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1.
Abstract. This article examines the impact of one form of sales seasonality on the response of equity returns to earnings announcements in different quarters. We regress unexpected announcement period returns on unexpected earnings and compare the results for seasonal firms—those with sales consistently concentrated in the same quarter each year—to those of other firms. For seasonal firms, we find robust evidence of a greater regression intercept and some evidence of a greater earnings response coefficient in peak sales quarters than in nonpeak quarters. These results are consistent with a greater resolution of the uncertainty about seasonal firms' prospects in their peak sales quarters than in other quarters. Our evidence also shows that fourth-quarter earnings announcements have smaller stock price response coefficients than do interim announcements. Some prior has found smaller fourth-quarter earnings response coefficients for small but not large firms. We find some evidence that fourth-quarter earnings response coefficients are smaller than interim-quarter response coefficients for large firms as well as for small firms. This suggests that explanations for smaller fourth-quarter earnings response coefficients need to be applicable to both large and small firms. Résumé. Les auteurs examinent, pour différents trimestres, l'incidence d'une forme de caractère saisonnier des ventes sur la réaction du rendement des actions aux déclarations de bénéfices. Ils effectuent une analyse de régression des rendements imprévus des trimestres par rapport aux bénéfices imprévus et comparent les résultats obtenus dans le cas des entreprises dont les activités sont saisonnières—c'est-à-dire dont les ventes sont systématiquement concentrées dans le même trimestre chaque année—aux résultats obtenus dans le cas des autres entreprises. Dans le cas des entreprises dont les activités sont saisonnières, les résultats de l'analyse démontrent vigoureusement que l'intersection de la régression est supérieure et confirment avec moins de fermeté que le coefficient de réaction aux bénéfices déclarés est supérieur pour les trimestres où le volume des ventes culmine, par rapport aux autres trimestres. Ces résultats permettent de conclure à une plus grande résorption de l'incertitude relative aux perspectives des entreprises dont les activités ont un caractère saisonnier dans les trimestres où les ventes de ces entreprises culminent que dans les autres trimestres. Les résultats de l'analyse démontrent également que les déclarations de bénéfices au quatrième trimestre donnent lieu à des coefficients plus faibles de réaction du cours des actions que les déclarations des trimestres intermédiaires. Certains travaux antérieurs ont établi que les coefficients de réaction aux déclarations de bénéfices du quatrième trimestre étaient plus faibles pour les petites entreprises que pour les grandes. L'analyse des auteurs tend ici à démontrer que les coefficients de réaction aux déclarations de bénéfices du quatrième trimestre sont plus faibles que les coefficients de réaction des trimestres intermédiaires pour les grandes entreprises aussi bien que pour les petites entreprises. Ces constatations donnent à penser que les facteurs qui expliquent les coefficients de réaction plus faibles aux déclarations de bénéfices du quatrième trimestre devraient pouvoir s'appliquer tant aux grandes qu'aux petites entreprises.  相似文献   

2.
Abstract. Accounting procedures have been suggested as a factor affecting the usefulness of reported earnings for the users of financial statements. However, little evidence exists to confirm the ways in which mandatory changes in income determination rules influence the way the market responds to accounting information. This study expands the existing literature by testing the notion that accounting method choice can affect earnings usefulness for firms engaged in research and development (R&D) activities. We test hypotheses concerning (1) changes in earnings usefulness for firms that switched their R&D accounting method as a result of Statement of Financial Accounting Standards No. 2 (SFAS No. 2); and (2) differences in earnings usefulness between similar firms using different R&D accounting methods prior to the rule change. We find that for our sample of R&D firms, there is a statistically significant decline in earnings usefulness for firms forced to switch from capitalizing to expensing R&D outlays, and that the decline appears to persist over time. In addition, the comparison of earnings usefulness between firms using different R&D accounting methods before SFAS No. 2 indicates that capitalizing firms had significantly higher earnings usefulness than expensing firms. Résumé. L'on a dit des méthodes comptables qu'elles avaient une incidence sur l'utilité des bénéfices déclarés pour les utilisateurs des états financiers. Peu de travaux établissent cependant de quelles façons les modifications obligatoires des règles régissant le calcul des bénéfices influent sur la réaction du marché à l'information comptable. Les auteurs enrichissent la documentation existante en testant la notion voulant que le choix de la méthode comptable puisse influer sur l'utilité des bénéfices dans le cas des entreprises qui poursuivent des activités de recherche et développement (R&D). Ils testent des hypothèses qui ont trat 1) à la variation de l'utilité de l'information relative aux bénéfices dans le cas d'entreprises ayant changé de méthode de comptabilisation des frais de R&D par suite de la publication du SFAS no 2 et 2) aux différences dans l'utilité de l'information relative aux bénéfices entre entreprises similaires recourant à des méthodes de comptabilisation des frais de R&D qui sont différentes, avant la modification des règles. Dans leur échantillon d'entreprises qui se consacrent à des activités de R&D, les auteurs observent un déclin statistiquement significatif dans l'utilité de l'information relative aux bénéfices chez les entreprises obligées de passer de la capitalisation à la passation en charges des frais de R&D et notent que ce déclin semble persister dans le temps. En outre, la comparaison des données observées chez des entreprises appliquant différentes méthodes de comptabilisation des frais de R&D avant la publication du SFAS no 2 révèle que l'utilité de l'information relative aux bénéfices des entreprises qui capitalisent leurs frais de R&D est beaucoup plus grande que celle de l'information relative aux bénéfices des entreprises qui imputent ces frais à l'exercice.  相似文献   

