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1.
There is evidence that the politics of economic development in the post‐industrial city is increasingly bound up with the ability of urban elites to manage ecological impacts and environmental demands emanating from within and outside the urban area. More than simply a question of promoting quality of life in cities in response to interurban competition and pressures from local residents, the greening of the urban growth machine reflects changes in state rules and incentives structuring urban governance as part of an evolving geopolitics of nature and the environment. The adoption of principles and practices of ecological modernization potentially represents a dramatic shift in the social regulation of urban governance away from unconstrained neoliberalized modes. In this article we explore how different demands on and for urban environmental policy have played out vis‐à‐vis changing modes and practices of governance in two English post‐industrial cities. We explore differences in the ways that entrepreneurial urban regimes have sought to incorporate the green agenda (Leeds), or insulate themselves from ecological dissent (Manchester). We further attempt to conceptualize evolving urban economy‐environment relations in the UK in terms of an ensemble of governance practices, strategies, alliances and discourses that enables the local state to manage, though not necessarily resolve, seemingly conflicting economic, social and environmental demands at different scales of territoriality. Here we propose the notion of an ‘urban sustainability fix’ to describe the selective incorporation of ecological objectives in local territorial structures during an era of ecological modernization. Dans les villes post‐industrielles, la politique de développement économique semble liée de plus en plus étroitement à l'aptitude des élites urbaines à gérer les impacts écologiques et les exigences environnementales venus de l'intérieur et de l'extérieur. Au‐delà de la simple défense d'une qualité de vie en ville, répondant à la concurrence interurbaine et aux pressions des habitants, l'intégration de la cause Verte dans la machine de croissance urbaine reflète les nouvelles règles et mesures d'encouragement étatiques qui structurent la gouvernance des villes dans le cadre d'une géopolitique évolutive de la nature et de l'environnement. L'adoption de principes et pratiques de modernisation écologique pourrait traduire un revirement dans la régulation sociale de la gouvernance urbaine, en remplaçant la totale latitude des réponses néolibérales. L'article explore comment les demandes variées de et en politique urbaine d'environnement se sont exercées dans le contexte changeant des modalités et pratiques de gouvernance de deux villes post‐industrielles anglaises. Il s'intéresse aux différences de démarches qu'ont adoptées des régimes urbains ayant l'esprit d'entreprise pour incorporer le programme vert (Leeds) ou s'affranchir de la dissidence écologique (Manchester). De plus, il s'efforce de conceptualiser les relations évolutives économie‐environnement dans le cadre urbain britannique en tant qu'ensemble de pratiques de gouvernance, stratégies, alliances et discours permettant à l'État local de gérer (sans toujours les satisfaire) des exigences économiques, sociales et environnementales apparemment contradictoires, et ce aux différents échelons de territorialité. La notion de ‘solution de durabilité urbaine’ est proposée pour décrire l'intégration sélective d'objectifs écologiques dans les structures territoriales locales pendant une phase de modernisation écologique.  相似文献   

2.
This article uses a structural approach to the investigation of the continuity and discontinuity between ‘old’ urban and ‘new’ environmental protest, opening further space for analysis of the relationship between different mobilizations in Northern Ireland. In particular, I suggest that the ‘novelty’ and strength of social movements' challenges can be assessed in terms of their capacity to promote participation and cooperation between the opposite poles of established cleavages, especially when one engages in the analysis of socio‐politically polarized contexts. In this article I focus on two mobilizations. On the one hand, I show that the first Westlink protest of the 1970s was not the product of an integrated social movement but, rather, of a heterogeneous and instrumental coalition of urban and political actors which gained no support from formal environmental organizations and soon split along the national‐religious divide. On the other hand, I show that the current Westlink campaign is the product of a cohesive network, which cuts across the many socio‐political cleavages of Northern Ireland, linking together local, urban and community groups, conservation and environmental organizations, associations, universities, political actors and parties, of opposing national‐religious identity. I then take these two patterns of mobilization as a dependent variable and explain them by drawing on theories of resource mobilization, new social movements, framing and political opportunity structure. Cet article applique une démarche structurelle à l'examen de la continuité et discontinuité entre ‘ancienne’ contestation urbaine et ‘nouvelle’ contestation environnementale, dégageant ainsi un espace qui permet d'analyser le lien entre diverses mobilisations en Irlande du Nord. Il suggère notamment que la ‘nouveauté’ et l'intensité des défis lancés par les mouvements sociaux peuvent s'évaluer en termes de capacitéà favoriser participation et coopération entre les pôles opposés de clivages établis, en particulier si l'on s'intéresse aux contextes socio‐politiques polarisés. Deux mobilisations sont approfondies. D'une part, la première manifestation du Westlink dans les années 1970 ne résultait pas d'un mouvement social intégré, mais plutôt d'une coalition hétérogène et pragmatique d'acteurs politiques et urbains, laquelle n'a jamais reçu le soutien d'organismes officiels de protection de l'environnement et s'est rapidement divisée en suivant la fracture nationale religieuse. D'autre part, la campagne actuelle du Westlink est le produit d'un réseau cohérent, qui transcende les nombreux clivages socio‐politiques d'Irlande du Nord, reliant groupes locaux, urbains et communautés, organismes de protection et de défense de l'environnement, associations, universités, acteurs et partis politiques, tous d'identités nationales et religieuses différentes. Ces deux schémas de mobilisation sont ensuite repris en tant que variables dépendantes, et explicitées à partir des théories sur la mobilisation des ressources, les nouveaux mouvements sociaux, les cadres et la structure politique des opportunités.  相似文献   

