwohner müssen das Recht erhalten, auf der Grundlage fundierter Debatten und individueller Risiko‐Nutzen‐Abwägungen ihre eigenen Entscheidungen zu treffen.  相似文献   

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Will Enlargement Gridlock CAP Reforms? a Political Economy Perspective This article highlights the role of political institutions in predicting further reforms of the CAP We argue that the institutional setup of the political decision-making process has given rise to levels of farm support that neither represent the political will of the majority of national governments nor of the Commission. We further argue that, in theory, this gap will widen due to the need to accommodate the diverse preferences of the New Member States. In practice, however, the institutional structure of CAP decision-making will give rise to a gridlock in the Council, impeding further reforms. We argue that one possible route to further reform is via a coalition of national governments and the Commission, harnessing future WTO negotiations to break the gridlock and force the Agricultural Council to accept further reforms. Decoupling will become an internal driver of further reform because it makes transfers transparent and politically visible, thus casting doubt on the legitimacy of payments to large farms and wealthy farmers. We thus expect the CAP's rationale to shift further in the direction of multifunctionality and public-good type benefits. Enlargement at most poses a further obstacle to reform but will not halt the process of making the CAP more effective, efficient and more equitable. Se peut-il que l'éiarqissement paralyse la réforme de fa PAC ? Un point de vue d'économie politique Le projecteur est mis sur Je rôle des institutions politiques pour l'avenir des nouvelles réformes de la PAC. L'idée est que le cadre institutionnel dans tequel se prennent les décisions a produit un niveau de soutien aux agriculteurs qui ne correspond ni aux vceux de la majorité des gouvernements, ni à celui de la Commission. Enthéorie, cet écart devrait s'accroître, à cause de la nécessité de satisfaire la variété des préférences des nouveaux membres. En pratique, cependant, les structures institutionnelles au sein desquelles sont prises les décisions relatives à la PAC devraient conduire à la paralysie du Conseil, empêchant ainsi toute réforme future. Une solution possible serait la constitution d'une coalition entre la Commission et certains gouvernements nationaux, qui se serviraient des négotiations à venir à l'OMC pour faire éclater le blocage, et forcer l'adoption de nouvelles réformes par le Conseil des ministres de l'Agriculture, Le découplage deviendra alors le moteur des réformes à venir, en faisant apparaître les transferts et en les rendant politiquement visibles, ce qui jettera le doute sur la légitimité des paiements à de gros agriculteurs riches. On peut done s'attendre à ce que la logique de la PAC glisse toujours plus vers la multifonctionalité et la recherche dela production de biens publics. Ainsi, l' élargissement constitue au plus un nouvel obstacle, mais qui ne devrait pas arrêter le processus par lequel la PAC évolue vers plus d'efficacité, de rationalité et d' équité. Wird die Erweiterung die Reformen der GAP blockieren? Eine politökonomische Perspektive Dieser Beitrag hebt die Rolle politischer Institutionen für die Vorhersage weiterer Reformen der GAP hervor. Wir argumentieren, dass der institutionelle Aufbau des Prozesses der politischen Entscheidungsfindung zu einem solchen Ausmaß der Stützung von landwirtschaftlichen Betrieben geführt hat, welches weder von der Mehrheit der nationalen Regierungen noch von der Kommission gewollt ist. Weiterhta argumentieren wir, dass sich diese Kluft in der Theorie vergrößern wird, da den unterschiedlichen Präferenzen der neuen Mitgliedstaaten Rechnung getragen werden muss. In der Praxis jedoch wird die institutionelle Struktur der Entscheidungsfindung in der GAP für eine Blockade im Ministerrat sorgen und somit weitere Reformen behindern. Wir argumentieren, dass ein gangbarer Weg zu weiteren Reformen über eine Koalition nationaler Regierungen mit der Kommission fiihrt, welche die Blockade mit Hilfe der zukünftigen WTO-Verhandiungen bricht und den Agrarministerrat zwingt, weitere Reformen zu akzeptieren. Die Entkopplung wird sich als wichtige Triebfeder für weitere Reformen erweisen, da sie Transferleistungen transparent und politisch sichtbar macht und so die Legitimität von Zahlungen an großs“e landwirtschaftliche Betriebe und wohlhabende Landwirte in Frage stellt, Somit erwarten wir, dass sich die Begründung der GAP mehr in die Richtung von Multifunktionalität und Bereitstellung öffentlicher Güter entwickeln wird. Die Erweiterung stellt höchstens ein weiteres Hindernis für die Reformen dar, kann die Entwicklung, die GAP effektiver, effizienter und fairer zu gestalten, jedoch nicht aufhalten.  相似文献   

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The 2002 U.S. Farm Bill: What's In It For CAP and WTO Reform? The 2002 U.S. Farm Bill (the Farm Security and Rural Investment Act or FSRIA) provides considerably more government subsidies for U.S. agriculture than Congress envisaged when it passed the preceding 1996–2002 FAIR Act. We review the FAIR record, showing how government subsidies increased greatly beyond those originally scheduled. For FSRIA, we outline key commodity, trade, and conservation and environmental provisions. We expect that the commodity programmes will: (a) encourage production when the market calls for less; (b) significantly increase subsidies over FAIR baseline subsidies; (c) press against current WTO and possible Doha Round support limits; and (d) aggravate trading partners. Finally, we suggest two lessons from the U.S. policy experience that might benefit those working on CAP and WTO reform. First, past research shows that farm programmes have little to do with the economic health of rural communities. Second, programme transparency, and especially public disclosure of the level of payments going to individual farmers, by name, influences the farm policy debate. Personalized data show what economists have long maintained—that the bulk of programme benefits go to a relatively few, large, producers—but do so in a way that captures the public and policy‐makers' attention. La loi d'orientation agricole américaine de 2002: que peut on en tirer pour réformer la PAC et l'OMC? La loi d'orientation agricole américaine de 2002 (loi sur la securité et l'investissement rural, ou FSRIA) autorise beaucoup plus de subventions a l'agriculture des Etats Unis qu'il n'avait été envisagé par le congrès quand fut votée la loi d'orientation précédente, le “Fair Act” en vigueur de 1996 à 2002. L'examen du Fair Act réalisé ici montre que les subventions durant cette période avaient déjà augmenté beaucoup plus qu'il n‘était initialement prévu. Dans le cas du FSRIA, des provisions importantes sont prévues pour les produits clé, le commerce, la conservation des sols, et l'environnement. Il faut s'attendre à ce que les programmes par produit: (a): encouragent la production alors même que le marché en demanderait la réduction, (b) accroissent significativement les subventions par rapport au niveau de base du Fair Act (c) exercent une pression à la hausse sur les limites imposées aux soutiens, tant dans la réglementation actuelle de l'OMC que dans celle qui pourrait être adopté dans les négociation de Doha (d) lèsent gravement les partenaires commerciaux des Etats Unis. Pour finir, deux enseignements de la politique américaine pourraient être utiles à ceux qui, en Europe, songent à réformer l'OMC et la PAC: d'abord, l'histoire montre que les subventions n'ont pas grand chose à voir avec la santééconomique des communautés rurales. Ensuite, la transparence des programmes en question, et tout spécialement, l'affichage nominatif des bénéficiaires de subventions, est de nature à influer sur le débar de politique agricole. Les données personnalisées montrent ce que les économistes out toujours dit: les subventions bénéficient pour l'essentiel à un petit nombre de producteurs relativement