3.
Abstract. This paper examines how analysts combine earnings and dividend information when they predict future earnings. Because both earnings and dividends are noisy indications of future earnings, we posit that analysts use the two corroboratively, to confirm the information reflected in each, and that analysts will substitute away from earnings when it is noisy and toward dividends. Using regressions of analysts' earnings forecast revisions on unexpected earnings, unexpected dividends, and five variables that reflect whether the signs of unexpected earnings and dividends confirm or contradict each other, we find evidence of both corroboration and substitution. Analysts' earnings forecast revisions are significantly related to the five corroborative variables, and this relation has statistically significant explanatory power beyond that in the magnitudes of unexpected earnings and unexpected dividends. Consistent with expectations, we find that the evidence of corroboration varies across the noisiness of earnings information; there is more evidence of corroboration when earnings are more variable. We also find evidence consistent with analysts substituting away from earnings, toward dividend information for firms with noisy earnings information (high variance). Overall, the results imply that analysts use earnings and dividend information interdependently, with some interdependency determined by the noisiness of earnings announcements. Résumé. Les auteurs examinent comment les analystes combinent l'information relative aux bénéfices et aux dividendes pour prévoir les bénéfices futurs. Les bénéfices et les dividendes étant tous deux des indicateurs imparfaits des bénéfices futurs, les auteurs posent l'hypothèse que les analystes utilisent les deux, à titre corroboratif, pour confirmer l'information que livre chacun de ces indicateurs et qu'ils préféreront les dividendes aux bénéfices, si ces derniers se révèlent un indicateur imparfait. En procédant à la régression des révisions des prévisions de bénéfices des analystes sur les bénéfices imprévus, sur les dividendes imprévus et sur cinq variables indiquant si les pronostics de bénéfices et de dividendes imprévus se confirment ou s'infirment les uns les autres, les auteurs enregistrent des données qui vont à la fois dans le sens de la corroboration et de la substitution. Les révisions des prévisions de bénéfices des analystes présentent une relation significative avec les cinq variables de corroboration, relation qui affiche un pouvoir d'explication statistiquement significatif, au-delà de celui de l'ampleur des bénéfices imprévus et des dividendes imprévus. Conformément aux prévisions, les auteurs constatent que la preuve de corroboration varie selon le degré d'imperfection de l'information relative aux bénéfices; les preuves de corroboration sont plus fortes lorsque les bénéfices varient davantage. Les auteurs font également état de constatations conformes à l'hypothèse selon laquelle les ana lystes écartent l'information relative aux bénéfices pour y substituer l'information relative aux dividendes dans le cas d'entreprises dont l'information relative aux bénéfices est imparfaite (variance élevée). Dans l'ensemble, les résultats invitent à la conclusion que les analystes utilisent l'information relative aux bénéfices et aux dividendes de manière interdépendante, une partie de cette interdépendance étant déterminée par l'imperfection de l'information communiquée en ce qui a trait aux bénéfices.  相似文献   

4.
5.
Abstract. Building on the notion that both earnings surprises and the level of insider trading are noisy signals of future prospects of the firm, this paper empirically investigates joint informativeness of the two signals surrounding earnings announcements. Classification of a large sample of firms in the time period 1977–81 based both on the levels of earnings surprise and insider trading results in a finer partition informationally, compared to using just one signal. Both additive and interactive effects are observed while analysing the security market response during the three trading days centered on the day of earnings announcements. Over a 19-day postannouncement period, the results are less pronounced. The overall pattern of results implies that each signal may contain information not contained in the other, and/or some of the noise associated with each signal may be interactively resolved at the time of earnings announcements. This inference is robust under many measurement alternatives. Résumé. À partir du principe voulant que les bénéfices imprévus ainsi que l'importance des opérations d'initiés soient des indicateurs manifestes des perspectives futures de l'entreprise, les auteurs procèdent à une étude empirique de la qualité informative conjointe des deux indicateurs dans le cadre des avis de bénéfices. La classification d'un vaste échantillon d'entreprises pendant la période 1977–1981 en fonction à la fois du niveau des bénéfices imprévus et de l'importance des opérations d'initiés permet un découpage plus subtil sur le plan informationnel que l'utilisation d'un indicateur unique. Les auteurs observent les effets tant additifs qu'interactifs de cette classification dans l'analyse de la réponse du marché boursier au cours des trois jours de bourse centrés sur le jour de la communication des avis de bénéfices. Pour la période de 19 jours suivant la période d'avis, les résultats sont moins accusés. Le modèle global des résultats suppose que chaque indicateur peut livrer de l'information que l'autre ne livre pas et qu'une partie de ce que manifeste chaque indicateur peut être résolue de façon interactive au moment de la communication des avis de bénf?ices. Cette induction résiste à l'épreuve de plusieurs techniques de mesure.  相似文献   