3.
Informal, or illegal, occupation of land is growing in importance in the cities of the developing world, especially sub‐Saharan Africa. The widespread nature of ‘illegality’ in some situations has led to queries of whether this should be termed ‘illegal’, and this is particularly so where there are potentially different entities bestowing legality. It has been increasingly recognized that informal land development is a solution for access to land by the urban poor, where formal supply is inadequate and inflexible, but that there need to be more efficient relationships between the formal and informal sectors. It is thus argued that new forms of association and new forms of partnership across the formal boundary are required. This article looks at the situation of land access for housing in Maputo, the capital of Mozambique, with a focus on the poor majority, and suggests alternative mechanisms for urban land rights to the simplistic application of full freehold tenure in formal land markets. These alternative mechanisms are based on structures within civil society, as it is argued that where the state and market are weak, as in Mozambique, these are more appropriate and less alienating for the urban poor majority. L'occupation irrégulière, voire illégale, des terrains s'accroît dans les villes des pays en développement, notamment en Afrique sub‐saharienne. Le caractère répandu de ‘l'illégalité’ dans certaines situations a conduit à s'interroger sur la pertinence du terme ‘illégal’, en particulier quand différentes entités sont susceptibles d'accorder la légalité. De plus en plus souvent, il est reconnu que l'aménagement non‐officiel du sol est une solution permettant aux citadins pauvres d'accéder à la terre (lorsque l'offre officielle n'est ni suffisante ni souple), mais que les relations entre les secteurs officiels et non‐officiels doiventÀtre plus performantes. L'article affirme qu'il faut créer de nouvelles formes d'association et de partenariat dépassant le cadre officiel. Il observe la situation de l'accès foncier pour le logement à Maputo, capitale du Mozambique, en considérant la majorité pauvre, et suggère d'autres mécanismes pour les droits fonciers urbains jusqu'à la demande toute simple de la pleine propriété sur des marchés fonciers officiels. Ces mécanismes de substitution sont basés sur des structures appartenant à la société civile, car lorsque l'État et le marché sont faibles, comme au Mozambique, ces mécanismes sont plus appropriés et moins aliénants pour la majorité urbaine pauvre.  相似文献   

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This article looks into the evolution of property rights in two farm estates in the city of ?stanbul between 1874 and 2000. In the 1970s, these farm estates developed into urban districts which were designated ‘illegal’ because their development did not conform to urban planning and/or property legislation. The research examines changes in the laws defining property rights over time, the transfers of property in the two farm estates, and the conflicts among the various actors over property rights or ownership. The findings demonstrate how property is established as the outcome of struggles and conflicts among actors, notably between those excluded from and those included in property ownership and between private and public interests in the definition of property rights. These conflicts are intensified by the high revenues obtained from urban land transactions. The findings also show that confrontations take place within the context of the property and urban planning laws while these laws are themselves negotiated during this process, eventually leading to changes in the laws when wide acceptance of local formulations force the state to seek a compromise. The study is also demonstrative of the variety of attitudes different state bodies adopt towards property relations in these districts. Cet article examine l’évolution des droits de propriété dans deux domaines agricoles de la ville d’?stanbul entre 1874 et 2000. Dans les années 1970, ces terrains ont été aménagés en quartiers urbains qualifiés d’‘illégaux’, leur aménagement ne respectant pas le plan d’urbanisme et/ou la législation sur la propriété. L’article s’intéresse aux changements apportés à la législation définissant les droits de propriété, aux transferts de biens dans les deux domaines agricoles et aux conflits entre les différents acteurs quant aux droits afférents aux biens immobiliers ou à la propriété. Ces recherches montrent comment la propriété s’établit au terme de luttes et conflits entre les acteurs (notamment ceux qui sont exclus et inclus dans la propriété), ainsi qu’entre les intérêts privés et publics dans la définition des droits. Ces litiges sont alimentés par les revenus importants tirés des transactions sur les terrains urbains. Selon les résultats, les affrontements ont lieu dans le cadre des législations sur la propriété et l’urbanisme alors que ces lois sont elles–mêmes en cours de négociation; cette situation aboutit à des amendements lorsqu’une large acceptation des formulations locales oblige l’État à chercher un compromis. Ceci démontre aussi la diversité des attitudes qu’adoptent les différents organes de l’État à l’égard des relations liées aux biens immobiliers dans ces quartiers.  相似文献   