riches, mais d'une façon telle qu'ils arrivent à mobiliser l'opinion et les décideurs politiques en leur faveur. Das US‐Landwirtschaftsgesetz von 2002: Wie wirkt es sich auf GAP und WTO‐Reform aus? Das US‐Landwirtschaftsgesetz von 2002 (FSRIA, Gesetz zur Absicherung von landwirtschaftlichen Betrieben und zur Förderung von Investitionen in ländlichen Räumen) sieht wesentlich höhere staatliche Subventionen für die Landwirtschaft der USA vor als es der Kongress bei tier Verabschiedung des FAIR‐Gesetzes (1996–2002) beabsichtigte. Die Subventionen haben während der Laufzeit des Gesetzes die vorgesehene Höhe weit überschritten. Für das FSRIA werden die Bestimmungen für die Hauptagrarprodukte, den Handel und den Umweltschutz kurz dargestellt. Es ist zu erwarten, dass die Programme (a) die landwirtschaftliche Produktion in Perioden anregen, in denen die Weltmarktpreise niedrig sind; (b) die Subventionen weit über den im FAIR‐Gesetz vorgesehenen Betrag hinaus erhöhen; (c) gegen das in der WTO festgeschriebene und zukünftig in der Doha‐Runde wahrscheinliche gekürzte Stützungsniveau verstoßon können und (d) die Missbilligung der Handelspartner hervorrufen werden. Aus der Erfahrung mit der US‐Politik greifen wir zum Schluss zwei Erkenntnisse heraus, die für diejenigen hilfreich sein können, die sich mit der GAP und der WTO‐Reform beschäftigen. Erstens zeigt die bisherige Forschung, dass die Programme zur Förderung von landwirtschaftlichen Betrieben nur wenig zum wirtschaftlichen Wohlergehen ländlicher Räume beitragen. Zweitens beeinflusst die Transparenz der Programme die politische Debatte in Bezug auf landwirtschaftliche Betriebe – insbesondere durch die öffentliche Nennung der Höhe der Zahlungssummen und der Namen der Empfänger. Diese personalisierten Daten zeigen, was Wirtschaftswissenschaftler bereits seit langem behaupten – dass relativ wenige Großerzeuger am meisten von den Programmen profitieren und dabei die Aufmerksamkeit der Öffentlichkeit und die der politischen Entscheidungsträger auf sich ziehen.  相似文献   

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Financial Distress with Family Farm Transfer in Six European Countries Many potential young farmers face the difficult choice between farming or a city career. An important criterion in this decision is the financial distress that goes with farming. We compared the financial distress after take-over of family farms by the next generation, in six European countries: Denmark, France, Germany, Spain, the Netherlands and the United Kingdom. The principles of inheritance and succession and the fiscally appraised value of the farm have a large impact on the transfer price, and therefore on the installation costs. A transfer price below the fiscally appraised value results in gift taxes. The financial distress ratio is a ratio of the yearly interest and rent burden of the installation costs to agricultural income. Besides the installation costs, rent prices and the average interest rate determine the differences in the ratio among countries. The combination of high transfer prices with a high interest rate, together with the lowest agricultural income of the six countries, resulted in the hardest situation for Danish successors. A policy to reduce the fiscally appraised value of the farm would most aid successors. Such a policy would reduce transfer prices and reduce or avoid gift taxes and thereby cut installation costs for successors. La pression financeère sur les exploitations familiales dans six pays de la communauté européenne La plgpart des jeunes agriculteurs potentiels se trouvent confrpntés entre l'agriculture et une carrière urbaine. Au moment de prendre cette décision, un critère de choix important est la pression financeère qui est associée à l'agriculture. Nous avons compareé la pression financeère consécutive à un changement de génération dans des exploitations familiales de six pays européens:Danemark, France, Allemagne, Espagne, Pays-Bas et Grande Bretagne. Les régimes successoraux auxquels sont soumis les héritages et l'accroissement de la valeur fiscale de la terre ont un impact important sur les droits de mutation, ainsi que, par conséquent, sur les coûts d'installation. Un transfert pour une valeur infèrieure à la valeur fiscale conduit à payer un impôt sur les donations. Le coefficient de pression financeère mesure le rapport entre le revenu agricole et les charges financeères liées à l'installation, intérêt et annuityés de remboursement confondus. Les variations de ce coefficient d'un pays à l'autre dépendent du prix du fermage et du taux d'intérêt, en plus évidemment des frais d'installation. La conjonction entre d'un côté des frais de mutation et d'intérêt élevés, de l'autre les revenus agricoles les plus bas des six pays place les jeunes successeurs danois dans la situation la moins favorable. Une politique qui consisterait à réduire la valeur fiscale des exploitations serait de nature a favoriser les successions. Elle réduirait les coûts de transfert, et éviterait ou allegèrait les impôts sur les donations, diminuant par là les charges liées aux mutations. Finanzielle Notlage bei der Hofübergabe von Familienbetrieben in sechs europäischen Ländern iele designierte Hofnachfolger sehen ich in der schwierigen Lage, sich der Landwirtschaft und einer außerlandwirtschaftlichen Tätigkeit entscheiden zu müssen. Ein bedeutendes Kriterium bei der Entscheidungsfindung ist die finanzielle Notlage, welche die Landwirtschaft mit sich bringt. Wir verglichen die finanzielle Notlage nach Übernahme des Familienbetriebs von der nachfolgenden Generation in den folgenden sechs europäischen Ländern: Dänemark, Frankreich, Deutschland, Spanien, die Niederlande und Großbritannien. Die Grundsätze der Erbfolge und die steuerliche Bewertung des landwirtschaftlichen Betriebes haben großen Einfluss auf den Übernahmepreis und somit auf die Betriebseinrichtungskosten, Bei einem Übernahmepreis unterhalb der steuerlichen Bewertung fallen Schenkungssteuern an. Die Verhältniszahl der finanziellen Notlage sei definiert als das Verhältnis der jährlichen Zinsen der Betriebseinrichtungskosten und der Pachten zum landwirtschaftlichen Einkommen. Außer den Betriebseinrich tungskosten bestimmen Pachtpreise und durchschnittlicher Zinssatz die Unterschiede in dieser Verhältniszahl zwischen den einzelnen Ländern. Die Kombination aus hohen Übernahmepreisen und einem hohen Zinssatz in Verbindung mit dem geringsten landwirtschaftlichen Einkommen aller sechs Länder führte dazu, dass sich für dänische Hoferben die schwierigste Situation ergab. Eine Politik, welche die steuerliche Bewertung der landwirtschaftlichen Betriebe verringert, käme den meisten Hoferben zu Gute. Eine solche Politik würde die Übernahmepreise senken und die Schenkungssteuern verringern odergar vermeiden und somit die Betriebseinrichtun gskosten für Hoferben verringern.  相似文献   

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Grocery Retailing in Europe and Emerging Routes to the Consumer   总被引:1,自引:0,他引:1  