6.
Abstract. Previous work by Atiase (1985) indicates that the information content of quarterly earnings releases is inversely related to firm size. This study explores the firm-size related differential information content of earnings releases by focusing on annual earnings, assuming that the role of firm size as a proxy for the availability of predisclosure information may differ between annual versus quarterly earnings. In addition, it also investigates how abnormal return reactions to annual earnings releases as a function of firm size change around the date of annual earnings releases. The results show that the firm-size related differential information content of earnings releases exists with annual earnings. Specifically, the extent of common stock return reactions on (around) the annual earnings release date is inversely related to firm size, while market reaction to some early predisclosure dates is positively associated with firm size. The inverse relationship begins to show up a week prior to the earnings release date, and the positive relationship exists for days prior to that week. This latter finding is different from that reported by Atiase in that he did not detect similar evidence with quarterly earnings. No appreciable pattern of association between return reactions and firm size is detected during the week following the release date. Résumé. Les travaux précédents d'Atiase (1985) révèlent que le contenu informatif des renseignements trimestriels publiés relatifs aux bénéfices est inversement proportionnel à la taille de l'entreprise. L'auteur analyse le contenu marginal en information des renseignements relatifs aux bénéfices par rapport à la taille de l'entreprise, et plus particulièrement les bénéfices annuels, en supposant que le rôle de la taille de l'entreprise à titre d'agent d'information trimestrielle peut varier selon qu'il s'agit de bénéfices annuels ou trimestriels. L'auteur analyse en outre comment les réactions anormales du rendement à la publication des bénéfices annuels en fonction de la taille de l'entreprise changent à proximité de la date de publication des bénéfices annuels. Les résultats révèlent que le contenu marginal en information des bénéfices publiés est lié à la taille de l'entreprise dans le cas des bénéfices annuels. En particulier, l'étendue de la réaction du rendement des actions ordinaires à la date (ou près de la date) de publication des bénéfices annuels est en relation inverse avec la taille de l'entreprise, alors que la réaction du rendement à une publication trimestrielle est en relation positive avec la taille de l'entreprise. La relation inverse commence à se manifester une semaine avant la date de publication des bénéfices, alors qu'elle est positive pendant les jours qui précèdent cette semaine. Ce résultat diffère de celui rapporté par Atiase, qui n'a rien décelé qui permette d'en venir à la même conclusion dans le cas des bénéfices trimestriels. Aucune relation mesurable entre la réaction à la publication et la taille de l'entreprise ne se manifeste au cours de la semaine qui suit la date de la publication.  相似文献   

7.
Abstract. Several studies have documented a significant association between firm size and cumulative abnormal returns surrounding quarterly earnings announcements, after controlling for unexpected earnings. The sign of the association depends on the sign of unexpected earnings. Specifically, in a regression of cumulative abnormal returns on unexpected earnings and firm size, the coefficient on firm size is negative for observations with positive unexpected earnings and is positive for observations with negative unexpected earnings. These results hold after adjusting returns for the firm size return effect. In the absence of an economic rationale for firm size per se to be priced in this manner, we draw on extant capital market literature to identify two potential explanations for the signed-size effect. Each suggests that firm size may be proxying for some misspecification of the relation between cumulative abnormal returns and unexpected earnings: measurement error in the researcher's proxy for unexpected earnings and constrained estimation of earnings response coefficients. The signed-size effect remains after incorporating numerous procedures to mitigate the influence of each of these misspecifications. We develop implications of ignoring the anomalous signed-size effect for studies investigating the association between cumulative abnormal returns and unexpected earnings. Studies affected are those that omit firm size (the estimated earnings response coefficient is biased upward), include firm size as a linear additive variable (the estimated coefficient on firm size is generally not interpretable), and include other variables correlated with firm size (their estimated coefficients are generally biased). Résumé. Plusieurs chercheurs ont démontré l'existence d'une relation significative entre la taille de l'entreprise et les rendements anormaux cumulatifs entourant les annonces de bénéfices trimestriels, compte tenu du contrôle des bénéfices inattendus. Le signe de cette relation (positif ou négatif) dépend de celui des bénéfices inattendus. En termes précis, dans une régression des rendements anormaux cumulatifs par rapport aux bénéfices inattendus à de la taille de l'entreprise, le coefficient relatif à la taille de l'entreprise est négatif pour les observations de bénéfices inattendus positifs, alors qu'il est positif pour les observations de bénéfices inattendus négatifs. Ces résultats persistent une fois les rendements ajustés pour tenir compte de l'incidence de la taille de l'entreprise. Faute de fondements économiques sur lesquels appuyer ce genre d'évaluation en fonction de la taille de l'entreprise en tant que telle, les auteurs ont puisé dans les écrits existants relatifs au marché des capitaux deux explications possibles de l'incidence positive ou négative de la taille: l'erreur de mesure de la variable substitutive des bénéfices inattendus utilisée par le chercheur et l'estimation restreinte des coefficients de réaction aux bénéfices. Dans un cas comme dans l'autre, il semble que la taille de l'entreprise puisse servir de substitut lorsque certaines définitions de la relation entre les rendements anormaux cumulatifs et les bénéfices inattendus sont erronées. L'incidence positive ou négative de la taille demeure après l'application de nombreux procédés visant à atténuer l'influence de chacune de ces erreurs de définition. Les auteurs cernent les conséquences que peut entraîner la négligence de l'incidence positive ou négative anormale de la taille, dans le cas d'études portant sur la relation entre les rendements anormaux cumulatifs et les bénéfices inattendus. Les études en cause sont celles dans lesquelles est omise la taille de l'entreprise (le coefficient de la réaction estimée aux bénéfices étant alors biaisé à la hausse), celles qui font intervenir la taille de l'entreprise à titre de variable additive linéaire (le coefficient estimé relatif à la taille de l'entreprise ne pouvant être interprété, de façon générale) et celles qui font intervenir d'autres variables en corrélation avec la taille de l'entreprise (leurs coefficients estimés étant, dans ce cas, habituellement faussés).  相似文献   

