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1.
Abstract. This article examines the impact of one form of sales seasonality on the response of equity returns to earnings announcements in different quarters. We regress unexpected announcement period returns on unexpected earnings and compare the results for seasonal firms—those with sales consistently concentrated in the same quarter each year—to those of other firms. For seasonal firms, we find robust evidence of a greater regression intercept and some evidence of a greater earnings response coefficient in peak sales quarters than in nonpeak quarters. These results are consistent with a greater resolution of the uncertainty about seasonal firms' prospects in their peak sales quarters than in other quarters. Our evidence also shows that fourth-quarter earnings announcements have smaller stock price response coefficients than do interim announcements. Some prior has found smaller fourth-quarter earnings response coefficients for small but not large firms. We find some evidence that fourth-quarter earnings response coefficients are smaller than interim-quarter response coefficients for large firms as well as for small firms. This suggests that explanations for smaller fourth-quarter earnings response coefficients need to be applicable to both large and small firms. Résumé. Les auteurs examinent, pour différents trimestres, l'incidence d'une forme de caractère saisonnier des ventes sur la réaction du rendement des actions aux déclarations de bénéfices. Ils effectuent une analyse de régression des rendements imprévus des trimestres par rapport aux bénéfices imprévus et comparent les résultats obtenus dans le cas des entreprises dont les activités sont saisonnières—c'est-à-dire dont les ventes sont systématiquement concentrées dans le même trimestre chaque année—aux résultats obtenus dans le cas des autres entreprises. Dans le cas des entreprises dont les activités sont saisonnières, les résultats de l'analyse démontrent vigoureusement que l'intersection de la régression est supérieure et confirment avec moins de fermeté que le coefficient de réaction aux bénéfices déclarés est supérieur pour les trimestres où le volume des ventes culmine, par rapport aux autres trimestres. Ces résultats permettent de conclure à une plus grande résorption de l'incertitude relative aux perspectives des entreprises dont les activités ont un caractère saisonnier dans les trimestres où les ventes de ces entreprises culminent que dans les autres trimestres. Les résultats de l'analyse démontrent également que les déclarations de bénéfices au quatrième trimestre donnent lieu à des coefficients plus faibles de réaction du cours des actions que les déclarations des trimestres intermédiaires. Certains travaux antérieurs ont établi que les coefficients de réaction aux déclarations de bénéfices du quatrième trimestre étaient plus faibles pour les petites entreprises que pour les grandes. L'analyse des auteurs tend ici à démontrer que les coefficients de réaction aux déclarations de bénéfices du quatrième trimestre sont plus faibles que les coefficients de réaction des trimestres intermédiaires pour les grandes entreprises aussi bien que pour les petites entreprises. Ces constatations donnent à penser que les facteurs qui expliquent les coefficients de réaction plus faibles aux déclarations de bénéfices du quatrième trimestre devraient pouvoir s'appliquer tant aux grandes qu'aux petites entreprises.  相似文献   

2.
Abstract. This paper examines how analysts combine earnings and dividend information when they predict future earnings. Because both earnings and dividends are noisy indications of future earnings, we posit that analysts use the two corroboratively, to confirm the information reflected in each, and that analysts will substitute away from earnings when it is noisy and toward dividends. Using regressions of analysts' earnings forecast revisions on unexpected earnings, unexpected dividends, and five variables that reflect whether the signs of unexpected earnings and dividends confirm or contradict each other, we find evidence of both corroboration and substitution. Analysts' earnings forecast revisions are significantly related to the five corroborative variables, and this relation has statistically significant explanatory power beyond that in the magnitudes of unexpected earnings and unexpected dividends. Consistent with expectations, we find that the evidence of corroboration varies across the noisiness of earnings information; there is more evidence of corroboration when earnings are more variable. We also find evidence consistent with analysts substituting away from earnings, toward dividend information for firms with noisy earnings information (high variance). Overall, the results imply that analysts use earnings and dividend information interdependently, with some interdependency determined by the noisiness of earnings announcements. Résumé. Les auteurs examinent comment les analystes combinent l'information relative aux bénéfices et aux dividendes pour prévoir les bénéfices futurs. Les bénéfices et les dividendes étant tous deux des indicateurs imparfaits des bénéfices futurs, les auteurs posent l'hypothèse que les analystes utilisent les deux, à titre corroboratif, pour confirmer l'information que livre chacun de ces indicateurs et qu'ils préféreront les dividendes aux bénéfices, si ces derniers se révèlent un indicateur imparfait. En procédant à la régression des révisions des prévisions de bénéfices des analystes sur les bénéfices imprévus, sur les dividendes imprévus et sur cinq variables indiquant si les pronostics de bénéfices et de dividendes imprévus se confirment ou s'infirment les uns les autres, les auteurs enregistrent des données qui vont à la fois dans le sens de la corroboration et de la substitution. Les révisions des prévisions de bénéfices des analystes présentent une relation significative avec les cinq variables de corroboration, relation qui affiche un pouvoir d'explication statistiquement significatif, au-delà de celui de l'ampleur des bénéfices imprévus et des dividendes imprévus. Conformément aux prévisions, les auteurs constatent que la preuve de corroboration varie selon le degré d'imperfection de l'information relative aux bénéfices; les preuves de corroboration sont plus fortes lorsque les bénéfices varient davantage. Les auteurs font également état de constatations conformes à l'hypothèse selon laquelle les ana lystes écartent l'information relative aux bénéfices pour y substituer l'information relative aux dividendes dans le cas d'entreprises dont l'information relative aux bénéfices est imparfaite (variance élevée). Dans l'ensemble, les résultats invitent à la conclusion que les analystes utilisent l'information relative aux bénéfices et aux dividendes de manière interdépendante, une partie de cette interdépendance étant déterminée par l'imperfection de l'information communiquée en ce qui a trait aux bénéfices.  相似文献   