Grocery Retailing in Europe and Emerging Routes to the Consumer The structure of grocery retailing in Europe has changed substantially over the past twenty years as companies seek growth opportunities outside their mature and largely static markets. A cadre of global retailers is emerging, with European‐owned companies well represented in the front ranks. The evolving wants of European consumers will determine how, when, and in what form food products are purchased in the EU. The traditional supermarket format will not necessarily meet the future (even, present) requirements of many of these consumers. Time‐constrained shoppers will seek alternatives to retail parks inconveniently located on the outskirts of towns, where, in the drive for continually lower food prices, shopper services are reduced. As the relative importance of price of food products declines, and other non‐price quality attributes increase in importance, there will be welcome market opportunities for relatively high cost, although strongly value‐driven, EU primary producers and food processors. The highest value and most loyal markets will be within the EU. There is a double challenge. Firstly for farmers and their marketing organisations to shift their commercial ethos from a production‐driven to a market‐driven orientation. Secondly for EU policy makers to introduce programmes which promote a transformation of the agricultural and food industry to one that can compete internationally in expanding high value markets. Le commerce alimentaire de détail en Europe et les nouveaux modes d'approche du consommateur La structure du commerce de détail alimentaire en Europe a enormément changé ces vingt dernières années, car les entreprises recherchent des opportunités de croissance en dehors de leurs propres marchés, arrivés à maturité et souvent statiques. La distribution de niveau mondial se structure, et les entreprises européennes sont bien représentées aux premiers rangs de ce mouvement. L'évolution des besoins des consommateurs européens déterminera comment, quand et sous quelle forme les produits alimentaires seront achetés dans l'Union Européenne. Le concept traditionnel de supermarché ne répondra pas nécessairement aux exigences futures (et même présentes) de nombre de ces consommateurs. Les acheteurs contraints par le temps chercheront des alternatives aux implantations du commerce de détail situées de façon peu pratique à la périphéric des villes et où, à la recherche de prix alimentaires toujours plus bas, les services offerts à l'acheteur sont réduits. Au fur et à mesure que diminue l'importance relative du prix des produits alimentaires et que d'autres attributs de qualité hors coût prennent de l'importance, il y aura de la place pour des marchés approvisionnés par des producteurs et des industriels de l'alimentation très intéressës par une production de haute valeur ajoutée, même si elle est obtenue à des coûts relativement élevés. Les marchés les plus loyaux et assurant la valeur ajoutée la plus forte se trouveront dans l'Union Européenne. Un double défi est à relever. D'abord les agriculteurs et leurs organisations de vente devront réviser leur approche du commerce pour passer d'une conception où la production joue le rôle moteur à une orientation stimulée par le marché. Deuxièmement, les responsables des politiques européennes devront substituer aux programmes d'aide à la transformation du complexe agroalimentaire une politique qui lui permette d'être concurrentiel sur les marchés mondiaux à haute valeur ajoutée qui sont en expansion. Lebensmitteleinzelhandel in Europa und neue Wege zum Verbraucher Die Struktur des Lebensmitteleinzelhandels hat sich in den vergangenen 20 Jahren in Europa beträchtlich verändert, da sich die Unternehmen nach Wachstumsmöglichkeiten außerhalb ihrer ausgereiften und zum größten Teil statischen Märkte umsehen. Ein Kader internationaler Einzelhändler hat sich herausgebildet, in dem europäische Unternehmen in erster Reihe vertreten sind. Die immer höheren Ansprüche europäischer Verbraucher entscheiden darüber, auf welche Art und Weise, zu welchem Zeitpunkt und in welcher Form Nahrungsmittel in der EU abgesetzt werden. Der Supermarkt in seiner traditionellen Form wird nicht notwendigerweise die zukünftigen (oder gar gegenwärtigen) Bedürfnisse vieler Verbraucher erfüllen. Die Verbraucher werden Alternativen zu den zeitraubenden Einkaufszentren suchen, welche ungünstig am Rande der Stadt liegen und wo mit den permanent sinkenden Lebensmittelpreisen ebenfalls die Serviceleistungen zurückgehen. Da die relative Bedeutung der Lebensmittelpreise abnimmt und weitere, nicht am Preis orientierte Qualitätsmerkmale an Bedeutung gewinnen, bestehen gute Chancen auf dem Markt für die Primärerzeuger und Nahrungsmittelverarbeiter in der EU, welche zu relativ hohen Kosten ‐ jedoch wertorientiert ‐ produzieren. Die hochwertigsten und zuverlässigsten Märkte beflnden sich innerhalb der EU. Dies stellt eine zweifache Herausforderung dar: Erstens sollten Landwirte und ihre Vermarktungsorganisationen von einer produktionsorientierten zu einer marktorientierten Einstellung gelangen. Zweitens sollten die Polltikakteure in der EU Programme einführen, welche die Umwandlung der Agrar‐ und Ernährungsindustrie in einen international wettbewerbsfähigen Wirtschaftszweig in Bezug auf die Ausweitung hochwertiger Märkte fördern.  相似文献   

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Global Responsibility for Agricultural Policy The Federal Government initiated a comprehensive reorientation of agricultural policy, which was targeted at a consistent implementation of the ecological, social and economic principles of sustainable farming. The main positions of the Federal Government were introduced into the negotiations on EU agricultural reform. They were, in part, also reflected in the proposals made by EU Commissioner Fischler. The objectives consisted of the maximum possible decoupling of direct payments from production, reinforcement of rural area support and the tying of payments to specific standards of consumer, animal and environmental protection that are valid throughout the EU. Sometimes the current debate eclipses important requirements for a European agricultural policy that will be viable in the future as well. It must achieve two objectives: pressing ahead with a globally sustainable farming sector and achieving more equity between North and South. The criteria of future agricultural policy should be more market orientation, attaching great importance to consumer, animal and environmental protection and to the regional aspect. The Agriculture Ministers of the EU Member States embarked on the road to greater market orientation, more emphasis on quality and to relating farming support more to social goals. We should stick to these targets, keeping in mind Europe's responsibility for the developing countries and our global interrelationships. Une responsabilité globale pour la politique agricole Le Gouvernement fédéral vient ?entreprendre une réorientation complète de la politique agricole, destinée à mettre en application de façon cohérente les principes écologiques, économiques et sociaux de ?agriculture durable. Les principales orientations du Gouvernement fédéral ont été introduites dans les négotiations sur la réforme de ?agriculture européenne. Elles se reflètent aussi partiellement dans les propositions faites par le Commissaire européen, M. Fischler. Elles consistent à découpler au maximum les paiements directs de la production, à renforcer le soutien au développement des zones rurales, et à lier les paiements au respect des standards spécifiques qui sont valables dans toute ?Union européenne en matière de protection des consommateurs, des animaux et de ?environnement. II arrive parfois que les débats ?actualitééclipsent la nécessité?une politique agricole valable aussi pour ?avenir. Une telle politique doit avoir deux objectifs:disposer à?avenir ?un secteur agricole globalement durable et mettre plus ?équité dans les rapports Nord/Sud. II faut que les caractéristiques de la politique agricole de ?avenir soient une plus grande orientation par le marché, et une plus grande importance attachée à la protection des consommateurs, à celle des animaux, et au développement régional. Les Ministres de ?Agriculture des états membres de ?Union Européenne se sont engagés sur la voie de ?orientation accrue par le marché, de ?accent mis sur la qualityé, et ?un plus grand souci vis à vis des objectifs sociaux dans la répartition des aides. Nous nous en tiendrons à ces objectifs, gardant en tête les responsabilités de ?Europe vis à vis des pays en voie de développement et de ses relations au niveau mondial. Agrarpolitik in globaler Verantwortung Die Bundesregierung hat eine umfassende Neuausrichtung der Agrarpolitik eingeleitet. Diese zielt darauf ab, die ökologischen, sozialen und wirtschaftlichen Prinzipien einer nachhaltigen Landwirtschaft konsequent umzusetzen. Die Bundesregierung hat ihre wichtigsten Positionen in die Verhandlungen zur EU‐Agrarreform eingebracht, zum Teil fanden sie sich auch in den Vorschlägen von EU‐Kommissar Fischler wieder. Ziele waren eine möglichst weitgehende Entkoppelung der Direktzahlungen von der Produktion, der Ausbau der Förderung ländlicher Räume und die Bindung der Zahlungen an bestimmte EU‐weit gültige Standards des Verbraucher‐, Tier‐ und Umweltschutzes. Die aktuelle Diskussion überlagert zuweilen wichtige Anforderungen an eine europäische Agrarpolitik, die auch zukünftig Bestand haben wird. Sie muss zwei Ziele erreichen: eine weltweit nachhaltige Landwirtschaft voranbringen und ihren Beitrag zu mehr Nord‐Süd‐Gerechtigkeit leLsten. Kriterien einer zukünftigen Agrarpolitik sind mehr Marktorientierung und ein hoherer Stellenwert für Verbraucher‐, Tier‐und Umweltschutz sowie für regionale Aspekte. Die Agrarministerinnen und Agrarminister der EU‐Mitgliedstaaten sind den Weg zu mehr Markt, zu mehr Qualität und zu einer Unterstützung der Landwirtschaft für ihre gesellschaftlichen Aufgaben gegangen. Dieser Weg sollte auch angesichts der Verantwortung Europas für die Entwicklungsländer und unserer Verflechtungen in der Welt weiter gegangen werden.  相似文献   