8.
Abstract. The results of prior studies on the information content of inflation-adjusted data in general, and of the SFAS 33 pronouncement in particular, have been mixed. The present study is motivated by the need to address further the relevance of SFAS 33 data to decisions made by security-market participants. The relevance of the SFAS 33 data is assessed in two contexts: (1) the association of security returns with inflation-adjusted and historical cost based earnings, and (2) the SFAS 33 data's ability, in a one-period-ahead prediction of security returns in comparison with the traditional historical cost model. The association test leads to mixed and inconclusive results. The predictive ability test indicates that several inflation-adjusted measures of firms' earnings outperformed the historical cost earnings measure for 1981 and 1982. The latter results were not sensitive to the form of user loss function, sample size, and type of sample. These results may suggest that the recent decision by the FASB to make reporting according to the SFAS 33 pronouncement optional was premature. Résumé. Les résultats d'études précédentes sur le contenu informationnel des données ajustées pour tenir compte des effets de l'inflation en général, et de l'émission par le FASB de la Norme no33 en particulier, ont été mixtes. L'étude qui suit se justifie par la nécessité de se pencher davantage sur la pertinence des données selon la Norme no 33 relativement aux décisions prises par les intervenants sur le marché des valeurs mobilières. Les auteurs évaluent la pertinence des données selon la Norme no 33 dans deux contextes: 1) l'association du rendement des titres aux bénéfices ajustés pour tenir compte des effets de l'inflation et aux bénéfices exprimés à la valeur d'origine et 2) la valeur des données selon la Norme no 33 dans la prévision, un exercice à l'avance, du rendement de titres par comparaison au modèle traditionnel du coût d'origine. Le test d'association mène à des résultats mixtes et non concluants. Le test de la valeur de prédiction indique que plusieurs mesures des bénéfices ajustées pour tenir compte des effets de l'inflation sont supérieures à la mesure des bénéfices au coût d'origine pour 1981 et 1982. Ces derniers résultats n'ont pas été sensibles à la forme de la fonction de perte de l'utilisateur, à la taille de l'échantillon et au type d'échantillon. Ces résultats donnent à penser que la décision récente du FASB de rendre facultative l'application de la Norme no33 en matière de publication d'information était prématurée.  相似文献   

9.
Abstract. One of the objectives of segment reporting, as expressed in the FASB's Statement of Financial Accounting Standards Number 14, is to enable investors to improve their assessments of companies' opportunities for future growth. Implicit in this idea are the assumptions that (1) industry membership provides information on companies' growth prospects, and (2) segment data provide incremental information over consolidated data for assessing industry-related growth prospects. This research examines these assumptions by using an informational perspective for earnings. The informational perspective on accounting information posits that a role of accounting data such as earnings is to alter investors' beliefs about a company's future dividend paying ability, as reflected in its prospective cash flows. Specifically, this study shows that the relationship between earnings amounts and current security prices depends on whether the earnings originate from high growth or low growth industries, as defined in the paper. Furthermore, segment data appear to improve the informativeness of such an earnings classification for explaining security prices. The results suggest that investors use information on industry growth prospects in analyzing individual companies, and that segment information plays a useful role in improving such analyses. Résumé. L'un des objectifs de l'information sectorielle, tel qu'il est exprimé dans le Statement of Financial Accounting Standards No. 14 du FASB, est de permettre aux investisseurs d'évaluer avec plus de précision le potentiel de croissance des entreprises. Certaines hypothèses sont implicites à cet objectif: 1) l'appartenance au secteur donne accès à de l'information sur les perspectives de croissance des entreprises et 2) les données sectorielles offrent un supplément d'information, par rapport aux données consolidées, dans l'évaluation des perspectives de croissance liées au secteur. L'auteur examine ces hypothèses dans l'optique du contenu informationnel des bénéfices. Cette optique sur l'information comptable établit le principe selon lequel l'un des rôles de données comptables telles que les bénéfices consiste à modifier les convictions des investisseurs au sujet du potentiel de l'entreprise en termes de dividendes, tel que le reflètent ses flux monétaires éventuels. L'étude démontre précisément que la relation entre le montant des bénéfices et le cours des titres dépend du fait que les bénéfices proviennent de secteurs à forte ou à faible croissance, selon la définition du texte. De plus, les données sectorielles semblent améliorer le pouvoir explicatif de cette classification des bénéfices quant au cours des titres. Les résultats obtenus laissent supposer que les investisseurs utilisent l'information sur les perspectives de croissance du secteur dans l'analyse des différentes sociétés, et que cette information sectorielle joue un rôle appréciable dans l'amélioration de ce genre d'analyse.  相似文献   