3.
Résumé. La profession comptable et de vérification fait grand usage de mots pour communiquer les niveaux d'incertitude dans des situations formelles et informelles s'étendant des déclarations du Manuel, en passant par les documents de travail jusqu'aux communications de tous les jours. La littérature comptable ne présente pas de recherches sur le niveau d'ambiguïté dans les interprétations de telles communications ou sur les facteurs qui pourraient potentiellement influencer cette ambiguïté. Cet article fournit un examen détaillé et approfondi de l'ambiguïté des interprétations dans la communication de l'incertitude en faisant usage d'un vocabulaire familier aux comptables et aux vérificateurs. Des niveaux de probabilité moyens furent calculés à partir des réponses à différents mots communément utilisés. Des analyses supplémentaires des interprétations furent entreprises pour comparer différentes méthodes de répondre aux communications. Pour ce faire, nous avons utilisé différentes façons pour évaluer l'impact sur les interprétations et pour comparer les réponses des sujets de différents groupes. Nous avons fait usage de différents designs expérimentaux afin d'assurer la validité interne nécessaire à l'interprétation des résultats de la recherche. La validité externe fut assurée par l'utilisation: de mots communs, de sujets raisonnablement sophistiqués, d'observations à différents moments et en faisant des comparaisons avec les résultats d'expériences dans d'autres cadres. Cet article démontre que l'ambiguïté existe et que cette ambiguïté est raisonnablement stable pour le vocabulaire du comptable. De même, l'ambiguïté peut être augmentée par l'utilisation de modes de réponse difficiles de la part de l'interprète, mais elle ne peut être réduite facilement.  相似文献   

4.
Abstract. This study investigates the relation between disclosure policy and liquidity in equity markets. Disclosure policy influences market liquidity because uninformed investors “price protect” against adverse selection, and this price protection is manifested in market liquidity. Bid-ask spreads, the empirical measure of market liquidity used in this study, are predicted to be inversely related to disclosure policy. In addition, increased trading by informed traders and higher probability of information event occurrence are predicted to both increase spreads and intensify the relation between spreads and disclosure policy. These predictions apply during periods in which no news about the firm is disclosed or pending. The results show that relative bid-ask spreads for firms with disclosure rankings in the bottom third of the empirical distribution are approximately 50 percent higher than spreads for firms with disclosure rankings in the top third of the empirical distribution. Tests that assume endogenous disclosure policy reveal a significant negative relation between disclosure policy and spreads, even after controlling for the effects of return volatility, trading volume, and share price. Tests for cross-sectional variation in spreads and for the sensitivity of spreads to disclosure policy based on informed trade activity and probability of information event occurrence are generally consistent with the predictions, though these results are not statistically significant. The findings of this study are consistent with the notion that a well-regarded disclosure policy reduces information asymmetry and hence increases liquidity in equity markets. Résumé. L'auteur analyse la relation entre la politique d'information et la liquidité des marchés d'actions. La politique d'information influe sur la liquidité du marché, étant donné que les investisseurs non informés se protègent contre les choix préjudiciables en ce qui a trait aux cours, comportement de protection qui se manifeste dans la liquidité du marché. Les écarts entre les cours acheteur et vendeur, la mesure empirique de la liquidité du marché utilisée dans la présente étude, devraient présenter, selon les prévisions, une relation inverse avec la politique d'information. De plus, l'intensification de l'activité des négociateurs informés et la probabilité accrue de l'occurrence d'un événement d'information devraient, selon les prévisions, augmenter tous les deux les écarts et consolider la relation entre les écarts et la politique d'information. Ces prévisions s'appliquent aux cours des périodes dans lesquelles aucune information nouvelle au sujet de l'entreprise n'est publiée ou n'est sur le point de l'être. Les résultats démontrent que les écarts relatifs entre cours acheteur et vendeur des entreprises dont la publication d'information les place dans le tiers inférieur de la distribution empirique sont d'environ 50 pour cent supérieurs aux écarts des entreprises dont la publication d'information les place dans le tiers supérieur de la distribution empirique. Les tests qui supposent une politique d'information endogène révèlent une relation négative significative entre la politique d'information et les écarts, même après avoir contrôlé les conséquences de la volatilité du rendement, le volume des opérations et le cours de l'action. Les tests relatifs à la variation transversale des écarts et de la sensibilité des écarts à la politique d'information, basée sur l'activité de négociation informée et la probabilité d'occurrence d'un événement d'information, sont généralement conformes aux prévisions, bien que les résultats n'en soient pas statistiquement significatifs. Les conclusions de l'étude confirment le principe selon lequel une politique d'information bien pensée réduit l'asymétrie de l'information et, par conséquent, augmente la liquidité des marchés d'actions.  相似文献   

5.
Résumé. Cette étude établit et teste, dans un cadre d'équilibre d'anticipations rationnelles bruité, l'existence d'une relation linéaire formelle entre le prix des titres, la moyenne (le consensus) et la dispersion des anticipations des agents. Les variations de la moyenne et de la dispersion des anticipations des agents, mesurées par les prévisions de bénéfices réalisées par les analystes financiers transmises par I/B/E/S, ont respectivement un effet positif et négatif sur le prix des titres. Les difficultés soulevées par cette estimation, ainsi que les dimensions institutionnelles de l'industrie de l'analyse financière sont examinées. Les principaux résultats sont les suivants: 1) les variations les plus importantes du consensus (en valeur absolue) correspondent aux variations les plus importantes (en valeur absolue) de la dispersion des prévisions d'analystes, 2) les changements dans le consensus et la dispersion des prévisions sont respectivement liés positivement et négativement aux rendements des actions canadiennes mais en raison du décalage entre la réalisation et la diffusion des prévisions, une part importante de l'ajustement de prix a lieu avant la diffusion publique des changements dans les prévisions, 3) l'effet des variations du consensus sur le rendement des titres domine l'effet des variations de la dispersion des prévisions. Il semble donc que l'impact de l'arrivée d'information sur le prix des titres ne dépende pas uniquement du sens et de l'ampleur de la révision moyenne des anticipations, mais aussi du sens et de l'ampleur du changement dans la dispersion des anticipations.  相似文献   