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Can Russia be competitive in Agriculture? Russian agriculture currently is not internationally cost competitive. Since the mid‐1990s Russia has imported large volumes of meat, while the grain trade has fluctuated in most years between small net imports and exports. Russia has, however, exported large quantities of key agricultural inputs, including 80 per cent of fertilizer output, mainly to EU countries. Research indicates that Russia has a comparative advantage in producing grain compared to meat, but also a comparative advantage in producing agricultural inputs compared to agricultural outputs. The expected real appreciation of the Russian rouble vis‐à‐vis Western currencies should further damage Russia's cost competitiveness in meat and grain, but this should be offset by modest productivity growth. An expected rise in consumer income, deriving from relatively high annual GDP growth of about 4–5 per cent, should also stimulate demand for meat imports. In spring 2003, Russia imposed tariff rate quotas on its imports of beef and pork, and a pure quota on imports of poultry. For other agricultural commodities, Russia is pushing in its WTO accession negotiations for allowable agricultural import tariffs that are higher than current levels. Taking these changes together, it is likely that Russia will continue as a big meat importer for about the next ten years–with tariff rate quotas probably determining the level of meat imports–and will become a moderate grain exporter. L'agriculture russe pourrait‐elle être compétitive ? Actuellement, l'agriculture russe n'est pas compétitive. La Russie a importé de gros volumes de viande depuis le milieu des années 90, tandis que la balance des échanges de céréales oscillait entre les faibles excédents et les faibles déficits. Cependant, la Russie est grande exportatrice d'agro‐fournitures dont, en particulier, 80% de sa production d'engrais, principalement vers l'Europe. On montre ici que l'avantage comparatif de la Russie se situe dans les céréales plutôt que dans la viande et, surtout, dans les agro‐fournitures plutôt que dans les denrées agricoles. La remontée, à laquelle il faut s'attendre, du rouble vis à vis des devises occidentales, devrait encore diminuer la compétitivité de la Russie en matière de viandes et de céréales, ce qui devrait être compensé par des gains de productivité même faibles. La hausse attendue des revenus des consommateurs, engenderée par une croissance élevée du revenu national, de l'ordre de 4 à 5% par an, devrait aussi stimuler la demande de viande importée. Au printemps 2003, la Russie s'est dotée d'un système de droits sur ses importations hors quotas de viande de bæuf et de pore, ainsi que d'un quota d'importation pour les produits avicoles. En ce qui conceme les autres produits agricoles, dans le cadre des négociations relatives à son entrée dans l'OMC, la Russie s'efforce d'obtenir l'autorisation d'augmenter les taxes à l'importation par rapport à leur niveau actuel. Au total done, à un horizon de l'ordre de dix ans, il est probable que la Russie reste un gros importateur de viandes ‐ le niveau des taxes sur le hors quotas déterminant les niveaux d'importation ‐, et un modeste exportateur de céréales. Kann Russland auf dem Agrarsektor wettbewerbsfähig sein? Die russische Landwirtschaft ist hinsichtlich der Kosten momentan nicht international wettbewerbsfähig. Seit Mitte der 1990er importiert Russland große Mengen an Fleisch, während der Getreidehandel in den meisten Jahren zwischen geringen Nettoimporten und ‐exporten schwankte. Russland hat jedoch große Mengen an wichtigen landwirtschaftlichen Vorieistungen, unter anderem 80% seiner Düngerproduktion, hauptsächlich in EU‐Länder exportiert. Forschungsergebnisse weisen darauf hin, dass Russland in der Produktion von Getreide verglichen mit Fleisch einen komparativen Vorteil besitzt; dies trifft jedoch ebenfalls auf die Produktion von landwirtschaftlichen Vorieistungen verglichen mit landwirtschaftlichen Endprodukten zu. Es ist anzunehmen, dass die erwartete reale Aufwertung des russischen Rubel gegenüber den westlichen Währungen eine zusätzliche Verschlechterung der russischen Wettbewerbsfähigkeit hinsichtlich der Kosten im Bereich Fleisch und Getreide nach sich zieht; dies sollte sich jedoch durch ein moderates Produktivitätswachstum ausgleichen. Der erwartete Anstieg der Verbrauchereinkommen, der sich aus dem relativ hohen jährlichen Bruttoin‐landsproduktzuwachs von ca. 4–5 Prozent ableitet, sollte sich ebenfalls stimulierend auf die Nachfrage nach Fleischimporten auswirken. Im Frühjahr 2003 führte Russland Zolltarifkontingente für seine Schweine‐ und Rindfleischimporte ein und belegte seine Geflügelfleischimporte mit einem Importkontingent. Im Hinblick auf weitere Agrarerzeugnisse drängt Russland in den WTO‐Beitrittsverhandlungen darauf, höhere Einfuhrzölle als die gegenwärtig geltenden zuzulassen. In Anbetracht all dieser Veränderungen ist es wahrscheinlich, dass Russland auch für die kommenden zehn Jahre große Mengen an Fleisch importieren–wobei möglicherweise Zolltarifkontingente die Menge bestimmen werden–und sich zu einem mäßigen Getreideexporteur entwickeln wird.  相似文献   

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CAP Reform in the Dairy Sector: Remove Export Subsidies and Retain Milk Quota The reforms of the Common Agricultural Policy of June 2003 introduced major policy changes, In the dairy sector the aim is to decrease price distortions between the EU and world dairy markets through successive reductions in milk intervention prices. However, the milk quota system is still in place and successive increases in milk quotas are planned. The question is whether these dairy reforms are going in the right direction given the three main characteristics of the EU dairy sector. First the price inelasticity of both milk supply (due to quota) and domestic demand means that price distortion mainly affects the distribution of economic surplus between consumers and producers but does not generate significant net losses in economic welfare. Second, the ‘large country’ position of the EU on the world market means that the EU should remove all export subsidies, which will reduce EU exports and increase world prices. Third, the projected increase in EU aggregate demand for milk favours a reduction in all subsidies. The CAP is going in the right direction in the dairy sector. But to reduce price distortions all subsidies should be removed as soon as possible and the milk production quota should be retained. La réforme de la PAC laitiére: supprimer les subventions aux exportations et conserver les quotas La réforme de la PAC en juin 2003 est un changement majeur. En ce qui concerne le secteur laitier, l'idée consiste à diminuer les distorsions entre les prix européens et ceux du marché mondial par une série de réductions progressives du prix d'intervention. En même temps, le système des quotas reste en place et des accroissements progressifs sont envisageés pour les droits à produire. La question. est alors de savoir si une telle politique est bien orientée, compte tenu des trois caractéristiques principales