10.
Abstract. Valuation theory recognizes that the relation between earnings innovations and changes in security valuation is increasing in the persistence of the earnings innovations. Analyses in this article reveal that the present value of revisions in expected future benefits is a function of the length of revision horizon, suggesting that earnings persistence is determined, in part, by an entity's going-concern status. These analyses predict an inverse relation between earnings informativeness and an entity's probability of termination. Drawing on a sample of quarterly earnings and returns data from more than 1,500 distinct firms for the period 1981–1990, a statistically significant inverse relation is documented between an entity's probability of termination and the informativeness of earnings—the latter measured as the coefficient from a regression of returns on earnings. Further empirical analyses reveal that this result is a pervasive economic phenomenon not attributable to extreme conditions or other prevailing explanations of earnings informativeness. This inference is robust to variations in research design, including measurement of earnings informativeness and of termination probability and alternative specifications of the relation between returns and earnings. Consequently, the evidence in this article is consistent with a fundamental role for an entity's going-concern status in determining the usefulness of earnings. Résumé. La théorie de l'évaluation reconnaît le fait que la relation entre les nouvelles informations relatives au bénéfice net et les changements dans l'évaluation des titres s'intensifie lorsque persistent lesdites informations. Les analyses réalisées par les auteurs révèlent que la valeur actualisée des rajustements dans les gains futurs espérés dépend de l'horizon du rajustement, ce qui donne à penser que la persistance du bénéfice net est en partie fonction de la continuité de l'exploitation de l'entreprise. Selon ces analyses, le potentiel informatif du bénéfice net devrait être en relation inverse avec la probabilité de fermeture de l'entité. En s'appuyant sur un échantillon de données trimestrielles relatives au bénéfice net et au rendement recueillies auprès de plus de 1500 entreprises distinctes pour la période 1981–1990, les auteurs observent une relation inverse statistiquement significative entre la probabilité de fermeture d'une entité et le potentiel informatif du bénéfice—ce dernier étant mesuré sous forme de coefficient, au moyen d'une régression des rendements sur les bénéfices. D'autres analyses empiriques révèlent que cette conclusion est un phénomène économique répandu qui n'est pas attribuable à des conditions extrêmes ou à d'autres explications prédominantes du potentiel informatif du bénéfice net. Cette inference résiste aux variations dans le plan de recherche, y compris la mesure du potentiel informatif du bénéfice net et de la probabilité de fermeture, et les autres caractéristiques possibles de la relation entre le rendement et le bénéfice. Les résultats obtenus confirment donc que la continuité de l'exploitation joue un rôle fondamental dans la détermination de l'utilité du bénéfice net.  相似文献   

11.
Abstract. This study develops and tests the proposition that corporate merger transactions give rise to changes in the association between firm accounting earnings and security returns. A model of the effect of merger transactions on stock price responses to information releases suggests that the earnings response coefficient of a postmerger entity is a weighted average of the earnings response coefficients of the combining firms, with the weights depending on relative earnings variability of the combining firms. Empirical results, based on a sample of 90 mergers completed over a 12-year period, are consistent with the model. Résumé. L'auteur élabore et vérifie une proposition selon laquelle les opérations de fusion donnent lieu à des changements dans la relation entre les bénéfices comptables de l'entreprise et le rendement de ses titres. Selon le modèle de l'incidence des opérations de fusion sur la réaction du cours des valeurs mobilières à la communication d'information, le coefficient de réaction des bénéfices d'une entité résultant d'une fusion est la moyenne pondérée des coefficients de réaction des bénéfices des entreprises qui fusionnent, les pondérations dépendant de la variabilité relative des bénéfices des entreprises constituantes. Les résultats empiriques, fondés sur un échantillon de 90 fusions s'échelonnant sur une période de plus de 12 ans, confirment la validité du modèle.  相似文献   

12.
Abstract. Following a five year moratorium on adoption of interest capitalization by the SEC, the Financial Accounting Standards Board issued SFAS No. 34 mandating that firms previously writing off interest charges related to the construction of assets change to capitalizing those charges. The purpose of this study is to analyze the impact of this change in terms of the security market's reactions both to policy announcements leading up to the promulgation of SFAS No. 34, and to earnings announcements following implementation by affected companies. Significant average market reactions are indicated for two of ten policy announcements before the effects of firm size are considered; however, significance disappears when those effects are removed from excess returns. Although a bias is detected in the forecasts of analysts consistent with less than full revision to include the earnings impact, there is little evidence of market reactions to announcements of those earnings. Résumé. Après un moratoire de cinq ans sur l'adoption de la capitalisation de l'intérêt par la S.E.C., le Financial Accounting Standards Board a émis le bulletin numéro 34 qui demande aux entreprises qui passaient aux dépenses les charges d'intérêts reliées à la construction d'actifs, de les capitaliser. L'objectif de cette étude, est d'analyser l'impact de ce changement (en termes des réactions du marché des valeurs) aux annonces de politiques qui ont conduit à la promulgation du bulletin 34 et aux annonces de bénéfices qui ont suivi l'implantation pour les compagnies touchées. Les réactions du marché en moyenne sont significatives pour deux des dix annonces de politiques, avant de prendre en considération les effets de l'ampleur de la firme; cependant, ce n'est plus significatif lorsque ces effets sont retranchés des rendements excédentaires. Quoiqu'un biais soit détecté dans les prévisions des analystes, en accord avec une révision moins que complète pour inclure l'impact des bénéfices, il y a peu d'évidence des réactions du marché aux annonces de ces bénéfices.  相似文献   

13.
Abstract. This paper investigates whether entrepreneurs manipulate earnings in the periods prior to taking their firms public through the choice of accounting conventions. The preponderance of evidence, using powerful accrual tests that were able to detect earnings management in other contexts, indicates little, if any, manipulation. To the extent that there is earnings management, the results suggest that this phenomenon is more pronounced among small firms and among firms with large financial leverage and is to a lesser degree related to the quality of the underwriters and auditors employed when going public. Résumé. Les auteurs ont voulu savoir si les entrepreneurs manipulaient les bénéfices dans les exercices précédant un appel public à l'épargne par le truchement du choix des normes et conventions comptables. La prépondérance des preuves recueillies à l'aide des puissantes techniques existantes de sondage des produits et des charges visant à déceler les cas d'? accommodation » des bénéfices dans d'autres contextes, révèle une faible manipulation, sinon aucune. Dans la mesure où il y a accommodation des bénéfices, les résultats obtenus donnent à penser que le phénomène est davantage accentué chez les entreprises de petite taille ou dont le levier financier est élevé, et qu'il est relié de façon plus ténue à la qualité des preneurs fermes et des vérificateurs à qui l'entreprise a recours lorsqu'elle fait appel public à l'épargne.  相似文献   