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7.
Abstract. Résumé. Les auteurs proposent une explication des motifs pour lesquels les gestionnaires peuvent opter pour la modification des méthodes comptables. En situation difficile et devant la probabilité sérieuse d'un manquement technique aux clauses restrictives que comportent les contrats d'emprunt de l'entreprise, le gestionnaire est enclin à procéder à des modifications entraînant la hausse des bénéfices dans le but d'esquiver l'éventuel manquement. En posant l'hypothèse de prévisions rationnelles, si les investisseurs ne détiennent aucune information préalable au sujet des difficultés qu'éprouve l'entreprise, la réaction prévisible du marché à l'annonce d'une modification comptable sera négative. Nous postulons que la réaction du marché à cette décision à la date de l'annonce de la modification est en corrélation négative avec le volume d'information que peuvent détenir les investisseurs. Ils auteurs ont sélectionné un échantillon de 77 entreprises dans le but de vérifier leur raisonnement économique. Ds se servent des rendements anormaux constatés à la date de l'annonce pour tester la réaction des investisseurs à la modification comptable. Des tests transversaux associent la réaction des investisseurs à l'information qu'ils détenaient au préalable au sujet de la situation financière des entreprises de l'échantillon. À la date de l'annonce des modifications, les entreprises échantillonnées n'ont pas enregistré de réaction négative du marché qui soit statistiquement significative. Une analyse transversale permet cependant de conclure que le paramètre de la réaction du marché est en corrélation négative significative avec la variable substitutive de l'information préalable.  相似文献   

8.
Abstract. A theory of intrafirm allocation under information asymmetry based on Myerson's general theory of mechanisms is developed. From the general model, it is shown that every Myerson equilibrium resource allocation mechanism is a “cost plus” type of transfer pricing. Specializing the general model to allow risk-neutral agents, we derive the exact form of the compensation schemes in dominant strategy equilibrium transfer pricing mechanism. The general Myerson agency problem is transformed into a central planner's problem enabling us to bypass the first-order approach to the problem. The closed form solution shows that each of the agents' compensation schemes is composed of a profit-sharing component, a cost refund, taxes, and subsidies, making it a Groves-like scheme. Additional results show that if the principal is asymmetrically informed about one of the agents only, the agent may derive rent from private information under monotonic compensation schemes, and we provide additional conditions under which Hirshleifer's classical marginal cost pricing is in equilibrium. Résumé. Les auteurs élaborent une théorie d'affectation des ressources internes au sein de l'entreprise, en situation d'asymétrie de l'information, à partir de la théorie générale des mécanismes de Myerson. En se fondant sur le modèle général, les auteurs démontrent que chaque mécanisme d'affectation des ressources correspondant à l'équilibre de Myerson tient du prix de cession interne de type « prix coûtant majoré ». En spécialisant le modèle général de façon à permettre l'introduction de mandataires neutres à l'égard du risque, ils dérivent la forme exacte de régimes de rémunération correspondant au mécanisme de détermination du prix de cession en situation d'équilibre de la stratégie dominante. Le problème mandant-mandataire général de Myerson se transforme en problème de planificateur central, ce qui permet de court-circuiter le premier ordre d'analyse du problème. La solution de nature fermée révèle que tout régime de rémunération des mandataires est composé d'un élément de participation aux bénéfices, de remboursement de frais, de taxes et de subventions, ce qui l'apparente à celui de Groves. D'autres résultats indiquent que si le mandant obtient de l'information asymétrique de l'un des mandataires seulement, ce dernier peut tirer, dans le cadre de regimes de remuneration monotoniques, un loyer de l'information privilégiée qu'il communique. Les auteurs ajoutent des conditions supplémentaires selon lesquelles l'établissement du prix selon la méthode classique de Hirshleifer en fonction des coûts marginaux est en équilibre.  相似文献   

9.
Abstract. This paper analyzes the decision-facilitating role of external accounting reports in large capital markets in which managers are costlessly motivated to act in the best interests of investors. Given homogeneous beliefs, time-additive preferences, and a sufficient variety of tradeable claims, external accounting reports are shown to provide a basis for Pareto improvements (relative to merely reporting dividends) only if those reports provide a means of making better production decisions. In a large economy, with both economy-wide and firm-specific risks, such improvements are shown to occur if the reports reveal events that affect the future productivity of the economy or individual firms or events that will result in economy-wide windfall gains or losses. However, reports that reveal future firm-specific windfall gains or losses have no value, even though they would affect market prices. Furthermore, while resources will be allocated more efficiently if managers have information about the productivity of their firms, the economy can achieve those efficiency gains without reporting firm-specific productivity information to investors, provided that investors hold well-diversified investment portfolios and are aware of each manager's information structure and decision criterion (which is to maximize the “full information” value of their firms). Résumé. Les auteurs analysent le rôle des rapports comptables externes, lorsqu'il s'agit de faciliter la décision, dans les marchés de capitaux importants dans lesquels les gestionnaires sont motivés à agir dans les meilleurs intérêts des investisseurs, sans que cela n'occasionne de coûts. Etant donné l'homogénéité des convictions, le renforcement des préférences dans le temps et une variété suffisante de créances négociables, il appert que les rapports comptables externes peuvent servir de base aux améliorations au sens de Pareto (relatives à la simple divulgation des dividendes) seulement si ces rapports permettent de prendre de meilleures décisions de production. Dans une grande économie, qui présente des risques tant à l'échelle de l'économie dans son ensemble qu'à l'échelle des entreprises particulières, ces améliorations semblent se produire si les rapports révèlent des événements qui touchent la productivité future de l'économie ou des entreprises particulières ou des événements qui donneront lieu à des gains ou à des pertes à l'échelle de l'économie. Toutefois, les rapports qui révèlent des gains ou des pertes éventuels particuliers à une entreprise n'ont pas de valeur, même s'ils sont susceptibles d'influer sur les prix du marché. En outre, bien que les ressources puissent être réparties de façon plus efficiente si les gestionnaires possèdent de l'information au sujet de la productivité de leur entreprise, l'économie peut réaliser ces gains d'efficience sans faire état aux investisseurs de l'information relative à la productivité particulière à l'entreprise, à condition que les investisseurs détiennent des portefeuilles de placements bien diversifiés et qu'ils soient au fait de la structure d'information et du critère de décision de chaque gestionnaire (qui consiste à maximiser la valeur de «l'information complète» relative à leur entreprise).  相似文献   