du secteur laitier européen. En premier lieu, la faible élasticité-prix aussi bien de l'offre (à cause des quotas) que de la demande, implique que les distorsions, si elies affectent la répartition des bénéfices entre producteurs et consommateurs, ne génèrent pas de très grandes pertes sociales au niveau du bien-être global. Ensuite, l'importance de l'Union européenne sur les marchés mondiaux implique que l'UE doive réduire ses subventions à l'exportation, ce qui diminuera le volume des exportations et en fera remonter le prix, Enfin, l'accroissement prévisible de la demande globale européenne en produits laitiers devrait conduire G une réduction des subventions de toute sorte. La PAC est done sur la bonne voie en matière laitière. Mais pour réduire les distorsions, il faut le plus vite possible supprimer les subventions et conserver les quotas laitiers. Reform der GAP im Milchsektor: Abschaffung der Exportsubventionen und Beibehaltung der Milchquoten Die Reform der Gemeinsamen Agrarpolitik vom Juni 2003 führt zu erheblichen Politikänderungen. Im Milchsektor ist das Ziel, die Preisverzerrungen zwischen der EU und den Weltmärkten für Milchprodukte durch eine sukzessive Reduzierung der Milchinterventionspreise zu verringern. Das Milchquotensystem bleibt jedoch weiter bestehen und sukzessive Erhöhungen der Milchquoten sind geplant. Es ergibt sich die Frage, ob die Reform bei den vorhandenen drei Charakteristika im EU Milchsektor in die richtige Richtung geht. Erstens bedeuten das gegebene preisunelastische Angebot von Milch (wegen der Quotierung) und die Nachfrage im Inland, dass die Preisverzerrung sich vomehmlich auf die Verteilung der ökonomischen Rente zwischen Konsumenten und Produzenten auswirkt, nicht aber zu bedeutenden Wohlfahrtsverlusten führt. Zweitens fuhrt die Abschaffung aller Exporterstattungen für Milch und Milchprodukte dazu, dass die EU Exporte sinken und damit wegen der EU als relative großes Land die Weltmarktpreise für Milch steigen werden. Drittens begünstigt die vorausgesagte Zunahme in der aggregierten Milchnachfrage in der EU eine Reduzierung aller Subventionen. Die GAP entwickelt sich im Milchsektor in die richtige Richtung. Es sollten aber alle Subventionen so schnell wie möglich abgebaut und die Milchquote sollte aufrechterhalten werden, um Preisverzerrungen zu reduzieren.  相似文献   

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Agriculture Under the Public Eye: Who Cares for What? The new CAP is becoming geared towards a more sustainable agriculture that takes account of the needs of future generations. Achieving sustainability, however, means meeting three challenges-, (a) profit - strengthening the viability and competitiveness of the agricultural sector; (b) planet - the ecological challenge of promoting good environmental practices; and (c) people-the social challenge to improve the living conditions and economic opportunities in rural areas. In the food chain we see responses to consumer concerns about food safety, quality and welfare issues through the development and implementation of mandatory and voluntary quality control and assurance schemes. And the consolidation and internationalisation of the food retailing and the manufacturing industry is expected to continue. An important duality has emerged. On the one side, we find a state system of regulation, on the other a system of self-regulation, largely driven by the major forces in supply chain management, the food retailers in particular. A simple and effective regulatory environment for the agri-food complex is essential if we are to achieve our competitiveness goals. One of the priorities for discussion by politicians, therefore, should be whether current and expected policy and industry developments should lead to a review of the balance between markets and government, ‘who cares for what?’ l'agriculture aux yeux des politiques publiques qui doit faire quoi? La nouvelle PAC est maintenant bien orientée vers une agriculture plus durable, en mesure de tenir compte des besoins des générations futures. Une véritable durabilityé suppose cependant que soient relevés trois défis: a) le profit - renforcer la viabilityé et la compétitivité du secteur agricole; b) la planète - le défiécologique de promouvoir des pratiques favorables à l'environnement; c) les gens - le défi social d'améliorer les conditions de vie et les opportunités économiques dans les zones rurales. Du côté des filières alimentaires, la réponse à trouver aux inquiétudes des consommateurs vis à vis de la qualityé sanitaire et organoleptique des produits devrait pouvoir venir de l'élaboration de contrôles de qualityé et de systèmes d'assurances, à appliquer sur la base du volontariat ou à rendre obligatoires. En même temps, il faut s'attendre à la continuation du mouvement vers l'affermissement du rôle des industries alimentaires et du commerce de détail, ainsi qu'à leur internationalisation. Un système dual vient d'émerger: d'un côté, un système de réglementations étatiques, de l'autre, une autodiscipline, pilotée par les plus solides des maillons de la filière, en particulier les grandes surfaces. Un environnement réglementaire à la fois simple et efficace est essentiel pour atteindre l'objectif de compétitivité du complexe agroalimentaire, II en résulte que, pour les pouvoirs publics, une des grandes questions à discuter est de savoir dans quelle mesure l' évolution des conditions politiques et celle du développement industriel imposent une révision de l'équilibre actuel entre les marchés et les autorités gouvernementales; en d'autres termes, qui doit faire quoi ? Landwirtschaft in der öffentlichen Meinung; Wer ist wofür zuständig? Die neue GAP wird gerade auf eine nachhaltigere Landwirtschaft hin ausgerichtet, welche die Bedürfnisse der kommenden Generationen berücksichtigt. Nachhaltigkeit kann jedoch nur erzielt werden, wenn den folgenden drei Herausforderungen Rechnung getragen wird: (a) Ökonomie – Stärkung der Leistungs- und Wettbewerbsfähigkeit des Landwirtschaftssektors; (b) Ökologie – Förderung umweltgerechter Verfahrensweisen; und (c) Soziales - Verbesserung der Lebensbedingungen und der wirtschaftlichen Lage im ländlichen Raum. Im Bereich der Nahrungsmittelkette wird den Bedenken der Verbraucher hinsichtlich der Nahrun gsmittelsicherheit, der Qualität und der Wohlfahrt durch die Entwicklung und Implementierung von obligatorischen und freiwilligen Qualitätskontrollen und Sicherheitsprogrammen Rechnung getragen. Es ist davon auszugehen, dass sich die Konsolidierung und Lnternationalisierung im Bereich des Lebensmitteleinzel-handels und der weiterverarbeitenden Industrie fortsetzen wird. Es ist eine bedeutsame Dualität entstanden. Auf der einen Seite erfolgt eine Regulierung seitens des Staates, auf der anderen Seite erfolgt eine Selbstregulierung durch die Vermarktungskette, insbesondere durch den Lebensmitteleinzelhandel. Eine sowohl einfache als auch wirksame Regulierung der Agrar- und Ernährungswirtschaft ist von grundlegender Bedeutung für das Erreichen unserer Wettbewerbsziele. Daher sollte in der Politik mit Priorität diskutiert werden, ob die gegenwärtige und zukünftige Politik und auch die industrielle Entwicklung zu einem neuen Gleichgewicht zwischen Markt und Staatseingriffen führen sollte: Wer ist wofür zuständig?  相似文献   