14.
Abstract. This study extends the growing literature on the deteminants of the variation in the relationship between unexpected earnings and abnormal security returns (the earnings response coefficient). We hypothesize that the firm's default risk as measured by financial leverage would affect the earnings response coefficient. We test this hypothesis by partitioning firms according to (1) the existence of debt in the capital structure (all-equity versus levered firms) and (2) the level of leverage (low-leverage versus high-leverage firms). The results are generally consistent with our hypothesis. Specifically, we find that the earnings response coefficients are larger for all-equity and low-leverage firms vis-à-vis matched-levered and high-leverage firms, even after controlling for the effects of equity beta, persistence, risk premium, and measurement error in unexpected earnings. Our findings are also robust with respect to the choice of earnings measure, either before or after interest charges. Résumé. L'étude s'inscrit dans le prolongement des travaux de plus en plus nombreux portant sur les déterminants de la fluctuation de la relation entre les bénéfices imprévus et les rendements anormaux des titres (le coefficient de réponse des bénéfices). Les auteurs posent l'hypothèse que le risque de non-paiement de l'entreprise, mesuré en termes de levier financier, influe sur le coefficient de réponse des bénéfices. Les auteurs testent cette hypothèse en classant les entreprises selon 1) l'existence ou non de capitaux empruntés dans la structure du capital (entreprises dont les capitaux sont exclusivement des capitaux propres par rapport aux entreprises dont les capitaux sont en partie empruntés) et 2) l'importance du levier financier (entreprises dont le levier financier est faible par rapport aux entreprises dont l'importance du levier financier est élevée). Dans l'ensemble. les résultats confirment l'hypothèse. De façon plus précise, les coefficients de réponse des bénéfices sont plus élevés pour les entreprises dont les capitaux sont exclusivement des capitaux propres et les entreprises dont le levier financier est faible, par rapport aux entreprises, classées selon la taille et le secteur d'activité, dont les capitaux sont davantage constitués de capitaux empruntés et dont le levier financier est élevé, même lorsque sont contrôlées les répercussions du bêta des capitaux propres, de la persistance, de la prime de risque et de l'erreur de mesure des bénéfices imprévus. Les résultats de leur étude résistent également à l'analyse lorsqu'ils font intervenir le choix de la mesure des bénéfices, avant ou après avoir tenu compte des intérêts débiteurs.  相似文献   

15.
Abstract. This study investigates firms subject to accounting enforcement actions by the Securities and Exchange Commission for alleged violations of Generally Accepted Accounting Principles. We investigate: (i) the extent to which the alleged earnings manipulations can be explained by extant earnings management hypotheses; (ii) the relation between earnings manipulations and weaknesses in firms' internal governance structures; and (iii) the capital market consequences experienced by firms when the alleged earnings manipulations are made public. We find that an important motivation for earnings manipulation is the desire to attract external financing at low cost. We show that this motivation remains significant after controlling for contracting motives proposed in the academic literature. We also find that firms manipulating earnings are: (i) more likely to have boards of directors dominated by management; (ii) more likely to have a Chief Executive Officer who simultaneously serves as Chairman of the Board; (iii) more likely to have a Chief Executive Officer who is also the firm's founder, (iv) less likely to have an audit committee; and (v) less likely to have an outside blockholder. Finally, we document that firms manipulating earnings experience significant increases in their costs of capital when the manipulations are made public. Résumé. Les auteurs analysent les entreprises assujetties aux mesures d'exécution prises par la Securities and Exchange Commission dans les cas de présomption de transgression des principes comptables généralement reconnus. Ils s'intéressent aux aspects suivants de la question: i) la mesure dans laquelle les présomptions de manipulations des bénéfices peuvent être expliquées par les hypothèses existantes de gestion des bénéfices; ii) la relation entre les manipulations de bénéfices et les faiblesses des structures de régie interne des entreprises; et iii) la réaction du marché financier à l'endroit des entreprises au sujet desquelles les présomptions de manipulation des bénéfices sont rendues publiques. Les auteurs constatent qu'un incitatif majeur à la manipulation des bénéfices est le désir d'obtenir du financement externe à moindre coût. Ils démontrent que cet incitatif demeure important même après le contrôle des motifs contractuels que mettent de l'avant les travaux théoriques. Ils constatent également que les entreprises qui manipulent les bénéfices sont: i) davantage susceptibles d'avoir des conseils d'administration dominés par la direction; ii) davantage susceptibles d'avoir un chef de la direction qui joue simultanément le rôle de président du conseil; iii) davantage susceptibles d'avoir un chef de la direction qui est également le fondateur de l'entreprise; iv) moins susceptibles d'avoir un comité de vérification; et v) moins susceptibles d'avoir un bloc de titres détenus par un actionnaire extérieur. Enfin, les auteurs établissent le fait que le coût du capital, pour les entreprises qui manipulent les bénéfices, enregistre des hausses appréciables lorsque ces manipulations sont rendues publiques.  相似文献   