10.
Abstract. Generally accepted auditing standards, auditing textbooks, and firm audit manuals indicate that, other things equal, the presence of significant monetary incentives based on financial results increases the inherent risk of material misstatement, and higher inherent risk should ordinarily cause the auditor to exercise a heightened degree of professional skepticism in conducting the audit. This article addresses the following basic research question: Are auditors sensitive to management's incentives to manage earnings? Research that examines whether auditors distinguish between explanations provided by managers with different incentives is important because audit standards indicate that inquiry of management can assist the auditor in evaluating significant unexpected differences. Two experiments were conducted. The first experiment explored whether management-buyout-induced incentives to make income-decreasing accruals affect auditors' judgments of the probability that a material misstatement exists. As predicted, auditors were sensitive to these incentives. The second experiment explored whether bonus-induced incentives affect auditors' judgments of the probability that a material misstatement exists. The auditors agreed that bonus plans such as the one in the experiment create incentives for management to make income-increasing or income-decreasing accruals depending on the terms of the plan. However, the auditors' judgments were unaffected by whether the unexpected difference and management's incentives were congruent. The auditors opted for potential audit effectiveness rather than potential audit efficiency by assuming that—on balance—management had incentives congruent with the unexpected overstatement. Résumé. Selon les normes de vérification généralement reconnues, les manuels de vérification et les guides de vérification des cabinets comptables, toutes choses égales par ailleurs, la présence d'encouragements monétaires substantiels basés sur les résultats financiers accroît le risque inhérent d'inexactitudes importantes, et un risque inhérent supérieur doit normalement amener le vérificateur à exercer davantage de vigilance dans la réalisation de sa mission de vérification. L'auteur s'intéresse à la question fondamentale suivante: les vérificateurs sont-ils sensibles aux motivations de la direction à user d'astuces comptables aux fins de l'établissement des bénéfices? Les recherches visant à déterminer si les vérificateurs établissent une distinction entre les explications fournies par les gestionnaires dont les motivations sont différentes revêtent beaucoup d'importance, compte tenu du fait que les normes de vérification indiquent que les demandes de renseignements de la direction peuvent aider le vérificateur à évaluer les écarts inattendus appréciables. Deux expériences ont été menées. La première avait pour but de déterminer si les motivations à agir sur les comptes de régularisation de manière à réduire les bénéfices, induites par un rachat de l'entreprise par les cadres, ont une incidence sur les jugements des vérificateurs relatifs à la probabilité d'inexactitudes importantes dans les déclarations. Conformément aux prévisions, les vérificateurs se montrent sensibles à ces motivations. La seconde expérience visait à déterminer si les motivations induites par les primes ont une incidence sur les jugements des vérificateurs en ce qui a trait à la probabilité de l'existence d'inexactitudes importantes. Les vérificateurs conviennent que les systèmes de primes, comme celui de la seconde expérience, motivent la direction à agir sur les comptes de régularisation de façon à augmenter ou réduire les bénéfices, selon les conditions du système. Toutefois, les jugements des vérificateurs ne sont pas influencés par le fait que l'écart inattendu dans les bénéfices et la motivation de la direction sont reliés. Les vérificateurs optent pour l'efficacité potentielle de la vérification plutôt que pour son efficience potentielle, en supposant que, dans l'ensemble, la direction présente des motivations qui vont dans le sens des surestimations inattendues en matière de bénéfices.  相似文献   

11.
Abstract. This study proposes that comparison of management earnings forecasts with audited, reported earnings provides an approach to the measurement of audit quality. Assuming that managers have incentives to minimize the difference between forecasted and reported income, higher-quality audit firms will tend to be associated with larger forecast errors. Therefore if, as previous literature suggests, larger auditing firms provide higher-quality audits than do smaller auditing firms, larger auditing firms will tend to be associated with larger forecast errors, all else being equal. Data from the Toronto Stock Exchange are used to examine this proposition. After controlling for client characteristics such as risk, the results indicate that larger auditing firms tend to be associated with larger forecast errors consistent with the proposition that, other things being equal, larger auditing firms provide higher-quality audits than do small auditing firms. Résumé. Les auteurs proposent une technique de mesure de la qualité de la vérification qui consiste à comparer les prévisions de la direction relatives aux bénéfices et les bénéfices déclarés qui ont été vérifiés. Si l'on suppose que les gestionnaires ont intérêt à minimiser l'écart entre les bénéfices prévus et les bénéfices déclarés, les vérificateurs de haut calibre auront tendance à être associés à des erreurs prévisionnelles plus importantes. Par conséquent, si, comme l'ont suggéré les études antérieures, les cabinets d'experts-comptables importants offrent des services de vérification de meilleure qualité que les cabinets d'experts-comptables de taille plus modeste, les cabinets d'experts-comptables importants auront tendance à être associés aux erreurs prévisionnelles plus grandes, toutes choses étant égales. Les auteurs utilisent les données de la Bourse de Toronto pour vérifier cette affirmation. Une fois contrôlées les caractéristiques du client telles que le risque, les résultats indiquent que les cabinets d'experts-comptables de grande taille tendent à être associés aux erreurs prévisionnelles plus importantes, ce qui confirme l'hypothèse voulant que, toutes choses étant égales, les cabinets d'experts-comptables de grande taille offrent des services de vérification de meilleure qualité que les cabinets d'experts-comptables de taille plus petite.  相似文献   