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Hungarian AgricuIture at the Dawn of EU Accession Hungary and Hungarian agriculture nurse high hopes for EU-accession. Agriculture and rural development were of pivotal importance during the accession negotiations, in the accession referendum and the preparations for accession. The success in integrating our agriculture into the CAP and the single market will substantially influence public opinion in the post-accession years. We expect our membership to stabilise market conditions and to improve development possibilities in rural areas where there is great demand for better employment and living conditions. These benefits will emerge from our integration into the single market, our involvement in decision-making and from the backing of EU resources. But the challenges of EU membership also evoke fears amongst Hungarian farmers. The transformation of agriculture is incomplete, agricultural incomes and investments are stagnant, rural infrastructure is somewhat weak and marketing systems are rather inefficient. Hungarian farmers have difficulty accepting the relatively low levels of direct aids whereas they face full health and food safety restrictions from day one of accession. The CAP Reform of June 2003 confuses and slows down our preparatory work. Hungarian agriculture, however, is determined to respond to the challenges of accession. Our common Europe will prove stronger with Hungarian agriculture, and Hungarian agriculture has to become stronger through our EU membership. L'agriculture hongroise au temps zéro de I'accession OLa Hongrie et l'agriculture hongroise mettent de grands espoirs dans L'accession à l'Union Européenne. L'agriculture et le développement rural ont été au centre des négotiations sur l'accession, du référendum associé et des mesures préparatoires correspondantes. l'opinion publique sera grandement influenceée, dans les années qui suivront l'accession, par le succés de l'intégration de notre agriculture dans la politique agricole commune et le marché unique. De notre appartenance à l'UE, nous attendons la stabilisation des marchés et l'amélioration des perspectives de développement dans les zones rurales oú le besoin de meilleures conditions de vie et d'emploi se fait sentir avec acuité. Ces avantages devraient provenir de notre intégration dans le marché unique, de notre participation aux décisions collectives et d'un soutien à la mesure des ressources de l'Union Européenne. Cependant, les défis de l'intégration européenne ne vont pas aussi sans susciter des craintes chez les agriculteurs hongrois. La transformation de l'agriculture est incompléte, les revenus et les investissements stagnent, les infrastructures rurales sont insuffisantes et l'organisation des marchés inefficace. Les agriculteurs hongrois acceptent difficilement de ne bénéficier que d'aides directes relativement faibles, alors que, dés le premier jour de l'accession, ils seront soumis à tous les réglements communautaires en matiére de santé et de sécurité alimentaires. La réforme de la PAC en juin 2003 complique encore et ralentit les travaux préparatoires à l'accession. Néanmoins, l'agriculture hongroise est résolue à relever le défi. L'Europe commune sera plus forte avec l'agriculture hongroise et cette derniére sera renforcée par son appartenance à l' Europe Ungarische Landwirtschaft kurz vor dem EU-Beitritt Ungarn und die ungarische Landwirtschaft setzen große Hoffnungen in den EU-Beitritt. Die Landwirtschaft und die Entwicklung des ländlichen Raums waren in den Beitrittsverhandlungen, beim Volksentscheid zum Beitritt und bei den Vorbereitungen des Beitritts von entscheidender Bedeutung. Das Gelingen bei der Integration unserer Landwirtschaft in die GAP und den Binnenmarkt wird die öffendiche Meinung in den Jahren nach dem Beitritt entscheidend beeinflussen. Wir erhoffen uns von unserer Mitgliedschaft stabilere Marktbedingungen und bessere Entwicklungsmöglichkeiten im ländlichen Raum, wo Verbesserungen im Hinblick auf Beschäftigungssituation und Lebensbedingungen dringend erforderlich sind. Dies wird durch unsere Integration in den Binnenmarkt, unseren Beitrag zur Entscheidungsfindung und mit Hilfe von EU-Ressourcen erfolgen. Die Herausforderungen der EU-Mitgliedschaft rufen jedoch bei den ungarischen Landwirten auch Ängste hervor. Die Transformation der Landwirtschaft ist noch nicht abgeschlossen, die ländwirtschaftlichen Einkommen und die Investitionen stagnieren, die landliche Infrastruktur ist recht schwach entwickelt und die Vermarktung ist relativ ineffizient. Die ungarischen Landwirte können nur schwer akzeptieren, dass ab dem ersten Tag ihres Beitritts zwar alle Gesundheits- und Nahrungs-mittelsicherheitsbestimmunge n eingehalten werden müssen, aber nur geringe direkte Beihilfen gewährt werden. Die Reform der GAP vom Juni 2003 irritiert und verzögert unsere Vorbereitungen. Die ungarische Landwirtschaft ist jedoch entschlossen, sich den Herausforderungen des Beitritts zu stellen. Unser gemeinsames Europa wird mit der ungarischen Landwirtschaft noch stärker, und die ungarische Landwirtschaft muss durch unsere EU-Mitgliedschaft gestärkt werden.  相似文献   

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Agriculture and the WTO: time to reconsider the basics? Late 19th century industrial developments generated oversupply in agricultural markets. Free market adjustment proved difficult and many European countries introduced protection. When agricultural prices fell again in the 1930s, all other western countries followed, making international regulation of agricultural trade an urgent matter. Under the New Deal, the USDA moved to a commodity agreements approach via the GATT. Both the US and the EU, however, failed to introduce the required production controls and engaged in increased dumping. When expanded output in the EU led to competitive dumping in grain markets, the US changed its strategy and got an agreement in the Uruguay Round that prescribed reductions in price supports but exempted certain direct payments. Thereupon both blocks substituted direct payments for price supports in ways that allowed them to maintain large exports at prices below their own production costs. In the Doha Round, they are negotiating a further shift in this direction. Developing countries call this disguised dumping. Besides, many least developed countries claim the right to protect their own farmers against cheap imports. They need an agricultural revolution to accommodate population growth and get non‐farm development moving, but low world market prices hamper investment in farming. Redressing this problem and securing long‐term global food security require a balanced system of managed trade rather than the pseudo‐liberalisation that the US and the EU pursue. Agriculture et OMC: et si on revenait aux sources ? A la fin du 19ème siècle, le développement industriel a engendré des surproductions sur les marchés agricoles. Les régulations par le marché se sont révélées difficiles et de nombreux pays européens en sont venus au protectionnisme. Dans les années 30, les prix agricoles se sont à nouveau effondrés, ce qui a conduit à considérer la régulation internationale du commerce comme une affaire importante. Le ‘New Deal’ conduisit I'USDA à s'engager dans un système ?accorcl par produits dans le cadre du GATT. Cependant, ni les Etats‐Unis ni ?Europe ne parvinrent à introduire les contrôles de la production qui auraient été nécessaires. Tous deux s'engagèrent dans des actions de dumping sans cesse plus importantes. Lorsque ?accroissement de la production en Europe conduisit à une concurrence sur les dumpings cérealiers, les Etats‐Unis changérent de stratégic et obtinrent, dans le cadre de ?Uruguay Round, un accord obligeant à réduire les soutiens de prix, tout en autorisant certains paiements directs. De ce fait, les deux blocs remplacèrent les soutiens de prix par des paiements directs, de manière à conserver la possibilityé?exporter de grandes quantités à des prix inférieurs aux coûts de production internes. Dans les négotiations du Doha Round, ils se sont engagés encore plus loin dans cette direction. Les pays en voie de développement appellent cela du dumping déguisé. Beaucoup des moins développés ?entre eux réclament le droit de protéger leurs propres agriculteurs contre les importations à prix de braderie. Ils ont besoin ?une révolution agricole pour faire face à la croissance démographique et déclencher le développement en dehors de ?agriculture, mais les faibles prix internationaux des produits agricoles les empêchent ?investir dans ?agriculture. Pour résoudre ce probléme et garantir à long terme la sécurité alimentaire mondiale, il faudrait trouver un système équilibré de commerce contrôlé, au lieu de la pseudo libéralisation recherchée par les Etats‐Unis et ?Europe. Landwirtschaft und WTO: Ist es an der Zeit, die Grundprinzipien zu überdenken? Die Industrialisierung im späten 19. Jahrhundert hat