5.
Hiring‐halls, specializing in the placement of day‐laborers in temporary jobs, have in recent years been proliferating along major transport arteries in Chicago's low‐income neighborhoods. This article examines the phenomenon of low‐wage temporary work in Chicago from the perspective of the principal institutional actors in these highly ‘flexibilized’ or ‘contingent’ labor markets – the ‘temp’ agencies. Particular emphasis is placed on the labor‐market effects of temp‐agency strategies, both in respect to patterns of labor segmentation and in terms of the spatial (re)constitution of urban job markets. It is suggested that temp agencies are actively engaged in both the exploitation and facilitation of contingent labor‐market conditions. In this sense, they are assuming important new roles as privatized ‘labor‐market intermediaries’, with apparently deleterious effects for job security and social segregation in the lower reaches of urban labor markets. Their strategies can also be related to the social and geographic restructuring of these job markets, because the growth and polarization of temp employment has been associated with a ‘hardening’– and indeed ‘stretching’– of extant ethnic, gender and spatial inequalities. Des bureaux d'embauche, spécialisés dans le placement de journaliers sur des postes temporaires, ont récemment proliféré le long des grands axes de transport dans les quartiers défavorisés de Chicago. Cet article étudie le phénomène du travail temporaire à faible revenu dans cette ville, et ce, du point de vue des principaux acteurs institutionnels sur ces marchés du travail hautement ‘flexibilisés’ ou ‘aléatoires’: les agences de travail temporaire. Il insiste sur les conséquences des stratégies de ces agences pour le marché de l'emploi, à la fois au niveau des schémas de segmentation du travail et en termes de (re)constitution spatiale des marchés du travail urbains. Aussi peut‐on suggérer que ces agences sont activement impliquées dans l'exploitation et la facilitation des conditions aléatoires du marché du travail. En ce sens, elles jouent un rôle important et nouveau comme ‘intermédiaires du marché du travail’ privatisés, avec des effets apparemment néfastes pour la sécurité de l'emploi et la ségrégation sociale dans les circuits inférieurs des marchés urbains. Leurs stratégies peuvent aussi être liées à la restructuration sociale et géographique de ces marchés, la croissance et la polarisation de l'emploi temporaire ayant ètè associées à un ‘durcissement’, et assurément à une ‘extension’, des inégalités existantes au plan ethnique, spatial et des sexes.  相似文献   

6.
This article examines the way ‘social capital’ has been deployed by researchers and practitioners in the field of urban movements and community development. It reveals the powerful and in many ways effective role the concept is playing in framing the contemporary reconfigurations of local state‐society relations which impact especially on the trajectory of third or voluntary sector development. The article identifies the gaps and weaknesses the ‘social capital’ perspective responds to, thereby explaining why it looms so large within the urban development discourse. Its own blind spots and ambiguities, however, limit our understanding of contemporary urban change. By prioritizing specific forms of civic engagement (and neglecting others), the concept filters the contemporary reconfigurations in the relationship of civil society, state and market in a peculiar way, which is conducive to supporting the spread of market forces to areas so far beyond the reach of capital. By directing attention to the self‐activation potential of different communities, whether in the form of civic engagement of well‐to‐do volunteers or in the form of activation/reinsertion (into the low‐wage labour market) of the marginalized, this new discourse plays a crucial role not only in current efforts to unburden the local (welfare) state, but also in the expansion of market forces into new areas. L'article examine comment les chercheurs et spécialistes ont fait usage du ‘capital social’ dans le domaine des mouvements urbains et de l'évolution des communautés. Il dévoile le rô le dynamique et, par bien des aspects, efficace que ce concept joue en structurant les reconfigurations contemporaines des relations société‐gouvernement local, lesquelles influent notamment sur les tendances du secteur associatif ou du bénévolat. L'article identifie les lacunes et faiblesses que comble la perspective du ‘capital social’, expliquant ainsi les raisons de son omniprésence dans la rhétorique de l'urbanisme. Ses propres faiblesses et ambiguïtés limitent toutefois notre compréhension du changement urbain contemporain. En mettant en avant des formes spécifiques d'engagement civique (et en en négligeant d'autres), le concept dégage les reconfigurations modernes qui interviennent sur la relation entre société civile, É tat et marché, et ce d'une manière particulière qui contribue à la propagation des forces du marché dans des zones jusqu'alors inaccessibles au capital. En s'intéressant au potentiel d'auto‐activation de diverses communautés, que ce soit sous la forme d'un engagement civique de nantis volontaires ou de l'activation ou la réinsertion (sur le marché du travail des bas salaires) des marginaux, ce nouveau discours est essentiel, non seulement dans le cadre des efforts actuels visant à soulager l'É tat (providence) local, mais aussi dans l'expansion des forces du marché vers des zones nouvelles.  相似文献   

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This article explains how and why the relationship between the Amsterdam squatter movement and the local government has changed over the last decade. Besides reassessing Pruijt's analysis of the Amsterdam squatter movement in a recent issue of this journal, the article also engages with the post‐Fordist literature on social movements. This literature is largely based on the assumption that a subversive identity is incompatible with co‐optation. However, as such ‘soft factors’ as culture gain more importance in urban growth strategies, it is likely that some segments of urban movements may become co‐opted while retaining their subversive identity. It is hypothesized that we are witnessing the emergence of a movement meritocracy: with the rise of soft neoliberal urban policies, the way in which the local polity delivers incentives follows an increasingly discriminatory pattern, giving a place to those segments that contribute to the cultural vibrancy of the city whilst ignoring segments that struggle for basic provisions. These processes are probably not peculiar to Amsterdam and there is an urgent need for post‐Fordist and other social movement theory to investigate what are the consequences of these shifts for government‐movement interactions. Comment et pourquoi la relation entre le mouvement des squatters d'Amsterdam et le gouvernement local a‐t‐elle changé au cours de la dernière décennie? Outre l'examen de l'analyse qu'a faite Pruijt du mouvement des squatters d'Amsterdam dans un récent numéro de cette revue, l'article s'appuie sur la littérature post‐fordiste des mouvements sociaux. Celle‐ci se fonde surtout sur l'hypothèse qu'une identité subversive est incompatible avec une cooptation. Or, comme les ‘facteurs intangibles’ tels que la culture prennent de l'importance dans les stratégies d'expansion urbaine, il est probable que certains segments des mouvements urbains pourront être cooptés tout en gardant leur nature subversive. On suppose l'apparition d'une méritocratie des mouvements: avec l'essor des politiques urbaines néolibérales de compromis, la manière dont le gouvernement local propose des mesures d'incitation suit un modèle de plus en plus discriminatoire, donnant une place aux segments qui contribuent à la vibration culturelle de la ville, tout en ignorant ceux qui luttent pour des services de base. Les processus n'étant sans doute pas propres à Amsterdam, il est urgent que les théories des mouvements sociaux, post‐fordistes ou autres, étudient les conséquences de ces changements dans les interactions entre gouvernement et mouvements.  相似文献   