12.
Abstract. This study provides further evidence about whether accounting choice decisions reflect a consistent strategy to manage income by investigating the relation between methods used in financial reports and lobbying positions on accounting for income taxes. A numerical income-strategy score is calculated for each lobbyist based on whether the firm chose an income-increasing or income-decreasing alternative for the following: depreciation, inventory, investment tax credit, and pension amortization. We find that firms lobbying for no tax allocation, the most income-increasing alternative, have higher average income strategies (more income increasing) than firms lobbying for comprehensive allocation, the most income-decreasing alternative. Combining the firms favoring either no allocation or partial allocation (due to the conceptual similarity of these alternatives), we find that their average income strategy score is also higher than firms favoring comprehensive allocation. Further, firms favoring discounting deferred taxes, which would ordinarily increase net income by reducing the deferred portion of income tax expense, employ more income-increasing strategies than firms opposed to discounting. In contrast, the hypothesized relationship was not found between income strategy and when the benefits anticipated from the use of a net operating loss carryforward should be recognized. Nevertheless, the combined lobbying positions differ significantly between both the upper and lower third and upper and middle third of the firms classified by their income strategy scores. We also provide analyses to examine whether income strategies can be used to predict lobbying positions. We find that the associations are not sufficiently strong to do so. Résumé. Les décisions relatives aux choix comptables sont-elles le reflet d'une stratégie uniforme visant la gestion des bénéfices? Les auteurs jettent un éclairage nouveau sur cette question, en analysant la relation entre les méthodes utilisées dans les rapports financiers, et ils approfondissent également celle des positions de lobbying relatives à la comptabilisation des impôts sur le bénéfice. Les auteurs attribuent une note numérique à la stratégie de bénéfice de chaque lobbyiste, selon que l'entreprise a opté pour une méthode qui accroît ou décroît le bénéfice, à l'égard des éléments suivants: l'amortissement, les stocks, le crédit d'impôt à l'investissement et la ventilation des coûts découlant des régimes de retraite. Selon les auteurs, les entreprises qui militent en faveur du non-report des impôts, l'option qui contribue le plus à accroître le bénéfice, poursuivent des stratégies de bénéfice moyen supérieur (contribuant davantage à hausser le bénéfice) que les entreprises qui militent en faveur du report intégral, l'option qui contribue le plus à décroître le bénéfice. Si l'on combine les entreprises qui favorisent le non-report et celles qui favorisent un report partiel (compte tenu de la parenté conceptuelle de ces options), il appert que la note correspondant à leur stratégie de bénéfice moyen est, encore une fois, supérieure à celle des entreprises qui favorisent un report intégral. Plus encore, les entreprises qui favorisent l'actualisation des impôts reportés, ce qui devrait ordinairement accroître le bénéfice net en réduisant la portion différée de la charge fiscale, emploient des stratégies qui accroissent davantage le bénéfice que les entreprises qui s'opposent à l'actualisation. En revanche, la relation dont les auteurs posent l'hypothèse entre la stratégie de bénéfice et le moment de la constatation des avantages que l'on prévoit tirer d'un report prospectif de perte d'exploitation n'a pas été confirmée. Les positions de lobbying combinées s'écartent néanmoins sensiblement si l'on compare le tiers supérieur et le tiers inférieur de même que le tiers supérieur et le tiers médian des entreprises classées en fonction des notes attribuées à leur stratégie de bénéfice. Les auteurs procèdent également à des analyses visant à déterminer si les stratégies de bénéfice peuvent être utilisées pour prévoir les positions de lobbying. Ils en concluent que les associations ne sont pas suffisamment probantes pour permettre ces prévisions.  相似文献   

13.
Résumé. Cette première étude canadienne des prévisions de bénéfices comptables effectuées par les analystes financiers et publiées par l'Institutional Brokers Estimate System (IBES) s'intéresse aux révisions dans les prévisions moyennes de bénéfice par action, pour 159 à 188 entreprises, de 1985 à 1987. L'étude utilise une approche résiduelle pour analyser l'évolution des rendements lors de l'annonce des révisions les plus importantes. Les principaux résultats sont les suivants. Premièrement, l'investisseur qui disposerait des révisions au début du mois où elles sont transmises aux abonnés pourrait réaliser des rendements anormaux. Deuxièmement, l'abonné qui transige sur la base de l'information qu'il reçoit pourrait également développer des stratégies de placement qui généreraient des rendements excédentaires importants. Il devrait pour cela tenir compte simultanément de l'importance relative des révisions, du secteur d'activité des entreprises et de l'horizon des prévisions. Troisièmement, lorsque les prévisions sont publiées, l'information contenue dans les changements importants dans les prévisions a déjà été partieliement anticipée par le marché. Ce résultat confirme ceux obtenus aux États-Unis et en Grande-Bretagne. Enfin, les révisions importantes coïncident avec une période de rendements anormaux. On ne peut cependant pas mettre en évidence de lien de causalité entre la divulgation de ces révisions et les rendements anormaux, car la date où l'information parvient aux utilisateurs ne peut ètre déterminée avec précision. Ces résultats ne varient pas selon le modèle de prévision des rendements utilisé. Ils ne constituent vraisemblablement pas une marque d'inefficience du marché canadien, car l'acquisition, le traitement et l'analyse des données, ainsi que les frais de transaction représentent des coûts importants qui limitent les rendements nets de stratégies de placement basées sur ces données.  相似文献   