zu einer Überschussproduktion in der Landwirtschaft geführt. Die Anpassung an die Marktkräfte erwies sich als schwierig, und viele europäische Länder führten eine Agrarprotektion ein. Als die Agrarpreise in den dreiβiger Jahren des vorigen Jahrhunderts wieder fielen, gingen alle westlichen Länder zur Agrarprotektion über und machten damit eine internationale Regelungen des Agrarhandels zu einer dringenden Angelegenheit. Das US Landwirtschaftsministerium führte unter der neuen Regelung des GATT Warenabkommen ein. Sowohl die USA als auch die EU versäumten es jedoch, Angebotsbeschränkungen einzuführen; stattdessen subventionierten sie die Ausfuhren. Als die gestiegenen Exporte der EU zu einem Subventionswettbewerb im Getreidehandel führten, anderten die USA ihre Strategic‐ Sie erreichten in der Uruguay‐Runde, dass Preisstützungsmaβnahmen reduziert werden mussten, dass aber einige Formen von Direktzahlungen weiterhin erlaubt wurden. Als Folge der Vereinbarung haben beide Parteien Preisstützung durch Direktzahlungen ersetzt und es dadurch ermöglicht, dass groβe Mengen zu Preisen exportiert werden konnten, die unter den Produktionskosten liegen. In der Doha‐Runde verhandeln die Parteien in der gleichen Richtung. Entwicklungsländer nennen dieses verstecktes Dumping. Auβerdem verlangen viele am wenigsten entwickelte Länder, ihre Landwirtschaft gegen Billigimporte auch stützen zu dürfen. Diese Länder benötigen eine landwirtschaftliche Revolution, um das Bevölkerungswachstum zu verkraften und die nicht landwirtschaftliche Entwicklung zu fördern. Niedrige Weltmarktpreise dämpfen landwirtschaftliche Investitionen. Eine Berücksichtigung dieses Problems und die Sicherung der globalen Nahrungsmittelversorgung erfordern ein ausgewogenes System von administriertem Handel und nicht den Pseudo‐Liberalismus den die USA und die EU verfolgen.  相似文献   

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After Cancún: what next for agricultural subsidies? The collapse of the Ministerial in Cancún highlighted the enhanced role of the developing countries in the WTO and the reduced ability of the US and the EU to manage the trade system. One aspect of these changes has been that developing countries have taken much more interest in the level of domestic support in developed countries. Developed countries believe that the shift of support from production‐linked to decoupled instruments has had a positive impact on trade. Developing countries maintain that this reform has not helped them, and has perpetuated inequities in the trade system. Research suggests that the output effect of decoupled support is limited, if not negligible. Such decoupling may be necessary to reform domestic polices. Additionally, domestic policies are being challenged by developing countries using the trade litigation of the WTO. But such challenges risk undermining support for the WTO. Until agreement is reached on these issues there will be little progress in further agricultural trade reform. A political solution must be found that continues the slow process of improvement of domestic farm policies and at the same time offers hope to developing countries that they will benefit from the improvement in the trade conditions for agricultural products. Après Cancún: quel avenir pour les subventions? L'échec de la conférence ministérielle de Cancun met en évidence !e rôle accru des pays en voie de développement à l'OMC, ainsi que la faible aptitude des Etats‐Unis et de l'Europe à gérer le système des échanges internationaux. Ces changements impliquent que les pays en voie de développement s'intéressent de plus en plus aux niveaux de protection internes des pays développés. Les pays développés croient que le glissement des aides vers plus de découplage aura eu un effet positif sur les échanges. Mais les pays en voie de développement continuent à penser que ces réformes ne les ont pas aidés, et qu'elles ont perpétué les inégalités du commerce mondial. Le travail présenté ici semble montrer que l'effet du découplage sur l'offre est très faible, voire nul. Peut‐être le decouplage est‐il utile pour la réforme des politiques internes. Mais, au delà, ces politiques internes sont mises en cause par les pays en voie de développement, qui utilisent à leur encontre les ressources de procédure mises à leur disposition par l'OMC. De telles mises en cause sont de nature à détruire le soutien de l'opinion à l'OMC. II ne faut pas s'attendre à beaucoup de progrès dans les réformes du commerce international agricole tant qu'on n'aura pas trouve un accord sur ces questions. II est done necessaire d'élaborer des solutions qui confortent le lent progrès des politiques internes des pays developpes, tout en offrant aux pays en voie de développement 1′ espoir de bénéficier de l'amélioration des conditions des échanges agricoles. Nach Cancún: Was geschieht als nächstes mit Agrarsubventionen? Das Scheitern des Ministerialtreffensin Cancún hob die verbesserte Position der Entwicklungsländer in der WTO und die verminderte Fähigkeit der USA und der EU hervor, das Handelssystem zu lenken. Finer der Aspekte dieser Veränderungen bestand darin, dass die Entwicklungsländer ein sehr viel größeres Interesse am Ausmaß der Inlandsstützung in Industrieländern gezeigt haben. Die Industrieländer glauben, dass sich der Schritt von einer produktionsgebundenen Inlandsstützung hin zu einer entkoppelten Inlandsstützung positiv auf den Handel ausgewirkt hat. Die Entwicklungsländer behaupten jedoch, dass ihnen diese Reform nicht geholfen habe und dass so Ungerechtigkeiten im Handelssystem aufrecht erhalten würden. Forschungsergebnisse legen es nahe, dass sich die entkoppelte Inlandsstützung sehr begrenzt, möglicherweise nur geringfügig, auf die Produktion auswirkt. Eine solche Entkopplung ist möglicherweise notwendig, urn inländische Politikmaßnahmen zu reformieren. Zusátzlich werden die inländischen Politikmaßnahmen von den Entwicklungsländern zur Zeit im Rahmen der WTO‐Verfahren zur Beilegung von Handelsstreitigkeiten angefochten. Solche Anfechtungen bergen jedoch immer das Risiko einer abgeschwächten Unterstützung für die WTO. Bis in diesen Punkten Einigkeit herrscht, wird es nur geringe Fortschritte für die Agrarhandelsreformen geben. Es muss eine politische Lösung gefunden werden, welche den langsamen Verbesserungsprozess bei den inländischen Agrarpolitikmaßnahmen voran treibt und welche die Entwicklungsländer zugleich hoffen lässt, von der Verbesserung der Handelsbedingungen für landwirtschaftliche Erzeugnisse profitieren zu können.  相似文献   

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Does organic farming have a future in Europe ? Organic farming in Europe has increased rapidly since the early 1990s but still only accounts for a small share of production. This article analyses the structure and financial performance of organic farming in Europe using data from 18 countries. In the countries analysed, organic farms achieved significant price premia for their outputs and were able to compete financially with conventional farms, with equal or higher profits in most cases, even though yields were up to 40 per cent lower. There was, however, a wide variation in performance within the samples and between countries and farm types. Consumer willingness to pay higher prices for organic products along with European Union and government support payments for organic farming and the design of the Common Agricultural Policy contributed to the success of the farms. Except for extensive livestock farms, labour requirements on organic farms were generally higher than in conventional agriculture but remuneration of family labour was generally equal to or higher than in conventional farms. Any moves towards more decoupled payments to farmers under the EU's Agenda 2000 should increase the relative competitiveness of organic farming systems. A key factor in the future development of organic farming will be growth in the number of consumers willing to pay a price premium for organic products. Quel est l'avenir de l'agriculture biologiqueen Europe ? L'agriculture biologique évolue rapidement depuis le debut des années 90, mais