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Cet article examine quelques antinomies existant dans la planification urbaine d'une société socialiste et rattache certaines questions théoriques à la recherche empirique et aux expériences de la pratique sociale en Yugoslavie. La critique des solutions urbanistiques courantes indique un besoin de surmonter une pratique fragmentaire et d'exercer une approche plus dialectique. L'analyse sociologique peut spécifier les conditions possibles pour la mise en ?uvre des valeurs dominantes dans une telle société et les relier aux pratiques quotidiennes de la direction du développement urbain. Les antinomies apparents dans la planification urbaine peuvent etre dévoilées pour être ensuite réinterprétées en tant qu'ensemble dialectique. Par exemple: Le sujet/l'objet de la planification La séparation habituelle entre le rôle actif de l'architecte-urbaniste et du dessinateur (sujet) et le rôle passif du résident (objet) est devenue inacceptable dans le contexte d'une sociéte socialiste avec un systéme d'autogestion. Continuité/discontinuité A la place de la logique prédominante de croissance, il y a à la fois un besoin de continuité et de discontinuité. Visionnarisme/pragmatisme Ni une orientation visionnaire générale et à long terme, ni l'approche pragmatique ne peuvent assurer un changement maximum dans la direction souhaitée. Inertie/correction Plus notre action est aprioriste, plus il faudra de temps pour reconnaître les erreurs passées et les diverses façons de résoudre les problèmes par la suite. Forme/fond L'urbanisme a gardé le vieux cadre du modèle formel et technique des fragments individuels. Dynamique sociale/structure physique La crise de l'environnement urbain représente la phénoménologie des discordes existant entre les dimensions physiques et sociales de la ville. Contrôle/initiative individuelle Un plaus grand contrôle n'est pas forcément incompatible avec la croissance du rôle de l'individu. Stimulation/sanctions négatives La menace des sanctions négatives du pouvoir coercitif de l'état ne peut pas maximiser la mise en ?uvre des objectifs de la planification: l'approche affirmative a été négligée.  相似文献   

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Berlin's reinstatement as the capital of Germany has raised great expectations of its transformation into a major economic centre of the European urban system. However, the city has not been able to fulfil these expectations. Today, Berlin is being hit by a financial crisis with dramatic consequences for the city's future development prospects. This article outlines the main outcomes of Berlin's socio‐economic restructuring in the 1990s: a tremendous loss of jobs in traditional industries has contributed to rising unemployment and the spread of urban poverty. The city has been a prime playground for speculative real estate investment, which has left behind a huge amount of unoccupied office space. On the other hand, new islands of economic growth have been developing in Berlin, particularly in knowledge‐intensive economic activities and the media industry. This development is related to the city's functioning as a highly attractive living place for the ‘creative class’ in Germany. At the same time, the city is an outstanding example of ‘worst practice’ urban governance, which has led to a financial crisis with truly catastrophic effects. The current financial consolidation policy may damage the prospects of Berlin's few growth sectors in the field of knowledge‐intensive economic activities. Le rétablissement de Berlin en capitale de l'Allemagne a suscité d'énormes attentes quant à sa transformation en centre économique majeur du réseau urbain européen, espoirs qui se sont révélés vains. Aujourd'hui, Berlin est frappée par une crise financière aux conséquences dramatiques pour les perspectives de développement de la ville. Cet article présente les principaux aboutissements de la restructuration socio‐économique de la capitale dans les années 1990: une terrible déperdition d'emplois dans les industries traditionnelles a nourri une progression du chômage et de la pauvreté urbaine; devenue terrain de jeu privilégié des spéculateurs immobiliers, la ville compte désormais une multitude d'espaces de bureaux inoccupés. En revanche, ont éclos des îlots de croissance économique, notamment dans les médias et les domaines où le savoir est important. Cette évolution tient au fonctionnement de la capitale comme lieu de vie particulièrement attrayant pour les ‘créatifs’ en Allemagne. Parallèlement, la ville constitue un remarquable cas de ‘pire pratique’ de gouvernance urbaine ayant amené une crise financière aux effets réellement catastrophiques; pour finir, la politique de consolidation financière actuelle va peut‐être entraver l'avenir des rares secteurs berlinois en expansion dans les sphères d'activités économiques demandeuses de savoir.  相似文献   