14.
Abstract. This study extends the growing literature on the deteminants of the variation in the relationship between unexpected earnings and abnormal security returns (the earnings response coefficient). We hypothesize that the firm's default risk as measured by financial leverage would affect the earnings response coefficient. We test this hypothesis by partitioning firms according to (1) the existence of debt in the capital structure (all-equity versus levered firms) and (2) the level of leverage (low-leverage versus high-leverage firms). The results are generally consistent with our hypothesis. Specifically, we find that the earnings response coefficients are larger for all-equity and low-leverage firms vis-à-vis matched-levered and high-leverage firms, even after controlling for the effects of equity beta, persistence, risk premium, and measurement error in unexpected earnings. Our findings are also robust with respect to the choice of earnings measure, either before or after interest charges. Résumé. L'étude s'inscrit dans le prolongement des travaux de plus en plus nombreux portant sur les déterminants de la fluctuation de la relation entre les bénéfices imprévus et les rendements anormaux des titres (le coefficient de réponse des bénéfices). Les auteurs posent l'hypothèse que le risque de non-paiement de l'entreprise, mesuré en termes de levier financier, influe sur le coefficient de réponse des bénéfices. Les auteurs testent cette hypothèse en classant les entreprises selon 1) l'existence ou non de capitaux empruntés dans la structure du capital (entreprises dont les capitaux sont exclusivement des capitaux propres par rapport aux entreprises dont les capitaux sont en partie empruntés) et 2) l'importance du levier financier (entreprises dont le levier financier est faible par rapport aux entreprises dont l'importance du levier financier est élevée). Dans l'ensemble. les résultats confirment l'hypothèse. De façon plus précise, les coefficients de réponse des bénéfices sont plus élevés pour les entreprises dont les capitaux sont exclusivement des capitaux propres et les entreprises dont le levier financier est faible, par rapport aux entreprises, classées selon la taille et le secteur d'activité, dont les capitaux sont davantage constitués de capitaux empruntés et dont le levier financier est élevé, même lorsque sont contrôlées les répercussions du bêta des capitaux propres, de la persistance, de la prime de risque et de l'erreur de mesure des bénéfices imprévus. Les résultats de leur étude résistent également à l'analyse lorsqu'ils font intervenir le choix de la mesure des bénéfices, avant ou après avoir tenu compte des intérêts débiteurs.  相似文献   

15.
Ce papier porte sur l'analyse de la dynamique des inégalités de revenu au Togo. En se fondant sur les données des enquêtes QUIBB 2006, 2011 et 2015, et en utilisant la méthode de décomposition d'Oaxaca‐Blinder pour les estimations économétriques, les résultats montrent une augmentation des inégalités de revenu entre 2006 et 2015. Les résultats révèlent en outre une augmentation des inégalités sur la même période si on considère le genre et le milieu de résidence. Cependant, il se dégage que l'âge, le milieu de résidence, le niveau d'éducation sont les facteurs qui expliquent significativement les inégalités de revenu entre les hommes et les femmes d'une part et que le niveau d'éducation, la taille du ménage et la région de résidence expliquent significativement les inégalités de revenu entre le milieu urbain et rural d'autre part. Nous utilisons par ailleurs le modèle DER pour capter l'effet de la part du revenu affectée aux différentes consommations des ménages sur les inégalités globales. Les résultats montrent que la part du revenu affecté aux dépenses alimentaires et non alimentaires constituent l'essentiel des sources des inégales entre les ménages.  相似文献   