ne représente encore qu'une petite part de la production. Cet article analyse la structure et les performances financières de l'agriculture biologique en Europe à partir des données de 18 pays. Dans les pays étudiés, les exploitations biologiques ont vendu leurs produits avec une plus‐value significative et ont pu concurrencer financièrement les exploitations conventionnelles, grâce à des profits égaux ou plus élevés dans la plupart des cas, bien que les rendements aient été jusqu'à 40 pour cent plus faibles. Toutefois les résultats varient largement au sein même des pays étudiés et entre les pays et les types d'exploitations. Le fait que les consommateurs acceptent de payer plus cher pour les produits biologiques, ainsi que les aides nationales et européennes à l'agriculture biologique et la création de la Politique Agricole Commune, ont contribué au succès des exploitations. A l'exception des exploitations d'élevage extensives, les exigences en main‐d'oeuvre sur les exploitations biologiques sont genéralement plus importantes que dans l'agriculture conventionnelle, mais la rémunération de la main‐d'oeuvre familiale est généralement égale ou plus élevée que dans celles‐ci. Toutes les actions en faveur de paiements découplés pour les exploitants prévues par l'Agenda 2000 de l'Union Européenne devraient accroître la compétitivité relative des systèmes d'agriculture biologique. Un facteur clé du développement futur de l'agriculture biologique sera la croissance du nombre de consommateurs prêts à payer un prix plus élevé pour les produits biologiques. Hat Ökolandbau in Europa eine Zukunft ? Der Okolandbau in Europa hat seit Anfang der Neunziger Jahre einen schnellen Zuwachs erfahren, macht aber nach wie vor nur einen geringen Anteil der Produktion aus. In diesem Artikel werden Struktur und Gewinnsituation des Ökolandbaus in Europa anhand von Daten aus 18 Ländern analysiert. In den untersuchten Ländern erzielten Ökobetriebe hohe Preisaufschläge für ihre Produkte und konnten aus finanzieller Sicht mit konventionellen Betrieben mithalten, wobei in den meisten Fällen gleich hohe oder höhere Gewinne erzielt wurden, obwohl die Enräge um bis zu 40 Prozent geringer waren. Innerhalb der Stichproben und zwischen den einzelnen Ländern und Betriebstypen traten jedoch hohe Leistungsschwankungen auf. Die Bereitschaft der Kunden, für Ökoprodukte tiefer in die Tasche zu greifen, die Subventionen für den Ökolandbau seitens der Europäischen Union und der einzelnen Staaten und die Gestaltung der Gemeinsamen Agrarpolitik trugen zum Erfolg der Betriebe bei. Wenn vom Sektor der extensiven Viehhaltung einmal abgesehen wird, war der Bedarf an Arbeitskräften in Ökobetrieben grundsätzlich höher als in der konventionellen Landwirtschaft, wobei die Entlohnung der Familienarbeit in der Regel genauso hoch oder höher war als in konventionellen Betrieben. Eine Zunahme von entkoppelten Zahlungen der EU an Landwirte im Rahmen der Agenda 2000 sollte die relative Wettbewerbsfähigkeit von Ökobetrieben erhöhen. Entscheidend für die weitere Entwicklung des Ökolandbaus ist die Zunahme in der Anzahl der Kunden, die bereit sind, einen Preisaufschlag für Ökoprodukte zu bezahlen.  相似文献   

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FADN: Buttress for Farm Policy or a Resource for Economic Analysis? We argue that the Farm Accountancy Data Network (FADN) is capable of much more than it currently achieves and that it has been greatly under‐utilised for policy analysis by economic researchers. We illustrate graphically some of the wider possibilities offered by FADN beyond its traditional role as a buttress for farm policy Farm incomes differ enormously between farms and differences within a member state are often more important than differences between member states. The dataset allows us to make differences explicit. It is possible to analyse the composition of farm incomes, for example the significance of subsidies amongst different farm types and farming systems. Some national FADN datasets also permit classification of farm households according to the relative importance of farm and non‐farm incomes and allow us to examine the impact of income composition on, for example, investment behaviour, FADN data can be used for ex‐ante as well as ex‐post policy evaluations and we illustrate with an example of the impact of different models for implementing the Single Farm Payment in Germany. We believe that certain enhancements to the dataset are possible to improve further its potential for research support, for example by including more non‐agricultural income sources in the European FADN. Le RICA:instrument d'appui à la politique agricole, ou ressource pour l'analyse économique? Le réseau d'informations comptables agricoles (RICA) dispose d'un potentiel très supérieur à son usage actuel et il est fortement sous‐utilisé par les chercheurs qui s'intéressent à l'analyse économique des politiques agricoles. On illustre ici, à l' aide de quelques graphiques, quelques‐unes des possibilityés d'élargissement de l'usage du RICAau‐delà de son rôle habituel d'appui à la politique agricole. Les revenus agricoles different fortement d'une exploitation à l'autre et les disparités intra‐Etats membres sont souvent plus importantes que les disparités inter‐Etat Le RICA permet de visualiser ces différences. Il est possible d'analyser la formation du revenu agricole, par exemple le rôle des subventions d'un système de production ou d'un type d'exploitation à l'autre. Pour certains pays, il est possible de trier les ménages agricoles en fonction de l'importance de leurs revenus non agricoles, ce qui permet par exemple l'étude des relations entre revenus extérieurs et investissements. Les données du RICA peuvent être utilisées ex ante pour prévoir les conséquences d'une mesure politique ou ex post pour en évaluer les effets. Ce point est illustré par un exemple qui consiste àétudier l'impact des effets du ‘paiement unique’ sur différentes exploitations types en Allemagne. Il devrait être possible d'ajouter des améliorations supplémentaires au stock de données existantes pour le rendre encore plus utile à la recherche, en particulier en incluant systématiquement les relevés de revenus non agricoles dans le RICA européen. INLB: Stützpfeiler der Landwirtschaftspolitik oder Ressource für wirtschaftliche Analysen? Wir vertreten den Standpunkt, dass das Informationsnetz landwirtschaftlicher Buchführungen (INLB) weit mehr als zur Zeit zu leisten vermag und dass Wirtschaftsforseher es für Politikanalysen nur unzureichend genutzt haben. Wir erläutern mit Hilfe von Grafiken einige der weiteren Möglichkeiten von INLB, die über die traditionelle Rolle als Stützpfeiler der Landwirtschaftspolitik hinaus gehen. Die landwirtschaftlichen Einkomrnen variieren sehr von Betrieb zu Betrieb, und Unterschiede innerhalb eines Mitgliedstaates sind oftmals von größerer Bedeutung als Unterschiede zwischen den Mitgliedstaaten. Der Datensatz ermöglicht es uns, diese Unterschiede zu verdeutlichen. Es ist möglich, die Zusammensetzung der landwirtschaftlichen Einkomrnen zu analysieren, beispielsweise die Bedeutsamkeit von Subventionen zwischen verschiedenen Betriebstypen und ‐systemen. Einige nationale INLB‐Datensätze ermöglichen es uns zudem, landwirtschaftliche Haushalte gemäß der relativen Bedeutung von landwirtschaftlichen und außerlandwirtschaftlichen Einkomrnen zu klassifizieren, und die Auswirkungen der Zusammensetzung der Einkomrnen beispielsweise auf das Investitionsverhalten zu untersuchen. Die INLB‐Datensätze können sowohl ex‐ante als auch ex‐post für Politikbewertungen herangezogen werden, und dies erläutern wir anhand des Beispiels, welches die Auswirkungen verschiedener Alternativen bei der Umsetzung der einheitlichen Betriebsprämie in Deutschland darstellt. Wir sind der Auffassung, dass bestimmte Verbesserungen am Datensatz möglich sind, um das Potenzial des INLB zur Unterstützung von Forschungsarbeiten weiterzu verbessern, beispielsweise durch die Aufnahme weiterer außerlandwirtschaftlicher Einkommensquellen in das europäische INLB.  相似文献   

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