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This article explores the importance of image to the Atlanta Olympic Games of 1996. It suggests that the event must be seen as an example of the use of the propagation of selected images designed to boost the standing of the city in an increasingly competitive interurban environment. The intersection of major sporting spectacles, big business and vastly increased television coverage provides an important new medium through which boosterists can put their city on the world map. However, as the Atlanta case reveals, the ‘semiotics of the successful city‘ involves a highly ideological construction which often presents urban areas as conflict‐free zones. In Atlanta, potentially negative images were removed both physically and symbolically from the urban landscape, while the actual experience of the Games suggested that the city had some way to go in material terms to match its often hyperbolic self‐promotion. The article suggests that the staging of events such as the Olympics is a necessarily high‐risk venture for cities, one that, as in the case of Atlanta, may not have been ultimately worth the effort. Cet article examine l'importance de l'image dans le cadre des Jeux Olympiques d'Atlanta de 1996. Il propose de considérer l'événement comme un exemple de la diffusion d'images sélectionnées, conçues et utilisées afin de promouvoir la réputation de la ville dans un contexte interurbain de plus en plus concurrentiel. L'intersection entre des spectacles sportifs exceptionnels, de grandes entreprises et une couverture télévisuelle considérablement étendue constitue un moyen novateur grâce auquel les promoteurs de cette dynamique peuvent positionner leur ville sur la carte du monde. Cependant, comme le montre le cas d'Atlanta, la ‘sémiotique d'une ville gagnante’ implique une construction idéologique très forte qui présente souvent les zones urbaines comme des espaces non conflictuels. À Atlanta, les images à potentiel négatif ont étééliminées à la fois physiquement et symboliquement du paysage urbain, tandis que les Jeux eux‐mêmes laissaient à penser que la ville devait progresser sur le plan matériel si elle voulait correspondre à son auto‐promotion souvent hyperbolique. L'article suggère que la mise en scène d'événements tels que les Jeux Olympiques est une opération nécessairement très risquée pour des villes, opération qui, à l'instar de l'expérience d'Atlanta, peut finalement ne pas justifier les efforts réalisés.  相似文献   

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In this article contemporary city change in Stockholm is first described against a background of theories on global cities. Stockholm cannot be seen as a global city, but displays many typical signs of the ongoing development in global cities. In the article this is shown by examining the situation in Stockholm regarding the economic structure, especially the expanding IT‐sector, social and economic polarization, local politics and the efforts to improve the infrastructure. In the change of the city social movements have been very active. Since the 1960s three different kinds of movements have existed, which are described and analysed against a background of theories on social movements. The first of these, the so‐called neighbourhood movement, emerged at the end of the 1960s and had all the typical signs of the so‐called ‘new’ social movements of that time. In the 1990s a new environmental movement acted mainly against proposed big traffic‐routes. This movement reflected in its structure some important features of today's society: fragmentation, individualization and globalization. At the end of the 1990s a third movement emerged as a reaction against the new competitive urban politics and the ongoing change of the city. Finally, the modifying impact that movements and local factors in Stockholm have had on globalization is discussed, as well as the difficulty in estimating the impact of movements on local politics. L'article décrit d'abord l'évolution urbaine contemporaine à Stockholm, en fonction des théories sur les villes planétaires. Même si la capitale suédoise n'est pas censée en faire partie, elle présente nombre des caractéristiques du développement actuel de ces grandes villes mondiales. L'article le montre en examinant sa situation en matière de structure économique (en particulier, l'expansion de son secteur technologique informatique), de polarisation sociale et économique, de politique locale et d'efforts d'amélioration des infrastructures. Les mouvements sociaux ont largement contribuéà l'évolution urbaine. Depuis 1960, ils sont intervenus sous trois formes, décrites et analysées par rapport aux théories des mouvements sociaux. La première, le ‘mouvement de quartier’, est apparue à la fin des années 1960 et présentait tous les signes typiques des dits ‘nouveaux’ mouvements sociaux de l'époque. Dans les années 1990, c'est un mouvement environnemental qui a agi surtout à l'encontre des grands itinéraires de circulation proposés, révélant par sa structure quelques caractéristiques importantes de la société actuelle: fragmentation, individualisation et mondialisation. A la fin des années 1990, un troisième mouvement est né en réaction à la nouvelle politique urbaine concurrentielle et à l'évolution vécue par la ville. Pour finir sont discutées l'incidence, sur la mondialisation, des mouvements et des facteurs locaux propres à Stockholm, ainsi que la difficulté d'évaluer l'impact des mouvements sur la politique locale.  相似文献   