16.
Abstract. Disclosure timeliness is of concern because a report's usefulness may be inversely related to the reporting delay. Although longer delays increase the likelihood that some of the information contained in annual earnings disclosures will be preempted by information from more timely sources, previous research investigating the relation between earnings-disclosure timeliness and the intensity of the associated market reaction has reported mixed results. These inconclusive findings may be at least partially due to the effects of a potentially confounding variable — firm size — which may have offset the reporting delay effect. Large firms usually disclose earnings relatively early, but the associated market reaction tends to be small due to the size effect. Small firms disclose later, but their associated market reaction tends to be high due to the size effect. Consequently, this study employs a multivariate approach, which controls for firm size, in investigating the relationship between the timeliness of annual earnings disclosure and the associated security price reaction. The study's results support the hypothesis that after controlling for firm size, the length of the reporting delay is inversely related to the magnitude of report period price revaluations. That is, longer delays are associated with smaller market reactions, when firm size is held constant. There is some evidence that this relation may be stronger for earnings announcements which convey “bad news.” Résumé. La publication rapide de l'information est un sujet de préoccupation, puisque l'utilité d'un rapport risque d'être inversement proportionnelle au délai de publication. Bien que des délais plus longs augmentent la probabilité que certaines des informations contenues dans la publication annuelle des bénéfices aient déjà été obtenues de sources plus rapides, de précédents travaux de recherche analysant la relation entre la rapidité de la publication des bénéfices et l'intensité de la réaction du marché à l'information publiée ont abouti à des résultats mixtes. Ces résultats non concluants peuvent être au moins en partie attribuables à l'incidence d'une variable pouvant porter à confusion — celle de la taille de l'entreprise — susceptible d'avoir compensé l'incidence du délai de publication. Les entreprises de taille importante publient habituellement leurs bénéfices assez tôt, mais la réaction du marché à cette information tend à être mitigée, à cause de l'incidence de la taille. Les petites entreprises publient plus tard l'infonnation relative aux bénéfices, mais la réaction du marché à cette information a tendance à être marquée, à cause de l'incidence de la taille. En conséquence, les auteurs ont opté dans la présente étude pour une méthode à plusieurs variables permettant de contrôler la taille de l'entreprise dans l'analyse de la relation entre la rapidité de la publication des bénéfices annuels et la réaction du prix de Taction à cette information. Les résultats de l'étude viennent confirmer l'hypothèse selon laquelle, lorsque la taille de l'entreprise n'influe pas, la longueur du délai de publication est en relation inverse avec l'ampleur des réévaluations de prix correspondant à la période de publication. En d'autres termes, des délais plus longs sont associés aux réactions plus mitigées du marché, la taille de l'entreprise étant constante. Certaines informations démontrent que cette relation peut être plus marquée pour la publication de bénéfices qui véhiculent de « mauvaises nouvelles ».  相似文献   

17.
Abstract. This paper examines stock market behavior associated with interim earnings and marketing-production disclosures by NYSE industrial corporations during 1905–10. Mean stock price changes are examined to assess whether these firms were more likely to disclose favorable information. We also examine the magnitude of price changes and trading volume to provide evidence on the credibility of these disclosures as perceived by investors. The sample and time period we examine enable us to evaluate the stock market effects of interim disclosures in a discretionary disclosure environment. We find no evidence that these firms were more likely to selectively disclose favorable interim information based on contemporaneous stock price changes. Also, no significant differences are detected in the incidence of interim disclosure before dividend or annual earnings increases compared to dividend cuts/omissions or annual earnings declines. We also document increased trading volume in the announcement week and prior weeks, but significant price changes are restricted to the preannouncement period. These results are driven by firms that do not frequently disclose interim information, and these firms' disclosures are frequently accompanied by concurrent news items (in particular, new financings). Price and volume results are weakly sensitive to the exclusion of cases with concurrent news items. Collectively, our results suggest no systematic tendency to disclose favorable information and managerial disclosures were at least partially credible in the early 20th century disclosure environment. Résumé. Les auteurs examinent la réaction du marché des valeurs mobilières à la publication d'information périodique relative aux bénéfices ainsi qu'à la production et au marketing, par les sociétés industrielles dont les titres étaient inscrits à la Bourse de New York durant la période 1905–1910 et s'intéressent aux variations du cours moyen des titres, afin d'évaluer si ces sociétés étaient davantage enclines à publier de l'information favorable. Ils examinent également l'ampleur des variations du cours des titres et du volume des opérations afin d'établir comment les investisseurs percevaient la crédibilité de l'information publiée. Les variations du cours des titres observées à l'époque ne permettent pas de conclure que ces sociétés étaient davantage enclines à sélectionner l'information périodique la plus favorable, et les auteurs ne détectent pas non plus de différences significatives dans les conséquences de la publication d'information périodique préalablement à des hausses de dividendes ou de bénéfices annuels, par rapport à des réductions ou des omissions de dividendes ou des diminutions des bénéfices annuels. Dans l'ensemble, les résultats portent à croire qu'il n'y a pas de tendance systématique à la publication d'information favorable, et que l'information publiée par la direction est au moins en partie crédible dans le contexte du début du XXe siècle.  相似文献   