16.
Abstract. This paper extends the growing literature on factors affecting cross-sectional and intertemporal variation in earnings response coefficients. It tests the empirical implications of recent theoretical work by Choi and Salamon (1989) and Holthausen and Verrecchia (1988), who model the degree of price adjustment associated with earnings announcements as a function of the amount of noise or garbling in the accounting earnings signal relative to valuation-relevant cash flows or dividends. The particular earnings measurements considered relate to U.S. multinational companies and to the differences in income determination under Statement of Financial Accounting Standards (SFAS) No. 8 and SFAS No. 52. The study finds a modestly smaller relative price adjustment for a given amount of unexpected earnings for multinational firms than for nonmultinationals during the SFAS No. 8 period. This finding is consistent with multinationals producing “noisier” earnings signals during this time period. However, several indirect measures suggest that there was greater prior probability uncertainty associated with the future cash flows or dividends of the nonmultinational sample. Accordingly, this cannot be ruled out as a competing explanation for the observed differences in the market's response to earnings signals during the SFAS No. 8 period. Following the implementation of SFAS No. 52, the earnings response coefficient increased substantively for firms whose accounting for translation gains or losses was most affected by this standard. These results suggest that the earnings measurements produced under SFAS No. 52 were perceived by market participants to be of higher quality (less noisy) than those produced under SFAS No. 8. The framework and analysis in this paper hold promise for investigating the relative informativeness of earnings signals produced under alternative income determination rules. Résumé. Les auteurs apportent leur contribution personnelle aux publications de plus en plus nombreuses portant sur les facteurs qui touchent la variation transversale et temporelle des coefficients de réaction aux bénéfices. Ils vérifient les conséquences empiriques des travaux théoriques récents de Choi et Salamon (1989) et de Holthausen et Verrecchia (1988), qui modélisent le degré d'ajustement du cours des valeurs associé aux annonces de bénéfices comme étant fonction de la quantité de parasites ou de l'importance du brouillage dans le signal que constituent des bénéfices comptables par rapport aux flux monétaires ou aux dividendes pertinents à l'évaluation. Les mesures particulières des bénéfices auxquelles s'intéressent les auteurs sont celles de multinationales des États-Unis et font état de la variation des bénéfices, selon qu'ils sont évalués conformément au SFAS no 8 ou au SFAS no 52. Pour un montant donné de bénéfices inattendus, les auteurs constatent un ajustement relatif du cours des valeurs légèrement plus faible dans le cas des multinationales que dans celui des entreprises d'envergure plus modeste, au cours de la période d'application du SFAS no 8. Cette constatation est conforme à l'hypothèse voulant que les multinationales aient produit des indicateurs de bénéfices plus « brouillés » au cours de cette période. Toutefois, plusieurs mesures indirectes donnent à penser qu'il existait une incertitude plus grande quant à la probabilité a priori des flux monétaires ou des dividendes futurs dans l'échantillon des entreprises d'envergure plus modeste. Les auteurs ne peuvent donc écarter cette hypothèse à titre d'explication concurrente des différences observées dans la réaction du marché aux indicateurs de bénéfices, au cours de la période d'application du SFAS no 8. À la suite de l'instauration du SFAS no 52, le coefficient de réaction aux bénéfices a sensiblement augmenté dans le cas des entreprises dont la méthode comptable relative à la conversion des gains et des pertes était davantage touchée par cette norme. Ces résultats laissent croire que les mesures des bénéfices conformes au SFAS no 52 ont été perçues par les intéressés comme étant de plus grande qualité (c'est-à-dire moins brouillées) que les mesures conformes au SFAS no 8. Le cadre de référence et l'analyse contenus dans cet article sont prometteurs pour l'analyse de la qualité relative de l'information livrée par les indicateurs de bénéfices conformes à d'autres règles d'évaluation des bénéfices.  相似文献   

17.
Abstract. This paper reports the results of an empirical investigation of the effect of firm size on the magnitude of the long-window earnings response coefficient (ERC). In contrast to earlier studies, we find that size is positively related to the magnitude of the long-window ERC. This result was robust across alternative event windows (12, 15, and 24-months). The argument advanced in the literature has been that since more information is available throughout the year for large firms, a less pronounced market reaction occurs at the earnings announcement date. Our result is not inconsistent with this since we examined the relationship over a long window. It appears that the greater availability of alternative information sources and increased search activities about large firms, rather than resulting in a weaker ERC for large firms, may actually enhance or strengthen the magnitude of the long-window ERC. Our intepretation of this finding is that the broader set of information available about large firms enables market participants to interpret the information in the financial statements more completely and to estimate future cash flows more accurately, leading to a decreased level of system uncertainty. In addition, we present evidence that the largest response coefficients are for large nonsurvivor firms while the smallest are for small firms, both survivors and nonsurvivors. Résumé. Les auteurs rapportent les résultats d'une analyse empirique de l'incidence de la taille de l'entreprise sur l'amplitude du coefficient de réponse des bénéfices (CRB) à longue échéance. Contrairement aux études précédentes, celle-ci débouche sur la conclusion que la taille est en relation positive avec l'amplitude du CRB à longue échéance. Ce résultat persiste, quelle que soit la période d'événements choisie (12, 15 ou 24 mois). L'explication proposée dans les travaux précédents est la suivante: puisqu'il est possible d'obtenir davantage d'information tout au long de l'année au sujet d'une grande entreprise, la réaction du marche est moins prononcée à la date de la déclaration des bénéfices. Les résultats de l'étude ne sont pas contradictoires puisque les auteurs étudient la relation à longue échéance. II semble que l'eventail plus grand du choix de sources d'information et les activités de recherche plus importantes en ce qui a trait aux grandes entreprises, plutôt que de donner lieu à un CRB plus faible dans leur cas, puissent en fait favoriser ou renforcer l'amplitude du CRB à longue échéance. Les auteurs en déduisent que le réservoir d'information plus large dont on dispose au sujet des grandes entreprises permet aux intervenants sur le marché d'interpréter les renseignements fournis dans les états financiers de façon plus complète et de mieux estimer les flux monétaires éventuels, ce qui conduit à une réduction de l'incertitude relative au système. De plus, les auteurs démontrent que les coefficients de réponse les plus élevés sont ceux des grandes entreprises qui ne survivent pas, tandis que les coefficients de réponse les plus faibles sont ceux des entreprises plus petites, qu'elles survivent ou non.  相似文献   

18.
Abstract. Following a five year moratorium on adoption of interest capitalization by the SEC, the Financial Accounting Standards Board issued SFAS No. 34 mandating that firms previously writing off interest charges related to the construction of assets change to capitalizing those charges. The purpose of this study is to analyze the impact of this change in terms of the security market's reactions both to policy announcements leading up to the promulgation of SFAS No. 34, and to earnings announcements following implementation by affected companies. Significant average market reactions are indicated for two of ten policy announcements before the effects of firm size are considered; however, significance disappears when those effects are removed from excess returns. Although a bias is detected in the forecasts of analysts consistent with less than full revision to include the earnings impact, there is little evidence of market reactions to announcements of those earnings. Résumé. Après un moratoire de cinq ans sur l'adoption de la capitalisation de l'intérêt par la S.E.C., le Financial Accounting Standards Board a émis le bulletin numéro 34 qui demande aux entreprises qui passaient aux dépenses les charges d'intérêts reliées à la construction d'actifs, de les capitaliser. L'objectif de cette étude, est d'analyser l'impact de ce changement (en termes des réactions du marché des valeurs) aux annonces de politiques qui ont conduit à la promulgation du bulletin 34 et aux annonces de bénéfices qui ont suivi l'implantation pour les compagnies touchées. Les réactions du marché en moyenne sont significatives pour deux des dix annonces de politiques, avant de prendre en considération les effets de l'ampleur de la firme; cependant, ce n'est plus significatif lorsque ces effets sont retranchés des rendements excédentaires. Quoiqu'un biais soit détecté dans les prévisions des analystes, en accord avec une révision moins que complète pour inclure l'impact des bénéfices, il y a peu d'évidence des réactions du marché aux annonces de ces bénéfices.  相似文献   