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The development of low‐income housing continues to be a political imperative and an urban reconstruction priority for the post‐apartheid South African state. But, even though policies for housing construction and delivery by the state are in place, in practice many homeless families initiate, direct and drive the process through which they secure state‐provided housing. I analyse in this study two such cases where homeless residents in peripherally located, poor areas of the Cape Metropolitan Area successfully accessed state‐provided housing. In both instances, homeless families organized around the different sets of capacities that structured the nature of the linkages that each forged to resources outside of their respective areas, and thus the ways in which they pursued their need for housing. I argue in this study that uneven and place‐specific, community‐based capacity often directs the manner in which communities interpret, interface with and access state‐run urban reconstruction projects such as housing provision. An analysis of community‐based capacity thus proves useful to investigate the potential and the problems that underlie state initiatives for development and the manner in which communities participate and engage with urban reconstruction and development. L'expansion du logement social reste un impératif politique et une priorité de la reconstruction urbaine pour l'État sud‐africain de l'après‐apartheid. Des politiques de construction et de fourniture de logements par l'État ont été mises en place mais, en pratique, de nombreuses familles sans‐domicile induisent, orientent et mènent le processus par lequel elles s'assurent un logement public. Cette étude analyse deux de ces cas dans lesquels des sans‐domicile vivant dans des quartiers pauvres à la périphérie de la zone métropolitaine du Cap ont réussi à se loger. Dans les deux situations, les familles se sont organisées autour des capacités spécifiques qui structuraient la nature des liens établis pour trouver des ressources hors de leurs quartiers respectifs, définissant ainsi leurs modalités d'action pour obtenir un logement. L'étude démontre qu'une capacité inégale, particulière à un lieu et à un groupe, oriente souvent la manière dont les communautés interprètent, interagissent avec et accèdent aux projets de reconstruction urbaine menés par l'État tels que la fourniture de logement. Il apparaît donc utile d'analyser la capacité propre à une communauté, si l'on veut déterminer non seulement le potentiel et les problèmes fondamentaux des initiatives gouvernementales de développement, mais aussi la manière dont les communautés participent et contribuent à la reconstruction et à l'aménagement urbains.  相似文献   

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Since September 11th 2001 ‘terrorism’ has understandably become the preoccupation of many, especially in urban areas, where the threat of ‘terrorism’ is greatest. High on the list of priorities is tightening up the technological means of ensuring security, by adopting in particular new surveillance measures. While these are mainly expansions of already existing systems — biometrics, ID cards, CCTV and communications interception — an interesting and perhaps disturbing new feature of these is the apparent willingness to create modes of integration between previously separate systems. Similar software and dependence on algorithmic techniques permit data‐sharing across several boundaries that were previously less porous. The dispersed data‐gathering of the surveillant assemblage, that includes relatively ‘innocent’ items such as consumer transaction trails —‘categorical seduction’— converges with the more centralized activities of policing and intelligence —‘categorical suspicion’— in the effort to make urban areas safe. The consequences of this are likely to be far‐reaching, reinforcing our reliance on technological solutions, and increasingly inserting them into the routines of everyday life in the city. Depuis le 11 septembre 2001, le ‘terrorisme’ est naturellement devenu la préoccupation de beaucoup, surtout dans les zones urbaines où la menace ‘terroriste’ est la plus forte. Aux premiers rangs des priorités, on trouve les moyens technologiques d'assurer la sécurité, notamment l'adoption de nouvelles mesures de surveillance. Si certaines consistent principalement àétendre les systèmes existants (biométrie, cartes d'identité, circuits de télévision et interception des communications), l'une des nouvelles méthodes, intéressante mais quelque peu troublante, est la volonté apparente de créer des modes d'intégration entre des systèmes jusqu'alors indépendants. Des logiciels similaires et une subordination à des techniques algorithmiques permettent le partage de données à travers plusieurs frontières auparavant moins perméables. La collecte de données éparses dans l'assemblage de surveillance, incluant des éléments relativement ‘innocents’ tels que le suivi des transactions de clients s'allie aux activités les plus centralisées de la police et du renseignement afin de sécuriser les zones urbaines. Les conséquences sont susceptibles d'aller plus loin, renforçant notre dépendance à l'égard de solutions technologiques et multipliant celles‐ci dans les routines de la vie quotidienne urbaine.  相似文献   

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Behind a high stonewall surrounding a rural farmhouse in Auvergne, Guy Debord, the ex‐Situationist theorist and activist, retreated. The grungy, cheap‐thrill Parisian urbanism of his youth was no more. Paris had died in his arms of a fatal illness that has seen off other great cities. Economic forces and planning initiatives had assassinated his rebel underworld, and culprits are still at large, still awaiting trial in the people's court. This essay embraces Debord the other side of the wall, dialoging with Pierre Mac Orlan, one of his favorite novelists. In so doing, we enter the phantasmal zone of the sentimental city, the city both real and make‐believe, defunct and yet‐to‐be. Mac Orlan's ideas about passive and active adventuring are explored here, to unlock the Pandora's box of Debord's urbanism. The essay approaches the capitalist city with a poetic gloss and reveals a realm richer and deeper than most social scientific urban research can grasp. Alongside Mac Orlan, Debord retraces his steps through urban ruins, and recaptures an everyday melancholy of backstreets and damaged people, of twilight nooks and crannies and shadowy bars. In Debord's sentimental city, it isn't so much the past that one regrets as the future. Derrière un haut mur de pierre entourant une ferme d'Auvergne, s'est retiré Guy Debord, l'ancien théoricien et militant situationniste. L'urbanisme parisien minable et décadent de sa jeunesse n'existait plus. Paris était mort dans ses bras d'une maladie désastreuse qui a emporté d'autres grandes villes. Forces économiques et initiatives d'aménagement ont assassiné son milieu rebelle et les coupables courent encore, dans l'attente d'un procès populaire. Cet essai voit Debord de l'autre côté du mur en train de dialoguer avec Pierre Mac Orlan, l'un de ses écrivains favoris. Ainsi, nous entrons dans l'illusion de la ville sentimentale, ville à la fois réelle et imaginaire, défunte et survivante. Les idées de Mac Orlan sur l'aventurier actif et passif y sont examinées afin d'ouvrir la boîte de Pandore de l'urbanisme selon Debord. L'approche de la ville capitaliste revêt un vernis poétique, révélant un univers plus riche et plus profond que ce qui peut être saisi par la plupart des recherches urbaines en sciences sociales. Aux côtés de Mac Orlan, Debord revient sur ses pas, traversant des ruines urbaines, retrouvant une mélancolie au quotidien des bas‐quartiers et d'une pègre abîmée, des coins et recoins obscurs et des bars mal éclairés. Dans la ville sentimentale de Debord, ce n'est pas tant le passé que l'on regrette, mais plutôt l'avenir.  相似文献   