18.
Abstract. The weak correlation between accounting earnings and security returns documented by numerous empirical studies is an issue of concern in current accounting research. Given that price is determined not solely by accounting earnings but also by other sources of information about future earnings, this paper focuses on the relation between earnings and other information to understand the returns-earnings association. The analysis indicates that current earnings exhibit high explanatory power for returns if they correlate with expected future earnings (or with other information that reflects expected future earnings). A high price-to-earnings (P/E) ratio coupled with a high return on equity (ROE) can ex ante indicate earnings growth, and the earnings of firms with these attributes are positively correlated with future earnings. The high-growth subset obtains an impressive returns-earnings R2 of 31 percent and an earnings coefficient of 6.17, demonstrating that it is possible to identify firms whose earnings are strongly correlated with returns using a parsimonious set of firm characteristics. Résumé. La faible corrélation entre les bénéfices comptables et le rendement des titres de placement sur laquelle se sont penchés de nombreux auteurs d'études empiriques retient aujourd'hui l'attention des chercheurs en comptabilité. Le cours des titres étant déterminé non seulement par les bénéfices comptables mais aussi par d'autres sources d'information relative aux bénéfices futurs, l'auteur s'intéresse ici à la relation entre les bénéfices et d'autres renseignements, dans le but d'expliquer le lien entre rendement et bénéfices. L'analyse révèle que les bénéfices courants ont un pouvoir explicatif élevé à l'égard du rendement si ce dernier est en corrélation avec les bénéfices futurs prévus (ou avec d'autres renseignements indicateurs des bénéfices futurs prévus). Un ratio cours/bénéfice élevé associé à un rendement des capitaux propres élevé peut indiquer, ex ante, une croissance des bénéfices, et les bénéfices des entreprises qui possèdent ces caractéristiques sont en corrélation positive avec les bénéfices futurs. Le sous-groupe des entreprises à forte croissance obtient un R2 étonnant de 31 pour cent, résultat d'une analyse de régression du rendement par rapport aux bénéfices, et un coefficient de bénéfices de 6,17, ce qui démontre qu'il est possible de déterminer quelles sont les entreprises dont les bénéfices présentent une forte corrélation avec le rendement, lorsqu'on utilise un ensemble parcimonieux de caractéristiques des entreprises.  相似文献   

19.
Abstract. In this paper we examine the relation between a firm's stock return and the earnings of other firms in the same industry, controlling for the firm's own earnings. We present a model in which the sign of this relation depends on the relative uncertainty there is about the size of the total industry value versus the division of that value between firms. We document considerable cross-industry variation in the relation between a firm's return and other firms' earnings, and demonstrate empirically that the sign of the relation depends on information provided prior to the industry earnings announcement period. Résumé. Les auteurs examinent la relation entre le rendement de l'action d'une société et les bénéfices des entreprises appartenant au même secteur d'activité, en veillant à contrôler les bénéfices de la société en question. Dans le modèle qu'ils proposent, le sens (positif ou négatif) de cette relation dépend de l'incertitude relative qui caractérise l'importance de la valeur globale du secteur d'activité par rapport au partage de cette valeur entre les entreprises qui le constituent. Les auteurs ont recueilli quantité d'information confirmant l'existence d'une forte variation dans la relation entre le rendement des actions d'une entreprise et les bénéfices des autres entreprises d'un même secteur; ils démontrent aussi empiriquement que le sens de la relation dépend de l'information produite avant la période où les bénéfices du secteur sont communiqués.  相似文献   

20.
Abstract. This paper models the relation between a firm's market value and accounting data concerning operating and financial activities. Book value equals market value for financial activities, but they can differ for operating activities. Market value is assumed to equal the net present value of expected future dividends, and is shown, under clean surplus accounting, to also equal book value plus the net present value of expected future abnormal earnings (which equals accounting earnings minus an interest charge on opening book value). A linear model specifies the dynamics of an information set that includes book value and abnormal earnings for operating activities. Model parameters represent persistence of abnormal earnings, growth, and accounting conservatism. The model is sufficiently simple to permit derivation of closed form expressions relating market value to accounting data and other information. Three kinds of analyses develop from the model. The first set deals with value as it relates to anticipated realizations of accounting data. The second set examines in precise terms how value depends on contemporaneous realizations of accounting data. The third set examines asymptotic relations comparing market value to earnings and book values, and how earnings relate to beginning of period book values. The paper demonstrates that in all three sets of analyses the conclusions hinge on the extent to which the accounting is conservative as opposed to unbiased. Further, the absence/presence of growth in operating activities is relevant if, and only if, the accounting is conservative. Résumé. Les auteurs présentent sous forme de modèle la relation entre la valeur marchande d'une entreprise et les données comptables relatives à ses activités d'exploitation et ses activités financières. La valeur comptable est égale à la valeur marchande lorsqu'il s'agit d'activités financières, mais elle peut être différente dans le cas des activités d'exploitation. Les auteurs supposent que la valeur marchande est égale à la valeur actualisée nette des dividendes futurs prévus et démontrent que, lorsqu'on applique la méthode du résultat global, la valeur marchande est aussi égale à la valeur comptable additionnée de la valeur actualisée nette des bénéfices extraordinaires futurs prévus (qui sont égaux aux bénéfices comptables diminués de frais d'intérêt implicites sur la valeur comptable nette). Un modèle linéaire précise la dynamique d'un ensemble de données, incluant la valeur comptable et les bénéfices extraordinaires, relatives aux activités d'exploitation. Les paramètres du modèle traduisent la persistance des bénéfices extraordinaires, la croissance et le principe de prudence. Le modèle est suffisamment simple pour permettre de dériver des expressions fermées qui mettent en relation la valeur marchande et les données comptables et autres. Du modèle se dégagent trois formes d'analyses. La première porte sur la valeur, dans sa relation avec la matérialisation anticipée des données comptables. La deuxième porte sur l'examen précis du lien entre la valeur et la matérialisation actuelle des données comptables. Enfin, la troisième porte sur l'examen des relations asymptotiques à travers lesquelles se comparent la valeur marchande, d'une part, et les bénéfices et la valeur comptable, d'autre part, ainsi que sur la façon dont les bénéfices se rattachent aux valeurs comptables du début de l'exercice. Les auteurs établissent que dans les trois formes d'analyses, les conclusions s'orientent vers la mesure dans laquelle, dans le domaine comptable, l'accent est mis sur la prudence par opposition à l'impartialité. En outre, l'absence ou la présence de croissance dans les activités d'exploitation n'est pertinente que si et seulement si le principe de prudence est appliqué à la comptabilité.  相似文献   

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