19.
Abstract. Recent studies have begun to apply contemporary capital markets methods to historical, archival accounting data. This paper discusses period-specific issues relevant to such research. The general categories of issues considered are agency relationships and the capital market environment, trading practices, regulation, and corporate information disclosure. These contextual issues are discussed as they relate to the following business conditions in the United States during the first decade of the 20th century. First, the population characteristics of security holders were different, and a “money trust” comprised of investment bankers often controlled large corporations. This implies that careful thought needs to be given to assumptions about the role of publicly available information and “retail” investors in securities trading. Second, trading practices were quite different: stock price manipulation was tolerated, as were “wash” and “matching” securities transactions. These conditions, coupled with corporate disclosure of dubious quality and widespread colored financial press reporting, create difficulties in interpreting security price and trading activity. Third, while financial reporting regulation was minimal during the early 1900s, it is unclear whether government threats of regulation may have been regarded as sufficiently plausible by companies so as to motivate “voluntary” behavior. These facts suggest that contemporary researchers choosing to conduct capital market studies using data from historical time periods must fully consider the context of the period under study in designing their study, selecting data, interpreting results, deriving new theory, and drawing policy implications. Résumé. Dans des études récentes, on a commencé & appliquer les méthodes contemporaines d'analyse des marchés financiers aux données comptables d'archives. Les auteurs traitent des caractéristiques propres à certaines périodes passées, pertinentes à ce genre de recherche. Les catégories générales de caractéristiques qui sont abordées sont les relations mandant-mandataire et l'environnement des marchés financiers, les pratiques en matière de négociation de titres, la réglementation et la publication d'information par les entreprises. Ces caractéristiques contextuelles sont abordées dans leur relation avec les propriétés suivantes de la situation des entreprises dans la première décennie du XXe siècle. Premièrement, les caractéristiques démographiques des détenteurs de titres étaient différentes, à l'époque, et une ? fiducie de fonds ? composée de preneurs fermes contrôlait souvent de grandes sociétés. Cela suppose qu'il faut analyser avec minutie les hypothèses relatives au rôle de l'information diffusée dans le public et des épargnants, dans les opérations sur titres. Deuxièmement, les pratiques en matière de négociation étaient assez différentes à l'époque: la manipulation du cours des actions était tolérée, de même que les opérations fictives ou simultanées sur titres. Ces conditions, conjuguées à la qualité douteuse de l'information publiée par les entreprises et aux rapports subjectifs abondamment publiés par la presse financière, soulèvent des difficultés dans l'interprétation du cours des titres et de l'activité du marché. Troisièmement, compte tenu que la réglementation de l'information financière était réduite au minimum au début du siècle, on ne peut dire avec certitude si les menaces d'intervention gouvernementale peuvent avoir été jugées suffisamment inquiétantes par les entreprises pour les avoir incitées à adopter ? volontairement ? le comportement souhaité. Ces observations semblent indiquer que les chercheurs contemporains qui choisissent d'étudier un marché financier en s'appuyant sur les données de périodes antérieures doivent pleinement tenir compte du contexte de la période étudiée dans leur plan de recherche, le choix des données, l'interprétation des résultats, la dérivation de nouvelles théories et leurs conclusions relatives aux conséquences de leurs observations en ce qui a trait aux politiques.  相似文献   

20.
Résumé. Les auteurs font appel aux théories proposées par Darrough et Stoughton (1990) afin de mieux comprendre pourquoi certaines entreprises incorporent volontairement des prévisions directionnelles à leurs rapports annuels alors que d'autres s'en abstiennent. Les données qu'ils recueillent sont conformes à leurs prédictions selon lesquelles la politique d'information d'une entreprise reflète ses préoccupations à l'égard de la cote d'évaluation que lui attribue le marché des capitaux et à l'égard de la concurrence à laquelle elle doit faire face sur le marché des produits. Les auteurs constatent que pour les entreprises dont l'information est favorable, la probabilité de produire de l'information prévisionnelle croît lorsque l'entreprise a besoin de capitaux, mais décroît lorsqu'un nouveau concurrent menace d'entrer sur le marché. L'inverse est vrai pour les entreprises dont l'information est défavorable. Ces résultats viennent étayer plus solidement, sur le plan empirique, l'observation selon laquelle l'hypothèse familière de l'information favorable vérifiée dans les travaux portant sur la prévision des résultats par la direction n'offre qu'une explication partielle à la décision de produire de l'information prévisionnelle. Chose intéressante, toutefois, même une fois contrôlés les facteurs relatifs au marché des capitaux et au marché des produits, les données révèlent toujours une distorsion globale dans la présentation volontaire d'information. Elles viennent également légitimer les préoccupations de la CVMO à l'égard de cette distorsion dans la présentation volontaire d'information. Seulement 17,5 pour cent des prévisions de l'échantillon sélectionné par les auteurs indiquent une baisse par rapport aux résultats de l'exercice précédent. Toutefois, par contraste avec les préoccupations de la CVMO en ce qui a trait à l'absence générale d'information prospective dans les rapports annuels, 35,9 pour cent des entreprises de l'échantillon constitué par les auteurs incorporent des prévisions directionnelles à leur rapport de gestion ou à d'autres sections de leur rapport annuel.  相似文献   

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