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What explains the lack of what Mike Davis famously called ‘magical urbanism’— referring to the increasingly influential and potentially radical role played by Latino immigrants in US politics — in such diverse Canadian cities as Toronto, Montreal and Vancouver? This article points out how the Canadian legacy of multiculturalism constitutes one key cause of the failure of left urban politics in Canada to produce yet anything approaching the promise of ‘magical urbanism’ south of the border, especially by underlining how this bulwark of liberal ideology lends itself so readily to some resilient variations of bourgeois urbanism — including the commodification of difference, most recently under the auspices of Richard Florida's ‘creative class’. Against the pluralism of the food court and the shopping mall, both in its official multicultural and seemingly oppositional ‘hybrid’ forms, are radical approaches to difference in the city still possible — in Canada or elsewhere? The authors argue that the concepts of ‘maximal’ and ‘produced’ (vis‐à‐vis ‘minimal’ and ‘induced’) difference and the politics of ‘the right to the city’ elaborated by Henri Lefebvre — in conjunction with the reflections on subaltern experiences of difference by critics such as Himani Bannerji and Ambalavanar Sivanandan — indeed provide a starting point for radical urban politics. Comment expliquer, dans des villes canadiennes aussi différentes que Toronto, Montréal ou Vancouver, l’absence de ce que Mike Davis a appelé‘l’urbanisme magique’ en parlant du rôle de plus en plus influent, voire radical, des immigrants latinoaméricain dans la politique des États‐unis? L’héritage canadien du multiculturalisme explique d’abord pourquoi la politique urbaine de gauche n’a encore rien pu produire au Canada qui s’approcherait de la promesse d’un ‘urbanisme magique’ comme au sud de la frontière. L’article souligne notamment comment ce rempart d’idéologie libérale se prête si facilement à quelques variantes résistantes d’urbanisme bourgeois, dont la banalisation de la différence, tout récemment sous les auspices de la ‘classe créative’ de Richard Florida. Face au pluralisme de l’aire de restauration et du centre commercial, tous deux sous des formes ‘hybrides’ multiculturelles et aparemment contradictoires, des approches radicales de la différence dans la ville sont‐elles encore possibles, au Canada ou ailleurs? Les concepts de différence ‘maximale’ et ‘produite’ (par opposition à‘minimale’ et ‘induite’) et la politique du ‘droit à la ville’ conçue par Henri Lefebvre — alliés aux réflexions sur des expériences de différence subalternes émanant de critiques tels que Himani Bannerji et Ambalavanar Sivanandan — offrent indubitablement un point de départ pour une politique urbaine radicale.  相似文献   

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Over the last two decades, social and economic changes in transitional economies have produced many new outcomes. In this article, I examine some of the ways in which China's transition has produced gendered outcomes and highlight evidence of these outcomes. I argue that during transition the state has shifted its goals to economic ones, but unlike capitalist economies it still has at its disposal instruments of social control. Peasants are made more vulnerable and must rely on migrant work for survival, but their low institutional status relegates them to outsider status in urban areas. These circumstances, together with socio‐cultural traditions that constrain women's mobility and endorse stratifications, have enabled the development of a labor regime that fosters segmentation and division of labor. Peasant migrants' reliance on social network further reinforces segregation in the urban labor market. Using multiple sources of macro‐level and field surveys, I examine both quantitative and qualitative evidence of gender segregation and division of labor. The findings show that a high degree of gender segregation among rural‐urban migrants exists in the urban labor market, that peasant women's urban work opportunities are short‐lived, and that upon marriage women migrants are relegated back to the village and to the ‘inside’, in part to sustain gender division of labor as a household strategy. Au cours des deux dernières décennies, les gouvernements de transition ont connu des évolutions économiques et sociales aux conséquences nouvelles et variées. Cet article examine comment la transition chinoise a produit des effets différenciés selon le sexe, et en détaille la réalité. Durant la phase transitoire, l'É tat a transposé ses objectifs sur le terrain économique mais, contrairement aux pays capitalistes, il dispose encore d'instruments de régulation sociale. Rendue plus vulnérable, la population rurale doit compter sur les travailleurs migrants pour sa survie; cependant, une fois en ville, leur faible statut institutionnel en fait des travailleurs ‘en marge’. Alliée aux traditions socio‐culturelles qui limitent la mobilité des femmes et nourrissent les stratifications, cette situation a permis la création d'un système d'emploi tendant à la segmentation et la division du travail. La dépendance des migrants ruraux par rapport au réseau social vient renforcer la ségrégation sur le marché du travail urbain. A partir d'études de terrain et de niveau global, l'article explore les éléments quantitatifs et qualitatifs de ségrégation sexuelle et division du travail. D'après les résultats, il existe un degré important de ségrégation selon le sexe parmi les migrants sur le marché de l'emploi urbain, les possibilités de travail en ville sont de courte durée pour les paysannes et, quant au mariage, les migrantes sont ramenées à leur village et à‘l'intérieur’, en partie pour soutenir une stratégie domestique de division sexuée du travail.  相似文献   

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Le but de cette étude ect d'éclairer sous un autre jour la position des femmes en sociologie urbaine. Cette discussion va illustrer les directions dont on a tiré les analyses précédentes et l'effet qui s'ensuit sur la sociologie urbaine vis-à-vis des femmes. Tout d'abord, la présentation s'attache principalement à l'articulation de la politique des femmes au sein de l'expérience urbaine. Un exemple de ce développemcnt est l'émergence du mouvement de libération de la femme. On soutient que ce domaine constitue un sujet d'enquête valable en sociologie urbaine. De ce fait, des phénomènes liés à sa progression en tant que force sociale seront discutés. Finalement, l'étude d'un cas, (le ghetto lesbien) dans un contexte urbain précis, sera inclus.  相似文献   

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L'intention de cet essai est de provoquer une discussion sur une perspective comparative de l'éeconomie politique. Un compte rendu est fait des contributions récentes de Poulantzas et de Runciman sur les systèmes de pouvoir et de conflit dans l'état-nation contemporain. Une attention particulière est donnée à la typologie de Runciman de six sociétés idéales types. A titre de contraste, la théorie marxiste de l'état est perçue comme étant circulaire et ne pouvant pas confronter d'une manière satisfaisante les problèmes posés par les sociétés de l'Europe de i'Est, et aussi par la gamme de variations à l'intérieur du monde capitaliste. Dans la sphère du développement urbain et régional, la variation de buts et de résultats est en partie déterminée par les relations entre états. Les contraintes imposées par le marché mondial, par la disposition et la circulation inégales de materiaux et de denrées, sont structurées plus par la détermination des états à accroǐtre la production matérielle que par le mode de production dominant dans une formation sociale donnée. Cet acharnement à accroǐtre la production matérielle n'est visiblement pas moins fort dans les sociétés de type ‘socialiste’ ou ‘révolutionnaire’. La théorie marxiste semble accepter l'expansion inévitable de la production matérielle sans se soucier des limites écologiques. De la méme façon qu'il y a un besoin net pour une typologie du pouvoir et des formes de contrǒle social, il y a aussi besoin d'une analyse urbaine et régionale détaillée dans les formations sociales particulières qui pourrait égaler présuppositions théoriques avec résultats empiriques. Les questions pratiques en ce qui concerne qui reçoit quoi, qui détermine qui reçoit quoi, qu'est-ce qui détermine qui reçoit quoi, ne sont pas en mesure d'ětre repondues d'une façon monocausale.  相似文献   

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In this article the ambivalence of public policy responses to diversity on the street are documented empirically through a detailed case study of the marginalization of youth from the downtown public spaces of Portland, Maine, USA. Urban planners, architects and property developers have become increasingly concerned with improving the quality of urban life and the public spaces on which it depends. They argue that urban revitalization initiatives must embrace diversity — cultural and economic, as well as functional and spatial. This diversity of different ‘diversities’ is often under‐theorized, as are the benefits of, and relationships among, social and cultural diversity, economic diversification, mixed‐use and multi‐purpose zoning, political pluralism, and democratic public space. It is my contention that this ambivalence is not simply a smokescreen for vested commercial interests, but also provides opportunities for expressing alternative visions of what diversity and the city itself should be. Looking specifically at youth, I explore a relatively underexamined aspect of inner‐city diversity. While there is a relatively well‐developed literature about the contested place of low‐income groups, racial minorities and the homeless in urban redevelopment initiatives, youth have largely been ignored. Dans cet article, l'ambivalence des réponses que la politique publique apporte à la diversité de la rue fait l'objet de données empiriques grâce à une étude de cas détaillée sur la marginalisation de la jeunesse dans les espaces publics du centre‐ville de Portland, dans le Maine (Etats‐Unis). Urbanistes, architectes et promoteurs se soucient de plus en plus d'améliorer la qualité de la vie urbaine et les espaces publics dont celleci dépend. Selon eux, les initiatives de revitalisation urbaine doivent englober la diversité, tant culturelle et économique, que fonctionnelle et spatiale. Cette diversité de plusieurs ‘diversités’ est peu théorisée, pas plus que les avantages et rapports mutuels de la pluralité culturelle et sociale, de la diversification économique, d'un zonage plurifonctionnel et polyvalent, du pluralisme politique et de l'espace public démocratique. L'article soutient que cette ambivalence, loin d'être un simple paravent pour droits acquis commerciaux, crée des possibilités d'exprimer d'autres visions de ce qu'une diversité et la ville elle‐même devraient être. Concernant les jeunes, il explore un aspect plutôt négligé de la diversité des centres‐villes: alors qu'il existe une littérature relativement élaborée sur la place contestée des groupes à faibles revenus, des minorités raciales et des sans‐abri dans les initiatives de réaménagement urbain, la jeunesse a été largement ignorée.  相似文献   

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